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Lancement de la 4ème édition de Ooredoo Night Run by Xiaomi

Ooredoo Tunisie est ravi d’annoncer le retour très attendu de Ooredoo Night Run by Xiaomi, désormais dans sa quatrième édition, prévue pour le 22 mars 2025. Cet événement emblématique célèbre le sport, l’innovation et la communauté, offrant quelque chose de spécial pour les athlètes et les passionnés de technologie.

Célébration du Sport et de l’Innovation

Le Ooredoo Night Run, reconnu comme l’un des événements sportifs les plus emblématiques de Tunisie, propose plusieurs catégories de courses adaptées aux participants de tous âges et niveaux. Les courses incluent un 10 km pour les coureurs expérimentés, un 5 km pour les amateurs, et un 2 km pour enfants. Une catégorie est dédiée aux personnes en situation de handicap, garantissant l’inclusivité pour tous. Les vainqueurs de deux courses 5km et 10km hommes et femmes, auront la chance unique de participer au prestigieux Ooredoo Marathon de Doha.

Découverte de la Technologie 5G

En plus des compétitions sportives, Ooredoo introduit un coin 5G interactif, permettant aux participants de découvrir la puissance de cette technologie de nouvelle génération. “À travers cet événement, nous visons à partager l’excitation de la 5G avec notre peuple et à les rapprocher du futur,” a déclaré Mansoor Rachid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie.

Engagement Communautaire

Souhaitant allier sport et solidarité, Ooredoo s’engage fermement en matière de responsabilité sociale. Tous les bénéfices de cet événement seront reversés à l’association Diar El Amal Tunis, soutenant les enfants abandonnés ayant besoin d’amour et de soins. Le CEO de Ooredoo Tunisie a ajouté : “Nous croyons que chaque enfant mérite une chance pour un avenir meilleur. Le Ooredoo Night Run est une célébration de tout ce qui nous rend fiers d’être Tunisiens.”

Une Soirée Inoubliable pour Tous les Âges

Le Ooredoo Night Run ne se limite pas à une simple course ; il s’agit d’une soirée festive, sportive qui unit tous les âges. Organisé sur l’Avenue Habib Bourguiba, l’événement proposera une série d’activités, de performances et de surprises visant à rendre cette édition encore plus mémorable. “Nous sommes passionnés par la promotion d’un mode de vie sain et de l’innovation, et des événements comme le Ooredoo Night Run nous offrent la plateforme idéale pour inspirer la communauté,” a déclaré Sylvester Huang, directeur commercial de Xiaomi Tunisie.

Inscriptions et Détails

Nous vous invitons à rejoindre cette soirée exceptionnelle de sport, de technologie et de solidarité communautaire le 22 mars 2025. Pour vous inscrire et obtenir plus de détails, visitez www.ooredoorun.tn .

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Fuite des cerveaux : Sans stratégie industrielle et technologique, la Tunisie condamne-t-elle ses ingénieurs à l’exil ?

Illustration IA IngénieurIl y a une semaine, Sami Ayari, ingénieur expert en Data et organisation IT et président de l’Association Reconnect* ironisait dans un post publié sur LinkedIn sur une prétendue bonne nouvelle pour la communauté des ingénieurs tunisiens, en Tunisie et à travers le monde, ainsi que pour le secteur des entreprises et l’administration publique, entre autres. En guise de “bonne nouvelle” (sic), il parlait du Livre blanc sur la formation des ingénieurs attendu depuis un bail et pas encore publié sur le site du ministère de l’Enseignement supérieur.

En essayant de nous informer auprès du ministère de l’Enseignement Supérieur, on nous a fait savoir qu’ils sont en train d’y mettre les dernières touches avant publication.

Sami Ayari a dénoncé dans son post l’approche marketing adoptée par le ministère : “Le plan de com. savamment élaboré pour éclairer l’opinion publique et la tournée à travers toute la Tunisie pour parler du livre blanc me rappellent étrangement la constitution de 2014. On a récité de belles paroles, on a fait de grandes annonces, mais in fine, qu’en reste-t-il ?”.

Il déplore l’exclusion des grandes compétences tunisiennes sises à l’international -à l’exception de l’ATUGE– et au fait de toutes les innovations en matière d’ingénierie, toutes catégories, disciplines et spécialités confondues, de la réflexion lors de l’élaboration de l’ouvrage : “Un comité de pilotage a été créé, ainsi qu’un organisme consultatif stratégique, chargé de formuler des propositions et regroupant des institutions publiques et privées ainsi que la société civile. Mais je m’interroge sur les critères de participation : faut-il appartenir à la même association qu’un directeur général du ministère, un directeur de cabinet ou un ministre ? Faut-il être originaire de la même région en Tunisie ? Faut-il résider en Tunisie ou faire partie d’une certaine diaspora aux ordres ? … On observe l’exclusion des meilleurs professeurs, en Tunisie comme à l’étranger, ainsi que des experts les plus compétents dans le domaine.

“Former des ingénieurs en Tunisie ne doit pas signifier les offrir à d’autres nations. Chaque année, nous investissons dans l’éducation de milliers de talents qui finissent par renforcer l’économie d’autres pays. Une nation qui ne retient pas ses compétences compromet son propre avenir.” – Sami Ayari

 

Pas un mot sur le Brain-drain des ingénieurs. On entend et on lit entre les lignes : « La mobilité est très importante pour la Tunisie », « Il n’y a pas de frontières », « Les Africains subsahariens formés en Tunisie peuvent compenser le manque d’ingénieurs », etc. Cela ne fait que confirmer ce que j’ai déjà écrit dans mes précédents posts : l’objectif caché semble être de former des ingénieurs Label Rouge ou EU Compliant pour l’Europe. Le mot «Tunisie» et l’avenir du pays sont timidement évoqués… Pendant ce temps, l’avenir de la Tunisie passe au second plan. Étrange, non ? Et quelle est la légitimité de ces personnes, au juste ?”.

Et Sami Ayari de conclure en s’adressant au président de la République : “Cette manière de procéder reflète-t-elle vraiment ce que vous répétez sans cesse sur la nécessité et l’obligation d’apporter de nouvelles idées, de nouvelles visions et de nouveaux visages, en Tunisie et à l’étranger, pour bâtir la nouvelle Tunisie ?”.

“Pourquoi fournir nos cerveaux aux pays dominants et nous rendre encore plus dépendants”

Hakim Ben Lagha, professionnel dans le secteur du pétrole et de l’énergie (Expert en hydrocarbures et énergie), a réagi au cri de cœur de Sami Ayari en parlant “d’impérialisme technologique”. Pour lui, l’enjeu est l’indépendance de la Tunisie. L’objectif ultime étant de se donner les moyens de sa souveraineté économique et sociale.

“Outre la polémique sur la légitimité de qui fait quoi, les discussions à propos du futur de l’ingénierie en Tunisie n’ont pas l’air de favoriser son indépendance technologique… On parle de la mobilité internationale vers le Nord et peu d’investissement pour l’entrepreneuriat national et le développement de notre tissu économique ou pas assez… Et c’est bien là que le bât blesse.

Tout cela pourquoi ? Pour booster notre compétitivité à fournir des cerveaux aux pays dominants et nous rendre encore plus dépendants d’eux une fois que notre pays sera vidé de notre substance intellectuelle ?

L’indépendance technologique d’un pays passe par la valorisation de ses talents et l’inclusion de toutes ses compétences, qu’elles soient locales ou issues de la diaspora – Hakim Ben Lagha

 

À quoi bon former nos futurs ingénieurs et cerveaux avec notre effort national et sûrement en partie avec l’argent des prêts internationaux qui plombent notre budget pour finalement les voir partir sans garantie de retour. Je ne suis pas contre les échanges et les expériences internationales, c’est comme estiment certaines personnes “enrichissant”, mais c’est enrichissant pour qui ?”

Et Hakim Ben Lagha d’arguer que former à l’excellence est important, mais il faut que cela permette au pays de gagner en souveraineté, en indépendance et en compétitivité : “Sinon nous risquons malheureusement de dépendre pour toujours de ceux qui nous font des prêts pour finalement former une jeunesse d’excellence qui fait défaut au Nord du fait d’une population vieillissante. Voilà le vrai débat ! Et cet argument de vases communicants entre l’Afrique subsaharienne et celle du Nord est caustique et cynique… Il démontre bien la limite du modèle de ce travail de 2 ans pour élaborer le livre blanc ? Regardez plutôt l’Éthiopie qui vivait la famine il y a 30 ans, le Rwanda qui a vécu une extermination il y a pas si longtemps ou l’Afrique de l’Est tout simplement.”

Cela fait des années que Sami Ayari à travers Reconnect bataille pour établir un pont servant au transfert de connaissances et de compétences tunisiennes de l’international au pays d’origine. Il organise régulièrement des manifestations sur les avancées technologiques dans le secteur financier ou encore sur l’intelligence via une autre association “Tunisian AI Society” parce que les élites sises dans des pays très avancés technologiquement peuvent partager leurs expertises, offrir des formations aux jeunes tunisiens, améliorer les compétences et renforcer les capacités des institutions tunisiennes.

Cela n’a pas l’air d’intéresser les décideurs publics en Tunisie qui devraient profiter de la main tendue des Tunisiens de l’étranger pour améliorer compétitivité et positionnement. Ce qui d’ailleurs est révoltant pour beaucoup : “On ne reconnait notre tunisianité que pour les revenus travail ou les votes lors des élections, mais ceux d’entre nous qui refusent de couper le cordon ombilical avec la Tunisie, qui veulent participer à sa reconstruction et œuvrer pour son progrès sont ignorés”.

“Former des ingénieurs de haut niveau avec des fonds nationaux et des prêts internationaux pour ensuite les voir partir sans retour… Est-ce un modèle viable ou une illusion économique ? L’excellence ne doit pas être une simple vitrine, mais un moteur de développement pour notre propre pays.”

 

La Tunisie produit chaque année plus de 7000 ingénieurs dont le regard de la grande majorité est orienté vers le Nord. Notre Etat réalise-t-il le coût économique des ingénieurs? Celui de leur formation et celui de leur “cession” à l’international ? Des ingénieurs qui malgré des formations considérés comme solides, maîtrisent les fondamentaux mais manquent de compétences de vie.

L’enseignement de l’ingénierie dans notre pays est-il toujours performant ? Répond-il aux défis de demain, a-t-il la capacité de projeter les élites et le pays dans un futur hautement technologique ? Quel est le rôle de l’État ?

Ces questions ont fait l’objet d’un webinaire organisé par “Reconnect” en présence de Mohamed Jemaiel, professeur en informatique à l’Ecole d’ingénieurs de Sfax, Fatma Mili Professeur à la Grand Valley State University dans le Michigan (États-Unis), Dr. Imed Zitouni, Expert en IA et Data Science, leader dans la Tech et directeur de l’Ingénierie à Google aux USA, Fahmi Bellallouna, Professeur en ingénierie spécialisé dans la réalité virtuelle et Mohamed Habibi professeur agrégé en génie mécanique, directeur de l’équipe de recherche en ingénierie mécanique à l’Université du Québec à Trois-Rivières (Canada).

Un débat passionnant sur l’ingénierie en Tunisie, ce qui est et ce qui doit être dont les grandes lignes seront publiées par WMC !

Dans l’attente, il n’est nullement question de remplacer nos ingénieurs “expédiés” vers le Nord, par d’autres venus de l’Afrique subsaharienne et formés en Tunisie comme l’a déclaré un intervenant, ingénieur de son état, sur les ondes d’une radio !

Amel Belhadj Ali

EN BREF

Fuite des cerveaux : la Tunisie face à un dilemme

📌 Un Livre blanc en attente : Le ministère de l’Enseignement supérieur tarde à publier le Livre blanc sur la formation des ingénieurs.📌 Exclusion des experts : Des compétences tunisiennes de la diaspora – hormis l’ATUGE – ont été écartées du projet.

📌 Un exode inquiétant : Chaque année, 7 000 ingénieurs sont formés en Tunisie, mais la majorité part à l’étranger.

📌 Une stratégie absente : “Former à l’excellence, mais pour qui ?” s’interrogent les experts, dénonçant un manque de vision industrielle et technologique nationale.

📌 Un modèle à repenser : “L’ingénierie tunisienne doit être un moteur de développement, pas un produit d’exportation.”

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Bourse de Tunis : ATB signe la meilleure performance avec une hausse de 5,8 %

Le marché confirme sa tendance haussière. L’indice de référence a gagné 0,12 % à 10725,13 points, dans un modeste flux de 2,9 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse “Tunisie Valeurs”.

Le titre ATB s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 229 mille dinars, l’action du banquier a signé une avancée de 5,8 % à 3,080 D.

Le titre SMART TUNISIE a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action du spécialiste de la distribution IT a inscrit une hausse de 1,8 % à 13,440 D. La valeur a drainé de modestes échanges de 11 mille dinars.

Le titre SIPHAT s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du laboratoire pharmaceutique a reculé de 4,3 % à 8,600 D dans un volume d’échange quasi-nul.

Le titre Euro-Cycles a régressé de 3,5 % à 14,900 D. La valeur a amassé un flux de 269 mille dinars sur la séance.

Le titre BIAT continue à chapeauter le palmarès des échanges. L’action de la banque privée a perdu 0,5 % à 103,000 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 459 mille dinars.

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Gestion des déchets : Le projet de l’éco-village de Taniour à Sfax progresse

Le ministère de l’environnement a reçu les propositions de deux investisseurs intéressés par le projet de l’éco-village écologique de valorisation des déchets à Taniour à Sfax, a affirmé mercredi, le ministre de l’environnement Habib Abid lors d’une séance plénière à l’ARP, consacrée à des questions orales des députés sur les activités de ce département.

Une cimenterie a déjà procédé à l’exploitation et la valorisation des déchets à l’eco-village de Taniour, a-t-il ajouté, notant que le ministère œuvrera en collaboration avec la cimenterie et le ministère de l’équipement, à réduire l’embouteillage enregistré au niveau de la route de Taniour en raison de ces activités.

Le département de l’environnement a, également, réalisé des progrès dans la réalisation de ce projet qui était bloqué en raison de certaines problématiques foncières et a accéléré la réalisation des études relatives à l’identification des méthodes de valorisation des déchets, a-t-il fait remarquer.

S’agissant des déchets du bâtiment dans la région, le ministère effectue une étude sur la transformation de ce genre de déchets dans les différentes régions du pays, a indiqué Abid, faisant savoir que les coûts de transformation des déchets de construction reviennent relativement, chers pour l’Etat, à 100 dinars la tonne.

Les déchets de construction sont estimés en Tunisie à 12 millions de tonnes, a-t-il dit, notant que ces estimations sont basées sur une étude réalisée en 2020, laquelle a évalué les quantités de déchets de construction à 8 millions de tonnes avec une hausse annuelle de 1 million de tonne.

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Tunisie : 11,6 MD pour préserver le littoral des îles de Kerkennah

“Des représentants du Fonds fiduciaire environnemental (MEDFUND) se rendront, en avril 2025, à l’île de Kerkennah pour évaluer le programme de protection de littoral tunisien et préparer un deuxième programme dans le même cadre”, a annoncé le ministre de l’Environnement, Habib Obeid, mercredi, lors d’une séance d’audition qui s’est tenue à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).

Il convient de préciser que MedFund est une institution privée à but non lucratif, basée à Monaco qui octroie des financements durables pour la conservation de la biodiversité marine.

Le ministre a souligné, dans ce cadre, l’importance de poursuivre les programmes de protection du littoral, rappelant que 20% du littoral des îles de Kerkennah est menacé par l’érosion d’ici 2100 en raison des effets du changement climatique.

D’après lui, la Tunisie est l’un des pays les plus vulnérables aux répercussions du changement climatique. 60 îles tunisiennes seront menacées par la montée du niveau de la mer dans les années à venir, dont Kerkennah et Djerba.

Il a fait savoir, dans ce cadre, que son département œuvrera, durant la période à venir, avec le Programme de coopération néerlandais, pour mettre en œuvre des programmes de protection de diverses plages tunisiennes, notamment les îles de Kerkennah.

“Kerkennah est la première inscrite au programme de protection de littoral avec des travaux mobilisant un montant de 11,6 millions de dinars (MD)”, a-t-il noté, ajoutant que l’Agence de protection et d’aménagement du littoral avait élaboré des études, en 2012, relatives à ce programme pour un coût estimé à 380 mille dinars.

Pour rappel, une convention de partenariat a été signée, en juillet 2023, entre l’APAL et l’ONG  “Kraten”, d’une part, et le Fonds environnemental ” The MedFund”, d’autre part, dans l’objectif d’améliorer la préservation de l’aire marine protégée (AMP) des îlots nord de Kerkennah en Tunisie.

Le MedFund avait allouer un financement de 286 mille dollars à ce projet, dont la durée de réalisation a été fixée à 5 ans.

Le littoral tunisien s’étend sur une longueur d’environ 2 300 km. Quant au domaine public maritime, il représente une superficie de 73 mille km2, avec environ 340 km de plages de sable touchées par l’érosion.

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Cancer du côlon en Tunisie : Comment l’alimentation peut réduire les risques ?

Le ministère de la Santé a présenté, ce mercredi, à l’occasion de la célébration avec la communauté internationale du ” Mars Bleu”, mois dédié à la prévention du cancer du côlon, un ensemble de recommandations pour adopter un régime alimentaire équilibré et sain afin de réduire les risques de cette maladie, qui est le deuxième cancer le plus fréquent chez les hommes et les femmes.

Dans un communiqué publié aujourd’hui mercredi le ministère a exhorté les Tunisiens à adopter un mode de vie alimentaire sain, mettant en avant le thème “Une alimentation saine : un pilier essentiel de la prévention du cancer du côlon” pour cette édition du “Mars Bleu”. Il a souligné que l’alimentation joue un rôle clé dans la prévention de cette maladie grave, dont la prévalence ne cesse d’augmenter.

Selon les dernières statistiques, la Tunisie a enregistré environ 2 300 nouveaux cas de cancer du côlon chez les hommes et 1 940 cas chez les femmes en 2024. Cette augmentation souligne l’importance de la prévention et du dépistage précoce de la maladie.

Les recommandations du ministère mettent l’accent sur la consommation d’aliments riches en fibres, comme les légumes, les fruits, les céréales complètes et les légumineuses, qui favorisent la santé intestinale et réduisent le risque de cancer du côlon.

Il est également conseillé de consommer du poisson, en particulier les poissons bleus, trois fois par semaine en raison de leurs bienfaits pour la santé. Le ministère encourage en outre la consommation de repas faits maison et la réduction des aliments industriels riches en graisses et en sel.

Par ailleurs, il est recommandé de limiter la consommation de viandes transformées et industrielles, qui ont un impact négatif sur la santé intestinale. L’accent est mis sur une alimentation riche en légumes et fruits frais, tout en réduisant l’apport en viandes rouges, en huiles et en sel. Le contrôle du poids est également primordial, car le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque majeurs du cancer du côlon.

Le ministère insiste également sur l’importance d’exercer une activité physique régulière, dans le but de réduire le risque de nombreuses maladies, y compris le cancer du côlon.

Bien que les symptômes varient d’une personne à l’autre, les signes courants incluent des troubles du transit intestinal (diarrhée ou constipation), des modifications de la forme et de la fréquence des selles, des saignements rectaux ou la présence de sang dans les selles, des douleurs abdominales (crampes, ballonnements) ainsi qu’une perte de poids inexpliquée, selon le ministère de la Santé.

Dans le cadre de sa campagne de sensibilisation au dépistage précoce, le ministère continue de mettre en place des stratégies ciblant les personnes âgées de 50 à 74 ans. Ce dépistage comprend un test de recherche de sang occulte dans les selles et, en cas de résultat positif, une coloscopie est réalisée par un spécialiste en gastro-entérologie.

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Nutrition et Ramadan : Pourquoi consommer du chocolat noir après l’iftar ?

La nutritionniste Ola Gargouri a recommandé, ce mercredi, aux élèves jeûneurs de consommer du chocolat noir après l’iftar pour sa riche contenance en magnésium bénéfique pour la santé des os, du cœur et de l’humeur et ce, spécialement pendant la période des examens.

Dans une déclaration à l’agence TAP, la spécialiste a aussi recommandé de consommer des fruits secs après l’iftar, car ils contiennent de l’oméga-3 et des graisses saines.

Pendant l’iftar, Gargouri souligne la nécessité de préparer un repas équilibré riche en céréales complètes, pour maintenir des niveaux stables de sucre dans le sang, de protéines et de légumes.

Elle a, en outre, mis l’accent sur l’importance du shour qui doit comporter des fruits, du pain complet et des aliments riches en fibres et en protéines, tels que le lait et ses dérivés.

La nutritionniste a conseillé de limiter la consommation de café à deux tasses par jour et de boire des quantités importantes d’eau, soit entre 1,5 et 2 litres.

Elle a, par ailleurs, expliqué que les maux de tête ressentis par les jeûneurs pendant la journée sont principalement dus à la consommation de sucres rapides au shour, ce qui réduit l’énergie physique et mentale, ainsi qu’au manque d’hydratation.
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Selon Gargouri, l’envie de dormir immédiatement après l’iftar serait due à la consommation d’un repas déséquilibré, souvent riche en sucres rapides.

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“In the Belly of the Whale” : La première production tuniso-croate triomphe à Rijeka

Après un premier cycle de représentations au mois de janvier dernier en Tunisie, la nouvelle pièce “In the Belly of the Whale”, (Fi batn el hout, titre en arabe) mise en scène par Marwa Manai, a été présentée les 3 et 4 mars 2025 dans une première mondiale au Théâtre National de Rijeka, en Croatie. Cette première production théâtrale tuniso-croate, a connu un franc succès auprès du public qui l’a chaleureusement acclamée, selon un communiqué de presse du Théâtre National Tunisien (TNT).

Ce projet, fruit d’une collaboration entre le TNT et le Théâtre National Croate de Rijeka, est inspiré des textes de plusieurs auteurs contemporains, tels qu’Iva Papić, Dorotea Šušak, Samia El Amami et Mouna Ben Haj Zekri.

La pièce propose un voyage à travers des récits intimes et universels sur la quête de l’inconnu. La performance des comédiens tunisiens, croates et italiens Sonia Zarg Ayouna, Nadia Belhaj, Thawab Aidoudi, Allam Barakat, Mario Jovev, Serena Ferraiuolo et Edi Ćelić a été saluée pour son jeu intense ayant donné vie aux questionnements soulevés par le texte :

“Entre hier, aujourd’hui et demain, il y a l’éternité. Et depuis toujours, les humains ont cherché à franchir les barrières. Ils ont creusé des tunnels, construit des ponts, des navires, des avions, et même atteint l’espace. Mais il reste une barrière à franchir, et elle ne tient qu’à un fil.”

Avec cette nouvelle création, Marwa Manai vient d’écrire une nouvelle page dans son expérience entre mise en scène, écriture et recherche académique, autour des thèmes de l’identité et de la résilience, omniprésents dans ses précédents projets tels que “Untitled” et “Ancra-je”.

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Théâtre en Tunisie : Une table ronde sur la place des femmes dans la mise en scène

A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le Théâtre National Tunisien (TNT) organise une table ronde intitulée “La scène au féminin”, en hommage aux metteuses en scène tunisiennes.

Cet événement se tiendra le vendredi 7 mars 2025 à 21h30 à la salle Le 4ème Art à Tunis (Bibliothèque Bechir Ben Slama). Modérée par la critique théâtrale Faouzia Belhaj Mezzi, cette rencontre réunira trois figures du théâtre en Tunisie : Leila Toubel, Wafa Taboubi et Lobna Mlika. Elle invite à une réflexion sur l’avenir du théâtre au féminin en Tunisie: Les nouvelles générations de metteuses en scène parviendront-elles à s’affranchir des contraintes existantes pour imposer un langage théâtral à leur image ?

Selon l’argumentaire de la rencontre, la présence des femmes dans le théâtre tunisien s’est construite au fil d’une transformation lente mais profonde. Leur adhésion au milieu théâtral s’est heurtée à de nombreux obstacles. Au début du XXème siècle, à une époque où le théâtre était perçu avec une certaine réserve par la société, les femmes qui osaient s’y aventurer étaient souvent marginalisées et confinées dans des des rôles secondaires.

L’évolution de leur montée sur scène est étroitement liée aux mutations sociales et politiques du pays. Le document rappelle le rôle clé du penseur Taher Haddad dont les idées réformistes ont mené à l’adoption du Code du statut personnel en 1956, offrant aux femmes de nouveaux droits, notamment en matière d’éducation et de travail. Pourtant, comme le souligne Faouzia Belhaj Mezzi, si ces réformes ont favorisé l’émancipation des femmes dans plusieurs secteurs, le domaine artistique – et plus particulièrement le théâtre – est resté longtemps dominé par les hommes.

Dans ce document, la critique Faouzia Belhaj Mezzi distingue trois grandes générations de femmes dans le théâtre tunisien.

Les années 50 et 60 ont vu émerger les premières actrices professionnelles, telles que Mouna Noureddine, Narjes Attia et Samia Mzali, qui ont posé les bases d’une présence féminine sur scène et contribué à légitimer le métier d’actrice.

Les années 70 et 80 marquent l’implication croissante des femmes dans la dramaturgie et la création collective, avec des figures comme Jalila Bakar, Najia Ouerghi et Raja Ben Ammar.

Depuis les années 90, les metteuses en scène commencent à s’imposer davantage, bien que leur présence demeure limitée. Certaines, comme Nadia Ben Ahmed, se distinguent par leur écriture théâtrale, tandis que d’autres explorent des formes expérimentales mêlant théâtre et danse contemporaine, à l’image de Nawal Skandrani, Imen Smaoui et Sihem Belkhodja.

Malgré ces avancées, les metteuses en scène tunisiennes continuent de faire face à de nombreux défis dont le manque de financements et les difficultés de production et de diffusion. Cela dit, le regard porté sur le théâtre au féminin suscite admiration et méfiance à la fois, notamment lorsque les œuvres abordent des thématiques sensibles telles que la condition de la femme face aux structures patriarcales.

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Environnement : Le ministère annonce un plan d’action pour assainir le Oued El Miliane et les plages voisines

Soixante-et-onze sociétés sont responsables de la pollution du Oued El Miliane et des dégâts écologiques subis par les plages de la banlieue sud, a indiqué le ministre de l’Environnement, Habib Abid dans sa réponse à une question formulée par la députée Douha Selmi, lors d’une séance plénière organisée, mercredi, par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP).

Et d’ajouter que son département est en train de résoudre cette problématique et compte prendre des mesures répressives.

D’autre part, il a fait savoir que les structures de son ministère relève quotidiennement une dizaine infractions liées à la pollution dans les plages de Ben Arous, de Solimane et des zones environnantes, ajoutant que 86 procès verbaux ont été établis à l’encontre des entreprises industrielles, dont certaines relèvent du secteur public.

Abid a, par ailleurs, assuré que son ministère a conclu un accord avec 21 entreprises afin de lutter contre la pollution.

Outre les entreprises industrielles, plusieurs villes dont Bargou, Jebel Ouest et Khelidia sont à l’origine de la pollution de Oued El Miliane, a-t-il mentionné, précisant que les eaux usées industrielles et utilisées dans le secteur agricole polluent également ce fleuve.

Pour lutter contre la pollution à Oued El Miliane, le ministre a indiqué qu’un plan visant à accroître la capacité des stations d’assainissement, à travers le traitement tertiaire a été mis en place, soulignant que le ministère a contraint les entreprises industrielles à élaborer des études sur la pollution et à bénéficier des programmes de coopération régionale européenne dans le domaine de la protection de la rive sud de la méditerranée. Il a, fait remarquer qu’un appel d’offres visant à assainir les plages de Ben Arous est actuellement fin prêt.

Selon la députée Douha Selmi, dix-huit plages ont été interdites à la baignade l’année dernière en raison de la pollution dans la banlieue sud de la capitale.

 

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Tunisiens aux Émirats : 52 000 visas délivrés en 2024, coopération en vue pour lever les obstacles

Les Émirats ont accordé 52 mille visas aux Tunisiens en 2024, a affirmé le directeur général de l’identité et des Affaires des étrangers des Émirats arabes unis, précisant que le taux de refus de visas n’a pas dépassé 6 %. Selon un rapport du ministère tunisien des Affaires étrangères – présenté en réponse à une question écrite de deux députés au sujet des résultats de la visite du ministre des Affaires étrangères aux Émirats en février dernier – le responsable émirati a expliqué que l’un des motifs de refus de visa pour les Tunisiens était « l’introduction de données erronées lors de la soumission de la demande ».

Le responsable émirati a exprimé sa disponibilité à coopérer avec les autorités tunisiennes afin d’examiner les moyens de surmonter les « difficultés récentes » liées à la délivrance des visas.

Dans ce cadre, il a promis d’accorder une attention particulière à cette question et de coordonner les efforts avec la mission tunisienne à Abou Dhabi ainsi qu’avec l’ambassade des Émirats à Tunis.

D’après les chiffres communiqués par le responsable émirati, le nombre de Tunisiens résidant aux Émirats arabes unis dépasse les 29 000.

Lors de ses rencontres avec les responsables émiratis, le ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a abordé les difficultés auxquelles sont confrontés les Tunisiens pour obtenir un visa d’entrée aux Émirats, formant le souhait de voir les autorités émiraties œuvrer à les surmonter.

La partie émiratie précise que les difficultés récentes dans l’octroi des visas d’entrée aux Émirats ne visaient pas spécifiquement les Tunisiens mais s’inscrivaient dans un ensemble de mesures temporaires destinées à faire face à l’augmentation des séjours irréguliers de certains ressortissants étrangers.

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L’IFT lance un nouvel appel à candidatures pour le Fonds Elyssa en arts visuels et musique

L’Institut français de Tunisie (IFT) a lancé un deuxième appel à candidatures destiné aux artistes visuels et aux musiciens confirmés dans le cadre du Fonds d’aide à la création et à l’entrepreneuriat culturel en Tunisie “Elyssa”. Etant une initiative de l’IFT, soutenue par le Fonds Equipe France, ce programme vise à soutenir les artistes tunisiens établis en Tunisie en offrant un accompagnement adapté et structuré et des opportunités de diffusion locale et internationale.

Les deux appels -arts visuels et musiques- s’adressent exclusivement à des artistes et musiciens confirmés résidant en Tunisie. Les candidatures doivent être déposées uniquement via le formulaire en ligne sur le site projetelyssa.com avant le 25 mars 2025, 23h59 (heure de Tunis). L’annonce des résultats est prévue mi-avril 2025.

L’appel “Arts visuels” est destiné aux artistes travaillant dans le domaine des arts visuels, tous médiums confondus : photographie, art vidéo, peinture, dessin, gravure, sculpture, design, art numérique, illustration, art sonore, installation.

L’appel “Musiques” est ouvert aux artistes solos et aux groupes de tout horizon musical : musiques actuelles, traditionnelles, classiques et contemporaines et expérimentations sonores.

Les candidats retenus en arts visuels seront pour une vingtaine de jours en résidence de recherche et de création à Tilal Utique. Les lauréats en musique seront pour cinq jours en résidence au Centre Culturel International de Hammamet (CCIH) pour la préparation scénique et la diffusion live des projets.

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Indians Wells (Masters 1000) : Ons Jabeur et Jule Niemeier affrontent Melichar et Babos en double

La Tunisienne Ons Jabeur (32e) disputera jeudi son premier match en double dames du Masters 1000 d’Indian Wells (sur dur), aux Etats Unis, en compagnie de l’Allemande Jule Niemeier (120e), en affrontant la paire composée de Nicole Melichar (USA) et Timea Babos (Hongrie) pour le compte des seizièmes de finale.

Jabeur est également engagée au tableau du simple où elle est exemptée du premier tour et affrontera au second tour, vendredi, la gagnante du match opposant, demain, l’Ukrainienne Dayana Yastremska (46e) et la Chinoise Yue Yuan (64e).

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Les investissements agricoles privés en Tunisie atteignent 444,6 millions de dinars en 2024, selon l’APIA

Durant l’année 2024, les investissements agricoles privés approuvés se sont élevés à 3001 opérations d’investissement, d’une valeur de 444,6 millions de dinars (MD), c’est ce qui ressort d’un bulletin statistique, publié par l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA).

Ces investissements sont répartis en 1709 opérations de création (251,6 MD), 1180 opérations d’extension (1180 MD) et 112 opérations de renouvellement (65 MD).

L’APIA a précisé que les investissements approuvés permettront de créer 3 mille emplois permanents, dont 533 dans le gouvernorat de Kairouan et 315 dans le gouvernorat de Kasserine.

Le secteur agricole arrive en tête avec des investissements approuvés estimés à 261 MD, suivi du secteur des services liés à l’agriculture et à la pêche avec 94,4 MD, puis du secteur de la pêche avec 51,4 MD et du secteur de l’aquaculture avec 26 MD (en hausse de 567% par rapport à l’année 2023).

Les investissements du secteur de la première transformation des produits agricoles et de la pêche maritime s’élèvent à 11,6 MD.

Répartition des investissements par types des promoteurs

En 2024, 19 opérations d’investissement ont été approuvées au profit des sociétés communautaires pour un montant de 5,6 MD, opérant dans le domaine de l’élevage ovin, du transport frigorifique de produits agricoles et du transport frigorifique de produits de la pêche.

Ces projets seront implantés dans les gouvernorats de Nabeul, Tataouine, Médenine, Kairouan, Béja, Sidi Bouzid, Mahdia et Kébili.

Quant aux sociétés mutuelles de services agricoles, 42 opérations d’investissement d’une valeur de 11,6 MD ont été approuvées bénéficiant de subventions d’une valeur de 4,2MD.

En ce qui concerne les groupements de développement agricole, 20 opérations d’investissement d’une valeur de 2,7 MD ont été approuvées, bénéficiant de subventions d’une valeur de 1,3MD.

Pour les investissements à participation étrangère, ils se sont élevés à 8 MD. Ils concernent principalement des opérations d’extension et de renouvellement de projets existants dans l’activité de la culture géothermique.

L’APIA a indiqué que les opérations d’investissement approuvées ont bénéficié, en 2024, de subventions d’une valeur de 129,4 MD, représentant 29,1% de la valeur des investissements approuvés.

En 2024 : 49 crédits fonciers d’une valeur de 8 MD

En 2024, 49 crédits fonciers d’une valeur de 8 MD ont été approuvés, contre 42 crédits d’une valeur de 6,6 MD au cours de 2023. Ces crédits permettront l’intégration de 448 hectares de terres dans le cycle économique, contre 413 hectares au cours de 2023, a fait savoir l’APIA.

S’agissant des investissements déclarés, ils ont atteint, en 2024, 6761 opérations d’investissement pour un montant de 1172,9 MD

Les investissements déclarés dans le secteur des services liés au secteur agricole ont augmenté pour atteindre une valeur de 206,2 MD, après avoir été d’environ 156,2 MD en 2023. Ceci est dû principalement au développement des investissements dans l’activité de préparation des terres et de services de récolte, qui se sont élevés à 132,0 MD, en plus des services de collecte de lait de 9,5 MD et des services de fabrication de paillettes de glace de 2,1 MD.

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Le ministre de l’Environnement dévoile les avancées sur le projet du code de l’Environnement et les agences environnementales

Le ministre de l’Environnement, Habib Abid, a révélé que les propositions concernant les activités des agences et structures relevant de son département ont été remises à la présidence du gouvernement pour examen et que le projet du code de l’Environnement nécessite d’autres consultations avant son approbation.

Abid a ajouté mercredi, en réponse à une question orale posée par la députée Awatef Chéniti,  que le processus d’évaluation des agences environnementales a été mené après que le président de la République, Kais Saied, ait abordé ce dossier.

Il a également évoqué l’importance du rôle que joue l’Office National d’Assainissement, qui représente, a-t-il dit, l’une des structures du ministère de l’Environnement, dans l’extension des réseaux d’assainissement, dans le cadre des plans visant à interconnecter 2% des foyers chaque année.

Cet objectif est atteint dans un contexte difficile pour fournir le financement nécessaire au secteur d’assainissement, dans des zones multiples, outre  l’urbanisation anarchique, selon Abid.

En réponse à la question liée au code de l’environnement, Abid a souligné que le code qui a été élaboré comprend environ 400 chapitres et qu’une journée d’information sera organisée pour aboutir à un ensemble de propositions relatives à l’application de ce code.

Le ministre a précisé dans le même contexte  : « Le code de l’Environnement existe déjà, et nous organiserons une journée d’information pour l’approuver ou trouver d’autres alternatives. »

Dans le contexte de la valorisation des déchets dans le décharge de Borj Chakir, Abid a souligné qu’il y a une tendance vers l’utilisation de ses substances par 4 ou 5 usines de ciment et leur exploitation pour produire de l’énergie et faire fonctionner les usines plutôt que d’importer des produits énergétiques.

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NBA : LeBron James dépasse les 50.000 points, un exploit inédit dans l’histoire du basket

LeBron James (Los Angeles Lakers) est devenu mardi le premier joueur à franchir la barre des 50.000 points en NBA, en additionnant saison régulière et play-offs.

Le quadruple champion NBA a atteint ce cap historique en marquant à domicile face aux Pelicans de La Nouvelle-Orléans, deux ans après être devenu le recordman de points inscrits en NBA devant Kareem Abdul-Jabbar.

Champion olympique pour la 3e fois l’été dernier à Paris, ce géant du basket a attaqué la rencontre de mardi avec 49.999 points au compteur. Après 3 minutes 26 de jeu, il a envoyé un tir à trois points qui a fait mouche, pour passer la barre symbolique des 50.000.

Au sommet de sa 22e saison en NBA, LeBron James continue d’écrire l’histoire, multipliant les records et repoussant toujours plus loin les limites de la longévité.

Avant lui, seuls Kareem Abdul-Jabbar (44.149) et Karl Malone (41.689) avaient dépassé les 40.000 points en carrière, loin devant Kobe Bryant (39.283) et Michael Jordan (38.279).

A 40 ans, James, il continue à être largement au niveau sur les parquets, et vient d’être désigné meilleur joueur de la conférence Ouest en février, la 41e récompense du genre de sa carrière, sa première depuis 5 ans.

LeBron James marque en moyenne 24,8 points cette saison, dont il n’a manqué que quatre rencontres pour l’instant. En février, sa moyenne est montée à 29,3 points.

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Lutte contre les parasites : 5 millions de moustiquaires pour les oasis tunisiennes

Cinq millions de moustiquaires seront disponibles pour protéger les dattes contre les intempéries et les vers au titre de la campagne 2025/2026, a indiqué, mardi, le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh.

Dans sa réponse à une question orale formulée par le député Nizar Seddik, le ministre a indiqué que le contrat signé avec le Groupement Interprofessionnel des Dattes prévoit la réception de ces moustiquaires dont le coût s’élève à 2,1 millions de dinars, à partir de ce mois-ci.

Et d’ajouter que cinq millions d’autres moustiquaires seront également acquises lors de la prochaine campagne, soulignant qu’un appel d’offres international devrait être lancé pour l’achat de soufre en vue de lutter contre les araignées de poussière.

D’autre part, le ministre a souligné l’importance de créer un institut supérieur des études sur les oasis, d’autant qu’un centre régional de recherches en agriculture oasienne existe déjà à Dègueche, précisant que cela doit se faire dans l’optique de lutter contre le changement climatique.

Ben Cheikh a rappelé que son département appuie le secteur des dattes à travers un fonds de promotion de la qualité des dattes, lequel a pour objectif de lutter contre la hausse de coût chez les agriculteurs et de protéger la récolte.

Sur un autre volet, le ministre a affirmé que le département de l’agriculture a mis en place un programme visant à aider les pêcheurs de Kalâat el-Andalous (Gouvernorat de l’Ariana) à lutter contre le crabe bleu envahissant, à soutenir la pêche artisanale et à préserver les ressources halieutiques.

Il a mis l’accent sur l’importance de renforcer la compétitivité du secteur de la pêche, rappelant qu’une série de mesures a été mise en place pour soutenir les pêcheurs pratiquant la pêche artisanale moyennant une prime s’élevant à 55% du coût d’investissement et la réduction des prix des hydrocarbures.

Sur un autre plan, il a fait savoir que le projet de modernisation du périmètre irrigué de Sidi Thabet a atteint un taux de réalisation de 80%, précisant que les travaux concernant la zone supérieure s’étalant sur 950 hectares ont été achevés, alors que ceux relatifs à la zone basse (3200 hectares) rencontrent des difficultés liées à l’installation des conduites d’eau. Ces difficultés viennent d’être résolues.

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“Hethi Hkeyti” : Une initiative pour briser le silence sur la santé mentale en Tunisie

Les troubles anxieux, la dépression et les troubles liés à la consommation de substances psychoactives sont les troubles psychologiques les plus répandus en Tunisie, a confié ce mardi la présidente de l’Association tunisienne pour la promotion et la prévention en santé mentale chez les jeunes, Leila Sarra Chaïbi, à l’agence Tunis-Afrique-Presse (TAP).

Chaïbi a souligné que la douleur psychologique est aussi sérieuse que la douleur physique et ne doit pas être sous-estimée. Elle a insisté sur l’importance d’orienter les personnes souffrant de troubles psychologiques vers un traitement approprié, sans préjugés ni minimisation de la gravité des maladies mentales.

L’association, selon elle, mène des campagnes de sensibilisation sur les réseaux sociaux et en dialecte tunisien afin d’atteindre un large public, en raison d’une absence quasi totale d’informations sur la santé mentale dans les établissements éducatifs et les médias.

L’objectif principal de l’association, a-t-elle ajouté, est de sensibiliser les Tunisiens à l’importance du traitement des maladies mentales, de briser les tabous liés à la santé mentale et d’orienter les personnes vers les services spécialisés.

Des journées portes ouvertes sont organisées dans les universités et établissements éducatifs pour informer les élèves et étudiants sur les centres de traitement gratuits et l’importance de la santé mentale.

L’initiative “Hethi Hkeyti” (C’est mon histoire) sur les réseaux sociaux permet à plusieurs personnes de partager leurs expériences avec les troubles psychologiques et la stigmatisation. Cette initiative vise à soutenir ceux qui ont honte d’exprimer leurs problèmes psychologiques ou de demander de l’aide.

L’association s’attaque aux idées préconçues et aux perceptions erronées entourant la santé mentale en Tunisie. À travers des vidéos et du contenu éducatif, elle corrige les malentendus et promeut une meilleure compréhension de ces enjeux.

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