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Pékin va promouvoir davantage l’ouverture de l’économie chinoise

La Chine va mettre en place davantage de mesures pour ouvrir son économie. Avec pour objectif principal d’attirer davantage d’investissements étrangers en 2025. C’est ce qu’annonce le ministère du Commerce chinois (MOC).

Des efforts seront déployés pour faciliter davantage l’accès au marché. Ainsi a déclaré jeudi 16 janvier 2025 Li Yongxie, responsable du ministère du Commerce, lors d’une conférence de presse.

En outre, des programmes pilotes seront lancés dans les domaines de la communication, de la fourniture de services médicaux; mais aussi dans celui de l’éducation.

Au final, en améliorant l’environnement des affaires en Chine, Pékin poursuivra ses efforts pour promouvoir les investissements sur le territoire chinois au cours de la nouvelle année.Tout en facilitant également les activités commerciales des sociétés d’investissement étrangères, selon Li Yongxie.

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Les perspectives de baisse des taux de la Fed s’éloignent 

Les baisses de taux de la Fed pourraient intervenir plus tard que prévu cette année. Et ce, en raison de l’annonce par Donald Trump de tarifs supplémentaires et de menaces d’expulsion; malgré une baisse de l’inflation. C’est ce qu’ont déclaré des experts, le jeudi 16 janvier 2025, cités par l’agence Anadolu.

Les incertitudes entourant la politique économique du président élu Donald Trump réduisent les perspectives de baisse des taux à court terme par la Fed. Même si l’inflation américaine montre des signes d’atténuation, ont indiqué les experts.

L’indice des prix à la consommation (IPC) américain a augmenté de 2,9 % sur une base annuelle et de 0,4 % sur un mois en décembre 2024. Et ce, conformément aux attentes du marché, selon les données publiées mercredi 15 janvier.

Le taux annuel de l’IPC de base, hors prix de l’énergie et de l’alimentation, est tombé à 3,2 % en décembre 2024. Soit en baisse par rapport aux 3,3 % des trois derniers mois et en dessous des estimations. Tandis que le taux mensuel a augmenté de 0,2 %, contre 0,3 % au cours des quatre mois précédents.

Depuis la victoire de Trump en novembre dernier, les investisseurs ont été soulagés par le ralentissement de l’inflation sous-jacente et la meilleure performance du marché boursier américain.

L’indice des prix à la production (PPI) américain est également ressorti inférieur aux attentes, à 3,3 % sur une base annuelle et à 0,2 % sur un mois.

Par ailleurs, les obligations sont en hausse depuis la semaine dernière en raison des craintes liées à la pression inflationniste. Mais elles ont chuté après la publication des données de l’IPP et de l’IPC.

Les estimations du marché montrent que la Fed est certaine de maintenir son taux directeur inchangé lors de la première réunion de cette année. Et la banque pourrait procéder à sa première baisse de taux de 2025 en juin.

Les analystes estiment que les signes prometteurs d’inflation ne suffiront pas à changer le cours des baisses de taux de la Fed.

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La forte demande extérieure fait monter les prix du blé ukrainien

La société d’analyse de données « APK Inform » a déclaré, jeudi 16 janvier 2025, dans un rapport que la demande des importateurs et le manque d’approvisionnement ont poussé les prix à l’exportation du blé ukrainien à la hausse la semaine du 13 janvier.

L’Ukraine expédie généralement la majeure partie de son excédent de blé exportable à l’étranger au cours de la première moitié de la campagne. Puis elle se tourne principalement vers le maïs en janvier et février.

La société a expliqué dans son rapport que les prix de la farine de blé ont augmenté d’environ 2 à 4 dollars la tonne depuis le 13 janvier jusqu’au jeudi 16. Ils se situaient entre 212 et 221 dollars la tonne, frais de transport compris.

L’Union des producteurs agricoles (UAC), la plus grande d’Ukraine, a déclaré cette semaine que les prix à l’exportation de la farine de blé pourraient atteindre 230 dollars la tonne en février prochain.

Le ministère de l’Agriculture a déclaré le 15 courant que l’Ukraine a exporté 10,3 millions de tonnes de blé depuis le début de la campagne en cours (2024-2025), qui a débuté en juillet 2024 et se termine en juin 2025, dont 413 000 tonnes dans la première quinzaine de janvier.

L’Ukraine a récolté 22,4 millions de tonnes de blé en 2024. Tandis que le gouvernement a autorisé l’exportation de 16,2 millions de tonnes au cours de la saison en cours.

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Officiel : l’accord de Gaza entrera en vigueur dimanche 19 janvier

Avec 24 heures de retard, un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été officiellement signé vendredi 17 janvier 2025 à Doha.

Les équipes de négociation israélienne, du Hamas, des États-Unis et du Qatar ont officiellement signé l’accord, selon le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui a déclaré qu’« un accord pour libérer les otages » à Gaza avait été conclu.

Des sources diplomatiques ont expliqué que l’accord entrerait en vigueur dans matinée de dimanche 16 janvier 2025.

Le bureau de Netanyahu a ajouté que le mini-gouvernement de sécurité tiendrait une réunion suivie d’une réunion du gouvernement pour approuver l’accord, et qu’Israël s’est engagé à atteindre tous les objectifs de la guerre et au retour de toutes les personnes enlevées.

Selon la même source, le Premier ministre a informé la Coordination des prisonniers de guerre de se préparer à accueillir les personnes enlevées à leur retour, et a informé les familles des personnes enlevées de l’accord qui avait été conclu.

L’accord a failli s’effondrer

Auparavant, des sources avaient rapporté que la délégation israélienne a quitté Doha après avoir surmonté les divergences concernant l’accord, soulignant que l’accord aurait presque échoué sans l’intervention des médiateurs.

Elle a déclaré qu’il avait été convenu de transférer à la deuxième étape les demandes du Hamas concernant les noms des prisonniers de haut rang et qu’Israël réduirait ses raids sur Gaza à partir de vendredi soir…

Un premier lot de détenus reviendra dimanche

Le correspondant d’Al-Arabiya, citant un responsable israélien, a déclaré que le retour du premier groupe de détenus aura lieu dimanche et qu’Israël s’efforcera de rendre les otages dès que possible.

Entre-temps, les médias israéliens ont rapporté qu’une liste de Palestiniens condamnés à la prison à vie et dont la libération était prévue dans le cadre de l’accord avait été établie.

Accord en 3 étapes

La première phase de l’accord dure 6 semaines, et verra un retrait progressif des forces israéliennes de Gaza.

Cela comprend également la libération de 33 Israéliens, dont des femmes, des enfants et des hommes de plus de cinquante ans, ainsi que de deux Américains : Keith Siegel et Sajoy Dekel-Chin.

Les négociations sur la mise en œuvre de la deuxième phase de l’accord devraient débuter le seizième jour de la première phase. Cette phase devrait inclure la libération de tous les prisonniers israéliens restants, un cessez-le-feu permanent et le retrait complet des forces israéliennes de Gaza, en échange de la libération de plus d’un millier de prisonniers palestiniens.

La troisième phase comprendra le début de la reconstruction de Gaza sous la supervision de l’Égypte, du Qatar et des Nations unies.

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Les constructeurs automobiles indiens à l’offensive sur les VE en 2025

Les constructeurs automobiles opérant en Inde prévoient de lancer près d’une douzaine de nouveaux modèles de voitures électriques (VE) en 2025. Beaucoup pénétreront le marché haut de gamme, avec des autonomies plus longues et des temps de charge plus rapides. Objectif déclaré : attirer les acheteurs, alors que la demande de véhicules électriques ralentit à l’échelle mondiale.

Les voitures électriques occuperont le devant de la scène au Salon automobile indien de cinq jours à New Delhi, à partir de vendredi 17 janvier 2025. Et ce, avec des modèles du nouvel entrant vietnamien Vinfast. Ils seront présentés aux côtés des marques nationales, Maruti Suzuki et Mahindra & Mahindra; ainsi que ses rivaux mondiaux BYD, Toyota et Hyundai.

Tata Motors, leader du marché indien des véhicules électriques, et JSW-MG Motor, détenue en partie par le chinois SAIC Motor, présenteront une gamme élargie sur le troisième plus grand marché automobile du monde, où des normes d’émission plus strictes à partir de 2027 obligent à passer à des voitures plus propres.

A cet égard, notons que le marché indien des véhicules électriques est petit. Les modèles électriques représentent environ 2,5 % des 4,3 millions de voitures vendues en 2024. Sachant que les prix élevés et un réseau de recharge irrégulier freinent les acheteurs.

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Bayrou : jamais la France n’a eu autant de dettes

Les déclarations du Premier ministre, François Bayrou, montrent la difficulté du politique à gérer les problèmes économiques. Les « Insoumis » préparent une motion de censure.

Le pari de la survie de son gouvernement s’est joué mercredi 15 janvier 2025 après-midi à l’Assemblée nationale française avec les déclarations programmatiques du nouveau Premier ministre, François Bayrou. Il a ensuite fait des déclarations sur tous les sujets : retraites, budget, système proportionnel, immigration, éducation, réforme de l’État. Tout ce dont la France a un besoin urgent.

Certains ont même été prononcés avec une maîtrise particulière afin d’éviter toute contestation ou rupture avec d’autres formations politiques. Ainsi, par exemple, sur la question de la réforme des retraites, pour laquelle il a passé d’innombrables heures à négocier avec les socialistes qui demandaient « l’annulation » ou la « suspension » pour ne pas voter une motion de censure, il a évité les mots qui ont provoqué la colère des Républicains.

Il a évoqué « un examen de la réforme par un « conclave » des partenaires sociaux dans un délai d’un trimestre, soulignant qu’aucun tabou ne s’applique, pas même celui de l’âge (64 ans) ». Si aucun accord n’est trouvé dans trois mois, la réforme actuelle sera mise en œuvre, a-t-il déclaré.

La dette est l’épée de Damoclès

François Bayrou a reconnu que la France n’a jamais été aussi endettée qu’aujourd’hui. La dette semble suspendue comme une épée de Damoclès. Il a appelé les députés à « se réunir et à approuver sans délai les deux budgets, celui de l’Etat et celui de la Sécurité sociale ».

« Nous payons tous un prix élevé pour le désordre budgétaire actuel : les entreprises, les investisseurs, les contribuables et les emprunteurs », a-t-il souligné. Dans le but de réduire la bureaucratie, il a annoncé la création d’un fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l’État.

Il estime qu’il existe dans le pays un millier d’agences d’État de formes diverses qui constituent un véritable labyrinthe. Ce fonds sera financé par des actifs « notamment immobiliers appartenant aux pouvoirs publics afin que nous puissions investir, par exemple, dans le développement de l’intelligence artificielle dans les services publics », a expliqué le Premier ministre.

Il a également préconisé la création d’une « Banque de la démocratie » pour financer les partis et campagnes politiques afin qu’ils ne dépendent plus des choix de banques privées mais d’organismes publics, placés sous le contrôle du Parlement. « L’argent ne doit pas dominer les consciences, l’argent ne doit pas prévaloir sur le libre arbitre des citoyens », a-t-il conclu.

Après la fin du discours du Premier ministre, le groupe des Insoumis a déclaré qu’il procéderait au dépôt d’une motion de censure, qui devrait être examinée ce jeudi. Depuis, le RN de Le Pen a déclaré que son principe était de ne pas voter la censure lors de l’annonce des déclarations de programme, il attend de voir dans la pratique ce qui se passera.

Restent les socialistes qui, d’après leurs déclarations immédiatement après le discours, ne semblent pas être d’accord sur une décision commune.

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Le désespoir des Tiktokeurs américains!

Déception, déni et confusion ont envahi la plateforme américaine TikTok après l’annonce par son propriétaire chinois ByteDance de son intention de fermer l’application pour ses 170 millions d’utilisateurs américains d’ici dimanche 18 janvier 2025. Il semble jeter l’éponge sur ses efforts pour maintenir la populaire plateforme de partage de vidéos.

Les utilisateurs qui ont accumulé des abonnés et des carrières sur l’application espéraient depuis des mois que TikTok trouverait un moyen d’éviter une interdiction américaine adoptée en 2023. Mais la résignation et la colère ont commencé à s’installer, à l’approche du 19 janvier, selon le site américain Axios. « Le fait que TikTok affiche ce drapeau blanc est très décourageant et très triste », a déclaré Joonsuk Shin, 28 ans, responsable de recherche et créateur de contenu basé à New York.

Certains utilisateurs ont appelé au boycott d’applications comme Instagram et Facebook, appartenant à Meta Platforms et X, propriété d’Elon Musk, qui devraient attirer les annonceurs qui utilisaient fréquemment TikTok.

« Nous devons tous supprimer nos comptes Facebook, X et Instagram le jour même », a déclaré un utilisateur.

ByteDance a jusqu’au 19 janvier pour vendre les actifs américains de TikTok ou risquer une interdiction aux États-Unis. Et ce, suite aux inquiétudes des législateurs selon lesquelles l’application présente des risques pour la sécurité nationale. Car la Chine pourrait obliger l’entreprise à partager les données de ses utilisateurs américains. TikTok a nié avoir partagé un jour les données des utilisateurs américains.

TikTok et sa société mère ByteDance ont cherché à retarder la mise en œuvre de la loi qui, selon eux, viole la protection du premier amendement de la Constitution américaine contre toute atteinte à la liberté d’expression par le gouvernement.

La nouvelle réglementation vise à conserver la puissance de calcul avancée aux États-Unis tout en trouvant de nouveaux moyens de bloquer l’accès de la Chine.

À moins que la Cour suprême des États-Unis ne décide de mettre fin à l’interdiction, les personnes qui tenteront d’ouvrir l’application dimanche verront un message contextuel les dirigeant vers un site Web contenant des informations sur la fermeture.

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L’Allemagne sombre dans la récession

Près d’un mois avant les élections de février, de sombres nuages ​​s’amoncellent sur l’économie allemande. Selon les dernières données publiées mercredi 15 janvier 2025 par l’Office allemand des statistiques, l’Allemagne est entrée en récession pour la deuxième année. Son PIB a diminué de 0,2 % en 2024, contre 0,3 % en 2023.

C’est la deuxième fois depuis 1950 que le PIB allemand se contracte pendant deux années consécutives. Selon la directrice de l’Office fédéral de la statistique, Ruth Brandt, la récession qui dure depuis deux ans est due aux profonds problèmes structurels de l’économie allemande. À cela s’ajoutent les pressions que l’économie allemande subit de la part de la Chine et de sa concurrence déloyale; mais aussi des années de crise énergétique qui ont suivi l’invasion russe de l’Ukraine.

Une multitude de facteurs constituent des obstacles à la reprise

Selon une analyse de la radio allemande DLF, une autre raison essentielle qui pousse l’économie allemande dans la récession est la baisse de 0,2 % des exportations du pays, dont dépend l’économie allemande. En cause également la crise du secteur de la construction et l’échec de la convergence entre les salaires et le marché. Car le pouvoir d’achat des Allemands a diminué ces dernières années.

Les élections anticipées, les longues consultations qui suivront sur la formation d’un gouvernement en Allemagne, l’absence – pour l’instant – de budget et les décisions imminentes de Donald Trump sur la politique économique américaine et son projet de retour au protectionnisme créent une incertitude supplémentaire dans l’économie allemande.

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Un câble énergétique sous-marin reliera l’Italie, les Émirats et l’Albanie

L’Italie, l’Albanie et les Émirats arabes unis coopéreront sur un projet de transfert d’électricité de l’Albanie vers l’Italie; et ce, via un câble sous-marin dans l’Adriatique. C’est ce qu’a déclaré la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, en visite à Abou Dhabi, rapporte Bloomberg

La valeur du projet de cable énergétique s’élève à environ 1 milliard d’euros, comme l’a déclaré à des journalistes, mercredi 16 janvier 2025, le Premier ministre albanais, Edi Rama. De son côté, la vice-Première ministre albanaise, Belinda Baluku, a déclaré que la valeur totale pourrait atteindre 1,5 milliard d’euros.

Le projet, encore en phase d’étude, s’inscrit dans la stratégie de Mme Meloni visant à rendre l’Italie moins dépendante des importations de gaz russe après l’invasion de l’Ukraine. Il vise également à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Tout en positionnant le pays comme un lien énergétique entre l’Europe et le reste de la Méditerranée.

« Le développement des interconnexions peut être la pierre angulaire d’une nouvelle diplomatie énergétique visant à multiplier les opportunités de coopération entre nous et à créer des bénéfices partagés pour tous ». C’est ce qu’a déclaré Mme Meloni lors de la Semaine du développement durable d’Abu Dhabi. « Avec cette approche, l’Italie va devenir la plaque tournante stratégique des flux énergétiques entre l’Europe et l’Afrique ».

L’Albanie produit déjà 96 % de son énergie à partir de sources renouvelables, notamment par de grandes centrales hydroélectriques. De plus, elle accélère sa production d’énergie solaire, suite à une loi de 2023 visant à ajouter 1 gigawatt de nouvelle capacité d’ici 2030.

Selon Mme Baluku, l’Albanie n’avait pas l’intention de construire une capacité supplémentaire pour la connexion avec l’Italie. Le pays et Terna SpA – l’opérateur du réseau italien- ont entamé des discussions sur le projet il y a environ un an. La Société nationale d’énergie d’Abou Dhabi participe également au projet.

Dans le cadre de sa politique énergétique, Gorgia Meloni promeut son plan d’investissement pour l’Afrique, appelé Plan Mattei. Lequel vise à accroître la sécurité alimentaire et énergétique sur le continent, afin d’endiguer les arrivées de migrants par voie maritime.

Lire aussi : Plan Mattei : un accord de 400 millions d’euros signé entre la BAD et le groupe italien SACE

« Cette initiative est une étape concrète vers une interconnexion véritablement mondiale – de l’Asie au Golfe, de l’Afrique du Nord à l’Europe – capable de fournir de l’énergie dans les deux sens », a-t-elle conclu.

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La BCE appelle les banques à la prudence face aux risques géopolitiques

La Banque centrale européenne (BCE) a demandé, mardi 14 janvier 2025, aux banques d’être en alerte face aux risques géopolitiques liés aux guerres en Ukraine et au Moyen-Orient, ainsi qu’aux chocs économiques potentiels liés aux tarifs douaniers promis par le président américain élu Donald Trump.

La BCE, comme l’a rapporté Bloomberg, a averti les banques de prendre en compte dans leurs évaluations de l’adéquation des fonds propres les risques qui pourraient provenir de chocs géopolitiques et d’une guerre commerciale mondiale qui pourrait être déclenchée par l’imposition de droits de douane par le nouveau président américain.

La BCE évaluera la manière dont les banques abordent l’impact géopolitique dans le cadre de la gestion des risques pertinents qu’elles ont mis en place, ainsi que dans leur planification de l’adéquation des fonds propres et des niveaux de liquidité, mais aussi dans leurs tests de résistance internes. C’est ce qu’ont déclaré deux responsables de la BCE, en l’occurrence Sharon Donnery, membre du Conseil de surveillance de la BCE, et Mario Quagliariello, directeur de la stratégie de surveillance et des risques, dans un article publié mardi sur le blog de la banque.

« Cette année, les risques géopolitiques occuperont une place importante dans le test de résistance à l’échelle de l’UE », ont déclaré les deux responsables.

« En outre, une analyse exploratoire examinera dans quelle mesure les banques peuvent modéliser le risque de crédit de contrepartie en cas de tensions. Parallèlement à ces travaux, nous examinerons également la manière dont les banques abordent les risques géopolitiques dans les cadres de gestion des risques, la planification du capital et de la liquidité et dans nos tests de résistance internes afin d’identifier les bonnes pratiques et de clarifier davantage nos attentes en matière de surveillance », ajoutent les responsables de la BCE.

« Qu’il s’agisse de marchés financiers volatils, de perturbations du commerce et des chaînes d’approvisionnement ou de menaces immédiates…, les événements géopolitiques peuvent imprégner tous les aspects des opérations des banques », préviennent les deux responsables.

Avec « des ressources limitées et face à un paysage en constante évolution », la BCE se concentre sur les problèmes les plus urgents et axe ses efforts « là où ils auront le plus grand impact », notent-ils.

Les responsables soulignent également que les banques européennes devraient « remédier aux principales déficiences persistantes dans les domaines soumis à une surveillance prudentielle intensive », soulignant que cela devrait être fait de manière rapide et efficace.

Enfin, ils déclarent attendre des banques qu’elles « relèvent les défis posés par la numérisation et l’utilisation des nouvelles technologies ».

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L’inflation mondiale restera élevée jusqu’en 2028 

Des centaines d’économistes à travers le monde s’attendent à ce que l’inflation mondiale reste élevée au moins jusqu’en 2028, révèle une nouvelle enquête qui pourrait accroître les inquiétudes du marché concernant les pressions persistantes sur les prix.

Les experts prévoient une inflation moyenne de 3,5% au cours des trois prochaines années, légèrement inférieure aux 3,9% attendus pour 2025, selon une étude trimestrielle de l’institut allemand Ifo et de l’Institut suisse de politique économique, rendue publique mardi 14 janvier 2025, et à laquelle près de 1 400 experts de 125 pays ont participé.

« Les attentes d’inflation restent supérieures aux objectifs d’inflation de nombreuses Banques centrales », a déclaré Niklas Potrafke, directeur du Centre Ifo pour les finances publiques et l’économie politique, ajoutant que « des baisses de taux majeures sont peu probables compte tenu de ces anticipations d’inflation ».

Les données récentes aux États-Unis et dans la zone euro ont alimenté les craintes selon lesquelles la hausse des prix à la consommation pourrait s’avérer plus persistante qu’on ne le pensait récemment et conduire ainsi à un réalignement global des attentes en matière de baisse des taux d’intérêt – en particulier au sein de la Banque centrale fédérale des États-Unis, la Réserve fédérale.

Selon l’enquête, les attentes concernant l’évolution des prix sont optimistes, en particulier pour l’Amérique du Nord.

En 2025, les experts prévoient un taux moyen de 2,6%, soit 0,2 point de pourcentage de plus que lors de la précédente série de recherches. L’estimation est de 2,8% pour 2026 et de 2,9% pour 2028.

Alors que les économistes prévoient un taux d’inflation de 2% en 2028 pour l’Europe occidentale, ils prévoient 2,7% en Europe du Sud et 2,5% en Europe du Nord.

Ces estimations interviennent à un moment où les économies européennes ont connu un ralentissement significatif – notamment celui de la « machine à vapeur » de croissance allemande – et alors qu’une baisse progressive des taux d’intérêt par la BCE vers 2% en 2025 était jusqu’à présent une attente générale, afin de donner une impulsion au développement.

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Le PIB des pays du Golfe atteindra 6 000 milliards de dollars en 2025

Le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe (CCG), Jassim Mohammed Al-Budaiwi, s’attend à ce que le produit intérieur brut (PIB) des six pays du CCG atteigne environ 6 000 milliards de dollars en 2025.

Lors d’une session de dialogue du Golfe tenue dans le cadre du Forum financier asiatique 2025 à Hong Kong, mardi 14 janvier 2025, Al-Budaiwi a déclaré que le produit intérieur des pays du CCG a enregistré en 2023 environ 2,1 billions de dollars. Il a souligné que le total des actifs financiers souverains des pays du CCG s’élevait à environ 3 200 milliards de dollars, soit l’équivalent de 33% du total des actifs souverains mondiaux, tandis que le PIB par habitant atteignait 36 ​​700 dollars.

Al-Budaiwi a expliqué que les pays du Golfe sont en tête du monde en termes de réserves et de production de pétrole brut, et occupent la première place mondiale pour les réserves de gaz naturel, tout en occupant la troisième place pour la production de gaz.

Il a assuré que les politiques équilibrées des pays du CCG ont permis la stabilisation des marchés de l’énergie, en fournissant un approvisionnement sûr et stable en pétrole et en gaz au marché mondial.

Le secrétaire général a évoqué les projets de coopération entre les pays du CCG, notamment le projet ferroviaire qui les relie sur une longueur de 2 100 kilomètres, et le projet d’interconnexion électrique du Golfe, soulignant que ces projets offriront des opportunités prometteuses au secteur des affaires et de la finance.

Il a également souligné la signature d’un accord d’exportation d’énergie électrique vers l’Irak, avec des projets d’expansion de la connexion électrique et du commerce de l’énergie avec d’autres pays aux niveaux régional et international, et le lancement de la Gulf Payments Company par les pays du CCG, qui permet la mise en œuvre des transferts financiers dans les devises locales du CCG et dans d’autres devises rapidement et instantanément à faible coût dans un environnement sûr.

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Le déficit budgétaire américain atteint 711 milliards de dollars au 4e trimestre 2024

Le déficit public américain a atteint un nouveau « niveau record » entre septembre et décembre. C’est ce qu’a annoncé le 15 janvier 2025 le département du Trésor, après une baisse des recettes et une augmentation des dépenses, notamment en raison des catastrophes récurrentes résultant des ouragans.

Au cours de cette période, le déficit américain a atteint 711 milliards de dollars. Soit une augmentation de 39 % sur un an.

Un responsable du ministère a déclaré aux journalistes que ce déficit représente « un niveau record pour les trois premiers mois de l’année fiscale ».

Le déficit s’est également accru en raison de dépenses « records » : environ 1 800 milliards de dollars en trois mois. Soit une augmentation de 11 % par rapport à la même période l’an dernier.

Parmi les postes de dépenses qui ont le plus augmenté figurent ceux liés aux salaires des retraités, à la santé des personnes à faible revenu et des personnes âgées (programmes Medicare et Medicaid), ainsi qu’à la défense. Et ce, en raison de « l’augmentation de l’activité et des opérations de maintenance », selon le responsable du Département du Trésor.

Le gouvernement fédéral a également dépensé davantage pour faire face aux dégâts causés par les ouragans dévastateurs Helen et Milton à la fin septembre et au début octobre.

Ainsi, les intérêts de la dette ont accru le déficit. Tandis que les taux d’intérêt auxquels le pays empruntait augmentaient.

Le président élu, Donald Trump, qui entrera en fonction le 20 janvier, a confirmé son intention de continuer à réduire les impôts. Et ce, tout en réduisant les dépenses du gouvernement fédéral.

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Le cessez-le-feu à Gaza semble proche

Les négociateurs sont sur le point de finaliser les derniers détails d’un cessez-le-feu à Gaza, après des discussions marathon au Qatar. Américains et Egyptiens ont promis de rester en contact étroit sur un accord dans les heures qui viennent.

Des responsables des médiateurs Qatar, Egypte et Etats-Unis ainsi qu’Israël et le Hamas ont déclaré, dans la matinée du mercredi 15 janvier, qu’un accord sur une trêve dans l’enclave assiégée et la libération des otages était plus proche que jamais.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar, Majed Al-Ansari, a déclaré plus tôt lors d’une conférence de presse qu’un texte avait été présenté aux deux parties et que des discussions sur les derniers détails étaient en cours.

Mais un haut responsable du Hamas avait déclaré à Reuters dans la soirée du mardi que le groupe palestinien n’avait pas encore donné sa réponse car il attendait toujours qu’Israël lui soumette des cartes montrant comment ses forces se retireraient de Gaza.

Le Hamas a déclaré que les pourparlers avaient atteint les dernières étapes et qu’il espérait que ce cycle de négociations conduirait à un accord.

Le président américain Joe Biden, dont l’administration participe aux côtés d’un envoyé du président élu Donald Trump, a déclaré qu’un accord était proche après que la guerre a décimé Gaza, tué des dizaines de milliers de personnes et déclenché des conflits dans la région.

Biden et le président égyptien Abdel Fattah El-Sissi ont discuté mardi des progrès des négociations. « Les deux dirigeants se sont engagés à rester en étroite coordination directement et par l’intermédiaire de leurs équipes au cours des prochaines heures », a déclaré la Maison Blanche dans un communiqué après l’appel téléphonique des dirigeants.

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Les États-Unis resserrent leur emprise sur les flux de puces IA

Le gouvernement américain a annoncé, lundi 13 janvier 2025, qu’il allait restreindre davantage les exportations de puces et de technologies d’intelligence artificielle. Et ce dans le but de conserver la puissance de calcul avancée aux États-Unis et chez ses alliés tout en trouvant de nouveaux moyens de bloquer l’accès de la Chine.

La nouvelle réglementation limitera le nombre de puces d’IA qui peuvent être exportées vers la plupart des pays et permettra un accès illimité à la technologie d’IA américaine pour les alliés les plus proches de l’Amérique, tout en maintenant un blocage sur les exportations vers la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord.

Dévoilées dans les derniers jours de l’administration du président Joe Biden, ces nouvelles règles de longue haleine vont au-delà de la Chine et visent à aider les États-Unis à maintenir leur statut dominant dans le domaine de l’IA en la contrôlant dans le monde entier.

« Les États-Unis sont désormais leaders en matière d’IA, à la fois en matière de développement et de conception de puces, et il est essentiel que cela reste ainsi », a déclaré la secrétaire au Commerce, Gina Raimondo.

Cette réglementation met fin à quatre années d’efforts déployés par l’administration Biden pour entraver l’accès de la Chine aux puces avancées qui peuvent améliorer ses capacités militaires et chercher à maintenir le leadership américain en matière d’IA en comblant les lacunes et en ajoutant de nouvelles barrières de sécurité pour contrôler le flux de puces et le développement mondial de l’IA.

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Espagne : la fiscalité des locations de courte durée va augmenter

L’Espagne prévoit d’augmenter les impôts sur les propriétés louées à court terme afin que leurs propriétaires paient « comme une entreprise ». C’est ce qu’a déclaré le Premier ministre Pedro Sanchez, alors que les habitants des plus grandes villes du pays peinent à faire face à la flambée des loyers.

« Il n’est pas juste que ceux qui ont trois, quatre ou cinq locations à court terme paient moins d’impôts que les hôtels ou les travailleurs », a déclaré Sanchez lors d’un événement sur le logement abordable, organisé lundi 13 janvier 2025.

La mesure sera basée sur la nouvelle directive de l’Union européenne sur la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les plateformes numériques, a-t-il précisé. Les hôtels espagnols paient désormais un taux réduit de TVA de 10 %, inclus dans la facture.

Le logement est devenu un problème majeur en Espagne alors que le pays tente de trouver un équilibre entre la promotion du tourisme (un moteur crucial de son économie) et la gestion des inquiétudes concernant les loyers élevés dus à la gentrification et au déplacement des propriétaires vers des baux touristiques plus lucratifs et à court terme en particulier dans les zones urbaines et côtières.

Sanchez a également promis des mesures plus strictes pour lutter contre la fraude aux locations à court terme, sans donner plus de détails. Le mois dernier, les autorités ont ouvert une enquête contre Airbnb pour ne pas avoir supprimé de sa plateforme des milliers d’annonces de location trompeuses.

En outre, les propriétaires des zones à loyers élevés qui maintiennent des loyers conformes à une référence officielle seront exonérés à 100 % de l’impôt sur les revenus locatifs.

Sanchez a déclaré que le gouvernement encouragerait la construction de logements sociaux et allouerait 2 millions de mètres carrés de terrains résidentiels à une nouvelle agence de logement public.

Mais le gouvernement minoritaire de Sanchez est contraint de mener une bataille constante pour faire adopter le moindre projet de loi dans un Parlement divisé.

Les propositions de son parti socialiste en matière de logement ont suscité des critiques à la fois de la droite – qui les qualifie de trop interventionnistes – et de ses alliés de la gauche radicale, qui accusent les socialistes centristes d’être trop indulgents avec les propriétaires.

De nombreuses manifestations ont eu lieu dans un contexte de colère croissante des citoyens qui se sentent exclus du marché espagnol alors que les loyers continuent d’augmenter dans un pays traditionnellement composé de propriétaires.

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Égypte : l’économie pastorale va créer 90 000 emplois en 2025

Le ministre égyptien du Travail, Mohamed Gibran, s’attend à ce que l’économie pastorale crée environ 90 000 opportunités d’emploi direct en 2025. Et ce, à mesure que la participation des entreprises privées dans le secteur augmente.

Dans une interview à Al Business, lundi 13 janvier 2025, M. Gibran a ajouté que l’économie pastorale promettait de créer davantage d’opportunités d’emploi et qu’une coordination était en cours avec le secteur privé à cet égard pour fournir davantage d’emplois.

Le ministre du Travail a renchéri : « Nous prévoyons une croissance des opportunités d’emploi au cours de l’année en cours avec l’expansion des projets nationaux géants. Et ce, parallèlement à l’expansion des entreprises privées dans des projets de développement dans diverses activités, y compris l’économie pastorale. »

En outre, l’économie des soins est un travail rémunéré – par le biais d’emplois dans les secteurs formels et informels -, ainsi que non rémunéré – par lequel des soins sont fournis à d’autres personnes de différents groupes d’âge-, selon le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Par ailleurs, début décembre 2024, le Premier ministre égyptien, Mustafa Madbouli, a annoncé que le taux de chômage était tombé à 5,6 %, soit le niveau le plus bas depuis 10 ans. Il a ajouté que malgré les défis, de nouvelles opportunités d’emploi étaient créées, l’économie égyptienne étant en pleine expansion.

Les premiers indicateurs de croissance de l’économie égyptienne au cours de l’année en cours dépasseront les niveaux d’au moins 4 %. Ce qui signifie offrir davantage d’opportunités d’emploi.

Enfin, M. Gibran a expliqué que son département va renforcer le marché du travail en créant de nouveaux emplois décents et en développant le système de formation professionnelle avec des programmes approuvés qui correspondent aux besoins du marché du travail national et étranger.

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L’économie américaine n’aura pas besoin des grandes réformes de Trump

Le président élu des Etats-Unis, Donald Trump, a fait campagne sur des promesses de taxes douanières agressives, de restrictions en matière d’immigration, de déréglementation et de réduction de la taille de l’Etat. Mais l’économie dont il héritera le 20 janvier, pourrait réclamer quelque chose de différent, c’est-à-dire ne rien casser, selon Moody’s Analytics.

« Le succès de l’administration Trump consisterait à ne pas nuire à l’économie exceptionnellement performante dont elle hérite », a déclaré, le 13 janvier 2025, Mark Zandi, économiste en chef chez Moody’s Analytics. A première vue, la combinaison prévue de droits de douane, d’expulsions et de réductions d’impôts financées par le déficit « fera du mal. L’ampleur de ce mal… dépendra de l’agressivité avec laquelle ces politiques seront menées ».

Alors que la production est en hausse au-dessus de la tendance, que le marché du travail est proche du maximum d’emploi et que les braises de l’inflation couvent toujours, Trump pourrait lancer les réformes promises dans une économie qui a moins besoin du type de stimulus fourni par ses réductions d’impôts de 2017.

Comme l’a montré la vente d’actions qui a suivi le solide rapport sur l’emploi de décembre, elle pourrait également être sujette à une correction compte tenu de la valeur élevée des actifs et d’un marché obligataire qui a fait grimper les rendements, selon l’institution.

Trump prendra ses fonctions la semaine prochaine (le 20 janvier 2025) dans des circonstances économiques très différentes de celles au début de son premier mandat en 2017.

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Change : l’euro vers la parité avec le dollar

L’euro s’est rapproché, lundi 13 janvier 2025, encore plus de la parité absolue avec le dollar, dans le contexte de l’appréciation générale de la monnaie américaine depuis vendredi 10 janvier, lorsque des données extrêmement solides sur le marché du travail du pays ont encore repoussé les prochaines baisses des taux d’intérêt de la Fed.

En particulier, la monnaie commune européenne (euro) a chuté de 0,3 % par rapport à la monnaie américaine, le taux de change euro-dollar s’établissant à 1,207. Au cours de la journée, la paire avait atteint 1,017.

L’euro a connu une tendance générale à la baisse ces derniers temps, mais la baisse actuelle est davantage imputable à l’appréciation du dollar, qui est généralement plus fort par rapport aux taux de change internationaux.

L’indice du dollar, qui mesure sa valeur par rapport à un panier de devises, a atteint son plus haut niveau depuis plus de deux ans pour atteindre 110,17, poursuivant une hausse largement suivie depuis la victoire de Trump aux élections américaines.

Le dernier événement ayant alimenté le rallye de la devise américaine a été le rythme explosif du marché du travail aux Etats-Unis en décembre, avec un taux de chômage tombé à 4,1 %, ce qui a rendu plus lointaines de nouvelles baisses de taux par la Fed.

Par exemple, les traders qui tablaient sur deux réductions des coûts d’emprunt aux États-Unis cette année n’en voient plus aucune après le rapport de vendredi 10 janvier, selon les paris sur les contrats à terme connexes.

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