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Trump face aux défis du Moyen-Orient et à l’influence des lobbies

Le président américain Donald Trump est confronté à des défis majeurs au Moyen-Orient, où ses déclarations récentes sur Gaza ont suscité une vive controverse. Ses plans visent à transformer la bande de Gaza en une zone économique prospère, mais ils impliquent le déplacement potentiel de millions de Palestiniens, ce qui a été largement critiqué.

Elyes Kasri, analyste politique a dressé un état des lieux: « Après avoir désarçonné le premier ministre israélien Netanyahu, ultime manipulateur de la classe politique américaine toutes obédiences confondues, qui s’apprêtait à extorquer des concessions historiques d’un président américain en phase très vulnérable de confirmation de sa nouvelle administration, le nouveau président Trump est confronté aux sables mouvants du Moyen Orient ou le non dit dépasse de loin le dit et l’avoué et ou la duplicité et la schizophrénie politique sont la règle même et peut être surtout chez les (faux)“frères” arabes.

En dépit des commentaires tonitruants du pur style Trump et du flou qui entoure son projet sur le sort de Gaza et l’avenir de ses habitants qui se prête à toute sorte d’interprétations des plus pessimistes à celle des concessions provisoires à l’establishment démocrate et surtout républicain et derrière eux le puissant lobby pro-israélien et le tentaculaire complexe militaro-industriel qui voient d’un mauvais oeil la volonté de désengagement américain du théâtre ukrainien et l’arrêt de la manne de milliards de dollars de matériel de guerre déversée jusqu’à très récemment sur ce conflit au grand bonheur des fabricants d’armes. De son côté, le lobby pro-israélien n’est pas très rassuré par la volonté de la nouvelle administration Trump de se désengager des théâtres de conflit y compris au Moyen Orient pour se consacrer à la renaissance américaine (make America great again) et de rendre publics les dossiers de corruption des précédentes administrations et les dossiers de l’assasinat de l’ancien président JF Kennedy ainsi que la liste de Jeffrey Epstein, suicidé en détention à New York, et que les mauvaises langues aux Etats Unis et en Europe qualifient d’opération menée par le Mossad israélien pour compromette et faire chanter des personnalités éminentes américaines et mondiales dans tous les domaines.
Le passage très serré des membres les plus critiques et les plus redoutés par le lobby pro-israélien et le complexe militaro-industriel de l’administration Trump dont Pete Hegseth, au Pentagone, RF Kennedy Jr à la santé et aux services sociaux et tout particulièrement et au forceps de Tulsi Gabbard à la direction du renseignement américain, chapeautant ainsi les 18 agences américaines de renseignement qui sont devenues au fil du temps des annexes ou des caisses de résonance du Mossad israélien, devraient permettre au Président Trump d’abattre ses véritables cartes en Europe et surtout au Moyen Orient.
Avec l’avancement de la confirmation de son administration et l’épuration des poches de corruption et de gaspillage qui sont en grande partie des points d’appui du lobby pro-israélien et de son alliance avec les milieux affairistes globalistes, le temps nous permettra de voir plus clair dans les intentions du président Trump s’il envisage de passer dans l’histoire comme celui qui aura finalisé l’holocauste palestinien ou celui qui aura mené avec succès la mission, jusqu’alors considérée impossible, de débarrasser la politique étrangère américaine de la tutelle et de l’emprise sioniste et globaliste.
Tout le monde reconnaît que le président Trump est un personnage politique peu orthodoxe.
Jusqu’à quel point parviendra-t-il à bouleverser l’ordre établi.
Seul le temps nous le dira. »

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Taieb Bouaicha appelle à l’action pour sauver l’UGTT de sa crise existentielle

Le porte-parole de l’opposition syndicale, Taieb Bouaicha a appelé tous les travailleurs et les structures syndicales à prendre conscience de la gravité de la crise que traverse l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), qui menace désormais son existence.

A l’issue de la conférence de presse, jeudi 13 février 2025, sur la place Mohamed Ali, Taieb Bouaicha a indiqué que le pouvoir soutient pleinement le bureau exécutif actuel de l’UGTT. Il justifie cela par le fait que le pouvoir a permis au bureau d’organiser un congrès à Sousse pendant la période du Covid-19; ainsi que par ce qu’il considère comme une légalisation judiciaire des modifications apportées à l’article 20.

En outre, il a appelé tous les travailleurs et structures syndicales à s’engager dans la lutte pour sortir l’organisation de sa crise dans les plus brefs délais, avant qu’il ne soit trop tard.

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L’élevage à la croisée des chemins : défis et pistes vers une autosuffisance durable

Le secteur de l’élevage est confronté à plusieurs défis majeurs, notamment la dépendance aux importations. Celle-ci fragilise la sécurité alimentaire, car elle expose le pays aux fluctuations des marchés internationaux et menace sa capacité à garantir une alimentation stable pour sa population.

Un autre élément crucial est la compétitivité limitée du secteur. Les lacunes organisationnelles entravent la compétitivité. Ce qui nécessite une refonte structurelle pour passer d’une gestion traditionnelle à une approche plus dynamique. C’est ce qui ressort de l’événement organisé par l’UTAP ce mercredi 12 février à son siège.

Pour relever ces défis, il est essentiel de repenser la structure organisationnelle du secteur. L’objectif principal était d’optimiser la chaîne de valeur des produits animaux en mettant l’accent sur l’amélioration génétique. Cela inclut notamment la promotion des races tunisiennes pour améliorer leur productivité face aux défis environnementaux actuels.

En outre, pour optimiser les ressources fourragères, il est crucial d’utiliser efficacement les fourrages adaptés au climat tunisien afin de réduire les coûts et renforcer la résilience face au changement climatique. Une gestion sanitaire efficace est également nécessaire pour assurer une production durable dans le secteur.

Le panel intitulé « Optimiser la chaîne de valeur des produits animaux » a pour objectif de stimuler la productivité, améliorer la compétitivité et garantir la durabilité dans le secteur de l’élevage en Tunisie.

Faycel Ben Jeddi, enseignant à l’Institut national agronomique de Tunisie, a souligné l’importance des ressources fourragères locales (autochtones) pour renforcer leur résilience face au changement climatique. Il a insisté sur le fait que parmi plus de 2000 espèces potentiellement consommables par les animaux en Tunisie – dont plus de 600 sont considérées comme stratégiques – certaines méritent d’être valorisées afin d’améliorer leur capacité à résister aux conditions environnementales actuelles. 

De son côté, Moez Ben Zaghdan, président de l’UTAP depuis octobre 2024, a mis en avant l’importance de la rentabilité économique pour assurer la durabilité dans le secteur. Il a souligné que la recherche scientifique joue un rôle crucial dans l’amélioration génétique des races locales tunisiennes et a un impact direct sur leur productivité agricole. 

Moez Ben Zaghdan souhaite que les problèmes concrets rencontrés par les agriculteurs soient traités directement grâce à cette collaboration scientifique tout en soutenant matériellement et logistiquement les chercheurs impliqués.

Cependant, Bechir Mestiri, agriculteur, exprime son inquiétude quant aux difficultés persistantes rencontrées par les agriculteurs malgré ces initiatives prometteuses. 

Il déplore que plusieurs discussions n’aient pas donné d’avancées concrètes ni de retours significatifs sur leurs données collectées auprès des éleveurs locaux ; cela reflète, selon lui, un décalage parmi ceux qui cherchent à innover techniquement ou administrativement mais restent bloqués dans leurs méthodes traditionnelles sans progrès notable observables depuis quelques années maintenant.

La situation préoccupante concernant certains éleveurs professionnels reste cruciale, puisque bien qu’ils soient peu nombreux – environ soixante -, ils représentent un maillon essentiel du système économique local mais sont souvent confrontés eux aussi à divers obstacles administratifs empêchant toute production efficiente par comparaison à ce qui se fait à l’échelle internationale.

Ces difficultés mettent clairement en lumière le besoin urgent non seulement administratif mais aussi opérationnel visant à mieux soutenir nos agriculteurs locaux tout autant qu’à favoriser durablement leur développement économique national.

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Élevage : résilience face au climat

Le secteur de l’élevage en Tunisie est confronté à plusieurs défis significatifs, notamment la dépendance aux importations. Cette dépendance compromet la sécurité alimentaire nationale en rendant le pays vulnérable aux fluctuations du marché international.

L’UTAP a organisé ce mercredi 12 février un panel avec le laboratoire de recherche des ressources génétiques animales pour optimiser la chaîne de valeur des produits animaux. Les objectifs incluent notamment l’amélioration génétique.

Présent lors de cet événement, Faycel Ben Jeddi, professeur d’enseignement supérieur agricole à l’Institut national agronomique de Tunisie, a mis l’accent sur l’importance de la filière de production laitière et de viandes, qui occupe une place stratégique au niveau national.
Il précise dans ce contexte l’importance des ressources fourragères locales ou autochtones pour améliorer la résilience face au changement climatique.

Actuellement, le secteur est vulnérable aux changements climatiques et aux conditions nationales et internationales. Il s’agit de chercher à valoriser les ressources pour obtenir une production durable tant en quantité qu’en qualité.

Il rappelle également que les défis actuels incluent le changement climatique affectant toute la planète mais touche particulièrement la Tunisie en raison de sa situation géographique sensible aux sécheresses et à la dégradation des sols.

Selon lui, pour y faire face, il est crucial d’améliorer la fertilité des sols via un couvert végétal adapté.

Tout en concluant: « Pour atteindre cet objectif, il faut valoriser les ressources autochtones capables de résister aux conditions environnementales actuelles ».

Il convient de noter qu’en Tunisie, parmi plus de 2000 espèces potentiellement consommables par les animaux (plus de 600), certaines sont stratégiques pour être mises en valeur afin de répondre aux besoins du cheptel national tout en renforçant sa résilience face au changement climatique.

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Élevage : vers une autosuffisance durable!

Le secteur de l’élevage en Tunisie fait face à plusieurs défis majeurs, dont la dépendance aux importations. Ce qui fragilise la sécurité alimentaire nationale.

Autre élément important, la compétitivité limitée. Et ce, via les lacunes organisationnelles qui entravent la compétitivité du secteur.

Pour relever ces défis, il est crucial de repenser la structure organisationnelle du secteur en passant d’une gestion traditionnelle à une approche plus dynamique. L’UTAP a organisé ce mercredi 12 février un panel avec le laboratoire de recherche des ressources génétiques animales pour optimiser la chaîne de valeur des produits animaux. Les objectifs incluent notamment l’amélioration génétique. À savoir promouvoir les races tunisiennes pour améliorer leur productivité face aux défis environnementaux. Toutefois, pour l’optimisation fourragère, il est important d’utiliser efficacement les fourrages adaptés au climat tunisien pour réduire les coûts.

Quant à la gestion sanitaire, il est nécessaire de nos jours de proposer des modèles sanitaires efficaces pour assurer une production durable.

Ce panel vise à stimuler la productivité, améliorer la compétitivité et garantir la durabilité dans le secteur de l’élevage en Tunisie. 

Nous y reviendrons.

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L’euro passe pour la première fois sous les 3,300 dinars depuis deux ans

Ce mardi 11 février 2025, l’euro a franchi une étape significative; et ce, en passant sous la barre des 3,300 dinars sur le marché interbancaire.

C’est la première fois, depuis le 6 janvier 2023, que l’euro, la monnaie européenne, atteint ce seuil inférieur à 3,300 dinars.

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Kaïs Saïed appelle à l’unité nationale

Le président de la République Kaïs Saïed, a reçu mardi 11 février 2025 au palais de Carthage, Ibrahim Bouderbala et Imed Derbali, respectivement président de l’ARP et du conseil national des régions.

Lors de cette rencontre, il a souligné l’importance capitale de l’unité nationale et la confiance que la Tunisie accorde à ses citoyens. Il a mis en avant le rôle crucial du dialogue institutionnel et des discussions parlementaires pour démontrer que la Tunisie est un État fondé sur les institutions.

Kaïs Saïed a également insisté sur la nécessité d’une volonté ferme pour relever les défis nationaux avec un profond sens de responsabilité collective. Il a transmis ses salutations aux membres des conseils nationaux, soulignant que lorsqu’il s’agit de l’intérêt national, tous doivent travailler ensemble.

En somme, cette réunion met en lumière la nécessité de renforcer l’unité nationale face aux défis actuels tout en promouvant une gouvernance institutionnelle solide dans le pays.

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Adnan Limam : « La stratégie de la Tunisie n’est pas de garder les frontières de l’Europe »

Le professeur de droit public et de relations internationales, Adnan Limam, a qualifié les accusations publiées par un journal français concernant « l’implication de l’État tunisien dans la traite des êtres humains » de « graves, illogiques et incroyables », envers un pays qui figure parmi les premiers à avoir aboli l’esclavage et criminalisé cette pratique.

Adnan Limam a déclaré que les médias français avaient perdu toute crédibilité. Et la preuve en est, leur soutien aveugle aux sionistes dans leur couverture médiatique du génocide commis par l’armée sioniste dans la bande de Gaza. Il s’exprimait ainsi lors de son intervention sur les ondes de Mosaïque fm, ce mardi 11 février 2025

Il a affirmé que le lobby français contrôle le paysage médiatique, qu’il soit visuel, audio ou écrit, et est clairement et scandaleusement lié à ce lobby qui possède une grande influence en France. Tout en ajoutant : « Par conséquent, il ne faut pas accorder trop d’importance à ces accusations. Elles sont ridicules et ne méritent même pas de réponse. » Il a également souligné que le communiqué du ministère des Affaires étrangères s’inscrit dans le cadre de son rôle de réponse à ces accusations graves.

Concernant la vidéo publiée par le ministre britannique des Affaires étrangères après sa visite en Tunisie au sujet de « la protection des frontières européennes par la Tunisie », Adnan Limam estime qu’il s’agit simplement d’une démonstration médiatique à usage interne. Etant donné que la Grande-Bretagne n’est pas un acteur majeur dans ce dossier.

Il a déclaré : « Avant tout, c’est un droit de la Tunisie de recevoir le soutien de l’Union européenne dans ce domaine. Cependant la stratégie de la Tunisie n’est pas de garder les frontières de l’Europe; mais plutôt de réduire le flux de migrants sur son territoire. »

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L’intelligence artificielle au service de l’éducation : une révolution en marche

Mohamed El Jemni est le directeur de la gestion des technologies de l’information et de la communication à l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO). Il estime désormais essentiel d’adopter une dimension technologique. Et ce, pour développer les méthodes d’enseignement et d’apprentissage.

Dans une déclaration à Mosaïque FM, en marge d’un forum international organisé par l’organisation sur l’intelligence artificielle et ses utilisations dans l’éducation et l’apprentissage, Mohamed El Jemni a déclaré que fournir aux enseignants les compétences de base pour utiliser les applications d’intelligence artificielle vise principalement à développer le système éducatif et à encourager les étudiants à adopter un esprit d’initiative, d’innovation et à s’orienter vers un apprentissage créatif et entrepreneurial.

Il a ajouté que l’avenir de l’éducation numérique a déjà commencé. Tandis que le plus grand défi reste de développer les systèmes arabes pour les rendre plus intelligents et plus inclusifs. D’autant plus que les élèves sont parfois plus expérimentés dans l’utilisation des applications que leurs enseignants.

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L’Or : un refuge sûr face aux crises économiques et géopolitiques

Les banques centrales du monde entier continuent d’accroître leurs réserves d’or, un métal précieux qui offre stabilité et sécurité financière, particulièrement en période de crise. Les États-Unis dominent le classement mondial avec plus de 8 133 tonnes, suivis par l’Allemagne. La Tunisie se situe au rang 83 avec une réserve modeste de 6,8 tonnes. Le prix de l’or a atteint des sommets historiques récemment, reflétant sa valeur refuge face aux incertitudes économiques mondiales.

Selon le Conseil mondial de l’or, les banques centrales dans divers pays possèdent d’importantes quantités qui représentent environ cinq fois l’ensemble de l’or extrait tout au long de l’histoire.

Les États-Unis occupent la tête du classement des pays par leurs réserves avec environ 8 133 tonnes, suivis par l’Allemagne avec une réserve estimée à 3 351 tonnes. C’est ce qu’il ressort des derniers chiffres publiés par le Conseil mondial de l’or dans une liste comprenant 100 pays.
Les banques centrales du monde entier ont ajouté 1 045 tonnes à leurs réserves au cours de la dernière année.

La Tunisie quant à elle se situe au rang 83 du classement mondial (12ème arabe), avec une réserve en or évaluée à environ 6,8 tonne Cs. qui représente 6,1 % des réserves totales en devises étrangères.

Voici le classement des pays arabes selon leurs réserves d’or :

  1. Arabie Saoudite : 323 tonnes;
  2. Liban : 286 tonnes;
  3. Algérie : 173 tonnes;
  4. Irak : 162 (note: cette valeur n’est pas exactement confirmée mais proche);
  5. Libye : 146;
  6. Égypte : 126,9;
  7. Qatar : 110;
  8. Syrie : 25,8;
  9. Koweït : 79;
  10. Jordanie : 71;
  11. Maroc : 22;
  12. Tunisie : 6,8;
  13. Oman : 6,7;
  14. Bahreïn: 4.7.

Par ailleurs, le prix de l’or a augmenté hier lors des transactions immédiates de 1,2 % jusqu’à atteindre $2895,38 par once. Et ce, après avoir atteint son plus haut niveau historique à $2896,35. Cela marque sa septième pointe record cette année-là.
Les contrats américains futurs sur or ont également grimpé de 1,2 %, atteignant $2920,80.

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Zones franches, levier de croissance économique

La Tunisie et l’Europe sont confrontées à un paradoxe qui entrave leur développement économique. La Tunisie souffre d’une bureaucratie excessive, de corruption, et d’un exode des compétences, tandis que l’Europe est aux prises avec une bureaucratie lourde, une décroissance démographique et la montée de l’extrême droite liée à l’immigration.

Pour surmonter ces défis, il est crucial de prendre des mesures rapides pour réduire la migration et rendre la Tunisie plus attrayante pour les investissements. Telle est l’annonce de l’ancien ambassadeur et analyste politique Elyes Kasri.

 »

L’Europe et la Tunisie font face à un paradoxe qui hypothèque leur développement économique et même leur avenir.
La Tunisie est riche en compétences humaines dont la majorité est soit sous exploitée et au chômage ou a été forcée à un exil plus ou moins précaire et se trouve en même temps accablée par une bureaucratie lourde, étouffante avec des manifestations sporadiques d’abus de pouvoir, de favoritisme et même de corruption, bloquant ainsi toute velléité de réforme et de relance. En plus du ralentissement de l’investissement, des indices commencent à révéler un mouvement d’exode des investissements locaux et étrangers.
L’Europe de son côté, souffre du double handicap de sa lourdeur bureaucratique et fiscale en plus d’une décroissance démographique qui perturbe le marché de l’emploi et force au recours à une main d’oeuvre étrangère, accentuant ainsi les griefs et la popularité d’une extrême droite qui fait désormais de l’immigration et du spectre du grand remplacement son cheval de bataille avec un succès pour le moment incontestable.
Pour sortir de ce double paradoxe qui compromet nos relations économiques, politiques et sécuritaires avec l’Europe, notre principal partenaire historique, culturel et économique, et pour éviter que l’exode des compétences ne vide la Tunisie de son principal ressort de développement, il urge d’engager des actions rapides visant à juguler la tentation migratoire et améliorer l’attractivité de la Tunisie en tant que site d’investissement et plateforme de services et de production pour l’Europe.
Dans l’attente des réformes qui prendront leur temps et pour faire face à la crise économique et à la grogne qui monte chez les diplômés au chômage ainsi que le spectre croissant de la faillite des entreprises, réduisant ainsi les recettes fiscales et l’équilibre des caisses de sécurité sociale, il urge de créer des locomotives de développement sous forme de zones de développement économique spéciales avec un statut de zones franches de production et de services gérées par des entités étrangères ou mixtes dans le cadre d’un partenariat public-privé.
Compte tenu de sa position géographique et de la qualité de ses compétences, la Tunisie pourrait cibler avec succès de nombreux secteurs notamment:
-l’informatique, l’intelligence artificielle, les services informatiques et la technologie financière « FINTECH »,
-la médecine, la recherche et la production pharmaceutiques.
-l’industrie automobile avec ses composantes electronique et electrique.
-l’électronique et la mécatronique de pointe.
-les studios de production télévisuelle et cinématographique.
-les salons, séminaires et expositions internationaux.
-l’industrie aéronautique ainsi que la construction et la maintenance navales.
En gardant la souveraineté sur ces zones franches réparties à proximité des ports et aéroports pour faciliter la fluidité et les mouvements, la Tunisie en concéderait la gestion sur une période de 40 à 60 ans à des entités étrangères ou mixtes pour assurer une plus grande marge de manoeuvre et d’adaptation à une conjoncture qui s’annonce fluide et même volatile.
En bénéficiant d’une certaine extraterritorialité, ces zones franches pourraient être soumises à certaines conditions entrant dans le cadre de la souveraineté nationale et se verraient soumises à une imposition fiscale forfaitaire à concurrence de 15% en devises étrangères.
Si la Tunisie réussit à réaliser dans ce cadre et objectif cinq zones franches internationales, chacune pourrait créer 10.000 emplois directs qui en produiraient chacune 50.000 emplois indirects. Au bout du compte, nous parviendrons ainsi à créer pas moins de 300.000 emplois rémunérés en devises étrangères et rapportant des recettes fiscales en devises étrangères, alimentant ainsi les réserves nationales en précieuses devises.
Il suffit de le vouloir pour créer cette dynamique en moins de deux ans. »

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BCT : les billets en circulation en hausse de 7,8 %

Selon les derniers indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT), plusieurs tendances économiques notables ont été observées au 7 février 2025.

Le montant total des billets et monnaies en circulation a atteint environ 23 milliards de dinars. Ce qui représente une augmentation de 7,8 % par rapport à la même période l’année précédente, où il était de 21,3 milliards de dinars.

Ainsi, ce volume a diminué de 13 %, passant de 15,3 milliards à 13,3 milliards de dinars entre février 2024 et février 2025.

Le total des transactions interbancaires a connu une hausse significative. Il s’élève à 3,1 milliards de dinars; contre seulement 2,1 milliards un an plus tôt. Cela représente une augmentation importante d’environ 49,4 %.

Enfin, le TMM s’est stabilisé autour d’un taux moyen annuel situé environ au même niveau qu’en janvier dernier (7,99 %), avec une légère variation par rapport au mois précédent.

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Taux de remplissage des barrages a atteint 34,44 %

Le taux de remplissage des barrages tunisiens a atteint 34,44 % jusqu’au 8 février dernier, avec un stock global estimé à 815 millions de mètres cubes, selon les données publiées par l’Observatoire National de l’Agriculture.

En septembre 2019, le stock d’eau dans les barrages tunisiens était environ deux fois supérieur au stock actuel, avec un taux de remplissage estimé à 65,5 %. Le taux de remplissage n’a pas dépassé 40 % depuis septembre 2020, date à laquelle il avait atteint 43 %. Le stock d’eau a continué à diminuer et a atteint des niveaux préoccupants avant de s’améliorer récemment grâce aux précipitations récentes qui ont contribué à améliorer les revenus des barrages.

 

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Le Caire accueille un sommet arabe sur la Palestine le 27 février

L’Égypte a annoncé qu’elle organisera un sommet arabe d’urgence le 27 février pour examiner les récents développements alarmants concernant la question palestinienne. Ce sommet, prévu au Caire, est le résultat d’une coordination avec le Royaume de Bahreïn et la Ligue des États arabes. Il suit une série de consultations menées par l’Égypte avec divers pays arabes, dont l’État palestinien qui a demandé cette réunion.

Ce sommet intervient dans un contexte marqué par une forte opposition régionale et mondiale à une proposition du président américain Donald Trump. Cette proposition envisageait que les États-Unis prennent en charge Gaza à la place d’Israël et créent une « Riviera du Moyen-Orient » après avoir relocalisé les Palestiniens vers d’autres régions

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Zouhair Maghzaoui: « La Tunisie fait face à des défis économiques »

Zouhair Maghzaoui, secrétaire général du mouvement du peuple, a souligné lors de la conférence nationale à Hammamet que la Tunisie traverse une période difficile sur plusieurs fronts. Économiquement, le pays est confronté à des défis majeurs en raison de la pénurie de matières premières et d’un taux d’endettement élevé, atteignant 90 % avec un total de 28 prêts pour 140 milliards de dinars.

Zouhair Maghzaoui a également mis en lumière l’augmentation continue du chômage et les crises persistantes telles que celles du pain, du lait et du gaz. Parallèlement, il a salué les efforts courageux de résistance palestinienne face aux puissants systèmes dissuasifs ennemis, notant leur victoire récente grâce aux attaques massives du 7 octobre.

 

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Kaïs Saïed prône une nouvelle stratégie pour la gestion des biens confisqués

Le président Kaïs Saïed a rencontré vendredi 7 février 2025, au palais de Carthage, la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi. Cette rencontre a traité plusieurs sujets, notamment la gestion des biens confisqués appartenant au peuple tunisien. Le chef de l’État a souligné la nécessité d’une nouvelle approche unifiée pour gérer ces biens avec un inventaire complet.

La réunion a également abordé le rôle du service douanier dans la protection de l’économie nationale et la lutte contre toutes les formes de contrebande.

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Tunisie-Russie : Renforcement de la coopération bilatérale

Mohamed Ben Ayed, secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Migration ainsi que des Tunisiens à l’étranger, a reçu ce vendredi  7 février 2025, Alexandre Zolotov, ambassadeur de Russie en Tunisie.

Cette rencontre a été l’occasion d’examiner les différents aspects de la coopération existante entre les deux pays, tant au niveau bilatéral qu’en termes de coopération régionale et multilatérale.

Le secrétaire d’État a souligné l’importance de suivre les résultats du récent entretien entre le ministre tunisien des Affaires étrangères et de la Migration ainsi que des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, et son homologue russe Sergueï Lavrov à Sotchi le 9 novembre 2024. Cela concerne notamment les moyens pour développer la coopération bilatérale ainsi que les conclusions tirées lors de la huitième session du Comité gouvernemental mixte pour la coopération commerciale économique scientifique et technique qui s’est tenue à Moscou fin novembre 2024. En particulier cela inclut le commerce bilatéral, l’investissement ainsi que la collaboration dans les domaines scientifiques universitaires médicaux culturels.

De son côté, l’ambassadeur russe en Tunisie a exprimé sa satisfaction quant au niveau actuel des relations entre Tunisie et Russie tout en manifestant une volonté accrue pour renforcer ces liens dans plusieurs domaines présentant un intérêt commun aux deux pays.

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La nouvelle plateforme dédiée aux chèques, entre modernisation ou chaos?

La Tunisie a commencé  à mettre en œuvre une nouvelle réglementation concernant les chèques, qui est entrée en vigueur le 2 février 2025. Cette réforme, visant à moderniser l’utilisation des chèques et à réduire les problèmes de chèques sans provision, introduit plusieurs changements majeurs qui suscitent des inquiétudes parmi les entreprises et les individus.

Rencontré lors d’un événement récent organisé par la CONECT, Abdallah Tanazefti, président du groupement professionnel national de transport & logistique, a fait savoir que les entreprises et particuliers expriment un manque d’informations claires sur la manière de fonctionner de la nouvelle plateforme dédiée aux chèques. Cela complique l’accès et augmente le risque d’erreurs.

Il estime que la plateforme est actuellement peu fiable en raison de bugs techniques, ce qui rend difficile sa mise en œuvre efficace. Tout en ajoutant : « Les sociétés doivent gérer plusieurs comptes et sociétés, nécessitant une accumulation précise d’informations pour éviter les erreurs administratives ».

En outre, il met également l’accent sur la limitation du montant des chèques à 30 000 dinars. Ce qui affecte négativement les commerçants et ménages à faibles revenus.

Pour les difficultés financières, il rappelle que l’impossibilité de recourir aux paiements différés par chèque aggrave les difficultés financières de certaines entreprises, notamment celles du secteur formel ou ayant besoin de flexibilité dans leurs transactions.

Par ailleurs, il propose comme solutions l’adaptation rapide des entreprises aux nouveaux modes de paiement comme le virement bancaire ou le paiement électronique pour compenser l’utilisation réduite des chèques. 

En conclusion, cette nouvelle réglementation promet une modernisation nécessaire. Mais elle pose également des défis immédiats que le gouvernement comme le secteur privé devront relever rapidement pour assurer une transition fluide vers ces nouvelles pratiques financières.

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Ons Jabeur s’incline en quarts de finale à Abu Dhabi face à Elena Rybakina

La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur, classée 33e mondiale, a quitté la compétition du tournoi d’Abu Dhabi au stade des quarts de finale après avoir perdu face à la Kazakhe Elena Rybakina, classée 5e mondiale. Le score final était de 2-1 (6-2, 4-6 et 7-4).

Ons Jabeur s’était qualifiée pour les quarts de finale en battant hier mercredi la Japonaise Wakana Sonobe (classée 837e mondiale) avec un score sans appel de deux sets à zéro (6-3 et 6-3) lors des huitièmes de finale.

Auparavant, elle avait éliminé mardi la Lettone Jelena Ostapenko (35e mondiale) avec un score en deux sets gagnants (7-6 et 7-5) au tour précédent. 

 

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