Maroc : Alstom fournira 18 trains Avelia Horizon pour l’extension du réseau ferroviaire à grande vitesse
La Confédération africaine de football (CAF) a été contactée par la Fédération tunisienne de football (FTF) pour remplacer l’équipe ivoirienne des moins de 20 ans dans le groupe A de la CAN U20.
La Côte d’Ivoire a annoncé, mercredi 26 mars 2025, son retrait de l’organisation du tournoi, en raison de l’absence de son équipe, qui a été éliminée de la compétition.
En réaction à cette décision, la FTF a entamé des discussions avec la CAF vendredi 28 mars.
La Tunisie s’était classée troisième des éliminatoires de l’UNAF, après le Maroc et l’Égypte.
La CAN U20 aura lieu en avril 2025 et les demi-finalistes se qualifieront pour la Coupe du Monde U20 de la Fifa au Chili.
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Le Maroc a officiellement conclu un contrat avec Alstom pour l’acquisition de 18 trains à grande vitesse, d’une valeur de 781 millions d’euros. Cette commande, annoncée en octobre dernier et finalisée ce vendredi, concerne des rames de la famille Avelia Horizon, conçues sur la même plateforme que le TGV M de la SNCF. Ces nouveaux […]
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Dans cette optique, le Maroc a intensifié ses préparatifs pour faire face aux vagues de criquets pèlerins à sa frontière orientale, où les autorités ont déployé depuis dimanche 23 mars plusieurs avions Canadair pour pulvériser les essaims de criquets pèlerins avec des pesticides, selon les médias locaux.
Selon un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ce minuscule insecte, qui se déplace en essaims de plusieurs milliards, voire de milliers de milliards, se propage sur de vastes étendues de terre, causant des dégâts catastrophiques aux pâturages et aux cultures. Un petit essaim peut consommer en une journée la même quantité de nourriture que 35 000 personnes ou endommager environ 100 tonnes de récoltes sur un kilomètre carré de champ.
Le même rapport confirme que l’invasion de criquets pèlerins constitue une menace majeure pour la sécurité alimentaire et, dans le pire des cas, entraîne famine et déplacements des populations.
Par ailleurs, le groupe parlementaire du Parti du Progrès et du Socialisme (opposition) à la Chambre des représentants a adressé une question au gouvernement marocain concernant les mesures proactives et préventives pour lutter contre l’infestation de criquets pèlerins et les menaces potentielles que ces essaims représentent pour la production agricole et la sécurité alimentaire; ainsi que les mesures et procédures prises pour protéger l’agriculture nationale à travers le Royaume du Maroc.
Ainsi, le député Adi Shajri, membre dudit groupe, a souligné que ce phénomène pourrait exposer le Maroc à une attaque dévastatrice d’essaims de criquets pèlerins. Tout en mettant en garde contre de graves répercussions sur diverses cultures agricoles, notamment compte tenu des conditions climatiques actuelles, favorables à la reproduction de l’insecte.
En effet, les récentes pluies ont revitalisé la couverture végétale et amélioré toutes les cultures. Des habitants de villes frontalières avec l’Algérie, comme Tata, Bouarfa et Figuig, ont repéré des essaims de criquets pèlerins dans la région, suscitant l’inquiétude des agriculteurs pour leurs récoltes.
Parallèlement, des vidéos sur les réseaux sociaux ont circulé montrant un nombre limité de criquets pèlerins dans la région de Tata.
Malgré le dilemme économique, social et environnemental de cette potentielle catastrophe, et le risque de décimer les moyens de subsistance des agriculteurs et des éleveurs vivant dans des zones susceptibles d’être envahies par les criquets, les activistes des médias sociaux ont partagé la nouvelle avec un sens du sarcasme et de l’humour, suggérant que ces « essaims d’insectes riches en protéines pourraient être un substitut aux plats coûteux de viande et de poisson ». D’autres ont affirmé que « les criquets n’ont pas mauvais goût et qu’ouvrir des restaurants pour les servir serait une entreprise rentable ».
Dans tous les cas, les agriculteurs et les autorités locales se coordonnent pour échanger des informations et des conseils sur la manière de lutter contre ce ravageur. Le journal Al-Ahdath Al-Maghribia a indiqué que les autorités ont annoncé le déploiement d’une flotte d’avions spécialisés pour effectuer des pulvérisations aériennes de pesticides le long de la frontière maroco-algérienne. Une mesure visant à contenir la propagation des criquets avant qu’ils n’atteignent les terres agricoles, afin de préserver la sécurité alimentaire nationale.
Le journal a noté que les coopératives agricoles ont appelé à prendre les précautions nécessaires avant de pulvériser des pesticides, pour protéger le bétail et les ruchers de tout effet néfaste et à signaler immédiatement tout essaim de criquets.
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Ce vendredi 21 mars à 22h30, le Niger affrontera le Maroc dans un match décisif des qualifications pour la Coupe du Monde 2026. Les Lions de l’Atlas, leaders du groupe avec 9 points en trois matchs, partent favoris grâce à leur attaque prolifique et leur défense solide.
En face, le Niger, deuxième ex-aequo avec 6 points, tentera de créer la surprise et de renforcer ses chances de qualification.
Historiquement, le Maroc a toujours dominé cette confrontation, remportant les trois précédents duels entre les deux nations. Cependant, le football réserve toujours son lot d’incertitudes.
Le match sera diffusé sur la chaîne marocaine Arryadia et également sur les chaînes saoudiennes SSC à 22h30.
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Le parquet du tribunal correctionnel de Dar El Beida a requis, mardi 20 mars 2025, une peine de 10 ans de prison ferme contre l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal. L’auteur de ‘‘2084 : La fin du monde’’ est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation, dont atteinte à l’intégrité territoriale, outrage à corps constitué et possession de documents menaçant la sécurité nationale.
Arrêté le 16 novembre 2024 à l’aéroport d’Alger, Boualem Sansal, 75 ans, avait été placé en détention provisoire après une série de déclarations publiques jugées controversées par les autorités algériennes. En octobre dernier, il aurait tenu des propos remettant en question les frontières de l’Algérie héritées de la colonisation française, une position perçue comme un soutien implicite à la thèse marocaine sur le Sahara occidental.
Selon son avocat, François Zimeray, le procès s’est déroulé «dans une opacité totale, sans respect des droits de la défense». L’écrivain, connu pour son engagement critique envers le pouvoir algérien, a entamé une grève de la faim pour dénoncer son incarcération.
L’affaire suscite une vive émotion en France. Le président Emmanuel Macron a exprimé son inquiétude face à ce qu’il qualifie de «détention arbitraire», appelant Alger à garantir un procès équitable. Plusieurs intellectuels et écrivains, dont Kamel Daoud et Leïla Slimani, ont également dénoncé une atteinte à la liberté d’expression et demandé la libération de Sansal.
Du côté des autorités algériennes, aucune réaction officielle n’a été enregistrée. Le verdict est attendu pour le 27 mars. D’ici là, l’écrivain reste incarcéré à la prison d’El Harrach, dans des conditions jugées préoccupantes par ses proches.
Lors du procès, Sansal a nié toutes les accusations portées contre lui, déclarant qu’il «a simplement exercé son droit à la liberté d’expression». Selon Echorouk, Sansal, qui semblait en bonne santé, a déclaré qu’il «n’avait jamais eu l’intention de nuire à l’Etat» et n’avait «pas conscience que certaines de ses déclarations pouvaient être offensantes pour les institutions nationales».
L’écrivain a décidé de se défendre sans l’assistance d’un avocat, répondant directement aux questions du juge. Les accusations sont basées sur des éléments trouvés dans les appareils électroniques de l’accusé, notamment des téléphones portables, des ordinateurs et des supports de stockage, considérés comme nuisibles à l’ordre public et à la stabilité nationale.
Outre la prison, le procureur de la République a également requis une amende d’un million de dinars algériens (environ 25 000 dinars tunisiens).
Affaire à suivre.
I. B. (avec agences).
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Le Maroc pourrait bientôt imposer un visa aux citoyens de l’Union européenne.
Jusqu’à présent, ces derniers en étaient exemptés, alors que les Marocains devaient se conformer à des conditions strictes pour entrer dans l’espace Schengen.
Deux parlementaires ont soumis une proposition au ministère marocain des Affaires étrangères visant à instaurer cette obligation pour les ressortissants européens souhaitant se rendre au Maroc, rapporte Schengen News.
Cette initiative s’inscrirait dans une démarche de réciprocité face aux restrictions imposées par la Commission européenne aux voyageurs marocains. Selon la Coalition marocaine des organisations des droits de l’homme, les consulats européens appliquent encore des critères opaques pour l’octroi des visas, sans possibilité de recours ni remboursement des frais en cas de refus.
Cette situation a particulièrement affecté les étudiants, les patients nécessitant des soins médicaux et les familles voyageant pour des raisons personnelles.
Par ailleurs, la délégation de la gestion des visas à des entreprises privées a entraîné une hausse des coûts et rendu l’accès aux rendez-vous plus complexe.
D’après des données récentes de Schengen News, 136 367 demandes de visa déposées par des citoyens marocains ont été refusées l’année dernière, générant un coût total de 118 millions de dirhams (environ 11 millions d’euros).
Plus de la moitié de ces demandes ont été traitées par les consulats d’Espagne et de France, où l’impact économique des refus a été significatif, notamment après l’augmentation du tarif du visa Schengen de 80 à 90 euros en juin dernier.
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