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Kairouan : un détenu s’échappe en pleine séance à la cour d’appel

Kairouan : un détenu s’échappe en pleine séance à la cour d’appel

Un individu condamné dans des affaires criminelles s’est évadé ce jour du tribunal d’appel de Kairouan lors d’une audience. Selon la radio Sabra FM, le fugitif, un jeune homme d’une trentaine d’années, réside à Kairouan et est originaire de Sbikha. Les unités sécuritaires ont immédiatement lancé des recherches pour le retrouver et le remettre aux […]

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Accident mortel à Kairouan : un homme décédé et quatre blessés sur la route de Chebika

Accident mortel à Kairouan : un homme décédé et quatre blessés sur la route de Chebika

Un accident de la route survenu ce jeudi soir sur la route reliant Kairouan à la délégation de Chebika a fait un mort et quatre blessés, selon une source de la protection civile. L’accident, impliquant une collision entre deux voitures, a coûté la vie à un homme sur place, tandis que les blessés, souffrant de […]

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Kairouan : Un enfant de 13 ans retrouvé pendu

Kairouan : Un enfant de 13 ans retrouvé pendu

La région de Oueslatia, dans le gouvernorat de Kairouan, a été secouée hier par le drame du suicide d’un enfant mineur dans des circonstances encore floues. Selon les premières informations obtenues par Al-Masdar, l’enfant, âgé de 13 ans, a été retrouvé pendu. Cette tragédie a provoqué une grande onde de choc parmi les habitants de […]

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Les produits du terroir de Nabeul et Kairouan: des saveurs authentiques au menu

Faire découvrir la diversité gastronomique des régions de Nabeul et de Kairouan lors d’un Iftar de Ramadan. C’est l’objectif de l’événement organisé récemment dans le cadre des activités de mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Valorisation et de Promotion des Produits du Terroir, qui a été lancé en 2022 par le ministère de l’Agriculture en collaboration avec plusieurs autres ministères et a compté l’appui du projet PAMPAT (ONUDI/SECO) et l’agence DOWIT.

C’est un événement qui, à travers ses différentes composantes, a permis d’une part de découvrir les plats typiques des deux régions de Nabeul et de Kairouan et, d’autre part, de mettre en avant la fleur d’oranger de Nabeul, l’harissa du Cap Bon et la figue de barbarie de Bouargoub ainsi que la rose de Kairouan, l’huile d’olive Oueslati et la figue de barbarie d’El Ala. Ces trésors du terroir ont été proposés sous différentes déclinaisons, offrant une expérience sensorielle unique.

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Tout commence par l’accueil

L’accueil des invités a été fait sous les effluves envoûtants de l’eau de fleur d’oranger de Nabeul et l’eau de rose de Kairouan, annonçant une immersion dans l’univers des savoir-faire traditionnels. Par ailleurs, une productrice de Nabeul, a animé un atelier immersif de distillation de l’eau de fleur d’oranger durant lequel les participants ont pu découvrir les étapes traditionnelles de la distillation, apprenant comment les fleurs sont transformées en une eau précieuse, prisée tant pour ses usages culinaires que dans les rituels traditionnels.

La distillation de l’eau de fleur d’oranger à la manière traditionnelle génère des revenus à environ 3000 familles dans la région selon les estimations.

Un atelier de dégustation d’huile d’olive Oueslati, a par ailleurs permis aux invités de découvrir cette huile d’exception, cultivée dans les terres fertiles de Kairouan. Kaouther Ben Hassine, experte auprès du Conseil Oléicole International : «Avec ses arômes herbacés et son équilibre subtil entre amertume et piquant, l’huile d’olive Oueslati illustre la richesse du terroir kairouanais».

Le dîner, un Iftar traditionnel, était composé par des plats typiques, tels que le couscous nabeulien «Arressi» parfumé à l’eau de fleur d’oranger et le Kafteji kairouanais sublimé par l’huile d’olive Oueslati. Les invités ont ainsi eu l’occasion de goûter à l’authenticité des saveurs locales, préparées avec soin par des femmes originaires de Nabeul et de Kairouan pour refléter les traditions gastronomiques des deux régions.

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Le couscous nabeulien «Arressi» parfumé à l’eau de fleur d’oranger.

Pour clore cette expérience culinaire, des desserts et pâtisseries traditionnelles comme «l’Akid» kairouanais et l’incontournable « Makroudh » parfumé à l’eau de rose ont été dégustés par les invités qui ont apprécié les saveurs subtiles des pâtissières locales aux ingrédients naturels qui imprègnent chaque création ou qui ont rendu hommage aux traditions pâtissières locales et aux ingrédients naturels qui imprègnent chaque création.

«Terroirs de nos régions»

Depuis le lancement de la Stratégie Nationale de Valorisation et de Promotion des Produits du Terroir sous le logo « Terroirs de nos Régions » les événements autour des six produits de terroir emblématiques de Nabeul et Kairouan se suivent et ne se rassemblement pas. Avec l’appui du projet PAMPAT (ONUDI/SECO) dans les deux régions s’est créée une nouvelle dynamique de valorisation et de réseautage entre le secteur agricole, agroindustriel, gastronomique, touristique, culturel et de l’artisanat.

Hafedh Barghouthi, de direction générale de la Production agricole  au ministère de l’Agriculture a souligné à l’occasion : «A travers tous ces événements, ce sont nos régions et leurs produits du terroir phares qui sont à l’honneur mettant en avant tout le potentiel de développement et de valorisation dont elles disposent».

Aujourd’hui les entreprises et petits entrepreneurs des deux régions mettent en valeur la rose de Kairouan, la fleur d’oranger de Nabeul, la harissa du Cap Bon, l’huile d’olive Oueslati, la figue de barbarie d’El Ala et la figue de barbarie de Bouargoub sous toutes ses formes.

Des produits et leurs déclinaisons

Les opérateurs produisent des sirops, confitures, glaces, gâteaux, épices ainsi que des produits cosmétiques comme les savons, shampoings, crèmes et lotions. Les hôtels et maisons d’hôtes proposent aux touristes des ateliers de préparation de recettes traditionnelles, les restaurants proposent des buffets thématiques, les entreprises cosmétiques offrent des ateliers de confection de parfums et de bougies parfumées, les artisans utilisent les produits emblématiques comme la rose, les fleurs d’oranger et les piments comme thème de travail et les associations culturelles contribuent à l’organisation de festivals autour des produits phares.

Ces nouvelles initiatives ont déjà permis d’attirer davantage de visiteurs à Nabeul et Kairouan à la recherche d’expériences inédites. Les prochains rendez-vous incontournables dans les deux régions seront le Festival de la Rose à Kairouan et le Festival de l’Eau de Fleur d’Oranger à Nabeul, prévus au courant du mois d’avril.

L’évènement a été une occasion renouvelée de fêter les traditions nabeuliennes et kairouanaises et en même temps une invitation à partir à la découverte des richesses culturelles et gastronomiques des deux régions pleines d’histoire, véritables trésors du patrimoine tunisien. Ainsi l’authenticité et l’ancrage historique des produits de terroir représentent aujourd’hui un axe privilégié pour la promotion de la destination Tunisie.

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Les produits du terroir au cœur de la nouvelle offre touristique de la région de Nabeul

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Senteurs et saveurs de Nabeul et Kairouan à la Médina de Tunis

La maison Dar Sanaa au cœur de la Medina de Tunis a accueilli dans la soirée du vendredi 22 mars 2025 un Iftar consacré aux produits du terroir phares de Nabeul et Kairouan. Les invités ont eu l´occasion de découvrir les richesses gastronomiques et culturelles des deux régions à travers des ateliers participatifs, des dégustations de produits locaux et un menu de rupture de jeûne traditionnel.

Cet évènement, auquel ont participé une trentaine de journalistes, influenceurs gastronomiques et spécialistes des produits de terroir, a été organisé par le Projet d’accès aux marchés des produits agroalimentaires et du terroir (Pampat), mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (Onudi) et financé par le Secrétariat d’Etat à l’Economie Suisse (Seco) en collaboration avec l’agence Dowit spécialisée dans le tourisme culturel local et dédiée au soutien du patrimoine immatériel tunisien.

L’organisation de cette soirée s’inscrit dans le cadre des activités de mise en œuvre de la Stratégie nationale de valorisation et de promotion des produits du terroir, qui a été lancée par le ministère de l’Agriculture en 2022 en collaboration avec le ministère du Tourisme et de l’Artisanat et cinq autres départements avec l’appui du projet Pampat afin de mettre sous les projecteurs les produits emblématiques de différentes régions de la Tunisie.

Revaloriser les trésors du terroir

A travers ses différentes composantes, la soirée a permis de mettre en avant la fleur d’oranger de Nabeul, l’harissa du Cap Bon et la figue de barbarie de Bouargoub ainsi que la rose de Kairouan, l’huile d’olive Oueslati et la figue de barbarie d’El Ala. Ces trésors du terroir ont été proposés sous différentes déclinaisons, offrant une expérience sensorielle unique.

L’accueil des invités a été fait sous les effluves envoûtants de l’eau de fleur d’oranger de Nabeul et l’eau de rose de Kairouan, annonçant une immersion dans l’univers des savoir-faire traditionnels.

Par ailleurs, une productrice de Nabeul a animé un atelier immersif de distillation de l’eau de fleur d’oranger durant lequel les participants ont pu découvrir les étapes traditionnelles de la distillation, apprenant comment les fleurs sont transformées en une eau précieuse, prisée tant pour ses usages culinaires que dans les rituels traditionnels.

Un atelier de dégustation d’huile d’olive Oueslati, a permis aux invités de découvrir cette huile d’exception, cultivée dans les terres fertiles de Kairouan.

Kaouther Ben Hassine, experte auprès du Conseil Oléicole International, a déclaré : «Avec ses arômes herbacés et son équilibre subtil entre amertume et piquant, l’huile d’olive Oueslati illustre la richesse du terroir kairouanais».

L’authenticité des saveurs locales

Le dîner, un Iftar traditionnel, était composé par des plats typiques, tels que le couscous nabeulien «Arressi» parfumé à l’eau de fleur d’oranger et le kafteji kairouanais sublimé par l’huile d’olive Oueslati.

Les invités ont ainsi eu l’occasion de goûter à l’authenticité des saveurs locales, préparées avec soin par des femmes originaires de Nabeul et de Kairouan pour refléter les traditions gastronomiques des deux régions.

Pour clore cette expérience culinaire, des desserts et pâtisseries traditionnelles comme l’akid kairouanais et l’incontournable makroudh parfumé à l’eau de rose ont été dégustés par les invités qui ont apprécié les saveurs subtiles des pâtissières locales aux ingrédients naturels qui imprègnent chaque création ou qui ont rendu hommage aux traditions pâtissières locales et aux ingrédients naturels qui imprègnent chaque création.

Zeineb Zouaoui, attachée de presse et chargée de la communication à l’ONTT, a déclaré : «C’est un véritable voyage sensoriel à travers nos régions que nous avons expérimenté ce soir grâce à des odeurs et des saveurs qui nous ont permis de partir à la découverte des produits de terroir de Nabeul et Kairouan».

Tout au long de la soirée, les invités ont été plongés dans un univers sensoriel où les senteurs envoûtantes de la fleur d’oranger et de la rose ont envahi l’espace. L’odeur délicate de la distillation de l’eau de fleur d’oranger se mêlait à celle des plats typiques, créant une atmosphère immersive et authentique.

À l’issue de la soirée, chaque participant a reçu une bouteille de zhar qui a été distillée sur place, un souvenir parfumé et authentique de cette célébration des trésors du terroir.

Une nouvelle dynamique entrepreneuriale

Depuis le lancement de ladite Stratégie sous le logo «Terroirs de nos Régions», les événements autour des six produits de terroir emblématiques de Nabeul et Kairouan se suivent et ne se rassemblement pas. Dans les deux régions s´est créée une nouvelle dynamique de valorisation et de réseautage entre le secteur agricole, agroindustriel, gastronomique, touristique, culturel et de l´artisanat.

Hafedh Barghouthi, de la direction générale de la production agricole au ministère de l’Agriculture, a déclaré: «A travers tous ces événements, ce sont nos régions et leurs produits du terroir phares qui sont à l’honneur mettant en avant tout le potentiel de développement et de valorisation dont elles disposent».

Aujourd’hui les entreprises et petits entrepreneurs des deux régions mettent en valeur la rose de Kairouan, la fleur d’oranger de Nabeul, la harissa du Cap Bon, l’huile d’olive Oueslati, la figue de barbarie d’El Ala et la figue de barbarie de Bouargoub sous toutes leurs formes. Les opérateurs produisent des sirops, confitures, glaces, gâteaux, épices ainsi que des produits cosmétiques comme les savons, shampoings, crèmes et lotions.

Les hôtels et maisons d´hôtes proposent aux touristes des ateliers de préparation de recettes traditionnelles, les restaurants proposent des buffets thématiques, les entreprises cosmétiques offrent des ateliers de confection de parfums et de bougies parfumées, les artisans utilisent les produits emblématiques comme la rose, les fleurs d’oranger et les piments comme thème de travail et les associations culturelles contribuent à l’organisation de festivals autour des produits phares.

Ces nouvelles initiatives ont déjà permis d’attirer davantage de visiteurs à Nabeul et Kairouan à la recherche d’expériences inédites. Les prochains rendez-vous incontournables dans les deux régions seront le Festival de la Rose à Kairouan et le Festival de l’Eau de Fleur d’Oranger à Nabeul, prévus au courant du mois d’avril.

L´évènement à la Medina de Tunis a été une occasion renouvelée de fêter les traditions nabeuliennes et kairouanaises dans la capitale et en même temps une invitation à partir à la découverte des richesses culturelles et gastronomiques des deux régions pleines d’histoire, véritables trésors du patrimoine tunisien. Ainsi l’authenticité et l’ancrage historique des produits de terroir représentent aujourd’hui un axe privilégié pour la promotion de la destination Tunisie.

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Kairouan, l’une des villes saintes de l’islam

Considérée comme l’une des villes les plus saintes de l’islam, Kairouan, en Tunisie, possède un riche patrimoine architectural et constitue un centre incontournable du tapis et de l’artisanat au Maghreb. Voici tout ce que vous devez savoir sur l’histoire de Kairouan et les meilleurs endroits à visiter pendant le mois sacré du Ramadan.

Fondée en 670, Kairouan est l’un des sites les plus sacrés de l’islam et fut, à son apogée, un important centre d’érudition sunnite et d’apprentissage du Coran.

Ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco possède un riche patrimoine architectural, notamment la Grande Mosquée, avec ses colonnes de marbre et de porphyre, et la Mosquée des Trois Portes du IXe siècle.

Aujourd’hui, Kairouan est un centre incontournable du tapis et de l’artisanat, le tourisme contribuant à sa préservation. En témoignent la conservation de la vieille ville, le développement du Musée d’art islamique et l’essor du travail du cuir et d’autres métiers dans la médina.

Selon la légende, Kairouan fut fondée par ʿÔqba Ibn Nafiî (Sidi Ôqba), un compagnon du Prophète Mahomet (que la paix soit sur lui), sur le site d’une forteresse byzantine. La ville servit de camp d’où fut lancée l’offensive, qui aboutit à la diffusion politique et religieuse de l’islam au Maghreb (nord-ouest de l’Afrique).

L’école malékite de l’islam émergea alors à Kairouan, les religieux contestant les excès personnels et politiques des émirs aghlabides. Par la suite, la ville servit de centre politique sous les dynasties fatimide et ziride jusqu’au XIe siècle, devenant l’un des grands centres administratifs, commerciaux, religieux et intellectuels de l’islam. Elle fut également le siège d’un célèbre centre de recherche médicale pour les juifs et les musulmans à l’époque médiévale.

Les endroits à visiter

La Grande Mosquée : établie en 670, elle occupe une superficie de plus de 9 000 m² et est l’un des plus anciens lieux de culte du monde islamique. Son périmètre de 405 mètres comprend une salle de prière hypostyle, une cour pavée de marbre et un minaret carré. On y trouve également un bassin, connu sous le nom de Vieille Citerne (Al-Majal al-Qadim), et ce qui serait le plus ancien minbar encore existant : une chaire en bois de teck asiatique finement sculptée.

Outre son prestige spirituel, la mosquée d’Ôqba, comme on l’appelle aussi, est l’un des chefs-d’œuvre de l’architecture islamique, remarquable, entre autres, par la première utilisation islamique de l’arc outrepassé. Cet édifice sacré est magnifique de jour comme de nuit, lorsque le minaret est illuminé.

La Mosquée des Trois Portes : commandée par un saint homme espagnol en 866, sous la dynastie des Aghlabides, cette mosquée est remarquable pour être l’une des premières à posséder une façade extérieure richement décorée dans l’architecture islamique. Les trois portes cintrées de la mosquée sont surmontées de frises complexes en écriture coufique (dont deux portent le nom du fondateur), entrecoupées de reliefs floraux et couronnées d’une corniche sculptée. L’intérieur est interdit aux non-musulmans.

Les Bassins des Aghlabides : un ensemble de réservoirs d’eau et d’ouvrages hydrauliques historiques construits sous la domination des Aghlabides au IXe siècle pour alimenter Kairouan en eau. Ils sont composés de deux citernes reliées entre elles, formant ensemble un réservoir à ciel ouvert alimenté par un aqueduc de 57 kilomètres qui puisait l’eau des collines situées au-delà de la ville. Considérés comme la plus grande installation hydraulique du Moyen Âge, ils comptaient à l’origine 16 bassins, dont seuls deux subsistent aujourd’hui. Les visiteurs peuvent admirer les bassins, désormais entièrement fouillés, mais leur eau n’est pas potable.

La Zaouïa de Sidi Sahib : également connue sous le nom de Mosquée du Barbier, ce complexe du XVIIe siècle, richement carrelé, situé au nord-ouest de la médina, comprend une mosquée, une madrassa et un mausolée. C’est la dernière demeure d’Abou Zama’ al-Balawi, un compagnon du Prophète Mohamed (que la paix et la bénédiction soient sur lui), qui, selon la légende, portait toujours sur lui trois poils de la barbe du Prophète. Construit au XIVe siècle sous les Hafsides, le complexe, dans son état actuel, date du XVIIe siècle sous les Mouradides.

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Enquête sur l’accident mortel à Aïn Jloula impliquant un véhicule de la GN

Le Parquet a ordonné l’ouverture d’une enquête afin de déterminer les circonstances et les responsabilités dans l’accident impliquant un véhicule de la garde nationale à Aïn Jloula et qui a coûté la vie à un homme qui était sur sa moto.

Ce tragique accident de la circulation s’est produit hier, lundi 17 mars 2025 à 13h00 dans la région d’Aïn Jloula, relevant de la délégation de Hafouz, dans le gouvernorat de Kairouan.

La Direction générale de la garde nationale (DGGN) s’est exprimé sur ce drame via un communiqué diffusé ce mardi 18 mars d’autant que dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux, on coit le véhicule partir laissant la victime au sol.

En réponse, la DGGN affirme que selon les témoignages recueillis sur place, le chef du centre de la Garde nationale et son accompagnateur sont immédiatement intervenus après l’accident : « Toutefois, face à des difficultés de réseau téléphonique, ils ont dû se déplacer pour pouvoir contacter les secours », lit-on dans le communiqué.

Les unités de la Protection civile sont rapidement arrivées sur les lieux et ont transporté le blessé à l’hôpital local puis à l’hôpital régional de Kairouan, où il a succombé à ses blessures en début de soirée.

Dans son communiqué, la DGGN a également indiqué que les premières investigations suggèrent que l’accident serait dû à un manque de précautions de la part des deux conducteurs. Une enquête judiciaire a été ouverte sur ordre du Parquet, afin de déterminer les circonstances exactes de l’accident et d’établir les responsabilités.

Une enquête administrative interne a également été ouverte par la Garde nationale, affirme encore la même source.

Y. N.

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