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Pourquoi les Chinois tiennent-ils à s’approprier une cimenterie en Tunisie ?

ChineL’ambassadeur de Chine en Tunisie, WAN Li a rappelé, le 23 mars 2025, lors d’un entretien avec l’Agence TAP, la reprise de la cimenterie tunisienne de Djebel el oust (40 kms de Tunis) par l’entreprise chinoise Sinoma Cement, filiale du groupe China National Building Material (CNBM), entreprise publique chinoise produisant du ciment, de gypse, de matériaux de construction et de la fibre de verre.

Contrairement à ce qu’avaient publié la plupart des médias tunisiens, ce projet de rachat n’est pas nouveau. En conséquence, Il ne pouvait être que rappelé, et à la limite confirmé.

En fait, la transaction a eu lieu en bourse au mois d’août 2024. China National Building Material (CNBM) avait acquis, par le canal de sa filiale Sinoma Cement, la part du cimentier multinational brésilien Votorantim Cimentos, dans la cimenterie tunisienne de Djebel el oust.

Le montant du contrat annoncé à l’époque était de 130 millions de dollars, avec des ajustements ne dépassant pas 15 millions de dollars.

Le communiqué publié par Votorantim Cimentos à l’issue de la conclusion de cette aopération nous informe que la réalisation de la transaction est soumise au respect des conditions préalables habituelles, y compris l’approbation des autorités réglementaires en Chine, en Tunisie et dans le Marché Commun de l’Afrique orientale et Australe (COMESA).

Comprendre : la transaction est en règle selon la multinationale brésilienne.

Votorantim Cimentos, présent en Tunisie depuis 2010 suite au rachat de la cimenterie de Djebel Oust au cimenter portugais Cimport, est le principal actionnaire de la cimenterie de Djebel Oust, 2ème cimenterie du pays. Cette cimenterie, qui emploie plus de 200 personnes, produit annuellement 1,2 million de tonnes de ciment et 1,5 million de tonnes de granulats.

Portée géostratégique de la transaction

Compte tenu du fait que la Tunisie est en surproduction de ciment, nous pensons que le groupe CNBM et sa filiale n’ont pas racheté la cimenterie de Djebel Oust pour exporter l’excédent à l’étranger. Ils peuvent certes le faire pour faire des affaires mais nous pensons que ce rachat a d’autres visées.

Parmi ces dernières, figure en bonne place celle de mettre à la disposition des entreprises chinoises qui opèrent en Tunisie une logistique cimentière à même de les aider à s’approvisionner en ciment dans de bonnes conditions.

Est-il besoin de rappeler les engagements pris par les chinois pour réaliser des mégaprojets d’infrastructure en Tunisie. Il s’agit entre autres du pont fixe de Bizerte, de la reconstruction du stade olympique d’El Menzah, de la cité médicale de Kairouan.

C’est pourquoi nous estimons qu’avec le rachat de la cimenterie de Djebel Oust, les chinois mettent de leur côté un important atout pour remporter en Tunisie d’autres juteux marchés.

Selon nos informations, les entreprises chinoises sont pressenties pour remporter  d’autres gros marchés. Il s’agit notamment de port en eaux profondes d’Enfidha, du projet du gisement de phosphate de Sra Ouertane au nord-ouest, du projet de pont sur la mer devant relier Al-Jorf (Zarzis) à Ajim (Djerba), du train à grande vitesse Bizerte-Tataouine, de la réhabilitation du réseau ferroviaire (plus de 2000 kms)  et du projet du tronçon autoroutier, Boussalem-frontière algérienne.

Abou SARRA

EN BREF

Rachat stratégique de la cimenterie de Djebel Oust par la Chine

  • Sinoma Cement (CNBM) a acquis en août 2024 la cimenterie tunisienne de Djebel Oust pour 130 M$.
  • Transaction validée par les autorités chinoises, tunisiennes et du COMESA.
  • L’usine produit 1,2 Mt de ciment et emploie 200 salariés.
  • Objectif : soutenir les mégaprojets chinois en Tunisie (pont de Bizerte, TGV, port d’Enfidha…).
  • Citation clé : « En investissant dans le ciment, la Chine prépare le béton de ses ambitions en Tunisie. ».

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Grève annulée à la STIP : un accord social trouvé

Le ministère des Affaires sociales a annoncé, vendredi, l’annulation de la grève des agents de la Société tunisienne des industries de pneumatiques (STIP), située à Msaken (gouvernorat de Sousse), qui était prévue les 7 et 8 avril 2025.

Le ministère a indiqué, dans son communiqué, que l’annulation de la grève avait été décidée à l’issue d’une réunion tenue vendredi au siège du ministère, présidée par le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, et en présence des représentants syndicaux. Cette réunion a été consacrée à l’examen de la situation sociale au sein de la STIP.

L’accord conclu porte sur l’amélioration du climat social au sein de cette société.

Avec TAP 

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Et si le phosphogypse devenait une richesse nationale plutôt qu’un déchet toxique ?

PhosphateLe débat sur la valorisation du phosphogypse, matière polluante rejetée, annuellement, en mer, à hauteur de 8 millions de tonnes, par les industries chimiques de transformation du minerai de phosphate en acide phosphorique refait surface. C’est le Président de la république Kaïes Saïed qui a relancé le débat sur ce dossier en recevant la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub.

Le Chef de l’Etat a appelé à trouver une solution définitive au problème du “phosphogypse” à Gabès, évoquant la possibilité de son exploitation, sans effets néfastes sur l’environnement. Il a rappelé, à cet égard, les études réalisées, il y a plus de dix ans, par des ingénieurs et des spécialistes à Gabès, qui ont scientifiquement démontré la viabilité et la sécurité de cette solution.

Retrait du phosphogypse de la liste des déchets dangereux

Le gouvernement a très vite réagi à l’appel du président de la république et pris des mesures adéquates, du moins de notre point de vue.

Le 5 mars 2025, un conseil ministériel restreint a décidé  de reclasser le phosphogypse. Jusque là perçu comme un déchet nocif, voire dangereux, il est désormais reconnu comme une ressource exploitable sous certaines conditions.

Le 12 mars 2025, interpellée à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP),  la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie a apporté trois importantes précisions sur le dossier.

La première consiste en la confirmation par des études scientifiques de l’absence de matières radioactives dans le phosphogypse.

« Et si ce que nous rejetions hier comme un poison devenait demain une richesse pour tout un pays ? Le phosphogypse n’est plus un déchet, c’est un défi à relever. »

 

La seconde porte sur la levée d’interdiction du phophopgypse en tant que déchet dangereux. Mieux cette levée d’interdiction a été, d’après la ministre, validée par le ministère de la Santé publique, prouvant ainsi que cette substance industrielle ne représente aucun danger pour la santé.

La troisième a trait à la feuille de route arrêtée pour valoriser dorénavant le phosphogypse. Il s’agit essentiellement de charger le Groupe chimique tunisien de mener des études et des projets sur une période maximale de cinq ans, avec pour objectif de développer des solutions respectueuses de l’environnement et bénéfiques pour les différentes régions du pays.

Des chercheurs tunisiens ont travaillé sur la valorisation du phophogypse

Quant aux études scientifiques auxquelles font référence le Président de la république et la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie, pour justifier la nécessaire valorisation du phosphogypse, les plus pertinentes et les plus pragmatiques sont, à notre connaissance, au nombre de trois. Nous en avons parlé longuement antérieurement.

La plus intéressante, à notre avis, est celle qui a été développée par l’expert Tahar Khouaja, ancien PDG du Groupe chimique tunisien (GCT), propriétaire public des industries chimiques de transformation de phosphate à Gabès. Il propose un usage utile et renouvelable du phosphogypse, une sorte de recyclage de cette matière qui pourrait rapporter, annuellement, un milliard de dinars pour les caisses de l’Etat. Cette matière pourrait, selon lui, être réutilisée comme engrais enrichissant pour le sol.

Mieux dans ses recherches, l’expert va plus loin et estime que le phosphogypse, contrairement à ce qu’on dit, ne contiendrait pas de polluants dangereux.

« On a trop longtemps laissé le phosphogypse empoisonner nos mers. Il est temps de faire de cette cicatrice écologique une source d’espoir économique. »

 

La deuxième étude est à l’actif de la chercheuse Hayet Omri, docteure en chimie. Cette dernière est parvenue à mettre au point une technique pouvant éradiquer la pollution générée par les rejets du phosphogypse. Cette technique consiste, selon elle, en l’utilisation du phosphogypse dans le bâtiment, en le mélangeant à des résidus de plantes et de produits chimiques. Elle a déclaré avoir expérimenté cette technique avec l’assistance d’experts belges. Elle dit avoir présenté son invention au ministère tunisien de l’Environnement qui a promis d’étudier sa proposition.

Pour sa part, Mokhtar Hamdi, universitaire, chercheur et directeur général du Centre national des sciences et technologies nucléaires (CNSTN), a  fait des recherches sur l’extraction de méthane à partir du phosphogypse, le méthane étant un composant principal du gaz naturel. Il est largement utilisé comme combustible pour le chauffage de bâtiments résidentiels et commerciaux. Il entre également dans la production de gaz de synthèse, un mélange d’hydrogène et de monoxyde de carbone.

Pour un contrôle rigoureux de la radioactivité du phosphogypse

Abstraction faite de cette prise de conscience salutaire de la nécessité de valoriser le phosphogypse. L’essentiel est de faire en sorte que le recyclage de ce sous-produit soit effectué selon les normes internationales de sécurité sanitaire et de respect de l’environnement.

Est il besoin de rappeler au plan écologique, que cette matière polluante, rejetée dans la mer (golfe de Gabès et au large de Sfax), des décennies durant, à raison de plus de 8 millions de tonnes par an, a généré la désertification marine (disparition de plusieurs espèces de poisson…) et affecté énormément le golfe de Gabès, plan d’eau réputé pour être une des frayères de la mer Méditerranée et pour abriter la seule oasis maritime de Mare Nostrum.

« Derrière les chiffres effrayants de la pollution marine, se cache un potentiel inexploré. La science, soutenue par la volonté politique, peut changer le cours de notre avenir. »

 

Est-il besoin de rappeler, également, au plan sanitaire, que le phosphogypse, tout comme le minerai dont il est extrait, le phosphate, est, en théorie, légèrement radioactif. Contenant du radium qui se désintègre en formant du radon, un gaz radioactif qui pénètre facilement les poumons, et qui pour cette raison est source de cancers du poumon.

Morale de l’histoire : l’enjeu est de taille. Afin d’éviter tout dérapage, il est recommandé d’encadrer de manière rigoureuse le recyclage industriel du phosphogypse et de s’inspirer, à cette fin, des “best practices” en vigueur dans d’autres pays.

La députée Fatma Mseddi a eu beaucoup de mérite d’avoir attiré l’attention sur cet aspect lors du débat du 12 mars 2025 au parlement avec la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie.

Abou SARRA

EN BREF

Phosphogypse : Déchet ou richesse pour la Tunisie ?

  • 8 millions de tonnes de phosphogypse rejetées chaque année en mer à Gabès.
  • Le président Kaïs Saïed relance le débat sur sa valorisation.
  • Reclassé comme ressource non dangereuse depuis le 5 mars 2025.
  • Études scientifiques : absence de radioactivité confirmée.
  • Objectif : valorisation sur 5 ans par le Groupe chimique tunisien.
  • Propositions : engrais, matériaux de construction, production de méthane.
  • Enjeu : concilier protection environnementale et développement économique.

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FTTH-Europe : Haithem Bouajila en mode textile séduction

Haithem Bouajila, président de la FTTH  a présenté lundi 24 mars devant les équipes économiques et commerciales des 18 États européens représentées par leur ambassade en Tunisie l’industrie textile tunisienne, la vision de la Fédération des Textiles et ses objectifs.

Haithem Bouajila a également soulevé la question des nouvelles règles d’origine suite à la mise à jour de l’accord PAN-Euromed, la grande initiative Tunisian Textiles Green Transition. Il a également exposé devant l’équipe européenne la teneur du mémorandum de l’accord que la Fédération Tunisienne du Textile et de l’Habillement FTTH et EURATEX – Confédération européenne de l’habillement comptent signer mardi 15 avril à Tunis.

« Je crois que notre positionnement naturel d’affaires, de partenariat et de collaboration se situe dans notre région euro-méditerranéenne. Je crois au concept de co-développement dans la région euro-méditerranéenne. Ensemble, nous pouvons passer à un niveau de partenariat plus prometteur, créer de la croissance et renforcer les investissements et les échanges commerciaux entre la Tunisie et l’UE » a posté M.Bouajila sur sa page Facebook.

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SOTUVER : une data room au profit de l’acquéreur potentiel

Les actionnaires de référence de la Sotuver ont annoncé que, suite à la réception d’une offre non engageante de la part d’un important producteur international d’emballage en verre pour l’acquisition d’un bloc d’actions représentant 41 % du capital de la Sotuver, une data room a été ouverte pour permettre à ce dernier de réaliser les audits usuels; et ce, sur une période prévue jusqu’à fin mai 2025.

Les actionnaires de référence de la Sotuver tiendront informé le public de l’avancement de cette opération.

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Médicaments : la Tunisie passe de l’importation à l’exportation

La Tunisie produit aujourd’hui 80 % des médicaments consommés sur son territoire. C’est ce qu’il ressort des révélations faites par Chokri Hamouda, PDG de la Pharmacie centrale, lors de l’émission « Sabah Ennass », ce 25 mars 2025. Cette performance place le pays parmi les rares nations africaines à atteindre un tel niveau d’autosuffisance en matière de santé.

Parmi ces productions locales, 95 % sont des médicaments génériques – aussi efficaces que leurs équivalents originaux, mais proposés à des prix bien inférieurs. Seuls 5 % représentent des médicaments innovants. « Le générique a strictement la même efficacité thérapeutique que le princeps, avec un coût bien moindre pour le système de santé », a insisté le Dr Hamouda.

Un parc industriel complet

Le secteur dispose d’une infrastructure solide comprenant :

  • 42 unités de production de médicaments humains;
  • 4 usines dédiées aux médicaments vétérinaires.

Ces capacités permettent de couvrir l’essentiel des besoins nationaux tout en développant une expertise export.

Le défi des biosimilaires

La Tunisie vient de franchir une nouvelle étape avec le lancement de la production de biosimilaires, ces médicaments biologiques génériques particulièrement complexes à fabriquer. « Certaines unités ont déjà démarré la production. Mais cette filière nécessite des investissements spécifiques, notamment en chaîne du froid et systèmes de conservation », a précisé le responsable.

Vers une souveraineté complète

Cette avancée s’inscrit dans une stratégie globale visant à :

  1. Garantir l’indépendance pharmaceutique du pays;
  2. Maîtriser les coûts des traitements pour la population;
  3. Positionner la Tunisie comme hub pharmaceutique régional.

Avec ces résultats, la Tunisie démontre qu’une approche volontariste en matière de santé publique peut porter ses fruits, ouvrant la voie à d’autres pays africains soucieux de réduire leur dépendance aux importations de médicaments.

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Investissement chinois majeur : 100 millions de dollars pour moderniser une cimenterie tunisienne

L’ambassadeur de Chine à Tunis, WAN Li, a révélé qu’une entreprise chinoise spécialisée dans l’industrie du ciment projette d’acquérir, la semaine prochaine, une cimenterie tunisienne d’une valeur estimée à plus de 100 millions de dollars américains.

Lors une interview télévisée réalisée au studio de l’Agence TAP, l’ambassadeur a souligné que “cet investissement considérable, sera le plus important investissement chinois direct en Tunisie durant ces dernières années” , affirmant que “l’entreprise chinoise apportera ses techniques modernes et développées à l’usine tunisienne et procédera à la modernisation des équipements, ce qui aura des effets positifs sur l’environnement”… “Ceci permettra d’augmenter la productivité et l’efficacité de l’usine installée près de la capitale tunisienne”.

Le diplomate a, par ailleurs, assuré que la Chine encourage ses entreprises à investir en Tunisie, malgré leurs connaissances limitées des législations réglementant le marché tunisien.

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Tunisie : 41 MD investis pour agrandir le parc industriel Neopark El Fejja

Les travaux d’extension du parc industriel »Neopark El Fejja»(gouvernorat de Manouba) sur une superficie de 60 hectares viennent de démarrer.

Ce projet est réalisé par le pôle de compétitivité de Monastir-El Fejja (mfcpole), moyennant une enveloppe de 41 millions de dinars.

Les travaux devront être achevés vers la fin de l’année 2026, a indiqué à l’Agence TAP le directeur technique de la société, Aymen Nasri, ajoutant que ce projet intervient en réponse à la demande croissante des investisseurs souhaitant s’implanter dans la région, ce qui permettra d’aménager 58 nouveaux lots destinés aux activités industrielles.

Selon la même source, des lots s’étendant sur 23 hectares ont été déjà acquis par sept entreprises tunisiennes et étrangères.

Au cours de l’année actuelle, cinq nouvelles entreprises industrielles se sont installées sur une superficie totale d’environ 14 hectares et opèrent notamment dans les secteurs du textile, des composants automobiles, de la fabrication d’aluminium, de la distribution de produits de parfumerie, de cosmétique et de nettoyage ainsi que des industries alimentaires.

Ces nouvelles sociétés contribueront à soutenir l’activité économique au niveau du pôle qui comprend 16 entreprises actives, avec des investissements totaux estimés à environ 700 millions de dinars et qui fournissent environ 3000 emplois.

41 entreprises ont déjà acquis des lots industriels sur une superficie de 66 hectares sur un total de 82 hectares au sein du parc, destinés à y réaliser des projets et activités liés aux secteurs du commerce et des services, d’après la même source.

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Kasserine : 2000 tonnes de papier déjà produites par la SCNPA pour les manuels scolaires

La Société nationale de cellulose et de papier alfa (SCNPA) à Kasserine a parachevé la production d’environ 2000 tonnes de papier, soit une moyenne de 60 tonnes par jour.

Cette production s’inscrit dans le cadre des préparatifs pour la prochaine rentrée scolaire 2025-2026, à la suite à la décision du Conseil ministériel qui a confié à la société de produire 10750 tonnes de papier destiné aux manuels et cahiers scolaires, un processus qui a repris pour la première fois depuis 2018, selon la page officielle de la SNCPA.

Le processus de production avait été entamé le 17 février dernier, aboutissant à la fabrication de 2000 tonnes de papier, alors que le reste de la quantité nécessaire sera assuré dans les mois à venir, conformément à un calendrier préétabli.

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L’ONUDI renforce son soutien aux projets de développement en Tunisie

Le représentant de l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI), à Tunis, Lassaâd Ben Hassine, a révélé que les projets actuellement en cours concernent principalement les domaines de l’artisanat, des expositions internationales, des industries alimentaires et de l’énergie.

Lors d’une réunion tenue vendredi avec le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, Ben Hassine a déclaré que l’ONUDI œuvre à réaliser des projets d’investissement en Tunisie ainsi que de projets interrégionaux qui pourraient en bénéficier dans le pays, selon un communiqué publié par le ministère.

Il a ajouté qu’actuellement l’effort est focalisé sur les niveaux de production, la formation, l’accompagnement des PME, l’accès aux marchés mondiaux et le renforcement de la compétitivité, mettant en valeur la compétence des ressources humaines et des cadres tunisiens et l’expertise qui les distinguent dans ce sens.

Au cours de cette réunion, l’accent a été mis sur les divers aspects de la coopération et des perspectives pour son développement et leur renforcement à travers l’achèvement et l’accompagnement de projets et d’initiatives liés au développement et leur soutien dans l’intérêt du pays, en particulier le commerce et l’accès aux marchés.

Pour sa part, le ministre du Commerce a accueilli favorablement toutes les initiatives et projets discutés, vu leur rôle important dans la promotion de l’économie nationale et la réalisation du développement, en particulier dans les régions intérieures.

À cet égard, il a souligné la qualité des produits tunisiens, en particulier l’huile d’olive et les dattes, ainsi que leur compétitivité sur le marché mondial et leur inclusion dans ces projets au service de leurs exportations, selon la même source.

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Euro-Cycles : Bénéfice net en forte progression (+79,61 %) en 2024

Le conseil d’administration de la société EURO-CYCLES, réuni le mercredi 19 Mars 2025, a passé en revue l’activité de la société au cours de l’exercice 2024 et a arrêté les états financiers de l’année 2024 qui font ressortir :

‐ Un chiffre d’affaires de 119 631 190 DT contre 109 209 273 DT en 2023 enregistrant ainsi une augmentation de 9.54%.

‐ Un résultat net (Bénéfice) de 9 617 451 DT, contre un résultat net de 5 354 450 DT à la clôture de l’exercice 2023 soit une augmentation de 79.61%.

Le conseil d’administration a décidé de proposer la distribution d’un dividende de 0.600 DT (Six cents Millimes) par action, et de convoquer les actionnaires de la Société à la réunion de l’Assemblée Générale Ordinaire Annuelle qui aura lieu le mercredi 18 juin 2025 à 10 heures au siège social de la société située à la Zone Industrielle Kalaa Kebira Sousse.

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STIP : Appel à candidature au poste de représentant des actionnaires minoritaires

La société Tunisienne des Industries de Pneumatiques (STIP) lance un appel à candidature au poste de représentant des actionnaires minoritaires pour les exercices sociaux 2025,2026 et 2027 . La désignation du représentant des actionnaires minoritaires aura lieu par voie d’élection lors de la tenue d’une Assemblée Générale Elective dont la date et le lieu
seront communiqués ultérieurement.

Voici le lien de l’appel à candidature sur le site de la Bourse.

 

 

 

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Marokko – Chinesischer Textilriese Sunrise investiert 2.3 Mrd. MAD

TextilindustrieZwei Produktionsstätten in Fés und Skhirat sollen mehrere Tausend Arbeitsplätze schaffen und die Lieferzeiten in Richtung Afrika, Europa und USA verkürzen. Rabat – Der chinesische Textilkonzern Sunrise investiert 2,3 Milliarden Dirham (ca. 210 Millionen Euro) in den Aufbau von zwei Produktionsstätten in Marokko. Die Vereinbarung wurde in Rabat von Regierungs- und Unternehmensvertreter beider Länder unterzeichnet. […]

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Flashback: loi 72, ombre et lumière de ce modèle

La loi 72-38, adoptée en 1972, a profondément marqué l’économie tunisienne en instaurant un régime fiscal avantageux pour les entreprises exportatrices. Ces sociétés bénéficient d’une exonération totale d’impôt sur les sociétés pendant leurs dix premières années d’activité, suivie d’un taux préférentiel de 10% pour la décennie suivante. Ce système “offshore” a permis également aux entreprises dont au moins 66% du capital est détenu par des non-résidents de rapatrier leurs bénéfices en devises étrangères, tout en leur autorisant d’écouler jusqu’à 50% de leur production sur le marché local. Bien que ces mesures aient initialement attiré des investissements étrangers et créé des emplois, elles ont aussi créé des distorsions économiques majeures.

 

Ce régime fiscal particulier représente désormais deux tiers des exportations tunisiennes, créant une dépendance économique problématique. La Tunisie s’est retrouvée piégée dans les premiers maillons de la chaîne de valeur mondiale, notamment dans le secteur textile, sans parvenir à monter en gamme comme prévu. Cette situation a accentué les inégalités fiscales entre entreprises “offshore” et “onshore”, ces dernières étant taxées à 25% (contre 35% initialement). Les 34317 entreprises offshores recensées en 2022, par l’INS, jouent le rôle de la “colonne vertébrale” dans l’économie nationale, mais leur présence fragilise le tissu industriel local et complique la montée en compétences des travailleurs tunisiens.

 

Pour éviter un scénario catastrophe, les experts préconisent une refonte progressive et stratégique de la loi 72. Plutôt que de simplement aligner les taux d’imposition, il devient urgent de repenser le positionnement économique de la Tunisie dans la chaîne de valeur mondiale. Cela nécessite de transformer le modèle économique actuel en encourageant la montée en gamme des productions locales et en développant des secteurs à forte valeur ajoutée. La réussite de cette transition dépendra de la capacité du gouvernement à concilier attractivité fiscale, justice sociale et développement durable, tout en préservant l’emploi et la compétitivité internationale du pays.

 
 
 

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Erhöhung der Wasserpreise eine dringende Notwendigkeit zur Bewältigung der Wasserkrise

Angesichts der zunehmend besorgniserregenden Situation im Bereich der Wasserwirtschaft sieht sich Tunesien gezwungen, seine Wassertarife zu überarbeiten, um den Herausforderungen der Wasserkrise im Land gerecht Mehr

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