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Deux startuppers tunisiens chez Maddouri

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a reçu, mardi 14 janvier 2025, au Palais du gouvernement à La Kasbah, Jihed Hannachi et Rabii Saidi, deux jeunes startuppers opérant dans le développement des technologies souveraines dans le domaine des données et de l’intelligence artificielle.

Jihed Hannachi et Rabii Saidi étaient venus présenter au chef du gouvernement leur projet, et ce après avoir eu connaissance des décisions issues du Conseil ministériel du 30 novembre 2024 consacré à la simplification et la digitalisation des procédures administratives.

En effet, ledit conseil des ministres avait appelé les startups tunisiennes à présenter des projets et des propositions permettant de créer des services numériques au profit de l’administration.

L’exposé présenté par les deux startuppers tunisiens comprend une foule de propositions pratiques et utiles à travers la conception d’une cartographie des programmes de bases de données et de logiciels qui permettent un suivi en temps réel des projets au niveau central et régional.

Lire aussi: Jihed Hannachi : « Lancer l’économie tunisienne sur un nouveau modèle après Covid »

Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, Maddouri s’est félicité lors de la réunion de l’initiative de la startup tunisienne d’adhérer de sa propre initiative et de manière responsable à cette initiative qui vient consacrer les valeurs d’édification et de construction conformément à la vision du président de la République centrée sur la jeunesse tunisienne créative et innovante.

Le chef du gouvernement a tenu, à cette occasion, à mettre en valeur la qualité de l’activité de l’entreprise ainsi que les perspectives prometteuses qui s’offrent à elle au double plan national et international, réaffirmant le soutien absolu du gouvernement à ce type de projets porteurs et de propositions qui consacrent pleinement le principe du compter sur soi et qui contribuent activement à l’enrichissement et à la diversification du paysage économique et institutionnel.

Par ailleurs, le chef du gouvernement a également pris connaissance du parcours académique et professionnel inspirant des deux jeunes startuppers tunisiens qui ont effectué leurs études à l’Université de Tunis avant de lancer leur startup dans le pôle technologique de Jendouba.

Malgré les succès réalisés par la filiale de leur startup dans l’un des pays européens, ils ont volontiers décidé de regagner la Tunisie, afin de contribuer activement à l’accélération du processus de développement des services dans tous les domaines et secteurs et les rapprocher autant que possible du citoyen.

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Tunisie : des startupeurs investis dans les technologies souveraines

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri a reçu, mardi 14 janvier 2024, au Palais du gouvernement, à la Kasbah, Jihed Hannachi et Rabii Saidi, deux jeunes startupeurs opérant dans le développement des technologies souveraines dans le domaine des données et de l’intelligence artificielle.

Les deux startupeurs sont venus présenter leur projet après avoir pris connaissance des décisions issues du conseil ministériel du 30 novembre 2024 consacré à la simplification et la digitalisation des procédures administratives et qui a appelé les startups tunisiennes à présenter des projets et des propositions permettant de créer des services numériques au profit de l’administration.

Au cours de cette réunion, indique un communiqué de la présidence du gouvernement, Maddouri s’est félicité de l’initiative de la startup tunisienne d’adhérer de sa propre initiative et de manière responsable à cette initiative qui vient consacrer les valeurs d’édification et de construction conformément à la vision du président de la république centrée sur la jeunesse tunisienne créative et innovante.

Le chef du gouvernement a tenu, à cette occasion, à mettre en valeur la qualité de l’activité de l’entreprise ainsi que les perspectives prometteuses qui s’offrent à elle au double plan national et international, réaffirmant le soutien absolu du gouvernement à ce type de projets porteurs et de propositions, qui consacrent pleinement le principe du compter sur soi et contribuent activement à l’enrichissement et à la diversification du paysage économique et institutionnel.

Lors de cette réunion, le chef du gouvernement a saisi l’occasion pour remercier vivement les deux jeunes startupeurs pour leur initiative volontaire visant à mettre à contribution leurs expertises dans le domaine du développement des technologies souveraines afin de contribuer au processus de digitalisation de l’administration tunisienne.
Il a également pris connaissance du parcours académique et professionnel inspirant des deux jeunes startupeurs qui ont effectué leurs études à l’université de Tunis avant de lancer leur startup dans le pôle technologique de Jendouba. Malgré les succès réalisés par la filiale de leur startup dans l’un des pays européens, ils ont volontiers décidé de regagner leur pays, la Tunisie, afin de contribuer activement à l’accélération du processus de développement des services dans tous les domaines et secteurs et les rapprocher autant que possible du citoyen.   L’exposé présenté par les deux startupeurs comprend une foule de propositions pratiques et utiles à travers la conception d’une cartographie des programmes, de bases de données et de logiciels qui permettent un suivi en temps réel des projets au niveau central et régional.

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Kaïs Saïed veut en finir avec les institutions publiques inutiles

Il y aurait donc en Tunisie des institutions publiques qui n’ont pas de réelle utilité, qui ne réalisent qu’une partie infime des objectifs pour lesquels elles ont été créées et qui représentent désormais un fardeau pour le budget de l’État et les fonds publics?

C’est ce que le président de la république, Kaïs Saïed, nous a appris, lors de la réunion qu’il a présidée, lundi 13 janvier 2025, au palais de Carthage, avec le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, le ministre de l’Education, Noureddine Nouri, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd et le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, auxquels il a d’ailleurs donné des instructions pour procéder à un inventaire de ces institutions inutiles et budgétivores.

«La sagesse ne réside pas dans la multiplication des institutions, mais dans leur utilité et leur efficacité au service de la nation et des citoyens», a souligné Saïed, laissant ainsi prévoir la suppression prochaine de certaines institutions publiques qui, selon lui, n’auraient plus d’utilité réelle au regard des besoins des citoyens.

«Il serait judicieux que les fonds alloués à ces institutions soient exploités pour trouver des solutions radicales aux victimes de politiques n’ayant conduit qu’à davantage de pauvreté et d’exclusion», a ajouté le chef de l’Etat. «Il est temps, a-t-il dit, de mettre fin à ces politiques, que ce soit dans l’enseignement supérieur, la santé, la formation professionnelle ou dans d’autres secteurs».

Il reste, cependant, à préciser si le président de la république parle des institutions ou des entreprises publiques, car le mot arabe qu’il a utilisé, « mouassasat » , signifie aussi bien institutions qu’entreprises. Or, le président a toujours rejeté l’idée de privatisation, y compris des entreprises publiques qui sont en faillite technique. S’agit-il d’un changement de cap dans la politique de l’Etat ? Nous attendrons une clarification de la part de la présidence de la république…

Par la même occasion, le chef de l’Etat a souligné à nouveau «la nécessité de revoir le cadre juridique du travail dans les secteurs public et privé pour mettre définitivement fin à la sous-traitance», selon un communiqué de la présidence de la république.

Saïed a souligné aussi «la nécessité pour chaque responsable chargé de préparer un projet de texte de loi de prendre en compte les attentes des citoyens, ainsi que leurs souffrances et leurs difficultés dans tous les domaines et de proposer des solutions radicales, et de ne pas se contenter de constater les problèmes sans les résoudre de manière globale et définitive». Le président de la république retourne ainsi aux membres du gouvernement le reproche que lui font certains commentateurs et analystes, celui de critiquer les dysfonctionnements de l’administration publique et de ne pas joindre suffisamment l’acte à la parole, ce que traduit du reste le manque de réalisations concrètes et d’améliorations dans les conditions de vie des populations.   

I. B.

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Tunisie : Saïed veut accélérer la mise en œuvre de ses politiques sociales

«Notre détermination est plus que jamais inflexible. Nous œuvrons, jour et nuit, sans relâche ni répit, afin que les aspirations et attentes légitimes du peuple tunisien soient concrétisées dans les plus brefs délais.»

C’est ce qu’a déclaré le président de la république, Kaïs Saïed, samedi 11 janvier 2025, en fin de matinée, en rencontrant, au centre de la capitale, une foule de citoyens pour prendre connaissance de leurs préoccupations et aspirations.

Selon un communiqué de la présidence de la république, cette rencontre a eu lieu après une réunion, au Palais du gouvernement à la Kasbah, avec le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, en présence de la ministre de la Justice, Leila Jaffel, des Finances, Sihem Boughdiri et des Affaires sociales, Issam Lahmar, les principaux responsables chargés de la mise en œuvre des politiques sociales du chef de l’Etat dans leurs dimensions législative, politique et, surtout, financière, et ce par la recherche et la mobilisation des fonds que ces politiques exigent.

Selon la page officielle Facebook de la présidence de la république, le chef de l’Etat a réitéré son appel à la nécessité de «rompre avec les législations obsolètes contre lesquelles le peuple tunisien s’est révolté». Il a, dans ce contexte, évoqué, une nouvelle fois, le dossier de la sous-traitance et les moyens de mettre fin au recours à cette forme d’emploi précaire, en vigueur depuis des décennies dans les secteurs aussi bien public que privé, Tout en pressant le gouvernement à procéder à une refonte de certains codes juridiques, dont notamment celui du travail, afin qu’il soient en phase avec cette «révolution» que cherche à initier le président.

Saïed a, par ailleurs, discuté avec le chef du gouvernement de la teneur de nombre de projets de loi, appelant à ce propos à la nécessité de prêter un surcroît d’attention aux «détails» lors de l’élaboration de ces projets et à œuvrer à instaurer une meilleure équité sociale.

Le président a aussi souligné que le peuple et les entreprises ne peuvent prétendre à la stabilité sans la justice, estimant que «les textes de lois sont certes nécessaires mais l’objectif ultime doit être en premier et dernier ressort, celui d’instaurer la justice».

Il a, dans ce contexte, exhorté «les magistrats intègres au devoir qui leur incombe dans l’instauration de cette justice», mettant en garde les risques de voir la justice saisie par le politique.

I. B.

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Indemnisation chômage : Comment fonctionnera le nouveau fonds d’assurance en Tunisie ?

MadouriUn Conseil ministériel restreint consacré à l’examen du projet de loi portant création d’un régime d’assurance contre la perte d’emploi pour des raisons économiques, tenu, samedi au Palais du gouvernement à la Kasbah, a validé la teneur de ce projet, recommandant de le soumettre au Conseil des ministres.

Présidé par le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, le conseil au cours duquel ont été exposés les motifs afférent à ce projet de loi, a permis de passer au crible ces différents articles.

Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, les ministres présents à la réunion ont également passé en revue les avantages découlant de ce nouveau régime à savoir l’institution d’une indemnité compensatoire pour la perte de salaire et des prestations de sécurité sociale, notamment la couverture sanitaire et des allocations en espèces.

Le nouveau régime d’assurance devra également ouvrir droit à l’accès à des programmes d’orientation professionnelle de formation, de mise à niveau et de réinsertion durant la période de chômage au profit des travailleurs licenciés pour des raisons économiques afin de faciliter leur réintégration dans le circuit économique, explique-t-on de même source.

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri a souligné, à cette occasion, l’importance de mettre en œuvre la décision annoncée par le président de la République le 1er septembre 2024 concernant la création d’un fonds d’assurance contre la perte d’emploi pour des raisons économiques.

L’objectif de ce fonds, a-t-il précisé, est de prendre en charge les catégories professionnelles et les travailleurs licenciés, de garantir leur réinsertion dans le circuit économique et de soutenir leurs capacités face aux mutations économiques.

Et le chef du gouvernement de poursuivre que “les mutations économiques et structurelles profondes que connaît aujourd’hui le monde du travail nous dicte l’obligation d’aller de l’avant sur la voie de l’élaboration d’un contrat social renouvelé qui soit en mesure de répondre au double impératif de la protection des droits des travailleurs et du renforcement de la résilience des entreprises”.

“Ce contrat social va certainement contribuer à résorber l’impact de ces mutations et à raffermir les relations professionnelles”, estime Maddouri, ajoutant que le nouveau régime contre la perte d’emploi aura une place de choix dans ce dispositif juridique et constituera ainsi un des mécanismes efficaces qui vont permettre de concrétiser ces objectifs.

Pour ce faire, le chef du gouvernement a recommandé de mettre en place les différents prérequis techniques et d’offrir les garanties nécessaires à la réussite de ce projet, notamment la bonne gouvernance de sa gestion et la garantie de sa soutenabilité financière.

La mise en place de ce système s’inscrit, d’après lui, dans le droit-fil de la mise en œuvre des dispositions de la Constitution relatives aux valeurs et principes de justice sociale et à la garantie de conditions d’un travail décent à travers la création d’un mécanisme alternatif qui garantit la prise en charge socio-professionnelle des travailleurs licenciés pour des raisons économiques tout au long de la période de leur licenciement et de leur réintégration dans le circuit économique.

Ce régime, a-t-il expliqué, constitue sans nul doute un nouveau jalon sur la voie de l’instauration d’un socle national de protection sociale en application de la recommandation n°202 de 2012 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) ratifiée par la Tunisie. “Il va contribuer à conforter les acquis sociaux des salariés, notamment au niveau de l’augmentation des salaires et des salaires minimums”, a-t-il enchainé.

La réunion du conseil ministériel restreint s’est déroulée en présence des ministres concernés.

En bref ————————————–

Nouveau régime d’assurance contre la perte d’emploi

  • Validation : Un Conseil ministériel restreint a approuvé un projet de loi créant un régime d’assurance chômage pour raisons économiques.
  • Objectifs clés :
    • Indemniser les travailleurs licenciés (compensation salariale, sécurité sociale).
    • Faciliter leur réinsertion via formation, orientation professionnelle et mise à niveau.
  • Déclaration : « Ce régime consolide les droits des travailleurs et renforce la résilience des entreprises », a déclaré le chef du gouvernement Kamel Maddouri.
  • Impact : Aligné avec les principes de justice sociale et la recommandation n°202 de l’OIT, ce projet vise à établir un socle national de protection sociale durable.

Kais Saïed réaffirme l’engagement à concrétiser les attentes du peuple tunisien

Kais Saïed réaffirme l’engagement à concrétiser les attentes du peuple tunisien

Le président de la République, Kais Saïed, s’est réuni, samedi en fin de matinée, au Palais du gouvernement à la Kasbah, avec le chef du gouvernement, Kamel Maddouri en présence de la ministre de la Justice, des Finances, et des Affaires sociales, apprend-t-on d’un communiqué de la présidence de la République. Selon la même source, […]

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Tunisie : Il faut bannir les solutions en demi-teinte, plaide Kaïs Saïed

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, et le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, ont été reçus au Palais de Carthage, vendredi 10 janvier, par le président de la République, Kaïs Saïed.

Un communiqué de la présidence de la République informe que le chef de l’État a réitéré, à cette occasion, son appel à ce que « les nouvelles législations soient en phase avec les attentes du peuple tunisien » et que, de ce fait, « elles rompent avec les solutions en demi-teinte ».

Le président Saïed poursuit en soulignant qu’une révolution législative suppose nécessairement de faire table rase des législations devenues obsolètes et qui ne sont plus légitimes, notamment dans les domaines économique et social.

Il a évoqué le dossier de la sous-traitance, appelant à ce propos à la nécessité de mettre fin à ce mode de travail précaire dans les secteurs privé et public, tout en veillant à préserver les droits des ouvriers qui ont été remplacés par d’autres et à sanctionner toute violation des droits des travailleurs.

« Chaque goutte de sueur essuyée doit avoir une contrepartie à travers un salaire juste et équitable », a encore martelé le président Saïed, rappelant qu’il ne peut y avoir de stabilité sociale sans l’instauration des valeurs de justice et d’équité.

« Tout comme le propriétaire d’une entreprise privée est en quête de stabilité, le travailleur, lui aussi, a le plein droit de bénéficier d’une situation stable dans le respect de sa dignité et de ses droits », a-t-il soutenu.

Avec TAP

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Kais Saïed appelle à rompre avec “les solutions en demi-teinte”

Kais Saïed appelle à rompre avec “les solutions en demi-teinte”

Le Président de la République Kais Saïed a reçu, vendredi, après-midi, au Palais de Carthage, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri et le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar. Cité dans un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’Etat a réitéré son appel à ce que les nouvelles législations soient en […]

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Tunisie : le dossier des enseignants suppléants définitivement clos

Kaïs Saïed a annoncé la clôture définitive du dossier des enseignants suppléants par la publication d’un décret prévoyant l’intégration de ces derniers dans les écoles primaires, les collèges et les lycées relevant du ministère de l’Éducation.

Cette décision a été prise en attendant une réforme globale du système éducatif, qui sera entreprise après la mise en place du Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement, a expliqué le président de la République en recevant le chef du Gouvernement, Kamel Maddouri, mercredi 8 janvier 2025, au Palais de Carthage.

Le décret en question (n° 21, daté du 8 janvier 2025) a été publié après un mouvement des enseignants et des professeurs suppléants qui avaient décidé de boycotter la reprise des cours en raison de l’absence d’arrêtés relatifs à leur intégration.

Le coordinateur national des enseignants suppléants, Malek Ayari, a qualifié la publication du décret n° 21 de 2025 d’«historique», car ce dossier est resté en suspens pendant 17 ans.

Lors de sa réunion avec Maddouri, Saïed a appelé les responsables à s’engager fermement à satisfaire les revendications légitimes du peuple tunisien, indique un communiqué du Palais de Carthage.

«Tout déplacement dans une région de la République doit s’accompagner de solutions immédiates, en attendant la reconstruction des infrastructures publiques essentielles, telles que la santé, les transports et l’éducation, qui constituent des droits humains fondamentaux», a déclaré le président, faisant ainsi siennes, à demi-mot, les critiques souvent adressées au gouvernement par les citoyens qui s’impatientent de voir leurs  conditions de vie s’améliorer.

Le chef de l’État a également insisté sur la nécessité d’adopter une approche globale pour traiter certains dossiers, une approche qui tourne définitivement la page du passé et jette les bases d’un avenir solide et durable.

I. B.

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Tunisie : aides aux familles nécessiteuses pendant Ramadan

Dans les cadres des préparatifs du moins de Ramadan, une enveloppe globale de 68,8 millions de dinars va être allouée au titre du budget du ministère des Affaires sociales afin de venir en aide des catégories démunies bénéficiant du programme d’Amen social.

Il s’agit de venir en aide à cette catégorie vulnérable de la population afin de subvenir à leurs besoins supplémentaires à l’occasion du mois de Ramadan, de Aïd Al-Fitr et de Aïd Al-Adha.

C’est l’une des mesures prises lors de la réunion du conseil ministériel restreint consacré à l’examen des préparatifs en prévision du mois de Ramadan qui a eu lieu, mardi 7 janvier 2024, au Palais du gouvernement à la Kasbah, sous la présidence du chef du gouvernement, Kamel Maddouri.

Il a été également décidé dans le même contexte de mobiliser 120 000 dinars pour la circoncision d’enfants de ces familles à raison de 50 enfants par gouvernorat, et ce en plus des interventions de l’Union tunisienne de solidarité sociale pour soutenir ce programme à l’échelle régionale.

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Tunisie : pour un meilleur engagement en faveur de l’environnement

La préservation de l’environnement nécessite un nouveau cadre législatif, mais également, de la part des citoyens, un sentiment d’appartenance et de l’engagement.

C’est ce qu’a déclaré le président de la république, Kais Saïed, en recevant, lundi 6 janvier 2024, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, au Palais de Carthage, comme pour rappeler aux citoyens qu’ils ne peuvent se contenter de se plaindre à la détérioration de leur environnement, processus auquel ils participent eux-mêmes activement par leur laisser-aller et leur manque de discipline, notamment en matière de gestion des ordures ménagères.      

D’après un communiqué officiel, le chef de l’Etat a souligné que la préservation de l’environnement en Tunisie n’est pas liée au nombre d’institutions, mais plutôt à leur efficacité. «Un environnement sain nécessite des institutions jouant un rôle solide. Certaines ne remplissent malheureusement pas leur rôle comme il se doit, alors qu’une importante partie du budget de l’Etat leur est allouée, sans résultat», a-t-il souligné, en recommandant de travailler sur la production d’énergie à partir des déchets, méthode qui a prouvé son efficacité dans plusieurs pays.

Le même jour, au Palais du gouvernement à la Kasbah, un conseil ministériel s’est tenu sous la présidence du chef du gouvernement et a été consacré à l’examen des moyens visant à améliorer la gouvernance du système de propreté et de protection de l’environnement. Un programme d’action assorti d’un échéancier a été adopté afin d’améliorer les systèmes de gestion des déchets et la situation environnementale en général.

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche et celui des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières sont appelés à affecter une réserve foncière dans les différentes régions du pays pour permettre la création d’unités de traitement des déchets en fonction des besoins.

La situation des 165 décharges publiques exploitées par les communes va être examinée, dans le but de rationaliser les interventions d’entretien et d’instituer une coopération entre les communes dans ce domaine et de regrouper les décharges de manière à réduire le coût de la dégradation de l’environnement.

Il a été également question d’œuvrer à surmonter les difficultés qui entravent l’entretien et la remise en état des décharges, dont notamment celles situées dans les domaines public et privé de l’État tels que les forêts, les sebkhas, les vallées et les terres agricoles.

Un appui financier exceptionnel devra être mobilisé au profit des communes afin de promouvoir la complémentarité entre le public et le privé, tout en veillant, en parallèle, à renforcer la supervision et le suivi de l’exploitation.

Un système de tri sélectif sera mis en place dans le cadre d’une démarche progressive en commençant par les grands producteurs et les endroits fermés.

Une ligne de financement sera cherchée aux fins de maintenir et d’améliorer les décharges municipales utilisées pendant une période de 3 à 5 ans jusqu’à l’installation des unités de traitement et de valorisation programmées.

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Kamel Maddouri appelle à la refonte de la législation sur l’environnement

Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, lundi 6 janvier 2025 au Palais de La Kasbah, un Conseil ministériel consacré à l’examen des moyens visant à améliorer la gouvernance du système de propreté et de protection de l’environnement.

Il a plaidé, à cette occasion, en faveur d’une refonte du cadre juridique et institutionnel relatif à la propreté et à la protection de l’environnement afin qu’il soit en phase avec les différents changements et défis environnementaux qui se posent.

Pour le chef du gouvernement, une telle refonte contribuera à booster le rythme de réalisation de plusieurs projets liés à ce domaine, selon la TAP.

A cet effet, il a souligné l’intérêt particulier porté par le président de la République, Kaïs Saïed, au dossier de l’environnement et son appel incessant à concrétiser le droit du citoyen à un environnement sain et équilibré en tant que droit constitutionnel en vertu duquel l’État et ses institutions s’emploient à mobiliser les moyens nécessaires pour le garantir et éliminer ainsi les causes de la pollution.

Lire aussi: Kaïs Saïed : « Un environnement sain nécessite des institutions saines »

L’accent a également été mis sur la nécessité de renforcer davantage la gouvernance du système de la propreté et de protection de l’environnement et de veiller à promouvoir l’efficacité et la complémentarité entre les rôles des différents organismes publics. Et ce en vue d’assurer une approche intégrée qui concilie la collecte et la valorisation des déchets et la garantie d’une vie décente dans un environnement sain et durable.

Il a appelé à œuvrer en vue de construire des modèles de villes durables qui soient attractives, innovantes, adaptables et résilientes et qui parviennent à améliorer la gestion de leurs ressources naturelles et humaines d’une manière responsable et efficiente.

Le chef du gouvernement a, à ce titre, réaffirmé la nécessité de mettre en place un système global pour l’élimination et le recyclage des déchets selon les dernières technologies de gestion, de traitement et d’élimination des déchets d’une manière sûre et responsable sur le plan environnemental et social et de les transformer en ressources exploitables dans le domaine économique.

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Tunisie : le satisfécit de Saïed à l’armée nationale   

L’armée nationale semble être la seule parmi les institutions de l’Etat à donner une entière satisfaction au président Kaïs Saïed, qui ne cesse pourtant de dénoncer les dysfonctionnements de l’administration publique et la lenteur qu’elle met dans l’exécution de ses tâches.

En recevant, jeudi 2 janvier 2025, au palais de Carthage, le ministre de la Défense Khaled Sehili, le chef de l’Etat a tenu à «saluer le travail des forces armées tunisiennes dans la défense de la patrie».

Ce satisfécit prend toute sa signification, d’autant qu’il a été exprimé le jour même où le chef de l’Etat a dénoncé, pour la énième fois, en recevant le chef de gouvernement Kamel Maddouri, «le blocage de certains projets qui traînent en longueur alors que des fonds leur ont été alloués».

Le contraste entre les deux positions ne pouvait passer inaperçu, surtout que Saïed a salué l’armée nationale pour son «pilotage de plusieurs projets en un temps record» et son «soutien aux efforts de l’Etat dans tous les domaines tels que les élections, les examens nationaux, les secours, la santé et autres», comme souligné dans un communiqué de la présidence.

Le chef de l’Etat a, par la même occasion, souligné sa «détermination à développer les capacités de l’armée nationale», afin qu’elle puisse effectuer davantage de missions à caractère national, et surtout piloter des projets dont la réalisation  connaîtrait, autrement, un certain retard.

D’ailleurs, le président Saïed s’est illustré ces derniers temps par l’intérêt qu’il accorde à l’armée nationale en lui attribuant la réalisation de projets ne faisant pas forcément partie de ses prérogatives, comme la réalisation d’infrastructures sanitaires, sportives ou autres, à l’instar de la restauration et la rénovation de la piscine municipale du Belvédère, à Tunis, l’armée s’étant jusque-là distinguée par sa discipline, sa rigueur d’exécution et son respect des délais.

I. B.

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La Tunisie a besoin d’un coup d’accélérateur

A chaque fois qu’il rencontre le Premier ministre Kamel Maddouri, le président de la République, Kaïs Saïed, dénonce le blocage de certains projets qui traînent en longueur alors que des fonds leur ont été alloués. Où se situe le hiatus et qu’attend-on pour identifier les verrous et les faire sauter ?    

Imed Bahri

Ce reproche de la lenteur a déjà été fait aux quatre prédécesseurs de M. Maddouri au Palais de la Kasbah depuis l’accession de Saïed à la présidence fin 2019 et, à travers eux, à l’administration publique dans son ensemble dont le rythme d’exécution des tâches est trop long au goût du chef de l’Etat qui aimerait se prévaloir de quelques réalisations pour marquer son règne.

Hier, jeudi 2 janvier 2024, le président Saïed a, encore une fois, «souligné la nécessité de raccourcir les procédures pour achever les projets bloqués, car des fonds ont été alloués et les résultats ne sont pas au rendez-vous, sous prétexte de respect des procédures», indique le Palais de Carthage dans un communiqué.

Les Tunisiens s’impatientent

«Il est inacceptable qu’il faille des mois pour répondre à une lettre alors que la Tunisie est dans une course contre la montre et que chaque minute qui passe sans résultat est une perte de temps et un retard inacceptable dans la réalisations des attentes légitimes des citoyens», a déclaré le chef de l’Etat, qui ne cesse de préconiser de «nouvelles solutions qui mettront enfin un terme aux douleurs accumulées du passé», tout en espérant que «la nouvelle année ravivera l’espoir et marquera le début ferme de la transition souhaitée.»

Au-delà des mots, le malaise est perceptible, et les Tunisiens s’impatientent réellement de voir les projets annoncés à cor et à cri et les inchallahs souvent exprimés par les membres du gouvernement aboutir enfin à des réalisations concrètes qui rejaillissent positivement sur leur quotidien.

Des goulots d’étranglement

Ils aimeraient aussi voir les goulots d’étrangement, que constituent certains rouages de l’administration publique et que ne cesse de dénoncer le chef de l’Etat, sauter enfin pour accélérer le rythme de réalisation des projets annoncés.

Cette situation devient carrément surréaliste, et c’est toute une nation qui donne l’impression d’être bloquée, d’avoir perdu son élan vital et dilapidé son énergie. Il est temps de se réveiller, car le train du progrès n’attend pas les cancres et les bras cassés.  

Par ailleurs, on peut continuer à changer indéfiniment de femmes et d’hommes à la tête des institutions de l’Etat, la bureaucratie nationale, elle, a la peau dure et s’accroche à ses privilèges, ses certitudes et ses immobilismes.

Aussi, pour faire bouger le mastodonte qui dort, ne suffit-il pas de secouer le cocotier. Il va falloir aussi changer de méthodes de gouvernance : l’Etat ne peut pas tout faire, car il n’en a pas les moyens; il doit parfois, notamment dans les secteurs concurrentiels, laisser l’initiative privée se déployer avec plus de facilité et de volontarisme.

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Tunisie : les délais d’application de la retraite anticipée pour 2025

Les délais d’application du programme du départ à la retraite avant l’âge légal, au titre de l’année 2025 ont été fixés par un arrêté paru dans le Journal officiel de la République tunisienne du 30 décembre 2024, signé par le chef du gouvernement, Kamel Maddouri.

«Le dépôt des demandes de départ à la retraite avant l’âge légal, au titre de l’année 2025, pour les agents publics qui auront, au moins, 57 ans au cours de la période entre le 1er janvier 2025  et 31 décembre 2025, et qui ont accompli, au moins, 15 ans de service, qui est la durée minimale requise pour bénéficier d’une pension de retraite, se fera à partir du 1er janvier 2025, suivant la ligne hiérarchique», lit-on dans le Jort.

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