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“Les enfants rouges” de Lotfi Achour primé à Montréal au festival Vues d’Afrique

Le film “Les enfants rouges”, ou “Red Path”, deuxième long métrage de Lotfi Achour vient de remporter une nouvelle distinction, la mention spéciale dans la catégorie “Droits de la Personne” au Festival international de cinéma Vues d’Afrique à Montréal (Canada), dont le palmarès de sa 41ème édition a été dévoilé lors de la cérémonie de clôture, ce dimanche 13 avril.

Par ailleurs, le court-métrage “Charité”, écrit et réalisé par la tunisienne Feriel Kallel, a reçu le premier prix dans la catégorie “Regards d’Ici”. Les deux films font partie des œuvres distinguées parmi 86 productions en provenance de 35 pays, réparties dans différentes catégories de la compétition officielle du festival qui s’est déroulé du 3 au 13 avril 2025.

Sélectionné dans plus de 50 festivals à travers le monde et ayant raflé plus d’une quinzaine de prix, le film “Les enfants rouges” réalisé d’après un scénario coécrit avec Natacha de Pontcharra, Doria Achour et Sylvain Cattenoy, sera dans les salles à partir du 23 avril prochain offrant aux cinéphiles l’occasion de découvrir l’histoire qui a bouleversé la Tunisie, inspirée de faits réels, celle des deux bergers attaqués par des Jihadistes au moment où ils font paître leur troupeau dans la montagne de Mghilla, région extrêmement pauvre et isolée du Nord-Ouest tunisien, en novembre 2015. Nizar 16 ans, est tué tandis qu’Achraf, 14 ans, doit rapporter un message macabre à sa famille (synopsis).

Scénariste de séries tunisiennes à succès comme “Naouret El Hawa” ou le feuilleton ramadanesque “Flashback” (2016-2017), Feriel Kallel signe avec “Charité” son premier film en tant que réalisatrice. Elle a exprimé, dans un post sur sa page facebook, son immense joie que ce premier prix vienne récompenser sa première oeuvre dans sa toute première sélection officielle dans un festival.

La musique originale de ce film indépendant produit par Fsili Monia est composée par l’artiste, interprète et musicienne Mouna Chtourou. Le court-métrage a bénéficié du soutien de la Fondation Joussour basée au Canada et œuvrant à construire un pont culturel et artistique entre la Tunisie et le Canada, et à encourager les collaborations artistiques multiculturelles. La fondation a exprimé sa fierté d’accompagner cette “œuvre engagée et profondément humaine” et de soutenir des projets qui rassemblent, interrogent et célèbrent les talents francophones d’ici et d’ailleurs.

Porté par des talents tunisiens, québécois et d’ailleurs, le court-métrage (22minutes), raconte l’histoire de Joe, un sans-abri sexagénaire, qui rencontre par hasard Clara, une jeune femme lui offrant nourriture et abri devant sa maison. Au fil du temps, elle lui apporte quotidiennement des repas, créant une routine réconfortante. Puis, sans explication, ces attentions cessent brutalement et Clara disparaît. Inquiet, Joe part à sa recherche et finit par la retrouver. Ce qu’il découvre alors dépasse toutes ses attentes : ce qu’il croyait être une relation humaine et bienveillante n’était en réalité qu’une arnaque malveillante. Cette rencontre révèle comment une compassion apparente peut parfois masquer des intentions trompeuses (synopsis).

Originaire de Sousse, Feriel Kallel a poursuivi ses études à l’Ecole supérieure des sciences et technologies du design à Tunis (ESSTED). Elle a travaillé comme assistante réalisatrice sur de nombreux projets tunisiens, collaborant avec des réalisateurs de renom, et participant à des séries télévisées populaires ainsi qu’à des tournages de spots publicitaires.

Installée au Canada depuis 2019, elle travaille comme assistante réalisatrice sur la série télévisée “STAT'”, ainsi que sur le long-métrage fiction “Carnaval” de Akram Adouani. Elle est membre de la Guilde canadienne des réalisateurs (GCR) depuis février 2024.

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Entre mémoire anticoloniale et cinéma engagé : Fanon, un portrait bouleversant de Frantz Fanon

Réunissant dans le jeu d’acteurs des comédiens tunisiens, parmi lesquels Jamal Madani et Moncef Ajengui, avec en tête d’affiche l’acteur franco-camerounais Alexandre Bouyer, le long-métrage “Fanon” du réalisateur français de Guadeloupe (Caraïbes), Jean-Claude Barny a été projeté, à l’initiative du ciné-club de Tunis, le samedi 12 avril 2025, dans la salle de cinéma Le Rio à Tunis, en présence de l’équipe du film.

Sorti dans les salles tunisiennes le 11 avril, ce long-métrage retrace une période cruciale de la vie de Frantz Fanon, psychiatre et acteur majeur des luttes anticoloniales, dans le contexte de la guerre d’indépendance algérienne.

Le récit revient sur le passage de Fanon à l’hôpital psychiatrique de Blida, en Algérie, où il introduit des méthodes thérapeutiques révolutionnaires, centrées sur l’humanité et la dignité des patients algériens. Ce choix suscite une vive réaction de l’administration française ainsi que de ses collègues. Très vite, le parcours de Fanon évolue. De médecin, il devient militant après s’être rapproché des dirigeants du Front de libération nationale (FLN) d’Algérie, notamment Abane Ramdane. Il choisit de s’engager dans la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, se retrouvant ainsi, aux côtés de son épouse Josie, en confrontation directe avec les forces coloniales.

Jean-Claude Barny : le film surfe entre cinéma d’auteur et cinéma grand public

Lors du débat qui a suivi la projection, Jean-Claude Barny a confié que sa relation avec Fanon avait commencé à l’adolescence, à travers la lecture de ses œuvres. Ces lectures lui ont permis, dit-il “de comprendre mon identité et ma place dans la société”.

Ce film, qu’il a réalisé en 2024, est le fruit de dix années de recherche et de développement, une période où il a étudié les écrits de Fanon, s’est rendu en Algérie -notamment dans le bureau où il travaillait-, et a échangé avec de nombreux historiens.

Pour le cinéaste, ce film, qui “surfe entre cinéma d’auteur et cinéma grand public”, constitue aussi une réponse à un paysage cinématographique français réticent à financer des récits centrés sur des figures issues des anciennes colonies considérant que “ce genre de films ne trouvent pas leur public”. Il a toutefois mentionné que le film a connu un certain succès joutant “ce soir, la salle était pleine. Cela prouve que les spectateurs attendent ces récits, qui interrogent l’histoire et les mémoires plurielles”, a-t-il affirmé.

A propos de la sortie, à la même période, du film “Frantz Fanon” du réalisateur algérien Abdennour Zahzah, Jean-Claude Barny a souligné que “Nous vivons dans un univers cinématographique qui exige de la diversité, non de la confrontation. Il ne faut pas craindre la multiplicité des voix, bien au contraire c’est cette richesse de visions qui offre au public le droit de choisir et de comprendre. Fanon est l’une de ces figures capables d’ouvrir nos yeux sur des mondes négligés, qui pourtant continuent de façonner notre présent”.

Alexandre Bouyer : Le film a été pour moi un défi en tant qu’acteur, un cadeau en tant qu’humain

Pour Alexandre Bouyer, incarner Fanon n’a pas été uniquement un défi en tant qu’acteur, mais un véritable cadeau en tant qu’humain. Il a confié avoir été marqué par la lecture des ouvrages de Fanon, notamment “Peau noire, masques blancs”, qui lui ont offert un nouveau regard sur le monde.

Jouer dans le film de Jean-Claude Barny, “dont j’apprécie la finesse et la poésie qui se dégagent dans ses oeuvres” a été une expérience forte, a-t-il mentionné car “Pour incarner Fanon, j’ai voulu aller chercher l’humanité du personnage. Cela exigeait une remise en question permanente, un travail intérieur, pour parvenir à voir le monde à travers ses yeux”.

Qui était Frantz Fanon?

Frantz Fanon est né le 20 juillet 1925 à Fort-de-France, en Martinique. A l’âge de 18 ans, il s’engage dans les Forces françaises libres pour combattre le nazisme durant la Seconde Guerre mondiale.

Après la guerre, il retourne brièvement en Martinique, puis s’installe en France métropolitaine, où il obtient son baccalauréat et entreprend des études de médecine à Lyon. Il se spécialise en psychiatrie, tout en suivant également des cours de littérature et de philosophie.

En 1952, il publie “Peau noire, masques blancs”, un essai majeur dans lequel il analyse les effets psychologiques du colonialisme et de l’aliénation raciale.

En 1953, il est nommé médecin-chef à l’hôpital psychiatrique de Blida-Joinville en Algérie, alors colonie française. Il y introduit des méthodes thérapeutiques novatrices fondées sur le respect de la dignité humaine, rompant avec les approches psychiatriques coloniales autoritaires.

Il publie plusieurs textes fondamentaux du mouvement anticolonial, parmi lesquels “L’An V de la révolution algérienne” (1959), et surtout “Les Damnés de la Terre” (1961), considéré comme son œuvre majeure, préfacée par Jean-Paul Sartre.

Atteint d’une leucémie, il meurt le 6 décembre 1961 à Bethesda, dans le Maryland (Etats-Unis), à l’âge de 36 ans, quelques mois avant l’indépendance de l’Algérie. Conformément à ses souhaits, il est enterré en terre algérienne, à Ain Kerma, près des frontières de la Tunisie où il a vécu pendant près de cinq ans.

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Plus de 10 mille personnes assistent à l’ouverture de la 10ème édition du Carnaval de Yasmine Hammamet

Plus de 10 mille personnes venues des différentes régions du gouvernorat de Nabeul mais aussi d’autres régions du pays ont assisté ce samedi soir à l’ouverture de la 10ème édition du Carnaval de Yasmine Hammamet qui se poursuivra jusqu’à demain dimanche, selon les organisateurs.

Quelque 700 artistes ont animé le carnaval avec des spectacles de rue, des défilés et autres activités artistiques pour tous les âges.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le directeur de l’événement, Walid Derouiche, a indiqué que le Carnaval est un rendez-vous organisé chaque année pour annoncer l’ouverture de la saison touristique dans la région signalant que l’objectif est de renforcer les partenariats avec des carnavals étrangers.

Pour sa part, le délégué régional au tourisme, Khaled Galouia, a salué le rôle du carnaval dans la dynamisation de la station touristique et la promotion de la région. Il a révélé que les hôtels de Hammamet et Nabeul affichent des taux d’occupation importants ce qui augure d’une bonne saison touristique.

Le responsable a ajouté que les autorités locales, en coordination avec les municipalités et les services de l’environnement, ont lancé une série de mesures pour assurer un accueil optimal, notamment sur le plan de la propreté, de la sécurité, et de la préservation du littoral.

“L’objectif affiché pour la saison touristique 2025 est d’atteindre plus de 3 millions de nuitées passées dans la station de Yasmine Hammamet, dépassant ainsi les 2,8 millions enregistrées l’année précédente, avec 800 mille touristes accueillis.

 

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Rencontre “Poésie plurielle” : quand les vers croisent la pensée à Tunis

La Cité de la Culture Chedly Klibi a abrité, samedi, une rencontre autour des rapports entre philosophie et poésie, deux disciplines longtemps marquées par une relation de rivalité, depuis Platon dans la Grèce antique en passant par les grands philosophes du XXème siècle jusqu’à aujourd’hui.

Des lectures de poésie, en arabe et en français, étaient au menu de la rencontre “Poésie plurielle” qui s’inscrit dans le cadre de la conférence périodique “Quelle pensée dans la pratique des arts” du Collège de Tunis pour la Philosophie, visant à explorer les dimensions intellectuelles des œuvres artistiques et créatives.

Une pléiade d’auteurs et de penseurs dont notamment Mohamed Mahjoub, Abdelaziz Kacem, Yadh Ben Achour, Hichem Ben Ammar et Abdelhamid Ladhari a participé à ce séminaire organisé en partenariat avec le Centre des arts, de la culture et des lettres, Ksar Said et le ministère des Affaires Culturelles.

Outre des lectures de poésie, une séance-débat autour de la poésie, la langue et la traduction était au programme de cette rencontre modérée par Fathi Triki, philosophe titulaire de la chaire UNESCO de philosophie pour le monde arabe.

Prenant la parole, Fathi Triki a mentionné que cette conférence périodique vise à établir le dialogue entre philosophes, théoriciens et praticiens dans une tentative d’explorer les formes de pensée inhérentes au processus créatif dans les arts, faisant savoir que la prochaine réunion sera avec des cinéastes pour discuter de la pensée dans les œuvres cinématographiques.

Autour du thème “poésie plurielle”, il est parti de l’idée que l’art qui véhicule des concepts est un processus sensoriel et esthétique qui se manifeste chez le philosophe à travers la pensée.

Parlant de “Poème entre philosophie et pensée”, le philosophe Mohamed Mahjoub a formulé une réflexion à portée méthodologique. Spécialiste reconnu du lien entre poésie et philosophie, et figure majeure de la pensée contemporaine dans le monde arabe, il a expliqué que la relation entre ces deux domaines dépend du sens que chaque école philosophique donne à la pensée elle-même.

Dans son analyse de la relation dialectique entre poésie et philosophie, il a affirmé l’existence d’une correspondance entre le texte poétique et la pensée philosophique, en appuyant son propos, sur les œuvres de nombreux poètes et penseurs, tant occidentaux qu’arabes, parmi lesquels le philosophe et médecin d’origine persane Avicenne (Ibn Sina, 980-1037), le grand poète Imru’ al-Qais, ou encore le célèbre poète arabe Abû al-Tayyib al-Mutanabbî (915-965).

Yadh Ben Achour a ouvert les séances de lecture poétique en lisant des extraits de son premier recueil bilingue, “Poèmes pour la Liberté”, publié en 2025 chez AC Editions. Ce recueil, qui rassemble des textes en français et en arabe, est illustré en couverture par un dessin du grand calligraphe Nja Mahdaoui. Juriste de formation et auteur de plusieurs ouvrages en français, Yadh Ben Achour revisite dans son opus son attachement profond à la poésie et à la langue arabe, qui l’habite depuis toujours. Avec ses dix-sept poèmes, “Poèmes pour la Liberté” est un véritable hymne aux langues, perçues comme des vecteurs de communion entre les peuples et les cultures.

De son côté, Yadh Ben Achour a également lu des poèmes inédits, parmi lesquels “Le trou dans la serrure” et “La mort de l’enfant”, un texte poignant écrit dans les années quatre-vingt, inspiré par la disparition du fils de l’un de ses amis, mort à l’âge de onze ans.

Le réalisateur et critique de cinéma Hichem Ben Ammar, qui n’avait pas lu de poésie en public depuis 1979, comme il l’a lui-même rappelé, voit dans la poésie un moyen de rébellion. Fils de banquier, né en 1958, il a grandi au plus près des coulisses du système bancaire. Cette familiarité précoce avec le monde de la finance imprègne ses textes poétiques, marqués par une réflexion intime sur sa relation à cet univers. Hichem Ben Ammar a également lu des poèmes qu’il a publiés dans “Mitra”, revue canadienne d’art et de littérature.

Abdelhamid Ladhari a, pour sa part, rendu hommage au poète disparu d’expression arabe Mohammed Ghozzi (1949-2024) en lisant quelques-uns de ses textes.

L’écrivain et poète Abdelaziz Kacem s’est quant à lui penché sur l’histoire de la Tunisie, évoquant notamment l’expérience de figures comme Abou al-Kacem Chebbi, premier poète tunisien publié en Egypte, à une époque où l’accès au champ littéraire et poétique francophone demeurait difficile pour les auteurs arabophones.

En lisant des poèmes tirés de son recueil publié en 1991 chez la Maison du Livre Arabe, il a présenté des poèmes mettant en scène d’importantes figures historiques et intellectuelles, telles que le poète et dramaturge espagnol Federico García Lorca (1898-1936).

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Ksar El Ferch se transforme en scène musicale avec E-FEST Camp 2025 à Ghomrassen

Le festival E-FEST a démarré, vendredi, à Ksar El Ferch, à Ghomrassen, dans le gouvernorat de Tataouine, pour une 14ème édition qui se déroule les 11, 12 et 13 avril 2025.

Après treize éditions dans la Cathédrale de Carthage et sept années d’absence, le festival revient pour une nouvelle version 2025 -musiques actuelles et cultures numériques- E-FEST Camp.

Le directeur du comité d’organisation, Afif Riahi, a déclaré au correspondant de l’agence TAP à Tataouine, que « le choix porté sur Ksar El Ferch, à Ghomrassen était pour ses spécificités adaptées au genre de musique numérique présenté par le festival qui prévoit 20 spectacles de groupes de renommée nationale et internationale ».

Ksar El Ferch, est considéré comme le plus grand ksar de la région de Tataouine au Sud-Est tunisien. Avec une superficie de plus de treize mille mètres carrés, il a historiquement joué le rôle de marché et de lieu d’échange entre les tribus, en plus de sa fonction initiale de grenier.

Construit au XXème siècle, Ksar El Ferch est devenu, aujourd’hui, une destination touristique et culturelle en accueillant diverses manifestations dont le Festival du Tambour (percussion) de Ghomrassen, organisé chaque mois d’octobre.

Pour sa part, le président de l’Association de sauvegarde du patrimoine de Ghomrassen , Samir Horchani, a déclaré à la TAP que toutes les unités hôtelières dans la région affichent complet ce qui a obligé la direction du festival à installer 70 tentes pour l’hébergement des festivaliers venus des différents gouvernorats de la République ».

E-FEST Camp 2025 propose une série de concerts avec la participation de plus de 50 artistes, DJ et formations musicales venus de plus de dix pays : Tunisie, France, Egypte, Algérie, Turquie, Etats-Unis, Maroc, Soudan, Ouganda, Mauritanie et Iran avec un vaste programme de rythmes et de répertoires : électro, hip hop, rock expérimental, chants griots sahraoui, électro stambeli etc.

Des workshops notamment d’initiation au podcast, à la réalité virtuelle et à la réalisation de performances numériques, des ateliers interactifs et participatifs avec les jeunes portant notamment sur les possibilités esthétiques du son, de la lumière et de la vidéo ainsi que des résidences d’artistes et des rencontres d’expressions citoyennes sur des sujets liés entre autres aux thématiques de l’environnement, de l’éducation, de l’immigration, de l’intelligence artificielle sont au programme.

Outre l’installation de tentes, le festival offre aux festivaliers de vivre l’expérience de l’hébergement chez l’habitant notamment dans le village de Chenini.

En investissant cette région, le festival ambitionne, selon les organisateurs, de laisser une empreinte durable : révéler la beauté du site et de ses habitants, créer des connexions inédites et stimuler la créativité. De plus, l’intégralité des recettes de la billetterie sera consacrée à la restauration de Ksar El Ferch, afin qu’il retrouve sa splendeur d’antan.

Le festival E-FEST est organisé à l’initiative de l’association Echos Electrik et en collaboration de l’Association de sauvegarde du patrimoine de Ghomrassen, le gouvernorat de Tataouine et des commissariats régionaux des Affaires culturelles du tourisme de Tataouine.

Cet événement est mis en œuvre avec le soutien du Fonds Arabe pour les Arts et la Culture (AFAC), de la Direction du Développement et de la Coopération de la Suisse (DDC), de l’Institut français de Paris et de la Ville de Paris et du programme Tounes Wijhetouna, financé par l’Union Européenne.

 

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Le Centre culturel international lance un appel à candidatures pour ses expositions 2026

Le Centre culturel international de Hammamet (CCIH) -Maison de la Méditerranée pour la Culture et les Arts- a annoncé la sélection de 10 expositions pour la programmation de l’année 2025 et l’ouverture des candidatures pour neuf expositions exceptionnelles d’arts plastiques/installations individuelle ou collective au titre de l’année 2026. La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 10 février 2026.

Cet appel vise à mettre en lumière les talents et à célébrer la diversité des expressions artistiques, selon le CCIH. Il s’adresse aux artistes, designers graphiques, peintres, photographes et aux professionnels des arts visuels.

Les candidats doivent participer avec des œuvres originales et non copiées, accompagnées d’une brève description de chaque création (matériaux utilisés, idée, etc.).

Les candidats doivent justifier d’une activité artistique professionnelle et/ou être diplômés d’une école d’art, disposant d’un parcours artistique solide : avec des œuvres récemment exposées dans des institutions, galeries, festivals, etc et/ou avoir participé à une résidence d’artistes.

Les dossiers de candidature doivent être rédigés en langue arabe/et ou en langue française pour les candidats francophones.

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Tunis Re renouvelle son contrat de liquidité

Les initiateurs du contrat de liquidité des actions Tunis Re, la BNA, la STAR et la COMAR, et l’intermédiaire en Bourse BNA Capitaux informent le public que le contrat est arrivé à échéance le 14 avril 2025.

Il est rappelé que le contrat de liquidité de la société Tunis Re est entré en vigueur le 15 avril 2024. Il était composé de 441 000 actions et de 3 Mtnd de liquidité.

À sa date de clôture, ce contrat est composé de 556 847 actions Tunis Re et de 2 321 483,651 Tnd de liquidité.

Ce contrat sera renouvelé pour une durée d’une année à compter du 15 avril 2025 et sera composé de 300 000 actions Tunis Re et de 2 321 183 Tnd de liquidité.

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Tunisie – Santé : Mise en garde contre l’usage excessif des désodorisants d’air

Tunisie – Santé : Mise en garde contre l’usage excessif des désodorisants d’air

Le ministère de la Santé a mis en garde, dans un communiqué publié lundi, contre le danger d’une utilisation excessive des désodorisants d’air dans les maisons et les lieux de travail, en raison de leur constitution chimique. Le ministère a expliqué que les désodorisants peuvent provoquer une irritation du système respiratoire, des crises d’asthme, des […]

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Tunisie-Italie: 30 projets transfrontaliers financés par l’UE à hauteur de 1,2 million d’euros chacun

Le Comité mixte de suivi (CMS) du Programme de coopération transfrontalière Tunisie-Italie a récemment approuvé, à Tunis, le financement de 30 projets conjoints. Ces projets bénéficieront d’un don de l’Union européenne (UE) allant de 800 mille à 1,2 million d’euros.

Le ministère de l’Économie et de la Planification a indiqué que 72 entreprises tunisiennes, dont 9 partenaires stratégiques, ainsi que 76 sociétés italiennes, dont 21 associés clés, prendront part à la mise en œuvre de ces projets.

Les initiatives retenues couvrent plusieurs secteurs: la recherche et l’innovation, le soutien aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux startups, la protection de l’environnement, les énergies renouvelables, la gestion des ressources en eau, la santé, l’accompagnement des jeunes et des femmes, ainsi que la gouvernance locale.

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World’s Wealthiest Cities 2025: où vivent les centi-millionnaires africains en 2025?

Le cabinet britannique Henley & Partners, en partenariat avec New World Wealth, a publié l’édition 2025 de son World’s Wealthiest Cities Report, classant 141 villes selon le nombre de centi-millionnaires – des individus disposant d’un patrimoine liquide investissable d’au moins 100 millions de dollars.

Parmi elles, seules neuf villes africaines figurent dans le classement. En tête du continent: Cape Town (34 centi-millionnaires), suivie du Caire (27), Johannesburg (24), Cape Winelands (18), Marrakech (14), Umhlanga & Ballito (12), Lagos (12), Casablanca (11) et Nairobi (11).

Le rapport précise que le “patrimoine” considéré inclut uniquement les avoirs liquides: actions cotées, obligations, liquidités et cryptomonnaies. À l’échelle du continent, seuls 350 centi-millionnaires sont recensés, concentrés dans quelques pôles économiques. L’Afrique du Sud, pays le plus industrialisé d’Afrique, domine nettement avec plusieurs villes présentes dans le classement.

À l’échelle mondiale, les États-Unis mènent largement, avec 11 villes dans le top 50. New York arrive en tête avec 818 centi-millionnaires et 66 milliardaires sur un total de 384 500 personnes fortunées.

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Ligue 1 – 26e journée – EST-EGSG (1-0) : Ce n’était pas cher payé !

En dépit des absences enregistrées, les “Sang et Or” ont développé un bon volume de jeu.
La note aurait dû, d’ailleurs, être plus salée, mais les jambes semblent encore accablées.

 Restant sur une victoire obtenue à domicile, les Gafsiens, avant-derniers au classement, sont venus à Radès avec la perspective de rentrer avec un résultat positif. En face, les «Sang et Or» ont foulé la pelouse de l’Olympique de Radès avec l’objectif de réagir après l’élimination en Ligue des champions. 

Par ailleurs, on n’a pas attendu longtemps pour assister à la première occasion dangereuse des locaux. A peine 7 minutes de jeu et Rami Jeridi, auteur d’une jolie parade, s’interpose à la puissante frappe de Rayane Hamrouni.

Après cette première grosse occasion, les Gafsiens ont renforcé leur garde en se repliant davantage dans leur moitié de terrain, ce qui a réduit considérablement la marge de manœuvre des attaquants espérantistes. 

La solution ne pouvait venir que d’une balle arrêtée : un corner tiré par Chiheb Jebali qui, après un une-deux avec Houssem Tka, adresse un centrage millimétré pour Rodrigo Rodrigues. Le Brésilien, d’une tête plongeante, loge la balle dans les filets (31’). Il n’en fallait pas plus pour que les Espérantistes, bien que fortement amoindris avec les absences enregistrées, rejoignent les vestiaires pour la pause mi-temps avec un avantage au score.

Un jeu beaucoup plus dangereux, mais…

En deuxième mi-temps, Maher Kanzari a opéré des changements en incorporant Derbali, Maacha, Mouhli et Jabri. Des changements qui ont apporté une plus-value à l’animation offensive. Et contrairement à la première mi-temps, les occasions créées par les attaquants espérantistes ont été beaucoup plus nombreuses, voire plus dangereuses, à l’image du tir croisé de Maacha intercepté in extremis par Jeridi (67’) ou encore Derbali qui, après avoir dribblé les défenseurs adverses, se faufile en pleine surface de réparation et adresse un tir puissant qui frôle la transversale (78’).

Mouhli et Ben Mohamed ont également tenté leurs chances. En vain. Malgré les passes en profondeur à destination de Jabri, la création de brèches, le deuxième but n’est jamais venu.

Il est clair que le moral des joueurs “sang et or” est toujours affecté et par conséquent, les jambes sont restées accablées.  Sinon,  au vu du volume de jeu développé et des occasions créées, la note aurait dû être plus salée.

Quant aux Gafsiens, ils n’ont rien entrepris ou presque pour espérer ramener un résultat positif de Radès. Skander Kasri doit revoir sa copie, sur le plan offensif notamment, pour que l’opération de sauvetage soit réussie.

EST : Ben Saïd, Bouchniba (Maacha 46’), Koudhai, Ben Hmida, Ben Mohamed, Guenichi, Tka, Konaté, C. Jebali (Mouhli 73’), Hamrouni ( Derbali 59’ et Rodrigues (Jabri 59’). 

EGSG : Jeridi, Horchani, Chebbi, Mejri, O. Jebali, Chayeb (Omrani 59’), Ben Mbarek (Mhamdi 84’), Agbere, Traoré (Chokri 84’), Ben Hssine (Ajmi 72’) et Jouini. 

Tragédie au lycée de Mazouna : Trois morts et deux blessés après l’effondrement d’un mur

Tragédie au lycée de Mazouna : Trois morts et deux blessés après l’effondrement d’un mur

Un drame s’est produit au lycée de Mazouna, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, où l’effondrement d’un mur a coûté la vie à trois élèves âgés de 18 et 19 ans. Deux autres personnes ont également été blessées, avec des blessures de gravité variable. Les blessés ont été transportés en urgence à l’hôpital local de […]

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Classement mondial WTA: Ons Jabeur maintient sa 27e place mondiale

Ons Jabeur

La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur conserve sa 27e position au classement mondial WTA, publié ce lundi 14 avril. Sa dernière apparition sur les courts remonte au 22 mars, lorsqu’elle a été contrainte à l’abandon au troisième tour du Masters 1000 de Miami face à l’Italienne Jasmine Paolini. Initialement attendue au tournoi WTA 500 […]

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Nabeul : 14 000 tonnes de fraises attendues en 2025 malgré les défis climatiques

La production de fraises à Nabeul, estimée à environ 14 mille tonnes, devrait maintenir un rendement similaire à celui de l’année précédente, malgré une baisse des surfaces cultivées, qui ne dépassent pas les 350 hectares. La région, qui représente 90% de la production nationale, traverse actuellement le pic de la récolte.

Le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP) à Nabeul, Imed Bey, a souligné que la récolte est excellente, d’autant que la production n’a pas régressé malgré la réduction des surfaces cultivées, qui étaient supérieures à 380 hectares lors de la saison précédente.

Il a également noté que les fraises sont disponibles en quantités suffisantes sur le marché et à des prix raisonnables, le kilogramme étant actuellement vendu entre 3 et 4 dinars.

Le rendement par hectare a aussi connu une amélioration, atteignant près de 40 tonnes, contre 35 tonnes l’année dernière. Cette hausse est attribuée à l’adoption de nouvelles techniques agricoles et à l’utilisation de sources alternatives pour atténuer les effets du manque d’eau d’irrigation, a-t-il souligné.

Les surfaces cultivées en fraises, qui dépassaient les 600 hectares lors des saisons passées, connaissent un déclin progressif d’année en année, principalement en raison de l’augmentation des coûts de production, qui dépassent les 80 mille dinars/ha, en raison de la flambée des prix des intrants agricoles et des plants, a signalé le responsable régional.

Les changements climatiques et le manque d’eau d’irrigation sont également des facteurs contribuant à cette réduction des surfaces et à l’abandon des zones de production traditionnelles telles que les délégations de Korba, Béni Khiar et Dar Chaâbane El Fehri. Cependant, cette culture se développe désormais dans de nouvelles zones de production, comme Takelsa et Béni Khaled, qui représentent environ 100 ha.

La saison de culture et de récolte de la fraise à Nabeul, qui s’étend sur huit mois (de septembre à avril), est l’une des principales cultures de la région. Elle revêt une grande importance économique et sociale, contribuant à la création de 200 mille journées de travail.

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Transition durable en Tunisie : le Green Bazar connecte entreprises et startups écolos

Le Green Bazar, un événement qui réunira jusqu’à 30 startups porteurs de solutions innovantes et représentants d’entreprises locales du secteur industriel, se déroulera respectivement le 8 et le 15 mai au Kef et à Kairouan.

Porté par Future Islands et financé par Expertise France, le Green Bazar se veut un espace dynamique de rencontres où les entreprises locales pourront exposer leurs défis et où des startups et porteurs de solutions vertes viendront présenter des réponses concrètes et adaptées.

En effet, le Green Bazar rassemblera des acteurs clés de l’innovation verte et de la transition durable, dont des startups et des jeunes entreprises innovateurs proposant des solutions vertes dans l’énergie, l’économie circulaire et la gestion des ressources, outre des industriels cherchant à intégrer des technologies écologiques et des solutions durables pour renforcer leur compétitivité.

Un appel à candidatures vient d’être lancé. La date limite a été fixée au 30 avril. Ces événements sont conçus pour favoriser des échanges directs, accélérer la mise en relation et stimuler la collaboration entre les entreprises et les innovateurs locaux dans le but de renforcer la compétitivité et d’accélérer la transition vers des modèles plus durables.

L’objectif est de faciliter la mise en relation stratégique entre les entreprises et les innovateurs, en offrant un espace dédié aux startups et ou des porteurs de solutions pourront présenter leurs produits et services spécifiquement adaptés aux défis rencontrés par les entreprises locales.

Il s’agit également d’accélérer l’adoption de solutions durables en favorisant le dialogue entre les acteurs économiques et environnementaux, permettant aux entreprises d’identifier et d’intégrer des solutions concrètes pour leur transition verte.

Ils permettront ainsi de renforcer l’écosystème local de l’innovation verte, en mettant en avant les startups et en leur offrant une plateforme de visibilité et de collaboration avec des entreprises prêtes à adopter des solutions novatrices et durables.

Dans les régions du Kef et de Kairouan, les entreprises rencontrent des défis environnementaux et économiques qui freinent leur passage à des modèles plus durables, a-t-on rappelé.

L’accès à des solutions innovantes adaptées à leurs besoins reste encore limité, et les occasions de collaboration avec des startups et des acteurs de l’innovation sont rares.

Les défis rencontrés par les entreprises du Kef et de Kairouan ont été identifiés grâce à une enquête en ligne menée auprès des entreprises locales. Cette enquête a permis de mettre en lumière plusieurs problématiques clés auxquelles les entreprises sont confrontées.

Parmi ces défis, figurent la gestion des déchets agricoles, en particulier, les margines issues de la production d’huile d’olive à Kairouan qui représentent un enjeu majeur pour les producteurs locaux.

De plus, la pollution liée aux pratiques industrielles, que ce soit au Kef ou à Kairouan, apparaît comme un frein à la durabilité des entreprises.

L’optimisation de la consommation d’énergie et d’eau est également un défi important pour les entreprises, notamment dans les secteurs agricoles et industriels. La gestion des déchets et l’optimisation des emballages sont d’autres enjeux cruciaux identifiés, affectant directement la compétitivité et la durabilité des entreprises dans les deux régions.

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Bio-Expo 2025 : huile d’olive, figue de barbarie et dattes Bio au cœur du salon à Tunis : huile d’olive, figue de barbarie et dattes Bio au cœur du salon à Tunis

La 15ème édition du Salon International de l’agriculture biologique et de l’agroalimentaire «Bio-Expo 2025 », se tiendra du 17 au 19 avril 2025, au siège de l’Union tunisienne de l’industrie du commerce et de l’artisanat (UTICA), avec la participation de 100 exposants.

La Directrice du Salon, Lamia Oueslati a indiqué, dans une interview réalisée au studio télévisé de l’Agence TAP, que ce salon est une opportunité exceptionnelle pour les producteurs dans le secteur de l’agriculture biologique et de l’agroalimentaire, pour présenter leurs produits et développer leurs relations professionnelles. Ce salon constitue également une opportunité pour les visiteurs pour acquérir des produits qui sont totalement biologique.

Oueslati a mis l’accent sur l’importance de l’agriculture biologique, en tant que pilier pour préserver l’environnement et la santé du consommateur, en plus de la promotion de l’exportation, soulignant que le nombre des opérateurs dans secteur s’élève à 6200 agriculteurs

Elle a souligné que les produits biologiques qui seront exposés lors de cette édition, qui est organisée en partenariat avec la Direction générale de l’agriculture biologique au ministère de l’agriculture, proviennent de près de 20 gouvernorats, tels que le pistache Bio de Gafsa, les dattes Bio de Kébili, et l’huile d’olive Bio de Sfax

La responsable a, par ailleurs, précisé que l’agriculture biologique ne concerne pas que les légumes, mais également les produits cosmétiques, à l’instar de l’huile de figue de barbarie qui enregistre une demande accrue en Europe, faisant savoir que deux sociétés exportatrices en Tunisie font l’exportation de ce produit, à l’étranger, en grande quantité.

Des conférences sur l’agriculture biologique et des ateliers de sensibilisation destinés aux enfants se tiendront en marge de salon pour les sensibiliser quant à l’importance de l’alimentation biologique, en plus il aura, à cette occasion, l’organisation d’un concours de dégustation pour la meilleure qualité d’huile d’olive.

Oueslati a souligné l’importance renforcer le rôle de l’Etat en matière d’appui à ce secteur, et son développement pour que la production des produits agricoles biologique augmente davantage.

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Protestations en hausse : plus de 1100 mouvements recensés au premier trimestre 2025

Protestations en hausse : plus de 1100 mouvements recensés au premier trimestre 2025

Quelque 1132 mouvements de protestation ont été recensés au cours des trois premiers mois de l’année en cours contre seulement 475 mouvements au cours de la même période de l’année écoulée. Selon le rapport de l’Observatoire social tunisien (OST) relevant du forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), publié ce lundi, les principales […]

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Meurtre au parking d’un centre commercial : sept suspects arrêtés par la Garde nationale

Meurtre au parking d’un centre commercial : sept suspects arrêtés par la Garde nationale

Sept individus soupçonés d’être impliqués dans la rixe qui a conduit à la mort d’un jeune homme, vendredi dernier, au parking du centre commercial “Tunis City – Géant”, ont été arrêtés par les unités de la Garde nationale à l’Ariana. Parmi eux, figure l’auteur présumé du meurtre. Tous ces inidividus ont été placés en garde […]

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