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“Toxic Paradise” : Triomphe international pour le théâtre tunisien

L’équipe artistique et technique de la pièce « Toxic paradise », récemment primée dans des festivals de théâtre aux Emirats Arabes Unis et au Sultanat d’Oman, a été reçue, mercredi, par la ministre des Affaires Culturelles Amina Srarfi.

A cette occasion, la ministre a souligné l’importance de ce genre de distinctions qui témoignent de la particularité et la qualité des productions théâtrales nationales qui jouissent d’une reconnaissance arabe et internationale.

«Toxic paradise» (El Bakkhara, titre en arabe) est mise en scène par Sadok Trabelsi et produite par le « Pôle Théâtre et arts scéniques » du Théâtre de l’Opéra de Tunis. La pièce aborde la question de la pollution atmosphérique à Gabès et ses répercussions sur la santé et la psychologie des habitants de cette ville du côtière du Sud.

Cette oeuvre théâtrale multipliée est lauréate du Grand prix de la 15ème édition du Festival de Théâtre Arabe tenue du 9 au 15 janvier 2025 à Mascate (Oman) et le Prix Cheikh Sultan Ben Mohamed El Qasimi, de la 34ème édition du le Festival des Journées Théâtrales de Sharjah, tenue du 19 au 26 février 2025, aux Emirats.

Ces récompenses arabes interviennent après sa distinction nationale fin 2024 en remportant le Grand prix de la création théâtrale tunisienne, à la deuxième édition du Festival national de théâtre tunisien « Saisons de la Création » tenue du 7 au 14 novembre.

Aux 25èmes Journées Théâtrales de Carthage (JTC) tenues du 23 au 30 novembre), la pièce a remporté le Grand prix, le Tanit d’Or, ainsi que le prix du meilleur scénario attribué à Ilyes Rabhi et Sadok Trabelsi, le prix du meilleur acteur et le prix de la meilleure actrice décernés respectivement à Ramzi Aziz et Mariem Ben Hsan.

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Nairobi accueille une Conférence internationale sur l’authenticité du patrimoine africain

Une Conférence internationale sur l’authenticité du patrimoine en Afrique se tiendra à Nairobi, au Kenya, du 5 au 9 mai 2025, dans le but de favoriser l’échange de recherches, d’expériences, de connaissances et d’observations, a annoncé l’Unesco.

Parmi les participants figureront des responsables gouvernementaux, des universitaires, des experts du patrimoine, des représentants des communautés, des ONG et des membres de la société civile concernés par le patrimoine mondial de tous les pays du continent africain et de partenaires internationaux.

La Conférence internationale sur l’authenticité du patrimoine en Afrique clarifiera l’authenticité, l’intégrité, la théorie et la pratique de la conservation à tous les niveaux du continent et contribuera à l’identification, la documentation, la protection, la valorisation et la promotion du patrimoine de l’humanité au sein et au-delà du continent africain, lit-on dans la présentation de cet évènement.

Il convient de noter que la Tunisie compte 9 sites classés au patrimoine mondial dont 8 sites culturels et 1 site naturel, en plus de 7 éléments inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

« Le patrimoine africain reste sous- représenté » sur la Liste du patrimoine mondial

L’Afrique est dotée d’un riche patrimoine culturel matériel et immatériel, indique l’organisation onusienne. La Convention de l’UNESCO de 1972 concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (Convention du patrimoine mondial) s’est avérée être un moteur important du développement durable, apportant des contributions significatives à l’identité et aux moyens de subsistance des populations.

Malgré la ratification universelle de la Convention du patrimoine mondial par tous les États parties africains, le continent africain, qui compte 150 sites du patrimoine mondial, ne représente que 12,26 % des 1223 biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial. En outre, l’Afrique compte également le plus grand nombre de sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril, avec 14 sur 56.

L’adoption de la Stratégie globale pour une Liste du patrimoine mondial représentative, équilibrée et crédible par le Comité du patrimoine mondial en 1994, alignée sur la stratégie à moyen terme de l’UNESCO qui donne la priorité à l’Afrique et au genre, a conduit à de nombreuses réalisations positives en Afrique, comme l’identification et l’inclusion de patrimoines plus spécifiques au continent africain (par exemple, les paysages culturels et les sites archéologiques et paléontologiques) et le développement de programmes de renforcement des capacités dans le secteur du patrimoine.

Malgré ses réalisations, la Stratégie mondiale n’a pas non plus réussi à garantir une Liste du patrimoine mondial plus représentative et équilibrée, car le patrimoine africain reste sous- représenté sur la Liste, ajoute la même source.

A cet égard, on rappelle que la Tunisie compte, aujourd’hui, neuf sites classés au patrimoine mondial dont 8 sites culturels et un site naturel : le Parc National d’Ichkeul (1980), le dernier grand lac d’eau douce d’une chaîne qui s’étendait autrefois le long de l’Afrique du Nord. La Médina de Tunis, le Site de Carthage et l’Amphithéâtre d’EL Jem (1979), le Site de Kerkouane (1986), la Médina de Sousse et la Médina de Kairouan (1988), le Site de Dougga (1997) et l’Ile de Djerba (2023) sont les sites culturels classés.

Le pays compte également 7 éléments inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité- qui compte à ce jour 611 éléments pratiqués dans 140 Etats- : Les arts, savoir-faire et pratiques associés à la gravure sur métaux (or, argent et cuivre) (2023), La harissa, savoirs, savoir-faire et pratiques culinaires et sociales (2022), la calligraphie arabe : connaissances, compétences et pratiques (2021), La pêche à la charfiya aux îles Kerkennah (2020), Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous (2020), les connaissances associées au palmier dattier (2019) et les savoir-faire de la poterie de Sejnane (2018).

Selon l’Unesco, bien que les raisons de la difficulté rencontrée par le continent africain pour augmenter le nombre de sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial soient multiples, l’un des défis est que les approches de la gestion du patrimoine, y compris la compréhension et l’application des concepts de valeur universelle exceptionnelle (VUE), d’authenticité et d’intégrité, n’ont pas encore été mises à profit dans le contexte de la transformation culturelle de l’Afrique. Il en est résulté une dichotomie entre la compréhension des discours patrimoniaux, largement élaborée dans des contextes universitaires, et les applications locales et régionales des concepts.

L’Unesco indique que la tenue d’une consultation régionale solide sur le patrimoine, l’authenticité et l’intégrité en Afrique offrirait l’occasion d’améliorer les stratégies et les approches existantes et de créer de nouvelles perspectives pour une meilleure mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial en Afrique, ainsi que d’augmenter le nombre de propositions d’inscription au patrimoine mondial et d’améliorer la gestion des sites du patrimoine mondial existants.

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Tunisie : Un projet de 125 millions de dollars pour moderniser le système de santé

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a rencontré ce mercredi une délégation de la Banque mondiale, conduite par Alexandre Arrobbio, représentant de la Banque en Tunisie, et Michele Granolati, directeur du département de la santé pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA).

Selon un communiqué, cette rencontre a permis d’examiner les moyens de mettre en œuvre un nouveau projet d’une valeur de 125 millions de dollars pour renforcer les services de santé en Tunisie, avec le soutien du Fonds mondial de lutte contre les pandémies.

Ce projet ambitieux prévoit notamment le renforcement des capacités de réponse sanitaire, notamment à travers le soutien au centre des opérations stratégiques et aux équipes de secours et de réanimation (SMUR). Il vise également à améliorer la surveillance épidémiologique grâce à un système numérique avancé de collecte et d’analyse des données, ainsi qu’à moderniser la gouvernance du secteur de la santé par une gestion actualisée des ressources humaines et des données sanitaires.

Parmi les autres axes du projet, précise-t-on dans le communiqué, figurent la modernisation des centres de santé de base, l’équipement des installations dans les zones prioritaires avec de l’énergie solaire, et la création de laboratoires de référence spécialisés pour soutenir le diagnostic. Le projet prévoit aussi la restructuration des services de soins primaires, l’expansion des programmes de prévention et de détection précoce, ainsi que le renforcement des unités mobiles d’urgence et la fourniture d’ambulances équipées. La numérisation sera également généralisée pour améliorer l’efficacité du suivi médical et mettre en place un système d’information hospitalier complet.

Le ministre de la Santé a réaffirmé l’engagement de son département à accélérer la mise en œuvre du projet pour garantir l’amélioration des services de santé, saluant le soutien apporté par la Banque mondiale.

De son côté, le représentant de la Banque mondiale a mis en exergue les efforts déployés par la Tunisie pour mettre en œuvre rapidement et efficacement les projets de coopération en matière de santé.

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Prévisions météorologiques : Pluies intenses attendues dans ces régions

Prévisions météorologiques : Pluies intenses attendues dans ces régions

Le chercheur en risques naturels et expert en climat en Tunisie, Amer Bahba, a prévu que les pluies atteindront leur pic cette nuit et demain vendredi, et concerneront la plupart des gouvernorats, avec une concentration particulière sur les quantités de pluie dans le Grand Tunis, Zaghouan, Nabeul et Sousse. Amer Bahba a déclaré à la […]

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Bayern Munich : Manuel Neuer, blessé, indisponible jusqu’à nouvel ordre

Bayern Munich : Manuel Neuer, blessé, indisponible jusqu’à nouvel ordre

Le gardien du Bayern Munich Manuel Neuer s’est blessé mercredi soir en Ligue des champions en célébrant un but de son équipe contre Leverkusen (3-0) et sera indisponible jusqu’à nouvel ordre, indique le club allemand jeudi matin. Le capitaine bavarois de 38 ans “souffre d’une déchirure musculaire au mollet droit (…) et sera indisponible jusqu’à […]

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Siliana : Extension de la zone industrielle “Bou Arada 2” pour dynamiser l’investissement

Une visite de terrain consacrée au suivi de l’avancement des travaux d’extension de la zone industrielle “Bou Arada 2” (gouvernorat dee Siliana) a été effectuée, mercredi, par un certain nombre de représentants des directions régionales d’investissement et de l’Agence Foncière Industrielle (AFI).

Le président-directeur général de l’AFI, Kais Mejri, a précisé à l’Agence TAP que ces travaux permettront d’ajouter 10 hectares à la première partie du site, portant ainsi la superficie totale à 22 hectares. Il a souligné que la zone industrielle est déjà bien aménagée et abrite plusieurs unités industrielles en fonctionnement.

Il a également indiqué qu’une inspection des unités industrielles actuellement fermées a été réalisée, notant que des solutions sont en cours d’examen pour relancer leurs activités.

Le PDG de l’AFI a ajouté que cette zone industrielle pourrait devenir un véritable levier pour stimuler l’investissement dans la région et attirer de nouveaux promoteurs.

Dans cette optique, les services compétents travaillent activement sur un certain nombre de demandes soumises aux autorités locales et à l’AFI, pour lever les obstacles existants et de faciliter l’octroi des autorisations nécessaires, a-t-il souligné.

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Phosphate en Tunisie : Objectif 14 millions de tonnes par an à l’horizon 2030

Un Conseil ministériel restreint (CMR) tenu, mercredi, au Palais du gouvernement à la Kasbah, sous la présidence du chef du gouvernement, Kamel Madouri a permis d’adopter le programme futur de développement , de production, de transport et de transformation du phosphate pour la période 2025-2030 et la mise en place d’un mécanisme permanent de suivi de sa mise en œuvre.

Consacré à l’examen dudit programme, outre la situation et du plan d’action du Groupe Chimique Tunisien (GCT), le conseil a décidé la création d’une unité industrielle de production de monophosphate fin et de monophosphate de calcium granulé à Skhira, avec une capacité de production annuelle estimée à 250 mille tonnes.

Le CMR a décidé, aussi, la réhabilitation des unités d’acide sulfurique, l’augmentation de leur disponibilité et la mise en œuvre du programme de maintenance des machines lourdes et des camions.

Le conseil a approuvé ainsi la mise en place d’une unité industrielle de production d’acide phosphorique purifié à Sakhira, avec une capacité de production annuelle estimée à 60 mille tonnes.

Il a été convenu, en outre, de crée une unité de purification de l’acide phosphorique de cadmium à El Mdhila, dotée une capacité de production annuelle estimée à 180 000 tonnes.

Le conseil a décidé d’appuyer le Groupe Chimique Tunisien (GCT) pour le financement des composantes restantes du projet Mdhila 2 et de créer des unités pilotes de production d’ammoniac vert à Gabès, de production d’acide phosphorique à Skhira et d’engrais phosphatés granulés à Mdhila.

Le CMR a convenu la mise en place d’unités de valorisation du fluor émanant des unités de production d’acide phosphorique à Gabès, Skhira et Mdhila et d’installer des unités pour traiter les émissions des unités de production d’acide phosphorique à Gabès, Skhira et Mdhila pour améliorer la situation environnementale.

Il a été décidé également de retirer le phosphogypse de la liste des déchets dangereux et de l’inscrire en tant que produit à valeur ajoutée et de l’utiliser dans divers domaines selon des conditions préfixées et d’exonérer le GCT de la TVA sur les intrants des engrais destinés au marché local.

Accélérer la concrétisation des objectifs inscrits dans le cadre du programme

Au début de la séance, le chef du gouvernement a mis l’accent sur l’aspect stratégique du dossier du phosphate, soulignant la nécessité de promouvoir et de renforcer la gouvernance de ce secteur vital qui a un impact considérable sur le processus de développement social et économique, ainsi qu’au niveau de l’amélioration de la balance des payements, des exportations et du PIB.

Madouri a appelé à la nécessité de conjuguer les efforts de tous les acteurs du secteur du phosphate et d’identifier des solutions innovantes pour augmenter le rythme de production et favoriser sa durabilité, et ce, en application des recommandations du Chef d’Etat sur la nécessité de développer la production de phosphate vu qu’il constitue une richesse nationale et l’un des piliers de l’économie nationale qui devra retrouver son rôle et se repositionner compte tenu de sa contribution au renforcement des ressources financières de l’Etat et à la création de richesses de manière à favoriser le redressement économique.

Il a préconisé de renforcer la gouvernance du secteur afin de favoriser sa transformation, et ce, via l’augmentation des capacités de production, de transformation et d’exportation, outre l’investissement dans les nouvelles technologies pour augmenter la productivité et identifier de nouveaux marchés pour l’exportation, tout en priorisant le volet environnemental.

Madouri a également appelé à accélérer la concrétisation des objectifs inscrits dans le cadre du programme relatif à la production, au transport et à la transformation du phosphate au cours de la période 2025/2030.

La concrétisation de ce programme, souligne encore le chef du gouvernement, nécessite le relèvement des défis liées à la production, la transformation et le transport.

Il s’agit également de trouver des solutions radicales et rapides à tous les problèmes afin de retrouver un rythme concret et durable permettant de renforcer la capacité de production et de transformation du phosphate au cours des prochaines années.

Madouri a dans ce cadre appelé à l’adoption d’une approche globale réunissant les volets économique et social et environnemental. L’objectif recherché est de booster le processus de développement sans le bassin minier et Gabès et de créer une dynamique économique dans le reste des régions qui accueillent les infrastructures de production, de transformation et de transport.

Vers la production de 14 millions de tonnes par an à la fin de 2030

La ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie, Fatma Thabet Chiboub a, à cette occasion, présenté un exposé comportant les programmes et les plans d’action des différents intervenants dans le secteur du phosphate.

Elle a, en outre, mis l’accent sur les principaux résultats prévus dans le cadre du programme futur, précisant que le renforcement du rythme de production se fera par étapes au cours des prochaines années avec pour objectif d’atteindre 14 millions de tonnes par an à la fin de 2030.

Le programme prévoit également de fixer les besoins logistiques de transport et de transformation du phosphate, outre la gouvernance des ressources en eaux et la garantie des conditions de travail adéquates dans le bassin minier et Gabès.

La deuxième partie du conseil ministériel a été consacrée à la situation actuelle du Groupe chimique Tunisien (GCT) et son plan d’action 2025/2030, outre les recommandations à même de renforcer la productivité du groupe.

Le programme d’action du GCT vise à augmenter de 80% l’activité des usines à l’horizon 2028.

A noter, le renforcement de la production de phosphate a été au centre d’un entretien tenu, mardi 4 avril 2025, au palais de Carthage, entre le président de la République, Kais Saïed et la ministre de l’industrie, des mines et de l’énergie, Fatma Thabet Chiboub.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’État a souligné la nécessité de rétablir et même d’accroître le rythme de production du secteur du phosphate tout en veillant à préserver les droits des travailleurs et en tenant compte de leurs conditions éprouvantes dans les mines.

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Grandes cultures : L’Helminthosporiose, la rouille couronnée et la septoriose menacent les récoltes

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche a annoncé mercredi dans un communiqué, que plusieurs maladies fongiques ont été détectées, au niveau des grandes cultures, mettant en garde contre le risque de propagation rapide de ces pathologies, en raison des conditions climatiques favorables, à savoir la chute de pluies et les températures relativement modérées au cours du mois de mars courant.

Ainsi, le département de l’Agriculture a souligné l’impératif de prendre des mesures préventives dans les champs de céréales et de fourrage.

Pour les champs d’orge, le ministère a fait savoir que la maladie de l’Helminthosporiose est présente, mais à des degrés variables, atteignant dans certains champs le niveau des feuilles supérieures et provoquant leur durcissement, d’où la nécessite d’une intervention immédiate, en traitant toutes les zones de production à l’aide d’un des fongicides approuvés.

En cas de présence de l’oïdium dans un champ d’orge, il est recommandé de choisir un fongicide à double action.

Pour ce qui est des champs d’avoine, le département de l’Agriculture conseille d’intervenir immédiatement avec un traitement préventif ou curatif, en cas de détection de la maladie de la rouille couronnée, et ce, à l’aide de fongicides approuvés.

En ce qui concerne les champs de blé dur, l’apparition de taches nécrotiques bronzées à différents degrés dans la plupart des champs de blé dur, requiert un traitement dès l’apparition de premiers signes vu la vitesse de la propagation de cette pathologie face aux conditions climatiques actuelles.

Pour ce qui est de la septoriose du blé, si elle atteint la partie inférieure des feuilles, il est recommandé de les traiter afin que celles de la partie supérieure ne soient pas touchées par la maladie.

Dans les champs de blé tendre, le traitement contre l’oïdium doit se faire dés la manifestation de tâches blanches dans les feuilles de la partie inférieure notamment dans les champs denses.

Les autorités compétentes soulignent l’importance de bien régler la pression de pulvérisation et d’utiliser des vaporisateurs spéciaux afin de garantir l’efficacité de l’intervention.

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Inflation en Tunisie : recul à 5,7 % en février, porté par la baisse des prix du textile et de la santé

Le taux d’inflation s’est replié à 5,7%, au mois de février 2025, contre 6% au mois de janvier 2025, indique, mercredi, l’Institut National de la Statistique (INS).

Ce recul de l’inflation, est dû principalement au fléchissement observé au niveau du rythme annuel d’augmentation des prix du groupe « produits alimentaires » (7% en février 2025 contre 7,1% en janvier 2025), du groupe « habillement et chaussures » (8,6% en février 2025 contre 9,7% en janvier 2025), du groupe « services de santé » (4% en février 2025 contre 9,1% en janvier 2025) et du groupe « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » (3,8% en février 2025 contre 4,1% en janvier 2025).

En ce qui concerne le taux d’inflation sous-jacente (hors produits alimentaires et énergie), il s’est replié à 5,7% contre 6% au mois de janvier, a indiqué l’INS dans une note consacrée à « l’indice des prix à la consommation pour février 2025 ».

D’après l’INS, Le groupe « Produits manufacturés » et le groupe « Alimentaire frais » sont les secteurs ayant apporté la plus forte contribution à l’inflation globale avec le même taux 2%.

Par régimes, le groupe « Non alimentaire libre » et le groupe « Alimentaire libre » sont les groupes ayant apporté la plus forte contribution à l’inflation soit respectivement 3,2% et 1,9%.

Par ailleurs, le groupe « Produits alimentaires encadrés » a apporté la plus faible contribution avec 0,1%.

Les prix à la consommation enregistrent une légère de 0,1% baisse en glissement mensuel

Au mois de février 2025, les prix à la consommation ont enregistrée une légère baisse de 0,1% par rapport au mois de janvier. Cette diminution est principalement due à la baisse des prix du groupe « habillement et chaussures » de 3,6 % en raison des soldes d’hiver et des prix du groupe « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » de 0,1% suite à l’application de la nouvelle tarification de l’électricité.

En revanche, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 0,5 %, a fait savoir l’INS.

Cette augmentation est expliquée par la hausse des prix des viandes d’agneau (+2,7%), des légumes frais (+1,5%), des fruits frais (+1,4%). En revanche, les prix des huiles alimentaires ont enregistré une baisse de 2,1 % et ceux de la volaille ont diminué de 1,6 %.

Les prix des produits alimentaires ont évolué de 7%, en glissement annuel

En glissement annuel, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 7%. Cette hausse est principalement due à l’augmentation des prix de la viande d’agneau de 21,4%, des légumes frais de 18,7%, des fruits secs de 14,2%, de du poisson frais 13,4% et des volailles de 10,5%).

En revanche, les prix des huiles alimentaires ont diminué de 16,2%, a-t-on ajouté de même source.

Les prix des produits manufacturés et les services ont également connu une augmentation de 5,2% en raison de la hausse des prix des produits de l’habillement et chaussures de 9,7% et des produits d’entretien courant du foyer de 4.8%.

Pour les services, l’augmentation des prix est de 5,1% sur un an, expliquée principalement par la hausse des prix des services du groupe « restaurant, cafés et hôtels » de 11,4%.

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KEY – The Energy Transition Expo 2025 : Plus de 1 000 exposants réunis pour l’avenir des énergies renouvelables

Le Rideau s’est levé, mercredi, 5 mars, à midi, au Centre des expositions de Rimini, sur la foire internationale de la transition et de l’efficacité énergétiques «KEY – The Energy Transition Expo », un événement que l’Italian Exhibition Group (IEG), l’organisme organisateur, veut en faire une manifestation de référence en matière d’énergie, non seulement en Europe, mais aussi en Afrique et dans le bassin méditerranéen.

Avec une augmentation de 20 % dans le nombre des exposants par rapport à l’édition de 2024, dont plus de 30 % sont des exposants internationaux, l’IEG vise également, à créer un réseau international de renommée et un évènement, durant lequel, les acteurs mondiaux de l’énergie exposent les dernières innovations du secteur, nouent des contacts et débattent, dans le cadre des évènements parallèles, des solutions les plus adaptées et durables pour une mue énergétique partagée.

La foire, qui se tient du 5 au 7 mars 2025 compte plus de 1 000 exposants et des délégations internationales venant de 50 pays y sont présentes. L’Afrique du Nord, le Moyen-Orient, les Balkans et l’Europe de l’Est, sont les zones les plus représentées, selon les organisateurs

Sous les charpentes du très vaste centre d’expositions de Rimini, tous les pavillons et les stands regorgent de monde en ce premier jour de la foire. Les technologies solaires de pointe, tous types confondus, et des équipements relatifs à la mobilité électrique (bornes de recharges, voitures…) ont occupé une bonne partie des espaces d’exposition, avec une présence remarquable des opérateurs asiatiques et de leurs lourdes technologies.

La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de hauts responsables italiens notamment Gilberto Pichetto Fratin, ministre italien de l’Environnement et de la sécurité énergétique et Michele De Pascale, présidente de la région Emilia-Romagna. Ces responsables ont mis l’accent dans leurs interventions sur le rôle de l’Italie dans la transition énergétique en Europe et dans le monde et sur la nécessité de diversifier les partenariats énergétiques pour un meilleur avenir de l’énergie pour tout le monde.

L’Italie, qui se classe au deuxième rang européen en ce qui concerne le nombre d’entreprises actives dans la microélectronique, un secteur clé pour la transformation technologique et écologique, aspire à devenir une porte d’entrée stratégique vers l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, notamment après les changements intervenus dans l’approvisionnement énergétique de l’Europe suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

L’Algérie est désormais le principal fournisseur de gaz de l’Italie, suivie par l’Azerbaïdjan et les pays d’Europe du Nord (Norvège) et les Pays-Bas.

Selon le réseau européen Clean Energie Wire (CLEW), la production nationale d’énergie en Italie a augmenté de 4,2 % par rapport à 2022, principalement en raison d’une augmentation de l’énergie produite à partir de sources renouvelables.

Les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 21 % depuis 1990. L’Italie a pour objectif de devenir neutre sur le plan climatique d’ici 2050.

Conformément à son Plan national pour l’énergie et le climat (PNEC), le pays vise à porter ses capacités en matière de production d’énergies renouvelables à 131 GW d’ici 2030.

Pour atteindre cet objectif, toutes les pistes de partenariats sont prévues, notamment, avec les pays de la région MENA.

Il faut juste bien étudier ces pistes et prendre en compte le rythme accéléré des évolutions et des innovations, avant de céder à l’offre, principalement technologique de l’Europe étant donné le risque de voir les grands projets dans lesquels nous investissons devenir caduques avant même de commencer, ont déclaré certains participants maghrébins à cette exposition à l’agence TAP.

Il faut rappeler que l’Afrique doit investir environ 70 milliards de dollars dans les énergies renouvelables pour atteindre ses objectifs en 2030, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE). (ANSAmed). Le continent vise à déployer 300 gigawatts d’énergie renouvelable, d’ici 2030.

Un sommet de l’énergie et un débat sur la thématique « accélérer l’électrification durable : la clé du développement économique et social du continent africain » sont prévus au cours de cette exposition. La chambre syndicale tunisienne du photovoltaïque (CSPV) y prendra part.

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Lancement de la 4ème édition de Ooredoo Night Run by Xiaomi

Lancement de la 4ème édition de Ooredoo Night Run by Xiaomi

Ooredoo Tunisie est ravi d’annoncer le retour très attendu de Ooredoo Night Run by Xiaomi, désormais dans sa quatrième édition, prévue pour le 22 mars 2025. Cet événement emblématique célèbre le sport, l’innovation et la communauté, offrant quelque chose de spécial pour les athlètes et les passionnés de technologie. Célébration du Sport et de l’Innovation […]

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Tennis – Indians Wells: Ons Jabeur affrontera Dayana Yastremska au second tour

Tennis – Indians Wells: Ons Jabeur affrontera Dayana Yastremska au second tour

La Tunisienne Ons Jabeur (32e) affrontera l’Ukrainienne Dayana Yastremska (46e) au second tour des Masters 1000 d’Indian Wells de tennis (sur dur), organisé du 5 au 16 mars aux Etats Unis. Yatremska s’est qualifiée après avoir battu la Chinoise Yue Yuan, (68e), au premier tour, sur le score de 2-0 (6-2, 6-4), jeudi, tandis qu’Ons […]

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Reprise du trafic des ferries entre Djerba et le continent après une interruption due aux vents

Reprise du trafic des ferries entre Djerba et le continent après une interruption due aux vents

Les ferries de l’île de Djerba ont repris leur activité ce jeudi matin 6 mars 2025, pour assurer le transport des passagers et des véhicules entre l’île et le rivage de la délégation de Sidi Makhlouf, après leur arrêt hier soir (à partir de 22h30), en raison de fortes rafales de vent qui ont empêché […]

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Visas pour les Émirats : plus de 52 000 autorisations accordées aux Tunisiens en 2024

En 2024, 52 000 visas ont été accordés aux Tunisiens par les Émirats Arabes Unis, avec un taux de refus ne dépassant pas 6 %, selon le directeur général de l’identité et des affaires des étrangers émirati. Cette information figure dans un rapport du ministère des Affaires étrangères tunisien, publié en réponse à une question écrite de deux députés de l’Assemblée des représentants du peuple concernant les résultats de la visite du ministre des Affaires étrangères en février dernier.

L’officiel émirati a précisé que la saisie de données incorrectes lors des demandes constituait l’une des principales raisons des refus. Il a également affirmé la volonté des autorités émiraties de coopérer avec les parties tunisiennes concernées pour surmonter les difficultés récentes liées à l’octroi de visas, en coordination avec l’ambassade tunisienne à Abu Dhabi et l’ambassade des Émirats à Tunis.

Le nombre de Tunisiens résidant aux Émirats dépasse actuellement 29 000, selon les mêmes données. Les responsables émiratis ont souligné que les récentes restrictions ne visaient pas spécifiquement les Tunisiens, mais s’inscrivaient dans le cadre de mesures temporaires pour gérer l’augmentation de l’immigration illégale en provenance de certains pays.

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Bolt renforce son engagement en Tunisie

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Bolt, leader de mobilité partagée en Tunisie, annonce officiellement un investissement substantiel de 34 millions de dinars tunisiens depuis son entrée sur le marché tunisien. Cet investissement souligne l’engagement de Bolt à fournir des solutions de transport fiables et efficaces tout en favorisant la croissance économique et la création d’emplois à travers le pays. Depuis […]

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L’UNICEF alerte sur les conséquences du blocage humanitaire à Gaza pour les enfants

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Le blocage de l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en particulier des produits médicaux, risque d’avoir des conséquences catastrophiques sur la santé des enfants, a averti le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) mercredi. Dans un communiqué, l’UNICEF a souligné que la poursuite de ce blocus, notamment sur les vaccins, pourrait […]

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La STA recrute !

La Société Tunisienne d’automobile (STA) a lancé un appel à candidatures pour la désignation de deux administrateurs indépendants et un  administrateur représentant les actionnaires minoritaires devant siéger à son conseil d’administration. 

Les candidats pour doivent avoir au moins une maîtrise ou un diplôme équivalent et justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 10 ans dans la spécialité du management ou du finance.

Les candidats intéressés sont invités à soumettre leurs candidatures d’ici le 25 mars 2025.

N.B: On entend par actionnaires minoritaires, les actionnaires personnes physiques détenant individuellement au plus 0,5 % du capital et les institutionnels détenant individuellement au plus 5 % du capital.

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