Apple a déployé ce lundi 10 février 2025 une mise à jour corrective, iOS 18.3.1, visant à renforcer la sécurité des iPhone et iPad. Ce patch intervient quelques jours après la sortie d’iOS 18.3, une mise à jour relativement mineure en termes de nouveautés.

Dans sa note officielle, Apple évoque des « correctifs importants et des améliorations liées à la sécurité », sans entrer dans les détails. Toutefois, un document publié sur Apple Support précise que la faille concernait le mode USB restreint, une fonctionnalité introduite en 2018 pour limiter le transfert de données via USB si l’appareil n’a pas été déverrouillé depuis sept jours. Selon Apple, cette vulnérabilité aurait pu être exploitée dans le cadre d’attaques ciblées particulièrement sophistiquées.

En attendant iOS 18.4, qui devrait introduire Apple Intelligence en Europe, cette mise à jour est fortement recommandée à tous les utilisateurs.

Comment installer iOS 18.3.1 ?

Pour télécharger la mise à jour sur votre iPhone ou iPad :

-Ouvrez Réglages
-Allez dans Général
-Sélectionnez Mise à jour logicielle
-Lancez l’installation d’iOS 18.3.1

N.B : Comme d’habitude, il est conseillé de brancher l’appareil sur secteur et de se connecter en Wi-Fi avant l’installation.

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Selon un rapport de l’entreprise mondiale Triple-A, les cinq pays comptant le plus grand nombre de détenteurs de cryptomonnaies se distinguent par des cadres législatifs favorables ou des contextes économiques incitant à l’adoption des actifs numériques.

En tête du classement, les Émirats Arabes Unis affichent un taux de possession de 25,3 %, soutenu par des zones franches comme celle de Dubaï, où les entreprises de crypto bénéficient de réglementations allégées et de mesures incitatives. Singapour suit de près avec 24,4 %, grâce à un environnement propice au développement de la blockchain. La Turquie (19,3 %) et l’Argentine (18,9 %) enregistrent une adoption élevée en raison de l’instabilité économique et de la forte inflation, poussant leurs citoyens à chercher des alternatives aux monnaies traditionnelles. La Thaïlande complète ce top 5 avec 17,6 % de sa population investie dans les cryptos.

Sur le continent africain, l’Afrique du Sud se démarque avec 12,4 % de sa population détentrice de cryptomonnaies, se plaçant ainsi au 15e rang mondial.

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Une mission d’affaires dédiée au secteur de l’huile d’olive se tiendra du 25 au 28 février à Misrata, en Libye, à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax, en collaboration avec son homologue libyenne.

Ce déplacement, destiné aux entreprises du secteur, inclura des rencontres avec des commerçants libyens ainsi que des visites de structures spécialisées dans l’importation et l’exportation d’huile d’olive, précise la Chambre. Des échanges avec des responsables d’institutions économiques locales sont également prévus.

Les entreprises intéressées doivent soumettre leur formulaire de participation avant le 17 février.

En 2024, les exportations tunisiennes d’huile d’olive ont généré 4,86 milliards de dinars, en hausse de 20 % par rapport à 2023, couvrant 64 marchés. La Tunisie occupe désormais le 4e rang mondial des exportateurs, selon le Centre de Promotion des Exportations (Cepex).Huile d’olive : une mission d’affaires en Libye pour conquérir de nouveaux marchés

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Dabchy.com, la première marketplace de seconde main en Tunisie, franchit un cap décisif. Fondée en 2016 et initialement dédiée à la mode, la plateforme élargit aujourd’hui son offre pour devenir une véritable lifestyle marketplace, intégrant de nouvelles catégories : maison, sport, livres & jeux et mode hommes.

Ce repositionnement s’accompagne d’une nouvelle identité visuelle, symbolisant l’évolution de Dabchy tout en conservant son ADN : une communauté engagée, une approche inclusive et une expérience d’achat conviviale et sécurisée.

Le lancement de ces nouvelles catégories, le 10 février, marque une étape importante pour l’entreprise. En seulement 24 heures, plus de 900 articles y ont été ajoutés de manière organique, illustrant la forte implication des utilisateurs. Cette expansion témoigne de la maturité de la communauté Dabchy et de sa volonté de donner une seconde vie aux objets du quotidien, bien au-delà de la mode.

Ameni Mansouri, Co-Founder et CEO de Dabchy, figure parmi les entrepreneurs les plus influents de la région, notamment reconnue par Forbes “30 under 30” du Moyen-Orient en 2019. À travers cette transformation, elle ambitionne d’ancrer davantage Dabchy dans le paysage de la consommation responsable et du commerce en ligne en Tunisie.

Cette évolution s’inscrit dans une dynamique de croissance qui, après neuf années d’existence, ouvre de nouvelles perspectives pour Dabchy et sa communauté. Un nouveau chapitre débute, avec la même ambition : faire de Dabchy bien plus qu’une plateforme d’achat et de vente, un véritable espace d’échange et d’innovation.

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L’indice Tunindex a clôturé janvier 2025 à 10 221,63 points, enregistrant une progression de 2,69 % après une hausse de 0,89 % en décembre 2024, selon l’analyse mensuelle de la Bourse de Tunis.

Le volume des échanges sur la Cote de la Bourse s’est établi à 142,6 Mtnd, en baisse de 44 % par rapport au mois précédent, avec un volume d’échange quotidien moyen de 6,4 Mtnd contre 12,1 Mtnd en décembre.

De son côté, le Tunindex20 a gagné 2,70 % en janvier après une hausse de 0,65 % en décembre, clôturant à 4 502,52 points.

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Le projet de développement agricole et rural autour des lacs collinaires (DARAL 2) a été lancé lundi. Il vise une gestion intégrée et durable des ressources naturelles dans les gouvernorats de Kasserine, Jendouba et Siliana, afin d’améliorer les conditions de vie locales et renforcer l’adaptation aux changements climatiques.

Financé par la Banque allemande pour le développement et la reconstruction (KFW) et l’Union européenne à hauteur de 38 millions d’euros (125,5 millions de dinars), ce projet appuie le développement durable en favorisant une gestion optimisée des ressources naturelles. Il s’inscrit dans la stratégie nationale de développement et de préservation des terres agricoles à l’horizon 2050 et se poursuivra jusqu’en 2029.

Une première phase a déjà permis de préserver 1 500 hectares de terres, de créer trois réseaux d’irrigation et d’aménager 52 km de pistes rurales. DARAL 2 prévoit également l’accompagnement des communautés locales pour élaborer des plans de développement territorial intégrés et renforcer la résilience des agriculteurs face au changement climatique.

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Le projet de développement agricole et rural autour des lacs collinaires (DARAL 2) a été lancé lundi. Il vise une gestion intégrée et durable des ressources naturelles dans les gouvernorats de Kasserine, Jendouba et Siliana, afin d’améliorer les conditions de vie locales et renforcer l’adaptation aux changements climatiques.

Financé par la Banque Allemande pour le développement et la reconstruction (KFW) et l’Union européenne à hauteur de 38 millions d’euros (125,5 millions de dinars), ce projet appuie le développement durable en favorisant une gestion optimisée des ressources naturelles. Il s’inscrit dans la stratégie nationale de développement et de préservation des terres agricoles à l’horizon 2050 et se poursuivra jusqu’en 2029.

Une première phase a déjà permis de préserver 1 500 hectares de terres, de créer trois réseaux d’irrigation et d’aménager 52 km de pistes rurales. DARAL 2 prévoit également l’accompagnement des communautés locales pour élaborer des plans de développement territorial intégrés et renforcer la résilience des agriculteurs face au changement climatique.

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Le gouvernement néo-zélandais de centre-droit a annoncé dimanche un assouplissement des règles de visa afin de stimuler la croissance économique.

Selon Reuters, la ministre de l’Immigration, Erica Stanford, a déclaré que la catégorie de visa pour investisseurs deviendrait «plus simple et plus flexible» afin d’inciter les investisseurs à choisir la Nouvelle-Zélande pour y apporter leur capital, leurs compétences et leurs connexions internationales. Deux nouvelles catégories de visa seront ainsi créées: l’une pour les investissements à haut risque et l’autre pour les investissements mixtes.

Ces mesures, qui entreront en vigueur le 1er avril, font suite à la récente réforme permettant aux touristes de travailler à distance pendant leur séjour, dans le but de dynamiser le secteur touristique.

Après être entrée en récession technique au troisième trimestre 2024, la Nouvelle-Zélande cherche à relancer sa croissance. En janvier, le gouvernement a annoncé la création d’Invest New Zealand, une agence dédiée à l’investissement étranger, visant à faciliter et centraliser les démarches pour les investisseurs internationaux.

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À la veille du Sommet international sur l’intelligence artificielle à Paris, Emmanuel Macron a annoncé, le dimanche 9 février, un plan d’investissement de 109 milliards d’euros pour développer l’IA en France. Ces fonds, provenant d’entreprises privées, seront déployés dans les prochaines années.

Le président a comparé cet engagement à l’initiative américaine Stargate, dévoilée en janvier par Donald Trump, qui prévoit au moins 500 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures d’IA. Depuis la mise à disposition du grand public de ChatGPT fin 2022, les nations multiplient les efforts pour se positionner dans cette révolution technologique, misant sur des investissements massifs.

Dans ce contexte, les Émirats Arabes Unis ont annoncé, le jeudi 6 février, la construction d’un centre de données géant en France. Intégré au plus grand campus européen dédié à l’IA, il pourrait atteindre une puissance de calcul d’un gigawatt, représentant un investissement estimé entre 30 et 50 milliards d’euros, selon l’Élysée.

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L’adoption croissante de l’intelligence artificielle (IA) par les entreprises d’Afrique subsaharienne génère des résultats prometteurs. Selon un rapport de PwC publié le 6 février, 65% des entreprises utilisant l’IA ont amélioré leur situation financière au cours des 12 derniers mois.

L’étude, basée sur un sondage auprès de 245 dirigeants de la région, révèle que 33% des entreprises ont vu leur chiffre d’affaires progresser et 32% ont enregistré une hausse de rentabilité. L’impact ne se limite pas aux finances: 56% des entreprises constatent un gain de productivité et 53% une meilleure gestion du temps de travail des dirigeants.

Contrairement aux craintes liées à l’automatisation, seules 13% des entreprises déclarent avoir supprimé des postes en raison de l’IA, un chiffre aligné sur la moyenne mondiale.

Concernant l’avenir, 72% des dirigeants comptent renforcer leurs initiatives IA en 2025, et 45% anticipent une amélioration de la rentabilité. Malgré des défis tels que l’inflation et la volatilité macroéconomique, 61% des chefs d’entreprise restent confiants dans la viabilité de leur activité à long terme, un taux en forte hausse par rapport à début 2024.

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La startup marocaine ToumAI, spécialisée en intelligence artificielle, a levé 1 million d’euros en pré-amorçage pour développer ses solutions d’expérience client (CX) personnalisées et durables.

Sa suite HolistiCX intègre des modèles Compound AI combinant intelligence artificielle open source et modèles propriétaires. Cette approche optimise les applications vocales, les systèmes IVR et la détection de l’attrition, tout en réduisant la complexité computationnelle. ToumAI propose également des API évolutives facilitant l’intégration des données pour améliorer la relation client.

Présente au Maroc, au Sénégal et à Malte, l’entreprise prévoit son lancement en Tunisie. Son expansion sera accélérée grâce à ce financement, mené par Launch Africa Ventures, avec la participation de Madica Ventures, Orange Ventures, Digital Africa, GO Ventures et du business angel Bruno Akpaka, soutenus par BPI France.

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Les Journées des arts de la marionnette de Carthage (JAMC) ont pris fin samedi à la Cité de la Culture, après une semaine d’animations et de spectacles dédiés au jeune public. La cérémonie de clôture a été marquée par l’annonce des lauréats de la Compétition nationale des arts de la marionnette.

Le jury, présidé par le Brésilien Paulo Nazareno, n’a décerné que deux prix: le deuxième (2000 dinars) attribué à Khouloud Thabet et le troisième (1000 DT) remporté par Haythem Wannassi, aucun candidat n’ayant été jugé digne du premier prix. Il a également pointé un niveau globalement insuffisant et recommandé une distinction plus claire entre professionnels et amateurs pour assurer plus d’équité.

Avec 33 spectacles et plus de 100 marionnettistes de 19 pays, cette 6ᵉ édition a aussi introduit une section cinéma d’animation, marquant une évolution notable du festival.

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La production industrielle d’or du Mali a reculé de 23 % en 2024, passant de 66,5 à 51 tonnes, selon le ministère des Mines. Ce chiffre exclut la production de décembre de Barrick Gold, en raison d’un différend avec le gouvernement militaire sur la loi minière de 2023.

Barrick a suspendu ses activités à Loulo-Gounkoto après la saisie de ses réserves d’or par les autorités, tandis que quatre de ses employés sont détenus depuis novembre pour des accusations de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme, que l’entreprise rejette.

Le nouveau code minier, qui alourdit la fiscalité et renforce la participation de l’État, freine les investissements, selon plusieurs dirigeants du secteur. Le gouvernement, de son côté, estime que les compagnies minières, dont Barrick, ne paient pas leur juste part d’impôts.

Avec une production totale estimée à 58,7 tonnes, incluant 6 tonnes issues de l’exploitation artisanale, le Mali enregistre sa plus faible production en plus de trois ans. Barrick Gold reste le principal producteur avec 19,4 tonnes (hors décembre), suivi de B2Gold (13,7 tonnes) et Resolute Mining (7,2 tonnes).

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Une séance de travail s’est tenue ce vendredi au Ministère des Affaires religieuses pour coordonner les services entre Tunisair et Saudi Airlines et améliorer les prestations des pèlerinages. Présidée par la cheffe de cabinet Ghofrane Sahli, la réunion a réuni des représentants des ministères concernés et des compagnies aériennes.

Le Ministre des Affaires religieuses, Ahmed Bouhali, a accueilli la délégation saoudienne, soulignant l’importance de la coopération bilatérale pour le Hajj. Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des échanges entamés le 12 janvier à Djeddah avec son homologue saoudien, Tawfiq Al-Rabiah, visant à lever les obstacles et améliorer les services aux pèlerins tunisiens.

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En Tunisie, les entreprises labellisées “start-up” ne représentent qu’environ 10 % du potentiel du marché, selon Rim Saied, PDG de Smart Tunisian Technoparcs.

Dans une interview à l’Agence TAP, elle a souligné que le faible taux d’entreprises labellisées “startups émergentes” s’explique par le fait que le marché de l’innovation reste largement ouvert. De nombreuses entreprises tunisiennes évoluent dans des domaines innovants sans pour autant obtenir ce label.

Fin octobre 2024, 1 133 entreprises avaient obtenu cette labellisation, témoignant d’un fort potentiel de croissance et d’un intérêt croissant pour le statut de startups émergentes.

La Tunisie a été parmi les premiers pays à encourager l’innovation en lançant dès 2000 le pôle technologique d’El Ghazala, spécialisé dans les industries technologiques. Aujourd’hui, le pays compte 11 pôles dédiés à divers secteurs, offrant un accompagnement aux entreprises.

Près de 50 % des activités du pôle El Ghazala sont consacrées à l’incubation et à l’accompagnement des start-ups, visant à les soutenir à chaque étape de leur développement. Cette dynamique a permis à plusieurs start-ups tunisiennes de s’implanter à l’international et d’attirer des investisseurs étrangers.

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Les transferts de fonds de la diaspora marocaine vers leur pays d’origine ont atteint 11,77 milliards de dollars en 2024, en hausse de 2,1 % par rapport à 2023, selon l’Office des changes marocain.

Parallèlement, le flux net des investissements directs étrangers (IDE) a progressé de 55,4 % pour s’établir à 1,72 milliard de dollars, porté par une augmentation de 24,7 % des recettes.

En revanche, les investissements directs marocains à l’étranger (IDME) ont reculé de 23,2 %, totalisant 605 millions de dollars.

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Une rencontre d’affaires B2B tuniso-turque dédiée aux professionnels du textile se tiendra le 13 février au Technopole de Monastir.

Initiée par le Tunisia Africa Business Council (TABC) et l’association turque MÜSİAD, cet événement vise à favoriser les partenariats stratégiques, explorer les opportunités du secteur textile et établir des contacts avec la délégation turque. Selon le TABC, cette rencontre permettra aux acteurs du textile de renforcer leur réseau et de développer leurs collaborations à l’international.

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OpenAI annonce l’implantation de serveurs en Europe afin de stocker les données des utilisateurs de ChatGPT Enterprise, ChatGPT Edu et de son API. Cette initiative vise à renforcer la confidentialité des données et à faciliter la conformité aux réglementations locales comme le RGPD.

Toutefois, seuls les clients professionnels pourront bénéficier de cette résidence des données, qui ne sera pas activée par défaut.

L’entreprise met en avant des garanties de sécurité, incluant un chiffrement avancé, la non-utilisation des données clients à des fins d’entraînement, ainsi qu’une conformité aux normes CSA STAR et SOC 2 Type 2. Cette démarche s’inscrit dans un contexte de renforcement de la souveraineté numérique européenne, alors que l’UE cherche à réduire sa dépendance aux technologies américaines et à faire face à la montée en puissance des acteurs chinois.

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StarkWare, la société derrière la solution Ethereum Starknet, lance un fonds de capital-risque de 4 millions de dollars pour soutenir les solutions blockchain en Afrique. Ce fonds, dirigé par l’entrepreneur marocain Kheireddine Kamal, se concentrera sur les petites équipes en pré-amorçage ou amorçage, souhaitant déployer leurs projets sur Starknet.

Les startups en phase de démarrage peuvent obtenir des subventions allant jusqu’à 150 000 dollars, tandis que des montants plus importants seront accordés aux équipes plus avancées. Tous les bénéficiaires seront considérés pour un investissement allant jusqu’à 500 000 dollars.

Le fonds ciblera des pays africains avec des populations intéressées par la blockchain et des conditions économiques propices à son adoption. Les zones prioritaires incluent l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique de l’Est et l’Afrique du Sud. Ce programme combinera financement, mentorat et expertise technique pour aider les créateurs africains à développer leurs projets à l’échelle mondiale.

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