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Vers l’octroi du statut d’auto-entrepreneur aux secteurs du numérique et du journalisme

Le comité de pilotage du projet du système de l’auto-entrepreneur a décidé d’accélérer la mise en œuvre des mesures prévues dans la loi de finances 2025. Réuni ce vendredi 28 février, sous la présidence du ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, le comité a cité notamment l’octroi du statut d’auto-entrepreneur aux secteurs numérique et créatif, ainsi qu’aux métiers du journalisme.

Les membres du comité ont également convenu d’élaborer des propositions basées sur les résultats des évaluations périodiques. L’objectif est d’améliorer les aspects procéduraux, organisationnels et législatifs. Trois sessions de travail techniques seront organisées la semaine prochaine avec les ministères des Technologies de la communication, la Caisse nationale de retraite et de prévoyance sociale (CNRPS), ainsi que le bureau chargé du développement de la plateforme d’enregistrement des auto-entrepreneurs.

Le ministre a mis l’accent sur la portée de ce projet national, qui, a-t-il dit, est le fruit d’une approche participative avec tous les ministères et structures concernés.

Il s’agit, selon lui, de libérer l’initiative individuelle, de briser les entraves rencontrées par les jeunes entrepreneurs, de favoriser leur intégration socio-économique et de leur offrir des incitations liées à la protection sociale, à la formation et à l’accompagnement.

Par ailleurs, le comité a examiné les difficultés techniques rencontrées par certains candidats lors de l’inscription sur la plateforme. Il a assuré que ce mécanisme est en cours d’amélioration pour mieux répondre aux besoins spécifiques des auto-entrepreneurs.

Avec TAP

 

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Modernisation de la fonction publique : une plateforme numérique pour la gestion des formations

La plateforme numérique nationale pour la gestion du système de formation dans la fonction publique a été mise en place pour numériser les programmes de formation et les stages à l’étranger. Elle permet d’assurer le suivi des activités de formation et dispose d’une base de données exhaustive comprenant divers indicateurs et statistiques.

Lors d’une présentation ce vendredi 28 février, au palais de la Kasbah, la Directrice générale de la formation et du perfectionnement, Lobna Zoghlami, a détaillé les fonctionnalités de la plateforme et son mode d’utilisation, en présence d’Alexander Simon, coordinateur du projet à l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

La plateforme, précise et transparente, permet de créer des tableaux de bord accessibles aux responsables de la formation dans les structures publiques. Elle leur offre une vision claire pour orienter les politiques publiques dans ce domaine, a-t-elle expliqué.

Cet outil, a-t-elle ajouté, facilite l’accès aux informations en temps réel concernant les offres de formation, tant nationales qu’internationales, garantissant ainsi l’égalité des chances pour tous les agents publics.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet d' »Appui à la modernisation du système de formation et d’évaluation dans la fonction publique », piloté par la Directrice générale de la formation et du perfectionnement, en partenariat avec l’agence GIZ.

Avec TAP

 

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Appel au renforcement de la coopération interarabe dans l’innovation numérique 

Le ministre des Technologies de la communication, Sofien Hemissi, a réitéré, à Amman en Jordanie, l’engagement de la Tunisie à réaliser la transition numérique et à renforcer la coopération arabe en la matière.

Sofien Hemissi s’exprimait lors d’une table ronde réunissant les ministres arabes chargés des Technologies de la communication. Elle se déroulait dans le cadre de la 2ème édition du Forum international arabe sur la coopération numérique et le développement.

D’après un communiqué, publié jeudi 27 février par l’ambassade de Tunisie à Amman, M. Hemissi a passé en revue, à cette occasion, les différents volets de la stratégie « Tunisie numérique ». Laquelle vise à assurer la relance économique et le développement durable; sans oublier le lancement de la stratégie nationale d’intelligence artificielle.

Il a également appelé à multiplier les projets communs entre les pays arabes. De même qu’ à mettre en place des réseaux de financement des projets de recherche et d’innovation. Tout en renforçant la coopération dans le domaine des start-up.

Toujours selon le document, lors d’une table ronde ministérielle sur l’accélération de la réalisation des objectifs de l’Agenda numérique arabe, M. Hemissi a fait part de l’engagement de la Tunisie à atteindre les objectifs de cet agenda. Ainsi, il estime que la coopération arabe dans le domaine de la technologie et de la transition numérique constitue une nécessité stratégique.

A souligner que la 2ème édition du Forum international arabe sur la coopération numérique et le développement s’est tenue dans la capitale jordanienne du 23 au 26 février 2025. Et ce, à l’initiative de la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO), en collaboration avec la Ligue des Etats arabes.

Avec TAP

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Start-ups et IA : la Tunisie appelle à renforcer la coopération numérique arabe

Le ministre des Technologies de communication, Sofiène Hemissi, a réitéré à Amman en Jordanie, l’engagement de la Tunisie à réaliser la transition numérique et à renforcer la coopération numérique arabe, et ce, lors d’une table ronde réunissant les ministres arabes chargés des technologies de la communication et tenue dans le cadre de la 2ème édition du Forum international arabe sur la coopération numérique et le développement.

D’après un communiqué publié jeudi, par l’ambassade de Tunisie à Amman, le ministre a passé en revue, à cette occasion, les différents volets de la stratégie « Tunisie numérique », laquelle vise à assurer la relance économique et le développement durable du pays, outre le lancement de la stratégie nationale d’intelligence artificielle.

Il a également, appelé à multiplier les projets communs entre les pays arabes, à mettre en place des réseaux de financement des projets de recherche et d’innovation et à renforcer la coopération dans le domaine des start-ups.

Intervenant, également, lors d’une table ronde ministérielle sur l’accélération de la réalisation des objectifs de l’Agenda numérique arabe, Hemissi a fait part de l’engagement de la Tunisie à atteindre les objectifs de cet Agenda, estimant que la coopération arabe dans le domaine de la technologie et de la transition numérique constitue une nécessité stratégique.

La 2ème édition du  Forum international arabe sur la coopération numérique et le développement s’est tenue dans la capitale jordanienne du 23 au 26 février 2025, à l’initiative de la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l’Asie occidentale (CESAO), en collaboration avec la Ligue des Etats arabes.

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Iheb Beji: le patrimoine numérique joue un rôle clé dans la gestion des entreprises

Iheb Beji, fondateur de Medianet, a souligné, en marge de sa participation à la première édition du salon « Business IT Solutions Expo », organisée par Express FM, à la Cité de la Culture, l’importance de la transformation numérique et de l’utilisation des technologies modernes pour le développement des entreprises. Il a indiqué que le […]

Ooredoo et l’avenir de la 5G en Tunisie

Ooredoo Tunisie réaffirme son leadership dans la connectivité et l’innovation numérique en organisant un événement exceptionnel pour vivre une expérience unique de la 5G, rassemblant des décideurs clés, des leaders dans divers secteurs économiques, pour explorer l’impact transformateur de la technologie 5G.

L’événement, qui s’est tenu le 19 février 2025 à Tunis, a accueilli le ministre des Technologies de la Communication, Sofien Hemissi, le Ceo Régional Ooredoo Nord-Afrique et l’Asie de l’Est, Ahmed Al-Naema, l’ambassadeur du Qatar Zayed bin Saeed Al-Khayarin, le vice-président et des membres de l’Assemblée des Représentants, plusieurs ambassadeurs, ainsi que des dirigeants de divers secteurs économiques qui, par leur présence, ont souligné le rôle stratégique de la 5G pour stimuler la croissance économique, permettre les industries intelligentes et accélérer la transformation numérique de la Tunisie.

Dans son discours, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO Ooredoo Tunisie, a mis en avant l’engagement de l’entreprise pendant des années en matière d’innovation, d’investissement dans les infrastructures et de services numériques de nouvelle génération, qui ont conduit au lancement réussi de la 5G. Il a déclaré : «Avec la 5G désormais disponible dans les 24 gouvernorats, nous entrons dans une nouvelle ère de possibilités numériques. Cette technologie ne concerne pas seulement la vitesse, elle révolutionne les industries, améliore la connectivité des entreprises et permet le développement de solutions de pointe. Ooredoo s’engage à façonner l’avenir numérique de la Tunisie, en veillant à ce que nos clients bénéficient d’une connectivité et d’une innovation de classe mondiale.»

M. Hemissi a salué le rôle de la collaboration public-privé dans l’avancement du paysage numérique de la Tunisie, affirmant : «Le déploiement réussi de la 5G à travers la Tunisie est une étape importante pour notre économie numérique. Nous félicitons Ooredoo Tunisie pour son engagement à étendre la connectivité et à favoriser l’innovation. La 5G servira de catalyseur pour la croissance dans des secteurs clés tels que la santé, l’éducation et l’industrie, positionnant ainsi la Tunisie comme un leader de la transformation numérique.»

Dans le cadre de sa vision de bâtir un écosystème numérique de pointe, Ooredoo a mis en place des partenariats stratégiques avec des leaders mondiaux de la technologie.

L’entreprise collabore, désormais, avec NVIDIA pour établir un centre régional pour l’IA, soutenant l’innovation dans divers secteurs et permettant la prochaine vague de services numériques.

De plus, Ooredoo Groupe a noué un partenariat avec Iron Mountain, un leader mondial du stockage de données et de la sécurité, afin d’améliorer les solutions cloud et l’infrastructure de données, garantissant ainsi aux entreprises l’accès à des services numériques sécurisés, évolutifs et performants.

L’événement a présenté des démonstrations en direct des applications 5G, mettant en lumière son impact sur les industries intelligentes, l’IoT, les services cloud et les solutions de connectivité avancée.

Les participants ont pu découvrir de première main comment l’infrastructure robuste d’Ooredoo Tunisie et son leadership technologique ouvrent la voie à un avenir plus connecté et innovant.

Parmi les applications présentées figurait Samsung, qui a montré ses objets connectés, illustrant comment la 5G améliore la performance de ses appareils pour la maison intelligente, ses wearables et ses smartphones, repoussant ainsi les limites de la connectivité personnelle. La voiture connectée BMW a également été présentée, démontrant la puissance de l’innovation automobile activée par la 5G.

Avec la 5G ouvrant de nouvelles opportunités dans les solutions B2B, les applications alimentées par l’IA et les services cloud de nouvelle génération, Ooredoo Tunisie continue de repousser les limites de l’innovation, façonnant ainsi l’avenir de la connectivité dans le pays.

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Comment une startup kényane lutte contre la fraude numérique

La startup kenyane Dojah offre une infrastructure anti-fraude permettant aux entreprises de détecter les fraudes, de surveiller les transactions et d’assurer leur conformité aux normes AML (anti-blanchiment d’argent).

Fondée en janvier 2021 par Tobi Ololade et Ayomide Oso, anciens de Y Combinator, Dojah se spécialise dans les solutions de vérification d’identité tout-en-un, facilitant les interactions des entreprises africaines avec des utilisateurs authentiques et leur accès à davantage de services.

Les outils de Dojah couvrent l’ensemble du parcours client, de l’acquisition à la fidélisation, en passant par la surveillance des fraudes et l’amélioration des niveaux d’accès, tout en offrant une plateforme unique pour gérer l’ensemble de ces processus.

Dojah aide les entreprises numériques et financières à garantir leur sécurité, à croître de manière fluide et à respecter les régulations AML, en simplifiant l’intégration des utilisateurs et en automatisant les vérifications nécessaires pour prévenir les fraudes et les vols d’identité.

Face à une montée des fraudes et à des systèmes de vérification d’identité peu efficaces en Afrique, Dojah se distingue par son approche intégrée qui offre à la fois la prévention des fraudes et la vérification d’identité. Parmi ses concurrents figurent Smile ID, Prembly et Sift, mais Dojah se démarque par son expertise locale et l’utilisation de l’IA pour la détection des fraudes.

Jusqu’à présent, la startup a levé 1,25 million de dollars et vérifié 50 millions d’identités, tout en élargissant ses capacités de détection de fraudes.

Dojah opère actuellement au Nigeria, Ghana, Kenya et Afrique du Sud, et prévoit d’étendre ses services à d’autres pays africains tout en développant sa base d’utilisateurs grâce à une adoption croissante de ses solutions de surveillance en temps réel et de conformité AML.

Le modèle économique de Dojah repose sur un SaaS B2B, avec des solutions tarifées par API et des plans d’abonnement. L’entreprise connaît une adoption forte et continue de croître, en mettant l’accent sur la scalabilité et l’expansion de son marché.

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Cnam: comment recevoir la carte “Labes”?

La carte “Labes” est une nouvelle carte électronique lancée par la Cnam en 2021, visant à remplacer définitivement la carte papier utilisée par les affiliés. Elle permettra un accès simplifié aux services de santé via un lecteur automatique et offrira aux assurés la possibilité de vérifier leur plafond de remboursement directement sur une plateforme numérique. La sécurité des données personnelles des utilisateurs sera garantie, et la carte contribuera à mieux maîtriser les dépenses de santé des citoyens. Cette carte sera délivrée directement aux foyers des contribuables. Si vous n’étiez pas chez vous en ce moment-là, le postier laissera la carte dans le bureau de poste de proximité. Pour identifier ce bureau de poste, il faut composer *1017* N° de la carte d’identité nationale #. Lorsque elle sera valide, l’affilié en sera informé.

Actuellement, environ 1,5 à 1,7 million d’affiliés n’ont pas encore reçu leur carte, mais des efforts sont déployés pour accélérer sa distribution. Des formations seront organisées dans les hôpitaux publics pour aider les professionnels de santé à adopter cette nouvelle technologie, et une campagne d’information sera lancée pour encourager les affiliés à retirer leur carte. Toutes les structures hospitalières publiques seront désormais équipées de la plateforme numérique permettant l’utilisation de la carte “Labes”.

La carte “Labes” sera valable pendant 15 ans, avec un renouvellement automatique, évitant aux citoyens de devoir procéder à des mises à jour fréquentes comme c’était le cas avec la carte papier. Bien que la fabrication de cette carte soit plus coûteuse, la Cnam considère que la transition vers la digitalisation est nécessaire, et que les économies réalisées sur le long terme compenseront cet investissement initial. Un partenariat a été signé avec La Poste tunisienne pour assurer la distribution des cartes, et environ 2 millions de cartes ont déjà été délivrées.

 

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