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Découvrez la Médina de Tunis en Réalité Virtuelle avec “Biben El Medina” du 19 au 23 Mars 2025

“Biben El Medina” revient pour une troisième édition, offrant un voyage culturel interactif qui allie patrimoine et technologie. Cet événement se déroulera du 19 au 23 mars 2025, de 21h00 à minuit, avec la place de la Kasbah comme point de départ.

Après deux expériences, le TICDCE (Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique), renouvelle l’aventure, transformant la médina historique de Tunis en un lieu immersif grâce aux technologies de réalité virtuelle (VR), réalité augmentée (AR) et réalité mixte (MR). Ces technologies offriront un nouveau regard numérique sur les monuments historiques, avec des spectacles interactifs et des projections lumineuses sur les portes de la médina.

Les visiteurs auront l’occasion de découvrir des expériences numériques innovantes créées par de jeunes entrepreneurs, ainsi qu’un marché numérique qui met en valeur le patrimoine culturel. Des ateliers interactifs et des spectacles pour enfants compléteront ce programme riche et varié.
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Organisées en collaboration notamment avec l’Institut national du patrimoine (INP) et la direction générale des Arts scéniques et des Arts audio visuels, ces quatre soirées nocturnes au cœur de la médina de Tunis offrent une occasion unique d’explorer la médina d’une manière immersive.

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Bourse de Tunis : Le Marché débute la semaine en hausse de 0,37 %

“Le marché Boursier a entamé la semaine dans le vert. La référence de la place a signé une progression de 0,37 % à 10 697,54 points, dans un modeste volume de 4,9 MD”, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre ICF s’est offert la plus forte hausse de la séance. L’action du spécialiste en fluorure d’aluminium s’est bonifiée de 6 % à 122,940 D. La valeur a été également la plus échangée sur la séance, drainant un flux de 686 mille dinars sur la séance.

Le titre Poulina Group Holding a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action de la holding a signé une avancée de 4,6 % à 9,200 D faisant savoir que la valeur a amassé des échanges de 166 mille dinars sur la séance.

Le titre Office Plast a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un volume limité de 2 mille dinars, l’action a enregistré une régression de 4,4 % à 1,540 D.

Le titre Carthage Cement a terminé la séance en territoire négatif. L’action du cimentier a reculé de 1,8 % à 2,180 D dans un volume de 90 mille dinars.

Le titre AMEN BANK a été le deuxième titre le plus échangé sur la séance. L’action a clôturé la séance sur un retrait de (-0,8 % à 37,890 D), en alimentant le marché avec des capitaux de 519 mille dinars.

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Sevrage Tabagique : Une Opportunité à Saisir Pendant Ramadan, Selon l’OMS

Le Bureau de l’organisation mondiale de la santé (OMS) à Tunis et l’alliance tunisienne contre le tabac ont appelé, à travers des spots de sensibilisation, à profiter de ramadan, qui est le mois du jeune et de l’abstinence, pour arrêter de fumer.

“Le mois saint offre l’opportunité idoine pour franchir le pas vers le sevrage tabagique et nettoyer le corps des produits toxiques du tabac” ont-ils souligné.

Ils ont affirmé que le sevrage tabagique n’est pas difficile au cours du mois de ramadan. ” Si un fumeur décide d’arrêter de fumer pendant 15 heures par jour, c’est qu’il pourra le faire pendant 24 heures” ont-ils expliqué.

La consommation de nicotine augmente le niveau de stress, d’anxiété et de dépression chez les fumeurs, selon l’OMS. La nicotine contenue dans le tabac provoque un effet immédiat de détente mais entraine à long terme un déséquilibre au niveau de son état de santé et de ses émotions, alors que l’arrêt du tabac favorise le bien être et la concentration.

Le bureau de l’OMS à Tunis et l’alliance tunisienne contre le tabac ont souligné l’importance de profiter du mois de ramadan pour consommer des aliments sains et équilibrés, relevant l’importance d’éviter les sucreries qui peuvent nuire à la santé buccale et causer des maladies chroniques telles que le diabète et les maladies cardiaques.

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« La Mélodie de la Vie » : Musique et solidarité pour le don de sang à Tunis

Une soirée musicale ramadanesque intitulée “La Mélodie de la Vie” se tiendra mercredi prochain au Centre culturel et sportif de la jeunesse d’el Menzah 6. Organisée par le club « Dhekrayet » de la musique arabe, cette manifestation vise à collecter des fonds pour soutenir les activités de sensibilisation à la promotion du don de sang en Tunisie.

Les recettes de cet événement seront intégralement consacrées aux campagnes de sensibilisation menées par l’Association tunisienne pour la promotion du don de sang, a déclaré ce lundi Dr. Mohamed Sadok Boudaïa, président de l’association et membre du club « Dhekrayet », à l’Agence Tunis-Afrique-Presse (TAP).

Il a souligné que les besoins en sang et en produits sanguins augmentent de manière significative, notamment pendant le mois de Ramadan et la saison estivale, périodes où les stocks diminuent souvent.

Dr. Boudaïa a appelé les citoyens à contribuer davantage au don de sang pour éviter les pénuries, qui mettent en péril la prise en charge des patients.

Fondée en 2002, l’Association tunisienne pour la promotion du don de sang organise régulièrement des campagnes de sensibilisation pour encourager le don spontané, libre et régulier.

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L’ATFD Plaide pour l’égalité en héritage et la lutte contre la cyberviolence

L’association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) a appelé à l’annulation de ce qu’elle qualifie comme “dispositions discriminatoires” dans le code du statut personnel (CSP) notamment celles relatives à la succession et au renforcement de l’égalité homme- femme, selon un communiqué publié par l’ATFD, à l’occasion de la journée internationale de la femme, qui coïncide avec le 8 mars 2025 de chaque année.

L’association a également appelé à garantir l’égalité des salaires et à renforcer la sécurité sociale au profit des ouvrières, notamment dans les secteurs vulnérables, soulignant son engagement à poursuivre le militantisme en vue d’assurer une égalité réelle entre les hommes et les femmes, surtout que la fête de la femme s’inscrit dans un contexte international et régional marqué par les conflits du fait de la montée en puissance des “mouvements rétrogrades”.

L’ATFD a signalé l’importance de promulguer des lois pour la lutte contre la cyberviolence, l’annulation du décret 54 de l’année 2022 et les dispositions discriminatoires dans le CSP, outre la consécration de l’égalité dans l’héritage.

” Les législations tunisiennes comportent des lacunes malgré les réalisations accomplies en matière des droits de la femme” a relevé l’ATFD dans son communiqué, signalant que la Tunisie occupe le 126e rang à l’échelle mondiale dans l’indice de l’égalité entre les deux sexes (classement de 2024)

Elle a souligné l’importance d’insérer une approche du genre social dans les politiques environnementales et les budgets de l’état et de garantir le droit des femmes à faire face aux changements climatiques, réitérant son soutien aux droits des femmes migrantes et refugiées.

L’ATFD a exprimé sa solidarité avec toutes les femmes dans les zones de conflit et en particulier avec les femmes palestiniennes.

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Tunisie : Les mouvements de protestation bondissent de 138,5 % en février 2025

Quelque 427 mouvements de protestation ont été recensés au cours du mois de février 2025 enregistrant une hausse de 138,5% par rapport à la même période de l’année 2024 (179).

Selon le rapport du mois de février 2025 publié ce lundi par l’Observatoire social tunisien (OST), relavant du Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), les acteurs sociaux ont continué à se mobiliser pour revendiquer l’amélioration de la situation socio-économique précaire.

Les chômeurs diplômés sont revenus en force sur les places et ont manifesté pour réclamer l’emploi, le recrutement et un décret leur permettant d’intégrer la fonction publique, lit-on de même source.

Le rapport indique que 93 % des manifestations observées en février 2025 se sont déroulées sur le terrain, tandis que 7 % des mouvements ont eu lieu dans l’espace numérique.

Les revendications liées à la régularisation de la situation professionnelle, au droit à l’emploi, à la mise en œuvre des accords en cours et à l’amélioration des conditions de travail ont représenté environ 50 % des mouvements enregistrés au cours du mois de février, suivies par les mouvements liés à la détérioration des services publics tels que le raccordement au réseau d’eau potable et à l’électricité, l’amélioration de l’infrastructure routière, le transport des étudiants, la rénovation des établissements d’enseignement, le raccordement au réseau de métro, le contrôle des prix, la fourniture de matériel de base, l’assurance, la protection et un environnement sain.

Par ailleurs, 20 % des mouvements de protestation ont été liés aux décisions judiciaires, aux droits des citoyens et à la dénonciation d’une situation ou d’une décision.

Au cours du mois de février, 138 mouvements ont été observés à Tunis, 40 à Tataouine, 25 à Manouba et pareillement à Kairouan, 24 à Sidi Bouzid, 19 à Gafsa, 17 à Kasserine et 10 à Kebili (05) et Zaghouan (05).

Les acteurs sociaux comprenaient des activistes, des défenseurs des droits, des journalistes, des ouvriers, des employés, des agents, des administrateurs, des professeurs, des enseignants, des ouvriers des chantiers, des étudiants, des familles de personnes disparues, des parents, des agriculteurs, des commerçants, des professionnels de la santé, des pêcheurs, des chauffeurs et des résidents.

Dans 162 actions, les acteurs sociaux ont utilisé la grève comme forme de protestation, suivie par la veillée et la marche pacifique dans 78 actions. Les manifestants ont choisi la grève de la faim dans 61 actions, reflétant l’impatience et la rupture du processus de négociation.

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Assurance en Tunisie : L’automobile et la maladie en tête des revenus en 2024

Les sociétés d’assurance exerçants en Tunisie ont réalisé des primes nettes (chiffre d’affaires) de l’ordre de 3,8 milliards de dinars, au cours de l’exercice 2024, en hausse de 10,8%, par rapport à l’année 2023, d’après des statistiques, publiées récemment par le Comité Général des Assurances (CGA).

L’assurance vie et capitalisation accaparent 30% de l’ensemble des revenus de ces sociétés, soit 1,1 milliard de dinars, avec une progression de 20%, par rapport au résultat réalisé durant l’année 2023 (955 millions de dinars- MD)..

Pour ce qui de l’assurance non vie, elle a drainé des revenus à hauteur de 2,6 milliards de dinars (70% de la totalité du chiffre d’affaires de la filière). Il s’agit, notamment, de l’assurance automobile (près de 1,5 milliard de dinars, soit 39% du chiffre d’affaires des sociétés), de l’assurance groupe maladie (586 MD, soit 15% du chiffre d’affaires), et de l’assurance incendie (218 MD, l’équivalent de 5,7% du chiffre d’affaires).

Il convient de noter que les revenus drainés par l’assurance incendie et l’assurance groupe maladie ont augmenté respectivement, de 15,1% et de 10,6%, au cours de l’exercice 2024, en comparaison avec l’exercice 2023.

S’agissant des indemnisations réglées par les sociétés d’assurance directe, elles ont évolué de 10,4%, passant de 1,8 milliard de dinars, en 2023, à 2 milliards de dinars, en 2024.

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Championnat Tunisie-Ligue 1 (25e journée) : Le programme

Programme des rencontres de la 25e journée du championnat de la Ligue 1 de football professionnel, prévues mercredi 12 et jeudi 13 mars (tous les matchs à 14h):

Mercredi 12 mars 2025
Au Stade Chedly Zouiten
JS Omrane – Espérance ST

Au Stade Taieb Mehiri
CS Sfaxien – AS Soliman

A Gabès
AS Gabès – ES Sahel

A Ben Guerdène
US Ben Guerdane – CA Bizertin

Jeudi 13 mars 2025
A Radès
Club africain – Stade tunisien

A Menzel Bourguiba
O Béja – US Tataouine

A Gafsa
EGS Gafsa – ES Métlaoui

A Zarzis
ES Zarzis – US Monastir

 

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CourtMed 2025 : Appel à candidatures pour les créateurs audiovisuels du bassin méditerranéen

La deuxième édition du Concours de courts-métrages méditerranéens, CourtMed, destiné notamment aux jeunes réalisateurs du bassin méditerranéen, a été lancé. La date limite d’inscription (gratuite) est fixé au 31 mars 2025.

Le concours, organisé par le Centre Méditerranéen de la communication audiovisuelle (CMCA) est destiné aux personnes physiques (étudiants des universités, des écoles de cinéma et de journalisme ainsi qu’aux jeunes réalisateurs et journalistes récemment diplômés) originaires d’un des pays du bassin méditerranéen, dont la Tunisie, et aux personnes morales telles que les écoles, les universités, les distributeurs, les sociétés de production.

Les œuvres audiovisuelles présentées traitent de sujets relatifs aux enjeux, à la culture, au patrimoine, à l’histoire, aux sociétés et à la vie des femmes et des hommes des pays méditerranéens. Toute œuvre audiovisuelle quels que soient le genre et la technique (fiction, documentaire, reportage, animation, etc.) d’une durée maximum de 15 minutes et terminée après le 1er janvier 2024 est éligible.

Le Concours CourtMed permet aux jeunes créateurs de faire connaître leur travail à l’échelle méditerranéenne. Les gagnants seront annoncés entre avril et mai 2025.

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Gafsa : Modernisation des Bureaux de Poste pour un montant de 1,3 million de dinars

Gafsa : Le gouvernorat de Gafsa voit actuellement la mise en œuvre de projets de modernisation de ses bureaux de poste, pour un montant global de 1,3 million de dinars.

Le directeur régional de la poste, Abdelmalek Jalleli, a indiqué à l’Agence TAP que ces travaux de réaménagement concernent particulièrement les bureaux de poste de Nchiou, situé dans la délégation d’El Guettar, et de Belkhir. Il a également précisé que la réhabilitation du bureau de poste de Sned débutera prochainement.

Par ailleurs, des projets de maintenance ont été planifiés cette année pour plusieurs bureaux de poste, notamment ceux de Sidi Aich, Mdhilla, Om Larayes El Mahata et Om Larayes. De plus, le bureau de poste de Gafsa-ville fera l’objet d’une modernisation pour un montant de 650 mille dinars.

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Jeunes et Création : TACIR Présente les Résultats de l’Étude Sociologique sur les Pratiques Culturelles

Après une première présentation en décembre 2024, les réflexions se poursuivent autour des premiers résultats de l’étude sociologique menée par le programme TACIR-Research, sur les pratiques culturelles et artistiques des jeunes dans les milieux marginalisés.

Ainsi, une deuxième rencontre de réflexion est prévue demain, mardi 11 mars (à 21h00), à Dar Bach Hamba, dans la médina de Tunis, afin d’approfondir les échanges sur les premiers résultats de l’étude, menée dans le Grand Tunis, le Kef, Kasserine et Sidi Bouzid, dans le cadre de la composante “Research” (recherche) du programme d’accompagnement TACIR (Talents-Arts-Créativité-Inclusion-Recherche).

Un collectif d’universitaires et de chercheurs participe à cette étude, en l’occurrence Kmar Bendana, Imed Melliti, Maher Hanine, Thouraya Hammami, Zouhair Ben Jennet, Samiha Khelifa, Arbi Dridi, Rim Ben Ismail et Kaouther Graidia.

L’étude s’intéresse à l’usage de l’art par les jeunes comme moyen de création, d’expression identitaire et de résilience sociale, tout en analysant les parcours souvent difficiles des jeunes engagés dans l’action culturelle dans plusieurs régions de l’intérieur du pays.

Le programme TACIR est un dispositif d’accompagnement destiné aux jeunes afin de réduire les inégalités d’accès à la culture et à la créativité. Il est animé par une task-force d’enseignants-chercheurs et d’experts du secteur des Industries Culturelles et Créatives (ICC) au sein des espaces TACIR-Labs, implantés dans plusieurs régions.

La composante “Research” est l’une des cinq branches d’activités du programme. Elle vise à mener des recherches pour une meilleure compréhension des processus de création, d’innovation et de développement sociologique et socio-économique dans les ICC.

Le programme TACIR est initié par l’association Amavi et réalisé avec l’appui de l’Ambassade de Suisse en Tunisie, la Fondation Drosos, le projet Maghroum’in, financé par l’Union européenne en Tunisie et mis en œuvre par l’AECID, la FIIAPP et le British Council Tunisia, la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA) et le groupe Microcred, le Fonds international pour la diversité culturelle de l’UNESCO ainsi que l’Ambassade de France en Tunisie.

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L’UNESCO lance un nouveau guide « Pour un environnement sûr pour les femmes journalistes en Tunisie »

L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a lancé un guide intitulé « Pour un environnement sûr pour les femmes journalistes en Tunisie », élaboré en collaboration avec le Programme d’appui de l’Union européenne pour les médias tunisiens et le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT).

Le guide, dont le lancement coïncide avec la Journée internationale de la femme le 8 mars, vise à promouvoir la sécurité et la dignité des femmes journalistes afin de leur fournir un environnement professionnel sûr et inclusif, a déclaré Neji Bghouri, conseiller pour les programmes d’information et de communication de l’UNESCO en Tunisie, dans une déclaration à la TAP.

Il s’agit de promouvoir la liberté de presse et d’expression et la diversité des voix médiatiques dans le pays, a-t-il ajouté.

Le guide, qui constitue une référence essentielle pour aider les médias et les femmes journalistes à créer un environnement professionnel sûr et équitable, comprend trois parties.

La première partie est centrée sur « La protection des femmes journalistes par la loi » et comprend les différentes législations et chapitres juridiques qui protègent les femmes journalistes dans l’exercice de leurs fonctions.

La deuxième partie traite de la « protection des femmes journalistes de la loi » et comprend les différentes lois qui peuvent être utilisées contre les femmes journalistes.

La troisième partie traite de l’autoprotection des femmes journalistes et rappelle aux femmes journalistes la nécessité de respecter l’éthique professionnelle.

 

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Indice de Liberté Économique 2025 : La Tunisie toujours “Réprimée”, des défis à surmonter

La Tunisie vient d’être classée 149ème à l’échelle mondiale avec un score de 49,1 par l‘indice de liberté économique 2025, qui vient d’être publié par le think-tank américain “The Heritage Foundation”. Sur 14 pays de la région du Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), elle est classée 11ème.

Son score global a augmenté de 0,3 point par rapport à l’année dernière, mais il reste inférieur à la moyenne mondiale et régionale.

L’économie tunisienne est perçue comme “réprimée” selon ce rapport qui évoque “une transition difficile” et souligne que “des réformes plus profondes visant à améliorer la gouvernance politique et économique et à renforcer les piliers de la liberté économique dans le cadre de cette transition sont absolument nécessaires. Ces réformes essentielles comprennent le renforcement du système judiciaire et une lutte plus efficace contre la corruption”.
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Le rapport dénonce aussi “un cadre réglementaire qui reste opaque et inefficace et un marché de travail, à la fois rigide et stagnant qui n’a pas réussi à générer une croissance dynamique de l’emploi. Par ailleurs, le gouvernement continue d’influencer les prix par l’intermédiaire des entreprises publiques”.

L’indice de liberté économique 2025 évalue 176 pays en se basant sur 12 indicateurs regroupés en quatre grandes catégories à savoir l’État de droit (droits de propriété, efficacité judiciaire et intégrité du gouvernement), la taille du gouvernement (charge fiscale, dépenses publiques et santé budgétaire), l’efficacité réglementaire (liberté d’entreprise, liberté du travail et liberté monétaire) et l’ouverture du marché (liberté commerciale, liberté d’investissement et liberté financière). Les données ont été collectées sur la période allant du 1er juillet 2023 au 30 juin 2024.

Sur la base des scores obtenus (de 0 à 100), les pays sont classés en cinq catégories en fonction du niveau de liberté économique : Les économies “libres” (entre 80 et 100), les économies “globalement libres” (de 70 à 79,9 points), les économies “modérément libres” (de 60 à 69,9 points), les économies “pratiquement pas libres” (de 50 à 59,9 points), et les économies “réprimées” (scores inférieurs à 50 points).

L’indice 2025 révèle une économie mondiale qui, dans l’ensemble, reste “en grande partie non libre”. À l’échelle mondiale, la solidité des finances publiques s’est considérablement détériorée. L’augmentation des déficits et de la dette publique dans de nombreux pays a miné et continuera probablement à miner la croissance globale de leur productivité et conduira en fin de compte à l’atonie économique plutôt qu’à une croissance dynamique.

Au niveau mondial, les économies les plus libres occupant la tête du classement sont respectivement Singapour (1er), la Suisse (2ème), l’Irlande (3ème), Taiwan (4ème) et Luxembourg (5ème).

Créé en 1995 par la Fondation Heritage et le Wall Street Journal, l’indice de liberté économique classe les nations sur 12 critères généraux de liberté économique, en se basant sur les statistiques de la Banque mondiale, du FMI, et de l’Economist Intelligence Unit.

The Heritage Foundation est un laboratoire d’idées basé à Washington. Sa mission est de formuler et promouvoir des politiques publiques. Il s’agit des politiques publiques basées sur les principes de la libre entreprise et de la liberté individuelle.

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Yang Chaobin de Huawei : Une solution réseau centrée sur l’IA peut aider les opérateurs à saisir les opportunités offertes par l’IA

Barcelone, Espagne, 8 mars 2025 – Lors du lancement des produits et solutions Huawei à l’occasion du salon MWC 2025 de Barcelone, Yang Chaobin, directeur du conseil d’administration de Huawei et PDG de l’ICT Business Group, a lancé la solution AI-Centric Network de l’entreprise.

Selon M. Yang, l’émergence de modèles d’IA de haute qualité, peu onéreux et open source va se traduire par un large éventail d’innovations dans les applications et accélérer l’avènement d’un monde intelligent.

Yang Chaobin, Huawei’s Director of the Board and CEO of the ICT Business Group s’exprimant lors du lancement des produits et solutions Huawei

Les progrès de l’IA transformeront la société à trois niveaux. Elles permettront aux consommateurs de vivre une expérience véritablement individualisée, favoriseront une collaboration intelligente au sein des organisations et jetteront les bases d’une intelligence plus inclusive pour tous.

Quant à l’industrie des TIC, si l’évolution des technologies et la diversification des scénarios d’application ne vont pas manquer de créer des opportunités de croissance sans précédent, elles vont également placer la barre plus haut en matière d’infrastructures réseau. Pour tirer le meilleur parti de ces opportunités, les opérateurs doivent faire des progrès considérables en matière de largeur de bande, de temps de latence, de couverture et d’opération et de maintenance (O&M) des réseaux.

« La solution réseau centrée sur l’IA de Huawei est conçue pour répondre à ces besoins », a déclaré M. Yang. « Elle révolutionne les capacités réseau afin de permettre une connectivité s’appliquant à tous les domaines. Elle va favoriser une évolution vers une O&M orientée vers les applications, et remodeler les services de télécommunications et les modèles commerciaux afin de tirer pleinement parti des nouvelles opportunités offertes par l’IA. »

Réseaux centrés sur l’IA – Une approche à quatre niveaux

  1. Yang a développé les défis auxquels les opérateurs vont être confrontés à l’avenir, expliquant comment la solution de Huawei peut les aider à mieux se préparer à un afflux de nouvelles applications alimentées par l’IA.
  • Connectivité tous domaines. Grâce à une collaboration plus approfondie entre l’IA et les réseaux, les opérateurs pourront optimiser l’orchestration des ressources pour le routage, la bande passante, etc. Les applications intelligentes bénéficieront ainsi d’un accès universel au réseau, d’une liaison montante et descendante à très haut débit et de la garantie d’un accord de niveau de service.
  • O&M orientée vers les applications. Les progrès des applications de l’IA vont donner lieu à des scénarios de service plus complexes et à des exigences d’expérience massivement diversifiées. Il va donc falloir passer d’une approche traditionnelle de l’exploitation et de la gestion des réseaux, axée sur les ressources, à une approche davantage fondée sur les applications. Le Telecom Foundation Model de Huawei prend en charge l’O&M prédictive et proactive, l’optimisation de l’expérience basée sur la connaissance au niveau de l’application, et des opérations adaptées et plus fines. Les opérateurs vont être en mesure d’améliorer considérablement l’efficacité de l’exploitation et de la gestion du réseau tout en portant l’expérience de l’utilisateur à un niveau entièrement nouveau.
  • Amélioration des services AI-to-X. Au niveau de l’utilisateur individuel, les réseaux centrés sur l’IA peuvent offrir une expérience adaptée aux différents scénarios d’IA en attribuant les niveaux exacts de bande passante, de latence et de fiabilité nécessaires. Au niveau de l’organisation, ils peuvent éliminer les goulets d’étranglement en termes de capacité et de temps de réponse configurés pour les interactions de personne à personne, en faisant évoluer les réseaux de manière à soutenir l’interactivité de personne à agent et même d’agent à agent. Au niveau sociétal, les réseaux centrés sur l’IA vont permettre une connectivité omniprésente qui accélérera l’adoption de l’IA dans les services publics tels que l’éducation et les soins de santé, offrant une valeur plus inclusive aux communautés du monde entier.
  • Modèles d’entreprise innovants. Enfin, des exigences différentes en matière d’expérience donneront aux opérateurs la possibilité d’explorer de nouveaux modèles d’entreprise grâce auxquels il sera possible de monétiser un éventail plus large de paramètres. Essentiellement, les réseaux centrés sur l’IA permettront aux opérateurs d’aller au-delà de la monétisation traditionnelle basée sur le trafic et de commencer à monétiser l’expérience elle-même. Cela libérera le plein potentiel de la connectivité et ouvrira de nouvelles sources de revenus.

« Nous devons conjuguer nos efforts et travailler ensemble dans l’ensemble du secteur des télécommunications », a conclu M. Yang Chaobin. « En exposant les capacités réseau, en collaborant avec différentes industries et en nous engageant dans des innovations spécifiques à des scénarios, nous allons pouvoir tirer le meilleur parti des nouvelles opportunités de croissance à l’ère de l’IA, et ouvrir la voie à un avenir plus radieux et plus intelligent pour le monde. »

Le salon MWC de 2025 s’est tenu du 3 au 6 mars à Barcelone, en Espagne. Au cours de l’événement, Huawei a présenté ses derniers produits et solutions sur le stand 1H50 dans le hall 1 du centre Fira Gran Via.

En 2025, le déploiement commercial de la 5G-Advanced va s’accélérer, et l’IA va aider les opérateurs à remodeler leurs activités, leurs infrastructures et leurs activités d’O&M. Huawei travaille actuellement de manière active avec les opérateurs et les partenaires du monde entier pour accélérer la transition vers un monde intelligent.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : https://carrier.huawei.com/en/events/mwc2025

 

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Signalement en ligne pour lutter contre la violence faite aux femmes

Le signalement numérique à distance est désormais disponible sur le site de l’Observatoire National de Lutte contre la Violence à l’égard des Femmes.

Selon un communiqué de l’Observatoire, il s’agit d’un moyen sécurisé, confidentiel et facile de signaler toute forme de violence, à tout moment et depuis n’importe où, en remplissant simplement un formulaire en ligne.

Cette initiative a été mise en place avec l’appui de l’UNFPA Tunisie, dans le cadre du programme EMNA : Pour une réponse intégrée aux violences basées sur le genre, financé par l’Union Européenne en Tunisie.

Lancé depuis 2008 par le ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des séniors, le numéro vert 1899 reste également disponible pour toute demande d’écoute, d’orientation et de soutien, accessible gratuitement et de manière anonyme, ajoute le communiqué.

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17e Meeting de Béthune : Jamila Boulakbèche brille avec 3 Médailles, dont un record national

La nageuse tunisienne Jamila Boulakbèche a remporté 3 médailles (2 argent et une bronze) lors du 17e Meeting français de Béthune organisé ce week-end.

Boulakbèche a décroché une première médaille d’argent au 1500 Nage Libre en 17’12”35, établissant un nouveau record national et une deuxième médaille d’argent au 400 m nage libre en 4’24”73 .

Elle a également obtenu une médaille de bronze au 800 m Nage Libre avec 9’02″80, une performance qui la situe non loin de son meilleur chrono 9’00″47.

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Le Festival de la Chanson Tunisienne 2025 : De la mémoire à l’avenir de la musique tunisienne

A la veille de l’ouverture, demain samedi 8 mars 2025, à Tunis, de la 23ème édition du Festival de la Chanson Tunisienne (8-11 mars 2025), la scène musicale au grand complet s’apprête à célébrer cet événement qui a façonné l’identité musicale du pays et qui, malgré une interruption de douze années, a tenté d’insuffler une nouvelle âme à la chanson tunisienne, née au croisement des notes, des paroles, des compositions, des arrangements et des voix. Un festival qui porte en lui non seulement la mémoire d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi l’ambition de redonner de nouvelles ailes à la chanson tunisienne.

Repères clés : de la naissance à la résurgence

Une nouvelle page s’ouvre avec cette 23ème édition en 2025, poursuivant une histoire qui remonte aux années 1960, lorsque l’idée d’un festival dédié à la chanson tunisienne a commencé à germer avec le lancement de plusieurs initiatives ponctuelles qui ont alors vu le jour, à commencer par le festival “Saliha” initié par la Radio nationale, et plus tard le Festival Ali Riahi, en 1979, ou les “Soirées de Carthage”.

Sans oublier le rôle de premier plan joué par de nombreuses sommités musicales pour ne citer qu’Ahmed El Ouafi et Salah El Mehdi. L’année 1972 fut marquée par la suite par la naissance des clubs de “La jeunesse musicale”.

En 1986, a été lancée la “Semaine de la Musique Tunisienne”, un événement créé dans le but de réunir artistes, poètes, musiciens, chanteurs, paroliers, compositeurs et divers acteurs de la scène musicale tunisienne, avant que le maestro, Fethi Zghonda, ne lance, en 1987, la toute première édition du “Festival de la Musique Tunisienne” qu’il dirigea jusqu’à la 8ème édition en 1994 (avec un intermède en 1992, édition dirigée par Khalil Mahfoudh).

Depuis, plusieurs grands noms ont pris les rênes du festival: Feu Ahmed Achour (9ème édition-1996), Mohamed Boudhina (11ème édition-1999), Riadh Marzouki (12ème édition-2000), Abdelkrim Shabou (13ème édition-2001), Hamadi Ben Othman (14ème édition-2002), alors que Sonia Mbarek en prit la direction de la 16ème édition en 2005 et jusqu’à la 19ème, en 2008, une année charnière qui marqua le début d’une longue pause, de 2008 à 2020.

Il fallait attendre jusqu’à 2021, une année qui a marqué un tournant décisif dans l’histoire du festival, pour renaître de ses cendres et signer son grand retour, avec une vingtième édition portant le nom du “Festival de la Chanson tunisienne” avant de connaître une nouvelle pause en 2022. Une deuxième reprise est annoncée en 2023 avec une 21ème édition placée sous le signe des retrouvailles, tissant un pont entre hier et aujourd’hui.
Inscrite dans un contexte particulier, à la lumière des événements tragiques dans la bande de Gaza, la 22ème édition, en 2024, prend une dimension “engagée”.

Nourrie de l’ambition d’apporter un nouvel élan en s’inspirant des expériences passées tout en valorisant l’héritage musical tunisien, l’édition 2025 placée sous le signe “La Tunisie chante” s’annonce encore plus fédératrice, mettant en avant des jeunes talents et des artistes confirmés autour d’esthétiques musicales variées.

Une nouveauté, les “open mic”, lancés dès le 28 février dernier dans les 24 gouvernorats du pays, avec la participation des Instituts supérieurs de musique et de danse, des conservatoires de musique, des professionnels du secteur et des talents amateurs et émergents, ont permis d’ouvrir largement la scène à des voix plurielles, porteuses d’un héritage vivant et d’une créativité prometteuse.

Cette initiative a permis d’entendre, dans différents coins du pays, des œuvres et des voix portées par une même passion pour le patrimoine musical tunisien. Du malouf aux sonorités du oud, du qanun ou du violon, en passant par des fusions contemporaines avec la batterie, la guitare, l’orgue et le piano, cette opération en pré-ouverture est venue rapprocher davantage la chanson tunisienne auprès des jeunes, futurs porteurs du flambeau.

Une orientation qui cadre d’ailleurs avec la stratégie du ministère des affaires culturelles, illustrée notamment par le lancement, fin 2024, d’une nouvelle tradition : le rendez-vous mensuel “Ain Mhabba”, conçu pour raviver la chanson tunisienne sous toutes ses formes et expressions.

Re/penser l’avenir, ouvrir des horizons pour que le Microphone soit une voie d’envol

Avant l’ouverture de la programmation musicale demain, le comité d’organisation a tenu, dans la soirée ramadanesque du 6 mars 2025, au palais “Ennejma Ezzahra” à Sidi Bou Said, une conversation portée par de multiples voix d’artistes, de créateurs et de professionnels, sur l’avenir de la chanson tunisienne. Les discussions ont porté sur les préoccupations majeures du secteur et sur les défis actuels, en mettant en lumière des enjeux cruciaux pour le développement du contenu et de la qualité, que ce soit aux niveaux de l’interprétation vocale qu’instrumentale.

Au cœur de ces échanges, des réflexions ont été soulevées à propos notamment des moyens de soutenir la création musicale tunisienne et d’élargir la diffusion de la chanson tunisienne à la lumière d’un paysage de plus en plus globalisé.

Afin de prolonger cette réflexion, une rencontre est prévue le 13 mars sous le titre “Le festival et après ?”. Se voulant un cadre d’évaluation, elle se penchera sur les perspectives futures du festival, en tant que plateforme incontournable pour la promotion de la chanson tunisienne. L’objectif est de réfléchir à son fonctionnement, à ses mécanismes et à son rôle en tant que tremplin pour les paroliers, compositeurs, arrangeurs, musiciens et interprètes, futurs dépositaires de la chanson tunisienne. Cette rencontre sera l’occasion de nourrir les débats sur les orientations à re/definir afin de garantir le succès de cet événement artistique phare et d’ouvrir des horizons, afin que le Microphone soit une voie d’envol.

De sa naissance à sa résurgence, le festival de la chanson tunisienne est parvenu contre vents et marées, à inscrire son empreinte dans l’histoire musicale du pays. Mais son véritable souffle réside dans l’avenir. Un avenir qui dépend d’une vision à re/penser dans une approche plus stratégique, pour offrir à la chanson tunisienne un horizon où elle pourra s’épanouir, se réinventer et continuer à vibrer, portée par ceux et celles qui lui donneront demain de nouvelles ailes, aux couleurs d’antan et au gré du temps.

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