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Masters 1000 de Miami : Ons Jabeur défie Katerina Siniakova en quête d’une victoire

La Tunisienne Ons Jabeur (30e mondiale) affrontera, vendredi, la Tchèque Katerine Siniakova (57e), lors du deuxième tour du Masters 1000 de Miami (sur dur), organisé du 18 au 30 mars dans la ville américaine.

Jabeur a été exemptée du premier tour, tandis que Siniakova s’est qualifiée aux dépens de la Chinoise Yue Yuan (93e).

Lors de sa dernière apparition sur les courts de tennis, la Tunisienne a été éliminée au second tour du Masters 1000 d’Indian Wells (Etats Unis) par l’Ukrainienne Dayna Yastremska (0-2).

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Demande de gaz naturel en Tunisie : Augmentation de 6 % en janvier 2025

La demande totale de gaz naturel a enregistré une hausse de 6% entre janvier 2024 et janvier 2025 pour se situer à 392 ktep, selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La demande pour la production électrique a enregistré une hausse de 4%, sachant que le secteur de la production électrique reste, de loin, le plus grand consommateur de gaz naturel (61% de la demande totale en janvier 2025).

La production électrique est en effet basée sur le gaz naturel à plus de 95%, a t-on rappelé.

Pour les usages finaux (hors production électrique), la demande de gaz naturel a connu une hausse de 8% pour se situer à 153 ktep. La demande des clients moyenne et basse pression a enregistré une hausse de 9% et celle des clients haute pression a enregistré une hausse de 3%.

La consommation spécifique globale des moyens de production électrique a enregistré une quasi-stabilité en janvier 2024 et janvier 2025 pour se situer à 188,3 tep/GWh.

Légère hausse de 1% de la demande nationale de produits pétroliers

La demande nationale de produits pétroliers a également enregistré une légère hausse de 1%, entre janvier 2024 et janvier 2025, pour se situer à 381 ktep.

Ainsi, l’Observatoire a noté une hausse des essences de 3% et du jet d’aviation de 22%. Par contre la demande du Fuel a enregistré une diminution de 18% et celle de petcoke de 3%.

La structure de la consommation de produits pétroliers n’a pas connu de changement significatif entre janvier 2024 et janvier 2025 à l’exception de quelques produits notamment le fuel dont sa part est passée de 3% en janvier 2024 à 2% en janvier 2025, le gasoil dont sa part est passée de 45% à 43% durant la même période et le jet d’aviation dont sa part est passée de 4% à 5%.

La consommation de carburants routiers a enregistré entre janvier 2024 et janvier 2025, une baisse de 2%. Elle représente 61% de la consommation totale des produits pétroliers.

De même, la consommation de GPL enregistré entre janvier 2024 et janvier 2025, une hausse de 11%, tandis que la consommation de coke de pétrole (un produit utilisé exclusivement par les cimenteries) a diminué de 3% entre janvier 2024 et janvier 2025 (données partiellement estimées).

D’autre part, la consommation de jet aviation a enregistré une hausse de 22% en janvier 2025, par rapport à la même période de l’année précédente.

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La consommation d’électricité en Tunisie : Les secteurs industriels dominent avec 61 % de la demande totale

Les ventes d’ électricité ont enregistré une hausse de 9% entre janvier 2024 et janvier 2025, selon le rapport sur la conjoncture énergétique du mois de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Les ventes d’électricité des clients de haute tension ont enregistré une augmentation de 34%, celles des clients de la moyenne tension ont enregistré aussi une légère hausse de 1%.

L’observatoire national de l’énergie et des mines a souligné que les statistiques pour les ventes basse tension, destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75% en moyenne), sont basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée et ne permettent pas d’avoir une idée exacte sur la consommation réelle.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 61% de la demande totale des clients haute tension, moyenne Tension (HT&MT) en janvier 2024.

La majorité des secteurs ont enregistré une hausse des ventes principalement les Industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre (IMCCV) (+16%) , l’industrie chimique et du pétrole (+14%), les industries extractives (+12%) et l’industrie du papier et de l’édition (+4%), contre une baisse des ventes du secteur alimentaire et du tabac (-2%) et les industrie métallurgique de base (-7%).

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La pointe de consommation d’électricité en Tunisie atteint 3211 MW en janvier 2025

La production totale d’électricité a enregistré, en janvier 2025, une hausse de 4% pour se situer à 1499 Gigawatt -heure (GWh) (y compris autoproduction renouvelable) , contre 1441 GWh en janvier 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique du mois de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production destinée au marché local a enregistré aussi une hausse de 2%. Ainsi les achats d’électricité principalement de l’Algérie ont couvert 14% des besoins du marché local en janvier 2025.

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) conserve toujours la part du lion dans la production électrique avec 96% de la production nationale en janvier 2025.

L’électricité produite à partir de gaz naturel par la STEG et les producteurs indépendants d’électricité (IPP) a enregistré une hausse de 4%, alors que celle produite à partir des énergies renouvelables s’est située à 4,8%.

Par ailleurs, environ 300 Mégawatt (MW) de toitures photovoltaïques ont été installées dans le secteur résidentiel et 323 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 125 MW dans les secteurs industriel, tertiaire et agriculture.

La pointe a enregistré une hausse de 5% pour se situer à 3211 MW en janvier 2025 contre 3073 MW en janvier 2024.

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Tunisie : 15 permis pétroliers en cours de validité à fin janvier 2025

Le nombre total de permis en cours de validité, à fin janvier, est de 15 dont 14 permis de recherche et un permis de prospection, selon le rapport mensuel sur la conjoncture énergétique du mois de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Le nombre total de concessions est de 56 dont 44 en production. L’Etat participe à travers l’Entreprise Tunisienne d’Activités Pétrolières (ETAP) dans 34 de ces concessions en production et directement dans 3.

Pour les opérations d’exploration, l’Observatoire a relevé l’absence de nouvelle opération d’acquisition sismique en janvier 2025. De même, pas de nouvelle opération de forage d’exploration.

Par contre, il y a une opération de forage d’un nouveau puits de développement « CRG-10 ST » qui a démarré le 25 janvier 2025, outre la poursuite de forage des puits d’exploration « Chaal-2 » et de développement « SMGNE-1 » entamés, en 2023.

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Tunisie : Hausse de 19 % des achats de gaz algérien en janvier 2025

Les ressources en gaz naturel (production nationale + forfait fiscal) ont atteint 158 mille tonne équivalent pétrole (ktep), en janvier 2025, enregistrant ainsi une baisse de 9% par rapport à la même période de 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production du gaz commercial sec a diminué, en effet, de 7%, la redevance sur le passage du gaz algérien a enregistré une baisse de 11% en janvier 2025 par rapport à janvier 2024 en se situant à 57 ktep.

Il convient de noter que le Champ Hasdrubal et celui de Nawara ont enregistré une baisse respectivement de 11%, et de 37%. Idem, pour le champ de Miskar dont la production a régressé de de 15%.

Pour ce qui est du Gaz commercial du sud, sa production a connu une hausse de 50%, à fin janvier 2025, par rapport à la même période de l’année écoulée.

Le forfait fiscal sur le transit de gaz d’origine algérienne a baissé de 11% en janvier 2025, par rapport à janvier 2024.

Par ailleurs, la répartition de la redevance totale entre la redevance cédée à la STEG et la redevance exportée montre que la plus grande partie est cédée à la STEG (88%).

A signaler qu’un dépassement des prélèvements STEG sur la redevance revenant à l’Etat Tunisien a été enregistré en 2024 d’une quantité de 219 millions de Cm3, il est en cours de régularisation.

S’agissant des achats du gaz algérien, ils ont enregistré une hausse de 19%, entre janvier 2024 et janvier 2025, pour se situer à 242 ktep.

L’approvisionnement national en gaz naturel a enregistré une hausse de 6 % entre janvier 2024 et janvier 2025 pour se situer à 393 ktep.

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Champs pétroliers en Tunisie : Fortes baisses à Nawara, Miskar et Gherib

La production nationale de pétrole brut s’est située à 109 kilotonnes (kt) en janvier 2025 enregistrant ainsi une baisse de 12% par rapport à janvier 2024 selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse a touché la plupart des principaux champs, à savoir Ashtart (-18%), El Hajeb/Guebiba (-19%), Gherib (-20%), Nawara (-38%), Miskar (-32%) et Halk el Manzel (-6%).

A contrario, d’autres champs ont enregistré une amélioration de production, à savoir El Borma (+14%), M.L.D (+19%) et Adem (+1%).

La moyenne journalière de la production de pétrole est passée de 31,3 mille barils/jour, en janvier 2024, à 28,8 mille barils/jour, en janvier 2025, selon la même source.

Il convient de noter que la production de la Concession Hasdrubal a repris, depuis le 10 décembre 2024, après son arrêt (Shut down), depuis le 27 novembre 2024, pour des travaux de maintenance.

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Redevance du gaz algérien en baisse de 11 % : Quel impact sur la Tunisie ?

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, a régressé à 37%, en janvier 2025 contre 42%, au cours de la même période de l’année précédente, selon le rapport sur la conjoncture énergétique du mois de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Alors que, sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 30% en janvier 2025 contre 34% durant la même période de 2024.

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître en janvier 2025, un déficit de 0,49 Mtep enregistrant, ainsi, une hausse de 12% par rapport à la même période 2024, et ce, en comptabilisant la redevance.

Selon l’observatoire, les ressources d’énergie primaire se sont situées à 0,3 Mtep en janvier 2025, enregistrant ainsi une baisse par rapport à la même période de l’année précédente de 10%. Cette régression est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 74% de la totalité des ressources d’énergie primaire.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG et privée et autoproduction) reste timide et ne représente que 2% des ressources primaires.

A signaler que la redevance sur le transit du gaz algérien a enregistré une baisse de 11% en janvier 2025 par rapport à la même période 2024.

Pour la demande d’énergie primaire, elle a enregistré entre janvier 2025 et janvier 2024 une hausse de 3%. La demande du gaz naturel a augmenté de 6% et celle des produits pétroliers a enregistré une légère hausse de 1%.

La structure de la demande en énergie primaire a enregistré un léger changement, en effet, la part de la demande des produits pétroliers est passé de 50% en janvier 2024 à 49% durant la même période de 2025. Le gaz naturel a augmenté, par contre, de 49 % en janvier 2024 à 50% en janvier 2025.

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Balance commerciale énergétique : Le déficit atteint 1108 MD en janvier 2025

Le déficit de la balance commerciale énergétique, en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée, a enregistré, en janvier 2025, une hausse, de 9% par rapport à la même période de l’année écoulée pour se situer à 1108 millions de dinars, selon le rapport sur la conjoncture énergétique du mois de janvier 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 28% accompagnée par une légère hausse des importations en valeur de 1%.
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Selon l’observatoire, les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs à savoir les quantités échangées, le taux de change dollar/dinar ($/DT) et les cours du Brent, qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté ainsi que les produits pétroliers.

En effet, au cours du mois de janvier 2025, les cours du Brent ont enregistré une baisse de 1$/bbl par rapport au mois de janvier 2024.

Au cours de la même période, le Dinar tunisien a enregistré une hausse de 3% par rapport au Dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière, a indiqué la même source.

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Restauration de l’écosystème marin : La Tunisie traîne toujours la patte

MarinUn constat : les gouvernements qui se sont succédé à la tête du pays, depuis des décennies, donnent l’impression qu’ils sont désignés à titre provisoire et qu’ils sont sensés servir plus un Etat provisoire qu’une nation pérenne. Rarement,  on les a vus se soucier de la perpétuité du pays et inscrire leur action dans la durée, voire dans l’intérêt durable du pays. Les bons projets, les meilleurs, sont souvent reportés et renvoyés aux calendes grecques, par l’effet de l’immobilisme et de l’incompétence. C’est ce qui explique le grand nombre de mégaprojets en stand bye.

Parmi ces projets figure celui de “l’immersion des récifs artificiels”. Ce projet est pourtant stratégique tant il vise à restaurer l’écosystème marin,  à remédier à la diminution des ressources halieutiques, à améliorer la pêche côtière et à contribuer ainsi à l’autosuffisance alimentaire du pays.

Pour montrer notre retard en la matière, est-il besoin de rappeler que  l’idée de créer des substrats artificiels immergés afin d’augmenter la productivité d’une zone donnée est apparue au Japon au XVIIème siècle dans le but d’améliorer la pêche côtière.

Interpellé, début mars 2025, sur ce dossier au parlement par le député  Mahmoud Chalghef, le ministre de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, Ezzeddine Ben Cheikh a donné des précisions sur l’état des lieux.

Selon lui, le projet a été lancé, depuis 2009 -bien depuis 2009- avec un budget de 5 MDT et pour une durée d’exécution de 10 ans.

Seize ans après, le projet n’a pas bougé d’un iota. D’après le ministre, il n’a pas encore achevé sa première phase en raison de difficultés financières.

Pour se donner bonne conscience, le ministre a cru inventer le monde en rappelant, ennuyeusement, l’importance de ce projet pour la biodiversité marine et la pêche durable.

Il a ajouté, vaguement, que « des efforts sont en cours pour mobiliser les financements nécessaires et assurer la réussite de cette initiative essentielle pour la préservation des ressources maritimes”.

Il a ajouté, vaguement, que “des efforts sont en cours pour mobiliser les financements nécessaires et assurer la réussite de cette initiative essentielle pour la préservation des ressources maritimes”.

La question qui se pose dès lors est de savoir sur quelle base ces financements seront déterminés puisque le ministre a déclaré, au cours de son intervention au parlement que le projet,  est encore à l’étude : « une étude sera menée pour identifier le nombre optimal des récifs artificiels et des zones les plus menacées », a-t-il dit. Sans commentaire !!!!

ABS

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Indice démocratique 2024 : La Tunisie un pays hybride

DrapeauEn cette période de bouleversements géopolitiques inquiétants en ce sens où elles viennent consacrer à la faveur du «trumpisme» la loi du plus fort, peut-on parler encore de coexistence pacifique entre les peuples ou encore de démocratie comme modèle idéal de gouvernance. Ce même modèle qui peinait déjà avant les récents changements à se faire accepter par tous les pays du monde.

A preuve, selon l’indice démocratique global 2024 publié, le 27 février 2025, par The Economist Intelligence Unit (EIU), «6,6 % seulement de la population mondiale vit aujourd’hui dans un régime considéré démocratique ». Plus grave, cette maigre proportion ne cesse de diminuer au fil des années. D’après le même indice « la démocratie a encore reculé dans le monde l’an dernier : 71 pays sont considérés comme des démocraties, soit 6 de moins qu’il y a une décennie, moitié moins qu’en 2014 (12,5 %)».

Pis encore, la démocratie a été instrumentalisée et travestie par le trumpisme pour accéder au pouvoir à des fins non pas de l’extension de la démocratie mais pour préserver l’ordre ultralibéral léonin. Ses porte-parole font flèche de tous bois pour le faire passer comme une entreprise d’extension de “la démocratie”, dans son acception occidentale (processus électoral purement politique avec statu quo socio-économique).

Conséquence : la démocratie en tant que modèle de gouvernement le plus indiqué pour les peuples n’est plus une référence même pour les anciennes démocraties les plus solides. A ce propos, l’EIU prévient que de nombreux pays démocratiques connaissent des difficultés non négligeables malgré leur indice relativement élevé (cas des pays de l’Union européenne).

« La démocratie n’est pas dans les institutions, mais dans les hommes. » – Georges Burdeau

 

Plusieurs sondages montrent, d’après cet indice, que de plus en plus de citoyens de ces pays ne font pas confiance à leur gouvernement, une situation mise en lumière par la mauvaise performance de plusieurs partis au pouvoir lors des élections tenues en 2024.

L’inflation post-pandémique et les inégalités économiques alimentent l’insatisfaction populaire et jouent un rôle « très important » dans la montée de partis populistes.

La Tunisie classée 93ème sur 167 pays listés

La question qui s’impose dès lors est la suivante :  qu’en est- il de la démocratie en Tunisie. L’indice démocratique global 2024, qui «mesure» l’état de la démocratie en fonction de cinq critères :

  • degré de libertés civiles,
  • processus électoraux,
  • fonctionnement du gouvernement,
  • culture politique et
  • participation politique,

L’indice a classée la Tunisie à la 93ème place sur un total de 167 pays listés. La Tunisie a vu ainsi son indice reculer de 0,88 point, « témoignant, d’après les auteurs de l’EIU, de la dérive autoritaire du président Kaïes Saïed».

Avec un score de 4,71 points la Tunisie figure parmi ce que l’indice appelle les pays à «Régime hybride», c’est- à-dire des régimes politiques qui combinent démocratie électorale et tendance autoritaire. Plus simplement encore, de tels régimes ne présentent qu’un nombre restreint de caractéristiques propres aux démocraties.

« La démocratie ne se décrète pas, elle se construit par l’éducation et la culture politique. »

 

Au niveau local, les analystes appellent ce régime, une « démocrature »,  un régime politique qui, par son système d’élection et la relative liberté d’expression qu’il tolère, est démocratique, mais où la réalité de l’exercice du pouvoir penche vers la dictature et la suppression de l’État de droit. L’opposition tunisienne à ce régime l’appelle «un simulacre de démocratie».

La véritable démocratie est celle des individus démocrates

Il faut reconnaître qu’après le chaos et le désordre qui ont prévalu, lors de la soi-disant transition démocratique, depuis 2011 et jusqu’à ce jour, il est très, très, très difficile de parler de besoin de démocratie en Tunise, et ce,  pour une simple raison : les tunisiens n’ont jamais été préparés à l’exercice de la démocratie.

L’expérience de cette malheureuse transition avec la partitocratie qu’elle a favorisée a montré qu’il n’existe, désormais, en Tunisie aucune institution politique, sociale ou économique qui peut prétendre qu’elle est démocratique. Mieux, il n’existe pas en Tunisie, aucun responsable politique, syndical ou économique qui peut oser dire qu’il est démocrate.

« Quand le pouvoir s’impose au détriment du peuple, la démocratie devient un mirage. »

 

Et pour cause. Depuis l’accès du pays à l’indépendance en 1956, les dirigeants qui se sont relayés à sa tête n’ont jamais voulu de la démocratie et n’ont jamais aidé les tunisiens ni à s’en convaincre, ni à l’exercer. Car en matière de démocratie, l’essentiel réside dans son inculcation aux individus.

A ce sujet, l’universitaire et essayiste français Georges Burdeau disait à la fin de son ouvrage sur « la démocratie » : « finalement, la démocratie n’est pas dans les institutions, mais dans les hommes, il n’y pas de démocratie, mais seulement des démocrates». A bon entendeur.

Abou SARRA

EN BREF

Indice démocratique 2024 : où en est la Tunisie ?

Un recul démocratique mondial
🔹 6,6 % de la population mondiale vit sous un régime pleinement démocratique.
🔹 La démocratie recule : 71 pays classés démocratiques, contre 12,5 % en 2014.

La Tunisie en perte de vitesse
📌 93e sur 167 pays selon l’indice démocratique 2024.
📉 Score : 4,71/10 → Classification : régime hybride.
⚠ Dérive autoritaire pointée par The Economist Intelligence Unit.

💬 “Il n’y a pas de démocratie, mais seulement des démocrates.” – Georges Burdeau

👉 Entre démocratie électorale et autoritarisme, quel avenir pour la Tunisie ?.

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Tunisie: Inflation à 5,7%, un signe de bonne santé économique ou le contraire ?

inflation

Un taux d’inflation se replie à 5,7% au mois de février contre 6% en janvier 2025. Une manne pour tous les Tunisiens qui appellent à réajuster le TMM maintenant que l’inflation est maîtrisée. Mais…

Nous aurions crié victoire si la baisse de l’inflation reflétait une prospérité économique et n’était pas le symptôme de la faiblesse de notre économie.

Pour l’Institut national des Statistiques, le fléchissement observé au niveau du rythme annuel d’augmentation des prix du groupe « produits alimentaires » est reflété par une baisse de 0,1%.

L’inflation passant de 7,1% en janvier 2025 à 7% au mois de février. Une hausse due principalement à l’augmentation des prix de la viande d’agneau de 21,4%, des légumes frais de 18,7%, des fruits secs de 14,2%, du poisson frais de 13,4% et des volailles de 10,5%, seuls les prix des huiles alimentaires ont diminué de 16,2%. Un peu plus bas dans le communiqué de l’INS, il est indiqué que les prix des produits alimentaires ont augmenté de 0,5 %, baisse de 0,1% ou hausse de 0,5% : Cela mérite éclairage…

“Les chiffres ne mentent pas, mais leur interprétation peut induire en erreur.”

 

Aussi, avec des taux d’augmentation par rubrique à deux chiffres (de 10,5% à 21,4%), nous ne comprenons pas comment le taux moyen de l’augmentation est de 7,1%, quelles que soient les pondérations retenues.

Les prix de l’habillement et chaussures ont augmenté de juste 8,6% en février contre 9,7% en janvier 2025, les services de santé de 4% seulement en février 2025 contre 9,1% en janvier 2025, et le « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » de 3,8% en février 2025 contre 4,1% en janvier 2025.

Les prix des produits manufacturés et les services ont pour leur part augmenté de 5,2% sur un an en raison de la hausse des prix des produits de l’habillement et chaussures de 9,7% et des produits d’entretien courant du foyer de 4,8%.

L’INS étant tenue aux chiffres et expliquant tout phénomène socioéconomique par les chiffres, ne s’étale pas sur les raisons de la baisse de l’inflation ce qui peut donner lieu à de mauvaises interprétations s’agissant de la santé économique de la Tunisie. Car nous ne pouvons parler du recul de l’inflation sans aborder l’impact de la loi sur les chèques sur les consommateurs en Tunisie et ce principalement dans la partie habillement et santé où la baisse a été plus que significative passant comme signifié plus haut de 9,1% à 4%. Et parlant de santé, n’omettons surtout pas tous ceux, et ils se comptent par dizaines de milliers, qui achètent les médicaments fréquemment avec des chèques antidatés.

“Derrière chaque baisse de prix, il y a une réalité économique à comprendre.”

 

Cela dit, le recul de l’inflation dans le cas tunisien, n’est pas lié à l’augmentation de l’offre et à la croissance économique mais plutôt à une contraction de la demande due à la diminution du pouvoir d’achat des consommateurs. Un exemple édifiant que celui de la saison des soldes dont le démarrage a été avancé mais qui n’a pas été une réussite selon nombre de commerces.

La situation économique du pays ne doit pas nous rassurer mais nous inciter à trouver des pistes de sorties pour une véritable relance économique loin des demi-mesures. Un recul vertueux de l’inflation signifie une hausse de la productivité, plus d’investissements et plus de concurrence accrue pour une offre plus abondante sur le marché pas une contraction de la demande.

Dans le cas tunisien, les chiffres doivent être analysés avec beaucoup de vigilance et prudence parce que nous ne pouvons pas nous autoriser de faux espoirs sur une situation économique qui n’est pas des plus brillantes. Notre lecture des chiffres ne doit pas être biaisée par un optimisme béat. Derrière les chiffres, nous devons avoir une idée sur le pourquoi et envisager des solutions par le comment.

Amel Belhadj Ali

Inflation en Tunisie : Une baisse trompeuse ?

  • Taux d’inflation : 5,7 % en février 2025 (contre 6 % en janvier).
  • Augmentation des prix alimentaires : Viande d’agneau (+21,4 %), légumes frais (+18,7 %), fruits secs (+14,2 %), poisson frais (+13,4 %), volailles (+10,5 %).
  • Baisse du pouvoir d’achat : La contraction de la demande plutôt qu’une reprise économique.
  • Facteur clé : Impact des restrictions sur les chèques, notamment sur l’habillement et la santé.
  • Interprétation prudente : Derrière les chiffres, une situation économique fragile qui appelle à des solutions durables.

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Nouvelle direction chez SOTIPAPIER : Slim Zeghal prend la présidence du CA

La société SOTIPAPIER informe le public que le Conseil d’administration réuni le 13 mars 2025 prend acte de la décision ferme, définitive et irrévocable de démission de monsieur Mohamed Ben Rhouma de son mandat de Président du Conseil d’Administration de la Société pour des raisons personnelles, prenant effet à l’issue du présent Conseil
d’Administration, et décide de l’accepter.

Le Conseil d’Administration accorde un quitus entier, définitif et sans réserve à monsieur Mohamed Ben Rhouma pour l’exécution de son mandat de Président du Conseil d’Administration de la Société.

Le Conseil d’Administration décide de nommer monsieur Slim Zeghal comme Président du Conseil d’Administration de la Société, pour toute la durée de son mandat d’administrateur, soit jusqu’à la tenue de l’Assemblée Générale Ordinaire statuant sur les états financiers de l’exercice clos le 31 décembre 2025.

Etant précisé que par cette nomination, monsieur Slim Zeghal ne sera plus considéré comme un administrateur indépendant. Un nouvel administrateur indépendant sera nommé conformément à la réglementation en vigueur.

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Compagnie Internationale de Leasing : Résultat net en hausse à 20,18 MD en 2024

La Compagnie Internationale de Leasing informe ses honorables actionnaires que son Conseil d’Administration, lors de sa réunion du 17 mars 2025, a passé en revue l’activité de la société au cours de l’exercice 2024 et a arrêté les états financiers individuels et consolidés relatifs à l’exercice 2024 qui ont été soumis aux commissaires aux comptes.

Les états financiers individuels font apparaitre un résultat net au 31/12/2024 de 19 862 847 DT contre 19 369 395 DT au 31/12/2023.

Les états financiers consolidés font apparaitre un résultat net au 31/12/2024 de 20 182 707 DT contre 19 604 550 DT au 31/12/2023.

En outre, le Conseil d’Administration a décidé de convoquer une Assemblée Générale Ordinaire pour le mardi 22 avril 2025 à 15 heures à l’institut arabe des chefs d’entreprises.

En respect de la note de la Banque Centrale de Tunisie n°2023-4, le Conseil d’Administration a décidé de proposer à l’Assemblée Générale la distribution d’un dividende de 2,200 DT par action.

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Bourse de Tunis : Le Tunindex en hausse de 0,37 %, porté par SIAME et ESSOUKNA

Le marché boursier a aligné une deuxième séance consécutive dans le vert, progressant de 0,37 % à 10 882,20 points, dans un volume garni de 14,4 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre SIAME s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de l’industriel a signé une progression de 4,6 % à 3,430 D, dans un volume relativement soutenu de 271 mille dinars.

Le titre ESSOUKNA a terminé la séance en territoire positif. L’action du promoteur immobilier a affiché une embellie de 4,5 % à 1,630 D, dans un flux dérisoire de 2 mille dinars.

Le titre MPBS a chapeauté le palmarès des volumes. L’action de la manufacture de panneaux en bois a alimenté le marché avec des échanges de 7 MD, se délestant de 0,4 % à 11,000 D.

Le titre CELLCOM s’est placé en lanterne rouge du Tunindex. L’action de la société a reculé de 4 % à 1,920 D et a brassé des échanges de 23 mille dinars sur la séance.

Le titre TUNISAIR a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du transporteur national a affiché une baisse de 2,8 % dans un faible volume de 6 mille dinars.

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Basket-ball – Play-off Pro A : Programme de la 8e journée

Programme des rencontres de la 8e journée Play-off du championnat Pro A de basket-ball, prévues mercredi (tous le matchs à partir de 14h):

Mercredi 19 mars
Salle Aziz Miled:
JS Kairouan – C Africain

Salle Mzali:
US Monastir – US Ansar

Salle Grombalia:
DS Grombalia – ES Sahel

 

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Rugby féminin : La Tunisie en quête de qualification pour le World Rugby Women’s Sevens Series

L’équipe nationale féminine de rugby à XV participera, du 8 au 20 avril prochain, aux qualifications (Groupe B) pour la dernière phase avant le World Rugby Women’s Sevens Series (Série mondiale de rugby à sept féminin).

Le 15 national féminin vise le tour décisif, qui consiste à participer aux compétitions du groupe “A” aux côtés des équipes du Kenya, de Madagascar et de l’Afrique du Sud. À l’issue de cette phase finale, qui se déroulera à Madagascar en mai 2025, les deux premières équipes se qualifieront pour le World Rugby Women’s Sevens Series, qui aura lieu à Dubaï en décembre 2025.

Dans une déclaration faite mardi à l’agence TAP, le directeur technique national de la Fédération tunisienne de rugby, Noureddine Amara, a indiqué que les Tunisiennes s’étaient déjà qualifiées auparavant pour le groupe “C”, organisé à Tunis en 2022, avec la participation des équipes de Tunisie, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire. L’équipe nationale avait alors dominé le groupe pour accéder au groupe “B”, qui se déroulera en Côte d’Ivoire avec la participation de la Tunisie, la Côte d’Ivoire, L’Ouganda et le Zimbabwe.

La sélection nationale entame actuellement un stage de préparation qui a débuté le 16 mars et se poursuivra jusqu’au 24 du même mois. Les coéquipières d’Oumaima Dziri effectueront un deuxième stage du 3 au 8 avril, suivi d’un déplacement en Côte d’Ivoire le dernier jour du stage.

Le DTN a également indiqué qu’il n’avait pas été possible de programmer des matchs amicaux de préparation pendant cette période, soulignant l’importance du World Rugby Women’s Sevens Series pour accumuler des points et améliorer le classement mondial des équipes nationales.

La formation de l’équipe nationale de rugby à XV est relativement récente, remontant à 2022, contrairement à l’équipe de rugby à sept, qui a son palmarès et qui a dominé le continent africain en remportant le titre de champion d’Afrique en 2012 au Maroc. Cette victoire avait permis aux Tunisiennes de se qualifier pour la Coupe du monde de rugby à sept en Russie en 2013.

Voici le programme des matchs de l’équipe nationale dans le groupe “B” :

11 avril 2025 : Tunisie – Ouganda

15 avril 2025 : Tunisie – Zimbabwe

19 avril 2025 : Tunisie – Côte d’Ivoire

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“Tunis Théâtres du Monde” 2025 : une 3e édition entre tradition et innovation

La troisième édition de l’événement théâtral “Tunis Théâtres du Monde”, revient dans une troisième édition du 20 au 27 mars 2025 à la Salle Le 4ème Art à Tunis, informe un communiqué de presse du Théâtre National Tunisien (TNT).

Ce rendez-vous, organisé par le TNT, sous l’égide du Ministère des Affaires Culturelles, permettra aux passionnés du quatrième art de suivre pendant huit jours, à partir de 21h30, une panoplie de spectacles tunisiens et internationaux, alliant théâtre classique et expérimental, offrant à découvrir une diversité de visions esthétiques et d’écritures scéniques.

Un voyage théâtral protéiforme et métissé

Le festival s’ouvrira le jeudi 20 mars 2025 avec “Le Jardin des Hespérides”, une création de la metteuse en scène espagnole Alicia Soto. Ce spectacle hispano-marocain, combinant danse et narration théâtrale, revisite un mythe grec sous un prisme contemporain, révélant les luttes humaines profondes.

La programmation tunisienne sera largement représentée. Le vendredi 21 mars, le public découvrira “Violon mon amour” (jranti laâziza, titre en arabe), une œuvre de Fadhel Jaziri, produite par le Nouveau Film. Alliant théâtre et musique, la pièce retrace le parcours d’un violoniste de la radio nationale, explorant à travers des fragments de sa vie artistique et politique une atmosphère où se mêlent nostalgie et dilemmes.

Le samedi 22 mars, la scène sera ouverte à Leila Toubel qui présentera “Ad vitam”, une coproduction entre le Théâtre National Tunisien et la compagnie “Résist’Art”. Cette pièce suit Donia, une fillette de cinq ans, qui entend une voix mystérieuse l’appelant à quitter le monde des humains pour retourner aux profondeurs de la terre. Alors qu’elle s’apprête à partir, elle disparaît dans des circonstances énigmatiques, laissant ses proches dans une quête déconcertante pour la retrouver et comprendre ce qui s’est réellement passé.

Des créations internationales audacieuses et engagées

Le dimanche 23 mars, la scène prendra vie avec “Sucre-Une glace pour un joli crime” (An Ice Cream for a Nice Crime), une œuvre du chorégraphe ivoirien Abdoulaye Trésor Konaté. Cette pièce hybride, entre théâtre et danse, aborde la justice et la culpabilité à travers une mise en scène visuelle puissante.

Le lundi 24 mars, le Centre des Arts Dramatiques et Scéniques du Kef présentera “Sous pression”, une mise en scène de Rayane Kairouani. Ce spectacle raconte l’histoire d’un metteur en scène qui parvient à convaincre des comédiens amateurs de monter une pièce politique. Cependant, ils se retrouvent bientôt confrontés à une censure écrasante, transformant leur représentation en un véritable combat pour la liberté d’expression.

Le mardi 25 mars, place au thriller psychologique avec “Confession”, de Mohamed Ali Ben Said. La pièce met en scène un tueur en série qui a assassiné quinze jeunes filles sans éprouver le moindre remord. Alors que les familles des victimes tentent de surmonter leur douleur, une mère décide de lui rendre visite en prison, ouvrant un dialogue troublant sur le pardon et la vengeance.

Prométhée : Un mythe revisité dans une production italienne contemporaine
Le mercredi 26 mars, la production italienne “Prométhée-Le Kangourou Bleu”, mise en scène par Simone Mannino, offrira une réinterprétation moderne de la tragédie d’Eschyle.

Dans cette version, “Prométhée” n’est plus enchaîné à un rocher mais jeté à la mer, condamné à errer dans un monde où les dieux ont été remplacés par les humains. La pièce évoque les crises environnementales et humanitaires en Méditerranée dans une scénographie à la fois poétique et critique.

Le 27 mars : Tomber de rideau en célébration de la Journée Mondiale du Théâtre
Le jeudi 27 mars, date de célébration la Journée Mondiale du Théâtre, marquera également le tomber de rideau de l’événement “Tunis Théâtres du Monde” 2025 avec “La Suivante”, une pièce d’une icône du théâtre tunisien, Taoufik Jebali. Cette œuvre satirique et incisive interroge les contradictions sociétales et le rapport ambigu entre réalité et fiction.

Lancé en 2023, “Tunis Théâtres du Monde” s’est imposé comme une plateforme de création théâtrale de premier plan dans le monde arabe et méditerranéen, réunissant des compagnies d’Europe, d’Afrique et du monde arabe, faisant du théâtre bien plus qu’un art : une résistance, un cri de liberté et un miroir du monde.

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