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Les États-Unis peuvent-ils concrétiser leur plan économique « 3-3-3 » ?

Les perspectives de croissance mondiale cette année dépendent en grande partie des actions et des choix de l’administration Trump récemment investie aux États-Unis. À la tête de l’immense économie américaine de 30 000 milliards de dollars, Trump dispose d’un mandat solide pour adopter de nouvelles politiques et initiatives, soutenu par une large majorité républicaine à la Chambre des représentants et au Sénat.

Sous les slogans « Make America Great Again » (MAGA) et « America First », Trump a promis une croissance économique accrue, une déréglementation et une simplification administrative dans des secteurs clés, des baisses d’impôts pour les entreprises et les ménages, davantage d’investissements publics et de subventions pour l’industrie manufacturière et la défense nationale, une augmentation de la production d’hydrocarbures, ainsi qu’une position protectionniste ferme en matière de commerce extérieur. Cette feuille de route s’inscrit dans la continuité des engagements de son premier mandat (2017-2021).

Cependant, les conditions économiques actuelles aux États-Unis diffèrent de celles de 2017, lorsque Trump a pris ses fonctions pour la première fois. La croissance potentielle du PIB a déjà considérablement augmenté ces dernières années, les marges de manœuvre budgétaires se sont réduites, et le pays a déjà traversé une « révolution énergétique » grâce au développement du schiste. Malgré cela, l’équipe économique de Trump, dirigée par le secrétaire au Trésor Scott Bessent, estime qu’il est possible de mener à bien un plan ambitieux baptisé « 3-3-3 ». Ce dernier vise 3 % de croissance du PIB, 3 % de déficit budgétaire et une production supplémentaire de 3 millions de barils de pétrole brut par jour d’ici 2028. 

Comparaison des indicateurs macroéconomiques : Mandat Trump 1.0 vs Mandat Trump 2.0

(début des mandats en 2017 et 2025 respectivement)        

  

Sources: Haver, QNB analysis

Cette semaine, nous décomposons les objectifs du plan   3-3-3 pour en évaluer la faisabilité, les chances de réussite, ainsi que l’impact potentiel des mesures nécessaires.

  1. Une croissance de 3 % du PIB : est –elle réaliste ?

La croissance économique des États-Unis a déjà enregistré des progrès notables ces dernières années, avec une accélération du potentiel de PIB. Rien ne permet de penser que l’objectif de 3 % soit trop élevé ou irréaliste. En effet, le potentiel de croissance du PIB s’établit déjà à 2,5 %, revenant ainsi à la moyenne de long terme. Il est possible que Trump mette en œuvre un programme complet favorisant l’innovation et la déréglementation, tout en s’appuyant sur les investissements existants dans l’intelligence artificielle (IA).

Au cours des derniers trimestres, les grands fournisseurs de services cloud ont doublé leurs programmes d’investissement, ce qui suggère que nous ne sommes qu’au début d’un cycle d’investissement massif, unique en son genre, dans les infrastructures d’IA. Une adoption technologique accélérée pourrait générer des gains d’efficacité significatifs, augmentant davantage la productivité et le potentiel de croissance du PIB, comme ce fut le cas lors de la montée en puissance des infrastructures Internet dans les années 1990.    

L’évolution du potentiel de croissance du PIB des États-Unis

(y/y, %, 1990-2024)          

Sources: US Federal Reserve, QNB analysis

  1. Réduction du déficit à 3 % : un défi ambitieux

L’équipe économique prévoit un plan ambitieux de consolidation budgétaire, visant à réduire le déficit à 3 % d’ici 2028. Cependant, cette ambition se heurte à des promesses de campagne, notamment une baisse de l’impôt sur les sociétés de 21 % à 15 % et la prolongation des réductions d’impôts de 2017, qui devaient expirer fin 2025. Ces mesures fiscales devraient entraîner une réduction des recettes publiques de 3 000 à 4 000 milliards de dollars.

Pour compenser, l’administration Trump propose une combinaison de mesures de réduction des coûts et de hausse des recettes, comme l’imposition de droits de douane plus élevés et des coupes budgétaires dans plusieurs départements et programmes gouvernementaux. Une commission sur l’efficacité gouvernementale, dirigée par Elon Musk, pourrait également identifier des opportunités d’optimisation budgétaire. Néanmoins, atteindre un déficit de 3 % nécessiterait une réduction massive des dépenses publiques d’environ 3 400 milliards de dollars, soit une baisse de 30 % par rapport aux projections pour 2028. Une telle réduction pourrait freiner la croissance économique, soulevant la question de savoir quelle priorité l’emporterait entre la croissance et la rigueur budgétaire.

  1. Augmentation de la production énergétique : un objectif ambitieux et flou

Enfin, le plan vise une augmentation de 3 millions de barils équivalent pétrole par jour. L’idée repose sur la déréglementation, des incitations et une approche neutre concernant les sources d’énergie, en réduisant les subventions aux énergies renouvelables. Cependant, l’industrie pétrolière fait face à des défis majeurs, tels que l’épuisement des ressources facilement accessibles, des coûts élevés, une pénurie de main-d’œuvre et une rentabilité faible dans certaines zones de production de schiste. Pour atteindre cet objectif, il faudrait inclure d’autres sources d’énergie, comme le gaz et le GNL, dans le calcul.

Conclusion

En résumé, il est probable que Trump puisse atteindre l’objectif de 3 % de croissance du PIB, grâce aux innovations technologiques et à une politique de déréglementation. En revanche, la cible de 3 % de déficit budgétaire semble trop ambitieuse dans le contexte actuel, surtout en raison des nouvelles baisses d’impôts envisagées. Enfin, l’objectif énergétique reste flou et dépendrait d’une définition élargie des sources d’énergie prises en compte.

D’après analyse QNB

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Le spectre d’une guerre des monnaies plane sur l’économie mondiale

Alors que le monde retient son souffle devant les menaces des guerres commerciales qui se profileront avec
l’investiture de Donald Trump à la Maison Blanche le 20 janvier 2025, la perspective d’une guerre des monnaies est
tout aussi préoccupante.

Les guerres monétaires ne sont pas un phénomène nouveau. Pendant les années 1930 et après la grande dépression de 1929, plusieurs pays et à leur tête les Etats-Unis ont fait recours à des tarifs douaniers généralisés et à des dévaluations successives de leur monnaie, afin de doper leurs exportations et d’échappe à la récession. Selon Bloomberg, une étude récente a évalué à 18% la réduction des échanges commerciaux causée par ces politiques non coopératives. Il faut attendre la fin de la Seconde Guerre mondiale et les accords de Bretton Woods pour que les dévaluations compétitives cèdent la place à une coordination des politiques commerciales et monétaires au niveau international.

Aujourd’hui, la coopération économique mondiale semble être un objectif difficilement atteignable. Les pays partenaires de l’économie américaine useraient sans doute de l’arme ultime du taux de change pour faire face au protectionnisme et à l’unilatéralisme défendus par Trump. La Chine a déjà entamé cette bataille avec une dépréciation de plus de 5% de sa monnaie depuis le mois de septembre dernier, lorsque la probabilité de voir le 45ème président des EU rempiler pour un nouveau mandat s’est renforcée. Les autres pays asiatiques, notamment les principaux concurrents et partenaires de la Chine, ne tarderaient pas à rejoindre le bal des dévaluations, vu la forte  imbrication commerciale des économies de l’Asie. La BCE, de son côté, même si elle n’est pas appelée à influencer de manière directe la monnaie unique, devrait vraisemblablement réagir à une éventuelle appréciation de l’euro vis-à-vis des monnaies asiatiques. Un dollar de plus en plus fort pourrait forcer les Américains à réagir, déclenchant ainsi une spirale de Tit for Tat sans fin.

Si, politiquement, le Président américain a promis à maintes reprises d’apaiser les affrontements au Moyen-Orient, de mettre fin à la guerre en Ukraine et d’empêcher une troisième guerre mondiale, son protectionnisme économique, qui déclencherait des représailles de toutes sortes, promet de mettre le feu aux poudres, provoquant une escalade des conflits économiques et amplifiant ainsi l’instabilité de l’économie mondiale.

Par Noura Harboub-Labidi

Cette analyse est disponible dans le Mag de l’Economiste Maghrébin n° 911 spécial classement des entreprises

 

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Enquête: 20% des Tunisiens sont prêts à acquérir un véhicule électrique à court-terme

« 20% des Tunisiens sont prêts à acquérir un véhicule électrique à court-terme », selon un sondage d’opinion intitulé «Observatoire de l’automobile », réalisé par l’institut Emrhod Consulting.

Les résultats de ce sondage ont été présentés, vendredi soir à Tunis, lors de la 1ère édition de l’événement « Les victoires de l’automobile ». Il en ressort que près de 29% des Tunisiens disent vouloir acheter une voiture (neuve ou d’occasion) en 2025. L’enquête menée auprès d’un panel représentatif de la population tunisienne pour mesurer sa perception du secteur et ses attentes, a révélé, aussi, que 47% des Tunisiens sondés opterons pour un moteur thermique, 17% pour un véhicule hybride rechargeable et 14% pour un véhicule électrique.

Selon ce sondage, le prix d’achat reste le principal critère qui influence le choix du véhicule (à 49%), suivi par le niveau de consommation de carburant (47%), l’esthétique et le design (33%), la disponibilité des pièces détachées (32%) et le coût de l’entretien (31%).

Concernant les types de carrosseries préférés, la berline reste la plus sollicitée (45%), suivie par le véhicule utilitaire sport (31%) et la citadine compacte (15%).

D’après l’enquête, 80% des sondés prennent en compte le coût de l’entretien lors de l’achat d’un véhicule. Enfin, pour 75% des personnes interrogées, le pays d’origine du véhicule est important (40% jugent ce critère très Important et 35% assez important).

Avec TAP

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Approbation de l’avenant n°6 à la convention des médecins libéraux

Un Arrêté du ministre des affaires sociales du 23 janvier 2025, portant approbation de l’avenant n°6 à la convention sectorielle des médecins libéraux conclue entre la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) et le Syndicat tunisien des médecins libéraux, a été publié dans le dernier Journal officiel de la République tunisienne (JORT).

Cet accord, signé le 31 juillet 2024, vise à améliorer et à élargir la liste des services fournis aux affiliés de la Caisse nationale d’assurance maladie, en particulier la couverture des dépenses de traitement du cancer en élargissant l’intervention de la Caisse à la radiothérapie et la liste des opérations chirurgicales dans le secteur privé liées au cancer pour inclure 12 nouvelles interventions médicales, telles que le cancer du sein et le cancer du poumon.

L’accord est important car la liste des maladies couvertes n’a pas été révisée depuis 2007, selon le ministère des affaires sociales, qui a souligné que l’accord s’inscrit dans le cadre de la politique sociale de l’État, notant que l’objectif ultime est d’établir une couverture sociale complète.

Avec TAP

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Transport:Inauguration de la ligne D du RFR reliant Tunis à Gobâa

Le projet de la ligne D du réseau ferroviaire rapide (RFR) de Tunis reliant Tunis à Gobâa a été inauguré, samedi, 25 janvier 2025, par le ministre des Transports, Rachid Amri .

Moyennant un coût de 1360 millions de dinars(MD), avec une contribution de 40% de l’Etat tunisien au financement de ce projet, tandis que les 60% restants sont couverts par un cofinancement de la Banque Européenne d’investissement (BEI) , l’Agence Française de développement (AFD), la Banque Allemande pour le développement (KFW) et un don de 28 MD de l’Union Européenne (UE), ce projet s’étale sur une longueur de 13,5 kilomètres

Dans une déclaration à Tap, l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Giuseppe Perrone, a exprimé sa satisfaction du lancement de ce projet perçu comme l’un des importants projets de partenariat entre l’Union européenne et la Tunisie.

Le transport est un secteur clé du partenariat bilatéral, a indiqué Perrone, ajoutant que l’exploitation de ce projet reflète l’engagement des deux parties à mettre en œuvre des projets qui impacteront positivement sur les conditions de vie des citoyens.

L’Ambassadeur Perrone a fait part des préparatifs pour l’identification d’autres projets avec la Tunisie dans le domaine des transports, dans le cadre des travaux du sous-comité des transports de l’Union européenne à Bruxelles, qui serait ensuite convoquée pour examiner les accords de partenariat bilatéraux dans ce domaine et étudier de nouvelles possibilités de coopération.

Pour sa part, l’ambassadrice de France à Tunis Anne Guéguen a mis l’accent sur le rôle de l’Agence Française de développement (AFd) ainsi que les autres partenaires dans la réalisation de ce projet qui ne manquera pas d’améliorer le transport au niveau du grand Tunis.

A rappeler que la ligne D du réseau ferroviaire rapide de Tunis reliant Tunis à Gobâa (La Manouba) est la deuxième qui entre en service après la ligne E reliant Tunis/Bougadfa /Sidi Hsine inaugurée en mars 2023.

Avec TAP

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Bizerte : Approbation d’une série de projets publics d’un coût total de 5,6 MD

La commission régionale des marchés publics au gouvernorat de Bizerte a approuvé réalisation d’une série de projets publics d’une valeur totale de plus de 5,6 millions de dinars, selon les données des services du conseil régional de la région.

Ces projets concernent principalement l’achèvement des travaux de plantation d’arbres d’olivier sur une superficie de 400 hectares, moyennant un coût de 2,2 MD.

La commission a également approuvé lors de sa réunion tenue, samedi, un projet de construction d’un entrepôt municipal à Ghezala, avec un coût estimé à 1,4 MD, ainsi que le rapport d’évaluation des offres pour les travaux du centre de camping et de villégiature de Ramla, dans la délégation de Menzel Jemil, pour un montant d’environ 2 MD.

Dans ce même cadre, la commission a validé la relance d’une série d’appels d’offres pour plusieurs projets, tels que les travaux d’aménagement et de revêtement de la rue à Ain Bitar à Menzel Jemil, la construction de la maison de la culture et d’une bibliothèque publique à El Mssida et pour les travaux de bitumage des routes dans la région de Bou Mkila à Mateur.

A cet effet, la présidente de la commission et secrétaire générale de la région, Lobna Abid, a souligné que ces projets bénéficieront d’un suivi rigoureux pour garantir les conditions optimales de leur réalisation dans les délais impartis.

Avec TAP

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Sit-in national de la fédération générale de la jeunesse et de l’enfance lundi prochain

La fédération générale de la jeunesse et de l’enfance, relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), organisera, lundi prochain, un sit-in national auquel participeront les agents et le personnel administratif de l’ensemble du corps éducatif social et ce, devant le siège du ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées.

Selon un communiqué publié par la fédération, ce mouvement de protestation vise à débloquer certains dossiers en suspens et à appeler à la satisfaction des revendications du secteur.

« Il s’agit d’un mouvement pacifique visant à faire entendre les revendications des travailleurs dans le secteur de l’enfance et de la jeunesse et à mettre fin à la marginalisation », lit-on de même source.

D’après le communiqué, le sit-in sera organisé en coordination avec le département de l’information et de la publication à l’UGTT et se déroulera dans le respect de la loi et sans dépassements « ce qui reflète la maturité des travailleurs dans ce secteur », précise la fédération.

Avec TAP

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Tunisie-ONU :Lancement de plusieurs projets dans le domaine environnemental

Un certain nombre de projets environnementaux, notamment, dans le domaine de la valorisation énergétique des déchets dans plusieurs décharges, seront lancés, c’est ce qui a été convenu lors d’une séance de travail tenue, le 24 janvier 2025, entre le ministre de l’Environnement, Habib Abid, le coordonnateur résident des Nations Unies à Tunis, Arnaud Peral et la représentante résidente du PNUD en Tunisie, Céline Moyroud .

Les participants ont, également, annoncé l’adoption du projet « Zéro déchet » en Tunisie, ainsi que l’actualisation des contributions déterminées au niveau national (CDN 3.0) en rapport avec les changements climatiques, a fait savoir le ministère de l’Environnement.

Ils ont, en outre, évoqué le potentiel de la Tunisie, notamment, en matière de biodiversité qui nécessite une conjugaison des efforts pour préserver les richesses naturelles et établir un climat sain sans pollution, surtout à l’heure des changements climatiques.

Avec TAP

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L’ONU au secours de l’environnement en Tunisie

De nombreux projets environnementaux, notamment dans le domaine de la valorisation énergétique des déchets des décharges, seront lancés. C’est ce qui a été convenu lors d’une séance de travail tenue, le 24 janvier 2025, entre le ministre de l’Environnement, Habib Abid, le coordonnateur résident des Nations unies en Tunisie, Arnaud Peral, et la représentante résidente du PNUD en Tunisie, Céline Moyroud.

Les participants ont également annoncé l’adoption du projet « Zéro déchet » en Tunisie, ainsi que l’actualisation des contributions déterminées au niveau national (CDN 3.0) en rapport avec les changements climatiques, a fait savoir le ministère de l’Environnement.

Ils ont, en outre, évoqué le potentiel de la Tunisie, notamment, en matière de biodiversité qui nécessite une conjugaison des efforts pour préserver les richesses naturelles et établir un climat sain sans pollution, surtout à l’heure des changements climatiques.

avec TAP

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La culture japonaise en grandeur nature à la Cité de la culture 

La Cité de la culture Chedly Klibi-Tunis accueillera, le dimanche 9 février 2025, la « Fête du Japon 2025 », un événement consacré à la découverte de la richesse et de la diversité de la culture japonaise. De 11h à 16h, une série d’activités simultanées se déroulera dans les espaces du Théâtre de l’Opéra et du Théâtre des Jeunes Créateurs, informe l’ambassade du Japon en Tunisie.

« La Fête du Japon 2025 » offrira aux visiteurs une programmation variée avec notamment des spectacles traditionnels de tambours Taiko, présentés par des musiciens venus directement du Japon et des performances de budo (arts martiaux traditionnels japonais) réalisées par des budôkas tunisiens. Les visiteurs pourront également profiter de la projection d’un film japonais, d’expositions d’art floral Ikebana ainsi que d’autres facettes de la culture nippone.

Un événement parallèle célébrera le 50ème anniversaire de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) en Tunisie, un partenaire de longue date, qui œuvre, depuis 1975, dans trois grands axes de coopération : « le Développement industriel et d’infrastructures économiques », « le Développement Régional » et « l’Aménagement des ressources en eau et la prévention des catastrophes naturelles ». Parmi les réalisations emblématiques de la JICA en Tunisie figurent notamment le Pont de Radès-La Goulette, la Centrale électrique de Radès, les autoroutes reliant Sfax-El Jem et Gabès-Médenine, ainsi que la Station de dessalement d’eau de mer de Sfax, etc.

Avec TAP

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Fethi Zouhair Nouri plaide pour des alternatives au paiement par chèque

Le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fethi Zouhair Nouri, a appelé les banques et la Poste tunisienne à prendre toutes les mesures et les précautions nécessaires pour fournir aux clients les nouveaux formats de chèques dans les délais, tout en offrant des solutions de paiement alternatives pour répondre à leurs attentes.

Le 24 janvier 2025, Fathi Zouhair Nouri, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, a présidé une séance de travail à laquelle ont pris part les responsables de la Poste tunisienne, des banques et de la société «Tunisie Clearing» afin de suivre l’application des dispositions de la loi N°41-2024, promulguée le 2 août 2024, et relative aux chèques.

La réunion a porté sur les préparatifs du secteur bancaire en vue du lancement, le 2 février 2025, de la plateforme électronique unifiée pour les chèques (Tunichèque) et de l’entrée en vigueur des nouveaux modèles de chèques, rapporte la TAP.

A cette occasion, il a souligné que cette réforme du système de chèques représente un changement radical dans le système de paiement.

« Cette plateforme, a-t-il poursuivi, est un nouveau jalon qui s’ajoute à l’infrastructure de paiement en vue d’une modernisation et d’une solidité supplémentaire qui vont renforcer la confiance dans les moyens de paiement, soutenir l’intégrité des transactions financières, améliorer l’accès aux services bancaires et l’inclusion financière », toujours selon la TAP.

Lire aussi : Pour Abderrazek Houas, le nouveau carnet de chèques présente de nombreux avantages

Le gouverneur de la BCT a mis en exergue, à cette occasion, les efforts déployés par tous les intervenants dans le secteur ce qui a permis de réaliser des progrès significatifs dans la mise en œuvre de ces mesures. Il a souligné, en outre, la nécessité de conjuguer les efforts pour achever le fonctionnement de la nouvelle plateforme en temps opportun, au service de l’intérêt public et de l’économie nationale.

Fathi Zouhair Nouri a évoqué l’importance d’une politique de communication efficace impliquant tous les acteurs pour faire connaître les nouvelles procédures des chèques, simplifier les concepts pour les clients, les accompagner et répondre de manière appropriée à leurs demandes.

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« Fête du Japon 2025 » : une immersion dans la culture nippone à Tunis

La Cité de la Culture Chedli Klibi à Tunis accueillera, le dimanche 9 février 2025, la « Fête du Japon 2025 », un événement consacré à la découverte de la richesse et de la diversité de la culture japonaise. De 11h à 16h, une série d’activités simultanées se déroulera dans les espaces du Théâtre de l’Opéra et du Théâtre des Jeunes Créateurs, informe l’ambassade du Japon en Tunisie.

« La Fête du Japon 2025 » offrira aux visiteurs une programmation variée, avec notamment des spectacles traditionnels de tambours Taiko, présentés par des musiciens venus directement du Japon, et des performances de budo (arts martiaux traditionnels japonais) réalisées par des budôkas tunisiens. Les visiteurs pourront également profiter de la projection d’un film japonais, d’expositions d’art floral Ikebana, ainsi que d’autres facettes de la culture nippone.

Un événement parallèle célébrera le 50ème anniversaire de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) en Tunisie, un partenaire de longue date qui œuvre, depuis 1975, dans trois grands axes de coopération : « le Développement industriel et des infrastructures économiques », « le Développement régional » et « l’Aménagement des ressources en eau et la prévention des catastrophes naturelles ». Parmi les réalisations emblématiques de la JICA en Tunisie figurent notamment le pont de Radès-La Goulette, la centrale électrique de Radès, les autoroutes reliant Sfax-El Jem et Gabès-Médenine, ainsi que la station de dessalement d’eau de mer de Sfax, entre autres.

Avec TAP

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Mohamed Ali Nafti à la rencontre de la communauté tunisienne en Suisse

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Étranger, Mohamed Ali Nafti, a rencontré, jeudi 23 janvier, les représentants de la communauté tunisienne résidant en Suisse, dans le cadre de sa visite à Berne.

A l’occasion de cette rencontre, Mohamed Ali Nafti souligne l’importance majeure accordée par le président de la République, Kaïs Saïed, au renforcement de la communication et de l’encadrement de la communauté tunisienne à l’étranger, ainsi qu’à l’amélioration de la qualité des services qui leur sont destinés pour faciliter leur intégration dans les pays de résidence.

Il a mis en avant le rôle central des Tunisiens à l’étranger dans le soutien aux efforts de développement national, la promotion de l’image de la Tunisie sur la scène internationale et la défense de ses intérêts.

Il a rappelé plusieurs initiatives et mesures prises par le ministère pour moderniser les services offerts à la communauté tunisienne à l’étranger et améliorer la qualité du travail consulaire.

Nafti a, par ailleurs, évoqué les efforts diplomatiques déployés pour renforcer le partenariat tuniso-suisse dans les domaines de la migration régulière et du développement solidaire.

Le ministre a encouragé les compétences tunisiennes résidant à l’étranger à lancer des initiatives pour contribuer à la promotion économique et touristique de la Tunisie.

Le ministre s’est également rendu au siège de l’ambassade de Tunisie à Berne, où il a rencontré les membres de la mission diplomatique, les exhortant à poursuivre les efforts pour développer les différents aspects de la coopération bilatérale avec les pays d’accréditation et à offrir des services consulaires dans les meilleures conditions.

Avec TAP

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Les défis et enjeux de l’éducation en Afrique en débat à Tunis

« L’éducation en Afrique : défis et enjeux pour un avenir durable » tel est le thème d’une journée d’étude organisée vendredi 24 janvier 2025 à la Cité de la culture à Tunis à l’initiative de la Chaire UNESCO de l’enseignement supérieur pour le développement durable (Université de La Manouba) avec l’appui du Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb.

« Cette journée d’étude s’inscrit dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de l’éducation et de la Journée internationale de la culture en Afrique, d’autant plus que le lancement de la Chaire UNESCO est lié à la problématique de l’enseignement supérieur pour le développement durable en Afrique », a souligné la présidente de la Chaire UNESCO d’enseignement supérieur de l’Université de La Manouba, Jouhaina Gherib, à l’ouverture de cette journée d’étude.

Elle a mis en exergue les performances de l’expérience tunisienne dans les domaines de l’enseignement supérieur et de l’éducation, ce qui en fait une locomotive pour relever les défis et trouver des solutions à même de construire l’avenir de l’Afrique à travers son potentiel humain, intellectuel et scientifique.

« Journée internationale de l’éducation »

« La Tunisie est la porte d’entrée du continent africain et bénéficie de capacités, de compétences et d’aptitudes faisant d’elle un point focal et une force pour tout ce qui a trait aux expériences comparées », a-t-elle précisé.

Dans ce contexte, elle a rappelé l’adoption à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies, en décembre 2018, du 24 janvier de chaque année comme « Journée internationale de l’éducation », afin de sensibiliser au rôle fondamental de l’éducation dans la consolidation de la paix et du développement, qui est le droit de chaque individu pour la réalisation du progrès dans divers domaines économiques, éducatifs et sociaux.

« Journée internationale de l’égalité des sexes pour la renaissance culturelle africaine »

Elle a également souligné que la proclamation par l’UNESCO, lors de la 40e session de sa conférence en 2019, du 24 janvier de chaque année comme « Journée internationale de l’égalité des sexes pour la renaissance culturelle africaine », après qu’elle a été proposée par les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, pour renforcer le rôle de la culture en relation avec l’identité africaine, le patrimoine, les traditions, les coutumes sociales et les arts afin de réaliser le développement socio-économique et de promouvoir la paix dans le continent africain.

Elle a expliqué que tous les accords et travaux scientifiques universitaires, y compris la Chaire UNESCO de l’enseignement supérieur pour le développement durable en Afrique à l’Université de La Manouba contribueront, par le biais de l’éducation et de la culture, à l’édification d’un meilleur avenir en Afrique et à don rayonnement à travers tous les continents.

Sensibiliser au rôle de l’éducation dans le développement socio-économique de l’Afrique

La journée d’étude a comporté une série d’interventions académiques sur les les institutions universitaires, les contextes, les représentations et les structurations de l’enseignement supérieur en Afrique ainsi que les questions de développement dans le continent Africain.

Cette manifestation vise à sensibiliser au rôle de l’éducation dans le développement socio-économique de l’Afrique, à fournir des informations sur les programmes et les activités pionniers relevant de la priorité de l’UNESCO pour ce continent et à célébrer le patrimoine riche et diversifié du continent Africain y compris la Tunisie.

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Kaïs Saïed réaffirme l’harmonie entre les institutions de la République

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé, vendredi 24 janvier, au Palais de Carthage, une réunion avec les membres du gouvernement.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’État a réaffirmé son attachement à « l’unité de l’État » et à l’impératif que les différents organes et institutions y relevant œuvrent dans le cadre de la pleine et entière cohésion et harmonie.

« Plus besoin de rappeler que l’État dispose d’une seule et unique politique. Une politique qu’il mène dans le cadre de sa propre Constitution et en vertu de ses législations, toutes catégories confondues », a-t-il fait savoir.

Lors de cette réunion, le président Saïed a réitéré son appel incessant à ce que chaque responsable en poste fasse preuve de responsabilité, d’abnégation et de labeur et œuvre sans relâche à concrétiser les aspirations et attentes légitimes du peuple tunisien dans les meilleurs délais, notamment dans les domaines économique et social.

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Météo: entre 6 et de 13 degrés

Les températures se situeront, cette nuit, aux alentours de 6 degrés, dans les hauteurs ouest, et elles seront comprises entre 8 et 13 degrés, ailleurs, selon un bulletin de suivi, publié par l’Institut national de la météorologie (INM).

Le ciel sera peu nuageux sur la plupart des régions du pays, avec apparition d’un brouillard local vers la fin de la nuit, sur les zones côtières. Le vent soufflera de secteur sud, faible à modéré. La mer sera peu agitée.

Avec TAP

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Des entreprises tunisiennes au « Food And Beverage West Africa 2025 » à Lagos

Une délégation d’entreprises tunisiennes prendra part à la 6ème édition du Salon de l’alimentation et des boissons de l’Afrique de l’Ouest « Food And Beverage West Africa 2025 » qui se tiendra à Lagos au Nigeria, du 10 au 12 Juin 2025. La participation tunisienne est organisée par le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) en collaboration avec sa représentation commerciale à Abuja.

Les entreprises intéressées par la participation à cet évènement peuvent s’inscrire via la plateforme E-CEPEX  au plus tard le 31 janvier 2025.

Le CEPEX a souligné que ce salon offrira aux entreprises participantes une plateforme d’échange à l’échelle régionale et internationale et leur permettra de rencontrer les principaux décideurs de l’industrie alimentaire et des boissons africaine, notamment les importateurs, les distributeurs, les détaillants et les représentants de l’industrie hôtelière et d’explorer les opportunités de partenariats dans un marché en pleine expansion.

Ce salon donnera également plus de visibilité sur le marché nigérian et ceux des pays voisins étant donné qu’il s’agit d’un salon leader de l’industrie alimentaire et des boissons en Afrique de l’Ouest avec plus de 350 exposants du monde entier et plus de 6000 visiteurs professionnels venus de tout le continent africain.

Avec TAP

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IACE: Appel à contributions pour enrichir la plateforme économique «Eco Tous»

L’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE) lance, vendredi 24 janvier, un appel à contributions aux compétences tunisiennes, pour soumettre des productions économiques sur sa nouvelle plateforme «Eco Tous» qui ambitionne de vulgariser et diffuser les contenus économiques.

A travers cette plateforme, l’IACE entend renforcer la culture économique de la population tunisienne autour des enjeux économiques et de développement durable aux niveaux national et international. Les contributions doivent s’articuler autour de certains thèmes comme la macroéconomie (inflation, fiscalité, etc.), l’économie sociale (migration, économie informelle, etc.), la mondialisation (diplomatie économique, accords commerciaux), la gouvernance, l’économie environnementale et le développement durable (transition énergétique, changement climatique, gestion des ressources naturelles, économie circulaire, etc.) et l’économie numérique (transition numérique, intelligence artificielle, digitalisation, etc.).

Créée en partenariat avec l’Institut arabe des droits de l’Homme (IADH), cette plateforme est destinée au grand public et particulièrement aux jeunes. Elle vise à regrouper des analyses économiques et des études de différentes catégories, avec pour objectif de rendre l’information économique plus accessible, favoriser une meilleure compréhension des enjeux économiques, et promouvoir la diffusion des travaux des producteurs de savoir, tout en veillant à garantir leur rigueur scientifique.

La plateforme «Eco Tous» s’inscrit dans le cadre du projet « Savoirs Éco », mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Union européenne. L’IACE s’engage à renforcer la culture économique de la population tunisienne autour des enjeux économiques et de développement durable aux niveaux national et international. Les personnes intéressées doivent soumettre leurs candidatures avant le 20 février 2025.

Avec TAP

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CMF : Les sociétés de gestion des OPCVM de Capital Investissement et les SICAR doivent respecter les obligations d’information

Le Conseil du Marché Financier «CMF» rappelle aux sociétés de gestion qu’elles sont tenues de respecter les obligations d’information mises à leur charge, relatives aux OPCVM de Capital Investissement qu’elles gèrent.

Elles doivent adresser au CMF, dans les trois mois suivant la clôture de l’exercice, leurs états financiers certifiés par le commissaire aux comptes, le rapport annuel de gestion, ainsi que les rapports général et spécial du commissaire aux comptes », a souligné le Conseil, dans un communiqué publié, jeudi 23 janvier.

Le CMF a appelé, dans ce cadre, «les sociétés de gestion qui gèrent des OPCVM de Capital Investissement à respecter leurs obligations, et le cas échéant, à régulariser, sans délai, leurs situations, sous peine des sanctions ». Le Conseil a invité, également, les sociétés d’investissement à capital risque (SICAR)  qui gèrent pour le compte de tiers, des ressources spéciales mises à leur disposition, à lui adresser, « dans les trois mois suivant la clôture de l’exercice, leurs états financiers certifiés ainsi que les rapports général et spécial du commissaire aux comptes ».

Avec TAP

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