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RĂ©forme du sport en Tunisie : vers plus de transparence et un cadre juridique clair

Le président de la République, Kaies Saïed, a reçu, lundi, au palais de Carthage, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali.

Selon la page officielle de la prĂ©sidence de la RĂ©publique, l’entretien a portĂ© sur le projet de loi des structures sportives. A cet Ă©gard, le chef de l’Etat a insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de garantir la transparence totale de ces nouvelles lĂ©gislations, Ă  l’instar d’autres domaines. Il a Ă©galement soulignĂ© l’importance d’établir un cadre juridique clair et prĂ©cis pour certaines spĂ©cialitĂ©s sportives, car le systĂšme actuel n’est plus acceptable. En effet, il est ni clairement professionnel ni amateur, et cette ambiguĂŻtĂ© a conduit Ă  de nombreux abus et Ă  de diffĂ©rentes formes de corruption.

Le prĂ©sident de la RĂ©publique a, Ă©galement, Ă©voquĂ© la situation de nombreuses infrastructures sportives Ă  travers le pays dont la citĂ© olympique d’El Menzah, le stade Zouiten et bien d’autres. Il a soulignĂ© que la dĂ©gradation de ces installations n’est pas due uniquement au manque d’entretien et de sauvegarde, mais qu’il s’agissait d’une planification prĂ©alable visant Ă  mettre la main sur ces espaces. Il a affirmĂ© qu’il est nĂ©cessaire de faire face Ă  cette situation, dĂ©clarant que “ceux qui ont organisĂ© cela doivent ĂȘtre tenus responsables et ceux qui retardent le lancement des projets doivent Ă©galement en assumer la responsabilitĂ© et ne doivent pas rester impunis”.

SaĂŻed a, par ailleurs, rappelĂ© que la Tunisie regorge de champions capables de hisser haut le drapeau national lors des grandes manifestations sportives internationales et rĂ©gionales, ajoutant que “cela a Ă©tĂ© le cas par le passĂ©, en dĂ©pit du manque d’infrastructure”.

“Il suffit de fournir aux jeunes de tout le pays les moyens nĂ©cessaires, accompagnĂ©s de lĂ©gislations appropriĂ©es, pour que le drapeau national flotte fiĂšrement partout”, a-t-il dit.

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Baisse du prix du pĂ©trole : Une aubaine pour l’économie tunisienne ?

PĂ©troleC’est une simple opĂ©ration de calcul. Le gouvernement tunisien a calculĂ© son budget Ă©conomique sur la base de l’hypothĂšse d’un prix moyen du baril de Brent Ă  77,4 dollars. Or, depuis janvier 2025, la tendance est Ă  la baisse. Le prix du baril est en train de fluctuer entre 72 et 70 dollars le baril. Cette baisse est confirmĂ©e par les projections de la Banque mondiale qui estime que ce trend baissier va se poursuivre durant l’annĂ©e 2025 Ă  cause entre autres la baisse de la production en Chine.

Pour l’institution de Bretton Wood’, « les marchĂ©s mondiaux du pĂ©trole devraient connaĂźtre un dĂ©sĂ©quilibre majeur entre l’offre et la demande. Dans son rapport sur cette question, elle indique que « la production mondiale de pĂ©trole devrait surpasser la demande d’environ 1,2 million de barils par jour en moyenne en 2025. Un tel surplus, observĂ© seulement deux fois auparavant – en 1998 et 2020 – pourrait faire baisser les prix des matiĂšres premiĂšres Ă  leur niveau le plus bas depuis cinq ans Â».

“Gagner un milliard de dinars grĂące au pĂ©trole ? Un coup de chance plus qu’une stratĂ©gie.”

 

Commentant ce trend baissier du prix du pĂ©trole l’économiste et universitaire Ridha Chkoundali, estime que cette tendance « pourrait allĂ©ger considĂ©rablement les tensions sur les finances publiques. ConcrĂštement, pour l’économiste « Si cette tendance se maintient jusqu’à la fin de l’annĂ©e, cela reprĂ©sentera un gain de prĂšs d’un milliard de dinars pour le budget de l’État Â».

Ce montant aurait normalement servi pour financer en devises les importations de produits énergétiques.

L’économiste, qui publiait son point de vue su sa page facebook, perçoit dans cette opportunitĂ© deux avantages.

Le premier consiste Ă  allĂ©ger la pression sur les finances publiques. Pour lui,  ce surplus budgĂ©taire inattendu permettra de renforcer les rĂ©serves en devises du pays et de stabiliser le dinar face aux monnaies Ă©trangĂšres. « C’est comme si la Tunisie bĂ©nĂ©ficiait d’un don extĂ©rieur », a-t-il Ă©crit.

“Le pĂ©trole bon marchĂ© est un avantage, tant que les tensions gĂ©opolitiques ne font pas tout basculer.”

 

Le second porte sur les effets positifs que pourrait avoir cet Ă©ventuel surplus budgĂ©taire sur  l’économie rĂ©elle. “Le maintien des prix de l’énergie Ă  un niveau bas limiterait les pressions inflationnistes et favoriserait une baisse du taux directeur de la Banque centrale. « Une rĂ©duction des taux d’intĂ©rĂȘt encouragerait l’investissement et soutiendrait la crĂ©ation de richesses », prĂ©cise Chkoundali.

L’économiste a tenu Ă  prĂ©ciser que ce scĂ©nario de trend baissier du prix du pĂ©trole demeure fragile et provisoire. Il rappelle que les prix du pĂ©trole sont influencĂ©s par de nombreux facteurs, notamment les tensions gĂ©opolitiques et les stratĂ©gies des grandes puissances pĂ©troliĂšres. Les sanctions occidentales contre la Russie et l’Iran, ainsi que les politiques de production de l’OPEP+, pourraient faire remonter les prix.

À l’inverse, une accalmie dans le conflit ukrainien ou une augmentation de la production de pĂ©trole de schiste aux États-Unis pourraient les tirer vers le bas.

ABS

EN BREF

Baisse du prix du pétrole : Une opportunité pour la Tunisie ?

đŸ”č Prix du baril : Entre 70 et 72 $ depuis janvier 2025 (contre une prĂ©vision budgĂ©taire Ă  77,4 $).
đŸ”č Impact budgĂ©taire : Un gain potentiel de 1 milliard de dinars pour les finances publiques.

Effets Ă©conomiques attendus :

  • Renforcement des rĂ©serves en devises.
  • Stabilisation du dinar.
  • PossibilitĂ© de baisse des taux d’intĂ©rĂȘt et stimulation des investissements.
  • Un scĂ©nario fragile : Les tensions gĂ©opolitiques et les dĂ©cisions de l’OPEP+ pourraient inverser cette tendance.

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RSE en Tunisie : Les entreprises sont-elles vraiment responsables ?

Au temps du Bourguibisme, le combattant suprĂȘme (Bourguiba) qualifiait les entrepreneurs privĂ©s tunisiens de l’époque  d'”affairistes”, c’est-Ă -dire de personnes prĂ©occupĂ©es par le profit et enclins Ă  faire des affaires sans scrupule. Le PrĂ©sident Ben Ali, son successeur n’a pas mĂ©nagĂ© Ă  son tour cette catĂ©gorie d’acteurs sociaux. Il les qualifiait de “chasseurs de primes et de subventions”.

Malheureusement, ces Ă©tiquettes perdurent encore jusqu’à nos jours comme en tĂ©moignent les rĂ©sultats de certaines enquĂȘtes.

A l’origine de ce discours rĂ©ducteur entretenu Ă  l’endroit des entrepreneurs, l’absence d’une culture entrepreneuriale. Celle lĂ  mĂȘme qui favorise la concrĂ©tisation d’un ensemble de valeurs concrĂštes, notamment l’innovation, l’engagement, la crĂ©ativitĂ©, la responsabilitĂ© sociĂ©tale et autres. L’ultime finalitĂ© Ă©tant  de consacrer dans la sociĂ©tĂ© la lĂ©gitimitĂ© sociale du mĂ©tier d’entrepreneur ainsi qu’à donner Ă  ce dernier une image plus crĂ©dible.

Nous sommes amenĂ©s Ă  remettre Ă  l’esprit ces qualitatifs d’antan au regard des rĂ©sultats  d’un rĂ©cent baromĂštre sur la maturitĂ© de la durabilitĂ© au sein des entreprises exportatrices, et ce, Ă  l’occasion d’un sĂ©minaire organisĂ©, au mois de fĂ©vrier 2025,  par la Chambre de commerce et d’industrie de Tunis (CCIT), en partenariat avec le programme suisse de promotion de l’importation (SIPPO), sur le thĂšme : « Mesurer pour agir, agir pour durer».

Objectif recherchĂ© des organisateurs : mesurer le degrĂ© d’intĂ©gration des pratiques durables au sein des entreprises exportatrices. Parmi ces pratiques figure en bonne place la ResponsabilitĂ© sociale de l’entreprise (RSE), une pratique pourtant en vigueur, depuis les annĂ©es 50 et mĂȘme bien avant.

La RSE date depuis les annĂ©es 50 et mĂȘme bien avant

Au temps de la colonisation française en Tunisie, la pratique Ă©tait exercĂ©e. Les firmes privĂ©es  chargĂ©es de la construction de grands ouvrages, barrages et autres,  Ă©difiaient parallĂšlement et en accompagnement de ces ouvrages,  des villages ex nihilo, des Ă©coles, des Ă©tablissements sanitaires et d’autres Ă©quipements collectifs (cas des barrages de Beni M’tir et de MellĂšgue au nord ouest de Tunisie).

En thĂ©orie le concept de RSE dĂ©signe la responsabilitĂ© d’une entreprise Ă©conomique Ă  l’égard de la sociĂ©tĂ©. C’est une notion mise en avant par des organisations de consommateurs, des partisans du dĂ©veloppement durable et de l’intĂ©gration de l’éthique morale dans l’économie.

Les révélations du baromÚtre

Pour revenir aux rĂ©sultats du baromĂštre prĂ©citĂ© et Ă  propos justement de RSE,  ces derniers nous apprennent que sur 62 entreprises sondĂ©es, “seules 18 % des entreprises du secteur agroalimentaire tunisien ont mis en place une dĂ©marche structurĂ©e de responsabilitĂ© sociĂ©tale des entreprises (RSE), tandis que 80 % ignorent encore l’existence de la loi RSE adoptĂ©e en 2018”.

Plus inquiĂ©tant encore, les rĂ©sultats du baromĂštre nous informent Ă©galement d’un manque criant d’engagement structurĂ© en matiĂšre de RSE. “38 % des entreprises sondĂ©es n’ont aucune connaissance du concept, tandis que 56 % n’en perçoivent pas encore l’importance”.

Plus inquiétant encore, aucune entreprise du panel ne détient un label certifiant ses engagements en matiÚre de RSE.

InterpellĂ©es lors de l’exĂ©cution de ce baromĂštre, sur les raisons qui les ont empĂȘchĂ©es d’adopter cette pratique durable, les entreprises interrogĂ©es Ă©voquent : le manque d’information, l’absence d’un cadre lĂ©gal clair, le dĂ©ficit d’appui public et des moyens financiers insuffisants.

Avec ces rĂ©vĂ©lations arrachĂ©es -bien arrachĂ©es- Ă  la faveur d’un financement suisse, les responsabilitĂ©s sont, dĂ©sormais, dĂ©limitĂ©es. Les rĂ©gimes clientĂ©listes ne se sont jamais prĂ©occupĂ©s de la durabilitĂ© des entreprises et de leur rayonnement sur leur environnement. Ils assument aujourd’hui la responsabilitĂ© des dĂ©gĂąts.

Abou SARRA

EN BREF

BaromĂštre sur la RSE (2025, CCIT & SIPPO)

18 % des entreprises agroalimentaires ont une démarche RSE
80 % ignorent la loi RSE de 2018
38 % ne connaissent pas le concept
56 % n’en perçoivent pas l’importance
0 % de labels certifiants

Freins identifiés

  • Manque d’information
  • Absence de cadre lĂ©gal clair
  • DĂ©ficit d’appui public et financier

Conclusion : La culture entrepreneuriale et la responsabilitĂ© sociĂ©tale doivent ĂȘtre renforcĂ©es pour assurer la durabilitĂ© des entreprises.

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Soirée Rock Expérimental au Théùtre El Hamra avec Rocks Midnight Pin le 22 Mars

Le ThĂ©Ăątre El Hamra-ThĂ©Ăątre de tous les arts- accueille dans la soirĂ©e du 22 mars le collectif de musiciens Rocks Midnight Pin avec au programme ses deux projets : “Implosion/Mazel Ghodwa” et “Geno-suite”.

Surfant sur diffĂ©rents genres du rock alternatif au tribal en passant par l’expĂ©rimental, le groupe fondĂ© en 2014, se compose de Mina Achir au chant, Saifeddine Nessib au chant et Ă  la guitare, de Ahmed Gara Ă  la basse et SĂ©lim Bouladi Ă  la Batterie. Depuis sa crĂ©ation, le groupe Ă©volue sur la scĂšne rock dans plusieurs rĂ©gions (Tunis, Hammamet, Sousse, Monastir, Jendouba
).

Son premier album “Implosion” sorti en 2022, rassemble des titres en arabe et en anglais sur la santĂ© mentale et les valeurs d’une gĂ©nĂ©ration dĂ©senchantĂ©e, en quĂȘte de sens. Son deuxiĂšme projet “The Geno-suite” est un EP de titres engagĂ©s.

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Exposition “Écrire en français” à Bizerte : Un voyage à travers les mots et les cultures

“Ecrire en français. Histoires de langues, voyages de mots” est l’intitulĂ© d’une exposition qui se dĂ©roulera Ă  l’Alliance Française de Bizerte du 20 mars au 14 avril 2025.

OrganisĂ©e par l’Alliance française de Paris en 2024, l’exposition a permis de dĂ©couvrir l’histoire de 100 autrices et auteurs venu(e)s du monde entier, qui ont toutes et tous choisi la langue française comme moyen d’expression et de transmission.

A travers des citations tirĂ©es de leurs ouvrages et des tĂ©moignages Ă©crits et vidĂ©os inĂ©dits, une multitude de parcours et d’expĂ©riences ont Ă©tĂ© mis en lumiĂšre par Bernard Magnier, journaliste et Ă©crivain français et Sabyl Ghoussoub, Ă©crivain, journaliste, photographe et commissaire d’exposition.

Pour cette escale en Tunisie, l’exposition met en lumiĂšre des Ă©crivain(e)s venus des quatre coins du monde : Buenos Aires, Tokyo, Kaboul, Dakar, Beyrouth, SaĂŻgon
Autant de villes parfois Ă©loignĂ©es de la sphĂšre francophone, mais oĂč la langue française a pourtant marquĂ© leur parcours de maniĂšre indĂ©lĂ©bile. Entre destin, hasard, histoires personnelles et collectives, ces autrices et auteurs se sont appropriĂ© le français Ă  travers des drames, des amours, des rencontres.

Pourquoi ont-ils choisi d’écrire en français ? Comment l’ont-ils reçue, apprise, façonnĂ©e, enrichie ? L’exposition explore ces questions Ă  travers une approche multimĂ©dia immersive : extraits d’Ɠuvres, citations, entretiens filmĂ©s exclusifs, sĂ©lectionnĂ©s par Bernard Magnier et Sabyl Ghoussoub.

Des visites guidĂ©es et des ateliers spĂ©cialement conçus pour les scolaires seront organisĂ©s Ă  l’Alliance Française de Bizerte.

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Bourse de Tunis : Le TUNINDEX en hausse de 0,43% avec STAR et BH Leasing en tĂȘte

Le marchĂ© boursier a clĂŽturĂ© la sĂ©ance du lundi sur une note haussiĂšre. L’indice de rĂ©fĂ©rence a pris 0,43 % Ă  10 841,74 points, dans un volume modeste de 6,1 MD, selon l’intermĂ©diaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre STAR a chapeautĂ© le palmarĂšs de la sĂ©ance. L’action de l’assureur a progressĂ© de 4,5 % Ă  211,580 D, dans un flux relativement soutenu de 386 mille dinars.

Sans faire l’objet de transactions, le titre CIMENTS DE BIZERTE a figurĂ© parmi les plus grands perdants de la sĂ©ance. L’action de la cimenterie a reculĂ© de 2,6 % Ă  0,370 D.

Le titre BH LEASING est reparti Ă  la hausse. L’action du loueur s’est offert un gain de 4,4 % Ă  4,300 D. La valeur a animĂ© le marchĂ© avec des Ă©changes de 20 mille dinars.

Le titre SOTUVER a été le titre le plus échangé sur la séance. Le titre du verrier a terminé la séance sur une avancée de 1,1 % à 14,400 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1,1 MD, soit 17 % du volume échangé sur la cote.

Le titre EURO-CYCLES s’est placĂ© en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du producteur des cycles a lĂąchĂ© 3,2 % Ă  14,320 D dans un maigre flux de 36 mille dinars sur la sĂ©ance.

 

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Tunisie : Février 2025, un mois marqué par des températures plus chaudes et un excédent de pluie record

La tempĂ©rature moyenne a atteint 13°C, pour toute la Tunisie durant le mois de fĂ©vrier 2025, soit une hausse de +1,1°c par rapport Ă  la moyenne de rĂ©fĂ©rence qui est de 11,9C, indique l’Institut National de la MĂ©tĂ©orologie (INM), dans un bulletin climatique publiĂ© rĂ©cemment.

Le bilan pluviomĂ©trique total du mois a Ă©tĂ© de 1165,1 mm, alors que la normale pour les mĂȘmes stations est 914,8 mm ce qui reprĂ©sente une hausse de 127,4% par rapport Ă  la normale du mois. Le bilan pluviomĂ©trique du mois de FĂ©vrier 2024 a Ă©tĂ© dĂ©ficitaire de 20%, Ă  728,3 mm, selon l’INM.

Les températures moyennes, pendant le mois de février 2025, ont varié entre 8,1 °C à Thala et 15,3°C à Djerba. Quant à la température moyenne nationale calculée aux niveaux des 27 stations principales, elle a été de 13 °C, soit une hausse (+1,1°c), par rapport à la moyenne de référence qui est de 11,9°c.

Les tempĂ©ratures maximales moyennes ont variĂ© entre 11,8°C Ă  Thala et 20,1°C Ă  Mednine et Elborma. Quant Ă  la tempĂ©rature maximale moyenne nationale (27 stations principales), elle a atteint 17,9 °C, supĂ©rieure Ă  la moyenne de rĂ©fĂ©rence pour les mĂȘmes stations (17,1 °C) avec une diffĂ©rence de +0,8 °C.

La température maximale la plus élevée en février a été de 25,1°C et a été enregistrée à la station de Médenine le 28 du mois.

Des quantitĂ©s importantes de prĂ©cipitations ont Ă©tĂ© enregistrĂ© dans plusieurs rĂ©gions du pays Ă  l’exception de l’extrĂȘme sud : Remeda, Tataouine, Elborma et MĂ©denine, oĂč les prĂ©cipitations ont Ă©tĂ© trĂšs faibles (infĂ©rieures Ă  10 mm en gĂ©nĂ©ral).

La station la plus arrosée durant ce mois était celle de Monastir avec 71,8 mm.

La station de Tozeur a enregistrĂ© un nouveau record pluviomĂ©trique quotidien de 52,4 mm, le 7 du mois, contre l’ancien record de 37,4 mm le 21 fĂ©vrier 2015. Son cumul pluviomĂ©trique mensuel a, en outre, enregistrĂ© un nouveau record de 64,8 mm (dernier record mensuel Ă©tait de 64,3 mm en 2015).

Pendant le mĂȘme jour, un nouveau record pluviomĂ©trique quotidien de 57,6 mm a Ă©tĂ© aussi battu Ă  la station de Matmata le 07 du mois (dernier record 20,2 mm enregistrĂ© le 08/02/2023). De mĂȘme, son ancien record du total pluviomĂ©trique pour le mois de fĂ©vrier 1993, qui Ă©tait de 36 mm, a Ă©tĂ© aussi dĂ©passĂ© cette annĂ©e. Sa nouvelle valeur est dĂ©sormais de 61,4 mm.

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Gafsa : Une cellule régionale pour prévenir la menace des criquets pÚlerins

Une cellule rĂ©gionale de crise pour prĂ©venir l’invasion de criquets pĂšlerins et assurer le suivi de leurs mouvements dans les pays voisins sera crĂ©Ă©e prochainement, selon les dĂ©cisions prises lors d’une rĂ©union de travail tenue rĂ©cemment au siĂšge du gouvernorat de Gafsa.

Cette cellule rĂ©unira des reprĂ©sentants des diffĂ©rentes directions, dĂ©lĂ©gations, municipalitĂ©s et services de sĂ©curitĂ©, ainsi que d’autres unitĂ©s locales, sous la prĂ©sidence des dĂ©lĂ©guĂ©s concernĂ©s, a prĂ©cisĂ©, Ă  l’Agence TAP, Mongi Afi, chargĂ© de la gestion au commissariat rĂ©gional au dĂ©veloppement agricole (CRDA).

Il a Ă©galement prĂ©cisĂ© que les dĂ©lĂ©gations frontaliĂšres d’Om El Arayes, Sidi Boubaker, MĂ©tlaoui et Redeyef ont Ă©tĂ© dotĂ©es de 200 litres de pesticides pour faire face Ă  cette menace en cas d’arrivĂ©e des criquets.

Le ministĂšre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la PĂȘche a rĂ©cemment fait savoir, dans un communiquĂ©, que de petits groupes de criquets pĂšlerins ont Ă©tĂ© observĂ©s Ă  Dehiba, dans le gouvernorat de Tataouine, Ă  la suite des vents du sud qui ont soufflĂ© sur la rĂ©gion.

Le ministĂšre prĂ©cise que ces observations font suite Ă  la propagation de criquets pĂšlerins dans certains pays du Sahel et d’Afrique du Nord, notamment en Libye, oĂč une invasion est actuellement en cours en raison de conditions climatiques favorables Ă  leur reproduction, telles que les pluies et la vĂ©gĂ©tation luxuriante.

AprĂšs des inspections menĂ©es par l’équipe technique dĂ©pĂȘchĂ©e sur le terrain, le ministĂšre a soulignĂ© qu’il ne s’agissait pas d’essaims de criquets, mais de groupes isolĂ©s qui, pour le moment, ne reprĂ©sentent aucune menace pour la vĂ©gĂ©tation de la rĂ©gion.

Le ministĂšre a Ă©galement confirmĂ© que les Ă©quipes techniques poursuivent leur surveillance continue de la rĂ©gion afin de suivre l’évolution des mouvements des criquets.

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Décarbonisation des bùtiments : un défi mondial freiné par le manque de financements

Un nombre croissant de pays s’efforcent de dĂ©carboniser les bĂątiments, mais la lenteur des progrĂšs et des financements met en pĂ©ril les objectifs climatiques mondiaux, constate le rapport annuel sur le secteur des bĂątiments et de la construction, rendu public aujourd’hui par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Alliance mondiale pour les bĂątiments et la construction (GlobalABC).

En dĂ©pit des progrĂšs et de la tendance vers la dĂ©carbonisation, le secteur du bĂątiment et de la construction demeure un facteur clĂ© de la crise climatique, puisqu’il consomme 32 % de l’énergie mondiale et contribue Ă  34 % des Ă©missions mondiales de CO2.

IntitulĂ© “Not just another brick in the wall” (Pas juste une autre brique dans le mur), ce rapport, qui met en Ă©vidence les progrĂšs rĂ©alisĂ©s dans le cadre des objectifs climatiques mondiaux connexes, appelle Ă  une plus grande ambition sur six dĂ©fis, notamment les codes Ă©nergĂ©tiques des bĂątiments, les Ă©nergies renouvelables et le financement.

“En adoptant des codes Ă©nergĂ©tiques obligatoires pour les bĂątiments alignĂ©s sur des Ă©missions nettes zĂ©ro, des normes de performance obligatoires et en saisissant les investissements dans l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, l’intensitĂ© Ă©nergĂ©tique du secteur a Ă©tĂ© rĂ©duite de prĂšs de 10 %, tandis que la part des Ă©nergies renouvelables dans la demande d’énergie finale a augmentĂ© de prĂšs de 5 %”, indique le rapport.

Des mesures supplĂ©mentaires telles que les pratiques de construction circulaire sont recommandĂ©es, puisque le secteur dĂ©pend de matĂ©riaux tels que le ciment et l’acier, qui sont responsables de 18 % des Ă©missions mondiales et constituent une source majeure de dĂ©chets de construction.

D’autres mesures, dont les baux verts (accords pour l’amĂ©lioration de la performance environnementale des bĂątiments), la rĂ©novation Ă©nergĂ©tique des bĂątiments existants et l’utilisation de matĂ©riaux Ă  faible teneur en carbone peuvent encore rĂ©duire la consommation d’énergie du secteur, amĂ©liorer la gestion des dĂ©chets et rĂ©duire les Ă©missions en gĂ©nĂ©ral.

“Étant donnĂ© que prĂšs de la moitiĂ© des bĂątiments qui existeront dans le monde d’ici 2050 n’ont pas encore Ă©tĂ© construits, l’adoption de codes de construction ambitieux en matiĂšre d’énergie est essentielle”, note le rapport.

Cependant, les données indiquent un déclin récent de mesures trÚs efficaces telles que les installations de pompes à chaleur et plus de 50 % des surfaces nouvellement construites dans les économies émergentes et en développement ne sont toujours pas couvertes par des codes de construction.

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Illuminations d’El-Halfaouine” : Une soirĂ©e thĂ©Ăątrale entre rĂ©volte et enchantement

Entre des cris de douleur, Ă©chos des camps palestiniens, et voix portĂ©es par une quĂȘte incessante de justice et d’un lendemain meilleur, la troisiĂšme soirĂ©e du rendez-vous ramadanesque du ThĂ©Ăątre national tunisien “Illuminations d’El-Halfaouine” organisĂ©e dans la soirĂ©e du dimanche 16 mars 2025, a Ă©tĂ© marquĂ©e par une performance bouleversante, un thĂ©Ăątre de rue qui a plongĂ© le public au cƓur des camps de rĂ©fugiĂ©s palestiniens.

IntitulĂ©e “Camp des rĂ©fugiĂ©s”, mise en scĂšne par Talal Ayoub et produite par l’Association Culture et Arts Sahloul de Hammam Sousse, la piĂšce a dressĂ© un tableau poignant de l’exil et de la rĂ©sistance.

Dans un dĂ©cor Ă©vocateur, les jeunes comĂ©diens ont incarnĂ© la douleur d’un peuple dĂ©racinĂ©, donnant vie aux rĂ©cits poignants de ceux qui ont fui la guerre et l’oppression. A travers des tĂ©moignages rĂ©els, entrelacĂ©s de vers de l’égyptien Amal Dunqul, surnommĂ© le prience des poĂštes du refus” et le poĂšte d’origine palestinienne Yahia Lababidi, le spectacle a fait vibrer le public au rythme d’une douleur universelle, portĂ©e par une scĂ©nographie immersive qui abolissait la frontiĂšre entre scĂšne et rĂ©alitĂ©.

LaurĂ©ate des prix de la Meilleure scĂ©nographie et de la Meilleure mise en scĂšne lors de la 34Ăšme Ă©dition du Festival National du ThĂ©Ăątre Amateur, la piĂšce porte sur la peur, la famine, les bombardements et l’élan invincible de la rĂ©sistance, faisant l’éhco d’un cri de solidaritĂ© envers Gaza, dĂ©nonçant l’injustice et affirmant le droit Ă  la dignitĂ© et Ă  la libertĂ©.

L’interaction avec le public a culminĂ© dans un moment d’intense ferveur, lorsque, submergĂ©s par l’émotion, les spectateurs ont rĂ©pondu aux acteurs par une ovation vibrante, ponctuĂ©e de slogans en faveur de la Palestine. Dans cet espace scĂ©nique sans frontiĂšres, oĂč l’art et la rĂ©alitĂ© se confondaient, la piĂšce s’est muĂ©e en un cri de rĂ©volte artistique et en un puissant Ă©lan de communion humaine.

Le ThĂ©Ăątre entre rĂ©alitĂ© et rĂȘve

AprĂšs l’intensitĂ© dramatique du premier spectacle, l’atmosphĂšre a basculĂ© dans un univers enchanteur avec “La Reine de la nuit”, une piĂšce pour enfants mise en scĂšne par Hatem Maraoub, inspirĂ©e du conte “La FlĂ»te enchantĂ©e” d’Emmanuel Schikaneder et du cĂ©lĂšbre opĂ©ra de Mozart.

L’histoire suit Pamina, une princesse dĂ©couvrant que la mystĂ©rieuse Reine de la nuit, qu’elle croyait ĂȘtre sa mĂšre, lui cachait la vĂ©ritĂ© sur son passĂ©. Aux cĂŽtĂ©s du prince Tamino et du pĂ©tillant Papageno, elle se lance dans une quĂȘte initiatique oĂč s’affrontent le bien et le mal.

GrĂące Ă  des dĂ©cors fĂ©eriques, une mise en scĂšne rythmĂ©e et des dialogues captivants, les enfants ont Ă©tĂ© transportĂ©s dans un monde oĂč bravoure, amour et justice triomphent. Au-delĂ  de son aspect ludique, cette piĂšce a insufflĂ© aux jeunes spectateurs des valeurs essentielles, rappelant que le courage et la loyautĂ© sont les piliers de toute quĂȘte humaine.

Si ces deux spectacles semblent opposĂ©s par leur tonalitĂ© et leur message, ils partagent pourtant une mĂȘme ambition : faire du thĂ©Ăątre un miroir des rĂ©alitĂ©s humaines et une Ă©chappatoire vers l’espoir.

“Camp des rĂ©fugiĂ©s “a portĂ© un cri d’indignation et de mĂ©moire, une onde de choc face Ă  l’injustice. « La Reine de la nuit », quant Ă  elle, a ouvert une fenĂȘtre sur l’imaginaire, un refuge oĂč la magie du rĂ©cit permet d’apprĂ©hender le monde autrement. Entre cris de dĂ©tresse et contes enchantĂ©s, le thĂ©Ăątre, sous toutes ses formes, se dresse, comme langage intemporel de l’humanitĂ©, pour porter haut la voix des opprimĂ©s.

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L’AĂ©roport Enfidha-Hammamet lance ses premiers vols pour la Omra

L’aĂ©roport international d’Enfidha-Hammamet est fier d’annoncer le lancement de ses tout premiers vols de la Omra, marquant ainsi une nouvelle Ăšre dans la facilitation du voyage vers les Lieux-Saints pour les pĂšlerins.

Cette initiative stratĂ©gique, fruit d’un partenariat Ă©troit avec Saudia Airlines et Kounouz Travel, tĂ©moigne de l’engagement de l’aĂ©roport Ă  miser sur la proximitĂ© pour rĂ©pondre davantage aux besoins et aux exigences des pĂšlerins dans toutes les rĂ©gions du pays,  mais aussi pour promouvoir une offre de transport aĂ©rien moderne, sĂ»r et confortable, rĂ©pondant aux attentes d’une clientĂšle en quĂȘte d’excellence.

Les premiers vols entre Enfidha et Djeddah (JED) sont programmĂ©s le jeudi 20 et vendredi 21 mars 2025, alors que les vols retour MĂ©dine (MED)-Enfidha sont programmĂ©s le mardi 8 et le mercredi 9 avril 2025.

Les vols Enfidha et Djeddah (JED) et MĂ©dine (MED)-Enfidha s’effectueront Ă  bord d’appareils Airbus A330 de derniĂšre gĂ©nĂ©ration, offrant une capacitĂ© comprise entre 360 et 426 siĂšges.

Ces avions, équipés des technologies les plus récentes, assurent non seulement un confort de vol inégalé mais respectent également les normes internationales les plus strictes en matiÚre de sécurité aérienne, garantissant une expérience de voyage sereine et efficace.

Au-delĂ  de l’enrichissement de son rĂ©seau, l’ouverture de ces lignes confirme la volontĂ© l’aĂ©roport d’Enfidha-Hammamet de se positionner comme un vĂ©ritable hub aĂ©rien rĂ©gional, attractif capable d’offrir  des solutions de transport qui incarnent l’excellence et l’innovation au service du tourisme religieux et du dĂ©veloppement rĂ©gional.

 

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Coupe de Tunisie 2024-2025 : Tirage au sort des 16es de finale prévu le 23 mars

La FĂ©dĂ©ration tunisienne de football (FTF) a annoncĂ© lundi, dans un communiquĂ©, que le tirage au sort des 16es de finale de la coupe de Tunisie, 2024-2025, aura lieu dimanche 23 mars Ă  l’occasion de l’émission “Dimanche sport” sur la PremiĂšre chaine nationale.

Les rencontres se joueront les 5 et 6 avril prochains, tandis que l’EspĂ©rance de Tunis, engagĂ©e en ligue des champions d’Afrique entrera en lice le 14 voire le 15 du mĂȘme mois.

 

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Tunisie : L’OTIC lance une campagne nationale pour Ă©liminer le plomb dans la peinture

L’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (OTIC) a annoncĂ© le lancement de la campagne nationale visant Ă  Ă©liminer le plomb dans la peinture.

Dans un communiquĂ© publiĂ© lundi, l’organisation a ajoutĂ© que l’initiative vise Ă  sensibiliser les consommateurs et les dĂ©cideurs aux risques associĂ©s Ă  l’utilisation de peintures au plomb, en particulier pour la santĂ© des enfants et des femmes enceintes.

L’organisation cĂ©lĂšbre la JournĂ©e mondiale des droits du consommateur, qui reprĂ©sente une Ă©tape importante pour mettre en relief les questions fondamentales touchant les droits des consommateurs, leur santĂ© et leur sĂ©curitĂ©.

La JournĂ©e mondiale est organisĂ©e sous le thĂšme “Une transition juste vers un mode de vie durable”.

L’organisation a soulignĂ© l’importance d’équilibrer la croissance Ă©conomique avec la durabilitĂ© environnementale, assurant une justice transitionnelle qui permet Ă  toutes les catĂ©gories sociales d’adopter un mode de vie plus durable sans compromettre leurs droits fondamentaux. La campagne repose sur une mobilisation en faveur d’une lĂ©gislation stricte interdisant l’utilisation du plomb dans la peinture ainsi que la sensibilisation des consommateurs aux risques liĂ©s Ă  l’exposition au plomb et Ă  ses effets nĂ©gatifs sur la santĂ© publique.

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Réduire les Importations Non Essentielles : Les propositions de Mohsen Hassan pour combattre le déficit commercial

L’expert Ă©conomique, Mohsen Hassan, a soulignĂ© que les politiques du gouvernement visant Ă  contrĂŽler les biens de consommation non essentiels pour le cycle Ă©conomique, sont inefficaces jusqu’à prĂ©sent et que la rĂ©duction du dĂ©ficit commercial du pays nĂ©cessite de dĂ©samorcer le secteur Ă©nergĂ©tique.

Dans une interview accordĂ©e Ă  l’Agence TAP, Hassan a prĂ©cisĂ© qu’une baisse de l’importation des produits de base n’est pas possible mais, a-t-il dit, il existe une marge pour rĂ©duire les importations de produits de consommation non essentiels.

La solution ne rĂ©side pas, selon lui, dans l’arrĂȘt des importations, car certains pays, en particulier la Chine, sont des partenaires stratĂ©giques. Il est plutĂŽt crucial de soutenir les exportations tunisiennes vers ces pays tout en encourageant les investissements turcs et russes en Tunisie afin de mieux contrĂŽler les effets sur la balance des paiements.

L’expert a, en outre, appelĂ© la Tunisie Ă  adopter une nouvelle politique visant Ă  soutenir l’exportation. A cet Ă©gard, il a soulignĂ© la nĂ©cessitĂ© de rĂ©viser les politiques sectorielles et de mieux gĂ©rer les systĂšmes agricoles Ă  travers la crĂ©ation d’une commission sous la supervision du PrĂ©sident de la RĂ©publique ou du Chef du gouvernement.

NĂ©cessitĂ© d’identifier une solution au dĂ©ficit Ă©nergĂ©tique

Une autre dimension pour renforcer les exportations tunisiennes rĂ©side, selon l’expert, dans le secteur Ă©nergĂ©tique, rappelant que ce domaine a enregistrĂ© une rĂ©gression dans les annĂ©es 2010-2011 en raison des choix de l’Etat.

Hassan a incitĂ© Ă  la reprise d’activitĂ© des entreprises Internationales en Tunisie tout en renforçant les efforts en matiĂšre de transition Ă©nergĂ©tique. Il s’agit d’amĂ©liorer l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique des bĂątiments et la production d’énergies propres. L’expert Ă©conomique a affirmĂ© que le dĂ©ficit Ă©nergĂ©tique actuel est « trĂšs dangereux ».

Augmentation des importations de biens d’équipement explique une reprise de la demande

Hassan a soulignĂ© que le dĂ©ficit commercial est expliquĂ© par la baisse des exportations des industries alimentaires de 16,5 %, notamment l’huile d’olive, passant de 1 323,9 millions de dinars(MD) Ă  107,6 MD en raison de la diminution des prix mondiaux et de l’inefficacitĂ© des politiques nationales pour la commercialisation et la valorisation des productions.

Selon l’expert, le gouvernement a tardĂ© Ă  intervenir pour soutenir l’effort du secteur privĂ© dans la commercialisation des produits.

La situation est Ă©galement due Ă  la baisse des exportations des industries mĂ©caniques et Ă©lectriques(IME) en raison de la crise que connait l’espace europĂ©en, premier client de la Tunisie, outre la rĂ©gression des exportations du textile en raison de la rĂ©duction de la demande europĂ©enne, a-t-il expliquĂ©.

Face Ă  cette situation, la Tunisie doit se concentrer sur de nouvelles destinations. Il s’agit notamment d’une amĂ©lioration de ses exportations vers les pays arabes, comme la Libye, avec une augmentation de 51,6%.

Il a appelĂ© Ă  la crĂ©ation de nouvelles lignes maritimes pour faciliter le transport des biens vers la Libye, notamment via les ports de Zarzis et Sfax, et ainsi accĂ©der aux pays du sud du Sahara, selon l’expert.

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“A MoitiĂ© d’Âme” de Marwen Trabelsi remporte la Mention SpĂ©ciale au TaxiFilmFest 2025 Ă  Berlin

Le court-mĂ©trage tunisien “A moitiĂ© d’ñme” de Marwen Trabelsi a dĂ©crochĂ© la Mention spĂ©ciale du jury lors de la deuxiĂšme Ă©dition du TaxiFilmFest 2025 Ă  Berlin (Allemagne). Ce film fait partie des six Ɠuvres particuliĂšrement remarquĂ©es par le festival, en plus des laurĂ©ats officiels. Bien que le thĂšme du taxi ne soit pas directement abordĂ© dans le film, “A moitiĂ© d’ñme” Ă©voque de maniĂšre poignante des situations qui rappellent le sort des chauffeurs de taxi, appauvris par l’ubĂ©risation, l’insĂ©curitĂ© et l’exploitation Ă©conomique”.

Marwen Trabelsi a su capturer des images puissantes pour “dĂ©crire cette perception d’une rĂ©alitĂ© marquĂ©e par la dĂ©sillusion et le dĂ©sespoir. Dans un monde oĂč le matĂ©rialisme prime et oĂč l’humanitĂ© semble dĂ©clinante, la vente d’ñmes devient une activitĂ© prospĂšre. Les personnes suicidaires proposent leur Ăąme en Ă©change d’une somme d’argent destinĂ©e Ă  leur famille. L’histoire fantastique du film raconte celle d’un pĂšre qui, dans un acte dĂ©sespĂ©rĂ©, se voit contraint de vendre son Ăąme pour sauver la vie de sa fille mourante”.

Le photographe et rĂ©alisateur, a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© pour la qualitĂ© artistique et “les images impressionnantes pour dĂ©crire cette perception d’une situation, qui rend malade par son caractĂšre dĂ©sespĂ©rĂ©â€.

AprĂšs des Ă©tudes en audiovisuel, Marwen Trabelsi a rĂ©alisĂ© plusieurs films expĂ©rimentaux, deux longs-mĂ©trages et trois documentaires. Son travail cinĂ©matographique lui a permis de rĂ©colter de nombreux prix tant au niveau national qu’international. Il a notamment remportĂ© le premier prix aux Douz Doc Days, le premier prix du documentaire au Cam Film Festival en Egypte en 2015, et plusieurs prix pour son dernier long-mĂ©trage “L’homme qui est devenu un musĂ©e”, rĂ©alisĂ© en 2019.

La deuxiĂšme Ă©dition du Taxi Film Festival s’est tenue Ă  Berlin (13 au 22 fĂ©vrier 2025) a mis en lumiĂšre des films et des vidĂ©os liĂ©s au monde des chauffeurs de taxi, offrant au public un aperçu de cet univers souvent mĂ©connu. Les projections ont eu lieu dans divers lieux de la ville, notamment Ă  bord d’un taxi spĂ©cialement amĂ©nagĂ© sur la Potsdamer Platz, ainsi que dans les locaux de compagnies de taxis berlinoises.

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Saison CĂ©rĂ©aliĂšre 2024-2025 : L’office des cĂ©rĂ©ales anticipe un bon État des cultures et recours Ă  l’importation

La capacitĂ© nationale de collecte et de stockage des cĂ©rĂ©ales (blĂ© dur, blĂ© tendre et orge), pour la saison 2024-2025, est estimĂ©e Ă  1578 mille tonnes, a indiquĂ© la PrĂ©sidente Directrice GĂ©nĂ©rale de l’Office des cĂ©rĂ©ales, Salwa Ben Hadid Zouari, lors d’une interview tĂ©lĂ©visĂ©e rĂ©alisĂ©e au studio de l’Agence TAP.

Cette capacitĂ© de stockage est rĂ©partie entre une capacitĂ© de collecte, dans les zones de production, prĂ©vue pour cette saison, Ă  780 mille tonnes, et une capacitĂ© de stockage de 798 mille tonnes, ( 508 mille tonnes auprĂšs de l’office et 290 mille tonnes auprĂšs des minoteries).

Des capacitĂ©s de collecte additionnelles d’environ 54 mille 800 tonnes ont Ă©tĂ© recensĂ©es, jusqu’à prĂ©sent, dans les zones de production des gouvernorats de BĂ©ja, Siliana, Jendouba, Bizerte, Kairouan et Zaghouan, ainsi que des capacitĂ©s de stockage additionnelles identifiĂ©es dans la limite de 47 mille 500 tonnes.

En contrepartie, la consommation moyenne annuelle nationale des cĂ©rĂ©ales en blĂ© dur et tendre ainsi qu’en orge (y compris la constitution du stock de sĂ©curitĂ©), est de l’ordre 3 millions 600 mille tonnes (36 millions de quintaux).

Une récolte céréaliÚre serait meilleure si les précipitations se poursuivent durant les mois de mars et avril

L’état des cultures cĂ©rĂ©aliĂšres serait meilleur, si les prĂ©cipitations se poursuivent durant les mois de mars et avril, a prĂ©cisĂ© la responsable, faisant remarquer que la saison agricole 2024-2025 a dĂ©marrĂ© dans de bonnes conditions climatiques, notamment avec les importantes prĂ©cipitations enregistrĂ©es dans la plupart des zones de production, qui sont favorables Ă  la saison des semis, a estimĂ© Ben Hadid.

PrĂšs de 481 mille quintaux de semences ont Ă©tĂ© fournis par rapport Ă  des besoins en semences estimĂ©s Ă  prĂšs de 2 millions de quintaux. Ces quantitĂ©s sont rĂ©parties entre 261, 3 mille quintaux des semences certifiĂ©es, 116,3 mille quintaux d’orge contrĂŽlĂ©, et 103 mille quintaux de blĂ© dur, a fait savoir la responsable.

Un million d’ hectare des superficies est emblavĂ©, dont 548 mille d’hectares en blĂ© dur, 31 mille d’hectares en blĂ© tendre et 413 mille d’orge ( dans les rĂ©gions de Siliana et du Kef).

Recours Ă  l’importation pour couvrir le dĂ©ficit en besoins nationaux en cĂ©rĂ©ales locales

Pour couvrir le dĂ©ficit en besoins nationaux en cĂ©rĂ©ales (Ă©cart entre la rĂ©colte collectĂ©e et les besoins de consommation) , l’Office des cĂ©rĂ©ales fait recours Ă  l’importation.

A cet Ă©gard, la responsable a prĂ©cisĂ© que pour le blĂ© tendre (qui sert Ă  faire du pain et de la pĂątisserie), l’Etat est orientĂ© vers une stratĂ©gie d’importation structurelle, nonobstant le niveau de la rĂ©colte (saison agricole bonne ou moyenne), avec un taux d’importation de 95%, vu la rĂ©duction des superficies cultivĂ©es en blĂ© tendre.

Pour le blĂ© dur (qui sert pour faire la pĂąte alimentaire) et l’orge ( qui sert Ă  l’alimentation animale), le recours Ă  l’importation dĂ©pend de la saison cĂ©rĂ©aliĂšre ( bonne ou moyenne). Ainsi, si la rĂ©colte cĂ©rĂ©aliĂšre serait bonne, le taux d’importation se rĂ©duit jusqu’à 20%, rappelant que les conditions mĂ©tĂ©orologiques (prĂ©cipitations) influencent les cultures cĂ©rĂ©aliĂšres, notamment dans le Nord-ouest, qui sont des cultures pluviales.

L’Etat encourage la culture du blĂ© dur, car l’offre de cette denrĂ©e alimentaire est rare sur le marchĂ© international, ce qui engendre une hausse des prix.

Au niveau mondial, la production de blé dur, cette année, est dans la limite de 30 millions de tonnes contre 797 millions de tonnes pour le blé tendre, avec un écart de prix, entre les deux denrées alimentaires ( blé dur et blé tendre), estimé à 100 dollars par tonne .

50% des importations céréaliÚres de la Tunisie proviennent du marché russe

50 % des importations cĂ©rĂ©aliĂšres de la Tunisie proviennent du marchĂ© russe, a prĂ©cisĂ© la PDG de l’Office des cĂ©rĂ©ales, soulignant que les principaux marchĂ©s fournisseurs de la Tunisie sont la Russie et l’Union europĂ©enne.

La Russie accorde des meilleurs prix préférentiels car elle est considérée parmi les principaux exportateurs des céréales, et elle offre une qualité supérieure des céréales conforme aux exigences du cahier des charges de la Tunisie.

La Tunisie nĂ©gocie actuellement des projets de partenariat avec la Russie, a fait savoir la mĂȘme source. Ces nĂ©gociations ne concernent pas uniquement l’achat des cĂ©rĂ©ales mais aussi le partenariat en matiĂšre d’appui technique, pour l’organisation des sessions de formation au profit des reprĂ©sentants de l’Office des cĂ©rĂ©ales et du ministĂšre de l’agriculture dans le domaine cĂ©rĂ©alier.

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Compétitivité des entreprises tunisiennes : Mohsen Hassan appelle à un soutien renforcé pour booster les exportations

L’expert Ă©conomique et ancien ministre du commerce, Mohsen Hassan a considĂ©rĂ© que la baisse des exportations n’est pas une question conjoncturelle liĂ©e Ă  la gestion des systĂšmes ou Ă  la stagnation Ă©conomique de l’Union europĂ©enne (UE), premier client de la Tunisie, mais un problĂšme structurel liĂ© Ă  la rĂ©gression de la compĂ©titivitĂ© des entreprises et leur capacitĂ© Ă  accĂ©der aux marchĂ©s.

Dans une dĂ©claration Ă  l’Agence TAP, Hassan a appelĂ© le Chef de l’Etat Ă  examiner le dossier de la compĂ©titivitĂ© de l’entreprise tunisienne et sa capacitĂ© Ă  exporter pour favoriser, la rĂ©duction du dĂ©ficit commercial et courant, de la balance des paiements, et prĂ©server la souverainetĂ© nationale. Il a appelĂ© Ă©galement Ă  engager un dĂ©bat sur la compĂ©titivitĂ© de l’entreprise pour favoriser sa rĂ©sistance, d’autant plus que 90% des importations n’ont pas Ă©tĂ© maitrisĂ©s.

Hassan a prĂ©cisĂ© que le tissu entrepreneurial est en train de perdre sa compĂ©titivitĂ©, depuis des annĂ©es, ajoutant que la situation s’est aggravĂ©e avec la pandĂ©mie Covid-19 et la guerre Russie/Ukraine, et ce, en l’absence des mesures pour assurer son soutien.

Pour l’expert la rĂ©gression de la compĂ©titivitĂ© de l’entreprise tunisienne est due Ă  l’augmentation des charges financiĂšres. Et d’ajouter, que le coĂ»t de financement est Ă©levĂ© Ă  causse de la hausse du taux dicteur qui s’élĂšve Ă  8,2%, contre 2% au Maroc, soulignant que les banques assument une part importante de responsabilitĂ© dans la rĂ©gression de l’exportation.

Les charges sociales Ă©levĂ©es ont Ă©galement limitĂ© la compĂ©titivitĂ© des entreprises Ă  cause des augmentations salariales, la hausse des contributions et l’augmentation de la pression fiscale Ă  25,5%, alors qu’ils sont beaucoup plus faibles dans d’autres pays, outre l’instabilitĂ© fiscale.

Le coĂ»t de l’absence de la digitalisation qui demeure nĂ©cessaire dans toutes les phases de dĂ©veloppement de l’entreprise contribue aussi Ă  la rĂ©gression de la compĂ©titivitĂ©, a-t-il encore dit.

Hassan a mis l’accent sur la nĂ©cessitĂ© de diversifier les marchĂ©s, Ă©tant donnĂ© que l’attachement de la Tunisie Ă  l’espace europĂ©en a dĂ©sormais des inconvĂ©nients.

Il a appelĂ© Ă  rĂ©duire cette dĂ©pendance, en prospectant de nouveaux marchĂ©s tels que la Russie, le Sud-est de l’Asie et l’Afrique, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© de la rĂ©vision du systĂšme de financement.

Les banques devront financer les opĂ©rations d’exportation et assurer leur prĂ©sence sur les marchĂ©s d’exportation vu qu’il est impossible d’instaurer une Ă©conomie compĂ©titive et une entreprise solide capable d’exporter en absence d’un systĂšme bancaire qui croit Ă  la gestion des risques et l’appui de l’investissement dans les secteurs Ă  valeur ajoutĂ©e.

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BlĂ©, orge et blĂ© dur : L’Office des cĂ©rĂ©ales garantit la sĂ©curitĂ© des stocks alimentaires en Tunisie

L’Office des cĂ©rĂ©ales a reconstituĂ© un stock de sĂ©curitĂ© en blĂ© dur et tendre, ainsi qu’en orge, de deux mois de consommation, a indiquĂ© la PrĂ©sidente Directrice GĂ©nĂ©rale (PDG) de l’Office des cĂ©rĂ©ales, Salwa Ben Hadid Zouari.

Intervenant lors d’une interview tĂ©lĂ©visĂ©e rĂ©alisĂ©e au studio de l’Agence TAP, Ben Hadid a prĂ©cisĂ© que la consommation mensuelle en blĂ© dur et tendre, est de 2 millions de quintaux, rĂ©partie Ă©quitablement entre le blĂ© dur et le blĂ© tendre, avec 1 million de quintaux chacun, en plus de l’orge, qui peut varier de 500 mille Ă  700 mille quintaux, selon l’offre et la demande, pour rĂ©guler le marchĂ© et rĂ©pondre aux besoins d’alimentation animale.

En moyenne, la consommation annuelle nationale des cĂ©rĂ©ales (y compris la constitution du stock de sĂ©curitĂ©) est de l’ordre de 36 millions de quintaux.

«L’office des cĂ©rĂ©ales est tenu Ă  sauvegarder ce niveau de stock de sĂ©curitĂ© et allant mĂȘme jusqu’à la constitution de 4 mois et de 6 mois de consommation pour ces trois produits (blĂ© tendre, blĂ© dur et orge)”, a soulignĂ© la mĂȘme source.

«La constitution de stock de sĂ©curitĂ©, utilisĂ© en cas d’urgence, permet de prĂ©venir les perturbations de l’offre et des prix sur le marchĂ© international, et de pallier aux ruptures de stock ou pĂ©nuries dues aux alĂ©as, et d’assurer notre sĂ©curitĂ© alimentaire, car il est impossible d’atteindre l’autosuffisance pour les trois produits, mĂȘme dans les pays dĂ©veloppĂ©s», a expliquĂ© Ben Hadid.

La constitution du stock de sĂ©curitĂ© dĂ©pend de la capacitĂ© de stockage et d’accueil dans les ports, qui doit ĂȘtre suffisante d’oĂč l’importance de crĂ©er de nouvelles capacitĂ©s de stockage et de la rĂ©habilitation des silos, a-t-elle rappelĂ©.

Le secteur des céréales compte parmi les secteurs stratégiques et joue un rÎle important dans le développement économique et dans la stabilité sociale, a encore noté Ben Hadid.

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