CAFCL: L'Espérance s'incline face à Sundowns à Pritoria
© Mosaique FM
© Mosaique FM
Chokri Khatoui s’apprête aussi à rafraîchir son ossature et à remplir les blancs avec des alternatives qui correspondent à tous les critères attendus.
La Presse — Aujourd’hui, Khatoui n’est pas en place pour « restaurer » le Stade mais juste pour affiner ce qui doit l’être, et au pas de charge car la saison touche à sa fin. Maintenant, l’identité de jeu du Stade, ses ambitions et son grenier sont autant de stimulants qui devraient inciter les Bardolais à se sublimer en cette phase avancée de la compétition. Exprimer son plein potentiel avec les joueurs sous la main dont la plupart n’ont pas franchi le cap des 21 ans, le challenge est excitant et le coup de force est forcément possible, pour peu que la réussite soit au rendez-vous et que la concurrence tâtonne son football.
Loin d’être résigné, et avec une perception réaliste des enjeux, le Stade considère donc que l’exploit est possible et semble prêt pour le coup d’accélérateur. Avec un peu de folie, d’ambition et de foi en soi, l’équipe peut aller chercher une place d’accessit, et le passé éclaire le présent à ce propos, avec des outsiders qui ont, maintes fois, coupé l’herbe sous les pieds des favoris. Le Stade peut donc toujours se référer au passé pour saisir l’occasion d’entrer dans cette autre dimension à laquelle le club prétend désormais.
Avec un effectif toujours aussi disponible, Chokri Khatoui peut récolter à terme mais il ne doit pas pour autant sous-estimer cette difficulté de devoir composer une équipe efficace sans délai et sans toujours prendre appui sur des acquis antérieurs. Berrima, Mejri et Oumarou ne sont plus là depuis quelque temps déjà, et il revient aux jeunes du cru, en premier lieu «d’effacer» leur souvenir en se montrant performants et décisifs. En clair, si en défense la stabilité est de mise avec les Khalfa et Laifi sur les côtés, la paire Sahraoui-Arous dans l’axe, juste devant le duo de sentinelles, Bonheur-Touré, et Amath Ndao au relais offensif, c’est aux avant-postes que le staff doit trouver la bonne association, la bonne carburation.
En attaque donc, la concurrence bat son plein sur les couloirs avec la présence de Khalil Ayari, Sajed Ferchichi et également le jeune Moncef Gharbi, ainsi que Youssef Saafi. A moins que l’attaquant Nacef Atoui glisse tantôt au cœur de l’attaque, là où Sadok Kadida semble tenir la corde pour finir la saison en tant que titulaire. Sur ce, quoi qu’il en soit, le jeu de bascule ne doit pas bouleverser l’équilibre de l’équipe, mais permettre de tirer la quintessence de toutes les composantes de l’attaque, du milieu et de la défense aussi avec la présence de jokers compatibles au profil de l’équipe tels que l’arrière droit Wael Ouerghemmi, le latéral gauche Ibrahima Djité, l’axial Agobozo, le pivot Rayan Smaali, le polyvalent Ousmane Ouattara et l’attaquant Najd Dabbebi. Stabilité, variété et diversité, le Stade garde la foi en son projet, en espérant que cette combinaison et variété de joueurs aux atouts différents donne au collectif toute sa force et son expression.
L’entame de match réussie et la victoire à Monrovia et le pressing haut, qui a donné le succès sur le Malawi, ont donné les prémices d’un possible changement de l’identité de jeu de la sélection. A Sami Trabelsi d’apposer son empreinte dans ce changement.
La Presse — Quand on s’arrête sur le résultat du match Tunisie – Malawi et à cette victoire par deux buts à zéro qui vaut une position de leader du Groupe H, on ne peut qu’être rassuré et confiant pour les quatre matches restants surtout avec cet écart de 4 points sur la Namibie. Sans doute l’adversaire le plus dangereux qui reste aux trousses et dans le rétroviseur de Sami Trabelsi et de ses joueurs. Mais pour ne pas dormir sur nos lauriers en croyant que ce billet pour la 7e participation à la Coupe du monde est quasiment dans la poche, il faudra travailler plus durant le temps qui nous sépare du sprint final des mois de septembre et d’octobre prochains pour atteindre l’objectif attendu .
Pour autant, Sami Trabelsi ne doit pas fustiger ces éternels insatisfaits qui n’ont pas apprécié une première mi-temps laborieuse face au Malawi qui s’est bien défendu avec un bloc bas très serré et qui s’est montré fort dangereux dans la transition rapide. Ces critiques, pas très appréciées pour leur véracité, sont utiles tout de même dans le sens où elles incitent le sélectionneur national à corriger les lacunes que la victoire des cinq dernières minutes ne doit pas cacher. Ceci pour faire mieux et pour convaincre ces sceptiques qu’il est en mesure de faire progresser le jeu de l’équipe au fil des matches. Sami Trabelsi aurait tort d’être rassasié par les six points arrachés et de se limiter au constat que le plus dur et l’essentiel ont été faits. «Un bon entraîneur est celui qui doute en permanence et qui se remet en question à chaque match», ne cesse de conseiller un technicien et analyste aussi chevronné comme Arsène Wenger. Il ne suffit pas d’être plus proche des joueurs, de faire revenir la bonne ambiance dans les vestiaires, pour s’en tirer avec succès. Sami Trabelsi est devant l’obligation d’accorder également plus d’importance au volet tactique de son travail à la tête de la sélection, d’améliorer la gestion de son effectif et l’identité de jeu de l’équipe. Si ses correctifs de la deuxième mi-temps contre le Malawi ont été payants, ce n’est pas pour autant une garantie pour que ça réussisse à tous les coups et face à d’autres adversaires moins naïfs. L’équipe de Tunisie n’a pris le match à bras le corps que quand elle s’est trouvée en supériorité numérique après le carton rouge écopé par un joueur pion du milieu des «Flames» à la 64 ‘ qui a déréglé tout leur dispositif.
Le premier enseignement à tirer de cette victoire éprouvante est cette difficulté toujours face à ces blocs bas. La dure épreuve passée, avant de trouver la faille pour inscrire le premier but libérateur par Seïfeddine Jaziri et conforter cet acquis par un deuxième but salvateur de Elyès Achouri, montre bien que le schéma de jeu de départ en 4 – 1 – 4 – 1 (quand Anis Ben Slimane a joué sur la même ligne avec Naïm Sliti côté droit , Hannibal Mejbri et Elyès Achouri côté gauche) puis en 4 – 2 – 3 – 1 en phase de repli avec recul d’un cran de Ben Slimane ou de Mejbri pour soutenir Aïssa Laïdouni dans son rôle de ratisseur, indique bien qu’on a encore des problèmes de libération d’espaces. C’est le 4 – 3 – 3 adopté avec Saifallah Ltaïef bien étiré sur le couloir droit comme ailier de débordement et de percussion qui a donné cet équilibre au compartiment offensif qui n’avait plus à opter seulement pour le tandem du côté gauche Abdi-Achouri. C’est dans ce même système de jeu qu’on a découvert que Hannibal Mejbri, dans un profil de milieu régisseur qui joue court et rapide, peut distiller les meilleurs ballons et fournir les bonnes passes aux attaquants de couloirs. De plus, une pointe comme Seïfeddine Jaziri n’a pas perdu ses qualités de chasseur de buts qui sent le jeu dans la surface pour être dans le timing exact et dans le positionnement idéal. C’est sur cette bonne seconde mi-temps contre le Malawi qu’il faudra se baser pour construire une assise de jeu qui nous permettra de surmonter des adversaires plus cotés que le Libéria et le Malawi. Les quatre matches restants dans ces éliminatoires, surtout contre le Libéria et la Namibie au Stade de Radès, doivent être une répétition de cet exercice de football d’attaque qui nous sera indispensable pour aller le plus loin possible dans la CAN marocaine. Et en même temps pour réaliser ce rêve de passer au second tour, objectif derrière lequel nous courons depuis notre première qualification en phase finale de Coupe du monde en 1978. On n’en est pas encore là, mais Sami Trabelsi doit continuer dans cette voie même encore timide de changer, voire de révolutionner le jeu de l’équipe.
Encore une fois, le Chef de l’Etat monte au créneau pour réaffirmer que dans le nouvel esprit de la Constitution, l’utilité est et restera le seul baromètre de la légitimité. Tout doit être mérité. C’est dire que dans notre politique actuelle de développement national, il n’y a plus de place à l’oisiveté, au superflu ou encore à l’inanité, seuls priment l’engagement, l’efficacité et la conformité.
Autant de principes qui doivent impliquer aussi bien les personnes que les instances, structures et autres administrations publiques.
Et c’est bien là le fond même du message du Président de la République lors de son entretien, le 24 mars, avec la Cheffe du gouvernement. Un message qui rappelle que les enjeux de la prochaine étape sont trop importants pour se laisser aller. La création de richesses, le soutien à la croissance et la garantie d’un développement durable sont, plutôt et avant tout, une responsabilité collective.
Ce rappel intervient au moment où certaines structures administratives, tout comme certains responsables, sont devenus, depuis quelque temps, beaucoup plus des charges lourdes pour les finances publiques qu’un appui à notre politique socioéconomique,
La rupture avec cette catégorie doit être donc, comme le recommande le Chef de l’Etat, non seulement immédiate, mais surtout catégorique. La priorité est désormais à la mobilisation totale pour servir efficacement les intérêts stratégiques du pays.
L’appel d’ailleurs à la réorganisation de certaines structures, et même à la suppression d’autres, atteste d’un nouveau code de conduite qui, une fois assimilé et bien géré, ne manquera pas de permettre à notre économie de retrouver rapidement son équilibre et à notre système social sa solidité et son assurance.
Cela est d’autant plus vrai que la négligence, l’immobilisme et le manquement aux responsabilités ont beaucoup coûté à l’Etat aussi bien en temps, en qualité des services qu’en budget. Les multiples et importants projets et autres programmes mis en instance, mal conçus ou carrément bloqués confirment ce diagnostic.
Cette nouvelle orientation retenue est, de ce fait, tout à fait irréversible pour que l’administration retrouve son sens moral, sa vocation et surtout sa crédibilité. Et ce n’est certainement pas un hasard si le Président de la République rappelle que des dizaines de milliers de diplômés universitaires et de titulaires de doctorat sont pleinement motivés et déterminés à «contribuer à la libération et au développement de la Nation». Cela laisse entendre, de toute évidence, que la purge administrative serait imminente et globale, surtout que les exigences, actuelles et futures, sont tellement critiques qu’elles ne permettent plus de gâchis.
Les unités de la Garde nationale des gouvernorats du Kef, de Monastir, de Sousse, de Sfax et de Bizerte, en coordination avec les services de lutte contre le terrorisme, ont arrêté sept individus soupçonnés d’appartenir à une organisation terroriste. C’est ce qu’a annoncé, ce mardi, la direction générale de la Garde nationale dans un communiqué.
Les suspects faisaient l’objet de mandats de recherche émis par plusieurs unités sécuritaires et instances judiciaires. Ils ont été condamnés à des peines de prison allant de deux à trois ans.
La direction générale de la Garde nationale a précisé que les mesures judiciaires nécessaires ont été prises à leur encontre en coordination avec le ministère public.
Elle a par ailleurs appelé les citoyens à collaborer avec les forces de sécurité et à signaler toute activité suspecte en contactant le numéro 71860135, afin de renforcer la sécurité publique et de préserver la sûreté du pays et de ses habitants.
Le président de la section handball de l’Espérance Sportive de Tunis, Kais Attia, a annoncé mardi avoir trouvé un accord officiel avec le gardien international Yassine Belkaied.
Dans une déclaration à l’Agence TAP, Attia a précisé que Belkaied rejoint le club en prêt en provenance du Fenix Toulouse Handball. Il viendra renforcer l’effectif sang et or en prévision de deux échéances africaines majeures : la Coupe d’Afrique des clubs vainqueurs de coupe et la Supercoupe d’Afrique, qui se dérouleront en Égypte à la mi-avril. Il épaulera ainsi Mohamed Sfar et Ammar Chaabani dans les cages espérantistes.
À noter que Yassine Belkaied a quitté le Fenix Toulouse lundi pour s’engager avec Tremblay-en-France Handball à partir de la saison prochaine.
Par ailleurs, Kais Attia a indiqué que l’autre gardien, Assil Namli, a été suspendu pour des raisons disciplinaires et sera prochainement entendu par le conseil de discipline du club, qui statuera sur son cas.
Peu entreprenants et gèrant mal leur match, les “Sang et Or” ont perdu la manche aller à Pretoria. Ils gardent tout de même leurs chances intactes. Pour ce faire, il faudra rattraper d’abord leur retard.
Les “Sang et Or” ont perdu la manche aller des quarts de finale de la Ligue des champions cet après-midi à Pretoria devant les Sud-africains de Mamelodi Sundowns. Une défaite concédée sur le score de 0-1.
Et à vrai dire, cette défaite s’inscrit dans la logique des choses étant donné que les camarades de Mohamed Amine Ben Hmida étaient peu entreprenants. Il a fallu, d’ailleurs, attendre la 39’ pour pouvoir assister à la première tentative des “Sang et Or”. Sauf que Yan Sasse n’a pas su exploiter son ballon, trop le conservant avant de tirer hors du cadre.
En deuxième mi-temps, les Sud-africains, plus que déterminés à jamais à en découdre, ont réussi à ouvrir la marque : Lucas Ribeiro centre de la droite, Jayden Adams reprend de la tête pour Peter Shalulile qui n’avait qu’à mettre la balle dans les filets (54’).
Maher Kanzari a beau opérer des changements en faisant entrer Chiheb Jebali, Houssem Tka, Rodrigo Rodrigues et Achraf Jabri. En vain. Le coach “sang et or” n’a pas pu éviter la défaite.
Mais même si la manche aller est perdue à Pretoria, les “Sang et Or” gardent tout de même des chances intactes. A Radès, le mardi 8 avril, il faudra rattraper leur retard, éviter d’encaisser de but et en marquer au moins un deuxième.
La Tunisie a signé un contrat pour la réalisation du projet TANIT, visant à valoriser les eaux usées traitées dans le cadre d’un partenariat tuniso-italien d’une valeur d’environ 2 millions de dinars. Le projet cible plusieurs stations d’épuration, notamment à El Attar, Melyan C, Sfax C, Enfidha et Agareb. Il s’inscrit dans une stratégie plus large pour assurer l’autosuffisance alimentaire et lutter contre les impacts du changement climatique.
La directrice de l’économie de l’eau à la Direction générale de l’ingénierie rurale et de l’exploitation des eaux, Hana Gharbi, a précisé, dans une déclaration accordée ce mardi à Mosaïque Fm, que le projet avait débuté après la signature du contrat d’études en février dernier. L’objectif principal est de transformer les eaux usées traitées de la région de Tunis en eau d’irrigation pour des exploitations agricoles de l’Office des Terres Domaniales, notamment à Bouraghba, Borj El Amri, El Kheir, Smenja, Enfidha et Echchâal, dans les gouvernorats de Tunis, Zaghouan, Sousse et Sfax. Le projet couvrira une superficie totale de 11 500 hectares.
Cette initiative a été détaillée lors d’une journée d’information organisée récemment par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche maritime. Le rapport présenté portait sur l’utilisation des eaux usées traitées dans le secteur agricole dans le cadre du projet TANIT.
Pour rappel, le projet a été lancé officiellement lors d’une réunion tenue le 7 janvier 2025, réunissant le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdel Hafidh, et une délégation de haut niveau en provenance d’Italie. Cette délégation comprenait des responsables du gouvernement italien, de l’Agence italienne de coopération internationale, du Fonds italien de dépôts et de garanties, ainsi que de l’Institut méditerranéen de l’agriculture de Bari (CIHEAM). Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme Mattei, dédié au soutien de l’Afrique, et vise à faire face aux conséquences du changement climatique tout en garantissant la sécurité alimentaire. Il comprend trois volets essentiels : le traitement des eaux usées, l’amélioration des performances du secteur agricole et le soutien à la formation, la recherche et l’innovation dans le domaine de l’agriculture.
Des photos de famille, des portraits d’amoureux de chiens avec leur meilleur ami, un homme qui affiche un beau sourire aux côtés de l’élue de son cœur… Internet est rapidement inondé de ces illustrations oniriques aux tons pastel. Tout est soumis au phénomène Hayao Miyazaki. Pourtant, ce dernier estime que l’IA est une «insulte à la vie même». Qu’elles sont donc les conséquences de ce paradoxe ?
« « Aujourd’hui est un grand jour pour Internet ! » s’enthousiasme ainsi un internaute « , rapporte actualitte.com.
Une nouvelle fonctionnalité de ChatGPT permet désormais d’appliquer le style enchanteur d’Hayao Miyazaki à n’importe quelle image. Anu Lingeswaran, un entrepreneur allemand a simplement soumis une photo de son chat à l’outil en demandant de la « ghiblifier ». Son félin s’est transformé, en un instant, en un personnage tout droit sorti d’un film du maître de l’animation.
La startup a soutenu explicitement ces initiatives créatives exploitant ses modèles d’IA. Sam Altman, le PDG de ChatGPT, est même allé jusqu’à adopter un portrait stylisé façon « Effet Ghibli », généré par IA, comme photo de profil sur X (anciennement Twitter). « C’est super de voir les gens adorer les images dans ChatGPT, mais nos GPU sont en train de fondre », a ironisé Altman, faisant allusion à la charge de travail colossale imposée par l’afflux de requêtes.
D’après trustmyscience.com, OpenAI était initialement ouvert aux expérimentations artistiques. La société a fini par durcir ses règles à peine 24 heures après que « l’effet Ghibli » – un détournement viral de son IA pour imiter le style du studio japonais – inonde les réseaux. La société a modifié ses algorithmes, limitant brusquement ces usages créatifs dans annonce publique. Un revirement qui interroge sur sa stratégie face aux dérives potentielles.
OpenAI limite la génération d’images « à la manière de Ghibli » pour éviter la reproduction non autorisée de styles d’artistes contemporains. Pourtant, le studio nippon, toujours actif, semble relever de cette catégorie. Cette position ambiguë interroge : où s’arrête l’inspiration et où commence l’appropriation ?
Le style Ghibli n’est pas protégé par le droit d’auteur. OpenAI pourrait, donc, échapper à des poursuites pour simple imitation d’un style artistique . Cependant, l’origine des données d’entraînement reste un risque juridique, surtout si des œuvres de Ghibli ont été utilisées sans licence.
Selon Rob Rosenberg, Ghibli pourrait invoquer la loi Lanham (États-Unis) pour concurrence déloyale ou publicité mensongère, si OpenAI a suggéré un lien officiel avec le studio. Ainsi, le seul levier possible pour la société de production de cinéma est la Loi Lanham.
L’article Le “Ghibli Effect” sur ChatGPT fait polémique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le professeur Agrégé en géographie et chercheur en risques naturels, Amr Bahbah, a annoncé que les prévisions météorologiques indiquent l’arrivée d’une dépression atmosphérique à partir de la soirée du samedi prochain. Ce phénomène entraînera une instabilité climatique marquée par de fortes précipitations pouvant dépasser les 50 mm. Lors d’une intervention radiophonique, il a précisé que […]
The post Météo : un week-end marqué par une baisse des températures et de fortes pluies first appeared on Directinfo.
Tunis, UNIVERSNEWS (SPORTS) – Certes, l’Espérance sportive de Tunis était loin d’être en position confortable, après le départ de son entraineur roumain et l’arrivée de Maher Kanzari à la barre, pour affronter de la meilleure manière une équipe sud-africaine de Mamelodi Sundowns au mieux de sa forme.
La rencontre était malvenue et les Sang et Or avaient pour objectif de limiter les dégâts pour voir plus clair, avec du temps pour préparer la rencontre-retour à Tunis, et avec une possession de balle de 17%, ils ne pouvaient pas espérer mieux faire.
Les Espérantistes ont été frileux, jusqu’à ce que les joueurs sud-africains marquent leur unique but, par Peter Shalulile (54’). Ils se sont, alors rués vers les buts des sud-africains, marquant un peu plus de mordant… mais, c’était insuffisant, pour leur permettre de rattraper, au moins, leur retard.
Toutefois, les Sang et Or gardent, pratiquement, toutes leurs chances, pour accéder en demi-finales, avec le match-retour qui se déroule à Tunis et les encouragements de leurs supporters qui, on l’espère, seront en masses, pour ce match.
Alors que le nombre de morts continue d’augmenter au Myanmar après le tremblement de terre tragique de vendredi dernier, les agences humanitaires de l’ONU se sont précipitées pour soutenir les victimes démunies et traumatisées, avertissant que la fenêtre pour une réponse vitale se referme. S’adressant à des journalistes depuis Rangoun mardi, Julia Rees, Représentante adjointe […]
L’article Myanmar: Des communautés entières rasées à cause du séisme est apparu en premier sur Tunisie.
OKC et Boston sont inarrêtables ! Vainqueurs respectifs des Bulls de Chicago et à Memphis, OK City et Boston Celtics ont poursuivi leurs impressionnantes séries. Le Thunder a aligné une 10ème victoire de rang alors que les Celtics en sont désormais à 9 matchs sans défaite. Résultats complets Indiana Pacers 111 – 109 Sacramento Kings […]
L’article NBA – Saison régulière : Les Thunder et Celtics enchaînent (vidéos) est apparu en premier sur Tunisie.
Un incendie s’est déclaré dans la soirée du lundi 31 mars 2025 dans un entrepôt destiné à la vente d’essence de contrebande, dans la délégation de Tajerouine. Le sinistre a causé d’importants dégâts matériels, mais aucune perte humaine ni blessé n’a été signalé. Les équipes de la protection civile sont rapidement intervenues sur place […]
L’article Le Kef: Incendie dans un entrepôt de vente d’essence de contrebande est apparu en premier sur Tunisie.
Ce mardi après-midi au Loftus Versfeld Stadium de Pretoria, l’Espérance Tunis a été battue par les Mamelodi Sundowns (1-0), en quart de finale aller de la Ligue des champions de la CAF. Une défaite logique pour ls protégés de Maher Kanzari, qui a supervisé plusieurs rencontres de son adversaire du jour et pris en considération […]
L’article CAF CL : Maher Kanzari, “on espère se rattraper à Radès” (vidéos) est apparu en premier sur Tunisie.
Un terrible accident s’est produit dimanche 30 mars dans l’après-midi, sur le tronçon ferroviaire Kamel El Borjine, causant le décès de 3 frères, selon une source sécuritaire reprise par Mosaïque FM. Béja Une collision entre une voiture et un taxi louage fait 10 blessés Une source de la direction régionale de la protection civile […]
L’article Daily brief régional du 1er avril 2025: 3 frères périssent suite à une collision avec un train est apparu en premier sur Tunisie.
© Mosaique FM
© Mosaique FM
Le parquet a émis, ce mardi 1ᵉʳ avril 2025, un mandat de dépôt en prison à l’encontre d’une Instagrammeuse connue, suite à un jugement pénal la condamnant à une peine d’emprisonnement pour des faits d’atteinte à l’intégrité d’autrui via les réseaux sociaux.
Le vendredi précédent, les autorités judiciaires ont ordonné, en vertu d’une demande d’enquête, l’arrestation de l’influenceuse par les agents de la brigade de sécurité nationale de la zone d’El Menzah. Elle faisait alors l’objet d’un mandat de recherche délivré par le tribunal de première instance de Tunis et la direction des affaires criminelles de la police judiciaire de l’Ariana.
Après avoir purgé sa période de garde à vue, l’Instagrammeuse a été présentée à l’autorité judiciaire compétente. Suite à la procédure, le tribunal a décidé de son incarcération en attendant la procédure d’appel du jugement rendu à son encontre, rapporte Mosaïque Fm.