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Les BRICS+ vont miser sur la blockchain pour réduire leur dépendance au dollar

Cette initiative risque de ne pas plaire à Donald Trump. A défaut d’une monnaie commune, les BRICS, sous l’impulsion du Brésil, comptent utiliser la technologie blockchain pour fluidifier leurs échanges et se passer du dollar.

Selon plusieurs sources, le Brésil, dans le cadre de sa présidence du groupe BRICS+ en 2025, proposerait d’« utiliser la technologie blockchain pour simplifier les transactions commerciales entre les pays du groupe, au lieu de créer une nouvelle monnaie commune ».

Objectif : améliorer l’efficacité des paiements transfrontaliers et réduire les coûts des échanges commerciaux entre les membres du groupe, qui incluent désormais des pays comme l’Arabie saoudite, l’Égypte et l’Indonésie, en plus des cinq membres fondateurs (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud).

Cependant, « ce projet ne vise pas à remplacer le dollar dans les échanges internationaux, comme cela avait été envisagé par l’ex-présidente Dilma Rousseff; mais plutôt à développer un système plus rapide, sécurisé et moins coûteux pour les paiements ».

Toujours selon le gouvernement brésilien, il ne s’agit pas de défier le dollar ou de provoquer les États-Unis. Sans doute histoire de temporiser les menaces de Donald Trump, qui a averti que des tarifs douaniers pourraient être imposés si les membres des BRICS+ décidaient de s’éloigner du dollar.

Lire aussi : « Les BRICS sont morts » s’ils s’attaquent au dollar, selon Trump

Dans le même ordre d’idées, le gouvernement brésilien serait également en train de travailler avec sa Banque centrale pour tester des solutions comme le Drex, une version numérique du réal, dans le but de faciliter les paiements transfrontaliers.

« Ce projet s’inscrit dans une volonté de réformer le système financier mondial pour mieux répondre aux besoins des pays en développement ».

Les discussions sur ce sujet pourraient aboutir à un consensus lors du sommet des BRICS en juillet 2025 à Rio, où l’objectif sera de trouver une solution « acceptable » pour les États-Unis.

A suivre.

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Mondial-2026 – Zone Amérique du Sud: L’Argentine écrase le Brésil et se qualifie au Mondial 2026

Mondial-2026 – Zone Amérique du Sud: L’Argentine écrase le Brésil et se qualifie au Mondial 2026

La sélection argentine de football a assuré, mardi soir, sa qualification pour le Mondial après sa victoire écrasante face à son rival éternel, le Brésil, par 4-1. Le match entre l’Argentine et le Brésil comptait pour la 14eme journée des éliminatoires sud-américaines de la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, au Mexique et au Canada. […]

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Tunisie | Le groupe chinois CNBM lorgne Les Ciments Jbel Oust

L’usine que le groupe China National Building Material (CNBM) prévoit d’acquérir pour plus de 100 millions de dollars est bien Les Ciments Jbel Oust, le deuxième plus grand fabricant de ciment en Tunisie, située dans le gouvernorat de Zaghouan, à 40 km au sud de Tunis, ainsi que sa filiale Granulats Jbel Oust.

Selon Mosaïque FM, citant une source du ministère de l’Industrie, la partie chinoise rachètera les parts détenues jusqu’ici par une société «portugaise». En fait, il s’agit de la société de matériaux de construction 100% brésilienne Votorantim Cimentos qui en assure la gestion depuis 2012. Sa capacité annuelle de production est de 1,8 millions de tonnes de ciment et 1,5 millions de tonnes de granulats.

C’est l’ambassadeur de la Chine en Tunisie, Wan Li, qui avait récemment déclaré qu’une entreprise chinoise spécialisée dans le secteur du ciment envisageait d’acquérir une cimenterie proche de Tunis pour un montant dépassant les 100 millions de dollars.

Le même responsable du ministère de l’Industrie a précisé que la capacité de production de ciment en Tunisie atteint 12 millions de tonnes par an. Toutefois, face à la hausse des coûts de production, notamment ceux du gaz et du pétrole, le pays limite sa production à 6 millions de tonnes, correspondant à la demande locale.

Cette augmentation des coûts a également freiné les exportations tunisiennes de ciment, offrant ainsi un avantage compétitif à l’Algérie, qui est aujourd’hui l’un des principaux exportateurs de ciment de la région, soutenue par une production nationale importante de gaz et de pétrole.

La Tunisie compte actuellement neuf cimenteries : une spécialisée dans le ciment blanc, et huit dans le ciment gris. Trois d’entre elles sont publiques, tandis que les autres sont gérées par des sociétés privées étrangères.

I. B.

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Une opportunité pour la Tunisie: le Brésil exempte 11 produits alimentaires des taxes à l’importation

Le comité exécutif de gestion de la Chambre de commerce extérieur brésilienne, un organe du ministère brésilien du Développement, de l’Industrie, du Commerce et des Services, a décidé, lors d’une réunion extraordinaire tenue le jeudi 13 mars, de réduire à zéro les taxes à l’importation de 11 produits alimentaires. La liste englobe la viande, les sardines, le café torréfié, les grains de café, l’huile d’olive, le sucre, l’huile de palme, l’huile de tournesol, le maïs, les pâtes alimentaires et les biscuits.

Cette mesure traduit la volonté de Brasilia de mettre en œuvre des initiatives susceptibles de contribuer à l’augmentation de l’offre d’aliments et à la réduction des prix sur le marché, même si l’augmentation est attribuée à des facteurs climatiques et externes. Les ménages à faibles revenus consacrent jusqu’à 40% de leurs revenus à l’alimentation.

La décision comprend les réductions suivantes:

– Les viandes désossées des animaux de l’espèce bovine, congelées: de 10,8% à 0%,

– Le café torréfié, non décaféiné (à l’exception du café en capsules: de 9% à 0%,

– Le café en grains non torréfié, non décaféiné: de 9% à 0%,

– Les grains de maïs, autres que pour l’ensemencement: de 7,2% à 0%,

– Les pâtes alimentaires, non cuites, farcies ou autrement préparées: de 14,4% à 0%,

– Les biscuits: de 16,2% à 0%,

– L’huile d’olive extra vierge: de 9% à 0%,

– L’huile de tournesol brute: de 9% à 0%,

– Les autres sucres de canne: de 14,4% à 0%,

– Les sardines préparées ou conservées, entières ou en morceaux: de 32% à 0% dans la limite de 7 500 tonnes.

Cela offre une grande opportunité pour l’industrie agroalimentaire tunisienne. Nous sommes très compétitifs dans ces segments et nous pouvons arracher une bonne part de marché. En 2024, les exportations vers le Brésil se sont élevées à 137,6 MTND seulement, soit 0,2% des exportations totales. Par contre, nos importations ont totalisé 1 392,8 MTND (1,7% des importations globales de l’année). Le soutien de l’État, surtout en matière logistique, est important, car cette opportunité ne s’offre pas tous les jours. 

 

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