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Gabès : Accélération des projets publics après la levée des blocages

Les blocages entravant la réalisation d’une série de projets publics programmés dans le gouvernorat de Gabès, ont été levés au cours des derniers mois.

De ce fait, la région connaît présentement la mise en œuvre de plusieurs projets, dont notamment, celui du renforcement des fondations et de réparation des structures et bâtiments de l’hôpital universitaire de Gabès, un projet retardé depuis 2019.

Il permettra une capacité de fonctionnement optimal et des conditions de travail probantes dans cet établissement hospitalier majeur.

Le gouvernorat de Gabès connait également la reconstruction de l’hôpital local de la Nouvelle-Matmata pour un coût de 17 millions de dinars, la réalisation de la première tranche du Palais des Finances pour un montant de 11 MD et la réfection du restaurant universitaire Omar ibn al-Khattâb, pour un coût de 5,2 MD.

Par ailleurs, la construction du siège du commissariat régional de la femme, de la famille, de l’enfance et des seniors est en cours de réalisation pour un montant de 3,3 MD, outre l’extension du siège de l’Université de Gabès pour des fonds d’une valeur de 1,9 MD et la construction du Centre national de la Médecine et des Sciences du Sport pour un coût de 1,5 MD.

De même, les travaux de construction du complexe de l’enfance à El Hamma devraient bientôt démarrer, en outre de la finalisation du projet de réhabilitation du Centre de Camping et de Vacances de Zarat.

Récemment, la construction du village artisanal à Métouia, d’une valeur de 1,3 MD, composé de 19 ateliers d’artisanat traditionnel vient d’être également parachevée.

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Tourisme culturel : Mahdia illumine ses sites archéologiques pour attirer les visiteurs

Dans le cadre de la promotion du tourisme culturel dans le gouvernorat de Mahdia, l’éclairage intelligent des sites et monuments historiques est en cours de réalisation.

Le projet d’éclairage intelligent des monuments archéologiques a couvert la Skifa Elkahla et la forteresse militaire ottomane, El Borj Elkbir, a annoncé Mohamed Haouas, conservateur du musée régional de Mahdia. Dans une déclaration, lundi, au correspondant de TAP à Mahdia, Houas a indiqué que ce projet devra inclure d’autres sites et monuments de la ville.

Le conservateur du musée a présenté un projet d’éclairage multicolore réalisé pour un coût total de 550 milles dinars et parrainé par l’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle (AMVPPC).

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la promotion du tourisme culturel ce qui devra permettre de valoriser ces sites et les exploiter économiquement et culturellement, a-t-il expliqué.

Il a encore annoncé qu’ un dossier a été soumis, par l’intermédiaire du gouvernorat de Mahdia, au ministère du Tourisme afin d’obtenir des financements pour l’éclairage d’autres sites et monuments archéologiques, ainsi que les digues maritimes de toute la région ».

L’objectif est de promouvoir le patrimoine historique archéologique et la ville de Mahdia en tant que destination touristique, a fait savoir le conservateur du musée.

En prévision du Ramadan, le musée de Mahdia s’apprête à accueillir des manifestations culturelles et artistiques nocturnes, a annoncé son directeur indiquant que le festival des Nuits Mahdia est également parmi les manifestations prévues dans la ville de Mahdia.

Pour ce qui est des villes relevant du gouvernorat de Mahdia, Mohamed Houas a annoncé que l’éclairage du colisée romain d’El Jem sera également réalisé et ce après le parachèvement des études techniques, indiquant le lancement prochain d’un appel d’offres à cet effet.

Notons que les travaux du projet de restauration, de réhabilitation et d’aménagement se poursuivent sur le site du Colisée romain d’el Jem, classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1979. Ces travaux s’insèrent dans le cadre d’un projet réalisé sous la supervision de l’Amvppc et de l’INP(Institut National du patrimoine).

Il est a rappeler qu’un projet de restauration établi pour la période 2020-2024, s’inscrit dans le cadre d’un don accordé par le Fonds des ambassadeurs pour la préservation culturelle (AFCP), initié par l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à l’INP depuis 2019, d’un montant de l’ordre de 430 mille dollars. Ce projet au Colisée d’El Jem s’inscrit dans le cadre de la catégorie «Sites Culturels» du programme administré par le Centre du Patrimoine culturel du Bureau des Affaires éducatives et Culturelles du Département d’Etat américain.

Circuit culturel et touristique de la ville de Mahdia

Mahdia, est une ville touristique côtière du sahel Tunisien, aux façades qui cachent bien des trésors dans la vieille Medina, haut lieu des derniers califes fatimides et leurs successeurs sous l’empire ottoman.

Les traces puniques et romaines sont aussi un grand témoin des temps lointains d’une cité développée appelée «Aphrodisium » qui avait ses propres traditions et son architecture, aujourd’hui en ruine. L’ancien port punique en atteste d’un savoir faire ancestral qui continue à faire la beauté de la ville.

En longeant la côte, le paysage est énorme sur les ruines, le phare, le cimetière, le fort ottoman et tout ce qui constitue un élément du patrimoine matériel de Mahdia. A l’intérieur de la médina se métamorphose en toute discrétion l’identité d’une cité aux spécificités architecturales.

Le parcours du site historique, part du musée régional de Mahdia et la “Skifa Elkahla” pour atteindre la place de la grande mosquée, en zone Est. Sur la zone Ouest se situe le quartier résidentiel jusqu’au cimetière marin et toute la partie entourant le grand phare qui culmine sur les hauteurs de Cap Afrique.

Le cœur vibrant de la médina se sont les ateliers d’artisans, les hammams traditionnels, les mosquées, l’église, la synagogue et autres espaces publics qui forment ce petit monde bien gardé depuis des siècles.

La grande mosquée est un monument imposant à l’architecture sobre et sans minaret qui se distingue par son style unique et par une ancienne forteresse des Fatimides.

Un peu plus loin se dresse les sites historiques de “El Borj Elkbir”, “La nécropole punique” et les “fortifications” de la ville qui datent du 10ème siècle et dont il ne reste aujourd’hui que les socles des tours qui protégeaient la ville de l’extérieur.

Au “cimetière marin” des tombes d’une blancheur éclatante sont à perte de vue aux portes de la Méditerranée, sous la lumière fascinante qui se projette sur l’ensemble de la zone abritant “le port antique”.

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Logement social et infrastructures : Kais Saïed appelle à accélérer les projets

L’avancement des projets notamment ceux liés à l’infrastructure et la nécessité d’accélérer leur parachèvement en réduisant au maximum les difficultés ainsi que le logement social ont été au centre d’un entretien tenu lundi après midi au palais de Carthage entre le président de la République, Kais Saïed, et la ministre de l’équipement et de l’habitat, Sarra Zaâfrani Zenzri.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’État a abordé longuement le secteur du logement social, mettant l’accent sur l’importance pour la Société nationale immobilière de Tunisie (SNIT), l’Agence foncière d’habitation (AFH) et la Société de promotion des logements sociaux (SPROLS) de retrouver leurs rôles initiaux pour lesquels elles ont été créées.

Dans ce contexte, il a rappelé que de nombreux quartiers résidentiels et logements décents avaient été construits et étaient accessibles même aux personnes à revenu limité, notamment grâce à la formule de location-vente qui, après une certaine période, conduisait à la propriété.

Saïed a indiqué que la politique sociale de l’Etat exige l’adoption de cette solution pour résoudre la crise du logement et lutter contre la hausse excessive des loyers.

 

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Grève annoncée dans le secteur des transports publics à Kébili

Grève annoncée dans le secteur des transports publics à Kébili

L’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) a annoncé un mouvement de grève dans le secteur des transports publics à Kébili pour le 18 février prochain. Cette décision fait suite à l’absence de réponse de la part du ministère des Transports et de la société régionale de transport de Gabès aux revendications des employés des agences […]

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Le modèle français de soutien aux startups : une équation à plusieurs inconnues

startupL’investissement massif de l’État français dans l’écosystème des startups (200 milliards d’euros) soulève des questions quant à son efficacité. Les résultats, avec une valeur boursière cumulée de seulement 2,5 milliards d’euros, contrastent avec le succès des entrepreneurs français aux États-Unis, qui ont créé 65 milliards de valeur avec un investissement moindre (17 milliards).

Plusieurs facteurs expliquent ce paradoxe. Le marché français, souvent trop étroit, freine l’ambition internationale des startups. Le financement public, bien qu’important, engendre une dépendance aux subventions et nuit à la rentabilité. La difficulté de “mourir vite”, cruciale pour rebondir sur de nouveaux projets, entrave l’émergence de modèles viables. Enfin, le manque d’ingénieurs au sein de la French Tech limite le développement de secteurs pourtant porteurs comme la deeptech, la biotechnologie et le spatial.

Les succès en bourse restent trop rares, avec seulement trois entreprises ayant dépassé le milliard d’euros de valorisation (Criteo, Believe et Kyriba). Paradoxalement, des réussites telles que Dassault Systèmes, leader mondial du logiciel, ne sont pas érigées en modèles car elles n’ont pas suivi le parcours classique du venture capital.

Face à ces défis, le bootstrapping, qui consiste à se développer par autofinancement, apparaît comme une alternative prometteuse. 60% des exits en France proviennent d’entreprises n’ayant pas levé de fonds, preuve qu’il est possible de réussir sans dépendre des investisseurs.

La question de la souveraineté numérique, souvent mise en avant, mérite également d’être nuancée. 67% des startups européennes vendues le sont à des investisseurs américains, et les initiatives européennes peinent à s’imposer face aux géants américains.

Pour améliorer l’écosystème startup français, une approche plus pragmatique s’impose :

  • Encourager le bootstrapping et la rentabilité à long terme.
  • Soutenir les secteurs où la France excelle déjà.
  • Fluidifier le marché et réduire la dépendance à l’État.
  • Développer une stratégie réaliste en matière de souveraineté numérique.

Il est temps de privilégier la qualité et l’impact plutôt que la quantité pour bâtir un écosystème startup plus performant et résilient. (Source)

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Investissement public: 3 projets essentiels examinés

Le chef du gouvernement tunisien, Kamel Maddouri, a appelé à intensifier les réformes et à améliorer la gouvernance des services publics lors du Conseil des ministres tenu jeudi 30 janvier 2025. Il a insisté sur l’importance d’accélérer la mise en œuvre des programmes économiques et sociaux en mobilisant toutes les ressources de l’État.

Maddouri a souligné lors de la réunion la nécessité de moderniser les structures publiques et d’adopter des solutions concrètes pour renforcer leur efficacité.

Ces trois projets ont été examinés:     

  • Santé: la Tunisie prévoit l’ouverture d’un bureau de coordination du Conseil arabe des spécialités médicales. Ce projet vise à dynamiser la formation des professionnels de santé et à renforcer l’influence du pays dans ce domaine à l’échelle régionale.
  • Protection civile: un prêt de 50 millions d’euros a été conclu avec l’Agence française de développement (AFD) pour moderniser les équipements et renforcer les capacités d’intervention des services de secours face aux catastrophes naturelles.
  • Éducation: le gouvernement a prolongé le programme de développement des écoles primaires financé par le Fonds arabe pour le développement économique et social. Ce projet prévoit la construction de 50 nouvelles écoles, l’extension de 2 000 établissements et la rénovation de 800 autres, avec un accent sur l’équipement numérique.

 

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Manouba : Ouverture d’une enquête pour soupçons de corruption et détournement de fonds publics à la STEG

Le procureur de la République près le tribunal de première instance à Manouba a ordonné, jeudi 30 janvier, l’ouverture d’une enquête judiciaire contre un groupe d’employés du district de la société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) à Manouba, pour soupçons de corruption administrative et détournement de fonds publics.

Les prévenus sont soupçonnés d’abus de fonction, de préjudice à l’administration, de faux et usage de faux et de manipulation de données informatiques, dans le but de nuire à la situation financière d’autrui et d’obtenir des avantages matériels, selon le porte-parole dudit tribunal.

Cela fait suite à la décision du procureur de la République, mardi 28 janvier, de maintenir en garde à vue, trois agents, de faire comparaitre deux autres agents devant le juge, et d’émettre des mandats d’amener contre trois autres employés, aux suites de l’enquête menée, fin 2024, par la première brigade des recherches et investigations de la Garde nationale à l’Aouina, ayant révélé des soupçons de détournement récurrent de sommes importantes au sein de la filiale.

Avec TAP

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Ramadan: de nouveaux points de vente du producteur au consommateur

Le représentant de la Direction générale de la production agricole au ministère de l’Agriculture, Mohamed Ali Ben Romdhan, a présenté aujourd’hui, lors d’une conférence de presse, les préparatifs du ministère de l’Agriculture pour le mois sacré de Ramadan.

Les données présentées aujourd’hui par le ministère de l’Agriculture concernant les points de vente du producteur au consommateur ont montré qu’il y a 10 points de vente tout au long de l’année à Alain-Savary, Borj El Amri, Thibar, Enfidha, Kasserine, Sidi Bouzid, Sidi Chamakh, deux points à Sfax et un à Bouthdi, alors que cinq autres points seront ajoutés durant le mois sacré de Ramadan à Slimane, Bizerte, Siliana, El Kef et Gafsa.

Les produits proposés dans les points de vente comprennent tous les types de fruits, dont 274 tonnes de courges, des légumes, dont 5 tonnes de poivrons, 4 tonnes de tomates et 1 tonne de citrouilles, en plus des dattes, qui seront de haute qualité et à des prix raisonnables, selon le rapport, tandis que le programme national de l’huile d’olive se poursuivra. Environ 30 tonnes de poulet, 12 millions d’œufs et de la viande rouge de bovins et d’ovins seront également disponibles pendant la période d’approvisionnement, une semaine avant Ramadan.

En parallèle, le Complexe professionnel mixte des dattes (CPMD) organisera la vente directe de dattes, en installant six tentes dans plusieurs villes, dont Sfax, Tunis, Nabeul, Béja et Bizerte, de fin janvier à fin février, afin d’approvisionner le marché.

 

 

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Selon une étude, l’économie tunisienne a tenu le coup sans le FMI

 «La Tunisie a réussi, même en partie, à éviter le lourd impact des diktats du Fonds monétaire international (FMI), qui exigent notamment la suppression des subventions, le gel des embauches dans le secteur public et une réduction de la masse salariale».

C’est ce que révèle une étude menée par le Centre Ali Ben Ghedhahem pour la justice fiscale (CAJF) présentée lors d’une conférence de presse à Tunis.

«En renonçant aux réformes préconisées par le FMI, la Tunisie a contourné en partie la politique d’austérité soutenue par l’institution financière internationale, dont les axes principaux sont le contrôle des équilibres financiers, la réduction des dépenses publiques, le gel des salaires et des embauches dans l’administration publique et dans le secteur public, la suppression des subventions et le contrôle de la masse salariale», explique l’étude.

Lancée en 2023 et finalisée en janvier 2025, cette étude a montré que «la Tunisie a maintenu son soutien au système de subvention à des niveaux élevés, passant d’une moyenne de 4 milliards de dinars en 2019 à 12 milliards de dinars en 2022, la masse salariale, de 16,1% du PIB en 2019 à 13% prévu en 2025».

Selon  le chercheur et fondateur du CAJF Amine Bouzaiene, les embauches d’agents publics civils ont également repris, avec 8 000 nouvelles embauches en 2019, 12 500 en 2024 et 21 000 attendues pour 2025, en plus des augmentations du salaire minimum garanti dans les secteurs public et agricole et des pensions de vieillesse.

«La Tunisie a également réussi à réduire le déficit budgétaire de 7,4% en 2023 à 6,3% l’année dernière et devrait atteindre 5,5% du PIB cette année, alors que le FMI espérait atteindre ces niveaux en 2026», a souligné Bouzaiene.

Pour la première fois dans l’histoire de la Tunisie, dit le chercheur, il a été possible d’arrêter la tendance expansionniste de la dette par rapport au PIB, grâce à la décision de la Tunisie de prendre ses distances vis-à-vis du FMI et de ne pas respecter ses diktats.

Malgré ces conclusions, Bouzaiene a estimé que «l’autonomie est importante, mais des efforts supplémentaires doivent être déployés pour établir la justice fiscale et mobiliser les ressources nécessaires à la reprise économique».

L’étude souligne également l’absence d’un plan de relance de l’économie nationale sur la base des investissements publics, a souligné le chercheur, ajoutant qu’il est encore possible d’augmenter l’utilisation des ressources propres, notamment fiscales, en élargissant la base imposable sans nuire aux classes moyennes et vulnérables.

La Tunisie et le FMI ont conclu un accord de niveau de service le 15 octobre 2022 dans le cadre du mécanisme élargi de financement, mais les négociations ont ensuite été suspendues suite à une décision du président tunisien Kaïs Saïed, estimant que les conditions imposées par le Fonds menaçaient la paix sociale.

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