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BH Bank enregistre un bénéfice net de 108,5 millions de dinars en 2024

Le Conseil d’Administration de BH BANK, lors de sa réunion du 27 mars 2025, a approuvé les états financiers de l’exercice 2024, lesquels ont été soumis aux Commissaires aux Comptes pour examen. Ces états financiers montrent un résultat bénéficiaire de 108 511 301,583 dinars. Le Conseil a également examiné le rapport d’activité de la société pour l’année écoulée. 

 En conséquence, BH BANK a décidé de convoquer une Assemblée Générale Ordinaire qui se tiendra le samedi 26 avril 2025 à 10h, au siège social situé au 18, Avenue Mohamed V, Tunis. Lors de cette Assemblée, le Conseil proposera la distribution d’un dividende de 0,800 dinar par action, sous réserve de l’accord préalable de la Banque Centrale de Tunisie

 

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L’huile d’olive extra vierge tunisienne brille de mille feux au concours « Mario Solinas »

Au concours de la qualité du conseil oléicole international (COI) 2025, « Mario Solinas – Hémisphère Nord », la Tunisie s’est hissée à la deuxième place, selon l’Office national de l’huile (ONH).

Sur un total de 11 pays participants au prix à la qualité de ce conseil, trois pays ont gagné le premier prix (médaille d’or) , dont la Tunisie. Lancé en décembre 2024.

Le concours de cette année a compté 130 huiles d’olive vierges extra provenant d’Algérie, de Chine, de Croatie, de France, de Grèce, d’Italie, du Maroc, du Portugal, d’Espagne, de Tunisie et de Turquie, selon le Conseil oléicole international.

Ces huiles ont été présentées par des producteurs individuels, des associations et des entreprises de conditionnement, et ont été classées conformément au règlement du concours, dans les catégories suivantes : fruité vert intense, fruité vert moyen, fruité vert léger, fruité mûr, petits producteurs et conditionneurs.

Composé de neuf dégustateurs experts, un jury international a évalué les huiles participantes et noté les sensations olfactives, gustatives et rétronasales, ainsi que l’harmonie, la complexité et la persistance de chacune d’entre elles.

Les huiles espagnoles se sont distinguées lors de cette édition en remportant 25 des 32 prix. Elles sont suivies par la Tunisie, l’Italie, le Portugal et la Croatie.

A noter que la cérémonie de remise des prix aura lieu le 22 mai prochain au siège du COI à Madrid en Espagne.

Le Prix Mario Solinas a été créé en 1993 en hommage au Dr Mario Solinas, chimiste italien et membre éminent du groupe d’experts du COI, dont les travaux ont été déterminants pour la mise au point de la première méthode scientifique d’évaluation organoleptique de l’huile d’olive vierge.

Le Concours « Mario Solinas » vise à sélectionner parmi les huiles d’olive vierges extra participantes, celles présentant les meilleures caractéristiques organoleptiques. Il a pour objectif de pousser les oléiculteurs, les entreprises et les conditionneurs à produire de l’huile d’olive extra vierge de la meilleure qualité et d’encourager les consommateurs à reconnaître les caractéristiques organoleptiques.

Depuis 2024, le Prix Mario Solinas est également organisé dans l’hémisphère Sud, afin de mieux représenter la diversité des origines, des variétés, des climats et des connaissances qui enrichissent l’univers de l’huile d’olive vierge extra.

Avec TAP

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Approbation de trois projets d’hébergement touristique pour 565 MDT d’investissement 

Trois approbations préalables viennent d’être accordées à des investisseurs pour la réalisation de projets d’hébergement touristique. L’annonce a été faite par l’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA) dans un communiqué publié mercredi 9 avril 2025.

Ladite instance précise que ces projets, qui mobiliseront des investissements d’environ 565 millions de dinars (MDT), permettront la création de 1 100 emplois directs.

Les approbations ont été accordées, lors de la troisième session de la Commission d’approbation et d’octroi des autorisations (relevant de la TIA), tenue mardi 8 avril 2025.

A rappeler qu’en 2024, les investissements déclarés à l’échelle nationale ont atteint 5,614 milliards de dinars. Ce qui représente une augmentation de 7,1 % par rapport à l’année 2023.

Avec TAP

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La Commission technique spécialisée de la fonction publique de l’UA se réunit à Tunis

La Tunisie abrite, les 10 et 11 avril 2025, la réunion du Bureau de la Commission technique spécialisée de la fonction publique, des collectivités locales, du développement urbain et de la décentralisation, avec la participation des représentants des pays membres du Bureau.

Organisée sous la supervision de la présidence du gouvernement, cette réunion s’inscrit dans le cadre du suivi des travaux de la cinquième session ordinaire de la Commission technique spécialisée de l’Union africaine de la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation, qui s’est tenue à Tunis, du 16 au 20 décembre 2024.

Elle sera l’occasion de faire le point sur les recommandations contenues dans la « Déclaration de Tunis » en matière de fonction publique, de prestation de services à l’aide des technologies de l’information, de soutien à la décentralisation, à la gouvernance locale et à la lutte contre la corruption.

La réunion permettra également de réaffirmer l’engagement de la Tunisie à poursuivre la coopération et la coordination avec les pays africains, en vue de relever les défis auxquels le continent est confronté à différents niveaux, tant au niveau bilatéral que multipartite, en particulier au sein de l’Union africaine.

Le choix de la Tunisie pour abriter cet événement intervient en signe de reconnaissance envers ses efforts dans l’organisation des échéances africaines accueillies récemment, ainsi que de son engagement constant en faveur du renforcement de l’action africaine commune.

Avec TAP

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Réunion interrégionale sur la migration irrégulière : la « Déclaration du Caire »

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a conduit la délégation tunisienne au Caire, en Egypte, pour prendre part aux travaux de la 2ème réunion ministérielle du « Processus de Khartoum » – Initiative sur la route migratoire UE-Corne de l’Afrique.

Ce processus, qui constitue un cadre interrégional de dialogue et de coopération autour de questions relatives à la migration, réunit des pays d’Afrique et de l’Union européenne, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

Dans son intervention, M. Ben Ayed a mis l’accent sur les fondements de l’approche tunisienne relative au traitement de la migration irrégulière, qui s’attaque aux causes profondes de ce phénomène et ne se limite pas aux solutions sécuritaires.

Davantage d’efforts

Il a appelé, dans ce sens, à renforcer la coopération entre les États et les organisations membres de ce processus en vue de faire face aux défis liés aux flux migratoires irréguliers.

Dans ce contexte, il a souligné la nécessité de conjuguer les efforts de toutes les parties prenantes en vue de faire réussir le programme de retour volontaire des migrants vers leurs pays d’origine, dans le cadre du respect des droits de l’homme et les engagements internationaux en matière de migration.

Attention à l’exode des cerveaux

Par ailleurs, il a mis en garde contre les répercussions du phénomène de l’exode des cerveaux sur les processus de développement dans les pays du sud.

Appel au renforcement des voies de migration régulière

La « Déclaration du Caire » a couronné cette réunion ministérielle. Laquelle a été axée sur une série de recommandations dont « le traitement des causes profondes du phénomène de la migration irrégulière et le renforcement des capacités de développement dans les pays d’origine, de transit et de destination ».

La déclaration prévoit, également, de renforcer les voies de migration régulière, de développer des partenariats et des programmes de coopération dans le domaine de la migration et de la mobilité des personnes et d’adopter une approche participative et globale pour lutter contre la traite des personnes et démanteler les réseaux criminels.

Plan d’action du Caire

En outre, la réunion s’est soldée par l’adoption du « Plan d’action du Caire » pour la prochaine phase du processus de Khartoum, dont la présidence sera assurée par la France, succédant ainsi à l’Égypte.

En marge de cette réunion, le secrétaire d’État aux Affaires étrangères a tenu une série de rencontres avec plusieurs chefs de délégations de pays et d’organisations internationales participantes.

Ces entretiens ont permis de réaffirmer l’importance de soutenir les efforts de la Tunisie pour faire face au phénomène de la migration irrégulière et à ses lourdes répercussions sur les plans économique, social et sécuritaire; et ce, conformément au principe du partage des responsabilités et des charges.

Dans ce cadre, il a appelé les partenaires de la Tunisie à renforcer leur appui au programme de retour volontaire des migrants en situation irrégulière, mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations, en tant que meilleure option pour assurer le retour des migrants dans leurs pays d’origine dans des conditions humaines, respectueuses de leur dignité.

Avec TAP

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Affaire des nourrissons de la Rabta: des syndicat en colère contre la justice!

La Fédération générale de la santé, le Syndicat des médecins, pharmaciens et dentistes hospitalo-universitaires, ainsi que le Syndicat général des médecins et dentistes et de la santé publique, ont décidé une série de mouvements de protestation contre la condamnation d’un pharmacien, d’une ancienne directrice générale et d’un directeur de la maintenance à 10 ans de prison ferme dans l’affaire dite des « 14 nourrissons décédés au centre de maternité et de néonatologie de la Rabta en mars 2019″.

Selon un communiqué conjoint publié mercredi 9 avril 2025, ces structures syndicales affiliées à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) appellent leurs adhérents à participer à une « journée de colère » dans le secteur de la santé le jeudi 17 avril prochain et à un rassemblement devant le ministère de la Santé.

Une grève générale est également prévue le jeudi 24 avril 2025, selon le communiqué.

Ces structures syndicales appellent aussi tous les syndicats professionnels du secteur privé et l’ensemble des structures professionnelles du secteur de la santé à participer à ces mouvements de protestation « afin de défendre l’avenir du secteur de la santé dans le pays », rapporte la TAP.

Le communiqué indique que les mouvements de protestation se poursuivront jusqu’à ce que « les personnes condamnées soient jugées de manière équitable et que les négociations commencent avec les autorités de tutelle, afin d’élaborer un cahier des charges pour les hôpitaux publics ».

Les syndicats estiment que c’est l’autorité de tutelle qui est la principale partie responsable dans l’affaire des nourrissons étant donné qu’elle n’avait pas pris les mesures nécessaires en ce qui concerne les salles blanches et ce, à ce jour; outre son refus de préparer un cahier des charges clair définissant les responsabilités de chaque intervenant dans le processus de soin, selon l’agence.

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Naïma Kefi, première épouse de Zine El Abidine Ben Ali, s’éteint à 80 ans

Le mercredi 9 avril 2025, l’ancienne épouse du président défunt Zine El Abidine Ben Ali, Naïma Kefi, est décédée à l’âge de 80 ans. C’est sa fille Cyrine Ben Ali qui a annoncé la nouvelle.

Il est à noter que la défunte Naïma Kefi est la mère de Ghazwa, Dorsaf et Cyrine, filles du président défunt Zine El Abidine Ben Ali.

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Kaïs Saïed préside la cérémonie du 87e anniversaire de la fête des martyrs

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé une cérémonie commémorative ce mercredi matin au carré des martyrs à Séjoumi, dans la capitale, pour marquer le 87e anniversaire de la Fête des martyrs. Cette fête honore les événements historiques du 9 avril 1938.

Au cours de la cérémonie, Kaïs Saïed  a déposé une gerbe de fleurs devant le mémorial des martyrs et a récité la Fatiha en leur hommage. Ensuite, il a salué le drapeau national au son de l’hymne national, tandis que trois coups de canon ont été tirés pour souligner l’importance de l’événement.

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Le dinar tunisien résiste bien face aux fortes devises

A fin février 2025, le service de la dette extérieure et les paiements courants ont négativement pesé sur les réserves en devises de la Tunisie, lesquels se sont établies à 23,271 milliards de dinars (102 jours d’importation), ce qui constitue une baisse de 14,9 % par rapport à leur niveau de fin 2024 (27,332 Mrds de dinars ou 121 jours d’importation). C’est ce qu’a annoncé la BCT dans sa note sur les « Evolutions économiques et monétaires et perspectives de l’inflation ».

Concernant le taux de change du dinar, il a continué à faire preuve de résilience face aux principales devises étrangères durant le mois de février 2025, puisqu’il enregistre une appréciation de 0,6% face au dollar américain et de 0,1 % face à l’euro.

Au total, durant les deux premiers mois 2025, le taux de change de la monnaie nationale s’est appréciée en moyenne de 1,9 % (en glissement annuel) face à l’euro, contre une dépréciation de 1,4 % un an auparavant. Et face au billet vert, la dépréciation du taux de change du dinar s’est accentuée, durant la même période, de 2,4 % en moyenne, contre une dépréciation de 0,4 % un an plutôt.

En termes effectifs, le taux de change nominal du dinar a enregistré une légère dépréciation de 0,4 % en moyenne, en janvier et février 2025, contre une dépréciation de 0,9 % durant la même période en 2024.

Quant au taux de change effectif réel, la tendance à l’appréciation, amorcée en 2023, s’est poursuivie durant les deux premiers mois 2025, quoiqu’à un rythme moins prononcé. Ainsi, il s’est apprécié de 2,5 % (en glissement annuel), en moyenne, sur l’ensemble des deux premiers mois 2025, contre une appréciation de 3,6 % une année auparavant, ce qui a favorisé l’atténuation des pressions, en provenance du taux change, sur la formation des prix et la poursuite de la détente graduelle de l’inflation.

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Météo : Pluies éparses la nuit sur plusieurs régions

Des cellules orageuses locales accompagnées de pluies éparses et de chute de grêles par endroits sont attendues, la nuit, sur le nord, le centre et les régions de Sfax et de Gafsa. Nuages passagers sur le reste des régions et brume locale en fin de nuit.

Vent de secteur est sur le nord et le centre et de secteur sud sur le sud, faible à modéré.

Mer peu agitée à moutonneuse.

Les températures seront situées, la nuit, entre 8 et 13 degrés dans le nord et les régions ouest du centre et entre 14 et 19 degrés ailleurs.

Avec TAP

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Le marché boursier clôture la séance de mardi sur une note haussière

Le marché boursier a clôturé la séance de mardi sur une note haussière. L’indice de référence a pris 0,38 %, à 10 998,21 points, dans un volume modeste de 7 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre BTE a chapeauté le palmarès de la séance. L’action de la banque mixte a progressé de 4,5 %, à 5,860 D, dans un flux très faible de 2 mille dinars. Aussi, le titre POULINA GROUP HOLDING continue son trend haussier. L’action du holding s’est offert un gain de 3,8 %, à 12,450 D. La valeur a animé le marché avec des échanges de 414 mille dinars.

Le titre AIR LIQUIDE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action a lâché 4,5 D, à 105,050 D dans un maigre flux de 15 mille dinars sur la séance.

Dans un volume quasi nul, le titre ALKIMIA a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action a reculé de 4,4 %, à 13,500.

BNA a été le titre le plus échangé sur la séance.

Le titre de la banque publique a terminé la séance sur une baisse de 0,6 %, à 8,900 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 781 mille dinars, soit 11 % du volume échangé sur la Cote.

Avec TAP

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Agriculture : la coopération allemande lance le projet Soil Matters en Tunisie

Le projet Soil Matters, dont l’objectif est de développer et de promouvoir les innovations agroécologiques avec le secteur privé, a été lancé, mardi 8 avril 2025 à Tunis.

D’une durée de trois ans et 10 mois (mai 2025/juin 2028), le projet est financé à hauteur de 2,3 millions d’euros par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ). C’est ce qu’a indiqué Anneke Trux, responsable programme global « Protection et Réhabilitation des sols pour la sécurité alimentaire » (ProSol) dans une déclaration aux médias.

Il sera mis en place par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche et l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ), a-t-elle expliqué.

Il s’agit d’un programme global doté d’un budget total de 20 millions d’euros qui sera déployé en Tunisie, en Inde, au Kenya, en Ethiopie, au Madagascar et au Cameroun.

Amélioration du cadre administratif et financier

En effet, les acquis du projet « Protection et réhabilitation des sols dégradés en Tunisie » (ProSol), qui ont permis de restaurer la qualité des sols et d’améliorer les pratiques agricoles durables dans les zones d’intervention serviront de base solide pour la mise en œuvre de Soil Matters, a-t-elle encore dit.

Il s’appuiera sur les leçons tirées du précédent programme, mettra l’accent sur le rôle crucial du secteur privé dans la promotion des pratiques agroécologiques. A travers l’implication des entreprises privées et l’amélioration du cadre administratif et financier, le projet visera à renforcer l’adoption de ces pratiques par les producteurs. De même qu’à développer des solutions innovantes et à créer des synergies pour une gestion durable des ressources naturelles.

Lire aussi : Plus de 12 000 ha de terres agricoles réhabilités au nord-ouest et au centre-ouest

Le nouveau programme continuera de promouvoir une agriculture résiliente et respectueuse de l’environnement. Tout en intégrant pleinement le secteur privé comme acteur clé du changement.

Dans le cadre de ProSol, certaines questions ont été soulevées dont notamment le potentiel du renforcement de la coopération avec le secteur privé. L’objectif est de favoriser la mise à niveau des solutions développées dans le cadre de ProSol, a-t-elle expliqué.

Par ailleurs, certains agriculteurs souhaitent améliorer la matière organique dans les sols; mais ils ne disposent pas de moyens pour en produire dans leurs fermes. D’autres demandent d’avoir plus d’options d’achat sur le marché privé, que ce soit pour les intrants, la matière organique (compost), les semences; outre les services telle que l’analyse des sols. D’où l’importance d’enchaîner avec un nouveau projet.

A noter que le projet ProSol clôturé, mardi, à Tunis, a permis de réhabiliter et de protéger plus de 12 mille hectares de terres agricoles. Améliorant ainsi leur fertilité et leur capacité de rétention d’eau.

Lancé en septembre 2019, ce projet a permis d’adopter des pratiques agroécologiques durables. Il a favorisé notamment l’augmentation de 36 % en moyenne des rendements des sols réhabilités par rapport aux terres non traitées.

Avec TAP

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Plus de 12 000 ha de terres agricoles réhabilités au nord-ouest et au centre-ouest

Le projet de « Protection et réhabilitation des sols dégradés en Tunisie » (ProSol) a permis de réhabiliter et de protéger 12 018 hectares de terres agricoles, améliorant ainsi leur fertilité et leur capacité de rétention d’eau.

Lancé en septembre 2019, ce projet a contribué de manière significative à la gestion durable des terres agricoles et à la résilience des écosystèmes dans les zones d’intervention au nord-ouest et au centre-ouest du pays, a indiqué le chef du projet ProSol auprès de la GIZ Tunisie, Tom Eickhof, lors de la cérémonie de clôture organisée mardi 8 avril à Tunis.

Mis en œuvre par la GIZ en collaboration avec la Direction générale de l’aménagement et de la conservation des terres agricoles (DGACTA), sous la tutelle du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche (MARHP), le projet a concentré ses efforts dans 75 délégations dans les gouvernorats de Jendouba, Béja, Kef, Siliana (nord-ouest), Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid (centre-ouest).

« ‘Le projet qui s’est basé sur des tendances agroécologiques et climato-intelligentes a permis l’augmentation de 36 % en moyenne des rendements des sols réhabilités par rapport aux terres non traitées », a souligné M. Eickhof, ajoutant que 12 % des femmes faisant partie des 13 073 ménages participants ont constaté une amélioration de leur situation socio-économique grâce aux pratiques agroécologiques.

Le projet a permis également de soutenir sept micro-projets et de planter 110 000 amandiers, oliviers et cerisiers par 1065 agriculteurs bénéficiaires, a-t-il encore dit.

Parmi les pratiques agroécologiques durables adoptées dans le cadre du projet, figurent l’utilisation des petites machines, l’introduction de légumineuses, la rotation des cultures, le compostage, le semis direct et l’agroforesterie pour améliorer la fertilité des sols et leur résilience face aux changements climatiques.

Il a également renforcé les compétences techniques des agriculteurs et favorisé l’innovation dans la gestion des sols, selon les initiateurs.

De son côté, l’ambassadrice d’Allemagne en Tunisie, Elisabeth Wolbers a mis l’accent sur l’importance de l’amélioration de l’efficacité des systèmes alimentaires tout en adoptant des solutions durables sur les plans écologique, économique et social afin de favoriser l’accès à une alimentation saine et suffisante.

Cela permettra de créer des emplois, notamment, pour les jeunes et les femmes dans les régions rurales et de préserver les ressources naturelles pour les générations futures, a-t-elle ajouté.

La diplomate, a, par ailleurs, rappelé que le projet qui a rassemblé 17 partenaires de mise en œuvre, a permis des échanges d’expériences, mettre l’accent sur l’innovation et le renforcement des compétences des agriculteurs.

A titre d’exemple, elle a fait savoir que Prosol a permis d’augmenter de 22 % les rendements de céréales.

A noter que le secteur agricole contribue à hauteur de 10 % du PIB de la Tunisie. Cependant le pays fait face, depuis des années, à une dégradation croissante des terres agricoles et à un risque élevé d’érosion, de déboisement, d’incendies, de pratiques inadéquates ou de pénurie d’eau, ce qui affecte non seulement la production alimentaire mais aussi la résilience des écosystèmes face aux impacts des changements climatiques, selon GIZ Tunisie.

Cette dégradation avancée est due principalement à l’insuffisance de la matière organique dans le sol qui déstabilise sa structure et réduit sa fertilité.

Le projet a contribué dans ce sens à aider les petits agriculteurs à mettre en œuvre les meilleures pratiques de protection des sols et de réhabiliter des terres dégradées.

ProSol est mis en place dans le cadre de l’initiative « ONE WORLD, NO HUNGER » (Un seul monde, sans faim) du Ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ), a-t-on rappelé.

Ce programme mondial est implanté dans sept pays partenaires de l’Allemagne, à savoir la Tunisie, le Kenya, le Bénin, l’Ethiopie, l’Inde, le Burkina Faso et Madagascar. Le but est de concrétiser des approches durables pour la protection des sols et la réhabilitation des terres dégradées, comme composantes essentielles de la politique de renforcement de la sécurité alimentaire.

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La BTS Bank a financé une cinquantaine de projets à Sidi Bouzid

La Banque tunisienne de solidarité (BTS Bank) a contribué, au cours de la dernière période, au financement de 51 projets dans la délégation de Meknassy (gouvernorat de Sidi Bouzid).

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’impulsion du développement et de l’emploi dans cette région et le soutien à la réintégration des anciens ouvriers de la mine de phosphate de Meknassy.

Le chef d’agence de la BTS Bank à Sidi Bouzid, Kamel Abdellaoui, a indiqué à l’Agence TAP que les projets qui ont été financés jusqu’à présent ont trait aux secteurs de transport de poissons frais (11), l’acquisition d’équipements agricoles (20), l’élevage du bétail (18) et la maintenance (2).

Il a rappelé que toute personne désirant s’installer à son propre compte doit proposer une idée de projet rentable afin de bénéficier du soutien financier de la banque.

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Le Japon est-il enfin sorti de son long « piège déflationniste » ?

Les conséquences de la pandémie de Covid-19 ont entraîné une flambée de l’inflation dans les économies avancées, atteignant des sommets inédits depuis des décennies. Après la pandémie et la guerre en Ukraine, le « choc d’offre » dû aux mesures de confinement et aux perturbations géopolitiques s’est combiné à un « choc de demande » provoqué par des mesures de relance budgétaire et monétaire sans précédent, propulsant les taux d’inflation à des niveaux records. Le Japon a d’abord semblé faire figure d’exception dans cet environnement inflationniste. Cependant, lorsque les grandes banques centrales ont commencé à relever leurs taux d’intérêt pour contenir l’inflation, l’écart de taux avec le Japon s’est creusé, entraînant une forte dépréciation du yen japonais (JPY) et une montée des pressions inflationnistes au Japon.

Cette forte dépréciation du yen a renforcé les pressions mondiales sur les prix, faisant grimper l’inflation à la consommation au Japon à un pic de 4,3 % en glissement annuel en janvier 2023 — un niveau jamais atteint depuis plus de trente ans dans le pays. Cette hausse de l’inflation a permis à la Banque du Japon (BoJ) de mettre fin à 17 années de taux négatifs, et d’augmenter les taux à deux reprises depuis, bien qu’ils restent encore faibles à 0,5 %.

Inflation à la consommation au Japon

(%, en glissement annuel)

Source : Bank of Japan, Haver Analytics, QNB Economics

Durant la période 2023-2024, la hausse des prix à la consommation s’est modérée, bien qu’elle reste inconfortablement au-dessus de l’objectif, en raison du recul des prix internationaux de l’énergie et des matières premières, ainsi que des subventions temporaires octroyées par le gouvernement aux ménages.

Toutefois, les pressions inflationnistes ont ressurgi de manière marquée, avec une inflation atteignant 3,7 % en décembre dernier, puis 4 % en janvier de cette année, alimentée par la hausse des prix alimentaires domestiques, la suppression progressive des subventions sur l’énergie, et l’augmentation des loyers.

Cette flambée des prix place l’économie japonaise dans une situation particulièrement inhabituelle. Pendant des décennies, avant la pandémie, le Japon a souffert d’un cycle négatif de déflation et de stagnation économique. Entre 2013 et 2020, période désormais connue sous le nom d’« Abenomics », en référence à l’ancien Premier ministre Shinzō Abe, le pays a adopté une politique de relance budgétaire et monétaire agressive pour stimuler son économie. Cependant, ces politiques ont eu peu d’effet sur la sortie du cycle déflationniste, en raison d’un comportement « déflationniste » profondément enraciné dans le secteur privé.

Selon nous, il existe désormais une réelle possibilité que l’environnement inflationniste actuel permette au pays de sortir durablement de ce piège déflationniste. Nous pensons en effet que l’inflation au Japon persistera plus longtemps. Ce qui permettra à la Banque du Japon de poursuivre son processus graduel de normalisation des taux d’intérêt. Dans cet article, nous présentons trois facteurs clés qui soutiennent notre analyse.

Premièrement, les données montrent une persistance de la hausse des prix et une modification des anticipations d’inflation. L’inflation est restée nettement au-dessus de l’objectif de 2 % fixé par la politique monétaire pendant près de trois ans. Par ailleurs, dans un pays historiquement marqué par la stabilité des prix, la montée de l’inflation est en train de modifier les anticipations, tant du côté des entreprises que des ménages. Les enquêtes indiquent que les entreprises japonaises anticipent une inflation de 2,3 % sur les trois prochaines années, soit un niveau nettement supérieur à l’objectif officiel. Ces nouvelles pressions sur les prix et l’ancrage affaibli des anticipations plaident en faveur d’une inflation durable à moyen terme.

Deuxièmement, l’augmentation des salaires entraîne une amélioration du pouvoir d’achat des ménages, ce qui devrait soutenir la consommation et entretenir l’inflation. À la mi-2024, la croissance des salaires réels a commencé à se redresser grâce à l’accord du « Shuntō » — les négociations annuelles entre syndicats et dirigeants d’entreprise — qui a abouti à une hausse salariale moyenne de 5,1 %, la plus élevée depuis 33 ans. Cette année, les négociations devraient déboucher sur une hausse proche de 5,3 %. Cela implique une nouvelle amélioration du pouvoir d’achat des ménages, un soutien accru à la consommation, et une pression supplémentaire sur les prix. De plus, ces hausses salariales interviennent dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, ce qui augmente le transfert des coûts salariaux vers les prix à la consommation.

Troisièmement, le gouvernement a mis en place un programme budgétaire visant à stimuler davantage l’économie, avec pour effet induit une pression haussière sur les prix. Ce plan comprend un budget record équivalant à 735 milliards de dollars pour l’exercice fiscal 2025, ainsi qu’un plan de relance complémentaire d’environ 90 milliards de dollars. Les mesures incluent des aides directes aux familles à faible revenu, des subventions pour compenser la hausse des coûts de l’énergie et des services publics, ainsi qu’un relèvement du seuil de revenu annuel exonéré d’impôt pour encourager la participation au marché du travail. Ces mesures budgétaires expansionnistes devraient renforcer les tensions inflationnistes.

En résumé

L’inflation devrait rester supérieure à l’objectif de 2 % fixé par la politique monétaire jusqu’au début de 2026, soutenue par des pressions persistantes sur les prix, une évolution des anticipations inflationnistes, une hausse des salaires et un programme budgétaire gouvernemental de relance. Cela permettra à la Banque du Japon de poursuivre sa politique de normalisation progressive des taux d’intérêt, avec au moins une nouvelle hausse de 25 points de base prévue cette année.

D’après analyse QNB

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Kaïs Saïed insiste sur la nécessité de réformes financières et d’autosuffisance

Le président de la République  Kaïs Saïed a reçu la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi , au palais de Carthage dans la journée du lundi 7 avril 2025. 

Selon le communiqué de la présidence de la République, Kaïs Saïed a souligné la nécessité d’intensifier les efforts financiers pour lutter contre la corruption dans plusieurs institutions.

En outre, il a insisté sur l’autosuffisance comme réalité concrète et non comme simple slogan. Selon lui, une fiscalité équitable et la réduction des importations non essentielles sont cruciales pour atteindre l’équilibre financier. La recherche de nouveaux marchés pour les exportations est vitale. Enfin, il a affirmé que la Tunisie reste ouverte à la coopération internationale tout en défendant ses intérêts nationaux.

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L’encours des crédits à l’économie en hausse de 3,2% en février 2025

L’encours des crédits à l’économie s’est inscrit en hausse graduelle au mois de février 2025, progressant de 3,2% (en glissement annuel) après avoir ralenti à 2,1% en janvier 2025. Ce renforcement a revêtu un caractère quasi-généralisé au niveau sectoriel selon la « Note sur les évolutions économiques et monétaires et perspectives de l’inflation » publiée, lundi, par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

S’agissant des crédits aux professionnels, ils se sont accrus de 3,1% (en G.A) au mois de février 2025, après 2,2% le mois précédent.

Cette évolution a marqué tant les crédits d’exploitation que les crédits d’investissement. En effet, les crédits à court terme se sont accrus de 2,7% (en G.A) après 2,3% le mois précédent, tirés par la hausse des crédits à court terme accordés au secteur des services (2,7% contre 2,1% en janvier 2025) et à un moindre degré les crédits au secteur des industries (2,3% contre 1,9%).

En revanche, la hausse accélérée des crédits à court terme accordés au secteur agricole s’est relativement atténuée au mois de février 2025, à 6,5% après 8,4% un mois auparavant. Par ailleurs, les crédits professionnels à moyen et long terme se sont renforcés au mois de février 2025, augmentant de 3,7% après 1,9% un mois auparavant.

Cette évolution s’explique par l’accélération des crédits aux activités de services (5,5% contre 2,8% en janvier 2025) ainsi que de ceux accordés au secteur agricole (6,8% contre 5,8%). En revanche, les crédits des industries ont connu une contraction de 1,2% au mois de février 2025 après -0,8% le mois précédent.

Quant aux crédits aux particuliers, leur taux de croissance s’est accéléré pour atteindre 3,7% (en G.A.) au mois de février 2025 contre 1,7% le mois précédent, soutenu par l’augmentation des crédits logement (5,2%, en G.A., contre 0,5% en janvier 2025). En revanche, le rythme de progression de l’encours des crédits à la consommation a ralenti à 2,5% (en G.A.) au mois de février 2025 contre 3,7% un mois auparavant.

Avec TAP

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Le déficit courant s’est élargi à 1 654 MD, à fin février 2025 (BCT)

Le déficit courant s’est élargi à 1 654 millions de dinars (MD) à fin février 2025 contre 113 MD un an auparavant, a annoncé la Banque Centrale de Tunisie (BCT), dans sa note sur les « Evolutions économiques et monétaires et perspectives de l’inflation », publiée lundi.

Hors énergie, la balance courante a dégagé, durant les deux premiers mois 2025, un excédent +191 MD, performance largement en deçà de celle enregistrée à fin février 2024, soit +1 710 MD.

Ceci est du, d’une part, à l’élargissement du déficit commercial, qui est passé de 3 803 MD, à fin février 2024, à 5 415 MD, sur l’ensemble des deux premiers mois de 2025 ; et d’autre part, de la baisse du l’excédent de la balance des services à +3 023 MD, à fin février 2025, contre +3 177 MD, un an auparavant.

Avec TAP

 

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BCT : Besoins en liquidité bancaire à 13 milliards de dinars en février 2025

En février 2025, les besoins en liquidité des banques tunisiennes ont augmenté pour atteindre 13,001 milliards de dinars, soit une hausse par rapport aux 12,348 milliards de dinars du mois précédent, selon la Banque centrale de Tunisie (BCT). Cette augmentation est principalement due à l’effet restrictif du recours accru du Trésor au financement intérieur, notamment via les souscriptions en bons du Trésor à court terme, pour un montant total de 1,523 milliard de dinars.

Cependant, cet effet a été partiellement compensé par le remboursement de la dette intérieure en dinars (646 millions de dinars), le retour des billets et monnaies en circulation au système bancaire (193 millions de dinars), et les ventes nettes de devises à la BCT contre des dinars (61 millions de dinars). Le volume global de refinancement a atteint 13,018 milliards de dinars en moyenne en février 2025, contre 12,410 milliards le mois précédent, principalement en raison de l’augmentation des opérations principales de refinancement et des opérations à 6 mois.

Les opérations d’achat ferme de bons du Trésor ont diminué à 4,839 milliards de dinars en février 2025, après 5,179 milliards en janvier. Les opérations de refinancement à 1 mois ont continué à baisser, atteignant 308 millions de dinars. Le recours aux facilités à 24 heures s’est légèrement atténué, mais reste à des niveaux historiquement élevés. Les taux d’intérêt ont évolué avec stabilité, le taux moyen pondéré des opérations principales de refinancement s’établissant à 8,04% en février 2025.

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