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Robotique, réalité virtuelle… Les enseignants tunisiens appelés à innover

Le Centre National des Technologies en Éducation (CNTE) a annoncé, sur sa page officielle Facebook, l’organisation de la deuxième édition du concours des enseignants créatifs dans le domaine de la production numérique éducative 2025.

Ce concours est organisé dans le cadre de la valorisation du rôle des enseignants innovants des cycles primaire et secondaire dans le domaine de la production numérique pédagogique, et vise à les encourager à davantage d’efforts et de créativité, selon le CNTE.

La compétition portera sur les thèmes de la robotique éducative, la réalité augmentée ou virtuelle, l’Internet des objets, les capsules vidéo pédagogiques, les contenus pédagogiques interactifs et l’intelligence artificielle.

Pour participer à ce concours, les candidats doivent être des enseignants en exercice dans des établissements éducatifs publics. Ils sont appelés à présenter des projets n’ayant pas été primés dans d’autres compétitions, et veiller à ce que le produit proposé soit exploitable dans le processus d’enseignement et d’apprentissage tout en respectant les programmes officiels.

Les enseignants intéressés doivent remplir le formulaire de participation, inclure un lien vers leurs fichiers dans le formulaire et l’envoyer avant le 15 avril 2025.

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La Tunisie s’engage contre le terrorisme

Le représentant permanent auprès de l’Organisation des Nations unies, Tarek Ladab, a réitéré l’engagement résolu de la Tunisie a soutenir les efforts, les stratégies et les mécanismes de coopération visant à combattre le terrorisme transfrontalier et transcontinental.

Ladab s’exprimait lors de la réunion de haut niveau du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la “lutte contre le terrorisme en Afrique”, tenue mardi dernier.

Dans son intervention, il a souligné que « l’Afrique fait toujours face à de nombreux défis et menaces qui se nourrissent chaque jour davantage, citant en particulier le terrorisme ».

« La Tunisie, a-t-il enchaîné, insiste sur la nécessité de faire face à cette menace grandissante en s’attaquant aux causes profondes de l’extrémisme violent et du terrorisme et appelle à accélérer la résolution des conflits et des crises qui favorise l’expansion des organisations terroristes ».

Par ailleurs, Tarek Ladab a souligné que la Tunisie estime nécessaire l’adaptation des efforts d’aide aux pays africains à progresser dans la réalisation des Objectifs de Développement Durable des agendas 2030 et 2063 de manière à renforcer la prévention de l’extrémisme violent et le terrorisme, conformément à la stratégie des Nations Unies de lutte contre le terrorisme.

Par ailleurs, il a souligné l’importance d’une participation active des femmes et des jeunes aux efforts visant à lutter contre le terrorisme et l’extrémisme violent, ainsi que dans l’instauration de la paix, de la stabilité et du développement durable.

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Le futur des doctorats tunisiens se dessine

Le projet de décret relatif aux écoles doctorales et les procédures de détachement auprès de l’Agence tunisienne de coopération technique (ATCT) ont été au centre de la réunion du Conseil des universités, tenue mercredi au siège du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
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Selon un communiqué du département, le Projet d’Appui à la Recherche et l’Enseignement Supérieur dans le Secteur de l’Environnement (ARESSE), le guide national des diplômes universitaires et les mécanismes de mise en œuvre du programme “ELM” ont été également présentés lors de cette réunion tenue en présence du ministre de de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mondher Belaïd.

L’unification des critères d’habilitation universitaire dans une même spécialité a été aussi discutée lors de la réunion du conseil des universités.

À cette occasion, le ministre de l’enseignement supérieur a souligné l’importance de promouvoir l’excellence dans les études doctorales et d’améliorer la qualité de l’encadrement, appelant à l’accélération des travaux du comité chargé de préparer le statut particulier des enseignants-chercheurs, en impliquant toutes les parties concernées pour garantir la réussite de cette initiative.

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Nafti et l’OIM discutent des défis de la migration irrégulière en Tunisie

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, s’est entretenu, mercredi, en marge de sa participation au Forum économique mondial de Davos, avec la directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope.

L’approche tunisienne pour une migration régulière et sûre, basée sur les intérêts mutuels, la dignité humaine et les valeurs universelles a été au centre de l’entretien, indique un communiqué publié, jeudi, par le département des Affaires étrangères.

Dans ce contexte, le ministre a évoqué la contribution active de la Tunisie aux efforts internationaux en matière de gestion de la migration, citant à ce propos, les initiatives proposées et les accords bilatéraux signés avec ses partenaires, ainsi que par son implication dans les plans d’action de l’OIM.

Nafti a, à cette occasion, réitéré la position ferme de la Tunisie de refuser d’être un point de transit ou un pays de résidence temporaire ou permanente pour les migrants irréguliers.

Par ailleurs, il a mis l’accent sur les efforts entrepris par le gouvernement tunisien pour soutenir les droits de la communauté tunisienne à l’étranger et l’aider à mieux s’intégrer dans les pays de résidence.

Pour sa part, la directrice générale de l’OIM s’est dit consciente des défis relatifs à la migration irrégulière, auxquels fait face la Tunisie, saluant les initiatives prises pour la lutte contre les flux migratoires irréguliers.

Elle s’est également félicitée des efforts de la Tunisie pour renforcer les canaux de migration régulière et soutenir le développement local comme moyen de lutte contre la migration irrégulière, faisant part de la volonté de l’OIM de poursuivre la coopération avec la Tunisie pour assurer le retour volontaire des migrants irréguliers dans leurs pays d’origine.

 

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L’Université de Tunis El Manar se classe 568ème mondiale et première au Maghreb

L’université de Tunis El Manar (UTM) occupe le 568e rang au niveau mondial et la première place à l’échelle du Maghreb dans le dernier classement par discipline académique du “Times Higher Education 2025″ selon un communiqué publié mercredi par l’université.

L’université de Tunis El Manar a indiqué dans ce communiqué que cette distinction académique permettra de renforcer sa position scientifique aux niveaux national, régional et international”.

L’UTM s’est distinguée en occupant la première position dans six disciplines académiques principales, selon le classement du Times Higher Education 2025 en occupant les premiers rangs sur la liste des universités tunisiennes et des universités du Maghreb arabe.

Cette université a été classée dans la catégorie économie et gestion sur la liste 301+ au niveau mondial et première au niveau national et maghrébin, alors qu’elle a été classée 501+ au niveau mondial et au niveau national en Ingénierie.

L’université Tunis El Manar a obtenu le rang 601+ au niveau mondial et la première place au niveau national et maghrébin en médecine et santé, informatique, biologie et sciences de la terre et de la vie. En sciences physique elle figure sur la liste 801+ au niveau mondial et se classe première au niveau national et maghrébin.

Le classement du “Times Higher Education 2025” par discipline académique repose sur cinq critères essentiels à savoir: l’enseignement, la recherche scientifique, le transfert technologique en collaboration avec l’industrie et l’internationalisation.

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Alimentation animale : Le fonds Maxula Gestion renforce sa participation dans Nour Agricole

Maxula Gestion, société de gestion de portefeuilles de valeurs mobilières pour le compte de tiers, a augmenté sa participation à 68% dans le capital de Nour Agricole, entreprise spécialisée dans l’alimentation animale.

Objectif officiel affiché: renforcer l’autosuffisance alimentaire en Tunisie, tout en soutenant l’agriculture locale et durable.

Ainsi, en renforçant son investissement dans Nour Agricole, Maxula Gestion s’engage à réduire la dépendance de la Tunisie des importations et à soutenir les projets innovants de Nour agricole.

D’après le communique publié à cette fin, Nour Agricole, fondée pour proposer des solutions alimentaires innovantes pour le bétail, se distingue par l’utilisation de résidus agroalimentaires, tels que les déchets de dattes. Cette initiative éco-responsable répond à un double défi : la hausse des prix des matières premières, exacerbée par la guerre en Ukraine et les difficultés liées à la sécheresse.

A titre indicatif, Nour Agricole a mis au point une nouvelle solution en intégrant des matières premières locales pour produire des aliments améliorant la productivité et la qualité du lait et de la viande. Tout en garantissant une stabilité d’approvisionnement. L’entreprise est implantée à Béja, près des zones de production de fourrages de qualité comme la luzerne et le maïs. Elle aspire à offrir des rations équilibrées inspirées des meilleures pratiques européennes.

ABS

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Plafond des chèques, vérification électronique : Les principales mesures de la nouvelle loi tunisienne

La loi N° 41-2024, promulguée le 2 août 2024, modifiant et complétant certaines dispositions du code de commerce et portant, principalement, sur la nouvelle réglementation des chèques, entrera en vigueur à partir du 2 février 2025. Cette loi introduit des changements majeurs dans la gestion et la régulation des chèques en Tunisie. Ces changements impactent tous les acteurs impliqués dans le cycle de vie d’un chèque (depuis la délivrance du carnet jusqu’à la régularisation des éventuels incidents de paiement).

Cette loi vise à renforcer la sécurité et la fiabilité des transactions par chèque, améliorer les pratiques bancaires, réaliser le développement économique et la justice sociale et régulariser la situation des personnes condamnées ou poursuivies pour émission de chèque sans provision avec des garanties pour le créancier.

En vertu de cette loi, chaque banque doit ouvrir un compte courant, utilisable par chèque, pour chaque client qui en fait la demande. Avant de délivrer des formules de chèques au client, la banque doit consulter la Banque centrale de Tunisie pour vérifier la situation du titulaire du compte. Elle doit prendre les mesures nécessaires pour éviter l’émission de chèques sans provision.

La valeur totale du chéquier est plafonnée avec une valeur maximale par feuille ne dépassant pas 30 000 dinars. Tous les chèques doivent être barrés dès leur délivrance. Les feuilles non barrées doivent faire l’objet d’une demande spécifique. La durée de validité d’un chéquier ne dépasse pas 6 mois. Chaque chèque doit inclure des informations de vérification électronique (QR code).

La loi prévoit par ailleurs, la création d’une plateforme électronique centralisée des chèques « PECC » qui sera mise en place et gérée par la Banque Centrale de Tunisie. L’ensemble des établissements bancaires est tenu d’y adhérer. Elle permettra au bénéficiaire d’un chèque de vérifier instantanément l’existence d’une provision suffisante et de la réserver si souhaité.

La nouvelle loi stipule, en outre, la suppression de la criminalisation de l’émission de chèque sans provision pour un montant égal ou inférieur à 5000 dinars. Elle modifie les règles de poursuites judiciaires qui ne sont plus déclenchées qu’à l’initiative du bénéficiaire et non d’une manière systématique. Ces poursuites ne sont désormais possibles que si le montant du chèque est supérieur à 5000 D.

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Tunisie : quel modèle pour rebâtir l’avenir ?

Quel pourrait être le modèle de développement approprié pour la reconstruction d’un pays tel que la Tunisie ? Si nous adoptons une approche de réflexion classique, le modèle semble non constructible et la fuite vers l’endettement semble être la seule et unique solution, même si le prix en devient de plus en plus élevé avec des compromis pouvant entacher la souveraineté du pays.

Même si la communication politique donne l’illusion d’une démarche salvatrice, en réalité, il ne s’agit que de retarder l’échéance inéluctable (il suffit de voir la situation de la France en ce moment) avec des conséquences potentiellement désastreuses.

Pour ma part, je considère qu’il est possible, bien au contraire, de tirer profit de cette équation complexe pour imaginer un modèle pouvant générer de la croissance équilibrée en transformant les hypothèses en opportunités et les impératifs en objectifs de projets.

Ainsi, considérant que le rôle fondamental de l’administration publique est de définir les services publics, de veiller à ce que ses services parviennent aux membres de la communauté (citoyens) dans les meilleures conditions, avec la meilleure qualité, aux meilleurs coûts et dans les meilleurs délais. Chaque service public peut alors être considéré comme une opportunité de projet générant du développement, de la croissance et des opportunités d’initiative et de prise de risque d’entrepreneuriat.

      • Transformer les hypothèses en opportunités et les impératifs en objectifs de projets : une clé pour le développement.

Pour illustrer notre propos, considérons le cas de voies départementales ou régionales où le modèle autoroutier payant ne peut être envisagé comme une solution de réalisation.  Il s’agit en réalité, d’imaginer un moyen permettant de générer des revenus attractifs pour un opérateur, afin que la prise de risque sur la réalisation et l’entretien d’infrastructures non marchandes puisse représenter un projet réalisable et rentable.

Il suffit pour cela d’intégrer la composante infrastructure et la composante aménagement urbain dans un même et unique projet avec un objectif global de service public d’amélioration d’un cadre de vie pour les citoyens régionaux et de désenclavement.

Un projet global intégrant une composante immobilière

La définition d’un projet global intégrant une composante immobilière lucrative à moyen et long terme permet d’attirer des investisseurs opérateurs d’aménagement territorial, ou des groupements qui seraient disposés à intégrer l’infrastructure de mobilité non lucrative et coûteuse dans le projet.

De cette manière, l’État :

  • réalise rapidement des infrastructures ;
  • il satisfait la demande citoyenne en désenclavant les régions ;
  • il répond aux attentes des populations régionales en réaménageant les villes, les modernisant et créant des espaces de vie attractifs ;
  • il crée de la croissance en développant des entreprises ou des groupements d’entreprises nationales pour atteindre la taille critique permettant l’export des expériences ;
  • il crée de l’emploi local et offre l’opportunité de créer des entreprises par les jeunes dans les régions et surtout génère rapidement des recettes fiscales et locales importantes.

Par exemple, pour un projet initialement dimensionné à 1 milliard de dinars, le démultiplicateur lui permet de dépasser 1,5 milliard de dinars, soit plus de 50% investis directement dans les régions concernées (exigence d’entreprises nouvelles domiciliées localement).

      • Le véritable investissement public réside dans la création d’un écosystème économique dynamique et durable.

La durée du projet aussi sera étendue au-delà du délai de réalisation de l’infrastructure routière initialement programmée et de l’activité économique régionale développée par la locomotive de l’immobilier et de l’aménagement territorial.

L’État, sans avoir dépensé aucun penny de l’argent public, a ainsi :

  • réalisé les aspirations citoyennes ;
  • désenclavé les régions ;
  • créé une offre importante d’emplois ;
  • créé des opportunités de création de projets et d’entrepreneuriat pour les jeunes ;
  • créé une qualité de vie meilleure pour les habitants ;
  • amélioré le pouvoir d’achat dans les régions ;
  • augmenté les recettes fiscales nationales et locales ;
  • réduit le besoin d’endettement public ;
  • permis la création d’un écosystème local et régional dynamique ;
  • créé des entreprises nationales capables de concurrencer les investisseurs internationaux sur les marchés étrangers et protéger ainsi l’indépendance nationale ;
  • redistribué les fruits du développement en priorité vers les régions et les populations les moins avantagées.

L’ingénierie économique et financière peut permettre, à partir des besoins nationaux, de créer une dynamique économique vertueuse et d’offrir différents modèles et structurations qui mobilisent les ressources nécessaires, atteignent différents objectifs concordants et répondent à la dynamique d’un nouveau modèle économique basé sur les hypothèses de développement intégré équitable.

      • L’État, garant du service public, doit être le catalyseur d’un développement inclusif et profitable à tous.

Pour tous les besoins de la communauté en services publics, en infrastructures communes et en besoins de solidarité, l’ingénierie économique et financière offre des opportunités à fort rendement, de meilleure qualité et à moindre cout pour la communauté. Tout cela défini, supervisé et assuré par l’État, organe d’expression de la volonté de la communauté.

Nous pouvons démultiplier à l’infini les exemples d’ingénierie économique et financière pour que le service public, devienne de manière intelligente, l’expression du développement, de la croissance et de la redistribution de la richesse globale.

Par Adnen Ben Salah

Lire aussi : Tunisie : La solidarité collective s’oppose-t-elle à la richesse et à la création de valeur ?

En bref—————–

Quel modèle de développement pour la Tunisie ?

  • Défi actuel : La Tunisie fait face à un modèle de développement inadapté, poussant à l’endettement et compromettant la souveraineté nationale.
  • Proposition clé : Transformer les hypothèses en opportunités et les impératifs en projets pour générer une croissance équilibrée.
  • Approche suggérée :
    • Associer infrastructures et aménagement urbain dans des projets globaux.
    • Intégrer une composante immobilière pour attirer les investisseurs.
  • Bénéfices attendus :
    • Désenclavement des régions.
    • Création d’emplois et d’opportunités entrepreneuriales.
    • Augmentation des recettes fiscales sans endettement public.
  • Impact économique : Un projet initial de 1 milliard TND pourrait générer plus de 1,5 milliard TND, avec un fort impact régional.
  • Conclusion : L’État doit jouer un rôle de catalyseur pour un développement inclusif et durable.

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Bourse Tunis : Le Tunindex monte à 10 111,43 points, ESSOUKNA et ATTIJARI BANK en forte hausse

Le marché a terminé la séance boursière de mercredi dans le vert. Le Tunindex a pris 0,45 %, à 10 111,43 points dans un volume limité de 7,9 millions de dinars (MD), selon l’analyse quotidienne de Tunisie Valeurs.

Le titre ESSOUKNA s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du promoteur immobilier a augmenté de 4,5 % à 1,400 D, dans un volume modeste de 4 mille dinars.

Le titre ATTIJARI BANK s’est retrouvé dans le palmarès des meilleures performances. L’action de la banque privée s’est bonifiée de 3,5 %, à 57,750 D, dans un flux de 918 mille dinars.

A contrario, le titre SIMPAR s’est placé en lanterne rouge du Tunindex. L’action du promoteur immobilier s’est replié de 4,2 % à 34,400 D, dans de maigres échanges.

Du côté des baisses, le titre UADH a accusé une glissade de 3,8 %, à 0,510 D. L’action du concessionnaire automobile a amassé un volume limité de 4 mille dinars sur la séance. AMEN BANK a été la valeur la plus échangée de la séance en atteignant un volume de 2,4 MD. Le titre a avancé légèrement de 0,4 %, à 36,050 D.

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JMC2025:Panels et Experts sur les Marchés Musicaux en Méditerranée et en Afrique

Au delà des spectacles artistiques, les Journées Musicales de Carthage (JMC) constituent un véritable carrefour d’échange et de réseautage professionnels. Dans ce sens, les panels jouent un rôle crucial en suscitant les discussions, en explorant les défis et les opportunités du secteur musical, et en enrichissent l’expérience des participants, en leur permettant de prendre note d’expériences variées de l’industrie musicale actuelle.

Ces panels reposent sur l’expertise des panélistes, véritables piliers de l’industrie musicale internationale. Pour cette dixième édition, les JMC accueillent des experts et spécialistes professionnels issus de divers horizons.

Focus sur les panélistes des JMC 2025:

Un quatuor de spécialistes Olivier Rey, Fabio Scopino, Anna Vilanova et David Sierra ont présenté les Marchés musicaux en Méditerranée, une aubaine pour les ambitieux et connaisseurs, désireux de propulser leur carrière.

Olivier Rey est un musicien qui compose pour divers projets musicaux depuis plus de 20 ans et est spécialisé dans les registres musicaux, issus de différentes cultures à travers le monde. Plus de 30 ans de savoir lui ont permis d’organiser de grands festivals français. Il est directeur de Babel Music XP, le forum économique et culturel des musiques du monde contemporaines, qui se tient à Marseille – France.

Fabio Scopino, fondateur et directeur général d’« Italian World Beat », a, à son actif, plus de 25 ans d’expérience dans le domaine du divertissement et de la promotion culturelle et musicale. Il a occupé de nombreux postes en tant que directeur artistique, gestionnaire d’événements, manager d’artistes ou agent de réservation. Actuellement, il développe un réseau de professionnels italiens viable qui rassemble notamment des fondateurs de festivals, foires, agences, associations culturelles et promoteurs à l’échelle mondiale.

Anna Vilanova, dirige l’espace « Fira Mediterrània » depuis 2014. Ce salon pluridisciplinaire, dédié aux artistes, met en lumière des graines de star issus de différentes régions, imprégnées de cultures diverses et créatives. Son espace professionnel sert d’épicentre de réseautage important pour tout un écosystème.

David Sierra, directeur de l’agence espagnole « Sierra Contratación Artística », gère des projets musicaux internationaux. Avec plus de 15 ans d’expérience à son actif, son agence s’est finalement focalisée sur des musiciens et chanteurs éclectiques, qui puisent leur registre dans un répertoire musical traditionnel. L’agence chapeaute également la production et l’organisation de spectacles et a fait ses preuves à l’international. Régulièrement consultant et panéliste dans les plus grands évènements musicaux, il considère l’industrie musicale comme un socle à l’économie et milite pour qu’elle soit accessible à tous dans un monde de plus en plus globalisé.

Le deuxième panel, animé par Mohamed Ben Said et Eddie Hatitye a pour thème “Les marchés de musique en Afrique”. Mohamed Ben Said est un professionnel engagé dans les industries culturelles et musicales, reconnu pour son expertise en production d’événements, gestion artistique et planification stratégique. Il a contribué à de nombreuses initiatives visant à valoriser et structurer le secteur musical en Tunisie et à l’international. En 2010, il prend la direction d’Akacia Productions et a joué un rôle central dans l’organisation de concerts en Tunisie pour des artistes de renom tels que Anouar Brahem, Dhafer Youssef, Ibrahim Maalouf, Ben Harper, Charlotte Cardin, et bien d’autres. Producteur exécutif du Festival International de Dougga, il participe activement à des programmes internationaux, tels que le “Global Music Leaders” du British Council, et a représenté la Tunisie dans des événements prestigieux comme le “WOMEX 2024” et « les Trans musicales de Rennes ».

Eddie Hatitye, directeur exécutif de la Fondation « Music In Africa » (MIAF), une organisation culturelle panafricaine qu’il dirige depuis sa création en 2011. Sur plus d’une décennie de parcours accompli dans le secteur créatif, Eddie a été à la tête de nombreuses initiatives artistiques, en gérant l’aspect financier, en assurant la mobilité des artistes et en chapeautant le développement de projets artistiques. Également producteur de musique, Eddie Hatitye collabore avec des artistes africains de renom et prend la parole sur des plateformes musicales internationales.

Le panel consacré à la présentation de “NEST : incubateur de renom de musique dans la région MENA et dans le monde arabe”, a été animé par Samer Jaradat, musicien et entrepreneur, spécialisé dans la gestion culturelle et musicale. Connaisseur et académicien en musique et en sciences des affaires, sa passion l’incite à expérimenter des concepts musicaux inédits. Son travail à l’international comprend des projets tels que « Arabi Gharbi » et « Music without Borders ». En 2010, il fonde « Jafra Productions », qui a marqué l’industrie musicale régionale et a géré le « Trio Joubran », entre autres Bands et artistes. Sa carrière témoigne d’un profond engagement dans le secteur musical à l’échelle locale et régionale.

“NEST” est un incubateur de musique doté d’un programme de cinq mois dédié à l’autonomisation de musiciens issus de la région MENA. Il offre un mentoring personnalisé, un soutien à la production et des opportunités de réseautage. “En intégrant les musiciens dans l’industrie mondiale de la musique et en les mettant en contact avec les professionnels, il fournit à travers ses trois phases – Global Beats, SoundLab et Sustainable Future – un soutien stratégique et des perspectives de carrière, créant ainsi une communauté musicale dynamique et connectée.

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90ème Anniversaire de la Rachidia : Un colloque scientifique sur le patrimoine musical tunisien

A l’occasion du 90ème anniversaire de la création de la Rachidia, un accord de partenariat a été signé le mardi 21 janvier 2025, par Salwa Ben Hafaiedh, directrice générale du Centre des musiques arabes et méditerranéennes (CMAM, Ennejma Ezzahra), et Anis Sghaier, président de l’Institut Rachidia de la musique tunisienne, portant sur l’organisation d’un colloque scientifique national sur l’institution “La Rachidia”. Les détails de cet événement qui s’inscrit dans le cadre de la valorisation du patrimoine musical tunisien et du soutien à la recherche scientifique, seront prochainement communiqués, informe le CMAM.

Fondée le 3 novembre 1934, la Rachidia est une association culturelle et artistique spécialisée dans la musique tunisienne, ayant vu le jour grâce à une élite d’hommes politiques, d’intellectuels, d’écrivains et d’artistes, dirigée par Mustapha Sfar, alors “Cheikh el Medina” (source: “Tunis au bon vieux temps” de Tahar Fazaa, Editions Sindbad 2014).

Prenant le nom officiel d’association de l’Institut Al-Rachidi de musique, elle est la première institution musicale en Tunisie et l’une des plus anciennes institutions de musique arabe, avec pour objectif de sauvegarder le patrimoine musical tunisien, notamment le malouf et ses variantes, tout en assurant la documentation de ce riche héritage.

Le premier concert de la Rachidia a été donné au Théâtre municipal de Tunis au début de l’année 1935. La première chanson propre à l’institution, “Ya leymi yezzini”, a été écrite par Ali Douagi. Parmi les premiers interprètes figurent des noms illustres comme Chafia Rochdi (seule femme présente à la réunion constitutive), Fethia Khairi et Saliha.

Le nom “Rachidia” a été choisi en référence à Mohamed Rachid Bey, troisième souverain de la dynastie husseinite. Poète et musicien passionné, il s’est intéressé à la musique et à la chanson andalouses en œuvrant à enrichir la musique tunisienne par celle de la Turquie au niveau des règles et des rythmes de la “nouba”.

L’histoire de la Rachidia est étroitement liée à des figures majeures de la musique tunisienne, pour ne citer que Khemaïs Tarnane, Mohamed Triki, Salah Mehdi, Mohamed Sâada, Taher Gharsa, Abdelhamid Ben Aljia, Zied Gharsa et tant d’autres qui ont marqué de leur empreinte l’évolution de la musique tunisienne.

L’orchestre de la Rachidia a également compté dans ses rangs de grands noms dont Kaddour Srarfi, qui, en 1942, devint à l’âge de 29 ans le plus jeune chef d’orchestre de Tunisie et du Maghreb, dirigeant l’ensemble de la Rachidia aux côtés de Mohamed Triki.

La célébration du 90ème anniversaire de la Rachidia est une occasion de rendre hommage à ceux et celles qui ont façonné l’histoire musicale tunisienne et de la Rachidia, basée au cœur de la médina de Tunis, dans l’écrin historique de Dar Daouletli, édifiée au milieu du XVIIe siècle sous le règne du Bey Hammouda Pacha El Mouradi par le Daouletli, gouverneur militaire de la ville de Tunis.

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Théâtre Tunisien et Croate Unis dans “In the Belly of the Whale” : Une exploration humaine profonde

“In the Belly of the Whale” (Fi batn el hout, titre en arabe), la toute première production théâtrale entre la Tunisie et la Croatie, écrite et mise en scène par Marwa Manai, est le fruit d’une collaboration entre le Théâtre National Tunisien (TNT) et le Théâtre National Croate de Rijeka. Les premières représentations de cette pièce sont prévues les vendredi 24 janvier et samedi 25 janvier à 19h00, ainsi que le dimanche 26 janvier à 17h00, à la Salle Le 4ème Art à Tunis.

Cette création “profondément humaine” promet d’emporter le public dans “une réflexion poétique sur la quête de dépassement des barrières, qu’elles soient physiques, mentales ou spirituelles”, mentionne le communiqué de presse.

Marwa Manai s’est inspirée d’auteurs contemporains tels qu’Iva Papić, Dorotea Šušak, Samia El Amami et Mouna Ben Haj Zekri. Ces contributions littéraires apportent une diversité de perspectives à la pièce, mêlant des récits intimes et universels sur le désir de franchir l’inconnu.

Sur scène, une équipe cosmopolite donne vie aux personnages : Sonia Zarg Ayouna, Nadia Belhaj, Thawab Aidoudi, Allam Barakat, Mario Jovev, Serena Ferraiuolo et Edi Ćelić, réunis autour d’une création conçue comme une expérience, un pont entre les cultures et une invitation à plonger dans un voyage théâtral explorant l’éternelle quête humaine de liberté et de dépassement.

Le synopsis de la pièce pose des questions existentielles : « Entre hier, aujourd’hui et demain, il y a l’éternité. Et depuis l’aube des temps, les humains ont cherché à franchir les barrières.

Ils ont creusé des tunnels, construit des ponts, érigé des navires et des avions, et même défié l’espace. Mais il reste une barrière à franchir, et elle ne tient qu’à un fil. »

Alliant écriture, mise en scène et pédagogie, Marwa Manai, connue pour son audace artistique et son engagement académique, continue de repousser les frontières du théâtre moderne. Avec des œuvres telles que “Untitled” ou son projet interactif “Ancra-je”, elle explore des thématiques complexes telles que l’identité, la résilience et l’interconnexion humaine.

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Nouvelle Loi sur les Chèques : Vers une transition vers les cartes bancaires en Tunisie

«Etant donné que les transactions par chèques seront réduites, après l’adoption de la nouvelle Loi, il faut identifier, aujourd’hui, d’autres alternatives permettant au citoyen d’effectuer ses achats », a indiqué Faycel Azzouz, directeur financier et administratif dans une polyclinique privée.

Intervenant lors d’une rencontre, organisée, mercredi, par l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises (IACE), sur le thème «  La nouvelle loi sur les chèques… les répercussions sur les grands surfaces et les polycliniques privées », Azzouz a indiqué que la solution consiste à favoriser l’utilisation des cartes bancaires, et ce, en permettant au citoyen de se procurer les montants nécessaires.

Il a estimé, en outre, qu’il serait nécessaire d’améliorer les prestations d’assurance maladie, appelant les sociétés d’assurance à offrir de nouveaux produits en la matière, adaptés aux besoins des différentes catégories sociales.

« Parallèlement, la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM) doit mettre en place des cartes électroniques au profit de tous les affiliés, afin que le prestataire de services puisse vérifier si le citoyen est éligible à la couverture sociale ou non.

De son côté, le directeur général adjoint d’un grand surface, Walid Zouaghi, a affirmé que cette nouvelle mesure permettra de rationaliser les achats des citoyens, surtout face au problème de l’inflation.

En ce qui concerne les mécanismes de paiement, il a noté que le recours aux cartes bancaires aura des répercussions financières sur le citoyen, dans la mesure où les montants attribués par les banques à leurs clients se présentent comme des crédits, d’où la nécessité de payer des intérêts supplémentaires.

Il est à noter que les banques tunisiennes ont commencé, lundi, à recevoir les demandes d’obtention du nouveau chéquier, après avoir suspendu la distribution des anciens chéquiers, depuis le 13 janvier courant. Les nouveaux chéquiers seront mis à la disposition des clients avant le 2 février prochain.

Selon la loi n° 41 de 2024, la valeur maximale d’un chèque ne dépassera pas 30 000 dinars, et ce, à partir du 2 février, et il n’y aura pas de peine de prison pour les chèques sans solde dont la valeur ne dépasse pas 5 000 dinars.

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Tunisie-Oman : Appel à réactiver le conseil d’affaires et stimuler les partenariats

Le ministre du commerce et du développement des exportations, Samir Abid a appelé mercredi, à réactiver le conseil d’affaires tuniso-omanais et à redynamiser les relations entre les chambres de commerce et d’industrie en Tunisie et à Oman et les structures de promotion des exportations dans les deux pays.

Présidant les travaux du forum d’affaires tuniso-omanais, le ministre a souligné l’importance de tirer profit des opportunités offertes dans les deux pays, pour développer le partenariat et l’investissement mixte. Et de pointer la nécessité d’établir des mécanismes de coopération à même de renforcer les échanges commerciaux.

De son côté, l’ambassadeur d’Oman à Tunis, Hilal Ben Abdallah Ben Ali Al-Sanani a mis l’accent sur l’importance du partenariat public/privé dans le renforcement du développement durable, affirmant que les autorités concernées dans les deux pays œuvrent à renforcer la coopération bilatérale à travers la commission mixte tuniso-omanaise.

La rencontre s’est tenue dans le cadre de la visite qu’effectue du 19 au 26 janvier 2025, une délégation d’hommes d’affaires représentant la Chambre d’industrie et du commerce d’Oman en Tunisie. La délégation compte parmi ses membres des hommes d’affaires opérant dans les industries agroalimentaires, les matériaux de construction et l’industrie du verre.

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Transformation des Tomates : Les producteurs de nabeul réclament une révision urgente des tarifs

La Fédération régionale des producteurs de tomates (FRPT) destinées à la transformation à Nabeul, a appelé à fixer le prix référentiel du kilo de tomate qui ne doit pas être inférieur à 320 millimes.

Le secrétaire général de la fédération, Mohamed Ben Hassen, a indiqué à l’Agence TAP que le tarif référentiel n’a pas été révisé depuis plus de deux ans, malgré le coût élevé de production et les pertes financières à la charge des agriculteurs, dont plusieurs ont abandonné la filière.

Il a estimé que le prix référentiel actuel établi à 270 millimes et approuvé par les unités de transformation, “est illégal” dans la mesure où il a été fixé de manière unilatérale par ces mêmes unités de transformation”, incitant l’union des agriculteurs et l’UTICA à réviser conjointement ce tarif.

Ben Hassen a mis en exergue les difficultés auxquelles se confronte le secteur de transformation des tomates dont, notamment, la qualité des plants et la pénurie des pesticides, insistant sur l’importance de revoir la marge bénéficiaire et le coût des pesticides.

Dans ce sens, le secrétaire général a pointé l’absence de programmation en prévision de la campagne des semis de tomates (février-avril), sachant que les superficies programmées devraient atteindre 4 mille ha.

Le rendement de la tomate à l’hectare dans la région a baissé de 30 à 50 tonnes/ha alors que la production à l’échelle nationale est passée de 65% pour une superficie de 11 mille ha en 2017 à 30% pour une superficie de 4 mille ha, au cours trois dernières années.

La récolte des tomates débutera, en juin prochain, tandis que la région compte 14 unités de transformation, d’après la même source.

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Zaghouan : 2 millions de dinars pour réhabiliter trois zones d’irrigation publiques

Les services du commissariat régional au développement agricole (CRDA) du gouvernorat de Zaghouan ont alloué une enveloppe de deux millions de dinars pour la réhabilitation de trois zones d’irrigation publiques à Natt et Sidi Abdelkader dans la délégation de Nadhour et Oued El Kssab à Saouaf.

Le chef du département des zones irriguées au CRDA, Foued Ben Saïd, a indiqué, à l’Agence TAP, que ce montant est destiné à réaliser les travaux de génie civil, incluant le remplacement des canalisations actuelles en béton par des canalisations en plastique, ainsi que la réhabilitation des installations hydrauliques et de la station de pompage.

Il a précisé que la superficie totale des trois zones d’irrigation est de 230 hectares, dont 120 ha dans la zone irriguée de Sidi Abdelkader, créée en 1986,

Le responsable régional a encore souligné la création et l’aménagement d’une nouvelle zone d’irrigation, “Ain Essid”, située à El Fahs, couvrant 120 hectares, avec un coût d’investissement avoisinant les 3,7 MD, notant que les travaux sont dans leur phase finale.

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la promotion des systèmes agricoles et du développement des surfaces irriguées, a souligné la même source.

 

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UGTT : Appel à un nouveau round de négociations sociales en 2025 pour sauver le pouvoir d’achat

L’union générale tunisienne du travail (UGTT) a appelé à la nécessité d’entamer un nouveau round de négociations sociales dans les trois secteurs (fonction publique, secteur public, secteur privé) englobant les aspects financiers et réglementaires.

Le bureau exécutif de l’UGTT a souligné dans un communiqué publié à l’issu d’une réunion tenue mercredi, qu’avec l’avènement du mois de janvier 2025 et le parachèvement de la dernière tranche des augmentations dans la fonction publique et le secteur public, la centrale syndicale a proposé à ses structures au niveau central et sectoriel d’entamer la préparation d’un nouveau round de négociations sociales en raison de la baisse du pouvoir d’achat des salariés et des citoyens en général, la hausse des prix, la baisse des salaires et la dégradation des services sociaux.

L’UGTT a appelé le gouvernement à “intervenir en urgence pour mettre fin à la flambées des prix, à fournir les produits de base de première nécessité et à résoudre les difficultés rencontrées au niveau des services publics dont notamment la santé, le transport et autres”.

Il a également revendiqué la mise en place d’une stratégie participative de sauvetage des entreprises publiques et en priorité les offices agricoles, les sociétés de transport publics terrestre, aérien et maritime, selon le même communiqué.

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Mondial Handball 2025 : Programme des rencontres de jeudi

Programme des rencontres du Tour principal et de la Coupe du président du Championnat du monde de handball 2025, prévues jeudi  (heure tunisienne) au Danemark, en Norvège et en Croatie :
 . Tour principal :
Groupe I : 2e journée :
15h30 : Tunisie – République Tchèque
18h00 : Italie – Allemagne
20h30 : Danemark – Suisse
Groupe II : 2e journée:
15h30 : Macédoine du Nord – Qatar
18h00 : Pays-Bas – France
20h30 : Hongrie – Autriche
    NB : les deux premiers de chaque groupe se qualifient en quarts de finale
 . Coupe du président (matchs de classement) :
Groupe 1 : 2e journée
15h30 : Algérie – Guinée
18h00 : Pologne – Koweït

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