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Le monde se mute, la Tunisie doit s’y adapter !

La preuve ? le dernier communiqué de notre MAE, à propos de la déclaration du Haut-commissaire pour les droits de l’Hommede l’ONU. Sans traiter le fond du communiqué qui reste à discuter, le fait même de répondre à cette déclaration alors qu’il aurait suffi d’un article de presse ou au pire un communiqué de notre mission diplomatique à Genève, dont c’est le rôle, montre que nos diplomates ne suivent pas comme il faut l’évolution de la situation dans le monde et aussi au sein de l’ONU même.

L’ONU de Yalta est finie !  En effet, le jour même un cataclysme dans les relations internationales se déroule au sein même de l’Assemblée générale de ce « machin » comme l’appelait le Général De Gaulle.

Trois résolutions sur l’Ukraine ont été votées pour arrêter la guerre dans ce pays meurtri et anéanti. A aucun moment il n’est question de l’unité territoriale de ce pays ! Pire le pays dévasté et dont le territoire est occupé en partie est considéré officiellement comme responsable et de la guerre et de sa propre destruction. Car les USA ont fait un revirement spectaculaire de 180 degrés et sont devenus les nouveaux alliés de la Russie et pas seulement sur la question ukrainienne mais pour le nouveau partage du Monde, une sorte de nouveaux accords de Yalta, ce qu’on peut désormais les futurs accords de Riadh, qui auront lieu bientôt.

Un nouveau Yalta

Rappelons que les accords de Yalta qui ont eu lieu, en février 1945, il y a presque 80 ans donc, ont vu la rencontre de Joseph Staline, pour l’URSS, de Franklin Eisenhower pour les USA, et Winston Churchill pour le Royaume-Uni, qui se sont partagés le monde et ont décidé de créer l’ONU, pour éviter une Troisième Guerre qui aurait été nucléaire cette fois-ci.

Ces accords ont déterminé l’évolution des relations internationales même après la chute de l’URSS, jusqu’à ce vote historique où l’Amérique s’est alliée au camp russe contre le camp européen. Ce vote des USA n’est pas tactique, car il est stratégique. L’on ne sait pas encore pour quel camp la Tunisie a voté et si elle s’est ralliée au camp européen dont la motion pointait la responsabilité russe dans la guerre, ou elle s’est abstenue, faute de rejoindre le nouvel axe Washington-Moscou ?

Alors continuer à donner une importance exagérée à ce que dit le fonctionnaire chargé des droits de l’Homme, c’est tout simplement faire le jeu de ceux par qui les critiques sont arrivés.

 

Alors continuer à donner une importance exagérée à ce que dit le fonctionnaire chargé des droits de l’Homme, c’est tout simplement faire le jeu de ceux par qui les critiques sont arrivés.

 

Rappelons que cet haut-commissariat est composé des pays membres de l’ONU et est domicilié à Genève où nous avons une mission permanente dont le rôle justement est d’œuvrer pour que les résolutions concernant notre pays soient mesurées, et équilibrées, en négociant avec les Etats membres qui en général et en majorité, vivent une situation des droits de l’homme pire que la nôtre.

A l’époque de Ben Ali, la Tunisie avait toujours réussi à modérer les velléités d’ingérence dans nos affaires intérieures, parce que nos diplomates en poste de cette mission faisaient le job. Le résultat dépend uniquement de notre capacité à agir. L’objectif étant de ne jamais laisser condamner notre pays, quelque soit par ailleurs les dépassements commis par le gouvernement en matière de droits de l’homme. C’est le rôle de toute diplomatie de tous les Etats du monde. Ceux qui se réjouissent de la condamnation de l’Etat tunisien manquent de patriotisme. Notre linge sale doit être traité par les seuls tunisiens.

Cette position ne signifie nullement un cautionnement de la politique judiciaire actuelle de notre pays, et les interventions extérieures ne peuvent que faire empirer la situation y compris celles de l’ONU dont on assiste à sa fin et surtout à ce qui est appelé le droit international.

 

Lire aussi : Kaïs Saïed prône une diplomatie tunisienne proactive

 

Axe Washington-Moscou et nous ?

La Tunisie, tout en choisissant le camp occidental appelé pompeusement « le monde libre », depuis l’Indépendance a toujours maintenu des relations diplomatiques et économiques assez bonnes avec l’ex-URSS et la Chine, ayant surtout appartenu aux pays non-alignés.

Elle a toujours maintenu ce cap, aussi bien dans sa politique étrangère que dans son modèle de société. Mais elle a basculé brutalement dans le camp occidental sans retenue depuis 2011 jusqu’à devenir un allié stratégique des USA mais non membre de l’OTAN, particulièrement sous le règne B.C.E-Ennahdha.

Cependant, depuis 2021 et juste après le changement opéré, elle s’est rapprochée de la Russie mais surtout de la Chine, qui a proposé carrément un partenariat stratégique pendant que la Russie volait à notre secours en nous fournissant du blé à un prix considéré comme correct. Ce rapprochement opéré par le président de la République, Kaïs Saïed, s’avère à notre avis salutaire actuellement d’autant plus que nos relations d’Etat à Etat avec les pays occidentaux restent stables et très bonnes. Ces relations ne sont pas à confondre avec les relations de nos différents gouvernements avec les gouvernements occidentaux, qui dépendent surtout de la couleur politique de ces mêmes gouvernements.

 

Nos bonnes relations avec l’Arabie saoudite et l’Egypte qui gouvernent désormais le monde avec une entente jamais atteinte est un avantage qu’il faut saisir en activant notre diplomatie avec plus d’audace sur le terrain.

 

Nos bonnes relations avec les deux Etats qui gouvernent désormais le monde avec une entente jamais atteinte est un avantage qu’il faut saisir en activant notre diplomatie avec plus d’audace sur le terrain. Ceci nous permettra de restaurer notre image sur le plan international et sur le plan arabe.

D’autre part, la situation plus que complexe au Moyen-Orient, après le génocide commis par l’Etat sioniste, et le retour de l’Arabie saoudite ainsi que de l’Egypte constituent des opportunités, sachant que nos relations avec ces deux pays sont très bonnes, d’autant plus qu’on partage avec eux la lutte contre l’Islam Politique. Bien sûr, il faut envisager une meilleure approche de la question palestinienne et surtout de la question des deux Etats conformément aux constantes de la politique étrangère tunisienne basées sur la légalité internationale.

De toute façon, l’Egypte et l’Arabie saoudite sont les deux pays qui vont jouer un rôle majeur à Gaza d’abord pour contrer la proposition de Donald Trump, qui finira par accepter le plan proposé par l’Egypte d’ailleurs et qui sera adopté par le prochain sommet arabe qui se tiendra le 4 mars au Caire.

La Tunisie ne doit pas manquer cette occasion pour se positionner à nouveau. Elle doit être représenté au plus haut niveau possible. N’oublions pas que ce sommet va avoir lieu avant le sommet Trump-Poutine précisément à Riyadh. Là où l’avenir du monde va se décider.

 

Lire également: Le Caire accueille un sommet arabe sur la Palestine le 27 février

 

Un débat qui fait défaut

Jamais dans notre pays le débat sur les questions essentielles de la politique étrangère n’a fait autant défaut. Et surtout que l’on ne nous dit pas à cause de l’absence de la liberté d’expression. Car aucun journaliste, chroniqueur ou analyste n’a été sanctionné à cause des questions qui touchent aux relations internationales. Et ceci avant même 2011 !

Le manque de débat réside dans la domination des idéologies, dans les prises de positions des élites, marxistes, nationalistes arabes, destouriennes et islamistes. L’évolution accélérée des rapports des forces mondiaux et l’apparition du nouvel axe Washington-Moscou doit nous interpeler plus que jamais, car il y va de notre intérêt national d’abord, mais surtout de l’impact que va avoir cette évolution sur note situation politique, économique et sociale intérieures.

La guerre de l’Ukraine a eu un effet dévastateur par exemple sur notre économie en raison de la montée vertigineuse des prix de l’énergie et des matières premières. Le développement de notre relation avec la Russie a permis d’atténuer les effets de la hausse des prix, d’autant plus que nous vivions une crise financière jamais atteinte, au moment où on a coupé les relations avec le FMI.

 

L’Italie de Melonie, avec l’arrivée de Trump et la montée des extrêmes droites en Allemagne et partout en Europe, va essayer d’occuper la place de la France de Macron tout en n’étant pas une puissance nucléaire.

 

Idem de notre relation avec notre voisin du Nord, l’Italie qui, pour des raisons politiques internes, s’est retournée vers notre pays pour résoudre le problème de l’immigration clandestine subsaharienne. Nous ne savons pas si les résultats économiques de ce rapprochement ont été très bénéfiques, mais il est clair que l’Italie est devenue notre plus sûr allié au sein de l’Union européenne, et a ainsi ravi la place de la France, notre allié historique et notre ancien colonisateur aussi.

L’Italie de Melonie, avec l’arrivée de Trump et la montée des extrêmes droites en Allemagne et partout en Europe, va essayer d’occuper la place de la France de Macron tout en n’étant pas une puissance nucléaire.

Quant à la France, elle subit des échecs de partout, d’abord en Afrique où elle a été obligée de se retirer de tout le continent africain, ensuite au Moyen-Orient à cause de son soutien inconditionnel au génocide anti-palestinien commis par l’Etat sioniste, mais surtout en Ukraine où elle a joué le soutien total au malheureux Zelensky et la confrontation avec la Russie.

Ses déboires avec l’Algérie ne font qu’accentuer son isolement alors que ses relations avec le Maroc se renforcent momentanément et que celles avec la Tunisie sont au statu quo. La Tunisie gagne à exploiter cette situation à son profit.

Il est clair qu’un débat national est plus que jamais nécessaire et plus qu’impératif sur notre future politique étrangère. Les diplomates ont toujours été les exécutants d’une politique étrangère d’un pays mais jamais les concepteurs.

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Afrique du Sud : Sommet mondial « Finance en commun » … mais sans les USA

La 5e édition du sommet « Finance en commun », qui se tient durant trois jours, rassemble les différentes banques de développement du monde entier en Afrique du Sud. « Ces banques prêtent à des Etats pour mettre en place des projets de santé, d’éducation ou encore de lutte contre le changement climatique ».

« La croissance inclusive, du développement durable et du changement climatique », c’est le thème du sommet.

Selon nos confrères de RFI, plus de 500 banques publiques de développement d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique sont représentées à ce conclave co-organisé par la Banque de développement d’Afrique australe, l’Agence française de développement (AFD) et la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures.

Pour vous faire une idée : «… ensemble, ces banques pèsent plus de 2 000 milliards d’investissements annuels à travers le monde », selon Valentin Hugues, le correspondant de la radio française au Cap.

« Ce sommet, c’est donc l’occasion pour ces banques d’échanger et de renforcer leurs partenariats avec un mot d’ordre : la durabilité ».

Dans ce cadre, elles vont axer leurs discussions sur trois questions principales : Comment atteindre la croissance inclusive ? Lutter contre le changement climatique ? Mieux investir dans les infrastructures ?

Cité par la radio française, le directeur général de la Banque de développement de l’Afrique du Sud, Boitumelo Mosako, a assuré que « le sommet doit répondre aux défis urgents de l’Afrique dans un contexte d’arrêt des aides américaines, et de G20, présidé cette année, pour la première fois, par un pays africain : l’Afrique du Sud ».

D’ailleurs à noter que parallèlement au sommet, les ministres des Finances des pays du G20 – que préside justement l’Afrique du Sud, se rassemblent, eux aussi, au Cap pour une première réunion de travail. Réunion à laquelle les États-Unis brillent par leur absence. A souligner toutefois que le président de la Banque centrale américaine (Fed) est bien présent au sommet « Finance en commun ».

Il faut d’ailleurs rappeler que Donald Trump, depuis son investiture le 20 janvier 2025, a signé une décision gel des aides américaines dont le continent africain était le principal bénéficiaire. Elles s’élevaient à plus de 11 milliards de dollars en 2024, via l’agence de développement américaine “USAID“.

On y reviendra.

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Crise écologique : Aristote ? Vous avez dit Aristote ?

Qui est à l’origine de la crise écologique ? Faites travailler vos méninges. Allez, un petit effort. Tenez, si vous trouvez la réponse avant de lire la suite, vous avez un abonnement gratuit à L’Économiste maghrébin. Non, vous n’y arrivez pas ? Alors un indice : elle est intervenue entre 384 et 322 avant J.-C. Toujours pas ?  

Pas grave, je vais vous aider. C’est Aristote qui serait à l’origine de la crise écologique actuelle. Sans doute, êtes-vous étonné, comme je l’ai été en découvrant cette affirmation d’un scientifique de la trempe de Francis Hallé.

Sous le titre « Aristote est à l’origine de la crise écologique selon le botaniste Francis Hallé : « J’en veux à ceux qui ont valorisé ses idées » », la radio RTBF, où il était l’invité de l’émission “Matin Première“, écrit : « Botaniste et biologiste, Francis Hallé est spécialiste des arbres des forêts tropicales, auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages, comme “La vie des arbres ou La beauté du vivant, ou Le génie de la forêt… ».

« Le génie de la forêt (Albin Michel)… est une bande dessinée de vulgarisation scientifique qui permet, avec beaucoup d’humour, de visualiser de nombreux concepts, écrit RTBF. Elle s’ouvre par une discussion animée entre l’auteur et Aristote ». Pourquoi ? Parce que pour Francis Hallé, « le classement des organismes par Aristote, qui place l’être humain au sommet de tout et les plantes tout en bas, est à l’origine de la crise écologique actuelle ».

En fait, Hallé n’est pas révolté contre Aristote (philosophe et polymathe grec de l’Antiquité, né en 384 et mort en 322 avant J.-C.), mais particulièrement contre les hommes de l’Église. Il déclare : « Je n’en veux pas vraiment à Aristote, parce que ça fait 25 siècles en arrière, donc il avait le droit de ne pas savoir un certain nombre de choses. Ceux à qui j’en veux, c’est ceux qui ont valorisé les idées d’Aristote et notamment l’Église, au point que c’est parvenu jusqu’à nous alors qu’on a fait des progrès scientifiques depuis lui. C’est ça qui m’ennuie. Aristote lui-même, moi, je l’aime bien », semble tempérer le botaniste et biologiste.

Cela étant, en l’écoutant, on sent une certaine accusation du botaniste à l’égard du philosophe grec. Il considère qu’il y a encore beaucoup de découvertes à faire sur les arbres, dont il existe environ 70 000 espèces aujourd’hui. « Cela fait peu de temps qu’on les étudie pour eux-mêmes (les arbres, ndlr). Avant, on les exploitait. Et ça, c’est un petit peu la faute du concept d’Aristote. Les plantes étaient censées nous rendre service, c’est tout ».

Vous avez saisi le fond de sa pensée ? Francis Hallé pense que «… notre rapport à la forêt est un rapport d’exploitation, de domestication. D’une certaine façon, on maltraite nos arbres. C’est le cas dans les travaux de reconstruction de Notre-Dame à Paris. Ça m’a scandalisé qu’on ait détruit des quantités de grands chênes pour faire une charpente qui n’est même pas visible par le public. Ça aurait été tellement mieux de prendre des matériaux modernes, beaucoup plus légers et, surtout, qui ne brûlent pas. […] On a utilisé des êtres vivants », accuse-t-il.

Un écolo dans l’âme

Si vous écoutez sa BD, voici ce que vous allez entendre, parlant d’un cas d’incendie de cyprès qui, selon lui, “dégazent et communiquent“ : « À partir de 60 degrés – ce qui n’est pas vraiment très chaud –, ils envoient dans l’atmosphère tout ce qui pourrait brûler en eux, c’est-à-dire les alcools, les terpènes, les toluènes, les hydrocarbures, etc. Tout ça part dans l’atmosphère. Donc, quand le feu arrive sur ce cyprès, c’est comme s’il arrivait sur un sac plein d’eau, ça ne peut pas brûler. Mais le plus intéressant, c’est que toutes ces molécules volatiles, elles descendent le vent et elles atteignent des cyprès qui sont encore très loin du feu. Eh bien, ils dégazent à leur tour ».

Toujours selon le botaniste, « d’autres espèces, équipées de certaines électrodes, sont capables de prédire l’arrivée d’un tremblement de terre, selon des découvertes japonaises. Certaines plantes sont sensibles aux sons, d’autres ont des capacités de mémorisation, d’anticipation ».

Francis Hallé fait également état d’un contraste entre le peu dont les arbres ont besoin et l’énormité de ce qu’ils réalisent ou donnent. « C’est très frappant. Ce n’est pas seulement les arbres, ce sont les plantes. Elles vivent avec des éléments extrêmement communs et qui ne risquent pas de disparaître. La lumière du soleil, du gaz carbonique dans l’atmosphère, ça, on n’en manque pas. Et de l’eau dans le sol. Très astucieux de vivre avec des choses qui sont inépuisables. Ce n’est pas notre cas ».

Autrement dit, un vrai défenseur des arbres, de la nature, en un mot de l’environnement et qui accuse par ricochet le premier homme sur Terre d’avoir provoqué la crise écologique de notre ère.

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Mesut Özil, de la retraite sportive à l’engagement politique!

Enrôlé dans les instances du Parti de la justice et du développement (AKP) du président Erdogan, l’ancien footballeur allemand d’origine turque, Mesut Özil, a fait un pas dans le monde politique. 

Selon le journal L’Equipe, Mesut Özil, champion du monde allemand, est devenu, dimanche 23 février, membre du Conseil décisionnel central de la formation politique d’Erdogan.

« Les liens entre Mesut Özil et Recep Tayyip Erdogan étaient connus. Ils ont pris une tournure politique plus concrète, ce dimanche. L’ex-international allemand (36 ans) a été élu dans les instances du Parti de la justice et du développement (AKP) », écrit le journal. D’ailleurs, avant d’achever sa carrière de football à Istanbul, Özil avait choisi Erdogan comme témoin lors de son mariage en 2019. Et un an plus tôt, « il avait posé avec Erdogan et son équipier Ilkay Gündogan, également d’origine turque, pendant une campagne de réélection du politique ».

Parallèlement, le chef de l’Etat turc « a été réélu pour la neuvième fois à la tête du parti islamo-conservateur au pouvoir depuis 2002 ».

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Global Soft Power Index 2025 : combien pèse la Tunisie en Afrique et dans le monde?

Le cabinet britannique Brand Finance, spécialisé dans l’évaluation des marques, vient de publier son Global Soft Power Index 2025. Parmi les plus influents au monde basé sur leur soft power, la Tunisie garde son influence en Afrique, mais recule au niveau mondial.

Dans le Global Soft Power Index, la Tunisie occupe la 6e place en Afrique et la 79e au niveau mondial, avec un score de 36,3/100, perdant ainsi deux places par rapport à 2024 (77e position).

À l’échelle mondiale, les États-Unis demeurent en tête, avec un score de 79,5, suivis de la Chine (72,8), du Royaume-Uni (72,4), du Japon (71,4) et de l’Allemagne (70,1). À l’inverse, les nations les moins influentes sont Palau (189e), la Micronésie (190e), Tuvalu (191e), Vanuatu (192e) et Kiribati (193e), qui peinent à capter l’attention mondiale.

En Afrique, l’Égypte conserve sa position de leader avec un score de 45,4, ce qui la classe 38e mondialement. L’Afrique du Sud suit avec 44,9 points (41e mondial), puis le Maroc (40,6 points, 50e mondial), le Nigeria et l’Algérie (36,4 points chacun, respectivement 77e et 78e mondiaux).

Pour sa part, avec cette 6e place, la Tunisie devance le Ghana (90e mondial avec 34,8), le Kenya (92e avec 34,4), la Côte d’Ivoire (94e avec 34,1) et la Tanzanie (95e avec 34,0), qui complètent le top 10 africain.

Dans les détails, la Tunisie a enregistré des scores modérés dans plusieurs domaines, dont la Réputation (5,7/10), la Familiarité (4,6/10), la Culture et l’Héritage (3,7/10) et les Personnes et Valeurs (4/10). Toutefois, comme la plupart des pays africains, elle affiche des scores très bas dans certains secteurs, en particulier les Médias et Communication (2,9/10), l’Éducation et la Science (2,7/10) et la Gouvernance (2,7/10).

A noter que, contrairement au hard power fondé sur la force militaire ou économique, « le soft power repose sur des leviers non coercitifs tels que la promotion de la langue, des industries culturelles ou encore des politiques de coopération.

Ce type d’influence se mesure à travers des moyens tels que la diplomatie, la culture et les valeurs, et est évalué pour les 193 pays membres de l’ONU », comme le rappellent nos confrères d’APA.

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Algérie : une usine automobile Hyundai de 400 millions de dollars 

Saud Bahwan, groupe omanais, serait sur le point de lancer un grand projet de construction d’une usine de fabrication de véhicules de la marque sud-coréenne Hyundai en Algérie.

Montant de l’investissement: environ 400 millions de dollars.

Objectif: fournir les marchés algérien et africain avec des voitures à prix compétitif, tout en envisageant l’exportation vers les marchés internationaux, rapporte un site de la place, citant le directeur général de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), Omar Rekache.

Ce dernier a expliqué que « le projet a été officiellement enregistré et fait partie des 743 projets d’investissement enregistrés par l’agence depuis le début de l’année 2025 ». Et il s’inscrit dans le cadre de la coopération algéro-omanaise.

Par ailleurs, Mukhaini Bahwan Salman Saad Suhail, représentant du groupe Saud Bahwan, indique que « les premiers véhicules Hyundai Algérie devraient sortir des chaînes de production d’ici fin 2026, avec une gamme incluant des voitures thermiques et électriques ».

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Algérie – Allocation touristique : bonne nouvelle pour la Tunisie aussi

« La mise en place de la nouvelle allocation touristique de 750 euros pour les adultes et 300 euros pour les mineurs constitue une avancée significative pour les voyageurs algériens, notamment ceux se rendant en Tunisie ».

C’est ce qu’on lit dans un article du site DN Algérie, qui rappelle que « cette mesure, attendue depuis longtemps, s’inscrit dans la volonté des autorités de réduire la dépendance des citoyens au marché parallèle et de renforcer la transparence financière ». Cette clarification est particulièrement attendue par les citoyens qui souhaitent anticiper leurs déplacements à l’étranger.

L’information a été confirmée par Oussama Arbaoui, le président de la Commission des finances et du budget à l’Assemblée populaire nationale (APN).

Au passage il n’a pas manqué de saluer le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzred, selon lequel «… les directives précisant la date de mise en application ainsi que les modalités d’obtention de cette allocation seront publiées après l’Aïd el-Fitr ».

Le député explique que l’une des interrogations concernait « l’éligibilité des voyageurs par voie terrestre, notamment ceux se rendant en Tunisie, une destination privilégiée des Algériens ». Et si l’on en croit notre, «… la subvention ne fera pas de distinction entre les modes de transport. Une décision jugée positive, car elle évite toute forme de discrimination entre les voyageurs, qu’ils prennent l’avion ou passent par les frontières terrestres ».

Ainsi, la nouvelle allocation touristique annuelle de 750 euros pour les adultes et de 300 euros pour les mineurs répond aux attentes des citoyens, qui réclamaient depuis longtemps une augmentation de cette subvention, assure-t-on. « L’ancien montant, jugé insuffisant, obligeait les voyageurs à recourir au marché parallèle pour compléter leur budget de voyage. En parallèle, la subvention pour le pèlerinage a également été revue à la hausse, atteignant désormais 1 000 dollars, afin de mieux couvrir les besoins des pèlerins algériens ».

L’objectif de cette réforme vise à réduire progressivement l’écart entre le marché officiel et le marché noir, en encourageant les citoyens à utiliser les circuits bancaires classiques. « À terme, cette stratégie pourrait conduire à une normalisation des transactions en devises et à une meilleure régulation du marché financier », selon dnalgerie.com.

« Les voyageurs algériens, en particulier ceux qui se rendent en Tunisie, accueillent favorablement cette mesure, qui leur permettra d’alléger le coût de leurs déplacements. Si l’application effective de cette allocation dépend encore des directives officielles attendues après l’Aïd el-Fitr, la décision d’inclure les voyageurs terrestres dans le dispositif constitue une avancée notable », écrit le site.

Autrement dit, l’économie tunisienne en général et le tourisme en particulier vont sans doute pleinement profiter de cette décision algérienne.

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Ils se marièrent dans un avion en plein vol

C’est l’histoire d’un couple franco-islandais qui aurait décidé de se marier dans les airs, à mi-chemin entre l’Islande et la France, rapportent nos confrères de 20minutes.fr.

Vous conviendrez dès lors qu’il s’agit d’un mariage pas commode, pardon pas habituel, avec ses rituels d’invités et autres préparations…. Mais si les deux tourtereaux un avion pour se dire oui, il y a bien une raison à cela, l’entente cordiale… déjà.

En effet, « incapables de choisir entre leurs deux pays pour célébrer leur union, les amoureux ont décidé de se marier exactement… entre les deux ! Leur mariage a donc été célébré à bord d’un avion faisant route entre Keflavik et Paris CDG, rapporte actu Paris. Le vol OG400 de la compagnie Play, unique en son genre, a été filmé et des images diffusées sur les réseaux sociaux ».

Dans l’avion, on voit un prêtre, une sorte de nef d’église, et bien sûr un échange de vœux entre les mariés devant le prêtre et tout le personnel à bord de l’appareil. Ils se promirent de s’aimer et de s’entraider toute la vie! Allaluia.

Cependant, nos confrères de 20minutes.fr rappelleront que ce mariage n’est pas le premier du genre à être célébré dans les airs. « La compagnie africaine Uganda Airlines propose à ce sujet un service dédié pour ces unions insolites. Certains couples n’hésitent en effet pas à louer des avions pour vivre une cérémonie unique ».

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Afrique: Kaïs Saïed appelle à mettre en oeuvre les décisions des sommets et conférences

Le bilan de la participation de la Tunisie aux travaux de la 38e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, les 15 et 16 février à Addis-Abeba, a été au centre de l’audience accordée par le président de la République, Kaïs Saïed, au ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

Cité dans un communiqué de la présidence, publié samedi 22 février 2025, le chef de l’État a réaffirmé que « la Tunisie est fière de son appartenance africaine » et mis l’accent, dans ce sens, sur la nécessité d’appliquer les recommandations issues de ce sommet.

« Les sommets et les conférences internationales ne sont pas une fin en soi, mais doivent être accompagnés de décisions qui doivent être mises en œuvre sans délai », a-t-il soutenu.

Kaïs Saïed a, dans ce contexte, rappelé que l’Afrique et ses peuples qui ont subi tout au long de l’histoire les affres de la guerre, les conflits et le pillage de leurs richesses naturelles, continuent, aujourd’hui, de subir des souffrances, alors que le rêve des pères fondateurs lors de la création de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) était que l’Afrique soit aux Africains.

Le président de la République a, en outre, donné des instructions en vue d’oeuvrer de concert avec plusieurs pays africains dans le domaine économique. La Tunisie entretient de très bonnes relations avec plusieurs pays africains, a-t-il dit, évoquant l’ouverture des universités tunisiennes aux étudiants africains, en particulier depuis le début des années soixante, « ce qui facilite une coopération plus fructueuse avec les pays dont ils sont originaires, ainsi qu’avec de nombreux autres pays ».

Le président Saïed a, aussi, mis en relief la nécessité de diversifier les partenariats, « car il y a d’autres pays avec lesquels nous devons développer nos relations, tels les pays asiatiques et les pays d’Amérique du Sud. L’important est l’indépendance de la décision souveraine et l’intérêt de la Tunisie », a-t-il soutenu.

Dans le contexte des changements rapides que connaît le monde, aujourd’hui, Kaïs Saïed a rappelé que la Tunisie demeure fermement engagé sur ses positions, notamment envers le peuple palestinien dans sa lutte pour récupérer pleinement son droit légitime à établir son État indépendant en Palestine, toute la Palestine, avec Al-Qods pour capitale.

Le chef de l’État a, d’autre part, évoqué le dossier de la restitution des fonds détournés à l’étranger. Ces biens appartiennent au peuple tunisien », a-t-il martelé. Il a recommandé, à ce titre, de multiplier les contacts et les efforts diplomatiques pour mettre en avant ce sujet dans les différentes institutions internationales et régionales, particulièrement devant l’Organisation des Nations Unies.

Et d’ajouter : « les procédures judiciaires engagées depuis 2011, ainsi que de nombreuses autres tentatives de récupération de ces fonds, ont montré leurs limites. Il serait donc plus judicieux de coordonner avec plusieurs autres pays en vue de les récupérer et ce, pour éviter de rester dans une attente sans fin ».

Le chef de l’État a, par ailleurs, recommandé d’intensifier les efforts pour mieux encadrer les Tunisiens établis à l’étranger, de leur fournir les meilleurs services, d’assouplir les formalités et de faciliter leur retour pendant les vacances.

Avec TAP

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Tirage au sort des 8es de finale de la Ligue des champions: que de belles affiches!

Le tirage au sort des phases finales de la Ligue des champions (LDC) UEFA 2024-2025 s’est déroule vendredi 21 février. 

Premier fait saillant, un derby madrilène qui semble prometteur, entre le Real et l’Atlético. L’affiche PSG-Liverpool ne manquera pas d’intérêt. À noter également le choc germanique entre le Bayern et le Bayer.

Pour le reste, et contrairement au tour précédent, il n’y aura pas, peut-être, de surprise, comme vous le constaterez sur le tableau ci-dessous.

Voici le tirage au sort complet des huitièmes de finale de la LDC 2024-2025:

PSG – Liverpool
Borussia Dortmund – Lille
Real Madrid – Atlético de Madrid
Bayern Munich – Bayer Leverkusen
Benfica – FC Barcelone
PSV Eindhoven – Arsenal
Club Bruges – Aston Villa
Feyenoord Rotterdam – Inter Milan.

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Réparations de l’esclavage et de la colonisation : à quelque chose malheur est bon?

Au 38ᵉ sommet de l’Union africaine, qui s’est tenu à Addis-Abeba, les 15 et 16 février 2025, la traite transatlantique des esclaves et la colonisation ont figuré parmi les principaux thèmes abordés par l’organisation panafricaine.

En effet, l’Union africaine (UA) a adopté une résolution en ce sens, présentée par le Ghana et appuyée par l’Algérie. Intitulée “Justice pour les Africains et les personnes d’origine africaine à travers les réparations”, ladite résolution a été retenue comme thème de l’année 2025 pour l’Afrique, selon Le Courrier international, sous le titre « Esclavage, colonisation : l’Afrique demande réparation ».

Pour ce faire, cette résolution prévoit la mise en place d’une « front commun et uni » en faveur de la justice et des réparations, et appelle à :

  • Une reconnaissance internationale des crimes historiques commis contre les Africains et leurs descendants, y compris le colonialisme, l’apartheid et les génocides;
  • Un effort collectif pour remédier aux conséquences de ces injustices, notamment par la justice réparatrice et la réhabilitation historique;
  • Un rôle central pour la Commission de l’Union africaine, chargée de piloter les efforts de documentation et de reconnaissance des impacts du colonialisme et de l’esclavage sur les sociétés africaines.

Pour sa part, Africa Inside estime que « cette initiative marque une avancée majeure dans la construction d’un front africain uni pour porter ces revendications sur la scène internationale ». C’est même la première fois dans son histoire que l’UA place les réparations au premier plan, renchérit le quotidien britannique The Guardian.

Combien et comment payer?

Mais alors, comment calculer ces dommages causés à l’Afrique? Combien Lisbonne, Paris, Rome, Londres, Madrid et Bruxelles et autres doivent aux Africains?

Selon un site web de la place, « de l’époque de l’esclavage en passant par la période de colonisation, c’est un lourd tribut que l’Europe doit à l’Afrique ». Et de citer le Dr. al-Tayeb Abdul Jalil, professeur soudanais de droit international, qui a créé « une véritable carte des réparations pour le passé colonial de l’Afrique ». Par exemple, il estime à 700 milliards de dollars ce que Londres doit au Soudan, « qui a subi d’énormes pertes en raison de la domination coloniale britannique ».

Toujours selon lui, la France devrait 653 milliards de dollars à l’Algérie et 177 milliards à la Tunisie. Pour sa part, la Belgique devrait 1 600 milliards à la République démocratique du Congo (ex-Congo belge)…

Dans ce cadre, soulignent nos confrères du site de la place, le Dr. al-Tayeb Abdul Jalil a élaboré une « carte des réparations détaillée, s’appuyant sur des critères précis : durée de la colonisation, travail forcé, pillage des ressources, dégâts environnementaux et retard de développement ».

Voici un aperçu des montants réclamés, selon les travaux du Dr. Jalil :

  • Maroc : 548 milliards de dollars (France et Espagne).
  • Algérie : 653 milliards (France).
  • Tunisie : 177 milliards (France).
  • Égypte : 1 600 milliards (France).
  • RDC : 1 600 milliards (Belgique).
  • Nigeria : 3 200 milliards (Royaume-Uni).
  • Angola : 504 milliards (Portugal).
  • Mali : 302 milliards (France).
  • Burkina Faso : 320 milliards (France).
  • Guinée : 193 milliards (France).
  • Tchad : 261 milliards (France).

Au total, cela fait 7 753 mille milliards de dollars de dommages à payer pour les anciennes puissances coloniales. Rien pour que ces pays – anciennes colonies -, et si cette revendication va à son terme, à elle seule la France devrait s’acquitter d’une ardoise de 4 054 mille milliards de dollars.

Vous aurez compris que cette carte est loin d’être exhaustive et complète, car plusieurs anciennes colonies n’y sont pas citées: Guinée Bissau et Cap-Vert, Mozambique, Saô Tomé et Príncipe (pour le Portugal); Mauritanie, Togo, Bénin, Gabon, Cameroun, Madagascar, Iles des Comores, Somalie française, Ile Maurice… (pour la France); Afrique du Sud, Namibie, Zimbabwe, Tanzanie, Zambie, Eswatini (pour la Grande-Bretagne et les Pays-Bas), etc.

Autrement dit, si une loi internationale pouvait être instaurée exigeant que les colonisateurs paient les dommages causés par la colonisation et l’esclavage, alors beaucoup de pays africains deviendraient automatiquement et de facto « riches ».

Mais ne soyons pas naïfs, cela n’arrivera jamais. Pour plusieurs raisons, dont notamment le fait que certains Etats du continent (qui se reconnaissent) sont impliqués dans la « vente » d’esclaves envoyés en Amérique. Par conséquent, ces derniers ne peuvent en aucun cas demander réparation, en ce sens qu’ils ont fait partie de l’opération d' »esclavagisme ».

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LDC Barrages retour : où regarder Borussia-Sporting?

Victorieux par un score de 3 buts à zéro lors du match aller au Portugal, Burussia devrait passer aisément en 8èmes contre Sporting Portugal.

Le match a lieu est à suivre sur les antennes de Canal+ Foot, BeIN Sports et sur le lien streaming live Koora à partir de 21H.

 

NB: ChatGPT a pronostiqué une qualification du Burussia.

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LDC Barrages retour : le PSG reçoit Brest

Il existe peu de suspense que les Brestois renversent le PSG en match retour des barrages de la Ligue des Champions de l’UEFA.

La rencontre aura lieu ce mercredi 19 février et sera retransmise par Canal+ Foot, BeIN Sports et sur live koora à partir de 21 heures.

NB: ChatGPT a pronostiqué une qualification du PSG.

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LDC Barrages retour : qui du Real Madrid ou de Manchester City se qualifiera ?

Victorieux sur le score de 3-2 à Manchester, Real Madrid reçoit City de Guardiola, mercredi 19 février à partir de 21 heures. Est-ce pour autant les Merengue sont favoris ? Pas si sûr, tant ils sont souvent faibles à domicile.

La rencontre est à suivre sur BeIN Sports, Canal+ Foot et le lien streaming Live Koora.

NB: ChatGPT a pronostiqué une qualification du Real.

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LDC Barrages retour : PSV Eindhoven-Juventus Turin

Avec un match nul à l’aller, la Juventus se déplace à Eindhoven pour affronter le PSV, ce mercredi 19 février 2025 à partir de 21 heures.

La rencontre est à suivre sur BeIN Sports, Canal+ Foot et le lien streaming Live Koora.

NB: ChatGPT a pronostiqué une qualification du PSV Eindhoven.

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Mustapha Ferjani appelle à faire de l’IA un outil de promotion des services hospitaliers

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, estime importante la numérisation intégrale des services de santé afin de renforcer la gouvernance, promouvoir la gestion hospitalière et garantir l’efficacité des performances au sein des établissements de santé.

M. Ferjani s’exprimait ainsi à la conférence de clôture du projet « DigiHealth Tour Tunisia« , organisée mardi 18 février 2025 à Tunis, en présence d’Alexandre Arrobbio, représentant de la Banque mondiale en Tunisie, rapporte la TAP.

Il a insisté sur le fait que la transformation numérique n’est pas simplement une option, mais un processus dynamique et durable, nécessitant un suivi et un développement continu, ajouté la même source.

IA et diagnostic médical

Abordant le rôle essentiel de l’intelligence artificielle dans l’amélioration du diagnostic médical et la précision des décisions thérapeutiques, M. Ferjani a mis en exergue l’importance de la cybersécurité pour la protection des données de santé et la garantie de la confidentialité des informations personnelles des patients.

Dans cette optique, le ministre de la Santé recommande une généralisation des solutions numériques, leur simplification dans les hôpitaux, ainsi que le renforcement de la formation continue des professionnels de santé afin de favoriser leur intégration dans le système numérique. Tout en préconisant d’explorer les potentialités offertes par l’intelligence artificielle dans l’analyse des données et la prise de décisions thérapeutiques.

A noter que ce projet bénéficie du soutien et du financement de plusieurs partenaires internationaux. A savoir : la Banque mondiale, l’Agence française de développement, l’Union européenne, la coopération allemande, l’UNICEF, l’OMS et le projet « Santé ». Et ce, en partenariat avec l’ambassade des États-Unis d’Amérique, dans le cadre du renforcement de la numérisation et de la gouvernance des établissements de santé.

Organisée par le Centre informatique du ministère de la Santé, la conférence a réuni plus de 500 professionnels de santé provenant des établissements des directions régionales de Tunis, Bizerte et Nabeul, incluant des directeurs régionaux, des responsables d’établissements de santé, ainsi que des cadres médicaux et administratifs.

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L’huile d’olive tunisienne dans toute sa splendeur au GULFOOD DUBAI 2025

Du 17 au 21 février, la Tunisie est présente, avec deux pavillons, au Salon international des produits agroalimentaires « GULFFOOD DUBAI 2025 » au World Trade Center de Dubaï, aux Emirats arabes unis. Avec son huile d’olive à représenter.

A souligner au passage que les deux pavillons tunisiens ont été inaugurés par Samir Abid, ministre du Commerce et du Développement des exportations. Selon le Centre technique de l’emballage et du conditionnement (PACKTEC), douze conditionneurs tunisiens d’huile d’olive y prennent part dans un pavillon dédié à l’huile d’olive conditionnée. Cette action fait partie de la campagne de promotion menée par le ministère de l’Industrie, rapporte La Presse.

De son côté, le CEPEX organise la participation de 31 entreprises tunisiennes dans la section « World Food ».

Par ailleurs, divers événements sont organisés en complément de l’exposition. Ils incluent des séances de dégustation et des spectacles culinaires dirigés par un chef tunisien. Et ce, afin de mettre en avant les particularités et la supériorité de l’huile d’olive tunisienne et d’introduire aux visiteurs la personnalité gastronomique du pays.

La Tunisie veut faire de cette 30ème édition « une opportunité pour les exposants tunisiens d’huile d’olive pour présenter leurs différents produits (conventionnels, biologiques, aromatisés, ou haut de gamme…) et répondre à tous types de demandes des acheteurs potentiels. Mais aussi pour établir des contacts avec des acheteurs potentiels, représentant des marques de renommée internationale; et ainsi renforcer leur présence aux Emirats arabes unis », souligne le PACKTEC.

Lire aussi : 360 000 tonnes d’huile d’olive attendues cette année en Tunisie

« L’objectif, c’est de renforcer les exportations de l’huile d’olive conditionnée tunisienne vers les Émirats arabes unis qui représentent, aujourd’hui, la plateforme incontournable du Moyen-Orient. Avec une population de 9,5 millions d’habitants dont 85 % d’origine étrangère. Stratégiquement situé au cœur des trois continents – Europe, Asie Afrique -, les Emirats arabes unis ont une position dominante dans la région du Golfe qui comprend aujourd’hui plus de 59,5 millions de consommateurs avec un fort pouvoir d’achat », ajoute le PACKTEC.

A souligner que pour la saison 2023/2024, la production nationale a atteint environ 220 000 tonnes. Les exportations, s’élevant à 195 368 tonnes pour une valeur record de 5,2 milliards de dinars, touchent plus de 60 pays.

Par ailleurs, 41 245 tonnes d’huile biologique, d’une valeur de 1,22 milliard de dinars, ont été exportées. Ce qui témoigne de l’intérêt croissant pour les produits naturels et respectueux de l’environnement.

Ce qui fait dire de la Tunisie qu’elle est la première exportatrice mondiale d’huile d’olive biologique. Consolidant ainsi sa compétitivité sur des marchés stratégiques, tels que l’Europe et l’Amérique du Nord.

Lire également : L’huile d’olive biologique tunisienne : leader mondial et moteur de l’agriculture durable

Enfin, pour la saison 2024/2025, la production d’huile d’olive est estimée à environ 340 000 tonnes. Ce qui représente un défi supplémentaire face à l’évolution des marchés mondiaux, conclut le PACKTEC.

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