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OTIC : Nécessité de revoir les contrats d’exploitation sous l’appellation d’origine

Le Président de l’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (OTIC), Lotfi Riahi a appelé le  ministère du commerce à revoir les contrats d’exploitation sous l’appellation d’origine et à trancher la question des circuits de distribution afin de permettre le transfert direct des produits vers les marchés de gros.

Dans une interview réalisée au studio TV de l’agence TAP sur la nouvelle plateforme des chèques  et la consommation, Riahi a déclaré que le ces contrats ont eu un impact un évident sur les produits offerts pendant la période des soldes qui sont en provenance de plus de 80 % de ces contrats. Il a montré que les saisons des soldes dans la plupart des pays du monde ont été orientées vers l’aide aux producteurs locaux, alors qu’en  Tunisie, elles ont été orientées vers ces entreprises qui affichent des enseignes étrangères, et qui ont eu un impact négatif sur la main-d’œuvre tunisienne. Il a souligné l’importance de ne pas importer de tels produits en Tunisie pour préserver le tissu économique du pays et soutenir les petits artisans et producteurs locaux. Evoquant le marché intérieur, Riahi a relevé que l’organisation qui reste consciente de la détérioration du pouvoir d’achat d’un citoyen à cause de la hausse des prix, estime que le pays vit une « inflation artificielle » qui nécessite une intervention.

Il a souligné la nécessité de relier les zones de production tunisiennes, connues comme étant des marchés de gros, tout en éliminant le rôle des intermédiaires.

Avec TAP

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L’OTVC n’a reçu aucune plainte concernant la nouvelle plateforme de chèques

L’Organisation Tunisienne pour Informer le Consommateur (OTIC) n’a reçu aucune plainte concernant la nouvelle plateforme électronique centralisée des chèques. C’est ce qu’a affirmé son président de Lotfi Riahi.

Et d’ajouter que la Banque centrale de Tunisie (BCT) est en mesure de faire appliquer plusieurs lois adressées aux banques en sanctionnant les contrevenants.

Dans une interview réalisée au studio TV de l’Agence TAP et axée sur la nouvelle plateforme des chèques et les recommandations de l’OTIC, M. Riahi a relevé que la nouvelle loi a rétabli le rôle du chèque en tant qu’outil de paiement immédiat et a redonné à la lettre de change son véritable rôle d’outil de paiement différé.

Dans ce contexte, M. Riahi appelle à la nécessité de fournir les mécanismes nécessaires pour faciliter la mise en œuvre de cette loi. Les banques doivent accorder une série de services de paiement par cartes bancaires. Et ce, tout en sécurisant la lettre de change sans pour autant appliquer des frais exorbitants.

Le responsable a passé en revue plusieurs lois concernant le secteur bancaire qui ne sont toujours pas appliquées, comme la loi n° 732 sur les comptes gelés et la loi 412 sur les intérêts.

Dans le même contexte, il a souligné la nécessité de mettre en œuvre ces lois, qui ont un impact sur le pouvoir d’achat du consommateur et son rôle dans la dynamisation de l’économie.

Avec TAP

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Kamel Maddouri réunit un CMR sur le projet de restructuration de la Cité de la Culture

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, mercredi 29 janvier au palais du gouvernement à La Kasbah, un conseil ministériel restreint. Lequel était consacré à l’examen du projet de restructuration de la Cité de la Culture. Et ce, dans la perspective de promouvoir son rendement et de garantir la bonne gestion de ses ressources et potentialités.

La présidence du gouvernement indique, dans un communiqué, que ce conseil s’inscrit dans le droit-fil de la vision du chef de l’Etat tendant à promouvoir les attributs d’efficacité et de rendement des établissements et entreprises publics, dont la Cité de la Culture. Ainsi qu’à identifier les solutions idoines permettant de développer et de restructurer les institutions culturelles et de développer la production culturelle, créative et artistique. Afin de contribuer à la production d’un contenu artistique et créatif de qualité qui soit en mesure de permettre d’affiner le goût public.

Après délibération et discussion, le Conseil a approuvé une série de mesures et décisions suivantes :

  • Adopter le principe de la révision globale de la structure et des attributions dévolues à la Cité de la Culture selon une vision et projet culturel intégré et durable qui rompt irréversiblement avec la profusion et l’hypertrophie des institutions et le chevauchement des tâches et met ainsi fin au manque au d’efficacité au niveau de leur gestion.

Cette approche aura le mérite de garantir l’attributs de la soutenabilité financière à travers la diversification de ses sources de financement et le développement de ses activités, précise le communiqué.

Dans ce contexte, il a également été décidé de mettre sur pied une commission technique associant les différents départements ministériels et organismes publics concernés. Cette commission sera chargée de la mission de superviser le processus de concrétisation de ce projet dans le cadre d’un plan exécutif établi à cet effet et assorti d’un échéancier précis.

  • Appeler le ministère des Affaires culturelles à entamer une refonte globale de l’ensemble des textes juridiques régissant l’activité culturelle et créative. Et ce, afin d’être en phase avec les derniers développements au double plan national et international. Dès lors que la culture est une industrie tout comme elle est un investissement dans la créativité et les créateurs.
  • Appeler le ministère des Affaires culturelles à œuvrer à diversifier la production culturelle au sein de la Cité de la Culture et à développer les contenus culturels de manière à contribuer à la diversification des sources de financement.
  • Réaffirmer la nécessité d’exploiter de manière optimale les différents espaces culturels dont dispose la cité de la culture de manière à exploiter comme il se doit les différentes potentialités de manière à permettre de diversifier les sources de financement.
  • Appeler le ministère des Affaires culturelles à la nécessité de coordonner étroitement avec le ministère de l’équipement et de l’habitat s’agissant d’identifier les modalités appropriées en vue d’exploiter au mieux la tour de la Cité de la Culture.
  • Appeler le ministère des Affaires culturelles à coordonner davantage avec le Ministère de l’Equipement et de l’habitat afin de parachever la remise du projet de la Cité de la Culture ainsi que le transfert des dossiers techniques afférents au projet sur la base desquels les garanties financières et légales sont suivies et les travaux d’entretien seront menés.
  • Appeler le département des Affaires culturelles à élaborer une stratégie de communication dans la perspective de promouvoir la Cité de la Culture conformément à la vision culturelle éminemment nationale.
  • Inviter le ministère des Affaires culturelles à réviser les textes relatifs au patrimoine et aux structures et organismes chargés de sa protection et soumettre un dossier à cet effet qui sera examiné en réunion d’un conseil ministériel restreint.

La restructuration de la Cité de la Culture s’inscrit dans le processus national et global de réformes

Prenant la parole, le chef du gouvernement a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur l’importance majeure que revêt la culture en Tunisie en tant que droit constitutionnel et un secteur parmi les secteurs de souveraineté.

Il a tenu à souligner que cet intérêt particulier porté à la culture procède de l’engagement à bâtir une culture nationale dans le cadre de la bataille de la libération nationale conformément à l’approche globale du président de la République, Kaïs Saïed.

M. Maddouri a souligné à ce propos que la restructuration de la Cité de la Culture est un projet qui s’inscrit dans le processus national et global de réformes centré autour du souci de garantir la gestion optimale des ressources de l’Etat. Mais aussi de l’impératif de conférer un surcroît d’efficience au rendement des entreprises et établissements publics, notamment ceux impliqués dans les affaires culturelles.

Cette nouvelle restructuration, a-t-il poursuivi, devra reposer nécessairement sur une vision innovante, dans le cadre d’un projet culturel global et durable.

Le chef du gouvernement a également mis l’accent sur la nécessité de concrétiser les attributs de la révolution législative. Et ce, conformément aux instructions du président de la République. A travers, notamment, les textes juridiques régissant le patrimoine, attribut essentiel de la souveraineté culturelle.

Il a, en outre, appelé à la nécessité d’être en phase avec les différents types de patrimoine culturel, naturel et géologique, tout particulièrement le patrimoine immatériel.

Dans ce contexte, le chef du gouvernement a vivement recommandé de s’aligner sur les définitions affinées de la notion du patrimoine telles qu’adoptées et élaborées par l’UNESCO. Tout en appelant à soutenir ces réformes structurelles à travers une révision en profondeur des législations régissant le domaine de la création culturelle et les créateurs dans les différents domaines.

Mobilisation générale

Il a, par ailleurs, souligné la nécessité de mobiliser toutes les ressources et les énergies en vue de parachever les différentes réformes dans le secteur culturel. De manière à conforter le rôle de la Cité de la Culture en tant qu’espace inclusif et un environnement propice à la créativité et à l’innovation.

L’objectif ultime, selon le chef du gouvernement, est de permettre à la Cité de la Culture d’accomplir au mieux sa mission dans la construction de sociétés saines et de les protéger face aux différentes formes de déviance et d’extrémisme intellectuel.

Cette cité devra, en outre, servir d’expression privilégiée de la richesse et à la diversité que connaît la Tunisie et contribuer ainsi à la réalisation des objectifs de développement durable. Et ce, à travers une bonne gestion des projets culturels, la protection du stock patrimonial et la valorisation de la production créative.

Un acquis national

Le chef du gouvernement a en outre mis l’accent sur l’importance de l’espace réservé à la Cité de la Culture, qui s’étale sur une superficie de neuf hectares au cœur de la capitale. Ce qui en fait un acquis national d’une richesse incontestée, illustrée à travers ses espaces culturels et ses domaines d’activité.

Un tel acquis si important, a fait savoir le chef du gouvernement, commande impérativement de veiller autant que possible à œuvrer à garantir sa bonne gestion et à restructurer de manière à en améliorer le rendement et à garantir la cohérence et l’harmonie entre les différents établissements culturels nationaux. Et ce, dans le cadre d’une vision nationale globale qui conforte le rôle sociétal de la cité culturelle.

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Réunion de la commission de récupération des fonds spoliés à l’étranger

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a présidé, mercredi 29 janvier 2025, une réunion périodique du « comité spécial » auprès de la présidence de la République. A l’ordre du jour : le recouvrement des biens mal acquis et des fonds spoliés existants à l’étranger.

La réunion a été l’occasion de soulever deux questions-clés liées aux fonds spoliés : « le suivi des résultats issus du premier rapport établi par ce comité présidentiel; et l’examen des différents obstacles qui freinent le processus de recouvrement des biens mal acquis existants à l’étranger ». C’est ce qu’on peut lire dans un communiqué du département des Affaires étrangères publié mercredi soir.

Au terme de cette réunion, et en concrétisation des instructions données par le président de la République en la matière, le comité a convenu d’adopter une « nouvelle approche » à double détente. Laquelle prend en considération les volets « diplomatique et judiciaire » dans le traitement de ce dossier.

Le comité a également décidé de formuler des « propositions concrètes » permettant de booster les efforts diplomatiques déployés par la Tunisie auprès de nombre de pays étrangers concernés par ce dossier. Et ce, afin d’accélérer le processus de récupération de ces fonds qui appartiennent au peuple tunisien.

Ont pris part à cette réunion : les ministres de la Justice, des Finances, des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières; le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT); le premier conseiller du président de la République; le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères; le conseiller diplomatique du chef du gouvernement; et le chef du contentieux de l’Etat.

Officiellement dénommé « comité spécial » auprès de la présidence de la République pour le recouvrement des biens mal acquis existants à l’étranger, cette structure a été créée en vertu du décret présidentiel n° 112-2020 du 22 octobre 2020.

Selon l’article 2 dudit décret, le comité s’est vu confier pour mission d’évaluer les différentes mesures qui ont été prises dans le cadre du processus de recouvrement des biens mal acquis existant à l’étranger et de proposer toute mesure qui conduirait à la réalisation de cet objectif.

Avec TAP

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Kaïs Saïed insiste sur l’harmonie de l’action gouvernementale

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, dans l’après-midi du mercredi 29 janvier au Palais de Carthage, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri.

Cité dans un communiqué de la présidence de la République, Kaïs Saïed a tenu à souligner le devoir qui incombe à chaque responsable en poste de s’attacher viscéralement à l’esprit et aux objectifs sous-tendant le texte de la Constitution ainsi qu’à ses dispositions claires et explicites. Il réaffirme à ce titre son appel incessant à ce que l’action gouvernementale soit menée dans le cadre d’un esprit de parfaite harmonie.

« Le peuple tunisien a consciencieusement frayé son propre chemin et a amorcé un nouvel épisode de son histoire. Une histoire à travers laquelle il a contribué souverainement à instaurer ses propres institutions », a souligné le président Saïed, appelant à ce propos chaque responsable en poste à prendre conscience de cet enjeu et à œuvrer sans relâche à répondre aux attentes légitimes de son peuple.

Avec TAP

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La fédération générale des surveillants et des surveillants généraux appellent à la régularisation de la situation des contractuels

La fédération générale des surveillants et des surveillants généraux a appelé mercredi à l’amendement du statut des surveillants et à la promulgation d’un décret relatif à la régularisation de la situation des surveillants contractuels.

La fédération a revendiqué, dans une motion professionnelle publiée à l’issue de la réunion de la commission administrative présidée par le secrétaire général adjoint de l’UGTT chargé de la fonction publique Mohamed Chebbi, l’augmentation de la prime des frais pédagogiques pour les surveillants et les surveillants généraux, appelant à la promulgation d’un décret relatif à l’amendement de la prime des frais pédagogiques pour le grade de surveillant en chef émérite et de surveillant général en chef émérite.

Les revendications portent également sur la promulgation d’un décret relatif à l’actualisation de la prime d’avancement des corps de surveillant et de surveillants généraux et l’ouverture d’un concours pour les surveillants généraux selon les critères convenus.

La commission administrative a appelé à la mise en oeuvre des accords précédents conclus entre la partie administrative et la partie syndicale, signalant que des mouvements seront observées ainsi qu’une grève de deux jours en guise de protestation.

Avec TAP

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Signature d’un partenariat entre la BTE et la Coopération italienne

La Banque de Tunisie et des Émirats (BTE) et l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS) ont signé hier un mémorandum d’entente marquant une étape clé dans le cadre du programme ADAPT, financé par l’Union européenne. Ce partenariat vise à faciliter l’accès aux financements pour les entrepreneurs des secteurs de l’agriculture, de la pêche et de l’aquaculture, en encourageant des investissements durables et responsables qui répondent aux enjeux environnementaux et sociaux actuels.
Le mémorandum d’entente a été signé, lors d’une cérémonie tenue au siège de la BTE, par Mmes Feriel Chabrak, directrice générale de la Banque et Isabella Lucaferri, directrice de l’AICS Tunis.

Le 18 mars 2024, le programme ADAPT a lancé la deuxième phase du dispositif de soutien financier du Fonds d’Appui d’ADAPT Invest, doté d’une enveloppe initiale de 25 millions d’euros. Ce dispositif encourage les investissements privés engagés dans le développement durable, soutenant ainsi une économie plus verte et inclusive. À travers ses collaborations avec les institutions financières, le programme ADAPT entend faciliter la transition agroécologique en
proposant des solutions financières adaptées, favorisant ainsi l’adoption de pratiques agricoles
durables et résilientes face aux enjeux climatiques.

Mme Feriel Chabrak a mis en exergue à cette occasion l’importance de ce partenariat dans le soutien aux secteurs agricoles et halieutiques à travers des solutions de financement durable.  « En s’associant au programme ADAPT, la BTE réaffirme son rôle d’acteur clé dans la promotion de l’économie verte, a-t-elle souligné, favorisant des initiatives responsables qui concilient développement économique et préservation des ressources naturelles, au bénéfice des
communautés locales. »

À travers ce programme ADAPT, nous nous engageons, a ajouté Mme Chabrak à renforcer les capacités d’adaptation de nos clients face aux défis environnementaux, sociaux et économiques. Ce programme incarne notre conviction quel’adaptation et la résilience ne sont pas seulement des impératifs, mais des leviers essentiels pour garantir un  développement durable et inclusif. Ce mémorandum d’entente témoigne de notre engagement mutuel à œuvrer ensemble, à coordonner nos efforts et à maximiser notre impact pour atteindre les objectifs du programme ADAPT.

La directrice générale conclu ses propos : « Nous réitérons l’engagement de la BTE à faire du programme ADAPT un modèle de réussite, non seulement pour nos institutions, mais surtout pour les communautés que nous servons. »

De son côté, Mme Isabella Lucaferri, a affirmé que « grâce à cette collaboration, nous visons à enrichir la compréhension des enjeux environnementaux liés aux secteurs agricoles et halieutiques, tout en renforçant l’expertise des institutions financières en matière de transition écologique ». « Forte de son engagement en faveur d’un développement durable et inclusif, a-t-elle ajouté, l’AICS met son expertise au service de la promotion d’initiatives innovantes qui allient croissance économique et préservation des ressources naturelles. »

Le partenariat stratégique avec la BTE est un levier essentiel pour le programme ADAPT. En tant qu’acteur du secteur financier, la BTE apporte une expertise précieuse dans la facilitation de l’accès au financement pour les opérateurs des secteurs de l’agriculture, de l’aquaculture et de la pêche. Cette collaboration vise à renforcer les capacités institutionnelles de la BTE, tout en élargissant la portée du programme ADAPT grâce à son vaste réseau, contribuant ainsi activement à la transition agroécologique et au développement durable du pays.

D’après communiqué

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Gestion des risques: La BCT annonce la publication de deux nouvelles circulaires

Deux nouvelles circulaires relatives à la gestion des risques et à la consolidation de la solidité financière du secteur bancaire viennent d’être publiées par la Banque Centrale de Tunisie (BCT), dans le cadre de sa démarche proactive, engagée depuis 2020.

La première circulaire est relative à la division, couverture des risques et suivi des engagements, actualisant les paramètres de calcul des provisions collectives afin de mieux couvrir les risques latents et d’anticiper les éventuelles dégradations de la qualité des actifs bancaires.

La deuxième circulaire concerne la distribution des dividendes au titre de l’exercice 2024, encadrant la distribution de ces dividendes dans une optique de renforcement des fonds propres et de préservation de la stabilité financière.

Ces mesures s’inscrivent dans un contexte marqué par des défis persistants pesant sur le secteur bancaire, notamment le ralentissement de l’activité de crédit observé au cours de ces deux dernières années et la progression des créances non performantes, indique la BCT, dans un communiqué.

Ces mesures traduisent la volonté de la Banque Centrale de Tunisie de renforcer la capacité des établissements bancaires à absorber les chocs et à soutenir durablement l’économie nationale.

Par ailleurs, ces initiatives s’inscrivent dans une vision plus large de modernisation et de convergence du secteur bancaire tunisien vers les standards internationaux, en prévision d’un nouveau cycle de réformes structurantes visant à améliorer la résilience et la compétitivité du système financier.

La Banque Centrale de Tunisie a réaffirmé son engagement à poursuivre ses efforts en matière de supervision et de réglementation prudentielle, en vue de garantir la stabilité du système bancaire.

Avec TAP

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BCT : Circulaire sur les conditions de distribution des dividendes 2024

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié, mercredi, une nouvelle circulaire n °2025-02, fixant les conditions de distribution des dividendes par les banques et les établissements financiers au titre de l’exercice 2024.

En vertu de cette circulaire, la distribution des dividendes au titre de l’exercice 2024, s’effectue :

Dans la limite de 35% du bénéfice de l’exercice 2024 pour les banques et les établissements financiers présentant des ratios de solvabilité et Tier 1 arrêtés à fin 2024, après déduction des dividendes à verser, qui dépassent les niveaux minimums réglementaires de 2,5% au moins ;

Sans limite et après accord préalable de la BCT, pour les banques et les établissements financiers présentant des ratios de solvabilité et Tier 1 arrêtés à fin 2024, après déduction des dividendes à verser, qui dépassent les niveaux minimums réglementaires respectivement de 2,5% et 3,5% au moins.

La circulaire précise que l’accord préalable de la BCT est requis pour toute distribution de dividendes par les banques et les établissements financiers ne respectant pas, à fin 2024, les normes prudentielles d’adéquation des fonds propres prévues par les articles 50, 51 et 52 de la circulaire aux banques et aux établissements financiers n° 2018-06 du 5 juin 2018, relative aux normes d’adéquation des fonds propres, ou dont l’opinion des commissaires aux comptes relative à leurs états financiers de l’exercice clos le 31 décembre 2024 comporte des réserves et/ou des paragraphes d’observation.

La circulaire qui entre en vigueur à compter d’aujourd’hui 29 janvier 2025, n’est pas applicable aux établissements de paiement.

Avec TAP

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Bourse : Le TUNINDEX clôture la séance sur une hausse de 0,4 %

L’indice de référence de la Bourse de Tunis, TUNINDEX, a clôturé la séance sur une note d’optimisme (+0,4 %) à 10 226,7 points, dans un volume bien garni de 18,7 MD, soutenu par deux transactions de bloc totalisant 8,8 MD sur le titre MAGASIN GENERAL, rapporte l’intermédiaire en Bourse Tunisie Valeurs.

Dans un volume dérisoire de 61 mille dinars, le titre ASSAD s’est distingué par la meilleure performance sur la séance : une progression de 4,4 % à 0,710 D.

Le titre ESSOUKNA s’est bien comporté sur la séance réalisant un rendement de 4,2% et clôturant à 1,480 D. L’action du promoteur immobilier a amassé de maigres capitaux de 5 mille dinars.

Le titre MAGASIN GENERAL a chapeauté le palmarès des échanges. La valeur a fait du surplace à 7 D en accaparant 47% du volume échangé sur la séance et amassant un volume de 8,8 MD.

Dans le rouge, le titre AETECH a signé un repli de 5% à 0,190 D. La valeur n’a pas généré des flux sur la séance.

Le titre STIP s’est également placé en lanterne rouge de Tunindex. L’action du spécialiste en pneu a affiché une baisse de 4,3% à 2,680 D dans un faible volume de 11 mille dinars.

Avec TAP

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Top Employer… et de 7 à la suite pour Philip Morris Tunisie

Philip Morris Tunisie a été nommé “Top Employer“ en Tunisie pour la 7e année consécutive. Cette certification reconnaît l’excellence de PMI en matière de pratiques de gestion des ressources humaines, établissant fermement l’entreprise comme un employeur de choix, axé sur la satisfaction des besoins évolutifs d’un capital humain mondial diversifié.

« Être nommé Global Top Employer pour la neuvième année consécutive est une réalisation exceptionnelle, dont tous mes collègues sont immensément fiers », a déclaré Fred Patitucci, président People & Culture chez PMI. « Cette reconnaissance témoigne de notre engagement à intégrer la culture non seulement comme une fonction ou une politique, mais comme une stratégie d’entreprise où tous les employés sont collectivement responsables d’incarner nos valeurs, de donner vie à notre ADN PMI ».

De son côté, Borhann Rachdi, directeur général de Philip Morris International en Tunisie, se dit être « profondément honoré de voir notre entreprise recevoir la certification de “Top Employer“ en Tunisie. Cette distinction prestigieuse témoigne de notre engagement inébranlable envers le bien-être et le développement de notre équipe. Une telle réussite met en lumière notre dévouement à promouvoir un avenir plus durable pour tous, soutenant ainsi la réalisation de notre vision d’un avenir sans fumée en Tunisie ».

La certification Top Employer résulte d’une évaluation indépendante par le Top Employers Institute, qui a reconnu Philip Morris International (PMI) comme Global Top Employer pour la neuvième année consécutive.

Les filiales de PMI ont également été reconnues comme employeurs de premier plan dans 32 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Asie/Pacifique. Cette évaluation couvre six domaines comprenant 20 sujets, dont l’environnement de travail, l’apprentissage, la diversité et l’inclusion, la raison d’être et les valeurs, le bien-être…

Philip Morris International est l’une des 17 organisations internationales à avoir reçu cette année la certification Global Top Employer au niveau mondial. Cette certification reflète l’engagement de PMI à développer une culture de croissance et d’inclusion…

Philip Morris International : vers un avenir sans fumée

PMI est une entreprise internationale de tabac de premier plan, œuvrant activement pour un avenir sans fumée et faisant évoluer son portefeuille à long terme pour inclure des produits en dehors du secteur du tabac et de la nicotine.

Le portefeuille actuel de l’entreprise se compose principalement de cigarettes et de produits sans fumée. Depuis 2008, PMI a investi plus de 12,5 milliards de dollars pour développer, valider scientifiquement et commercialiser des produits innovants sans fumée pour les adultes qui continueraient autrement à fumer, avec pour objectif de mettre fin complètement à la vente de cigarettes. Cela inclut la construction de capacités d’évaluation scientifique de classe mondiale, notamment dans les domaines de la toxicologie des systèmes précliniques, de la recherche clinique et comportementale, ainsi que des études post-commercialisation.

Avec une base solide et une expertise significative dans les sciences de la vie, PMI a annoncé en février 2021 son ambition de s’étendre dans les domaines du bien-être et des soins de santé et vise à améliorer la vie grâce à la fourniture d’expériences de santé intégrées.

En 2022, PMI a acquis Swedish Match — un leader de la distribution de nicotine orale —, créant un champion mondial sans fumée dirigé par les marques IQOS et ZYN des entreprises.

La Food and Drug Administration des États-Unis a autorisé la commercialisation des versions des dispositifs et consommables IQOS de PMI et du General snus de Swedish Match en tant que produits de tabac à risque modifié.

Les demandes de renouvellement des produits IQOS sont actuellement en attente devant la FDA. Au 30 juin 2024, les produits sans fumée de PMI étaient disponibles à la vente dans 90 marchés, et PMI estime que 36,5 millions d’adultes dans le monde utilisent les produits sans fumée de PMI. L’activité sans fumée représentait environ 38% des revenus nets totaux de PMI pour les neuf premiers mois de 2024.

Avec communiqué

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Le ministre des AE s’entretient avec le président d’un think tank américain

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu le président du think tank américain « National Council on Arab-US Relations », Delano Roosevelt, dans le cadre de sa visite effectuée en Tunisie du 24 au 28 janvier 2025.

L’entretien a été l’occasion d’examiner la coopération avec le « National Council on Arab-US Relations », notamment dans le domaine des échanges culturels et scientifiques, de la mise en relation des acteurs économiques des deux pays, et de la promotion de la Tunisie et de sa civilisation ainsi que les avantages préférentiels offerts par son climat d’investissement et la diversité de son produit touristique, lit-on dans un communiqué publié mercredi par le département.

Le ministre a mis en avant la solidité des relations historiques d’amitié et de coopération tuniso-américaines depuis plus de deux siècles, évoquant, en ce sens, le Traité de paix et d’amitié signé en 1797 entre les deux pays.

Il a souligné la volonté de la Tunisie de promouvoir davantage ces relations de manière à servir les intérêts des peuples des deux pays.

Il convient de noter que le président du think tank américain et la délégation qui l’accompagnait ont effectué une visite au siège de l’Académie diplomatique internationale de Tunis, au cours de laquelle il a donné une conférence sur le rôle joué par les États-Unis d’Amérique dans la région de l’Afrique du Nord durant et après la Seconde Guerre mondiale, en appui aux causes de libération nationale dans la région.

Avec TAP

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Agritech : Démarrage de la première phase du programme « Digital Tunisia »

La première phase du programme « Digital Tunisia », consacrée au secteur de l’agritech a été démarré. Elaboré à l’initiative de STECIA International, en partenariat avec le projet Qawafel mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Agence Française de Développement (AFD), ce programme vise à faciliter l’accès des entreprises tunisiennes opérant dans les secteurs de l’agritech, de la healthtech et de l’edtech, aux marchés du Sénégal et de la Mauritanie, tout en renforçant les partenariats entre les écosystèmes entrepreneuriaux des trois pays.

« Digital Tunisia » qui s’inscrit dans une dynamique de coopération régionale, vise à dynamiser les échanges commerciaux et les synergies entre les entrepreneurs de la Tunisie, du Sénégal et de la Mauritanie.

Il contribue à l’essor de l’innovation technologique dans la région, tout en favorisant une meilleure intégration des entreprises tunisiennes dans les marchés d’Afrique de l’Ouest.

En effet, la première phase de ce programme permettra de sélectionner cinq entreprises tunisiennes innovantes dans le secteur de l’agritech et de les accompagner dans leur préparation pour pénétrer le marché sénégalais.

Ces entreprises bénéficieront d’un encadrement sur mesure, de formations spécifiques et de conseils pratiques pour réussir leur internationalisation. Une mission de prospection au Sénégal, incluant des rencontres avec des partenaires locaux, est prévue pour mai 2025.

La deuxième phase du programme sera dédiée aux secteurs de la healthtech et de l’edtech. Six entreprises tunisiennes évoluant dans ces domaines seront sélectionnées pour se préparer à une mission de prospection et à des rencontres bilatérales( B2B) sur le marché mauritanien.

Cette mission se déroulera en octobre 2025 et vise à explorer les opportunités d’exportation et de partenariats pour les entreprises tunisiennes en Mauritanie.

A savoir que le projet Qawafel, mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Agence Française de Développement (AFD), soutient les initiatives visant à renforcer les capacités des entreprises dans les pays du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest, avec un accent particulier sur les secteurs innovants tels que l’agritech, la healthtech et l’edtech.

STECIA International est une organisation dédiée à l’accompagnement des entreprises tunisiennes dans leur démarche d’internationalisation et d’innovation. En collaborant avec des partenaires stratégiques, STECIA œuvre pour la compétitivité des entreprises tunisiennes à l’échelle mondiale.

Avec TAP

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Le titre de doctorat Honoris Causa décerné par l’UTM à Moungi Bawendi

L’université Tunis El Manar a décerné le titre de doctorat Honoris Causa à l’universitaire Moungi Bawendi, lauréat du prix Nobel de chimie 2023. Et ce, en vertu d’une décision du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du 26 décembre 2024, publiée mardi 28 janvier au JORT.

A noter que le président de la République, Kaïs Saïed, a décoré, le 21 mai 2024, le lauréat du prix Nobel de chimie Moungi Bawendi des insignes de Grand officier de l’ordre de la République.

Avec TAP

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Tunisie : 17 informations judiciaires contre des créateurs de contenus

Dix-sept informations judiciaires ont été ouvertes contre des créateurs de contenus sur les réseaux sociaux. C’est ce qu’a fait savoir le colonel-major, Houssem Eddine Jebabli, porte-parole de la Direction générale de la Garde nationale.

Dans une interview accordée, lundi 27 janvier 2025, à l’agence TAP, M. Jebabli précise que les enquêtes se poursuivent concernant des suspicions de crimes de blanchiment d’argent. « Cinq créateurs de contenus sont actuellement détenus dans les prisons tunisiennes », a-t-il ajouté.

Il a indiqué que treize affaires liées à la cybercriminalité ont été enregistrées au cours des premiers jours de l’année 2025.

La 5ème brigade centrale de lutte contre les crimes liés aux technologies de l’information et de la communication s’est saisie de ces affaires, a-t-il noté.

Il a souligné, dans ce sens, que la détection des crimes liés à l’intelligence artificielle « représente un défi majeur » pour les unités sécuritaires. Et ce, en raison de la difficulté de préserver les preuves numériques, selon ses propos.

A ce propos, M. Jebabli a fait noter que le clonage des voix par l’intelligence artificielle, permettant d’atteindre une similarité estimée à 98 %, « est un phénomène dangereux ». Néanmoins, a-t-il ajouté, de nombreuses affaires liées à la cybercriminalité et à la fraude ont été résolues.

Selon le porte-parole de la Garde nationale, une hausse de 11 % du nombre de crimes électroniques et de crimes liés à l’intelligence artificielle a été enregistrée à l’échelle mondiale.

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Imed Hazgui remet au chef de l’Etat le 29e rapport de l’Instance de contrôle administratif

Kais Saïed, le président de la République, a reçu dans l’après-midi de mardi 28 janvier au Palais de Carthage, le président de l’Instance supérieure de contrôle administratif et financier, Imed Hazgui. Celui-ci lui a remis le vingt-neuvième rapport annuel de ladite instance.

Le président de la République a souligné, lors de cet entretien, la nécessité de concrétiser les recommandations contenues dans ce rapport dans les plus brefs délais, insistant sur la nécessité d’œuvrer à l’élaboration de nouvelles conceptions. Et ce, afin que les missions de contrôle et d’audit soient plus efficaces dans la préservation des fonds publics.

Avec TAP

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De retour d’Alger, Nafti reçu par Saïed

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mardi 28 janvier 2025, au palais de Carthage, le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

Cette rencontre a été consacrée à l’examen des résultats de la participation de la Tunisie à diverses conférences internationales ainsi que des visites échangées au niveau bilatéral, indique un communiqué de la présidence de la République.

A cette occasion, le président Saïed a affirmé les constantes de la politique étrangères tunisienne, « y compris et avant tout l’indépendance de la décision nationale et le soutien indéfectible au peuple palestinien jusqu’à ce qu’il recouvre ses droits légitimes dont l’établissement d’un Etat indépendant sur tout le territoire palestinien avec al-Qods comme capitale ».

Par ailleurs, il a souligné la nécessité d’apporter un soutien plus accru aux Tunisiens établis à l’étranger et de concevoir de nouvelles approches pour leur fournir les services nécessaires à distance.

A cet égard, le président de la République a salué les efforts déployés par un grand nombre de Tunisiens et de Tunisiennes, notamment dans les secteurs de la santé et du transport, ainsi que leurs initiatives pour lancer des projets en Tunisie.

Il a appelé toutes les structures de l’État à œuvrer à aplanir les obstacles devant eux, « afin qu’ils puissent contribuer à la reconstruction et à l’édification du pays et renforce davantage le rayonnement de la Tunisie à l’échelle internationale ».

Le ministre des Affaires étrangères avait participé du 20 au 25 janvier courant, en Suisse, à la 55ème édition de la réunion annuelle du Forum Economique Mondial de Davos.

Il avait, également, effectué, le 27 janvier courant, une visite de travail en Algérie, au cours de laquelle il a été reçu par le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, et a tenu une séance de travail avec son homologue Ahmed Attaf.

Avec TAP

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Le marché boursier tunisien termine la séance avec des baisses

Une nouvelle séance baissière s’est clôturée à la Bourse de Tunis. L’indice boursier a glissé, mardi, de 0,2 % à 10 190,5 points, réduisant sa performance annuelle à +2,4 %, selon l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs. Retour sur  les données du marché boursier.

Les volumes ont été relativement modestes, s’établissant à 4,1 millions de dinars. Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la palme des hausses. L’action du loueur, adossée au groupe AMEN BANK, s’est appréciée de 2 % à 18,000 D, dans un faible flux de 20 000 dinars. BT a été la valeur la plus traitée de la séance. L’action de la banque privée s’est maintenue à l’équilibre à 5,050 D. Le titre a alimenté le marché avec des capitaux de 670 000 dinars. C’est ce qui ressort des données du marché boursier.

Le titre BH a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action de la banque publique a gagné 1,5 % à 12,980 D. Les échanges sur la valeur ont été maigres, atteignant 13 000 dinars. Le titre CELLCOM a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action du distributeur de la marque Evertek a abandonné 4 % à 2,150 D, dans un volume de 51 000 dinars. Pénalisé par un courant vendeur, le titre HANNIBAL LEASE a lâché 3,4 % à 7,050 D. L’action du leaseur indépendant a brassé un flux total de 186 000 dinars sur la séance.

Avec TAP

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Afrique Assistance change pour devenir MAWDY SERVICES

Ne dites plus « Afrique Assistance » – leader de l’assistance aux personnes, en voyage et de l’automobile sur le marché tunisien – mais « MAWDY SERVICES ».

L’annonce de ce changement d’identité a été célébré le 23 janvier 2025 par Souheil Ben Halima, directeur général, et du président du conseil d’administration de MAWDY SERVICES TUNISIE, Zigor Diez Gamboa.

MAWDY SERVICES est une déclinaison de la marque MAWDY (MApfre Worldwide Digital Solutions) à laquelle a été ajouté le terme SERVICES pour mettre en valeur son orientation client.

Le choix du nom MAWDY SERVICES s’explique par sa simplicité et sa facilité à être retenu. Il continuera d’incarner le meilleur service à ses clients, qui sont principalement les compagnies d’assurances, les agences de voyage, les banques, les opérateurs téléphoniques, les sociétés de grande distribution ou encore les concessionnaires automobiles.

mawdy servicesCe changement de nom a été décidé afin de souligner l’engagement de la société dans son processus de digitalisation profonde. « Nous sommes passés dans le monde de la digitalisation et de l’intelligence artificielle. C’est un processus d’évolution progressif », a expliqué M. Ben Halima, soulignant que cette stratégie est intervenue alors qu’Afrique Assistance est une référence dans le secteur automobile comptant parmi les 10 premières marques connues.

« Nous sommes fiers de commencer une nouvelle étape pour l’entreprise et avec MAWDY TUNISIE pour développer des solutions qui reflètent l’entreprise innovante que nous sommes aujourd’hui », déclare Zigor Diez Gamboa, rappelant que l’objectif est de fournir des solutions innovantes et différenciées pour améliorer la vie des gens à travers le monde.

Désormais, tous les camions de remorquage, arborent le label MAWDY SERVICES en gardant le code couleur rouge, signature de la marque et reflet de sa personnalité et de ses valeurs.

L’entreprise a démarré ses activités en Tunisie en 1991 dans les secteurs de l’assistance automobile et de l’assistance en voyage. Aujourd’hui, elle propose 26 produits différents et une assistance 24h/24. Elle compte plus de 90 collaborateurs et totalise plus de 150 000 services par an.

MAWDY est une entreprise mondiale spécialisée dans l’assistance numérique, faisant partie du groupe espagnol MAPFRE qui compte plus de 2 500 employés. Jusqu’en 2023, elle était connue sous le nom de MAPFRE Asistencia. Elle apporte à ses filiales, dont MAWDY SERVICES TUNISIE, un savoir-faire et une expérience qu’elle tire des 23 pays où elle est présente, principalement en Amérique latine et en Europe.

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