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Tunisie : Ouverture des candidatures pour le Prix de la meilleure recherche scientifique féminine 2025

Le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors a annoncé, ce mardi, l’ouverture des candidatures pour le Prix de la meilleure recherche scientifique féminine pour l’année 2025, portant sur le thème “L’impact de l’intelligence artificielle sur les capacités des individus”.

Selon un communiqué du ministère, la date limite de dépôt des candidatures est fixée au 20 mai prochain. Le prix, d’un montant de quinze mille dinars, sera décerné à la meilleure recherche scientifique féminine réalisée par une chercheuse de nationalité tunisienne et ce, le 13 août 2025 à l’occasion de la célébration de la fête nationale de la femme.

Le travail de recherche primé doit avoir été réalisé et publié au cours des trois dernières années, à compter de 2025.

D’après le communiqué, les dossiers de candidature doivent être envoyés à l’adresse du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors par lettre recommandé ou déposés directement au bureau d’ordre central du ministère.

Institué depuis 2009, le prix de la meilleure recherche scientifique féminine vise à encourager les chercheuses tunisiennes à promouvoir leur parcours scientifique.

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Tennis : Ons Jabeur évoque sa blessure et son retour sur les courts

La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur a affirmé souffrir d’une légère fatigue musculaire.

Dans un post publié sur sa page facebook officielle, la tenniswoman (30e mondiale) a révélé que les examens médicaux ont montré qu’elle souffrait d’une légère fatigue musculaire et qu’elle ferait son retour sur les courts de tennis une fois rétablie.

Pour rappel, Jabeur s’était blessée samedi dernier lors de son match face à l’Italienne Jasmine Paolini (7e mondiale), comptant pour le 3e tour du Masters 1000 de Miami. La blessure l’avait contrainte à abandonner dès le premier set, alors qu’elle était menée 3-4.

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Gafsa : La région déclarée exempte de criquets pèlerins, selon le CRDA

Le chargé de gestion au commissariat régional au développement agricole à Gafsa, Monji Aâfi a affirmé, à l’Agence TAP, que toute la région est déclarée exempte des criquets pèlerins.

Pour le contenu publié, dimanche, sur les réseaux sociaux prétendant la présence de criquets pèlerins à Zaâbtia (Gafsa-nord) et Majouret-Dakhla (Sned), Aâfi a souligné qu’il s’agit bien d’une fausse vidéo.

Les inspections menées sur place par les équipes techniques ont prouvé qu’il s’agit, plutôt, de criquets locaux qui ne représentent aucune menace pour le secteur agricole, a-t-il précisé.

Par ailleurs, une quantité de 200 litres de pesticides a été fournie aux régions frontalières à Om Larayes, Redeyef, Sidi Boubaker et Métlaoui, dans le cadre de la lutte contre les criquets pèlerins.

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Coupe de Tunisie 2024/2025: Le progamme des 16es

Programme des rencontres des 16es de finale de la coupe de Tunisie de football, édition 2024-2025, prévues les 5, 6 et 14 avril prochain (tous les matchs à partir de 14h):

Samedi 5 avril
A Tataouine:
US Tataouine – Club Africain

A Ben Guerdane:
US Ben Guerdane – CA Bizertin

Stade à déterminer:
O Béja – CS Msaken

A Gafsa:
EGS Gafsa – ESH Sousse

A Jendouba:
Jendouba Sport – AS Gabés

A Kairouan:
JS Kairouan – Sfax RS

A Bembla:
CS Bembla – CSH Lif

A Khénis:
CS Khenis – JS Mannouba

Dimanche 6 avril
A Métlaoui:
ES Métlaoui – ES Zarzis

A Monatir:
US Monastir – JS Omrane

Au Bardo:
Stade Tunisien – O Sidi Bouzid

A Mornag (à huis clos):
SS Mornag – ES Sahel

A Oum Laarayes:
GS Om Laarayes – AS Soliman

A Hammam Zriba:
US Zriba – CS Sfaxien

A Jelma:
AS Jelma – PS Sakiet Eddaier

Lundi 14 avril
Espérance ST – AS Kasserine

 

 

 

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Tunisie : Les réserves en eau des barrages chutent à 835 millions de m³

Les réserves en eau de l’ensemble des barrages tunisiens ont, légèrement, régressé de 4,07 %, à 835 millions de m3, contre 869 millions de m3, une année auparavant. Le taux de remplissage dans ces barrages s’est situé au niveau de 35,5%, à la date du 24 mars courant, a indiqué, mardi, le directeur du Bureau de la Planification et des Equilibres Hydrauliques, au ministère de l’Agriculture, Sinan Bacha.

La baisse est encore plus importante (au niveau de 9,22 %), en comparaison avec la moyenne enregistrée durant les trois dernières années, a-t-il ajouté, lors d’une conférence tenue, au siège du ministère, à l’occasion de la journée mondiale de l’eau célébrée le 22 mars de chaque année.

Selon lui, les barrages du nord ont reçu les apports pluviométriques les plus importants (814 millions de m3) , suivis de ceux du centre (51 millions de m3) et du Cap-Bon ( 4 millions de m3). “Durant la période allant du 1er septembre 2024 au 24 mars 2025, la moyenne des précipitations a dépassé la moyenne saisonnière de près de 107%, soit 80% de la moyenne annuelle”.

A en croire le responsable, la situation hydrique actuelle reste “difficile” vu la sécheresse enregistrée les 8 dernières années et la hausse des températures parfois records entraînant l’évaporation des réserves en eau dans les barrages (de 700 à 900 mille m3/jour).

Il a, également, évoqué d’autres facteurs à l’origine de cette crise hydrique comme la baisse “sans précédent” du niveau des nappes phréatiques et souterraines et la hausse de la salinité de l’eau, outre le changement climatique exacerbant cette situation, face à une demande croissante.

Pour minimiser les effets de cette crise hydrique, Sinan Bacha a mis l’accent sur l’importance de recourir aux ressources d’eau non conventionnelles et de trouver d’autres alternatives comme le dessalement de l’eau de mer et des eaux souterraines salines, l’utilisation des eaux usées et l’adaptation au changement climatique.

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Tunisie : Une soirée ramadanesque en hommage aux résidents du centre Om El Khir

Une soirée ramadanesque a été organisée, lundi soir, en l’honneur des personnes âgées résidant au centre “Om El Khir” des personnes âgées à l’Ariana.

Selon un communiqué du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors, cet événement s’inscrit dans le cadre des activités culturelles des établissements de prise en charge des personnes âgées durant le mois de Ramadan.

La soirée, à laquelle ont assisté la ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors, Asma Jebri, la ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, et le gouverneur de l’Ariana, Walid Sandid, a été animée par plusieurs artistes.

A cette occasion, les responsables ont pris connaissance des services offerts ainsi que des conditions de vie des 45 personnes âgées prises en charge par l’établissement.

Entré en service en juin 2024, le centre “Om El Khir” dispose de 28 chambres pour accueillir les personnes âgées sans soutien familial, avec des équipements de haute qualité. Sa construction et son aménagement ont nécessité un budget d’environ 13 millions de dinars.

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Concours arabe de musique et de chanson 2025 : ASBU ouvre les candidatures

L’Union de radiodiffusion des Etats arabes (ASBU) a annoncé l’ouverture des candidatures pour les stations de radiodiffusion membres de l’Union ainsi que pour les stations de radiodiffusion privées diffusant en arabe, qu’elles soient régionales ou internationales, afin de participer à la 15ème édition du concours arabe de musique et de chanson, qui se tiendra du 27 au 29 mai 2025.

L’appel à candidatures est ouvert jusqu’à la fin du mois d’avril prochain, et les résultats seront dévoilés lors de la 25ème édition du Festival arabe de la radio et de la télévision, qui se déroulera du 23 au 26 juin 2025.

Ce concours comprend deux catégories de chansons : la première, “la chanson pour orchestre” autour du thème “le patriotisme”. La chanson doit être composée dans les modes arabes et ne dépassant pas sept minutes. La deuxième catégorie concerne la “pièce musicale”, qui met l’accent sur la création d’une œuvre musicale composée selon les formes classiques de la musique arabe, utilisant des modes et rythmes arabes, et interprétée avec un orchestre moderne alliant tradition et touches contemporaines, sans dépasser cinq minutes.

Deux prix seront attribués dans chaque catégorie; le premier prix dans la catégorie “chanson pour orchestre” est de 10 000 dollars, tandis que le deuxième prix est de 6 000 dollars. Les prix dans la catégorie “pièce musicale” seront de 6 000 dollars pour le premier prix et de 3 000 dollars pour le deuxième prix.

Il est à rappeler que le concours arabe de musique et de chanson, organisé tous les deux ans, a pour objectif de promouvoir la production musicale arabe et de soutenir les nouvelles expériences artistiques.

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La Tunisie confirme son leadership dans les transplantations d’organes avec trois opérations réussies

Le Centre national pour la promotion de la transplantation d’organes a annoncé lundi le succès de trois opérations de greffe d’organes réalisées dans la soirée du samedi 22 mars courant par un donneur en état de mort cérébrale.

Le département ministériel a déclaré sur sa page officielle “Facebook” que cet exploit médical vient confirmer le leadership de la Tunisie dans ce domaine.

Dans le détail, le département explique qu’il s’agit de la greffe d’un cœur à l’hôpital universitaire de La Rabta, la transplantation d’un foie à l’hôpital universitaire de Mongi Slim a et la transplantation d’un rein à l’hôpital universitaire de Fatouma Bourguiba à Monastir en collaboration avec l’hôpital universitaire de Charles Nicolle.

Ces interventions délicates ont été couronnées de succès grâce aux efforts des équipes médicales, en coordination avec le Centre national pour la promotion de la transplantation d’organes, et avec le soutien du staff médical et paramédical de l’hôpital universitaire Tahar Maâmouri de Nabeul.

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Mondial 2026 (Qualifs/Gr H/6e J) : La Tunisie maintient sa pole position grâce à une victoire 2-0 contre le Malawi

Dans un Stade Hamadi Agrebi en demi-teinte, la sélection tunisienne a dû patienter jusqu’à la 87e minute pour finalement briser la résistance malawite (2-0), lors de la 6e journée des éliminatoires africaines de la Coupe du Monde 2026 (Groupe H). Grâce à ce succès, les hommes de Sami Trabelsi restent en pole position et balisent davantage le chemin vers le Mondial nord-américain.

Alignés en 4-3-3 avec quelques ajustements par rapport au match contre le Liberia (notamment l’entrée de Naim Sliti et Elias Achouri), les Aigles de Carthage ont dominé la possession sans toutefois inquiéter sérieusement la défense malawite. Hannibal Mejbri, en véritable chef d’orchestre, a multiplié les distributions et les montées balle au pied, mais les Tunisiens ont manqué de réalisme dans la dernière passe.

Du côté du Malawi, le système en 3-5-2 a surtout consisté à attendre en bloc bas, avant de tenter quelques contres rapides. L’une de leurs rares occasions a failli aboutir à la 44e minute, quand une tête de Dominic Lioyd Njaliwa a trouvé la transversale d’Aymen Dahmène, avant que John Banda ne manque le cadre sur la relance.

Une seconde période plus offensive, mais toujours frustrante

Sami Trabelsi a tenté de relancer son équipe en faisant entrer Seifallah Letaief à la place d’Anis Ben Slimane.

L’impact fut immédiat, avec plusieurs occasions créées, notamment par Ali Abdi, dont une frappe qui a frôlé la barre (51e). Naim Sliti (52e) et Hamza Mastouri (75e) ont également manqué de précision, tandis que le gardien malawite William Thole repoussait héroïquement plusieurs tentatives tunisiennes.

Le tournant du match est survenu à la 65e minute, avec l’expulsion de Lloyd Aaron (second carton jaune), mettant le Malawi en infériorité numérique. Les Tunisiens ont alors accentué leur pression, mais le manque d’efficacité persistait… jusqu’à l’entrée en jeu de Seifeddine Jaziri.

A la 87e minute, le but tant attendu est enfin venu : sur un centre parfait d’Elias Achouri, Jaziri a plongé pour crucifier Thole d’une tête impeccable (1-0). Trois minutes plus tard, un penalty accordé après une faute sur Ali Abdi permettait à Achouri de doubler la mise (90e, 2-0).

Le Malawi a eu une ultime occasion de réduire le score sur un penalty contestable en fin de match, mais Dahmène a réalisé un arrêt décisif, préservant ainsi le clean sheet et offrant aux siens une victoire méritée, quoique tardive.

Formation de la Tunisie:

Aymen Dahmene, Ali Abdi, Dylan Bronn, Montassar Talbi, Mahmoud Ghorbel, Aissa Laidouni, Anis Ben Slimane (Seifellah Letaief), Hannibal Mejbri (Nader Ghandri), Naim Sliti (Ferjani Sassi), Elias Achouri, Hazem Mastouri (Seifeddine Jaziri).

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Mission d’affaires multisectorielle en Mauritanie : Opportunités pour les entreprises tunisiennes

Une mission d’affaires multisectorielle à Nouakchott en Mauritanie sera organisée du 25 au 29 mai 2025, par le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), en collaboration avec l’Ambassade de Tunisie à Nouakchott et la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’agriculture de Mauritanie “CCIAM”.

D’après le CEPEX, le programme de cette mission comprend un forum économique tuniso-mauritanien et des rencontres professionnelles B2B tuniso-mauritaniennes (26 mai 2025) et des visites des principales structures économiques et d’acheteurs cibles (27 et 28 mai 2025).

Les secteurs et filières concernés par cette mission sont le BTP et matériaux de construction, les énergies et les énergies renouvelables, la santé, pharmaceutique et parapharmaceutique, l’agriculture et les industries agricoles, les technologies des informations et de communication (TIC).

Les entreprises tunisiennes intéressées par cette mission peuvent s’inscrire via le lien httpss://www.e-cepex.tn/c/b2b/details/340 et ce, au plus tard le 10 avril 2025.

Le CEPEX a fait savoir que cette mission est éligible au soutien du Fonds de Promotion des Exportations FOPRODEX.

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Tunisie et Norinco explorent des partenariats pour les grands projets d’infrastructure

“La prospection des opportunités d’investissement dans les grands projets structurants en Tunisie et l’exploration des opportunités de coopération dans ces domaines” a été au centre d’une rencontre entre le Directeur Général de la FIPA, Jalel Tebib et une délégation chinoise de la société “Norinco”, présidée par son Directeur Général Adjoint, Jia Yongzhi a fait savoir, mardi, l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur.

Les responsables chinois ont exprimé à l’occasion de cette visite effectuée le 19 mars courant au siège de FIPA-Tunisia, “la volonté de leur pays de soutenir un partenariat durable et de travailler avec la Tunisie dans les grands projets”.

Norinco est une société d’État sous contrôle direct du gouvernement de la République Populaire de Chine. Elle participe à la construction de divers projets d’envergure tels que les chemins de fer, les centrales thermiques et hydroélectriques, les projets de transmission et de transformation de l’énergie, les installations pétrolières et minérales.

Tebib a, de son côté, donné un aperçu sur le climat des affaires en Tunisie, le cadre législatif mis en place pour en encourager l’investissement et les opportunités offertes dans les secteurs prioritaires à forte valeur ajoutée.

Il a, également, présenté des grands projets à réaliser en Tunisie dans le cadre du Partenariat Public-Privé.

La délégation a, également, eu des entretiens avec les hauts responsables de l’Instance Générale de Partenariat Public Privé.

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Poste tunisienne : 131 bureaux de poste assureront des séances nocturnes

Cent trente et un (131) bureaux de poste répartis sur toutes les régions de la République seront exceptionnellement ouverts, la nuit, les 27 et 28 mars 2025, de 20h30 à 23h30, afin de permettre aux citoyens d’effectuer leurs transactions financières et postales pendant la dernière semaine du mois de Ramadan, a annoncé la Poste tunisienne, mardi.

La liste des bureaux de poste qui assureront ces séances nocturnes est disponible sur le site de la Poste www.poste.tn

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Skander Haddar : “Notre objectif est que le TDS ne soit pas qu’un événement annuel, mais une véritable plateforme d’innovation continue”

Interview avec Skander Haddar, cofondateur du Tunisia Digital Summit (TDS).

WMC : Monsieur Haddar, vous êtes à l’origine du Tunisia Digital Summit, qui en est à sa 9ᵉ édition cette année. Pouvez-vous nous rappeler les motivations qui ont conduit à la création de cet événement ?

Skander Haddar : Le Tunisia Digital Summit est né d’un constat simple mais préoccupant : malgré un fort potentiel, la Tunisie n’exploitait pas encore pleinement les opportunités offertes par le numérique. En 2017, nous avons voulu combler ce manque en créant une plateforme dédiée à la transformation digitale, où se rencontreraient décideurs, entreprises technologiques, startups et institutions publiques.

Notre but était triple : sensibiliser sur les enjeux du digital, mettre en avant les success stories locales et internationales, et surtout, favoriser l’émergence d’un écosystème numérique solide. Aujourd’hui, le TDS est devenu bien plus qu’une conférence : c’est un espace de networking, un catalyseur d’innovation et un levier de développement pour de nombreux secteurs en Tunisie.

WMC : Le Tunisia Digital Summit bénéficie d’un partenariat avec le Ministère des Technologies de la Communication. Comment l’État s’implique-t-il dans cet événement et quel est son rôle dans l’accélération de la transformation digitale en Tunisie ?

Skander Haddar : L’implication de l’État est essentielle pour faire avancer la transformation digitale à grande échelle. Dès les premières éditions du TDS, nous avons collaboré étroitement avec le Ministère des Technologies de la Communication, qui joue un rôle clé dans la mise en place des stratégies numériques nationales.

Ce partenariat permet d’intégrer au débat les initiatives publiques en matière de digitalisation des services administratifs, de modernisation des infrastructures technologiques et de promotion des startups innovantes. Le Ministère participe activement aux panels et aux discussions, partageant les avancées des projets gouvernementaux et recueillant les retours des acteurs privés pour mieux ajuster les politiques publiques.

Mais au-delà du Ministère des Technologies, d’autres institutions publiques et organismes spécialisés collaborent directement et indirectement au programme du TDS. Des structures comme l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII) jouent un rôle clé dans l’accompagnement des entreprises industrielles vers la digitalisation et l’adoption des nouvelles technologies. Le Centre International des Technologies de l’Environnement de Tunis (CITET) intervient pour intégrer les enjeux du numérique dans la transition écologique et le développement durable.

D’autres institutions comme Smart Tunisia, qui soutient l’investissement et l’exportation des services IT, ou encore la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qui finance plusieurs projets liés à l’innovation numérique, contribuent à enrichir les échanges et à créer des opportunités concrètes pour les entreprises et les startups.

Cette collaboration multisectorielle illustre bien que la transformation digitale est un enjeu transversal qui touche toutes les sphères de l’économie et de la société. Grâce au TDS, ces institutions peuvent partager leurs visions, aligner leurs efforts et travailler conjointement avec le secteur privé pour accélérer la transition numérique de la Tunisie.

WMC : Cette 9ᵉ édition met l’accent sur “La digitalisation et le rôle social de l’État : Bâtir des services publics inclusifs”. Pourquoi avoir choisi cette thématique ?

Skander Haddar : La transformation digitale ne doit pas être une simple modernisation des outils, mais une réelle avancée vers une société plus inclusive et efficace. Nous avons choisi cette thématique pour mettre en lumière l’impact que peut avoir le numérique sur l’accès aux services publics, notamment pour les populations les plus vulnérables.

Dans de nombreux pays, la digitalisation a permis d’améliorer considérablement des secteurs clés comme la santé, l’éducation, l’administration ou encore la justice. En Tunisie, nous avons encore du chemin à parcourir, mais des initiatives prometteuses émergent, et c’est précisément ce que nous voulons valoriser lors de cette édition.

L’État joue un rôle central dans cette transition. En mettant en place des plateformes digitales accessibles, en simplifiant les démarches administratives et en garantissant la cybersécurité, il peut véritablement transformer l’expérience des citoyens. À travers cette thématique, nous voulons encourager un dialogue constructif entre les acteurs publics et privés pour accélérer cette évolution.

WMC : Le programme de cette année est riche et varié. Quels sont les moments forts que vous recommandez aux participants de ne pas manquer ?

Skander Haddar : Chaque édition du TDS est pensée pour offrir aux participants un condensé des tendances, des innovations et des meilleures pratiques en matière de digitalisation. Cette année, plusieurs moments forts méritent une attention particulière.

D’abord, notre conférence d’ouverture réunira des experts de renommée internationale qui viendront partager leur vision sur l’avenir du numérique en Tunisie et dans le monde. Ensuite, le panel sur la santé numérique sera un moment clé, car la question de l’e-santé devient cruciale, notamment dans un contexte post-pandémique où l’accès aux soins via le digital est plus pertinent que jamais.

Un autre point fort sera le panel consacré à l’éducation 4.0, où nous discuterons des défis de la formation aux nouvelles compétences et du rôle que la technologie peut jouer dans l’amélioration du système éducatif.

D’autres panels et workshops aborderont des thématiques clés comme la cybersécurité et la protection des données, la digitalisation des services financiers, l’intelligence artificielle et l’automatisation, ainsi que les enjeux du e-commerce et du cloud computing. Ces sessions offriront aux participants des insights concrets et des solutions adaptées aux défis actuels du numérique.

Enfin, nos sessions de networking et nos démonstrations technologiques permettront aux entreprises de découvrir des solutions innovantes, et aux startups de nouer des contacts avec des investisseurs et partenaires stratégiques.

WMC : Depuis sa création, comment le TDS a-t-il évolué en termes d’impact sur l’écosystème numérique tunisien ?

Skander Haddar : L’évolution du TDS reflète celle du secteur numérique en Tunisie. Lors de la première édition, nous avions quelques centaines de participants et des échanges encore timides. Aujourd’hui, nous réunissons plus de 2000 participants, 80 exposants, 20 workshops et des délégations internationales venues partager leur expertise.

L’impact du TDS est visible à plusieurs niveaux. D’abord, il a permis de créer un véritable espace de réflexion et d’échange entre les acteurs du numérique dans un espace B to B dédié, contribuant ainsi à une meilleure structuration de l’écosystème. Ensuite, il a facilité la mise en relation entre startups, grands groupes et investisseurs, aboutissant à plusieurs collaborations fructueuses.

Notre ambition est de continuer à élargir cet impact, en rendant le TDS encore plus interactif et en intégrant davantage d’initiatives concrètes qui auront un effet direct sur le développement du numérique en Tunisie.

WMC : Quels sont les défis majeurs que vous anticipez pour les prochaines éditions du TDS ?

Skander Haddar : Nous faisons face à plusieurs défis, qui sont autant d’opportunités pour faire évoluer le TDS.

Le premier défi est l’adaptation aux nouvelles technologies. L’intelligence artificielle, la blockchain, le Web3 et l’IoT bouleversent le paysage numérique. Nous devons nous assurer que nos discussions et panels restent en phase avec ces transformations et offrent des perspectives exploitables pour les entreprises et institutions tunisiennes.

Un autre défi est l’internationalisation de l’événement. Nous avons déjà des intervenants et participants étrangers, mais nous souhaitons renforcer cette dimension en attirant plus d’investisseurs et d’acteurs internationaux, notamment du continent africain, où les défis et opportunités numériques sont similaires aux nôtres.

Enfin, un défi fondamental reste la mise en œuvre concrète des solutions discutées pendant le TDS. Nous voulons que l’événement ne soit pas qu’un lieu de débat, mais un véritable laboratoire d’idées, où naissent des projets concrets ayant un impact mesurable sur le terrain.

WMC : En tant qu’entrepreneur, quel conseil donneriez-vous aux jeunes tunisiens souhaitant se lancer dans le secteur du numérique ?

Skander Haddar : Le numérique est l’un des secteurs les plus dynamiques et porteurs, mais il exige une grande capacité d’adaptation et un apprentissage permanent.

Mon premier conseil serait de se former en continu. Les technologies évoluent rapidement, et rester à jour sur les tendances est essentiel. Ensuite, je leur dirais de ne pas avoir peur de l’échec. L’entrepreneuriat numérique est un parcours semé d’embûches, mais chaque obstacle est une opportunité d’apprentissage.

Il est aussi crucial de s’entourer des bonnes personnes. Le succès d’une startup dépend souvent de la qualité de son réseau et de l’expertise de ses collaborateurs. Participer à des événements comme le TDS permet justement de rencontrer des mentors, des partenaires et des investisseurs qui peuvent accélérer une idée et la transformer en véritable entreprise.

Enfin, je leur dirais de penser global dès le départ. La Tunisie est un marché prometteur, mais le digital n’a pas de frontières. Un bon produit ou service doit pouvoir s’exporter, et c’est cette ambition internationale qui fera la différence.

WMC : Pour conclure, comment envisagez-vous l’avenir du Tunisia Digital Summit ?

Skander Haddar : Nous avons de grandes ambitions pour le TDS. Notre vision est d’en faire la référence en matière de transformation digitale en Afrique. Nous allons continuer à innover, en intégrant plus d’interactivité, en renforçant la présence des startups et en mettant en place des initiatives concrètes pour accélérer l’adoption du digital en Tunisie.

Notre objectif est que le TDS ne soit pas qu’un événement annuel, mais une véritable plateforme d’innovation continue, avec des rencontres régulières, des formations et des espaces de collaboration tout au long de l’année.

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Dette extérieure : La Tunisie portée par un effet Momentum selon Akram Gharbi

Le pays est en voie de réduire ses déficits et de comprimer sa dette extérieure. En persévérant à soigner son profil de risque, la Tunisie pourra capitaliser sur son image positive et revenir, à horizon proche, sur le marché international de la dette.

Akram Gharbi, Responsable Investissement Crédit chez Crédit Mutuel Asset Management a répondu aux questions de WMC.

Akram GHARBIComment les marchés déterminent-ils le profil de risque-pays ? Prennent-ils en considération les avis des agences de notation ?

Les marchés sont indépendants et par conséquent déterminent leur propre appréciation des risques pays. Ils procèdent à leur évaluation, en toute autonomie, étant en prise directe avec la réalité du terrain. C’est sans mystère car les marchés font un tracking permanent et en temps réel de la situation financière et donc de la solvabilité des pays émetteurs. Pour leur part les agences de notation se retrouvent ‘’Behind the curve’’, comprenez qu’elles interviennent avec un certain retard.

A titre d’exemple quel a été le scénario dans le cas de la Tunisie à la suite du relèvement de sa notation souveraine ?

Rappelons que Fitch, il y a quelques mois a relevé le rating de la Tunisie de deux crans passant de CCC- à CCC. Et que, plus récemment, au cours du mois de février dernier Moody’s a rehaussé d’un cran sa notation. Je préciserais que le marché a préalablement anticipé cette amélioration du risque de la Tunisie. Et il a acté ce fait en cotant la prime de risque du pays au-dessus du grade CCC. Sachez que le marché use de discernement. A titre d’illustration, je citerai l’exemple d’un pays proche. En ce moment la prime de risque du Sénégal est à 10%, (soit 3 points au-dessus de la Tunisie) alors que ce pays est noté simple B soit deux crans au-dessus.

Que retiennent les marchés des appréciations récentes de Moody’s ?

Les appréciations des experts des marchés et des agences se rejoignent. Il y a à retenir que le pays a significativement baissé son besoin de refinancement extérieur. A fin 2023 la Tunisie était appelée à rembourser en deux ou trois séquences, une enveloppe de 2,5 milliards équivalent dollars US. Souvenez-vous qu’à ce moment le pays n’avait pas les faveurs des pronostics. Et la dette était décotée avec des CDS élevés.

«La Tunisie a réussi à rassurer les marchés financiers sans avoir recours au FMI, grâce à une gestion rigoureuse de sa dette et une stratégie réaliste : c’est cela, l’effet Momentum.»

 

Le pays aurait-il pu profiter de la circonstance et racheter sa dette à un prix inférieur à sa valeur faciale ?

C’est envisageable. Cependant les agences de notation désapprouvent. Cette pratique est répandue chez les entreprises, américaines notamment. Celles-ci mobilisent leur trésorerie pour réaliser ce deal avantageux.

Sur quels éléments alors les marchés adossaient leur scepticisme quant au bon dénouement de la dette tunisienne ?

Le contexte était quelque peu contrariant. Souvenez-vous, la crise du Covid survenait alors que le pays achevait son chantier de transition démocratique. Là-dessus la guerre en Ukraine se déclenche mettant le feu aux marchés des matières premières. Ajouter à cela toute l’agitation autour du libre change qui laisse planer un doute sur le commerce mondial. Comprenez que les marchés étaient sceptiques sur la capacité de la Tunisie à honorer ses remboursements lui prédisant un dénouement fâcheux. Envers et contre tout, le pays s’est montré résilient se tenant vent debout, à la grande satisfaction des marchés, lesquels ont fini par réagir en conséquence. Et ce, sans le concours du FMI, mais simplement en comptant sur ses seuls moyens.

Quels sont les arguments dont pourrait se prévaloir la Tunisie ?

Il y d’abord cette capacité à faire bouger les lignes. Le pays au mois de janvier 2025 à a honoré une échéance d’un milliard de dollars US, soit un montant important. Cependant il a disposé depuis d’un matelas de réserves de change lui garantissant 120 jours d’importation. Le cours du Dinar n’a pas vrillé. Certains éléments favorables ont, certes, joué. Je citerais la progression régulière des transferts de la diaspora. Outre cela et c’est au crédit du pays, les recettes du tourisme ont augmenté. Dans le même temps le pays a réduit le déficit de son solde extérieur de 8%, deux ans plus tôt et même davantage certaines années à 2 %, actuellement. Pareil le déficit budgétaire a été abaissé de 8 % en 2022 à 6 %, actuellement. Croyez bien que tous ces éléments mis cote à cote annoncent une meilleure tonicité macro-économique, rehaussant l’image du pays.

«Ce que les marchés saluent aujourd’hui, c’est la capacité de la Tunisie à honorer ses engagements, dans un contexte international incertain et sans appui extérieur : une trajectoire que peu de pays émergents peuvent revendiquer.»

 

Moody’s assortit son appréciation d’une perspective stable. Alors que vous laissez espérer une issue plus positive. Comment concilier les deux avis ?

Je relève que le pays a amorcé une dynamique de relance. Il est vrai qu’a priori le taux de croissance annoncé pour 2026 est de 1,6 %, à prix constants. Cependant la croissance potentielle du pays serait, de mon point de vue, de 5 à 6 %. Les marchés tableraient sur une relance qui serait énergique. Le réchauffement économique annoncerait de mon point de vue un rehaussement de notation à simple B, dans quelques mois. Le pays s’étant inscrit en dynamique vertueuse pourrait capitaliser sur un effet Momentum !

Même à simple B, le pays restera en grade spéculatif. Où serait l’avantage du reclassement ?

Il faut d’abord se réjouir de ce que le pays a quitté la zone de très haut risque. Le marché retiendra une opinion positive de cette ‘’remontada’’ spectaculaire déjouant toutes les prédictions contraires, alors que le pays n’a pas bénéficié des concours du FMI. Ce faisant la Tunisie a reconfiguré son profil de risque. La part de la dette extérieure de la Tunisie a baissé de 20 % à 6 % de l’encours global de la dette. Je vois que l’obligation de 700 millions de dollars à échéance du mois de septembre . Elle est regardée avec sérénité par le marché. D’ailleurs elle est raisonnablement cotée à 9,5 % soit 7 % au-dessus de l’obligation considérée comme sans risque, celle de la RFA dont le rendement est de 2,5 %.

Et au-delà il reste un encours de dette extérieure modeste. Il est libellé en yen japonais et son remboursement s’étale entre 2027 et 2030.

«En remboursant une échéance d’un milliard de dollars début 2025, la Tunisie a envoyé un message fort : elle est capable de tenir ses engagements, même dans l’adversité.»

 

Est-ce à dire que le pays pourrait retourner sur le marché international de la dette?

En bonne logique si le pays parvient à doper sa croissance et renforcer ses finances publiques, cela tonifierait son profil de risque. Cela ferait qu’à terme pas très éloigné la Tunisie, pourrait, de nouveau, émettre sur le marché international de la dette. Et il est plausible qu’elle échappe aux scénarios de l’Egypte et du Ghana qui ont dû d’abord conclure avec le FMI.

Une fois encore l’effet Momentum servirait la cause de la Tunisie.

Amel BelHadj Ali

EN BREF

Dette extérieure : L’effet Momentum

  • Profil de risque amélioré : les marchés ont anticipé le relèvement de la note souveraine.
  • « La Tunisie a défié les pronostics sans l’aide du FMI. » — Akram Gharbi
  • 1 milliard $ remboursé en janvier 2025, sans assistance extérieure.
  • Dette extérieure en baisse.
  • Réserves de change couvrant jusqu’à 120 jours d’importation.
  • Recul des déficits, hausse du tourisme et des transferts de la diaspora.

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Art, rue et transformation sociale” : Skander Tej partage sa vision à Tunis

L’Alliance Française de Tunis organise dans le cadre de son forum culturel “La fabrique des arts” une rencontre le mercredi 26 mars 2025 de 21H00 à 22h30 sur le thème “Art, rue et transformation sociale” avec Skander Tej, artiste peintre, graphiste et street artiste, dont les fresques murales et installations land art comme celles réalisées à Djerba et Kerkennah redéfinissent les espaces publics et interrogent notre rapport à l’environnement.

A travers des projets communautaires comme “24 villages, 24 gouvernorats”, il mêle dans ses fresques réalisés dans des écoles et des hôpitaux, art et engagement communautaire, transformant les murs en véritables récits visuels.

Cette rencontre se veut une plongée dans le processus créatif de l’artiste, explorant comment l’art peut être un vecteur de changement social et écologique.

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Bourse de Tunis : légère baisse du Tunindex et transactions en hausse ce lundi

L’indice de référence a entamé la semaine sur une note légèrement baissière, s’effritant de 0,06 % à 10 877,62 points. Sur le front des échanges, la cote a été bien dynamique, lundi, drainant un volume soutenu de 13,4 MD, grâce à la réalisation de six transactions de bloc d’une valeur totale de 8,6 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Il s’agit de deux transactions (3,6 MD) portant sur les titres STAR, deux transactions (2 MD) portant sur les titres SOTUVER et deux transactions (3 MD) portant sur les titres DELICE HOLDING.

Le titre UADH s’est offert la palme des hausses. L’action du concessionnaire automobile s’est appréciée de 4,2 % à 0,500 D.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action de la holding a signé une avancée de 2,8 % à 0,720 D. La valeur a amassé un modeste flux sur la séance avec des échanges de 8 mille dinars sur la séance.

Le titre ESSOUKNA a affiché la baisse la plus soutenue de la séance. L’action du promoteur immobilier s’est délestée de 3,6 % à 1,630 D, dans un volume de 3 mille dinars.

Le titre STAR a été le titre le plus échangé sur la séance, drainant un volume dépassant 3,6 MD, et ce, grâce à la réalisation de deux transactions d’une valeur de 3,6 MD. L’action de l’assureur s’est effritée de 0,5 % à 205 D.

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Layali Ramadan à l’IFT : “Yalla Fun” réunit jeunes talents, associations et artistes

“Yalla fun” est un rendez-vous de la créativité au pluriel autour réunissant jeunes, associations et artistes, qui se déroulera le mardi 25 mars 2025 à partir de 21h à la Cour de l’Institut français de Tunis (IFT) dans le cadre de son programme ramadanesque “Layali Ramadan”.

La soirée débutera avec la pièce de théâtre des jeunes de l’association “ADO+ “intitulée “Oh chef !” qui aborde avec humour la question des changements de comportement pour sortir de la mauvaise bouffe et adopter une alimentation saine. Cette nouvelle pièce, que l’association a déjà présenté dans quelques maisons de culture, a été réalisée avec le soutien de l’UNICEF, et s’intègre dans la stratégie nationale de sensibilisation à l’alimentation saine en Tunisie.

L’espace Khazna d’Art présentera ensuite son nouveau projet “Maqamat”, qui fusionne les sonorités envoûtantes du oud et du chant oriental avec les rythmes hypnotiques de la musique électronique, proposant une expérience sonore inédite et captivante. Ce dialogue entre tradition et innovation vise à créer un pont musical entre le passé et le présent, en combinant les talents d’artistes de différents horizons.

La soirée sera clôturée au rythme de la danse urbaine avec les jeunes artistes de l’Espace Farah du quartier de Bhar Lazreg à la Marsa. L’Espace Farah, inauguré en 2023 et animé par l’Association Solidarité Laique Tunisie, s’emploie à favoriser le vivre-ensemble et le développement d’activités et projets socio-culturels, en impliquant les habitants du quartier et en développant des partenariats avec d’autres associations.

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