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Quel est ce pays arabe qui n’a quasiment pas de chômage?

Le taux de chômage mondial varie considérablement d’un pays à l’autre. Singapour, avec un taux de seulement 1,9%, se distingue comme le pays ayant le taux de chômage le plus bas au monde, signe de sa stabilité économique et de l’efficacité de ses politiques de l’emploi.

À l’opposé, l’Afrique du Sud présente un taux de chômage alarmant de 31,9% en 2024, la plaçant au sommet des nations les plus touchées par ce problème. Juste derrière, l’Angola affiche un taux de 30,8%, bien que ce chiffre ait légèrement diminué par rapport à l’année précédente.

Certains pays africains, en revanche, enregistrent des taux de chômage remarquablement bas. Le Niger, par exemple, se distingue avec un taux exceptionnellement faible de 0,5% en 2023, faisant de lui l’un des leaders mondiaux en matière de faible chômage. Le Burundi suit avec 0,9%, le Tchad à 1% et le Bénin à 1,4%.

La Tunisie, quant à elle, fait face à un taux de chômage préoccupant de 16% en 2024. Bien que des efforts aient été déployés pour stimuler l’économie et améliorer l’accès à l’emploi, ce taux reste élevé.

En Asie, les taux de chômage varient également. Le Qatar affiche un taux remarquablement bas de 0,1% en 2024, le plaçant parmi les nations les moins touchées par le chômage. À l’inverse, la Palestine enregistre le taux de chômage le plus élevé de la région, avec un chiffre alarmant de 28,8% en 2024.

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La reprise plus faible en Tunisie que dans le reste de la région Semed

La croissance économique dans la région sud et orientale de la Méditerranée (Semed) devrait s’accélérer, passant de 2,5% en 2024 à 3,7% en 2025 et 4,1% en 2026, alors que pour la Tunisie ces taux seront plus faibles de 1 à 2 points, soit 1,2% en 2024, 1,8% en 2025 et 2,2% en 2026, et ce  malgré la poursuite de l’assainissement budgétaire parallèlement à la reprise des exportations et des recettes touristiques.

C’est ce qui ressort du dernier rapport sur les perspectives économiques régionales de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd).

L’inflation en Tunisie s’est élevée en moyenne à 7,1% de janvier à novembre 2024, contre 9,5% sur la même période en 2023, tandis que le chômage a légèrement augmenté, pour atteindre 16% au deuxième trimestre 2024.

Le déficit budgétaire devrait s’améliorer pour atteindre 6,3% du PIB en 2025, grâce à une meilleure mobilisation des recettes et à une diminution des subventions aux produits de base. Un plan de consolidation budgétaire à moyen terme vise un déficit de 5,5% du PIB et une masse salariale de 13,3% du PIB, ajoute la Berd dans son rapport.

La dette publique reste élevée, à 82,2% du PIB, mais devrait tomber à 80,5% en 2025, grâce aux efforts de consolidation budgétaire. Environ la moitié de la dette est extérieure, contre plus de 70 % en 2019.

La position extérieure de la Tunisie s’est améliorée mais reste vulnérable aux chocs majeurs.

Le déficit du compte courant s’est élevé à 1,6% du PIB de janvier à novembre 2024, contre 2,3% pour la même période de l’année précédente. Cela reflète une contraction des importations due à la baisse des prix des matières premières et une croissance des exportations tirée par les produits mécaniques, électriques et oléicoles.

Les réserves de change sont restées stables à 25 milliards de dinars en novembre 2024, couvrant 3,7 mois d’importations.

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