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Et si les pays de l’AES se retiraient des marchés de l’assurance et de la réassurance de la CEDEAO?

Le retrait du Niger, du Mali et du Burkina-Faso de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est le tout dernier signe de l’instabilité politique régionale. Mais l’impact direct sur les marchés de l’assurance et de la réassurance sera limité sur le court terme.

En effet, dans un nouveau commentaire de Best, intitulé « Les marchés de l’assurance et de la réassurance en Afrique de l’Ouest : éviter les écueils liés à l’incertitude face aux évolutions politiques », AM Best observe que même si les marchés de l’assurance au Niger, au Mali et au Burkina Faso restent relativement de petite taille, les grands risques commerciaux nécessitent la réassurance, qui est principalement fournie au moyen de cessions obligatoires aux porteurs de risques nationaux et régionaux (et rétrocédée aux marchés internationaux) et de souscriptions de réassurances traditionnelles. Elles devraient continuer de jouer un rôle crucial dans le partage des risques; malgré le départ des trois pays de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest).

Pour l’heure, les trois pays restent membres de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurances (CIMA), qui gère les réglementations relatives à l’assurance sur l’ensemble des pays membres au sein de la région. Toutefois, l’AM Best considère qu’une telle initiative pourrait provoquer quelques incertitudes réglementaires pour les assureurs et réassureurs opérant sur ces marchés.

Donc, les exportateurs et importateurs tunisiens (vers ces trois pays) devaient suivre de près cette situation pour éviter toute éventuelle complication.

D’après communiqué

 

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*AM Best est une agence mondiale de notation de crédit, un éditeur de presse et un prestataire d’analyses de données spécialisé dans le secteur de l’assurance. Cette société, dont le siège social est situé aux États-Unis, est implantée dans plus de 100 pays et possède des bureaux régionaux à Londres, Amsterdam, Dubaï, Hong Kong, Singapour et Mexico. 

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209 milliards envolés : la facture salée d’une présence à l’investiture de Trump

209 milliards de dollars. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le montant des pertes cumulées des « cinq milliardaires présents à l’investiture de Trump » le 20 janvier 2025. Il s’agit d’Elon Musk, Jeff Bezos, Sergey Brin, Mark Zuckerberg et de Bernard Arnault.

investiture de Trump

Trump et ses cinq invités de marque lors de son investiture le 20 janvier 2025

L’information a été révélée par nos confrères de Libération le 11 mars 2025, c’est-à-dire sept semaines après l’investiture du 47ème président des Etats-Unis.

Ceci étant, vu leur fortune, ces 209 milliards de dollars de pertes constituent une goutte dans l’océan. « Les milliardaires présents ce jour-là n’avaient jamais été aussi riches, profitant pleinement des gains des marchés boursiers boursiers pendant l’ère Biden », écrit Libé. Et d’ajouter : « … Le début du second mandat de Trump a entraîné un retournement spectaculaire pour bon nombre de ces milliardaires installés derrière lui dans la rotonde du Capitole. »

1,390 billion…

Mais comme nous l’avons souligné plus haut, Libé indique que ce montant de 209 milliards de dollars « n’est rien par rapport à leurs actionnaires ». En effet, « les entreprises derrière ces milliardaires ont perdu, ensemble, plus de mille milliards de dollars (1,390 billion…) en capitalisation boursière depuis le 17 janvier dernier, dernier jour de cotation avant l’investiture de Donald Trump. Tour d’horizon de ces perdants au change », ajoute le journal français.

Avec 148 milliards de dollars partis en fumée, Elon Musk, le patron de Tesla et Space X, aurait été le plus grand perdant dans cette affaire. Mais il ne faut pas trop s’inquiéter, étant donné que sa fortune est estimée à 486 milliards de dollars.

29 milliards de dollars partis en fumée

Il est suivi par Jeff Bezos, qui a laissé sur le carreau 29 milliards de dollars. Pourtant, rappelle Libé, « le créateur et principal actionnaire d’Amazon, propriétaire du Washington Post, s’était vivement opposé à Donald Trump pendant son premier mandat. Mais il prête désormais allégeance à un président « plus calme, plus posé ». « Si je peux l’aider, je le ferai, il y a trop de réglementations dans ce pays », a-t-il notamment déclaré en décembre, un mois après l’élection, lors d’une interview sur scène au sommet DealBook, un événement organisé par le New York Times.

En troisième position, vient Sergey Brin délesté de 22 milliards de dollars. Cofondateur de Google avec Larry Page, et à l’instar de Bezos, il faisait partie des visages de la Silicon Valley ayant élevé la voix en 2017 contre la politique migratoire de Trump, souligne notre source. « Huit ans plus tard, alors que Donald Trump venait d’être élu une deuxième fois, Sergey Brin acceptait une invitation à dîner dans sa propriété de Mer-à-Lago. Dommage. Les actions d’Alphabet Inc. ont chuté de plus de 7 % au début du mois de février. Sergey Brin aurait perdu 22 milliards de dollars, selon les calculs de Bloomberg« .

Deux proches

Enfin, en 4ème et 5ème position, on trouve Mark Zuckerberg et Bernard Arnault, respectivement fondateur de Meta-Facebook et patron de LVMH, qui ont perdu chacun la modique somme de 5 milliards de dollars. Rien à ajouter sinon qu’ils sont tous les deux très proches du milliardaire président américain.

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World Happiness Report 2025 : les Tunisiens pas si heureux que cela !

Le World Happiness Report 2025 des Nations unies, publié le 20 mars, dresse le bien-être et le bonheur dans 147 pays du monde. Ce n’est pas la joie pour tout le monde.

Et du moins qu’on puisse dire, les Tunisiens n’y brillent pas par leur « bien-être » et leur « bonheur ». Ils sont simplement classés à la 113ème position sur 147 pays.

En effet, avec un score de 4,8 sur 10, le pays de Carthage devance la Mauritanie (114ème) mais devancé par le Maroc (112e) et surtout par l’Algérie qui pointe au 84e rang avec un score de 5,4.

Il faut souligner que ce classement est établi à partir de six critères principaux, à savoir : le PIB par habitant, le soutien social, l’espérance de vie en bonne santé, la liberté, la générosité et la perception de la corruption.

La Tunisie toutes les peines du monde à améliorer le bien-être de sa population avec un chômage des jeunes de plus en plus élevé, une instabilité économique persistante, des tensions sociales, avec leur cortège une baisse du pouvoir d’achat, une forte perception de la corruption qui semblent peser lourdement sur le moral des Tunisiens.

De son côté, la Libye, malgré un contexte politique difficile, occupe une position meilleure que les autres pays du Maghreb (79ème) principalement grâce à son niveau de revenu élevé.

A rappeler que la Tunisie était classée au 98ème rang de ce rapport en 2016 et 102e en 2017. En 2018, elle a chuté à la 111ème place, et elle se retrouve à la 113ème position en 2025.

La Finlande demeure le pays le plus heureux pour la huitième année consécutive, suivie du Danemark, de l’Islande, de la Suède et des Pays-Bas.

A l’inverse, l’Afghanistan reste le pays le plus malheureux du monde (147e), devant la Sierra Leone (146e), le Liban (145e), le Malawi (144e) et le Zimbabwe (143e).

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Un accident de la route en Libye fait 8 morts dont 6 Tunisiens

Le président de l’Observatoire tunisien des droits de l’Homme, Mustapha Abdelkabir, qui s’exprimait sur les ondes de Mosaïque FM, a annoncé la mort de six ressortissants tunisiens et la blessure d’un autre dans un accident de la route survenu à l’aube de ce samedi 22 mars 2025, sur l’axe reliant Jalu à Al-Koufra en Libye.

L’accident a été causé par une collision entre un bus transportant des passagers et un camion léger. Les victimes tunisiennes étaient employées par la société Méditerranée Holding, sur le site de Sarir.

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La Zimbabwéenne Kirsty Coventry, nouvelle présidente du CIO

C’est fait, la Zimbabwéenne Kirsty Coventry a été élue, jeudi 20 mars 2025, nouvelle présidente du Comité international olympique (CIO), succédant ainsi à l’Allemand Thomas Bach, qui occupait ce poste depuis 2013.

Agée de 41 ans et septuple médaillée olympique, Coventry a été élue à une majorité absolue, ce qui fait d’elle la première femme et la première africaine à occuper ce poste.

Notons que sept candidats étaient en lice pour les élections de l’organisation reine du sport mondial.

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Libéria – Tunisie (élim. Mondial 2026) : où regarder le match ?

Avec 10 ponts au compteur, les Aigles de Carthage occupent la première place devant leurs adversaires du jour, les Lone Stars du Libéria (7 points) dans le groupe H.

En effet, le Libéria accueille la Tunisie au Samuel Kanyon Doe Sports Complex de Monrovia, ce mercredi 19 mars 2025 dans le cadre de la 5e des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

Le match est à suivre sur le réseau SSC SPORT qui détient les droits de diffusion des éliminatoires africaines pour la Coupe du Monde 2026, et le match sera diffusé sur ses chaînes, en plus de la chaîne nationale tunisienne.

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La Francophonie amputée de trois pays africains

Niger, Burkina Faso et Mali, trois pays africains gouvernés par des régimes militaires opposés à la France, ont annoncé leur retrait de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), comme le souligne France24.

« Le gouvernement nigérien a décidé souverainement du retrait du Niger de l’Organisation internationale de la Francophonie ». C’est ce qu’a écrit le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Laouali Labo, dans une lettre adressée aux ambassadeurs du pays.

Le Niger, où l’OIF a été créée en 1970, est une ancienne colonie où la langue officielle est le français. « Le Niger a écrit à la France et la France nous a informés de cette notification », a confirmé la porte-parole de l’organisation, Oria K. Vande Weghe, lundi 17 mars. Le pays compte 13 % de francophones, soit un peu plus de trois millions d’habitants.

L’OIF, « au lieu d’accompagner ces pays dans la réalisation des objectifs légitimes de leurs peuples, (…) s’est illustrée par l’application sélective de sanctions sur la base de considérations géopolitiques et le mépris pour leur souveraineté. Elle est ainsi devenue un instrument politiqué téléguidé », affirment les ministres des Affaires étrangères de l’Alliance des États du Sahel (AES). Ils s’exprimaient ainsi dans un communiqué conjoint rendu public dans la soirée de mardi 18 mars, écrit la Télévision publique française.

 

 

A noter que le Niger avait été suspendu de l’organisation quelques mois après le coup d’État, qui avait renversé en juillet 2023 le président élu Mohamed Bazoum. Toutefois, quelques programmes avaient bénéficié d’une exception. L’OIF avait exigé un retour rapide à l’ordre constitutionnel et la libération de Mohamed Bazoum, séquestré depuis le coup d’État avec son épouse dans le palais présidentiel.

Idem pour le Burkina Faso qui aurait déjà annoncé une démarche similaire, selon Oria K. Vande Weghe.

Pour sa part, le Mali a lui aussi annoncé, mardi 18 mars, son retrait de l’OIF dans une lettre du ministère des Affaires étrangères. « Le Mali ne peut demeurer membre d’une organisation aux agissements incompatibles avec les principes constitutionnels (…) fondés sur la souveraineté de l’État », indique le document.

Comme le Niger et le Burkina Faso, le Mali avait été suspendu de l’OIF en 2020, après le coup d’État ayant renversé le président élu Ibrahim Boubacar Keïta.

Basée à Paris, l’OIF compte désormais 91 États et gouvernements avec pour mission de promouvoir la « langue française et la diversité culturelle et linguistique », « la paix, la démocratie et les droits de l’Homme », ou encore « d’appuyer l’éducation », rapporte France24.

Est-ce que pour autant, ces trois pays vont remplacer le français par une autre langue, forcément étrangère? Auquel cas laquelle? Et en attendant, les Maliens, Burkinabès et Nigériens vont-ils continuer à parler la langue de Molière?

Rappelons le précédent rwandais après le génocide « tutsi » de 1994. Le nouveau pouvoir tutsi a tout de suite imposé l’anglais comme langue de l’administration aux dépens du français. Et ce n’était pas contre la France, mais parce les nouveaux dirigeants étaient majoritairement anglophones.

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Prouesse médicale à l’Institut national de neurologie Mongi Ben Hamida 

L’équipe médicale du service de neurochirurgie de l’Institut national de neurologie Mongi Ben Hamida réalise avec succès trois opérations délicates sur des nourrissons. Pour ce faire, elle a utilisé des techniques endoscopiques, qui seraient les premières du genre à être appliquées en Tunisie, pour traiter la craniosténose. C’est ce qu’annonce le ministère de la Santé sur sa page officielle.

Ce succès a été obtenu sous la direction du professeur agrégé Sofiane Bouali et la supervision médicale du chef du service le professeur Jalal Kallel. Avec bien évidemment la collaboration de l’équipe d’anesthésie et de réanimation, précise aussi le département de la Santé. Et comme le rapporte un site de la place.

De ce fait, cette technologie de pointe aura donc permis la correction de la déformation qui touchait les nourrissons, sans chirurgie ouverte. Ce qui réduit ainsi les risques, tout en accélérant la guérison des très jeunes patients.

Au final, les trois opérations ont été couronnées de succès. Elles témoignent de la compétence du personnel médical tunisien, ainsi que des progrès significatifs que connait le secteur de la santé publique en Tunisie. Et ce, grâce à la formation continue et à l’utilisation des technologies médicales de pointe, poursuit la même source.

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