Les Bavarois du Bayern se déplacent sur le terrain de Leverkusen pour le match retour des 8es de final de la Ligue des champions de l’UEFA 2024-2025.

Lors de la première manche, les hommes de Vincent Campany s’étaient largement imposés sur le score de 3-0.

La rencontre est à suivre sur Canal+ Sports, BeIN Sports et sur le lien streaming Live Koora à partir de 21 heures.

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Battu sur le fil au Parc des Princes au match aller il y a une semaine (avec 27 tires cadrés contre 2 pour les Reds), le PSG va affronter, à Anfield, Liverpool. La tâche s’annonce hardie pour les poulains de Luis Henrique, mais ils arrivent à reproduire la même intensité de jeu, ils pourront se qualifier.

Le match est suivre sur Canal+ Sports, BeIN Sports et sur le lien streaming Live Koora à partir de 21h.

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C’est une soirée qui devrait être de tout repos pour les Interistes qui reçoivent les hollandais de Feyenoord en match retour des 8es de finale de la Ligue des champions d’Europe, ce mardi 11 mars 2025.

En effet, à l’aller, l’Inter de Milan était allé s’imposer sur le score de 3-1 à Feyenoord, ce qui laisse peu de suspense quant à une qualification des Interistes.

La rencontre est à suivre sur BeIN Sports et sur le lien streaming Live Koora à partir de 21 heures.

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Victorieux au match aller en déplacement sur le score de 1-0, FC Barcelone reçoit ce mardi 11 mars Benfica pour une place en quart de finale de la Ligue des champions Uefa.

La rencontre est à suivre sur les antennes de Canal+ Sports, BeIN Sports sur le lien streaming Live Koora à partir de 18h45.

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Les Algériens sont rassurés, l’Etat sera de leur côté pour l’Aïd El-Adha. Selon plusieurs médias algériens dont algerie360.com, le président Abdelmadjid Tebboune a ordonné l’« importation massive de bétail en prévision de l’Aïd al-Adha ».

Ainsi, « afin de garantir un approvisionnement suffisant en bétail pour l’Aïd al-Adha, le président a donné des instructions au ministère de l’Agriculture pour lancer une consultation internationale en vue d’importer jusqu’à un million de têtes de bétail », rapporte algerie360.com.

Ce sont les pouvoirs publics qui prendront en charge l’importation via ses organismes spécialisés. Dans ce cadre, « un plafond de prix sera également fixé pour protéger les consommateurs… ».

Il faut dire que l’Etat algérien peut se le permettre vu les recettes des exportations d’hydrocarbures (pétrole et gaz entre autres) pour le pays ces dernières années.

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Beaucoup de médias hexagonaux en parlent : « la France est au cœur d’une révolution énergétique majeure », comme l’écrit le site valeursactuelles.com.

« Une découverte scientifique récente révèle l’existence d’un gisement d’hydrogène naturel d’une ampleur inédite sous le sol français. Cette ressource, dont les réserves sont estimées à 1 300 fois le PIB mondial, pourrait alimenter l’humanité en énergie propre pendant plusieurs siècles », poursuit le site.

Il faut rappeler que, ces dernières années ont propulsé l’hydrogène comme une alternative prometteuse aux énergies fossiles. « Il présente l’avantage de ne produire aucun dioxyde de carbone lors de son utilisation, ce qui en fait une solution clé dans la lutte contre le réchauffement climatique ».

Cependant, pour l’heure sa production demeure très énergivore et coûteuse, entraînant des procédés industriels complexes, selon le site web spécialisé laplasturgie.fr.

« Grâce à ce gisement, la France pourrait se positionner comme un leader dans la production et l’exportation d’hydrogène naturel, renforçant ainsi son indépendance énergétique tout en contribuant activement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ».

D’importantes retombées économiques et géopolitiques en perspective

Par conséquent, l’exploitation de ce gisement serait à même de transformer en profondeur l’économie française. Le pays pourrait ainsi attirer beaucoup d’investissements et créer, de ce fait, de nombreux emplois dans le secteur de l’énergie verte. « L’exportation de cet hydrogène naturel permettrait également à la France de renforcer son influence à l’échelle internationale, en fournissant une énergie propre aux pays en quête de solutions alternatives aux hydrocarbures ». Mais cela ne marquera pas non plus de provoquer des jalousies.

Sur le plan géopolitique, si cette découverte se confirmait, elle pourrait « redéfinir les rapports de force mondiaux ». Et les pays fortement dépendants du pétrole et du gaz ne manqueront de voir leur influence diminuer au profit de nouvelles puissances énergétiques émergentes, dont fera partie la France.

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L’Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP) annonce dans un communiqué qu’elle organisera, vendredi 14 mars 2025 à Alger, une rencontre consacrée au partenariat public-privé (PPP) sur le thème : « Le rôle de l’entreprise dans l’émergence de l’économie algérienne ».

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L’Index of Economic Freedom – ou Indice de liberté économique – 2025 a été publié le 4 mars dernier par The Heritage Foundation. Comme attendu, l’Afrique n’y est pas brillante.  

Au passage, The Heritage Foundation tient à rappeler que la politique de l’actuel président américain, Donald Trump, concernant un retour des droits de douane, donc vers un protectionnisme relatif, va saper les principes du libéralisme économique. L’enjeux n’est autre que la liberté économique.

Concernant cet indice, c’est un indicateur fondé sur un ensemble de critères économiques, regroupés en quatre catégories principales. Son objectif est de mesurer la liberté économique dans les différents pays du monde, reposant sur la taille du gouvernement, l’état de droit, les marchés ouverts et l’efficacité réglementaire.

Créé par la Fondation Heritage et le Wall Street Journal en 1995, il se base sur les statistiques des institutions de Bretton Woods, en l’occurrence la Banque mondiale et le FMI. C’est un indicateur pour l’attrait d’investissements directs étrangers (IDE).

Voici les dix indicateurs pris en compte dans ce classement :

1.  Liberté d’entreprise;
2. Liberté des échanges;
3. Poids des taxes et impôts;
4. Dépenses du gouvernement;
5. Stabilité monétaire;
6. Liberté d’investissement
7. Dérégulation financière;
8. Protection de la propriété privée;
9. Lutte contre la corruption;
10. Libéralisation du travail.

Quant aux données collectées pour 2025, elles couvrent la période allant du 1er juillet 2023 au 30 juin 2024. Alors que le score total représente la moyenne arithmétique de ces dix indicateurs, chacun d’entre eux étant noté de 0 à 100 – où “100“ représente une liberté maximale.

Ainsi, les pays qui ont enregistré les scores les plus élevés (entre 80 et 100) sont considérés comme « économiquement libres ». Et en fin de classement, on retrouve les pays dits « économiquement répressifs » qui regroupent ceux ayant des scores inférieurs à 50 points.

L’indice global de liberté économique s’est légèrement amélioré (+1,1 point à 59,7)  en 2025, mais il reste inférieur au seuil de liberté économique.

Ainsi, 99 pays (soit 50 % de l’échantillon) sont considérés comme  « peu libres » ou « réprimés » avec des scores inférieurs à 60. Tandis que 60 pays sont « majoritairement non libres » et 29 pays économiquement « réprimés ».

A ce train-là, Singapour conserve la première place en 2025, suivi de la Suisse et de l’Irlande. Trois anciens pays communistes d’Europe centrale et de l’Est, à savoir l’Estonie (8e), la Lituanie (16e) et la République Tchèque (20e) obtiennent de scores honorables.

Autre fait saillant du classement : aucun pays du continent africain ne figure dans la catégorie des économies « libres ». L’étude de The Heritage Foundation révèle que « les économies africaines ne sont pas libres dans l’ensemble, en raison notamment de la forte prévalence de la corruption, des niveaux élevés de pression fiscale et du faible degré d’ouverture des marchés ».

Ceci étant, Maurice, le premier du continent, occupe la 15e position mondiale. Et ce, avec une progression de son score de 3,5 points de pourcentage par rapport à l’édition 2024 du classement.

Voici la liste des pays africains classés par ordre croissant de leur rang mondial en matière de liberté :

1. Maurice (15ème rang mondial, globalement libre) – 75 points;
2. Botswana (23ème, modérément libre);
3. Cap-Vert (40ème, modérément libre);
4. Seychelles (52ème, modérément libre);
5. Sao Tomé-et-Principe (85ème, modérément libre);
6. Maroc (86ème, modérément libre);
7. Tanzanie (92ème, pratiquement pas libre);
8. Namibie (94ème, pratiquement pas libre);
9. Bénin (96ème, pratiquement pas libre);
10. Côte d’Ivoire (101ème, pratiquement pas libre);
11. Afrique du Sud (103ème, pratiquement pas libre);
12. Madagascar (104ème, pratiquement pas libre);
13. Gambie (105ème, pratiquement pas libre);
14. Eswatini (107ème, pratiquement pas libre);
15. Sénégal (108ème, pratiquement pas libre);
16. Gabon (110ème, pratiquement pas libre);
17. Ghana (112ème, pratiquement pas libre);
18. Djibouti (114ème, pratiquement pas libre);
19. Angola (118ème, pratiquement pas libre);
20. Mauritanie (119ème, pratiquement pas libre);
21. Rwanda (120ème, pratiquement pas libre);
22. Kenya (121ème, pratiquement pas libre);
23. Guinée (123ème, pratiquement pas libre);
24. Lesotho (125ème, pratiquement pas libre);
25. Nigeria (127ème, pratiquement pas libre);
26. Mali (129ème, pratiquement pas libre);
27. Togo (132ème, pratiquement pas libre);
28. Tchad (133ème, pratiquement pas libre);
29. Cameroun (134ème, pratiquement pas libre);
30. Niger (137ème, pratiquement pas libre);
31. Comores (138ème, pratiquement pas libre);
32. Ouganda (139ème, pratiquement pas libre);
33. Burkina Faso (141ème, pratiquement pas libre);
34. Zambie (142ème, pratiquement pas libre);
35. Égypte (145ème, pratiquement pas libre);
36. Malawi (146ème, pratiquement pas libre);
37. Mozambique (147ème, pratiquement pas libre);
38. Tunisie (149ème, répressif);
39. République du Congo (153ème, répressif);
40. Liberia (154ème, répressif);
41. Ethiopie (156ème, répressif);
42. Sierra Leone (157ème, répressif);
43. Guinée équatoriale (159ème, répressif);
44. Algérie (160ème, répressif);
45. RDC (161ème, répressif);
46. Guinée-Bissau (167ème, répressif);
47. Centrafrique (168ème, répressif);
48. Burundi (170ème, répressif);
49. Erythrée (171ème, répressif);
50. Soudan (172ème, répressif);
51. Zimbabwe (173ème, répressif);

On n’est quelque peu étonné du classement de la Tunisie (38ème sur 51 pays classés en Afrique, et 149ème mondiale), surtout avec le qualificatif “répressif“.

In fine, l’Index of Economic Freedom 2025 suggère que des réformes profondes intelligentes et une amélioration du climat des affaires doivent être entreprises et mises en place en l’Afrique afin de permettre de progresser.

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39 mille. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le nombre d’ingénieurs tunisiens qui auraient quitté le pays. Et c’est le doyen des ingénieurs tunisiens, Kamel Sahnoun, qui a avancé ce chiffre inquiétant.

39 000 des 90 000 ingénieurs tunisiens inscrits auprès du Conseil de l’Ordre des ingénieurs sont donc partis exercer à l’étranger, révèle-t-il. Et ce, alors qu’il était auditionné au Parlement. Ces propos sont contenus dans un rapport de la Commission de l’éducation, de la formation professionnelle et de la recherche scientifique concernant un projet de loi relatif à l’enseignement supérieur privé.

Selon ladite commission, le nombre total d’étudiants diplômés en ingénierie dépasse chaque année huit mille ingénieurs, et le nombre moyen de départs quotidiens du pays est de 20 ingénieurs.

Par ailleurs, le doyen des ingénieurs tunisiens estime que les coûts annuels de formation des ingénieurs en Tunisie s’élève à près de 650 millions de dinars. De ce fait, il met en garde contre la fuite continue des ingénieurs et le gaspillage du potentiel humain qui en résulte.

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Dormez, dormez, dormez! C’est l’appel du ministère de la Santé aux Tunisiens pour ne pas nuire à leur santé, aussi bien physique que mentale.

Cet appel intervient à l’occasion du mois de Ramadan, période propice aux longues veillée. Le ministère de la Santé a publié dimanche 9 mars 2025 un communiqué dans lequel il rappelle l’importance du sommeil pour le maintien de l’équilibre physique et psychologique.

Dans ce cadre, le département de la Santé attire l’attention sur les effets néfastes d’un sommeil insuffisant, en particulier lorsque sa durée est inférieure à sept heures par nuit. « Un repos insuffisant accroît significativement le risque de maladies graves, tels que les affections cardiovasculaires, l’hypertension artérielle, le diabète et l’obésité, tout en affaiblissant le système immunitaire. Certaines études établissent également un lien entre le manque chronique de sommeil et une augmentation du risque de cancer ».

Outre les effets physiques, le ministère met également en garde contre les répercussions du déficit de sommeil sur la santé mentale. Il souligne que « le manque de repos constitue un facteur aggravant de troubles tels que l’anxiété, la dépression et le stress chronique. Il affecte également la vigilance, la concentration et la mémoire, compromettant ainsi les performances intellectuelles et les capacités cognitives. La qualité du sommeil joue un rôle essentiel dans la régulation de l’humeur et contribue à réduire la vulnérabilité aux maladies chroniques ».

Sommeil réparateur

En vue de préserver leur santé, le ministère recommande aux citoyens « l’adoption de bonnes pratiques favorisant un sommeil réparateur ». Il préconise notamment de « maintenir des horaires de coucher et de lever réguliers, y compris durant les jours de repos, avec une période de sommeil idéale située entre 22 heures et 6 heures ».

Il conseille également d’éviter la consommation de substances excitantes, telle que la caféine, en soirée, ainsi que de limiter l’exposition aux écrans, dont la lumière entrave la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil.

Nécessité d’un repos nocturne

Le communiqué invite par ailleurs à créer un environnement propice au repos nocturne en privilégiant des espaces calmes, sombres et tempérés.

La pratique d’exercices de relaxation, comme la respiration profonde, ainsi qu’une activité physique régulière sont également recommandées, tout en évitant les efforts intenses en fin de journée.

Enfin, le département de la Santé rappelle l’importance d’une alimentation légère en soirée et de l’exposition à la lumière naturelle le matin, essentielle au bon équilibre du rythme circadien.

Il insiste sur le fait que le sommeil est un besoin vital, et non un simple confort. « En veillant à la qualité de leur repos, les citoyens contribuent activement à la préservation de leur santé et de leur bien-être », conclut le communiqué.

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« Prouesse médicale ». C’est par ces mots que le site algerie360.com a titré un article paru vendredi 7 mars 2025.

« Une équipe de médecins de l’établissement hospitalier universitaire 1er Novembre 1954 d’Oran a réussi une intervention chirurgicale rarissime en retirant une tumeur de taille considérable qui s’étendait du cerveau à la mâchoire inférieure et au cou », relate le site.

Le patient avait dû subir plusieurs opérations chirurgicales complexes qui se sont toutes soldées par un succès, d’après notre source.

Et tout s’est bien passé parce que le patient serait chez lui sain et sauf, et ce, « … après des mois de suivi médical rigoureux au service de neurochirurgie du CHU, sous la supervision du Dr Guerbouz Rabah, chirurgien au service de neurochirurgie de l’EHU d’Oran« .

Petite explication

Âgé de 58 ans, le patient (dont l’hôpital n’a pas voulu divulguer le nom) souffrait depuis un certain nombre d’années d’une tumeur bénigne rare, un méningiome fronto-orbito-facial invasif, explique algerie360.com. « Cette tumeur, mesurant 8/12 cm, s’était propagée à des zones vitales du cerveau, à l’œil gauche, aux sinus faciaux, à la mâchoire inférieure et au cou, affectant ses fonctions neurologiques et entraînant une détérioration de son état de santé ».

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Paradoxalement, le président milliardaire américain, Donald Trump, qui a pourtant de l’apport des sciences, de la technologie, n’hésite pas aujourd’hui aux scientifiques. Au point de soulever un tollé général qui risque de toucher le monde entier.

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« Mercredi 5 mars 2025, 300 médecins étrangers qui travaillent en France ont entamé une grève de la faim. Ils dénoncent la précarité de leur statut. Une manifestation est prévue samedi, devant le ministère de la Santé ». C’est ce que rapporte le site lemessager.fr.

La plupart d’entre eux ont obtenu leurs diplômes en Algérie, en Tunisie, au Maroc ou encore au Liban.

A rappeler au passage que la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin, en janvier 2024, avait promis une sécurisation des PADHUE – praticiens à diplôme hors Union européenne. Dans l’objectif de contribuer à la lutte contre les déserts médicaux.

Cette promesse n’ayant pas été tenue à ce jour, les intéressés ont voulu faire entendre leur voix. Et c’est dans ce cadre que, depuis mercredi 5 mars, « 300 médecins diplômés hors Union européenne ont annoncé commencer une grève de la faim, comme le rapporte France Inter. Celle-ci doit durer trois jours avec pour point d’orgue, une manifestation samedi devant le ministère de la Santé ».

A souligner que la majorité d’entre eux ont obtenu leurs diplômes dans des universités en Tunisie, Au Maroc, en Algérie et au Liban. Et nombre d’entre eux seraient dans une situation de précarité avec « des salaires trois fois moins élevés qu’un confrère titulaire ».

Ces praticiens sont considérés comme importants pour le système de soins en France, souligne Le Messager, étant donné qu’« ils exercent des spécialités délaissées par les médecins français comme les urgences, la gériatrie, l’onco-hématologie, la chirurgie viscérale ou encore la psychiatrie ».

Ils sont confrontés à deux autres contraintes, à savoir : leur régularisation et les procédures de titularisation. Pour ce faire, ils doivent « réaliser des épreuves de vérification des connaissances (EVC) ».

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Plusieurs provinces du Royaume du Maroc font face, les 5 et 6 mars, à des chutes de neige et des fortes averses orageuses, selon la Direction générale de la météorologie (DGM), citée par l’agence MAP.

Les provinces concernées sont Al Haouz, Azilal, Midelt, Tinghir, Beni Mellal et Ouarzazate, précise la DGM dans un bulletin d’alerte de niveau de vigilance orange.

Pour leur part, les provinces de Mdiq-Fnideq, Tétouan, Oujda-Angad, Nador, Driouch, Berkane, Jerada, Taourirt, Guercif et Taza devraient être touchées par de fortes averses orageuses (20 et 30 mm).

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Une société basée à Hong Kong a annoncé, mercredi 5 mars 2025, son intention de vendre une participation majoritaire dans une entreprise exploitant deux ports majeurs du canal de Panama à un consortium d’investisseurs mené par une multinationale américaine. L’accord intervient dans un contexte de pression croissante du président américain Donald Trump sur l’influence présumée de la Chine sur cette voie navigable cruciale.

Le géant asiatique de la logistique, CK Hutchison Holdings, va vendre une participation de 90 % dans Panama Ports Company à un consortium comprenant le holding d’investissement américain BlackRock, sa filiale Global Infrastructure Partners et le géant des terminaux à conteneurs basé à Genève Terminal Investment, selon un communiqué conjoint publié par CK Hutchison et BlackRock.

Panama Ports Company détient le contrat de gestion des ports de Balboa et Cristobal, situés respectivement aux entrées Pacifique et Atlantique du canal, jusqu’en 2047.

L’accord couvre également la vente d’une participation de 80 % dans les filiales portuaires de CK Hutchison exploitant 43 ports dans 23 pays, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, au Mexique, en Australie, en Argentine et en Corée du Sud.

Selon le communiqué, l’accord, évalué à près de 23 milliards de dollars, dont 5 milliards de dollars de dette, ne prévoit aucun intérêt dans une fiducie qui « exploite des ports à Hong Kong, Shenzhen et dans le sud de la Chine, ou tout autre port en Chine ».

Les actions de CK Hutchison, dont la capitalisation boursière s’élève à 148 milliards de dollars de Hong Kong (19 milliards de dollars américains), ont bondi de 22 % lors des échanges à Hong Kong mercredi 5 mars.

S’exprimant mardi lors d’une session conjointe spéciale des deux chambres du Congrès américain, le président américain a affirmé qu’il menait une action diplomatique réussie pour récupérer le canal de Panama, qu’il décrit comme un projet d’infrastructure vital créé par les Américains pour les Américains.

Lire aussi : Trump menace de reprendre le contrôle du canal de Panama

Trump a menacé à plusieurs reprises de reprendre le contrôle du canal de Panama, invoquant des « frais ridicules » et des inquiétudes concernant l’influence croissante de la Chine autour de la voie navigable, construite par les États-Unis au début du XXe siècle et cédée au Panama en 1999.

En février dernier, le président panaméen José Raúl Mulino avait fait une concession à Washington en refusant de renouveler les accords de 2017 du pays avec la Chine dans le cadre de l’initiative « Ceinture et Route » de Pékin.

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L’Institut national de la météorologie (INM) prévoit, pour jeudi 6 mars  2025, un temps nuageux sur l’ensemble du pays, avec pluies éparses dans les régions de l’est, du centre et du sud.

Vents de secteur est, relativement forts, forts près des côtes et au sud, avec des tourbillons de sable localement et modérés, relativement forts dans le reste des régions.

Les températures seront en légère baisse, oscillant entre 16 et 19 degrés dans la plupart des régions et atteignant 22 degrés dans l’extrême sud.

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Le taux d’inflation s’est replié à 5,7 % au mois de février 2025, contre 6 % en janvier 2025, selon les indicateurs de l’Institut national de la statistique (INS), publiés mercredi 5 mars 2025.

Ce recul de l’inflation est expliqué principalement par le fléchissement observé au niveau du rythme annuel d’augmentation des prix du groupe « produits alimentaires » (7 % en février 2025 contre 7,1 % en janvier 2025), du groupe « habillement et chaussures » (8,6 % en février 2025 contre 9,7 % en janvier 2025), du groupe « services de santé » (4 % en février 2025 contre 9,1 % en janvier 2025) et du groupe « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » (3,8 % en février 2025 contre 4,1 % en janvier 2025).

En ce qui concerne le taux d’inflation sous-jacente (hors produits alimentaires et énergie), il s’est replié à 5,7 % contre 6 % au mois de janvier, a indiqué l’INS dans une note consacrée à « l’indice des prix à la consommation pour février 2025 ».

D’après l’INS, Le groupe « Produits manufacturés » et le groupe « Alimentaire frais » sont les secteurs ayant apporté la plus forte contribution à l’inflation globale avec le même taux 2 %. Par régimes, le groupe « Non alimentaire libre » et le groupe « Alimentaire libre » sont les groupes ayant apporté la plus forte contribution à l’inflation soit respectivement 3,2 % et 1,9 %.

Par ailleurs, le groupe « Produits alimentaires encadrés » a apporté la plus faible contribution avec 0,1 %.

Légère baisse des prix à la consommation en glissement mensuel

En février 2025, les prix à la consommation ont enregistrée une légère baisse de 0,1 % par rapport au mois de janvier. Cette diminution est principalement due à la baisse des prix du groupe « habillement et chaussures » de 3,6 % en raison des soldes de l’hiver et des prix du groupe « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » de 0,1 % suite à l’application de la nouvelle tarification de l’électricité.

En revanche, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 0,5 %, a fait savoir l’INS. Cette augmentation est expliquée par la hausse des prix des viandes d’agneau (+2,7 %), des légumes frais (+1,5 %), des fruits frais (+1,4 %). En revanche, les prix des huiles alimentaires ont enregistré une baisse de 2,1 % et ceux de la volaille ont diminué de 1,6 %.

7 % d’évolution des prix des produits alimentaire en glissement annuel

En glissement annuel, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 7 %. Cette hausse est principalement due à l’augmentation des prix de la viande d’agneau de 21,4 %, des légumes frais de 18,7 %, des fruits secs de 14,2 %, de du poisson frais 13,4 % et des volailles de 10,5 %). En revanche, les prix des huiles alimentaires ont diminué de 16,2 %, a-t-on ajouté de même source.

Les prix des produits manufacturés et des services ont également connu une augmentation de 5,2 % en raison de la hausse des prix des produits de l’habillement et chaussures de 9,7 % et des produits d’entretien courant du foyer de 4,8 %.

Pour les services, l’augmentation des prix est de 5,1 % sur un an s’explique principalement par la hausse des prix des services du groupe « restaurant, cafés et hôtels » de 11,4 %.

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Sans doute le match le plus attendu pour cette soirée (du 5 mars 2025) de la Ligue des champions d’Europe est celui qui opposera le Paris Saint-Germain aux Reds de Liverpool au Parc des Princes.

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