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Tunisie : la solidarité collective s’oppose-t-elle à la richesse et à la création de valeur ?

SocialPour l’État, intervenir dans le social signifie-t-il brimer l’initiative privée ou le social, stigmatiser les créateurs de richesses et sanctionner les investisseurs ou plutôt procéder à un arbitrage savant et réfléchi entre les ordres politique, économique et social pour in fine assurer la prospérité et le bien-être de tous ?

Dans l’article ci-joint articulé en deux parties, Adnen Ben Salah Associé gérant à Omega Finance Corporate, répond à cette question et à beaucoup d’autres en rapport avec la responsabilité de l’Etat dans le social et celle aussi importante dans la croissance.

Dilemme des dirigeants politiques : comment assurer le rôle social de l’État tout en assurant la croissance et la création de richesse ? Cela semble antagoniste de prime abord, comme si les deux concepts s’opposaient !

En réalité, il s’agit tout simplement de l’héritage historique et culturel de deux philosophies politiques, la gauche et la droite, lesquelles, de prime abord, semblent être confrontées l’une à l’autre, opposant la prévalence de la distribution pure et simple des richesses accumulées par l’appareil d’État à celle de la création de valeur de la richesse individuelle.

En tout état de cause, le pouvoir politique distribuera ce qui n’est pas sien de droit, à savoir la richesse collective, que ce soit en avantages, privilèges ou autres dotations au capital, ou en subventions, primes, gratuités et autres distributions de biens publics aux populations choisies.

Seules les nations ayant des ressources naturelles importantes ont pu, tout en assurant un rythme de distribution important, maintenir le populisme sur une durée relativement importante et juguler toutes réflexions mettant en péril le pouvoir.

Une autre voie existe-t-elle ? Une voie qui permet d’œuvrer pour une société qui respecte et valorise le droit naturel humain au bien-être et à la valorisation de l’initiative et de l’entreprenariat, tout en assurant l’équité et la solidarité avec les plus démunis et les moins nantis et permettant des conditions de vie décentes et heureuses pour tous les membres de la communauté ?

Pour ce qui me concerne, je me refuse à la fatalité du choix ! Je considère qu’une voie différente est possible et que, pour cela, il nous faut ôter de notre vue le prisme dogmatique qui guide notre pensée et nos croyances.

Comment définir le rôle social de l’État ?

Il semble que tous, ou du moins une large majorité, s’accordent à définir le rôle social de l’État, par sa capacité à offrir la gratuité ou tout au moins la quasi-gratuité de plusieurs prestations, services, produits et autres biens, considérés comme services publics ou représentations de la solidarité.

Afin d’obtenir le label de « service public », ces prestations sont offertes par le biais des services administratifs de l’État. Parmi le référentiel des services publics représentant l’action sociale de l’État, sont communément admis, entre autres : le transport, la santé, l’éducation, les produits alimentaires de base, les infrastructures, le logement, la sécurité et les équipements publics.

En réalité, ces services ne sont pas gratuits, ils coûtent même très cher à la communauté et aux usagers, car le bénéficiaire (contribuable) les paie par des prélèvements de plus en plus importants sur ses revenus, sa consommation, son épargne, voire sa retraite, sans compter que l’accessibilité même aux services et biens est souvent payante.

      • Le rôle de l’État n’est pas d’exécuter les services, mais de s’assurer de leur qualité et de leur accessibilité au moindre coût pour la communauté

L’approche strictement politicienne et fiscale ainsi que le rôle unique et suprême de l’administration publique, organe actif et symbole de la suprématie de l’État, dans l’appropriation, la définition, l’organisation et la mise en œuvre de la solidarité communautaire, est en réalité la source de la distorsion menant à l’inefficience économique, à l’iniquité, à la surcharge financière, à la détérioration de la qualité des services et à l’accroissement du creusé entre strates sociales.

Les plus grands défenseurs de l’approche strictement administrative de l’action sociale, sont généralement les fonctionnaires, les syndicats (majoritairement fonctionnaires), ce qui prouve sans équivoque possible que ce n’est pas tant la vocation de l’action sociale qui est la motivation réelle de l’accaparement de l’action sociale, mais plutôt la préservation de leurs emplois, de leurs avantages régaliens et surtout la conservation du pouvoir,

Notre pays n’est pas un cas isolé, mais a hérité d’un modèle usité et standardisé dans divers pays du monde et en a concentré les méfaits. Faut-il pour autant rejeter toute l’organisation et le modèle structurant de l’État ? Rien n’est moins sûr ! Il me semble qu’il nous faut plutôt redéfinir ce que doit être la solidarité communautaire ou nationale, le service public et l’action de service public, mais plus que tout ce que doit être l’expression de l’équité par opposition à l’égalité.

      • La création de valeur est une démarche individuelle d’entrepreneuriat, que l’État doit faciliter et non entraver

En définitive, le rôle de l’État est de s’assurer que les services publics rendus soient les meilleurs pour les citoyens et au moindre coût pour la communauté. Pour cela, tous les services marchands autres que régaliens devront être sollicités auprès d’entreprises qui les fournissent ou qui les produisent dans le respect des normes définies et retenues par l’État et offerts aux citoyens.

La solidarité s’exprime alors par la redistribution des revenus selon les besoins par catégorie de population, permettant ainsi à tous de bénéficier du meilleur service public qui puisse exister. Renoncer à produire les services publics par ses propres structures, ne suppose en aucun cas de se décharger de leur responsabilité ou de la céder.

Il s’agit bien au contraire d’en assurer la totale et entière responsabilité, par la définition du standard de qualité, de sa disponibilité permanente et surtout du moindre coût pour la communauté ; tout cela en toute transparence pour les contribuables. C’est cela le véritable rôle de l’État : veiller à ce que le service soit rendu et non pas s’employer à en accaparer l’exécution.

Comment définir la création de valeur et de richesse ?

Contrairement à ce que théorisent certains philosophes politiques, la création de valeur ne peut être une œuvre collective, mais bien une démarche individuelle d’entreprenariat et d’initiative. C’est la somme des démarches individuelles qui crée la valeur et la richesse collective.

L’initiative d’entrepreneuriale individuelle, peut engendrer un projet collectif ou une démarche de groupe, mais demeure en tout état de cause une démarche individualisée et ne peut être un choix imposé.

Dans une démarche de création de valeur globale pour la communauté, l’État doit être un facilitateur d’opportunités d’initiatives et un régulateur garantissant en permanence l’égalité des chances dans la prise de risques, en aucun cas, il ne doit être un handicap ou un fardeau dans le processus de création de richesse. Il doit en revanche soutenir financièrement et économiquement toutes les initiatives génératrices de valeur ajoutée et de compétitivité.

      • Il ne s’agit pas d’opposer le social et l’économique, mais de les conjuguer pour une prospérité partagée

Dans une logique de service public créateur de valeurs et de richesse nationale, le recours prioritaire aux initiatives domestiques et aux entrepreneurs nationaux dans la réalisation de tous les besoins de la communauté doit être le leitmotiv de toute politique publique, y compris l’accompagnement et le financement des initiatives techniques et technologiques.

En réalité, toutes dépenses ou supports offerts aux initiatives et aux projets nationaux, ne sont qu’une avance restituable, du moment que la réalisation et le développement des initiatives génèrent des ressources nouvelles pour la communauté sans aggravation de la charge de l’administration sur la communauté.

 Développement et solidarité : la combinaison vertueuse

En période de récession, de difficultés financières, de perturbations et de tensions mondiales, il semble, à première vue, difficile de concilier l’action sociale de l’État et l’action de croissance, particulièrement du fait des difficultés d’accès aux financements publics. En réalité, les deux actions peuvent être fortement corrélées et pourraient même être un moyen de relance et de réalisation des aspirations citoyennes en services publics.

      • L’État doit être un facilitateur d’opportunités et un régulateur garantissant l’égalité des chances, et non un fardeau pour la création de richesse

Il suffit pour ce faire, de redéfinir le rôle et l’action de l’État en tant que dépositaire de la gestion pour compte des deniers de la collectivité et non en tant qu’exécutant des services publics.

Le rôle de l’État ainsi défini, l’équation de politique publique se présente comme suit :

1- Les contraintes :

Les hypothèses représentant les conditions sine-qua-non qui s’imposent à toute modélisation de philosophie politique et qui permettent d’atteindre les objectifs sont :

  • les tensions sociales et publiques très fortes du fait de la perte de pouvoir d’achat importante, du recul des opportunités et d’un environnement peu encourageant à la prise de risque et à l’initiative ;
  • la situation économique difficile à tel point que les recettes collectées par l’État peinent à couvrir les charges de vie de l’administration et des politiques ;
  • le poids de l’État arrivé à un niveau handicapant pour la compétitivité économique, freinant l’initiative et la prise de risque productive ;
  • l’endettement de l’État s’étant élevé à un niveau alarmant avec une charge de remboursement sur les membres de la collectivité qui ne permet plus de générer d’épargne collective ;
  • les services publics très approximatifs devenus payants sans être plus satisfaisants pour les membres de la communauté ;
  • la moyenne des revenus des salariés de l’administration publique faible et non attractive ou motivante ;
  • l’infrastructure publique sinistrée devenue un handicap majeur au développement et à l’intégration territoriale ;
  • l’économie parallèle et le commerce illégal occupant une part plus que significative de l’économie et devenant plus attractifs pour le travail et pour la consommation ;
  • le recul de l’action sociale, des subventions et des soutiens aux plus démunis ;
  • le tension internationale et le risque important avec des conséquences prévisibles importantes sur les ressources, les intrants et l’énergie, soit une position inquiétante pour le pays.

Face à pareille situation, il y a des impératifs.

2- Les impératifs

La première démarche à entreprendre est d’œuvrer rapidement à l’amélioration du taux de satisfaction des membres de la communauté (citoyens) en agissant sur leurs conditions de vie tant en termes de services publics et d’infrastructures que de relations transparentes et apaisées avec l’administration publique mais aussi en :

  • optimisant les performances de l’État en sauvegardant et en motivant l’administration publique ;
  • en procédant à la relance et la restructuration économiques et en soutenant l’initiative et la prise de risque ;
  • en mettant en place un système de financement permettant d’assurer des ressources financières tant nationales qu’internationales ;
  • en soutenant et en accélérant l’intégration territoriale nationale en termes de mobilité et d’aménagement territorial ;
  • en œuvrant à la création d’opérateurs économiques compétitifs, à taille critique, pour permettre de défendre l’économie nationale contre la concurrence internationale ;
  • favoriser le développement et la maitrise technologique nationale afin de gagner en indépendance et en sureté nationale.

Par Adnen Ben Salah

En bref——————

Le rôle de l’État entre social et création de richesse : enjeux et perspectives

  • Dilemme majeur : Assurer le rôle social de l’État sans freiner la croissance économique.
  • État et services publics : Son rôle est de garantir qualité et accessibilité au moindre coût, non d’en assurer directement l’exécution.
  • Problèmes actuels : Poids financier de l’État, inefficacité des services publics, endettement croissant et recul de l’action sociale.
  • Solution proposée : Faciliter l’entrepreneuriat, encourager l’initiative privée et redéfinir la solidarité nationale.
  • Citation clé : “L’État doit être un facilitateur d’opportunités et un régulateur, et non un fardeau.”

 

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Bourse de Tunis : Le Tunindex recule légèrement, AETECH en tête

Le marché boursier a clôturé la séance de mardi du mauvais pied. L’indice de référence s’est replié de 0,2 % à 10065,8 points, dans un maigre volume de 4,3 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Sans faire l’objet de transactions, le titre AETECH a chapeauté le palmarès de la séance. L’action de la société a progressé de 5,6 % à 0,190 D.

Le titre MONOPRIX est reparti à la hausse. L’action du spécialiste dans la grande distribution s’est offert un gain de 4,3 % à 3,660 D. La valeur a drainé un flux réduit de mille dinars.

Victime d’un courant vendeur, le titre SAM s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste en mobilier de bureaux a perdu 3,3 % à 5,860 D dans un volume de 175 mille dinars sur la séance.

Le titre CELLCOM a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du distributeur de la marque EVERTEK a reculé de 2,9 %, à 2,360 D, en amassant un flux de 11 mille dinars.

ARTES a été le titre le plus échangé de la séance. L’action du concessionnaire automobile de la marque au losange s’est bonifiée de 1,6% à 9,300 D . La valeur a alimenté le marché avec des capitaux de 473 mille dinars, soit 11% du volume de la cote.

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Le film Aïcha” de Mehdi Barsaoui un film à ne pas manquer

Le long métrage tunisien “Aïcha” de Mehdi M. Barsaoui fera sa sortie nationale le 22 janvier 2025. Réunissant dans le casting Fatma Sfar, Nidhal Saadi, Yasmine Dimassi, Hela Ayed, et Mohamed Ali Ben Jemaa, ce film, rappelons-le, est une coproduction entre la Tunisie, la France, l’Italie, l’Arabie Saoudite et la Qatar.

Pendant plus de deux heures, le cinéaste suit Aya, une jeune femme d’une vingtaine d’années, qui, vivant encore chez ses parents dans le sud de la Tunisie, se sent prisonnière d’une vie sans perspectives. Un jour, le minibus qu’elle prend quotidiennement pour se rendre à l’hôtel où elle travaille s’écrase. Seule survivante de l’accident, elle voit cela comme une chance de commencer une nouvelle vie. Elle se réfugie à Tunis sous une nouvelle identité, mais tout est bientôt compromis lorsqu’elle devient le principal témoin d’une bavure policière (synopsis).

Le film “Aïcha” a remporté le prix du meilleur film méditerranéen décerné par l’Académie des Beaux-Arts de Venise, dans le cadre de sa participation à la compétition officielle de la 81ème édition de la Mostra de Venise, qui s’est tenue du 28 août au 7 septembre 2024. Il a également obtenu le prix “SIGNIS” du meilleur film de la compétition internationale du festival international du film de “Mar del Plata” lors de sa 39ème édition, qui s’est déroulée en Argentine du 21 novembre au 1er décembre 2024. Tout récemment, il a obtenu le prix du meilleur montage (attribué à Camille Toubkisla) lors de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

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Les Journées des Arts de la Marionnette de Carthage : un rendez-vous incontournable pour les amateurs de cet art

Les Journées des Arts de la Marionnette de Carthage (JAMC) reviennent pour leur sixième édition, qui se tiendra du 1er au 8 février 2025.

Organisées par le Centre National d’Art de la Marionnette, ces journées sont devenues, depuis leur création en 2018, un rendez-vous incontournable pour les amateurs et professionnels du théâtre de marionnettes, attirant des artistes et des troupes du monde entier.

Cette édition promet une programmation riche et variée : spectacles, ateliers, conférences et rencontres professionnelles. Les participants pourront découvrir des créations inédites, allant du théâtre de marionnettes traditionnel à des formes plus contemporaines, mettant en avant l’innovation et la diversité de cet art ancestral.

Parmi les performances attendues pour cette édition 2025 dont la programmation officielle n’est pas encore dévoilée, figure notamment le spectacle de contes en ombre et lumière “Llum” de la compagnie Cielo, basée dans les Pyrénées-Orientales (sud de la France).

Programmé pour le 3 février 2025, informe la Compagnie Cielo sur sa page, “Llum” est un spectacle qui combine conte et théâtre d’ombres, mettant en scène trois comédiennes plongeant le spectateur dans un cheminement poétique et sonore.

La Compagnie Cielo est connue pour son exploration de plusieurs facettes de la création théâtrale ainsi que le théâtre comme outil de médiation culturelle et sociale.

Les créations de la compagnie s’adressent à tous les publics, avec des formes théâtrales poétiques, mais aussi un univers clownesque au service des questionnements actuels. Chaque création explore une ou plusieurs formes artistiques: théâtre, clown, ombres chinoises, arts du cirque, danse africaine,…

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Mondial de Handball 2025 : La Tunisie démarre par une défaite face à la Suisse

La sélection tunisienne de handball s’est inclinée face à son homologue suisse sur le score de 26-37 (mi-temps : 11-20), en match joué mardi, comptant pour la 1ère journée du Tour Principal du , disputé à Herning (Danemark).

Lors des deux prochaines journées, les Aigles de Carthage, logés dans le groupe I, affronteront l’Allemagne et la République Tchèque.

Les résultats
Groupe I (à Herning/Danemark)

Mardi 21 janvier
Tunisie – Suisse 26-37
18h00 : Tchéquie – Italie
20h30 : Danemark – Allemagne

Jeudi 23 janvier
15h30 : Tunisie – Tchéquie
18h00 : Italie – Allemagne
20h30 : Danemark – Suisse

Samedi 25 janvier
15h30 : Italie – Suisse
18h00 : Tchéquie – Danmark
20h30 : Tunisie – Allemagne

 

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Kébili : Lancement prochain de six points de vente de dattes du producteur au consommateur dans six villes tunisiennes

Le Groupement interprofessionnel des dattes entamera bientôt l’aménagement de six points de vente du producteur au consommateur, répartis dans les villes de Bizerte, Béja, Nabeul, Sfax, Sousse et Tunis, et ce, en prévision de l’avènement du mois de Ramadan (mars prochain).

Cette initiative prend place sous l’égide du ministère de l’Agriculture, des ressources hydraulique et de la Pêche, a indiqué à la TAP, le directeur régional du Groupement, Iadh Ben Hmed.

« L’opération vise à dynamiser le marché intérieur, à aider les agriculteurs producteurs de dattes à écouler leur production, à améliorer leurs revenus, ainsi qu’à fournir des dattes aux consommateurs tunisiens à des prix abordables et adaptés à leur pouvoir d’achat », a-t-il expliqué.

Un communiqué a été publié à cet effet, détaillant les procédures de participation, à la suite de quoi, des listes de participants seront établies, avec une priorité donnée aux petits producteurs et aux agriculteurs n’ayant pas pris part aux éditions précédentes.

Ben Hmed a appelé les agriculteurs à veiller à la qualité des dattes proposées dans ces points de vente, tout en s’assurant que les prix soient accessibles au consommateur tunisien, afin de faciliter l’écoulement de grandes quantités de dattes sur le marché intérieur.

 

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Tunis accueille un atelier sur l’avenir de la Méditerranée

Un atelier d’une journée et demie sur les enjeux du développement durable dans les pays et les territoires méditerranéens sera organisé, les 26 et 27 février 2025, à Tunis, à l’initiative du Centre d’activités régionales Plan d’Action pour la Méditerranée, “Plan Bleu”, le Programme des nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et la Saison Bleue.

Cet évènement qui réunira des experts et des parties prenantes tunisiens autour de la thématique “Les chemins de transition MED 2050”, s’inscrit dans le cadre de l’’exercice de “prospective MED 2050”, lancé en 2019 à la demande des pays de la Convention de Barcelone, dans un contexte de forte accélération des menaces sur la Méditerranée, indiquent les organisateurs de cet évènement.

La prospective MED 2050 a pour principaux objectifs d’anticiper les évolutions des écosystèmes méditerranéens notamment marins dans les trois prochaines décennies et déterminer les conditions de sa résilience à long terme, fournir les éclairages utiles à une transition de la région vers un développement durable indispensable à la protection de ces écosystèmes et identifier les risques majeurs de crises ou de ruptures et prévenir ceux pouvant avoir un impact négatif et déterminant sur les deux objectifs précédents.

“L’atelier de Tunis s’inscrit dans une étape importante de cet exercice, celle des chemins de transition où il s’agira notamment à partir de deux scénarios MED 2050 choisis par les participants”, lit-on , dans le communiqué des organisateurs.

Il s’agit également d’identifier les actions prioritaires possibles à mener dans le pays à court, moyen et long terme pour aller vers le scénario désirable et aussi faire des recommandations en termes de politiques publiques et de leviers d’action possibles à mobiliser.

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A Davos, la Tunisie s’engage pour la justice sociale

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a rencontré, mardi, en marge de sa participation au Forum de Davos, le Directeur général de l’Organisation internationale du Travail (OIT), Gilbert Houngbo.

Le ministre a, à cette occasion, réitéré l’importance que le président de la République, Kaïs Saïed, accorde au rôle social de l’Etat et de ses institutions.

Le gouvernement tunisien, a-t-il dit, considère la justice sociale comme un pilier fondamental de ses politiques publiques, et ce en multipliant les initiatives législatives et les mesures pratiques adoptées visant à promouvoir la justice sociale en tant qu’intérêt commun, garantissant des conditions de travail dignes et décentes.

Le ministre a, par ailleurs, passé en revue les réformes en cours visant à éliminer toutes les formes de travail précaire et à garantir à l’ensemble des travailleurs une couverture sociale adéquate, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

Il a rappelé l’engagement de la Tunisie dans des initiatives mondiales et régionales en faveur de la justice sociale, telles que la Coalition mondiale pour la justice sociale, l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté, et la Coalition internationale pour l’égalité salariale. Ces actions, a-t-il dit, s’inscrivent dans l’optique d’une démarche de coordination entamée avec les partenaires de la Tunisie en Afrique et dans le monde pour renforcer ces initiatives et veiller à leur mise en œuvre effective dans la politique sociale du continent africain.

De son côté, Gilbert Houngbo a salué l’engagement de la Tunisie dans la Coalition mondiale pour la justice sociale ainsi que son rôle de leadership régional dans ce domaine.

Il a réaffirmé, à cet égard, la disposition de l’OIT à continuer d’apporter son soutien à la Tunisie et à ses programmes sociaux novateurs, en particulier en matière de création d’emplois décents, de renforcement de la résilience des petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que des startups, et de promotion du développement local.

Le Directeur général de l’OIT a, également, salué le rôle actif de la Tunisie en tant que membre représentant les groupes africain et arabe au sein du Conseil d’administration de l’Organisation internationale du Travail.

 

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L’Afreximbank s’engage à soutenir davantage les projets de développement en Tunisie

Le Vice-Président de la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank), George Elombi, a réitéré l’engagement de son institution à soutenir “activement”, les projets de développement en Tunisie, “tout en mettant à sa disposition des ressources de financement adaptées à ses besoins”.

Lors d’une réunion de travail tenue récemment, au siège de l’institut d’émission, avec le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Fethi Zouhaier Nouri, le Vice-Président de l’Afreximbank, a affirmé que son institution projette de renforcer sa présence en Tunisie, à travers l’ouverture d’un centre régional qui “marquera une nouvelle ère de coopération”, tout en soutenant activement les initiatives qui promeuvent une croissance inclusive et durable en Tunisie, selon un communiqué publié par la BCT.

Conduisant une délégation de haut niveau de l’Afreximbank, Elombi a assuré que les relations entre son institution et la Tunisie, sont “dans une nouvelle dynamique positive de coopération”, réaffirmant l’engagement de la Banque à valoriser et à renforcer ces liens de coopération.

De son côté, le gouverneur de la BCT, Fethi Zouhaier Nouri a mis l’accent sur la nécessité de disposer de moyens de financement adaptés et innovants pour réaliser des projets clés de développement répondant aux ambitions de la Tunisie d’atteindre une croissance durable et inclusive.

Par ailleurs, les discussions ont porté sur le rôle des plateformes de paiement régionales dans le développement des relations économiques entre les pays du continent africain.

A cet égard, Nouri a rappelé que l’adhésion de la BCT à la plateforme PAPSS (Pan-African Payment and Settlement System), le 6 février 2024, a représenté une avancée majeure dans l’intégration économique et financière de la Tunisie dans le continent africain et est venue couronner les efforts du Gouvernement pour la concrétisation de l’intégration du pays à la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF), tout en assurant que cette initiative constitue un levier stratégique pour dynamiser les transactions transfrontalières et optimiser l’efficience économique de la région.

Il a, à cette occasion, insisté sur l’importance de l’adhésion des banques tunisiennes à ladite plateforme pour accompagner au mieux les opérateurs économiques tunisiens et permettre de renforcer les échanges commerciaux et de promouvoir l’intégration économique régionale.

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Tunisie : Un nouveau projet pour améliorer la qualité des repas scolaires et soutenir l’agriculture locale

L’Institut National de Nutrition et de Technologie Alimentaire (INNTA) a organisé mardi à Tunis un atelier de travail pour annoncer le lancement d’un projet de recherche intitulé « Des systèmes d’approvisionnement innovants pour une restauration scolaire de qualité et une agriculture locale résiliente en Tunisie », financé par le Centre de recherche pour le développement international (CRDI) au Canada, dans le but d’améliorer la qualité des repas scolaires et de renforcer le développement de l’agriculture locale en Tunisie.

La cheffe du département de formation et d’information à l’INNTA, Chiraz Beji, a déclaré à l’Agence TAP que ce projet vise à offrir aux élèves des repas équilibrés et sains contenant des minéraux, des protéines et des graisses saines telles que l’huile d’olive.

« Ce projet peut aussi contribuer à créer une mobilité économique pour les petits agriculteurs et à réduire le coût du transport grâce à la proximité des fournisseurs locaux avec les écoles primaires équipées de cantines scolaires », a-t-elle ajouté.

Dans un premier temps, ce projet contribuera à l’approvisionnement des cantines de 30 écoles à travers l’ensemble du pays a-t-elle affirmé, relevant que les écoles primaires concernées sont réparties sur trois gouvernorats, à savoir Kairouan, Siliana et Nabeul, à raison de 10 écoles primaires équipées de cantines scolaires dans chaque gouvernorat.

« Cette expérience pilote sera généralisée sur le reste des écoles primaires équipées de cantines après évaluation » a-t-elle confirmé.

Pour sa part, Mohamed Jawhar Mejri, directeur à l’office des œuvres scolaires au ministère de l’Éducation, a déclaré à l’Agence TAP qu’environ 4 000 élèves bénéficient, au cours de l’actuelle année scolaire, de repas scolaires chauds (un plat) dans 24 écoles primaires équipées de cantines scolaires, tandis qu’environ 307 000 élèves bénéficient de repas froids (sandwichs).

Mejri a reconnu certaines des difficultés rencontrées par les cantines scolaires, notamment la suspension de l’activité de 20 cantines scolaires en raison du manque d’effectifs, notant que l’office des œuvres scolaires a eu recours à la formation de certains de ses employés en cuisine pour surmonter ce problème.

Il a souligné l’importance de ce projet pour l’amélioration de la qualité des repas scolaires, notant qu’il vise à approvisionner les cantines scolaires en produits agricoles locaux frais directement auprès des petits agriculteurs, au lieu de s’appuyer sur le système d’approvisionnement centralisé mis en œuvre par l’office par le biais d’appels d’offres.

«L’approvisionnement des cantines scolaires en produits agricoles frais et locaux nécessite une révision du système de passation des marchés publics qui, selon ses dires, est basé sur le principe du regroupement des achats et non de la fragmentation »a-t-il expliqué.

De son côté, le directeur général de la santé au ministère de la Santé, Abderrazak Bouzouita, a souligné l’importance de ce projet dans le renforcement de la prévention des maladies non transmissibles telles que l’obésité et le diabète.

Il a indiqué que le ministère de la Santé s’emploie à sensibiliser les élèves à l’importance d’une alimentation saine et équilibrée et à réduire la consommation des aliments industrialisés.

À noter que des représentants des ministères de la Santé, de l’Éducation, de l’Agriculture et de certains organismes publics, ainsi que des représentants de la société civile, ont participé à cet atelier.

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Open d’Australie 2025 : Djokovic bat Alcaraz et se qualifie pour les demi-finales

Le décuple vainqueur de l’Open d’Australie Novak Djokovic, en quête à Melbourne d’un 25e titre record en Grand Chelem, a battu dans la nuit de mardi à mercredi le N.3 mondial Carlos Alcaraz dans le choc des quarts de finale.

Le Serbe s’est imposé 4-6, 6-4, 6-3, 6-4 contre l’Espagnol de 21 ans, qui espérait devenir le plus jeune joueur de l’histoire à remporter les 4 tournois du Grand Chelem. Il affrontera vendredi le 2e mondial, l’Allemand Alexander Zverev, en demi-finale.

A 21 ans, Carlos Alcaraz a pour sa part vu son rêve de devenir le plus jeune vainqueur de l’histoire des quatre tournois du Grand Chelem se fracasser sur l’implacable domination du Serbe à Melbourne.

Djokovic est lui de retour dans le dernier carré, un an après avoir été stoppé au seuil de la finale par Jannik Sinner (N.1 mondial), sur la route de son premier titre en Grand Chelem.

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UBCI : Croissance des crédits et des dépôts en 2024

L’UBCI a publié ses indicateurs d’activité relatifs au 4ème trimestre 2024.

L’encours des crédits à la clientèle (net de provisions et d’agios réservés) a enregistré une augmentation de 332,029 MTND pour atteindre 3 295,987 MTND, réalisant ainsi une variation positive de 11,20% par rapport au 31/12/2023.

Les dépôts de la clientèle ont atteint un encours de 3 780,829 MTND au 31/12/2024, contre un encours de 3 393,517 MTND au 31/12/2023 soit une évolution positive de 11,41% dont notamment une progression de 14,46% des dépôts à vue et 10,85% des dépôts d’épargne.

Les produits d’exploitation ont atteint 521,183 MTND, soit 12,12% d’évolution positive par rapport au 31/12/2023.

Les charges d’exploitation ont atteint 199,123 MTND, soit une augmentation de 22,41 % comparativement à la même période 2023.

Cette variation est due à l’augmentation des intérêts encourus et charges assimilées de 22,93%.

Le produit net bancaire au terme du 4ème trimestre 2024 est de 322,060 MTND en augmentation de 6,58 % par rapport à fin Décembre 2023.

Les charges opératoires affichent une augmentation de 9,87% par rapport à la même période de l’exercice 2023 engendrée par la progression des frais de personnel de 6,13% et des charges générales d’exploitation de 18,15%.

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Amen Bank : Renouvellement du contrat de liquidité pour 2025

Les initiateurs du contrat de liquidité des actions AMEN BANK et l’intermédiaire en
bourse AMEN INVEST informent le public que le contrat est arrivé à échéance le
31-12-2024.

Il est rappelé que le contrat de liquidité d’AMEN BANK est rentré en vigueur le
01-01-2024. Il était composé de 40 000 titres AMEN BANK et de 1 000 000 dinars de
liquidité.

A la date de clôture du contrat, soit le 31-12-2024, ce contrat était composé de 78 168
titres AMEN BANK et de 58 007.319 dinars de liquidité.

Il est à noter que les principaux actionnaires d’AMEN BANK vont mettre en œuvre à
compter du 21-01-2025 un nouveau contrat afin d’assurer la liquidité des actions AMEN
BANK et la régularité de leur cotation. Ledit contrat est composé de 40 000 titres AMEN
BANK Actions Anciennes et de et de 1 000 000 dinars de liquidité.

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Zaghouan : Le gouvernement lance de nouveaux projets pour améliorer les conditions de vie des habitants

Le projet de réhabilitation des villages Oued El Kenz et Aïn El Batria dans la délégation Zriba (gouvernorat de Zaghouan) est sur le point de démarrer.

Le directeur régional de développement, Khaled Hosni, a indiqué à l’Agence TAP que les travaux seront réalisés moyennant une enveloppe de 2,7 millions de dinars, dont un des fonds supplémentaires alloués par la mairie de Zriba.

Il a ajouté que les travaux destinés au village Oued El Kenz concernent l’asphaltage des routes et le raccordement des habitations aux réseaux d’assainissement et d’éclairage.

Le chantier au village Aïn El Batria porte sur l’aménagement routier et le raccordement au réseau d’assainissement.

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« AFRICA BIG 5 », cinq Ssalons Internationaux, du 8 au 11 avril, au Palais des Expositions du Kram

La Tunisie organisera, du 08 au 11 avril 2025, au Palais des Expositions du Kram à Tunis, cinq salons internationaux dénommés « AFRICA BIG 5 2025 » sous le thème « The Road To Think Green, (La route pour penser vert) ».

L’événement devrait accueillir entre 15 et 20 mille visiteurs professionnels, selon les organisateurs.

«AFRICA BIG 5 2025 » qui sera marqué par la participation de 411 exposants est composé de cinq salons qui se complètent et qui constituent le jumelage d’une grande industrie, a indiqué Basma Hamaidi, en charge de l’organisation des salons, dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge d’une conférence de presse tenue mardi à Tunis.

En effet, il s’agit de la dixième édition du salon du pétrole, du gaz et des énergies renouvelables (PETROAFRICA 2025), la deuxième édition du salon de la Logistique et du Transport (LOGISTICA AFRICA EXPO 2025), la première édition de «GREEN  AFRICA » et la sixième édition des salons « AFRICA TRAFFIC » et « AFRICA PUBLIC WORKS ».

L’objectif assigné à ces manifestations est promouvoir des secteurs stratégiques à travers l’exploration de nouvelles opportunités d’investissement et la présentation de produits et de services innovants, a indiqué Hamaidi.

La responsable a , dans le même cadre, révélé que 50 % des entreprises participantes sont des entreprises étrangères provenant notamment de la Libye, de l’Algérie, de la Mauritanie, de l’Arabie Saoudite, de l’Egypte, de Singapour, de l’Allemagne, de l’Italie, de la Chine, de l’Inde et de l’Iran.

Outre l’exposition, le programme prévoit des workshops, des ateliers et des sessions de formation notamment sur la composante logistique auxquels participeront des décideurs, des chercheurs et des experts locaux et internationaux de renom.

Organisé cette année en Tunisie en collaboration avec l’Entreprise tunisienne d’activités pétrolières (ETAP) et son homologue libyenne « National Oil Corporation » (NOC), PETROAFRICA 2025 permettra de discuter des défis du secteur et d’exposer les nouvelles technologies dans la transformation numérique, l’ingénierie et la géophysique, la gestion du carbone et les tendances mondiales de l’énergie.

S’agissant de GREEN AFRICA, il se veut, selon les organisateurs, un événement régional de référence en matière de solutions environnementales pour tous les acteurs professionnels et publics en Afrique et une vitrine pour les solutions environnementales destinée aux industries et aux villes …

Pour ce qui est d’AFRICA PUBLIC WORK, il réunira les acteurs clés du secteur de la construction, en l’occurrence les établissements et les entreprises publics, les entreprises de construction, les fournisseurs de matériaux et d’équipements de construction, les architectes, les ingénieurs et tous les professionnels du secteur.

En ce qui concerne LOGISTICA AFRICA, il regroupera tous les produits et les services innovants du transport, de la logistique et de la Supply Chain (chaine d’approvisionnement) et permettra de promouvoir la Tunisie en tant que route logistique importante en raison de sa position géographique.

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Le CEPEX organise les “Africa Business Partnership Days” à Tunis

La première édition des journées de partenariat d’ affaires africains « Africa Business Partenrship Days” se tiendra, du 25 et 27 juin 2025, à Tunis, à l’initiative du Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), en collaboration avec le programme « Arab Africa Trade Bridges Program » relevant de la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (ITFC) , a indiqué le PDG du CEPEX, Mourad Ben Hassine.

Il a ajouté, lors d’ une conférence de presse tenue, mardi, à Tunis que cet événement vise à renforcer l’orientation des entreprises tunisiennes exportatrices de biens et des services vers de nouveaux marchés porteurs et à développer les échanges commerciaux avec les pays de l’Afrique subsaharienne.

Il est prévu d’organiser environ 1500 rencontres d’affaires avec la participation de 100 entreprises tunisiennes exportatrices et de 25 acteurs économiques, dont des décideurs, fournisseurs et distributeurs africains, représentant 10 marchés africains (Ouganda, Congo-Brazzaville, Ghana, Gabon, Guinée-, Burkina Faso). Des structures de développement des exportations et des présidents des chambres de commerce et d’industrie représentant le Bénin, le Niger, le Togo et le Mali seront , également, présents à ce conclave .

Ben Hassine a souligné que les secteurs visés sont l’industrie alimentaire, les matériaux de construction et les travaux publics, outre le secteur de la santé (produits médicaux, produits semi-médicaux, médicaments et équipements médicaux) et les services.

Et de poursuivre que les hommes d’affaires africains seront invités à choisir les principaux fournisseurs et prestataires des marchés ciblés et de les contacter directement via le réseau de représentation commerciale du CEPEX dans six pays d’Afrique subsaharienne (Côte d’Ivoire, Cameroun, République Démocratique du Congo, Nigéria, Kenya et Sénégal), ainsi que les missions diplomatiques tunisiennes dans les pays concernés. L’objectif est de garantir les meilleures conditions de réussite de ces rencontres professionnelles.

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Le CEPEX lance un ambitieux programme de promotion des exportations

L’agenda export du Centre de promotion des exportations de la Tunisie(CEPEX) pour l’année 2025 comporte un calendrier de 66 actions promotionnelles, réparties entre 24 participations tunisiennes à des foires et salons internationaux et 42 opérations promotionnelles (missions d’hommes d’affaires, rencontres professionnelles….), a indiqué le PDG du CEPEX, Mourad Ben Hassine.

Intervenant lors d’une conférence de presse tenue, mardi, à Tunis, Ben Hassine a ajouté que les 42 opérations promotionnelles de l’année 2025 ciblent 12 nouvelles destinations (Niger, Ghana, Guinée, Mauritanie, Qatar, Arabie Saoudite, Suède..) sur un total de 30 marchés visés. Et de poursuivre qu’environ 800 entreprises tunisiennes devraient participer à ces actions promotionnelles du CEPEX, opérant dans 10 secteurs d’activité dont essentiellement, les industries alimentaires et d’emballage, les travaux publics, les matériaux de construction, le textile et l’habillement, le secteur de la santé, des médicaments et des équipements médicaux ainsi que les énergies renouvelables.

Programme national de promotion de l’huile d’olive pour l’année 2025

De même, le PDG du CEPEX a souligné qu’un programme national pour la promotion de l’huile d’olive pour l’année 2025 a été élaboré.

Ce programme qui comporte 20 actions de promotion vise à renforcer la présence de l’huile d’olive tunisienne sur les marchés internationaux traditionnels et à diversifier les destinations d’exportation vers de nouveaux marchés prometteurs tels que la Chine, le Qatar, l’Arabie Saoudite, le Nigéria, le Royaume-Uni.

Et de poursuivre que le CEPEX organisera, au cours de la dernière semaine de janvier 2025, un événement spécial au profit des chefs des missions diplomatiques accréditées en Tunisie, et ce, en partenariat avec le Centre Technique d’Emballage et de Conditionnement (PACKTEC).

En collaboration avec les ambassades de la Tunisie et les représentations commerciales du CEPEX, à l’étranger, le programme promotionnel de “l’or vert” inclura des journées de dégustation accompagnées de démonstrations culinaires, ainsi qu’une présentation des caractéristiques de l’huile d’olive tunisienne et de ses bienfaits pour la santé.

 

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CAN 2025 : La Tunisie connaîtra ses adversaires le 27 janvier

Le tirage au sort de la Coupe d’Afrique des nations 2025 (21 décembre-18 janvier 2026) se tiendra le lundi 27 janvier en cours, a annoncé la Confédération africaine de football (CAF), ce mardi sur son site officiel.

La cérémonie va démarrer à 19h00, et verra la participation des délégations des 24 nations qualifiées, précise l’instance du football africain.

Les 24 équipes qualifiées dont l’Algérie, seront réparties en six groupes de quatre. A l’issue de la phase de groupes, les deux meilleures équipes de chaque poule, ainsi que les quatre meilleures troisièmes, accéderont aux huitièmes de finale.

Le coup d’envoi de la CAN 2025 sera donné le 21 décembre 2025, tandis que la finale aura lieu le 18 janvier 2026.

Voici la liste des 24 équipes qualifiées pour cette édition de la CAN :
Tunisie, Afrique du Sud, Algérie, Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Cameroun,Comores, Côte d’Ivoire, Egypte, Gabon, Guinée équatoriale, Mali, Maroc,Mozambique, Nigeria, Ouganda, République démocratique du Congo, Sénégal,Soudan, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe.

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