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TotalEnergies et la Confédération Africaine de Football (CAF) prolongent et approfondissent leur partenariat pour quatre années supplémentaires

Au lendemain du tirage au sort de la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025, Patrick Pouyanné, président-directeur général de TotalEnergies et Dr Patrice Motsepe, président de la Confédération Africaine de Football (CAF) ont conclu un accord pour la prolongation du partenariat pour une durée de quatre années supplémentaires.

Sur la période 2025-2028, TotalEnergies sponsorisera désormais 12 événements et compétitions majeurs de la CAF parmi lesquels notamment la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations féminine, Maroc 2024, la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies, Maroc 2025, ainsi que la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies, Kenya, Tanzanie, et Ouganda 2027.

Grâce au prolongement de ce partenariat, TotalEnergies continue à soutenir avec passion le développement du football sur le continent africain, et approfondit cet engagement en devenant partenaire, dès 2025, du championnat africain scolaire de football de la CAF – le programme phare de la CAF qui vise à promouvoir la pratique du football pour les jeunes filles et garçons d’Afrique.

Patrick Pouyanné, Président-directeur général de TotalEnergies, a déclaré:  «Depuis 2016, TotalEnergies a le plaisir et le privilège de contribuer au rayonnement du football africain, et nous sommes enthousiastes à l’idée de poursuivre cette collaboration aux côtés de la CAF pour les 4 prochaines années. TotalEnergies est fière de soutenir l’essor de ce sport populaire, qui incarne des valeurs de diversité, de cohésion et d’unité à travers l’Afrique, un continent sur lequel la Compagnie est un acteur historique. Cette prolongation va permettre à la Compagnie de continuer à célébrer le football africain avec toutes ses parties prenantes, ses clients et ses collaborateurs, et à partager l’engagement et la passion des millions de personnes à travers le continent.»

Dr Patrice Motsepe, Président de la CAF, a déclaré :  «La CAF se réjouit de poursuivre son partenariat avec TotalEnergies et son président-directeur général, Patrick Pouyanné, que je respecte et connais depuis de nombreuses années. Ce partenariat contribue au développement et à la compétitivité mondiale du football dans les 54 pays africains dont les fédérations de football sont membres de la CAF. Au cours des dernières années, la CAF a lancé plusieurs projets pour développer le football africain chez les jeunes notamment le Championnat d’Afrique de football scolaire, auquel environ 800 000 garçons et filles ont participé, et qui a connu un énorme succès. Les valeurs de gouvernance, d’éthique, de transparence et d’engagement pour le développement et la croissance de nos communautés et de nos pays en Afrique sont également des valeurs auxquelles TotalEnergies est attachée, et nous sommes honorés de continuer à travailler avec cette entreprise et son président-directeur général, Patrick Pouyanné.»

TotalEnergies et le football africain

L’histoire du partenariat entre TotalEnergies et la CAF autour de la passion du football a commencé en 2016. La Compagnie est ainsi devenue le partenaire majeur du football africain, avec le parrainage de plus de 1 500 matchs en tant que sponsor titre des 10 principales compétitions de la CAF : 3 compétitions interclubs et 7 compétitions nationales, dont la prestigieuse Coupe d’Afrique des Nations (CAN), désormais dénommée TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations.

Entre 2025 et 2028, TotalEnergies sponsorisera ainsi :

  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations
  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations Féminine
  • le TotalEnergies CAF Championnat d’Afrique des Nations
  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations U17
  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations U20
  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations U23
  • la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations Futsal
  • la Ligue des Champions de la CAF TotalEnergies
  • la Coupe de la Confédération de la CAF TotalEnergies
  • la TotalEnergies CAF Super Coupe
  • les CAF Awards
  • le Championnat Africain Scolaire de Football de la CAF.

TotalEnergies en Afrique

Présente en Afrique depuis plus de 90 ans, TotalEnergies est la première compagnie multi-énergies du continent. Engagée dans la transition énergétique, elle intervient sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’énergie.

Dans le domaine de l’Exploration-Production, en 2023, TotalEnergies a réalisé 19 % de sa production d’hydrocarbures en Afrique, soit l’équivalent de 471 000 barils de pétrole par jour. Dans la distribution, la Compagnie se distingue comme le leader de la commercialisation de produits pétroliers et de services associés, avec un réseau de près de 4 700 stations-service à travers le continent. TotalEnergies formule et commercialise également des lubrifiants, grâce à 9 usines de fabrication opérées, et fournit du Gaz de Pétrole Liquéfié (GPL), notamment pour la cuisson propre, à 50 millions de personnes en Afrique.

La Compagnie contribue à la diversification du mix énergétique africain en développant le gaz naturel (avec quatre usines de liquéfaction de gaz naturel liquéfié, dont une en développement) ainsi qu’un portefeuille de projets renouvelables de près de 2 GW. TotalEnergies poursuit ses efforts pour réduire les émissions de ses sites opérés et accompagne ses clients dans la réduction de leurs propres émissions en leur proposant notamment des solutions d’efficacité énergétique.

À propos de TotalEnergies

TotalEnergies est une compagnie multi-énergies intégrée mondiale de production et de fourniture d’énergies : pétrole et biocarburants, gaz naturel et gaz verts, renouvelables et électricité. Nos plus de 100 000 collaborateurs s’engagent pour fournir au plus grand nombre une énergie plus abordable, plus disponible et plus durable. Présente dans environ 120 pays, TotalEnergies inscrit le développement durable au cœur de sa stratégie, de ses projets et de ses opérations. 

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“Les persiennes” de Béchir Garbouj : Une plongée dans l’univers carcéral

Une rencontre-débat avec l’écrivain Béchir Garbouj autour de son dernier roman “Les persiennes” est prévue le jeudi 13 février à 18h à la médiathèque de l’Institut français de Tunisie (IFT).

“Les persiennes” est un roman de 169 pages paru en 2024 aux éditions Déméter. Il s’agit du cinquième roman de l’auteur dont les livres sont tous publiés chez le même éditeur.

L’histoire des “Persiennes” est celle d’un homme qui vient de passer une année en prison, il a le ventre en feu et le sentiment que le sol se dérobe sous ses pas. Elle aussi a passé un an à l’ombre. Elle a fauté, elle était complice, la justice a frappé. Mais maintenant qu’ils ont payé, le plus dur est d’apprendre à vivre dehors.”, lit on dans le résumé du roman.

Béchir Garbouj est professeur honoraire à la Faculté des Lettres de La Manouba. Romancier tunisien et grand spécialiste de la traduction dont la carrière s’étend sur quatre décennies, Béchir Garbouj a notamment enseigné la littérature française. Il a été interprète de conférence et travaillé au cabinet du Secrétaire général de la Ligue des États Arabes en qualité de rédacteur et traducteur.

Auteur de « Passe d’intrus » (2016) qui a reçu le Prix Comar d’Or la même année, de « Toutes les ombres » en 2019, il publie en 2020 son troisième roman «L’Émirat », lauréat du prix du roman francophone de la Fondation de Abdelwahab Ayed-FABA.

Son roman « La nuit du doute » (2022) a été finaliste de l’édition 2023 du Prix Orange du Livre en Afrique (POLA), organisé par la Fondation Orange avec le soutien de l’Institut Français.

Notons qu’après six éditions, la Fondation a décidé, en octobre 2024, de mettre fin à ce prix, doté de 10 000€, qui récompensait un roman écrit en français par un écrivain africain, publié par une maison d’édition africaine.

La rencontre autour du roman “Les persiennes” sera modérée par Farouk Bahri, universitaire en Sciences de l’éducation et conférencier. Elle sera suivie d’une séance-dédicace avec la complicité de la librairie Al Kitab.

L’entrée est libre dans la limite des places disponibles, indique l’IFT. L’ouvrage est disponible pour le prêt à la médiathèque de l’Institut.
 

 

 

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La Bourse de Tunis termine la séance dans le rouge, mais BTE brille

Le marché a clôturé la séance dans le rouge. L’indice de référence s’est effrité de 0,16 % à 10 183,43 points, dans un maigre volume de 3,7 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse Tunisie Valeurs.

Sans faire l’objet de transactions, le titre BTE a chapeauté le palmarès de la séance. L’action de la banque mixte a progressé de 3,4 % à 3,630 D.

Le titre STA est reparti à la hausse. L’action du distributeur de la marque Chery en Tunisie s’est offert un gain de 1,9 % à 21,800 D. La valeur a animé le marché avec des échanges de 95 mille dinars.

Le titre CELLCOM s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action a lâché 4,5 % à 2,140 D dans un maigre flux de 4 mille dinars sur la séance.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action de la société a reculé de 3,2 % à 0,600 D, amassant un faible flux de 4 mille dinars.

Le titre CATHAGE CEMENT a été le titre le plus échangé sur la séance. L’action de la cimenterie s’est maintenue à l’équilibre à 2,260 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1,1 MD, soit 30 % du volume transigé sur la cote.

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Alimentation : L’INSSPA intensifie les contrôles pour protéger les consommateurs

Le directeur général de l’Instance nationale de la sécurité sanitaire des produits Alimentaires (INSPPA) Mohamed Rabhi a souligné mardi à Monastir que la loi sera strictement appliquée en cas de vente de produits périssables de manière anarchique et en dehors de la chaine de froid, au cours du mois de ramadan.

Il a indiqué dans une déclaration à la TAP, en marge de la première réunion des directeurs régionaux de l’INSPPA pour l’année 2025, que la sécurité alimentaire est une responsabilité conjointe entre l’administration à travers ses structures de contrôle, les prestataires de service qui doivent respecter leurs engagements, et le consommateur qui doit avoir une culture sanitaire lui permettant de mieux choisir les produits.

Rabhi a précisé que la réunion des directeurs régionaux de l’INSPPA a été consacré à l’étude du programme spécifique de contrôle des produits alimentaires au cours du mois de ramadan qui avait démarré le 15 janvier 2025.

Par ailleurs, il a relevé que l’INSPPA œuvre à instaurer le régime de qualité à travers le processus d’accréditation qui requiert la réhabilitation des structures de contrôle et des contrôleurs et la mise à profit des équipements, ajoutant que l’instance poursuit la formation de 500 contrôleurs répartis sur tout le territoire.

Le directeur général de l’INSPPA a précisé que l’instance s’emploie à instaurer le régime de qualité à travers les normes ISO 9001 ET ISO 17020 en vue d’atteindre l’accréditation qui lui permettra de contrôler le marché et les opérations d’importation, d’exportation et du tourisme et de concurrencer les instances de contrôle similaires à l’étranger.

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Forum tuniso-algérien au Kef : Renforcement des relations économiques

Le Forum des entrepreneurs tunisiens et algériens organisé par la Chambre de commerce et d’industrie du Nord-Ouest, se poursuit, mardi à la ville du Kef dans le cadre de la commémoration du 67ème anniversaire des événements tragiques de Sakiet Sidi Youssef (8 février 1958).

Cette rencontre constitue un espace d’échanges sur des questions relatives au renforcement de la coopération bilatérale entre les deux pays, au développement des échanges commerciaux et à l’amélioration du niveau de vie des habitants des zones frontalière.

Les débats se sont focalisés sur plusieurs thèmes liés à l’accroissement des opportunités de partenariat et d’échanges commerciaux entre les deux pays, au développement du tourisme et des régions frontalières, ainsi qu’à la recherche d’une approche commune pour pénétrer le marché prometteur de l’Afrique subsaharienne.

L’évènement a également permis d’avoir meilleur aperçu sur rôle de la Banque maghrébine pour l’investissement et le commerce extérieur (BMICE), que les autorités économiques tunisiennes cherchent à impliquer dans le financement de projets économiques dans de nombreux secteurs liés à la sécurité alimentaire et au renforcement de l’intégration maghrébine.

A cet égard, le directeur général de la BMICE, Faouzi Mosbah Bokhzam indiqué dans une déclaration à l’Agence TAP, que la Tunisie a reçu la part la plus significative des financements fournis par la banque depuis 2018, (55 millions de dollars), soit 59% des financements accordés aux pays du Maghreb.

Pour sa part, le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Nord-Ouest, Chérif Lachnani, a souligné à la TAP que cette rencontre des hommes d’affaires tunisiens et algériens servirait à établir une feuille de route regroupant toutes les parties prenantes du système d’échanges et de complémentarité économique.

Il a formulé l’espoir de voir l’intégration économique souhaitée jouer un rôle clé dans l’accès aux marchés africains prometteurs, en s’appuyant sur les mécanismes disponibles tels que le système de commerce libre continental, ou le marché commun de l’Est et du Sud de l’Afrique.

Ceci est d’autant plausible, a-t-il insisté, que les deux accords continentaux adoptés à cet effet offrent des exonérations et des facilités diverses concernant l’unification des efforts dans la logistique du transport terrestre.

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Coopération tuniso-japonaise : Première unité de biogaz transformant les déchets en énergie renouvelable à Sousse

Une cérémonie a été organisée mardi pour la remise de la première unité de production d’énergie verte utilisant le biogaz extrait des déchets ménagers, dans le cadre d’un accord de coopération entre l’Agence nationale de gestion des déchets (ANGED), le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (UN-Habitat) et l’ambassade du Japon en Tunisie.

Ce projet pilote, réalisé à la décharge contrôlée des déchets ménagers dans la région de « Oued Laya”, dans le gouvernorat de Sousse, vise à valoriser et exploiter le gaz biométhane extrait des déchets ménagers, en tant que source d’énergie renouvelable, et représente un modèle efficace pour l’application de l’économie circulaire des déchets.

Ce programme qui s’inscrit dans le cadre de la coopération entre les gouvernements tunisien et japonais et mis en œuvre par UN-Habitat, illustre les recommandations de la 8ème Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique « TICAD 8 », qui s’est tenue en Tunisie les 27 et 28 août 2022.

L’ambassadeur du Japon en Tunisie, Takeshi Osuga, a indiqué à cette occasion, que ce projet constitue une première initiative en Tunisie pour transformer les déchets en énergie renouvelable.

Il a souligné que cette technologie innovante contribue à la protection de l’environnement et à la réalisation d’un développement durable.

Le diplomate japonais a exprimé sa conviction que cette initiative contribuera à renforcer la gouvernance environnementale en Tunisie et à atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies.

De son côté, le DG de l’ANGED, Badreddine Lasmar, a souligné que la gestion des déchets en Tunisie figure parmi les axes prioritaires de l’activité du gouvernement.

Il a mis en relief, par la même occasion, les efforts déployés  à la recherche de nouveaux moyens pour recycler différents types de déchets, de renforcer l’économie circulaire, de valoriser l’énergie et d’impliquer le secteur privé.

Pour sa part, le chef du projet de transformation des déchets en énergie électrique au Bureau de UN-Habitat   en Tunisie, Majdi Frihi, a précisé dans une déclaration à la TAP  qu’une étude a été menée concernant le processus de gestion des déchets en Tunisie, depuis le tri à la source jusqu’au dépôt à la décharge finale.

Des données ont été collectées qui ont permis d’identifier les différents problèmes rencontrés, a-t-il noté.

Il a rappelé qu’un financement a été accordé, à l’occasion de la TICAD pour valoriser le gaz biométhane, précisant que  la décharge de Oued Laya a été choisie étant donnée que  Sousse est l’une des premières villes tunisiennes à avoir rejoint le réseau africain des villes propres.

Le responsable a précisé que l’unité n’exploite que 1,5 % de l’énergie que peut fournir la décharge contrôlée et qu’elle convertit entre 20 et 30 mètres cubes par heure de gaz biométhane en 60 kilowatts par heure d’électricité, ce qui suffit pour alimenter 400 foyers par an en électricité à partir des déchets.

Il a également estimé que la production peut atteindre 2200 mètres cubes par heure d’ici 2030.

L’ANGED et la STEG ont convenu d’un prix de vente unifié, qui est en réalité l’objectif principal de ce projet pilote, qui sera suivi par d’autres projets, a-t-il soutenu.

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Promotion de l’huile d’olive tunisienne au Kenya : lancement du « Tunisian Olives and Olive Oil Promotion Day »

«Tunisian Olives and Olive Oil Promotion Day», la nouvelle action de réseautage et de promotion de l’Huile d’olive Tunisienne a été lancée, le 30 janvier 2025 à Nairobi (Kenya) à l’initiative de l’Ambassade de Tunisie à Nairobi et le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX).

Cet évennement marque le lancement du programme promotionnel de l’huile d’olive en Afrique de l’Est.

Selon un communiqué publié, mardi par le CEPEX, cette action s’inscrit dans le cadre du programme national spécifique de promotion de l’huile d’olive tunisienne pour l’année 2025, visant notamment à promouvoir les exportations d’huile d’olive conditionnée en Afrique Subsaharienne.

L’Ambassadeur de Tunisie à Nairobi, Anouar Ben Youssef, a souligné, lors de son discours d’ouverture, la qualité exceptionnelle de l’huile d’olive tunisienne, qui fait de la Tunisie l’un des plus grands exportateurs mondiaux de cet « or vert ». Il a également mis en avant le développement des exportations tunisiennes vers le marché kenyan.

Pour sa part, Mourad Ben Hassine, Président Directeur Général du CEPEX, qui est intervenu à distance, a mis en exergue les vertus de ce « Trésor national à partager avec le monde » et a présenté un aperçu de l’oléiculture en Tunisie ainsi que du positionnement stratégique du pays à l’échelle internationale, notamment en ce qui concerne le développement des exportations d’huile d’olive, en particulier de l’huile d’olive biologique.

Ont participé à cet événement, huit entreprises tunisiennes spécialisées dans la production et l’exportation d’olives, d’huile d’olive et de produits dérivés (conserves de thon, tapenade d’olives, sauces à base d’huile d’olive, salades et harissa à l’huile d’olive…), souligne la même source.

Et d’ajouter que cette première présence sur le marché kenyan, a permis aux entreprises Tunisiennes de présenter leurs produits et de mettre en avant leur qualité irréprochable lors d’une session de dégustation spécialement organisée pour faire découvrir la finesse des produits tunisiens.

Plus de 40 participants, parmi lesquels des représentants des ministères techniques, des organismes et institutions kenyans actifs dans le secteur de l’huile d’olive, des importateurs de produits alimentaires, des chefs cuisiniers officiant dans de grands hôtels de Nairobi ainsi que des membres de la presse kenyane, ont pris part à cette rencontre.

Il convient de rappeler qu’en 2023, la Tunisie a été le premier exportateur d’huile d’olive vers le Kenya, avec une valeur de 1,99 million USD (6,4 millions de dinars), représentant 58 % du total des importations kényanes d’huile d’olive. Le Kenya est ainsi devenu le deuxième client de l’huile d’olive tunisienne en Afrique subsaharienne.

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« Armatures Savoyardes » choisit la Tunisie pour sa nouvelle unité de fabrication d’armatures personnalisées

L’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA-Tunisia) annonce mardi, avoir organisé une visite de travail pour les responsables de la société française « Armatures Savoyardes », Adel El MEEZI et Chokri DAHECH qui souhaitent créer une unité de fabrication et fourniture d’armatures sur mesure en Tunisie.

Cette visite s’inscrit “dans le cadre de son programme promotionnel et de développement des investissements responsables et à forte valeur ajoutée dans les secteurs porteurs et les activités novatrices et dans l’orientation d’encourager la Diaspora à investir en Tunisie”.

Le programme s’est déroulé les 29 et 30 janvier 2025, avec les principaux intervenants concernés. Lors d’une réunion avec Jalel Tebib, Directeur Général de FIPA-Tunisia, les représentants de ladite société ont confirmé leur intérêt pour la Tunisie comme site favorable pour le développement de leurs affaires et leurs projets d’investissement et ce pour conquérir des nouveaux marchés européens ou africains.

Pour sa part, Tebib a présenté le rôle de FIPA dans l’accompagnement et l’assistance des entreprises ainsi que le climat d’affaires et d’investissement et le savoir-faire dont dispose les compétences nationales qui ont fait de la Tunisie un pays très compétitif pour ce type de projet.

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Nouvelle réglementation des chèques en Tunisie : impacts sur les entreprises et alternatives de financement

La nouvelle réglementation des chèques, perçue par certains acteurs économiques, comme une avancée inévitable qui vise à rétablir le véritable rôle du chèque, en tant qu’instrument de paiement, suscite de vives appréhensions de la part des entreprises qui déplorent l’absence d’alternatives au financement par chèques, c’est ce qui ressort d’une Journée d’information sur “La nouvelle réglementation des chèques : quels impacts et quelles solutions” organisée, mardi, à Tunis, par la CONECT (Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie).

La nouvelle loi (N°41-2024 promulguée le 2 août 2024) portant, principalement, sur la nouvelle réglementation des chèques, avait prévu une mise en œuvre effective le 2 février 2025, de la plupart des dispositions pour donner le temps aux différentes institutions concernées (ministère de la justice, BCT, banques, entreprises…) de se préparer. Toutefois, plusieurs dispositions pratiques essentielles (nouveau format du chèque, utilisation de la plateforme créée…) n’ont pu être présentées aux entreprises, afin qu’elles s’y adaptent et s’y préparent.

Par ailleurs, plusieurs dispositions de la loi demeurent méconnues de beaucoup d’entreprises (ouverture de comptes chèques, limitation des carnets de chèques, nouvelle plateforme numérique, nouvelles procédures relatives au chèque sans provision, nouvelles sanctions, procédure de conciliation et engagement, réduction des intérêts sur les crédits à taux fixes, mesures transitoires pour l’ancienne loi, mesures relatives à la clôture des comptes bancaires…). Aussi, avec la criminalisation des chèques de garantie et des chèques antidatés, la loi risque fortement d’impacter le financement de l’activité des entreprises.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le président de la CONECT, Aslan Berjeb a estimé “qu’il est encore tôt pour s’exprimer sur les problématiques liées à cette réglementation. Il faut attendre quelques semaines pour pouvoir tirer les premiers bilans. Mais maintenant que la loi a été promulguée et la plateforme “TuniChèque“, opérationnelle, cela ne servira à rien de remettre en cause un texte déjà en vigueur “.

Et d’enchaîner, ” je pense que c’est une opportunité pour que le chèque reprenne sa place de moyen de paiement à vue et que d’autres moyens de paiement le remplacent pour ce qui concerne l’aspect garantie, car le chèque n’a jamais été, de par la loi, un moyen de garantie bien que l’usage en a fait un, aussi bien pour l’entreprise que pour le citoyen. C’est aussi une opportunité pour une intégration progressive d’une bonne partie du secteur informel. Reste que les secteurs public et privé doivent se pencher ensemble sur le développement d’alternatives viables, en relevant les défis technologique, de cyber-sécurité et de respect des données personnelles. Le tout doit être assorti d’un système judiciaire efficace et efficient qui prend en considération le temps, facteur cardinal des échanges commerciaux”.

“Des outils existants (crowdfunding, crédit bureau, assurance-crédit, cartes de crédit), peuvent contribuer à réduire les effets négatifs sur la capacité de financement des entreprises. La traite doit, également, reprendre le rôle qui est le sien comme instrument de crédit. Nos secteurs bancaire et financier doivent faire preuve d’ingénierie et d’innovation pour mieux accompagner cette transition. Je pense que les changements disruptifs et radicaux se font dans des temps particuliers. Nous sommes dans une situation économique particulière et c’est à ce moment que les grands changements doivent s’opérer. Les entreprises ont besoin d’un peu temps pour s’acclimater”.

Sofiène Weriemi, Expert-comptable et enseignant universitaire pense, toutefois, que l’impact économique est le vrai défi qu’il faut prendre en considération. “Le chèque a toujours été pour les tunisiens un mécanisme de financement et non pas un simple instrument de paiement, avec un taux de rejet qui n’a jamais dépassé 3% et un volume supérieur à 123 milliards de dinars en 2023.

Changer sa vocation du jour au lendemain, posera un grand problème en matière de financement des entreprises, notamment les PME, et de la consommation”.

“L’économie tunisienne et le secteur bancaire et financier n’ont à ce jour, pas développé d’alternatives pour remplacer le chèque notamment pour le financement des entreprises.

Il y aura peut-être un remplacement partiel par des mécanismes d’assurance crédit ou de crowdfunding malgré les contraintes liées à ces instruments, mais pas d’alternatives viables qui peuvent maintenir la stabilité de l’activité économique et le rythme de consommation”. “Ce passage aurait dû être mieux préparé” a-t-il conclu.

Intervenant, le Directeur central commercial de la COTUNACE, Nizar Bezzai a présenté le mécanisme d’assurance crédit, un mécanisme ancien mais qui gagnera en ampleur avec la nouvelle loi sur les chèques. Il vise à protéger les entreprises contre d’éventuels impayés aussi bien sur le marché local qu’à l’export.

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AMI Assurances devient BNA Assurances : Une nouvelle identité pour une nouvelle ère

AMI Assurances entame une nouvelle phase de son développement en adoptant une nouvelle identité et devient BNA Assurances. Ce changement marque une étape décisive pour le secteur de l’assurance en Tunisie et illustre une vision partagée entre l’AMI et le groupe BNA, fondée sur des valeurs de confiance, de proximité et d’expertise. Cette évolution s’inscrit dans une dynamique de consolidation et de modernisation visant à offrir des services toujours plus performants et adaptés aux besoins des clients.

BNA Assurances ambitionne ainsi de bâtir l’assurance de demain, en s’appuyant sur un riche héritage, une expertise éprouvée et une capacité d’innovation au service de la sérénité de ses assurés. Grâce à cette nouvelle identité, la compagnie réaffirme son engagement à redéfinir les relations entre assureur et assuré, en plaçant l’humain et la confiance au cœur de chaque interaction.

Pour accompagner cette transition, BNA Assurances dévoile un nouveau logo, épuré et moderne, incarnant son dynamisme et son ambition. Ce choix reflète la volonté de la marque d’offrir des solutions d’assurance claires, accessibles et en phase avec les attentes de ses clients.

Un acteur majeur qui renforce sa position sur le marché

Malgré un contexte économique difficile, BNA Assurances affiche des performances solides. Avec un chiffre d’affaires dépassant les 174 millions de dinars, la compagnie continue de se développer en s’appuyant sur des canaux de distribution stratégiques et une approche résolument tournée vers l’innovation.

Skander Naija, Directeur Général de BNA Assurances, exprime la fierté de toute les équipes BNA Assurances quant à cette évolution majeure : “Nous sommes fiers d’appartenir à une compagnie qui affiche de grandes ambitions pour l’avenir. Ce changement d’identité s’inscrit dans une logique de croissance et de renforcement de notre position sur le marché. En adoptant le nom de BNA Assurances, nous affirmons encore plus notre solidité financière et notre attachement au groupe BNA Bank. Ce rapprochement est le fruit d’une stratégie claire et cohérente, visant à développer des solutions performantes en bancassurance.”

BNA Assurances : une nouvelle identité, mais “l’AMI de toujours”

Si l’identité change, les fondamentaux restent : sécurité, savoir-faire et responsabilité demeurent les piliers de l’engagement de BNA Assurances. Plus que jamais, la compagnie entend accompagner ses assurés avec des services performants, innovants et adaptés aux défis de demain.

Ce changement marque le début d’un nouveau chapitre ambitieux pour BNA Assurances, avec la promesse de continuer à être un partenaire de confiance, solide et proche de ses clients.

 

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Inauguration du nouveau showroom 3S Chery à Charguia 1 : une soirée festive et riche en annonces

C’est dans une ambiance chaleureuse et festive que s’est déroulée, le jeudi 30 janvier 2025, la cérémonie d’ouverture du nouveau showroom 3S Chery à Charguia 1.

L’événement a réuni de nombreux invités d’honneur, dont les responsables de STA, représentant officiel de la marque chinoise Chery en Tunisie, l’équipe de K2EM au grand complet, ainsi que des personnalités du monde de l’automobile et des médias.

La soirée a débuté par un mot de bienvenue de gentleman Hamdi Hadda, suivi d’une intervention des responsables de K2EM qui ont souligné l’importance de cette nouvelle concession et les défis qui y sont liés.

L’expert automobile Zakaria Ben Guiza a ensuite pris la parole pour présenter la marque Chery et ses différents modèles, en mettant en lumière les avancées significatives du constructeur chinois en matière de technologie, d’innovation, de sécurité et de design.

Les invités ont ensuite eu l’occasion de visiter les ateliers SAV de l’agence agréée, équipés des dernières technologies pour assurer un service après-vente de qualité aux clients de la marque.

Le point culminant de la soirée a été l’annonce du lancement du tout nouveau SUV Chery Tiggo 4 Pro, dévoilé par le directeur marketing de STA. Ce modèle, qui vient enrichir la gamme Chery en Tunisie, a suscité l’enthousiasme des présents grâce à ses nombreuses qualités et ses atouts concurrentiels.

La soirée s’est poursuivie dans une ambiance conviviale et festive, avec une animation musicale exceptionnelle assurée par le chanteur Fares Alarabi, qui a interprété en exclusivité des titres inédits.

Cet événement marque une étape importante dans le développement de la marque Chery en Tunisie et témoigne de l’engagement de K2EM à offrir un service de qualité et une expérience client unique.

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Championnat du monde des arts culinaires 2025 : 400 chefs et pâtissiers en compétition à Hammamet

La quatrième édition du Championnat du monde des arts culinaires et de la pâtisserie se tiendra du 10 au 12 février à Hammamet, a annoncé ce mardi l’Association Golden Falcons Culinaire (AGFC), organisatrice de l’événement.

Plus de 400 participants issus de 31 pays, dont des chefs et pâtissiers de renom, s’affronteront pour mettre en avant leur créativité et leurs innovations gastronomiques.

Selon le communiqué de l’Association, cette compétition internationale vise à promouvoir les échanges culturels, à valoriser les savoir-faire culinaires et à moderniser le patrimoine gastronomique. Parmi les pays représentés figurent la Libye, l’Algérie, le Maroc, l’Égypte, l’Arabie Saoudite, la Turquie, la Corée du Sud, la France, l’Allemagne et l’Italie.

La compétition, considérée comme l’un des plus prestigieux dans le domaine, réunira un jury international spécialisé pour évaluer les plats et pâtisseries.

Au programme : concours de cuisine créative, démonstrations en direct de techniques traditionnelles et modernes, ainsi que des ateliers animés par des chefs étoilés. Les expositions présenteront également les dernières innovations technologiques en matière d’outils culinaires.

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Tunisie : Avialys envisage l’ouverture d’un centre d’intelligence artificielle et cybersécurité

Eddy Taieb, président d’Avialys, une société française spécialisée dans les technologies de l’information, la cybersécurité, l’informatique et la télécommunication, a effectué une visite de prospection les 30 et 31 janvier dernier, en Tunisie, afin d’étudier la possibilité d’établir un centre de recherche et de développement, dédié à l’intelligence artificielle (IA) et à la cybersécurité ainsi qu’un laboratoire d’IA, en Tunisie, a indiqué la FIPA (Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur).

Taieb a été reçu le 31 janvier, par le directeur général de l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA), Jalel Tebib, au siège de l’agence.

A cette occasion, Tebib a relevé que ” la Tunisie connaît une augmentation importante du nombre de start-up spécialisées dans l’IA qui ont réussi à lever des fonds pour développer leurs technologies à l’instar de la startup Insta Deep qui a conquis le monde ou encore Enova Roboctics.

Il a, également, mis en avant le potentiel du pays grâce à ses talents, sa position géographique et l’ambition de la Tunisie de devenir un hub d’innovation en IA, reliant l’Europe et l’Afrique.

Et de rappeler la disponibilité de la FIPA à assister l’entreprise et l’appuyer dans toutes les démarches d’implantation, afin de concrétiser ce projet en Tunisie.

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Tunisie : Un projet de 6 millions de dollars pour améliorer la gestion des sols et des cultures

Le projet «Améliorer la gestion intégrée des sols et des cultures pour des systèmes alimentaires durables en Afrique» (SoilFER- VACS) a été lancé, lundi, lors d’un atelier tenu à Tunis, a fait savoir, mardi, la FAO.

Bénéficiant d’un financement de six millions de dollars accordé par le Ministère des Affaires Etrangères du Japon, ce projet est mené par le ministère de l’Agriculture en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Il permettra de fournir des données actualisées et précises sur les sols à différentes échelles – locale, infranationale (échelle administrative inférieure à celle de la nation: région, département ou commune) et nationale, en vue d’une prise de décision éclairée.

Ces données serviront de base à une série d’outils et de plateformes, notamment des cartes des sols à haute résolution et des applications décisionnelles faciles à utiliser. L’objectif étant d’aider les agriculteurs et le gouvernement à optimiser la productivité et la durabilité de l’agriculture.

Incluant la Tunisie et le Mozambique, ce projet SoilFER- VACS (Vision pour des Cultures et des Sols Adaptés) repose sur “une approche intégrée de l’agriculture”, soulignant “l’interconnexion entre les cultures et les sols”. Cette approche implique “la sélection des variétés de cultures les mieux adaptées aux conditions locales, garantissant, ainsi, une résilience et une meilleure productivité”.

L’initiative encourage, également, la culture de produits traditionnels et locaux, souvent mieux adaptés aux climats et aux types de sols spécifiques. Selon la FAO, cette approche est essentielle pour doter les communautés locales des connaissances et des outils nécessaires à la mise en œuvre efficace des pratiques de gestion durable des sols, augmentant ainsi, leur résilience face aux défis actuels du secteur agricole.

Les données collectées serviront à l’élaboration de cartes des sols à l’échelle nationale, mettant en évidence la fertilité des sols et les propriétés telles que le carbone organique du sol (SOC), le pH, la texture, la densité apparente et d’autres caractéristiques pertinentes.

Ces cartes serviront de base pour déterminer les cultures principales et traditionnelles les mieux adaptées à des zones spécifiques et pour optimiser l’utilisation d’engrais afin d’améliorer la santé des sols et le rendement des cultures.

Cet atelier constitue une phase préparatoire essentielle pour établir les mesures nécessaires à une mise en œuvre collaborative et efficace du projet en Tunisie. Des réunions réunissant tous les acteurs et partenaires, ainsi que des consultations avec les parties prenantes pertinentes, permettront de préparer le Plan de travail national SoilFER..

Lors de cet atelier, le chef de cabinet du ministre de l’Agriculture des ressources hydrauliques et de la pêche, Heykel Helchef a souligné que ce projet vise développer l’agriculture en Tunisie en améliorant les rendements des cultures et la sécurité alimentaire.

Cet objectif sera réalisé grâce à des pratiques de gestion durables et résilientes face au changement climatique, en mettant l’accent sur les variétés de cultures adaptées aux conditions locales et sur la valorisation des cultures traditionnelles.

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Plateforme “Tunichèque” : 23 banques tunisiennes pour des transactions électroniques sécurisées

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a publié, lundi, une circulaire établissant la liste des institutions adhérentes à la Plateforme Electronique Unique des Chèques “Tunichèque”.

Cette liste “sera actualisée chaque fois que nécessaire et, dans tous les cas, au moins une fois tous les six mois”, selon l’institut d’émission.

Elle comprend 23 banques:
– Al Baraka Bank Tunisie
– Amen Bank (AB)
– Arab Tunisian Bank (ATB)
– Attijari Bank (ABT)
– Bank ABC
– BH Bank
– Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT)
– Banque Nationale Agricole (BNA)
– Banque de Tunisie (BT)
– Banque de Tunisie et des Émirats (BTE)
– Banque Tuniso-Koweitienne (BTK)
– Banque Tuniso-Libyenne (BTL)
– Banque Tunisienne de Solidarité (BTS)
– Banque Zitouna
– North Africa International Bank (NAIB)
– Office National des Postes
– Qatar National Bank (QNB)
– Société Tunisienne de Banque (STB)
– Tunis International Bank (TIB)
– Tunisian Saudi Bank (TSB)
– Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI)
– Union Internationale de Banques (UIB)
– Wifak Bank

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Hyundai Tunisie lance une offre service inédite : l’huile moteur offerte pour le troisième entretien successif

Alpha Hyundai Motor, distributeur officiel de la firme automobile sud-coréenne Hyundai en Tunisie, poursuit son engagement en faveur d’un service de proximité et de qualité.

Toujours soucieux d’améliorer l’expérience client, Hyundai Services Tunisie annonce l’ouverture d’un tout nouveau point dédié exclusivement à l’entretien et au service rapide, situé à la Charguia-I  (https://maps.app.goo.gl/b2A8KN628XGdYep37 ). Cette initiative vise à offrir une prise en charge plus fluide et efficace, garantissant un service de qualité à tous les clients, en renforçant la proximité avec eux.

Grâce à une équipe spécialement formée, ce nouveau centre propose une large gamme de prestations essentielles afin d’assurer un entretien optimal des véhicules. Les services incluent les inspections périodiques, les opérations liées aux vidanges, le remplacement des plaquettes et disques de frein, ainsi que le contrôle de la suspension et de la direction. Ce centre garantit une intervention rapide et efficace tout en maintenant les standards de qualité élevés qui font la réputation de Hyundai Tunisie.

Dans ce contexte, Hyundai Tunisie introduit une offre inédite et exclusive dans le secteur automobile en Tunisie : l’huile moteur est offerte après chaque deux entretiens périodiques successifs effectués. Concrètement, à chaque troisième entretien successif réalisé, l’huile moteur de la marque TotalEnergies est intégralement prise en charge par Hyundai Services Tunisie.

Ce programme exceptionnel révolutionne l’entretien automobile en offrant aux clients un avantage financier considérable et une tranquillité d’esprit inégalée. Grâce à cette initiative, Hyundai Services Tunisie permet à ses clients de réduire considérablement les coûts d’entretien de leur véhicule, tout en bénéficiant d’une huile moteur de qualité de la marque TotalEnergies. Cette offre exclusive témoigne d’un engagement fort en faveur de la satisfaction client et du renforcement de la fidélité à la marque.

Cette initiative illustre la volonté de Hyundai Tunisie d’innover et d’apporter une valeur ajoutée concrète aux automobilistes tunisiens. En intégrant cette dimension d’entretien privilégié, Hyundai Tunisie se démarque de la concurrence en offrant bien plus qu’un simple service après-vente : une expérience client repensée et optimisée pour plus de confort et d’économies.

En installant ce nouveau centre à la Charguia I, Hyundai Services Tunisie souhaite se rapprocher davantage de sa clientèle, en lui offrant un service rapide et accessible. Situé dans une zone stratégique, ce centre de service rapide permet aux clients de bénéficier d’une prise en charge efficace et d’un accompagnement sur mesure pour assurer la longévité et la performance de leur véhicule Hyundai.

Mehdi Mahjoub, Directeur Général de Hyundai Tunisie, déclare : « L’ouverture de ce centre de service rapide à la Charguia s’inscrit dans l’engagement continu à offrir aux clients des prestations de haute qualité, adaptées à leurs besoins en matière d’entretien et de maintenance automobile. L’objectif est de garantir une prise en charge efficace et sans contrainte, pour leur offrir une expérience fluide et optimale. »

Ce nouveau centre sera ouvert selon les horaires suivants :

  • Du lundi au jeudi : 07h45 – 12h30 | 13h30 – 17h30
  • Le vendredi : 07h45 – 12h30 | 14h15 – 17h30

Hyundai Tunisie invite ses clients à découvrir ce nouveau service qui leur est dédié et à profiter d’une expérience optimisée pour l’entretien et la maintenance de leurs véhicules.

Pour tout renseignement ou prise de Rendez-vous appelez le : 31.398.018

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Le tissu industriel tunisien en danger : Plus de 7500 emplois perdus en un an !

industrie
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Une fois n’est pas coutume, l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII), habituée à ne tolérer dans ses publications que des informations positives, a publié des statistiques sur les entreprises qui ont disparu en 2024.

D’après l’APII, 41 entreprises industrielles opérant pour le marché local ont passé la clef sous la porte en 2024.

Conséquence : le tissu industriel tunisien s’en est ressenti. Il ne compte plus que 4661 entreprises opérationnelles dans l’industrie en 2024,  contre 4702 à la fin de 2023 et 5333 il y a 5 ans.

Dans le détail, la fermeture a concerné les usines dans les secteurs du textile & habillement (-11), dans l’industrie de la chaussure (-5) et la chimie (-4).

Toujours selon la même source, ce sont les industries des matériaux de construction qui affichent en 2024 les disparitions de sites industriels les plus importantes : -17 entreprises par rapport à 2023 et -97 depuis l’année 2019 soit, le taux de déperdition le plus élevé des cinq dernières années.

L’emploi dans le secteur industriel a été, également, impacté par ces disparitions. L’industrie tunisienne qui occupait 533,6 milliers de personnes à la fin de 2023 n’en occupait à la fin de l’année dernière que 526,0 mille soit, une perte de plus de 7500 emplois.

Par région, les disparitions d’entreprises ont  été particulièrement importantes dans la région de Sfax. À lui seul, le gouvernorat de Sfax a enregistré plus de la moitié des fermetures d’usines : -28 sur les 41 sites pour toute la Tunisie. La région du Grand Tunis est la deuxième région la plus sinistrée avec la fermeture de 16 entreprises industrielles depuis l’an dernier.

ABS

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FMI et gouvernance : La Tunisie va-t-elle enfin rationaliser ses institutions ?

AdministrationConsciemment ou inconsciemment, le président Kaïes Saïed, en critiquant de manière virulente la prolifération des structures étatiques inutiles, vient de satisfaire une des conditions exigées par le FMI pour accorder à la Tunisie des facilités. 

Cette conditionnalité concerne la réforme de “la convergence institutionnelle des structures en charge de l’investissement”. Cette réforme est proposée dans un cadre plus large celui de l’amélioration du climat des affaires. Retour sur une prise de conscience d’une réforme salutaire pour le pays.

Présidant, le 20 janvier 2025, un conseil ministériel restreint groupant le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia et le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, le président de la République, Kaïs Saïed, a dénoncé l’hypertrophie des institutions administratives « inutiles ».

Encore une fois, le Président Kaïs Saïed met le doigt sur une des plus grandes injustices dont ont souffert les tunisiens au temps des régimes autoritaires de Bourguiba, de Ben Ali et des islamistes. Il s’agit du clientélisme et son corollaire ce qu’on peut appeler le “tribalisme professionnel” qui a prévalu au cours de ces périodes sombres.

Haro sur le clientélisme

Du temps de ces régimes autoritaires, pour satisfaire les désirs de leurs proches en matière d’emploi et de notoriété, les gouvernants au pouvoir créaient des structures sur mesure à la tête desquelles, ils nommaient leurs proches. Il s’agit de postes juteux accompagnés d’importants privilèges : PDG, Directeurs généraux, ambassadeurs, représentants à l’étranger (ONTT, FIPA, Cepex…). Ces nominations sont faites souvent par filiation, népotisme, clanisme, tribalisme et clientélisme.

« Une administration pléthorique est une économie asphyxiée. »

 

Le résultat ne s’est fait pas attendre. Après des dizaines d’années, le pays s’est trouvé confronté à une profusion d’institutions ayant la même mission et sans aucun résultat notoire. Ces mêmes institutions qui se sont avérées des coquilles vides.

Le chef de l’Etat a évoqué particulièrement, “la structure tentaculaire des agences et structures liées à l’investissement. Tout en soulignant que ni l’investissement escompté n’a été réalisé, ni les fonds de la collectivité nationale n’ont profité au peuple tunisien. Ce dernier se trouvant assujetti à l’obligation de payer des impôts pour les financer”.

Il a cité  en exemple “nombre d’agences et d’organismes relevant de l’un des départements ministériels et dont les fonds affectés s’élèvent excessivement à plus de 500 millions de dinars”.

« L’administration doit servir l’investissement, pas l’inverse. »

 

Le Président Kaïes Saïed s’est particulièrement attardé sur la pléthore des structures en charge de l’appui et de la promotion de l’investissement  : «Alors que dans certains pays il n’y a qu’un seul et unique interlocuteur, en Tunisie l’investisseur est contraint de traiter avec un Conseil supérieur de l’investissement, une Instance tunisienne de l’investissement et un Fonds tunisien d’investissement. Autant de structures auxquelles s’ajoutent quatre autres agences liées à l’investissement extérieur, à l’investissement agricole, à la promotion des exportations et la promotion de l’investissement industriel et la cinquième pour la promotion de l’industrie et de l’innovation », a fait remarquer le chef de l’Etat .

Un raisonnement à l’envers

Et le Chef de l’Etat d’ajouter: “Cette profusion institutionnelle procède d’un raisonnement à l’envers qui fait que l’investissement provient de l’hypertrophie des institutions et non de la création de la richesse et sa distribution juste et équitable entre tous les citoyens”.

Au final, nous pouvons dire que cette prise de conscience tardive de supprimer des institutions qui ne sont plus utiles et qui représentent « une charge inutile pour le budget de l’État » n’est pas une mauvaise chose. Elle est même fort souhaitée par tout tunisien animé de bon sens. Toutefois, l’enjeu pour le gouvernement réside dans le dépassement de ces évidences et dans sa volonté de passer du tendanciel vers le mode d’action.

Abou SARRA

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