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Inspection surprise des services de La Kasbah par Sarra Zaâfrani Zenzri 

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a effectué une visite inopinée lundi 24 mars 2025 dans plusieurs services de la présidence du gouvernement.

Elle a visité, entre autres, la Haute autorité de la fonction publique, la Direction générale de la formation et du développement des compétences, la Direction générale des associations, l’Autorité de contrôle général des services publics, et la Direction générale des services communs.

Cette visite a permis à la cheffe du gouvernement de s’informer sur le déroulement du travail dans ces différentes entités. Elle a souligné l’importance d’intensifier les efforts, de bien gérer les projets et programmes en cours, et d’accélérer le traitement des dossiers.

Cette démarche s’inscrit dans la politique du président de la République, Kaïs Saïed, qui accorde une grande importance à la nécessité de surmonter les difficultés administratives pour répondre aux attentes des citoyens et faire de l’administration tunisienne un levier pour l’économie nationale.

Sarra Zaafrani Zenzri a insisté sur la primordialité de réformer l’administration en introduisant de nouveaux textes législatifs et réglementaires, afin de se débarrasser des pratiques obsolètes qui ont montré leurs limites. Elle a également souligné la nécessité de mettre en place des méthodes de gestion modernes et efficaces, en fixant des objectifs clairs et des échéances précises, tout en assurant un suivi rigoureux de leur réalisation.

La cheffe du gouvernement a, en outre, rendu visite au Mufti de la République tunisienne, Sheikh Hichem Ben Mahmoud, au Palais du gouvernement. Elle a souligné l’importance du rôle du Diwan des Fatwas dans la promotion des valeurs de l’islam, ainsi que dans le renforcement des principes de modération et de centrisme dans notre pays.

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Des fortes précipitations attendues les prochains jours

Une période de mauvais temps dont le pic aura lieu le jour de l’Aïd dans le sud de la Tunisie. Cette période pluvieuse commencera à partir du mercredi 26 mars .

Selon les prévisions de l’Observatoire tunisien de la météo et du climat, ces conditions météorologiques devraient atteindre leur apogée pendant l’Aïd et au début du mois d’avril, affectant progressivement toutes les régions.

Les précipitations concerneront le pays entre le 25 mars et la première semaine d’avril, avec plusieurs épisodes successifs, et un pic d’intensité prévu durant l’Aïd et les premiers jours d’avril.

L’Observatoire a souligné que le modèle européen de prévisions météorologiques à moyen terme prévoit une longue période de temps humide et pluvieux sur la Tunisie, s’étendant de la fin mars jusqu’à la fin du mois d’avril 2025.

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Boualem Sansal condamné à 10 ans de prison, la France réagit

L’écrivain franco-algérien âgé de 80 ans, Boualem Sansal, a comparu devant un tribunal d’Alger, jeudi 20 mars. Une peine de 10 ans de prison a été requise contre lui.

Le 20 mars, Boualem Sansal a été jugé au tribunal correctionnel de Dar El Beida à Alger, lors d’un procès expéditif d’environ 30 minutes.

À la fin de l’audience, le procureur a demandé une peine de dix (10) ans de prison ferme ainsi qu’une amende d’un million de dinars, rapportent plusieurs médias locaux, dont le quotidien Chorrouk. Cette information a également été relayée par plusieurs médias dont Le Monde et Le Figaro.

Boualem Sansal est poursuivi pour atteinte à l’unité nationale, outrage à l’armée, mise en péril de l’économie nationale et possession de vidéos et de publications jugées menaçant la sécurité et la stabilité du pays.

Le verdict de cette affaire sera rendu le jeudi 27 mars 2025.

Emmanuel Macron a souhaité une « issue rapide » pour Boualem Sansal, affirmant qu’il avait confiance en la président algérien, Abdelmadjid Tebboune. Cependant, le président français estime que l’affaire n’était pas sérieuse et que l’écrivain, malade, méritait d’être libéré.

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Salwa Charfi et Haythem El Mekki ont été laissés en liberté

​Le journaliste et chroniqueur, Haythem El Mekki, et l’universitaire Salwa Charfi ont été convoqués par les forces de l’ordre le 19  mars 2025 pour une audition. Ils ont finalement été laissés en liberté.

Il convient de rappeler qu’il ne s’agit pas du premier litige de Haythem El Mekki avec la justice. Il avait été entendu en mai 2023, avec Elyes Gharbi, par la brigade criminelle d’El-Gorjani pour des propos concernant les forces de l’ordre, avant d’être libéré.

En janvier 2024, il a également comparu à Sfax pour avoir publié des photos de migrants subsahariens sans autorisation, mais a été laissé en liberté.

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Les motos, premières causes de décès depuis le début de Ramadan

Lors d’une intervention sur les ondes de Mosaïque Fm, le Colonel Haythem Chaabani, président de la section du Centre-Ouest pour la sécurité routière, a commenté le comportement du Tunisien en matière de circulation routière durant le mois saint.

Entre le 1er et le 17 mars, 156 accidents de la circulation ont été recensés, entraînant la mort de 51 personnes et faisant 222 blessés.

Haythem Chaabani a précisé que, bien que le nombre d’accidents ait diminué de 37 % et celui des blessés de 30 % par rapport à la même période l’an dernier, le nombre de décès a, en revanche, enregistré une hausse de 19 %.

Il a souligné que l’inattention et la distraction sont les principales causes des accidents. En effet, ils représentent 36 % des cas et ont entraîné 12 décès. La vitesse, quant à elle, est responsable de 19 % des accidents, causant 18 morts et 56 blessés.

Par ailleurs, il a également relevé que les motos sont impliquées dans 54 % des accidents recensés.

Sur le plan régional, la situation est particulièrement alarmante à Sidi Bouzid, où le phénomène a fait neuf victimes. Les régions de Nabeul et Sfax déplorent six décès. Tandis que Monastir, Gafsa et Sousse comptabilisent quatre morts.

Entre 14 h et 16 h, on enregistre pas moins de 14 accidents, représentant 30 % du total des incidents. En fin de journée, à 18 h, huit accidents ont eu lieu, faisant six morts et dix blessés.

Cette situation met en lumière l’urgence de renforcer les mesures de sécurité routière dans ces zones particulièrement touchées.

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Le nombre de chèques utilisés a baissé de 94% en un an

Lors d’une intervention sur les ondes de la Radio nationale, l’expert en droit bancaire Mohamed Nekhili a fait état d’une baisse considérable de 94 % du nombre de transactions réalisées par chèque. Il a précisé que la plateforme scannait quotidiennement 4 000 chèques, contre 200 000 utilisés chaque jour en 2024.

Selon un responsable de la BCT, ces chiffres concernent uniquement les chèques scannés par la plateforme, certains d’entre eux n’y étant pas soumis. La baisse reste néanmoins notable (60 %), même si l’on prend en compte les chèques qui ne passaient pas par la plateforme.

L’animatrice a interrogé le juriste sur le fait que les chèques devraient tous normalement passer par la plateforme. Mohamed Nekhili a expliqué que de nombreux chèques étaient endossés sans être scannés, ce qui, bien que légal, restait une opération risquée. Cette situation serait due à un manque de maîtrise technique ou à la complexité du système.

Il a également formulé des critiques concernant le plafond des chèques, limité à 30 000 dinars, alors que certaines institutions généraient un chiffre d’affaires quotidien supérieur à cette somme. Il a précisé qu’en cas d’erreur sur le montant d’un chèque déjà scanné, il n’existait aucun moyen de corriger l’anomalie ni de débloquer les fonds, sauf si le bénéficiaire s’en rend compte dans un délai de 8 jours. Sinon, l’émetteur du chèque devra attendre 6 mois.

Lire aussi: Mohamed Nekhili : La révision du taux d’intérêt causerait des pertes de 15 MDT pour chaque banque

De plus, certains claviers de téléphones IOS ne comportaient pas de virgule, ce qui compliquait davantage les transactions.

L’expert a, également, appelé les administrations publiques à adopter la plateforme et à rétablir l’acceptation des chèques. Selon lui, ces institutions doivent former leurs employés et leur fournir les compétences nécessaires pour utiliser la plateforme de manière efficace.

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Le porte-parole du gouvernement israélien moque les Israéliens appelant à mettre fin à la guerre

Le porte-parole du gouvernement israélien, Elyon Levy, a montré son indignation, à travers une publication sur le réseau social X, des requêtes d’Israéliens appelant à une fin immédiate du conflit, les qualifiant de délirantes.

« Les Israéliens qui veulent mettre fin à la guerre maintenant souhaitent la reprendre plus tard. Ils veulent récupérer les otages à tout prix et anéantir le Hamas plus tard. Même si cela signifie renier un « cessez-le-feu permanent » ou attendre que le Hamas le rompe en premier.

Nous ne voulions pas de cette guerre. Mais si le Hamas à Gaza nous a imposé la guerre, nous sommes déterminés à la gagner.

Les Israéliens qui pensent que nous pouvons vivre avec le régime terroriste du Hamas comme voisin sont une minorité infime et délirante.

Nous ne prendrons pas le risque d’un autre 7 octobre, qui est ce que le Hamas à Gaza jure de faire « encore et encore ».

Plus jamais, c’est maintenant. » C’est ce qu’on peut on lire sur le compte X de Eylon Levi.

Nous pouvons conclure à travers cette publication que les tensions internes au sein de la société israélienne sont vives. Certains plaidant pour un cessez-le-feu ou une désescalade. Tandis que d’autres insistent sur la nécessité de continuer l’effort militaire pour des raisons de sécurité. Cela reflète les divisions sur la manière dont Israël devrait gérer le conflit en cours et la manière de concilier les préoccupations humanitaires avec les impératifs de sécurité nationale.

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