❌

Lese-Ansicht

Es gibt neue verfĂŒgbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

La coopĂ©ration numĂ©rique au cƓur de la rencontre entre le ministĂšre tunisien et la dĂ©lĂ©gation de la RDC

Le mercredi 23 avril 2025, Sofiene Hemissi, le ministre des Technologies de la Communication s’est entretenu avec Augustin Kibassa Maliba, le ministre des Postes, TĂ©lĂ©communications et Nouvelles technologies de l’information et de la communication de la RĂ©publique du Congo et sa dĂ©lĂ©gation, dans le cadre de leur visite de travail en Tunisie.

L’échange a permis de souligner l’anciennetĂ© des relations de coopĂ©ration entre les deux pays dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, et de confirmer la volontĂ© de les renforcer, notamment pour la crĂ©ation de pĂŽles technologiques, le dĂ©veloppement des compĂ©tences, l’amĂ©lioration des services postaux et le rapprochement des entreprises privĂ©es des deux nations.

Hemissi a prĂ©sentĂ© un Ă©tat des lieux du secteur des technologies de la communication et de l’information en Tunisie, ainsi que les axes de coopĂ©ration envisageables.

De son cĂŽtĂ©, Salomon Mwendanga Musengo, l’ambassadeur de la RĂ©publique DĂ©mocratique de Congo en Tunisie, a insistĂ© sur l’importance accordĂ©e au secteur numĂ©rique dans son pays, exprimant le souhait de tirer parti de l’expĂ©rience tunisienne, en particulier pour le dĂ©veloppement des pĂŽles technologiques et des infrastructures de communication, et a assurĂ© que tous les efforts seraient dĂ©ployĂ©s pour intensifier la coopĂ©ration tuniso-congolaise et gĂ©nĂ©rer de nouvelles opportunitĂ©s d’investissement.

 

L’article La coopĂ©ration numĂ©rique au cƓur de la rencontre entre le ministĂšre tunisien et la dĂ©lĂ©gation de la RDC est apparu en premier sur Managers.

La Tunisie parmi 35 pays à la 29e édition du Salon du livre de Mascate

La Tunisie participe Ă  la 29e Ă©dition du Salon international du livre de Mascate, qui se tient du 24  avril  au 3  mai  2025 au Sultanat d’Oman, sur le thĂšme « DiversitĂ© culturelle, richesse des civilisations ». Elle y dispose de trois espaces portĂ©s par Latrach Éditions (ouvrages acadĂ©miques et universitaires), Masciliana Éditions (traduction, pensĂ©e et crĂ©ation) et l’Union des Éditeurs Tunisiens.

Cette Ă©dition, qui coĂŻncide avec la 39e Foire internationale du livre de Tunis, accueille 35 pays et met l’Arabie Saoudite Ă  l’honneur. Les organisateurs annoncent la participation de 674 maisons d’édition et l’exposition de plus de 680 000 titres, dont prĂšs de 50 000 nouveautĂ©s (2024‑2025). Les livres en arabe dominent avec 467 000 rĂ©fĂ©rences, tandis que les publications en langues Ă©trangĂšres dĂ©passent 213 000. Le salon propose Ă©galement 211 rencontres et 155 animations destinĂ©es aux enfants.

Créé en 1992, le Salon de Mascate est devenu un rendez-vous culturel incontournable de la rĂ©gion, favorisant le dialogue entre auteurs, Ă©diteurs et lecteurs autour de la transmission des savoirs, de la coexistence et de l’ouverture sur le monde.

L’article La Tunisie parmi 35 pays Ă  la 29e Ă©dition du Salon du livre de Mascate est apparu en premier sur Managers.

Gallup : l’engagement des employĂ©s en chute libre

Le rapport State of the Global Workplace: 2025 dresse un constat prĂ©occupant sur l’engagement des employĂ©s Ă  l’échelle mondiale. En 2024, seulement 21 % des salariĂ©s se disent engagĂ©s dans leur travail, contre 23 % l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Il s’agit de la deuxiĂšme baisse enregistrĂ©e en douze ans, un signal d’alarme pour les organisations dĂ©jĂ  confrontĂ©es Ă  une baisse de productivitĂ©.

Cette dĂ©saffection n’épargne pas les managers. Leur niveau d’engagement a reculĂ© de 30 % Ă  27 % en 2024. Une Ă©volution prĂ©occupante, car le dĂ©sengagement managĂ©rial entraĂźne souvent celui des Ă©quipes qu’ils encadrent.

En parallĂšle, le bien-ĂȘtre global des salariĂ©s reste faible : seuls 33 % d’entre eux dĂ©clarent « s’épanouir dans leur vie ». Ce taux, qui avait atteint 35 % en 2022, est en dĂ©clin depuis.

Selon le rapport, ce manque d’engagement aurait coĂ»tĂ© 438 milliards de dollars Ă  l’économie mondiale en 2024. À l’inverse, un engagement total des employĂ©s Ă  l’échelle planĂ©taire permettrait de gĂ©nĂ©rer 9 600 milliards de dollars supplĂ©mentaires de productivitĂ©, soit une hausse de 9 % du PIB mondial.

 

L’article Gallup : l’engagement des employĂ©s en chute libre est apparu en premier sur Managers.

La Bourse de Tunis et le RNE signent une convention pour dynamiser la place financiĂšre

Dans le cadre de leur engagement commun en faveur de la promotion et du dĂ©veloppement de l’économie nationale, le Registre National des Entreprises (RNE), reprĂ©sentĂ© par son directeur gĂ©nĂ©ral, Mohamed Adel Chouari, et la Bourse de Tunis, reprĂ©sentĂ©e par son Bilel Sahnoun, ont conclu une convention de partenariat.

Cet accord vise Ă  renforcer les Ă©changes d’informations et de donnĂ©es relatives aux entreprises, tout en explorant des axes de collaboration pour encourager celles-ci Ă  respecter leurs obligations vis-Ă -vis du RNE et de la Bourse de Tunis, notamment en matiĂšre d’enregistrement obligatoire des transferts d’actions.

Par ailleurs, la convention prévoit la sensibilisation et la formation des collaborateurs des deux institutions aux rÚgles et aux mécanismes propres à chacune, afin de renforcer leurs compétences respectives.

Enfin, ce partenariat ouvre de nouvelles perspectives de coopération entre le RNE et la Bourse de Tunis, en vue de soutenir le développement de la place financiÚre tunisienne.

L’article La Bourse de Tunis et le RNE signent une convention pour dynamiser la place financiùre est apparu en premier sur Managers.

Le Mastercard Foundation Africa Growth Fund s’associe à Capital Connect Africa pour stimuler l’investissement dans les PME africaines

Le Mastercard Foundation Africa Growth Fund a conclu un partenariat avec Capital Connect Africa (CCA) afin de renforcer l’investissement dans les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), qui peinent Ă  obtenir les financements nĂ©cessaires pour croĂźtre, se dĂ©velopper et crĂ©er des emplois en Afrique.

Ce nouveau fonds de fonds soutient des vĂ©hicules d’investissement africains orientĂ©s vers des PME en phase de dĂ©marrage ou de croissance. Il est entiĂšrement financĂ© par la Mastercard Foundation et pilotĂ© par les Mennonite Economic Development Associates (MEDA), en collaboration avec CCA, pour accompagner les MPME Ă  travers tout le continent.

Le fonds aide les MPME Ă  renforcer leur prĂ©paration Ă  l’investissement, en leur proposant des outils de levĂ©e de fonds, des services de conseil adaptĂ©s et des mises en relation stratĂ©giques avec des investisseurs potentiels. Il s’agit d’une Ă©tape clĂ© pour surmonter les obstacles structurels Ă  l’accĂšs au capital, en particulier pour les entreprises dirigĂ©es par des femmes et des jeunes.

La plateforme Capital Connect propose une suite complĂšte d’outils et de services pour les MPME, comprenant une base de donnĂ©es d’investisseurs, des outils d’investissement, des relectures de plans d’affaires, un accompagnement stratĂ©gique, ainsi qu’un systĂšme de mise en relation avec des opportunitĂ©s de financement ciblĂ©es.

Grùce à ce partenariat, le fonds orientera les PME de son portefeuille vers la plateforme Capital Connect, élargissant considérablement la portée de celle-ci et renforçant sa capacité à soutenir des entreprises à fort potentiel.

L’article Le Mastercard Foundation Africa Growth Fund s’associe à Capital Connect Africa pour stimuler l’investissement dans les PME africaines est apparu en premier sur Managers.

Irrigation durable : 11 500 hectares concernĂ©s d’ici fin 2025

D’ici fin 2025, 11 500 hectares de terres agricoles, principalement des oliveraies, seront irriguĂ©s Ă  partir d’eaux traitĂ©es, a annoncĂ© mardi Ă  Tunis le ministre de l’Environnement, Habib Abid.

S’exprimant en marge de la 31e session du Conseil d’administration et de la 7e session de l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS), le ministre a prĂ©cisĂ© que cette initiative est menĂ©e en coordination avec le ministĂšre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la PĂȘche. Le projet concernera les gouvernorats de Ben Arous, Zaghouan, Sousse et Sfax.

Il a indiquĂ© que seules 26 % des 160 stations d’épuration existantes en Tunisie sont actuellement opĂ©rationnelles. Il a Ă©galement rappelĂ© que son dĂ©partement s’attelle Ă  suivre de prĂšs les enjeux liĂ©s Ă  la dĂ©sertification et Ă  la sĂ©cheresse, ajoutant que « la Tunisie est parvenue Ă  surmonter une sĂ©cheresse ayant durĂ© sept ans, mais demeure exposĂ©e Ă  ce risque, accentuĂ© par les effets du changement climatique ».

Dans ce contexte, il a insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de rationaliser la consommation d’eau, soulignant l’orientation du pays vers l’irrigation agricole par eaux usĂ©es traitĂ©es, ainsi que le recours Ă  la tĂ©lĂ©dĂ©tection pour mieux cerner les spĂ©cificitĂ©s agricoles de chaque rĂ©gion et dĂ©velopper plusieurs filiĂšres.

Enfin, Habib Abid a saluĂ© le rĂŽle de l’OSS dans la lutte contre la dĂ©sertification, un flĂ©au majeur pour le continent africain, ainsi que dans la prĂ©servation de la biodiversitĂ© et la valorisation des produits naturels.

 

L’article Irrigation durable : 11 500 hectares concernĂ©s d’ici fin 2025 est apparu en premier sur Managers.

Le FMI alerte sur une nouvelle Úre économique marquée par les tensions commerciales

Lors d’une confĂ©rence de presse tenue ce mardi 22 avril, le Fonds monĂ©taire international (FMI) a prĂ©sentĂ© ses derniĂšres prĂ©visions de croissance et son Ă©valuation de l’économie mondiale, en soulignant un basculement vers une nouvelle Ăšre Ă©conomique. Pierre-Olivier Gourinchas, chef Ă©conomiste et directeur du dĂ©partement des recherches du FMI, a dressĂ© un constat prĂ©occupant : depuis fin janvier, l’économie mondiale fait face Ă  une sĂ©rie de chocs commerciaux et d’incertitudes grandissantes.

Selon le FMI, les annonces successives de hausses tarifaires, culminant le 2 avril avec des droits de douane quasi universels imposĂ©s par les États-Unis et les rĂ©ponses de certains partenaires commerciaux, bouleversent les Ă©changes mondiaux. Le taux effectif de droits de douane des États-Unis a dĂ©sormais dĂ©passĂ© les niveaux atteints il y a plus d’un siĂšcle, tandis que les droits imposĂ©s sur les exportations amĂ©ricaines ont eux aussi grimpĂ©.

MalgrĂ© une croissance mondiale qui reste au-dessus des seuils de rĂ©cession, toutes les rĂ©gions subissent des impacts nĂ©gatifs cette annĂ©e et continueront Ă  en ressentir les effets l’an prochain. Le processus de dĂ©sinflation se poursuit, mais ralentit : l’inflation mondiale est ainsi lĂ©gĂšrement rĂ©visĂ©e Ă  la hausse de 0,1 % pour 2024 et 2025.

La croissance du commerce mondial devrait quant Ă  elle ĂȘtre fortement pĂ©nalisĂ©e. D’aprĂšs les projections du FMI, elle passerait de 3,8 % en 2023 Ă  seulement 1,7 % cette annĂ©e. Les effets des tarifs douaniers varieront selon les pays. Aux États-Unis, ces mesures reprĂ©sentent un choc d’offre qui affaiblit durablement la productivitĂ© et la production, tout en accentuant temporairement les pressions inflationnistes. La croissance amĂ©ricaine est revue Ă  la baisse de 0,9 point, Ă  1,8 %, dont 0,4 point directement imputable aux tarifs. L’inflation, elle, est rĂ©visĂ©e Ă  la hausse.

Pour les partenaires commerciaux des États-Unis, les droits de douane agissent comme un choc de demande externe, ralentissant l’activitĂ© et comprimant les prix, mĂȘme si certains pays pourraient profiter de redirections des flux commerciaux.

L’article Le FMI alerte sur une nouvelle Ăšre Ă©conomique marquĂ©e par les tensions commerciales est apparu en premier sur Managers.

Washington accueille la Tunisie pour les réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale

La Tunisie participe aux rĂ©unions de printemps 2025 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monĂ©taire international , qui se tiennent du 21 au 26 avril Ă  Washington, a indiquĂ©, mardi, le ministĂšre de l’Économie et de la Planification.

La dĂ©lĂ©gation tunisienne est conduite par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, accompagnĂ© du gouverneur de la Banque centrale de Tunisie , Fethi Zouhair Nouri.

Au cours de cette rencontre annuelle, les reprĂ©sentants tunisiens tiendront des rĂ©unions avec des hauts responsables d’institutions financiĂšres rĂ©gionales et internationales, ainsi qu’avec leurs homologues.

Ces rĂ©unions rassemblent Ă  Washington des dirigeants d’organisations internationales, des hauts responsables gouvernementaux, des reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile et des acteurs de l’innovation issus de divers horizons, prĂ©cise le portail de la Banque mondiale.

Parmi les moments forts figurent la rĂ©union du ComitĂ© du dĂ©veloppement, celle du ComitĂ© monĂ©taire et financier international, ainsi que plusieurs forums portant sur le dĂ©veloppement international, l’économie mondiale et les marchĂ©s financiers, selon l’IFC.

L’article Washington accueille la Tunisie pour les rĂ©unions de printemps du FMI et de la Banque mondiale est apparu en premier sur Managers.

Aujourd’hui, on cĂ©lĂšbre la terre

CĂ©lĂ©brĂ©e chaque annĂ©e le 22 avril, la journĂ©e de la terre mobilise des millions de personnes dans le monde entier pour sensibiliser aux enjeux environnementaux et promouvoir la protection de la planĂšte. Créée en 1970, cette initiative est aujourd’hui l’un des Ă©vĂ©nements environnementaux les plus suivis, coordonnĂ© Ă  l’échelle mondiale par l’organisation earthday.org, avec la participation d’environ un milliard de personnes dans plus de 193 pays .

L’idĂ©e de cette journĂ©e a Ă©mergĂ© aprĂšs une marĂ©e noire dĂ©vastatrice Ă  Santa Barbara, en Californie, en 1969. ProfondĂ©ment marquĂ©, l’ancien sĂ©nateur amĂ©ricain Gaylord Nelson dĂ©cide de lancer une mobilisation nationale pour sensibiliser Ă  la pollution et aux menaces qui pĂšsent sur l’environnement. Il choisit la date du 22 avril, stratĂ©giquement situĂ©e entre les vacances de printemps et les examens finaux dans les universitĂ©s, afin de toucher un maximum d’étudiants. Le 22 avril 1970 marque donc la premiĂšre Ă©dition de la journĂ©e de la terre.

Avec la prise de conscience croissante autour du changement climatique, l’importance de la journĂ©e de la terre ne cesse de grandir. Selon une enquĂȘte menĂ©e en 2023 par le Pew Research Center, 74 % des AmĂ©ricains estiment que leur pays doit s’engager activement dans l’action climatique internationale, tandis que 72 % dĂ©clarent se sentir concernĂ©s, au moins en partie, par le dĂ©rĂšglement climatique.

Une autre enquĂȘte reprĂ©sentative, menĂ©e par l’UniversitĂ© de Stanford, rĂ©vĂšle que 82 % des AmĂ©ricains reconnaissent que les activitĂ©s humaines sont au moins partiellement responsables du rĂ©chauffement.

À l’échelle mondiale, les perceptions Ă©voluent rapidement. D’aprĂšs l’enquĂȘte annuelle du Pew Research Center, 54 % des sondĂ©s considĂ©raient en 2014 le changement climatique comme une menace majeure. Ce chiffre est passĂ© Ă  62 % en 2017, puis Ă  71 % en 2022, illustrant une progression notable de la prise de conscience mondiale.

Selon le Peoples’ Climate Vote du PNUD, 56 % des personnes interrogĂ©es dans le monde affirment penser rĂ©guliĂšrement au changement climatique – chaque jour ou chaque semaine. Plus de la moitiĂ© disent ĂȘtre plus inquiĂštes qu’il y a un an face Ă  l’évolution de la situation climatique.

 

L’article Aujourd’hui, on cĂ©lĂšbre la terre est apparu en premier sur Managers.

Attijari bank augmente son capital social Ă  250 Mtnd

Attijari bank Tunisie annonce l’augmentation de son capital social, dĂ©cidĂ©e lors de son AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale Extraordinaire du 4 avril 2025. Le capital passe ainsi de 210 Ă  250 Mtnd, grĂące Ă  l’incorporation de 40 Mtnd issus des rĂ©serves ordinaires.

Cette opĂ©ration se concrĂ©tisera par l’émission de 8 millions d’actions nouvelles, d’une valeur nominale de 5 dinars chacune. Ces actions seront attribuĂ©es gratuitement aux actionnaires actuels, Ă  raison de 4 actions nouvelles pour 21 anciennes.

Les nouvelles actions seront assimilées aux anciennes et porteront jouissance en dividendes à partir du 1e janvier 2025.

L’article Attijari bank augmente son capital social à 250 Mtnd est apparu en premier sur Managers.

Visa investit dans deux fintechs maghrébines issues de son accélérateur africain

Visa, leader mondial des paiements numériques, a annoncé de nouveaux investissements stratégiques ainsi que des partenariats commerciaux avec deux startups : Konnect (Tunisie) et PayTic (Maroc), toutes deux ayant pris part à son programme « Africa Fintech Accelerator », lancé en 2023.

Ce programme, qui s’inscrit dans l’engagement de Visa Ă  investir un milliard de dollars dans l’inclusion financiĂšre en Afrique d’ici 2027, a dĂ©jĂ  accompagnĂ© 64 startups Ă  travers trois cohortes. AprĂšs un premier financement octroyĂ© Ă  quatre entreprises issues de la premiĂšre Ă©dition, Visa poursuit sa stratĂ©gie d’appui Ă  l’innovation sur le continent.

Konnect permet de rĂ©aliser des paiements instantanĂ©s Ă  travers des liens envoyĂ©s par SMS, e-mail ou messagerie, tandis que PayTic propose des solutions d’automatisation des opĂ©rations back-office et de gestion des risques dans les paiements digitaux. Ces investissements visent Ă  soutenir leur dĂ©veloppement et Ă  renforcer la transformation numĂ©rique des services financiers en Afrique.

L’article Visa investit dans deux fintechs maghrĂ©bines issues de son accĂ©lĂ©rateur africain est apparu en premier sur Managers.

La CESAO met en garde contre les effets des taxes américaines sur les pays arabes

La Commission Ă©conomique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO) a rĂ©cemment publiĂ© une note d’information alertant sur les effets potentiels des nouvelles taxes douaniĂšres instaurĂ©es par les États-Unis. Celles-ci pourraient impacter les exportations de plusieurs pays arabes, dont la Tunisie, vers le marchĂ© amĂ©ricain, Ă©valuĂ©es Ă  22 milliards de dollars.

Selon la CESAO, des pays Ă  revenu intermĂ©diaire comme la Tunisie, l’Égypte, le Maroc et la Jordanie devront faire face Ă  des charges financiĂšres accrues. Cette situation s’explique par la hausse des recettes des obligations souveraines, reflet d’une instabilitĂ© financiĂšre mondiale exacerbĂ©e par les politiques tarifaires amĂ©ricaines.

L’institution estime que ces pays devront Ă©galement s’acquitter d’intĂ©rĂȘts supplĂ©mentaires avoisinant les 114 millions de dollars en 2025, ce qui pourrait affecter leurs budgets sociaux et leurs investissements en matiĂšre de dĂ©veloppement.

La note anticipe Ă©galement un ralentissement de la demande mondiale, notamment en provenance de partenaires commerciaux majeurs tels que la Chine et l’Union europĂ©enne. Elle rappelle, Ă  cet Ă©gard, que 72 % des exportations tunisiennes et 68 % de celles du Maroc sont destinĂ©es Ă  l’UE, exposant ainsi la rĂ©gion Ă  un risque accru de dĂ©stabilisation Ă©conomique.

Pour faire face Ă  ces dĂ©fis, la CESAO recommande d’accĂ©lĂ©rer l’intĂ©gration Ă©conomique rĂ©gionale par la mise en Ɠuvre rapide de la zone arabe de libre-Ă©change, le lancement de l’union douaniĂšre du Golfe, ainsi que l’activation de l’accord d’Agadir, afin de stimuler le commerce intra-arabe.

Elle propose Ă©galement d’ouvrir de nouvelles nĂ©gociations avec les États-Unis pour parvenir Ă  des conditions commerciales plus avantageuses.

Enfin, la Commission insiste sur la nécessité de repositionner les pays arabes dans les chaßnes de valeur mondiales en investissant dans les infrastructures logistiques, en améliorant les cadres réglementaires et en renforçant la flexibilité du marché du travail. Ces efforts visent à attirer de nouveaux investissements, dynamiser les échanges commerciaux et renforcer la résilience des économies de la région.

« La région arabe se trouve à un carrefour économique crucial. Malgré les défis immédiats posés par ces taxes, ces derniÚres offrent une opportunité sans précédent de construire des économies plus résilientes, diversifiées et intégrées à travers le monde arabe » a déclaré la secrétaire exécutive de la CESAO, Rola Dashti.

 
 
 

L’article La CESAO met en garde contre les effets des taxes amĂ©ricaines sur les pays arabes est apparu en premier sur Managers.

La Tunisie classée 8e en Afrique en matiÚre de résilience face aux crimes économiques

Le cabinet de conseil en gestion des risques Secretariat International alerte sur la progression de la criminalitĂ© Ă©conomique et financiĂšre Ă  l’échelle mondiale. Celle-ci devient de plus en plus sophistiquĂ©e, portĂ©e par la fragmentation croissante de l’économie mondiale et l’accĂ©lĂ©ration des avancĂ©es technologiques.

Dans sa premiĂšre Ă©dition du «Secretariat Economic Crime Index», publiĂ©e le jeudi 10 avril 2025, le cabinet Ă©value les risques dans 177 pays Ă  travers un score allant de 0 (risque minimal) Ă  4 (risque maximal). Cette Ă©valuation repose sur une analyse croisĂ©e entre l’expertise du cabinet et trois indices de rĂ©fĂ©rence internationale: le Basel AML Index (lutte contre le blanchiment), l’indice de perception de la corruption de Transparency International, et l’indice de criminalitĂ© organisĂ©e de la GI-TOC.

En Afrique, les pays les plus résilients face à la criminalité économique et financiÚre en 2025 sont les Seychelles (22e au rang mondial, score de 1,61), suivies du Botswana (37e, 1,75), de Maurice (48e, 1,87), du Cap-Vert (51e, 1,9), de la Namibie (52e, 1,95), de Sao Tomé-et-Principe (59e, 1,99), du Rwanda (61e, 2,00), de la Tunisie (68e, 2,05), du Maroc (75e, 2,14) et de la Zambie (81e, 2,19).

Au niveau mondial, les pays les mieux classĂ©s sont la Finlande, avec le score le plus bas (1,01), suivie du Danemark, de l’Islande, du Luxembourg et de l’Estonie.

 

L’article La Tunisie classĂ©e 8e en Afrique en matiĂšre de rĂ©silience face aux crimes Ă©conomiques est apparu en premier sur Managers.

Le taux de remplissage des barrages peine Ă  atteindre 40%

Le taux de remplissage global des barrages en Tunisie s’élevait Ă  36,5% au 16 avril 2025, selon les derniĂšres donnĂ©es publiĂ©es par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri).

Les rĂ©serves en eau ont atteint 865,3 millions de mÂł, marquant une hausse de 4% par rapport aux 832,8 millions de mÂł enregistrĂ©s Ă  la mĂȘme date en 2024.

Les barrages situĂ©s dans le nord du pays prĂ©sentent un taux de remplissage Ă©levĂ©, atteignant 90,4%, avec un volume d’eau estimĂ© Ă  782,4 millions de mÂł. En revanche, les barrages du Centre et du Cap-Bon affichent des taux nettement plus faibles, de 7,3% (62,8 millions de mÂł) et 2,3% (20,1 millions de mÂł) respectivement.

Entre le 1er septembre 2024 et le 16 avril 2025, les apports en eau se sont élevés à 737,8 millions de m³, soit une baisse de 53,2% par rapport à la moyenne saisonniÚre de 1 576,5 millions de m³.

Pour la seule journée du 16 avril, la répartition des apports est dominée par les barrages du Nord (89,7%), suivis de ceux du Centre (7,3%) et du Cap-Bon (3%).

 

L’article Le taux de remplissage des barrages peine à atteindre 40% est apparu en premier sur Managers.

La MSB intĂšgre le cercle des 6% de business schools accrĂ©ditĂ©es Ă  l’international

La Mediterranean School of Business (MSB) vient de franchir une étape importante en devenant la premiÚre école de commerce en Tunisie et en Afrique francophone à obtenir les trois accréditations internationales AMBA, EFMD et AACSB.

Cette triple accrĂ©ditation, rarement dĂ©cernĂ©e, place l’établissement parmi les 6% des business schools reconnues Ă  l’échelle mondiale.

Ce rĂ©sultat reflĂšte un engagement de long terme en faveur d’une formation alignĂ©e sur les standards internationaux. Il repose sur la mobilisation de l’ensemble de la communautĂ© acadĂ©mique: corps professoral, personnel administratif et Ă©tudiants. L’objectif reste clair: permettre aux jeunes talents de la rĂ©gion d’accĂ©der Ă  une Ă©ducation de niveau international sans quitter leur pays.

L’article La MSB intĂšgre le cercle des 6% de business schools accrĂ©ditĂ©es Ă  l’international est apparu en premier sur Managers.

LĂ©gĂšre hausse de la production nationale d’électricitĂ©, selon l’Observatoire national de l’énergie et des mines

D’aprĂšs le dernier rapport de l’Observatoire national de l’énergie et des mines, la production nationale d’électricitĂ© a atteint 2798 GWh Ă  fin fĂ©vrier 2025 (y compris l’autoproduction renouvelable), enregistrant une hausse de 2 % par rapport aux 2733 GWh enregistrĂ©s un an plus tĂŽt.

En revanche, la production destinĂ©e au marchĂ© local a connu une baisse de 2 %. Pour rĂ©pondre Ă  la demande, les achats d’électricitĂ©, principalement en provenance d’AlgĂ©rie, ont couvert 14 % des besoins du marchĂ© local Ă  fin fĂ©vrier 2025.

La STEG demeure le principal acteur du secteur, assurant 96 % de la production nationale. L’électricitĂ© produite Ă  partir de gaz naturel a enregistrĂ© une hausse de 2 %, tandis que la part des Ă©nergies renouvelables s’est Ă©tablie Ă  4,9 %.

Par ailleurs, environ 300 MW de toitures photovoltaïques ont été installés dans le secteur résidentiel à fin 2024. Dans les secteurs industriel, tertiaire et agricole, 323 autorisations ont été accordées pour une puissance totale de 125 MW.

Enfin, la pointe électrique a atteint 3211 MW à fin février 2025, contre 3073 MW un an plus tÎt, soit une hausse de 5 %.

L’article LĂ©gĂšre hausse de la production nationale d’électricitĂ©, selon l’Observatoire national de l’énergie et des mines est apparu en premier sur Managers.

La production nationale de pétrole brut a enregistré une baisse de 9 % à fin février 2025

Selon le dernier rapport de l’Observatoire national de l’énergie et des mines, la production nationale de pĂ©trole brut a atteint 219 kt Ă  fin fĂ©vrier 2025, enregistrant une baisse de 9 % par rapport Ă  la mĂȘme pĂ©riode en 2024. Cette diminution concerne la majoritĂ© des principaux champs pĂ©troliers du pays, notamment Ouedzar (63 %), Miskar (33 %), Nawara (23 %), Ashtart (14 %), El Hajeb/Guebiba (13 %) et Gherib (16 %).

Seuls quelques champs ont affichĂ© une progression, Ă  l’instar d’El Borma (17 %), M.L.D (31 %) et Adam (4 %). Par ailleurs, la concession Hasdrubal a repris sa production le 10 dĂ©cembre 2024, aprĂšs un arrĂȘt temporaire pour maintenance entamĂ© le 27 novembre.

La production journaliĂšre moyenne de pĂ©trole s’est ainsi repliĂ©e Ă  27,6 mille barils/jour contre 32,7 mille barils/jour un an plus tĂŽt.

CĂŽtĂ© gaz naturel, les ressources combinant la production nationale et le forfait fiscal se sont Ă©tablies Ă  304 ktep, soit une baisse de 6 % en glissement annuel. La production de gaz commercial sec a, elle, diminuĂ© de 4 %, tandis que la redevance sur le transit du gaz algĂ©rien a chutĂ© de 11 %, pour s’établir Ă  113 ktep Ă  fin fĂ©vrier 2025.

 

L’article La production nationale de pĂ©trole brut a enregistrĂ© une baisse de 9 % Ă  fin fĂ©vrier 2025 est apparu en premier sur Managers.

ChatGPT: quand la politesse pÚse sur la facture énergétique

Selon Sam Altman, PDG d’OpenAI, les formules de politesse adressĂ©es Ă  ChatGPT pourraient coĂ»ter «des dizaines de millions de dollars» en Ă©lectricitĂ©. DerriĂšre cette remarque ironique, se pose une question sĂ©rieuse: nos Ă©changes avec les IA sont-ils neutres pour la planĂšte?

Chaque rĂ©ponse gĂ©nĂ©rĂ©e consomme en moyenne 0,3 watt-heure, un chiffre faible en soi, mais qui devient consĂ©quent multipliĂ© par des millions de requĂȘtes. En 2023, une Ă©tude estimait qu’une seule rĂ©ponse Ă©quivaut Ă  la consommation d’une bouteille d’eau pour refroidir les serveurs, et jusqu’à trois bouteilles pour 100 mots gĂ©nĂ©rĂ©s par GPT-4.

Faut-il alors renoncer Ă  la politesse avec les bots? Pas nĂ©cessairement. Certains utilisateurs rapportent que des requĂȘtes respectueuses produisent de meilleures rĂ©ponses. La courtoisie pourrait mĂȘme devenir une variable influençant les rĂ©sultats.

Pour OpenAI, le coĂ»t reste justifiĂ©. Mais Ă  l’échelle planĂ©taire, ces petits mots accumulĂ©s dessinent une nouvelle rĂ©alitĂ© Ă©nergĂ©tique Ă  ne pas ignorer.

L’article ChatGPT: quand la politesse pĂšse sur la facture Ă©nergĂ©tique est apparu en premier sur Managers.

La Tunisie à l’Expo 2025 Osaka: une affluence remarquable avec plus de 9 000 visiteurs

Depuis la premiĂšre semaine de son ouverture, le pavillon de la Tunisie Ă  l’Exposition universelle «Expo 2025 Osaka» a dĂ©jĂ  accueilli plus de neuf mille visiteurs, a annoncĂ© Mourad Ben Hassine, commissaire gĂ©nĂ©ral de la Tunisie pour cet Ă©vĂ©nement mondial, qui se dĂ©roule du 13 avril au 13 octobre 2025.

Selon lui, le pavillon tunisien suscite un vif intĂ©rĂȘt grĂące Ă  son design original, conçu en collaboration entre l’Ordre des architectes de Tunisie et une architecte tunisienne installĂ©e au Japon. Cet attrait tĂ©moigne du succĂšs de la participation tunisienne Ă  cette manifestation internationale.

Il a soulignĂ© que cette prĂ©sence, qui s’étend sur six mois, constitue une opportunitĂ© pour consolider les relations bilatĂ©rales entre la Tunisie et le Japon, dĂ©velopper des partenariats Ă©conomiques avec de nombreux pays, et valoriser la Tunisie en tant que destination touristique.

PlacĂ©e sous le thĂšme «Concevoir la sociĂ©tĂ© du futur, imaginer notre vie de demain», l’Expo 2025 Osaka prĂ©voit d’accueillir plus de 30 millions de visiteurs. L’évĂ©nement se tient sur l’üle artificielle de Yumeshima, dans la rĂ©gion du Kansai au Japon, avec la participation de 159 pays.

L’inauguration du pavillon tunisien a eu lieu le dimanche 13 avril 2025, en prĂ©sence de l’ambassadeur de Tunisie au Japon, Ahmed Chafra. Le public peut Ă©galement le dĂ©couvrir Ă  distance, grĂące Ă  un dispositif installĂ© au siĂšge du Centre de promotion des exportations (Cepex), qui permet une visite virtuelle via un tĂ©lescope interactif.

Dans le cadre de cette exposition, plusieurs temps forts sont prĂ©vus pour mettre en valeur la Tunisie: une journĂ©e nationale le 13 aoĂ»t Ă  l’occasion de la JournĂ©e de la Femme tunisienne, une journĂ©e Ă©conomique le 18 aoĂ»t axĂ©e sur les atouts Ă©conomiques du pays, ainsi qu’une semaine culturelle et une semaine touristique programmĂ©es en septembre.

La participation tunisienne s’inscrit dans une tradition historique de prĂ©sence sur les grandes scĂšnes internationales, depuis l’Exposition de Londres en 1851 jusqu’à l’Expo DubaĂŻ 2020.

L’article La Tunisie à l’Expo 2025 Osaka: une affluence remarquable avec plus de 9 000 visiteurs est apparu en premier sur Managers.

❌