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JCC 2025 – Déclaration du jury des longs métrages sur son absence à la clôture

Le jury de la compétition des longs métrages de fiction de la 36ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage, présidé par Najwa Najjar, scénariste et réalisatrice palestinienne, et composé du critique de cinéma français Jean-Michel Frodon, du réalisateur et producteur tunisien Lotfi Achour, de la scénariste et réalisatrice rwandaise Kantarama Gahigiri et du réalisateur et producteur algérien Lotfi Bouchouchi, a publié une déclaration afin d’expliquer son absence, la veille, lors de la cérémonie de clôture du festival.

Rédigée et diffusée simultanément en arabe, en français et en anglais, cette déclaration a été rendue publique le 21 décembre 2025. Elle commence depuis à circuler largement sur les réseaux sociaux, dépassant rapidement le cadre tunisien pour être relayée à une échelle internationale. À travers ce texte, le jury revient sur le déroulement de son travail, les conditions des délibérations, ainsi que sur les circonstances précises ayant conduit à la décision collective de ne pas assister à la cérémonie de clôture.



Déclaration du Grand Jury

Ce fut un grand honneur d’être parmi vous en tant que cinéaste palestinienne et Présidente du jury international du Festival de Cinéma de Carthage. Le directeur du festival, M. Mohamed Tarek Ben Chaâbane, et son équipe ont réuni une sélection remarquablement pensée de 14 films issus d’Afrique et du monde arabe. En ces temps particulièrement sombres — marqués par un génocide en Palestine et par d’immenses souffrances à travers la région — nous avons été rappelés au fait que Carthage a toujours été bien plus qu’un festival. Il est, et a toujours été, un espace de liberté de pensée, d’expression et de conscience.

Notre jury international a visionné les films pendant cinq jours avec le plus grand soin et un profond sens des responsabilités. Nous avons longuement débattu, réfléchi et confronté nos points de vue, nos délibérations finales s’étant étendues sur plus de six heures. Chacun d’entre nous a pris sur son temps personnel, professionnel et familial — cette mission étant exercée à titre bénévole, précision nécessaire au regard de certaines rumeurs — afin d’honorer le cinéma et de juger les œuvres avec rigueur et équité. Nous avons rédigé collectivement des motivations claires expliquant les choix des films primés et avons remis la liste finale au JCC la veille de la cérémonie de clôture.

Le samedi matin, nous avons reçu un appel des JCC nous informant que les films lauréats seraient annoncés et présentés par des personnes autres que les membres du jury. Surpris — cette pratique étant très inhabituelle dans les festivals internationaux — nous avons refusé cette proposition.

Il convient de préciser que, tout au long de ce processus, le JCC a joué un rôle de relais et de soutien, transmettant nos préoccupations de bonne foi et maintenant le dialogue avec nous. Les décisions finales concernant le format de la cérémonie ont toutefois été prises à un niveau institutionnel et administratif dépassant l’autorité directe et la seule discrétion du festival.

Nous avons alors proposé une solution alternative : que les parties concernées puissent prendre connaissance à l’avance de nos motivations écrites et que, si l’enjeu était de faire monter des personnalités sur scène, le jury présente les motivations tandis que les invités remettraient les prix.

Nos préoccupations ont été relayées par les JCC, et nous avons été convoqués à une répétition à 15h30 à l’Opéra. Il nous a été explicitement indiqué que nous étions libres de présenter les motivations et les prix comme nous l’entendions. Après trois heures de répétitions avec l’ensemble des jurys, nous sommes retournés à l’hôtel pour nous préparer à la soirée.

À 19h30, nous avons reçu un nouvel appel nous informant que nous revenions au point de départ : les prix seraient à nouveau remis par d’autres personnes que le jury, et nos motivations ne seraient pas lues. Nous avons alors indiqué qu’une telle décision pourrait entraîner notre absence et demandé que notre position soit transmise aux parties concernées dans l’espoir de parvenir à un compromis. Un nouvel appel, quelques minutes plus tard, nous a confirmé qu’aucun changement n’aurait lieu.

Malgré cela, nous sommes restés dans le hall de l’hôtel jusqu’à 21h15, espérant qu’un dialogue restait possible. Hélas, aucun autre appel n’est arrivé.

Une décision extrêmement difficile a alors été prise à l’unanimité par le jury. Par respect pour notre rôle, notre travail et la responsabilité éthique qui nous était confiée, nous avons choisi de ne pas assister à la cérémonie. Cette décision n’a pas été prise à la légère, mais par principe. Un jury international n’est pas une entité symbolique : il est au cœur de l’intégrité de tout festival. Réduire sa voix au silence revient à fragiliser les fondements mêmes de la liberté cinématographique et de la confiance que des festivals comme Carthage ont toujours incarnées.

Najwa Najjar,
Présidente du Jury

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JCC 2025 – Une lettre ouverte d’Ibrahim Letaief sur le respect des instances artistiques



Au lendemain de la cérémonie de clôture de la 36ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage, à laquelle les jurys n’ont pas assisté, le réalisateur Ibrahim Letaief a rendu publique une lettre ouverte adressée au Président de la République. Dans ce texte, rédigé dans un ton respectueux et institutionnel, il revient sur les circonstances de cet incident et alerte sur ses implications symboliques et culturelles pour un festival historique, pilier du rayonnement culturel de la Tunisie.
Ci-dessous la lettre:



Lettre ouverte à Son Excellence le Président de la République

Objet : Préservation de l’image culturelle de la Tunisie et du cadre institutionnel des Journées Cinématographiques de Carthage – Édition 2025

Son Excellence

Président de la République tunisienne

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute considération.

Je me permets de m’adresser à Votre Excellence en ma qualité de réalisateur tunisien, membre de l’un des jurys des Journées Cinématographiques de Carthage 2025, et en tant que citoyen profondément attaché à la place qu’occupe la culture dans l’image et le rayonnement de la Tunisie, tant à l’échelle régionale qu’internationale.

Les Journées Cinématographiques de Carthage, fortes de plus de soixante années d’existence, ne constituent pas une simple manifestation artistique. Elles représentent l’un des piliers de la diplomatie culturelle tunisienne, un symbole historique du dialogue entre les cinématographies arabes, africaines et internationales, ainsi qu’un témoignage de la continuité de l’État dans son soutien à l’action culturelle.

Je tiens, en préambule, à saluer avec la plus grande considération le travail artistique accompli par le directeur du festival, ainsi que les efforts importants déployés par l’ensemble de l’équipe d’organisation. Cette édition s’est distinguée, dans son déroulement général, par une programmation exigeante, un accueil attentif des cinéastes et une relation soutenue avec le public, à la hauteur de l’histoire et du prestige de ce festival.

Cependant, les faits survenus lors de la cérémonie de clôture appellent, avec tout le respect dû aux institutions, une clarification d’ordre institutionnel.

Il a été constaté que les jurys officiels, dont je faisais partie, n’ont pas été en mesure de monter sur scène ni d’assumer publiquement leur rôle au moment de l’annonce des résultats, dans un contexte marqué par des décisions organisationnelles et protocolaires prises en dehors du cadre habituellement établi.

Par ailleurs, le déroulement de la cérémonie de clôture a été modifié, et un prix ne figurant pas dans le règlement officiel du festival a été instauré, plaçant ainsi les jurys dans une situation ne leur permettant plus d’exercer leurs responsabilités artistiques conformément aux règles en vigueur.

Face à cette situation, les jurys ont choisi, de manière collective, calme et responsable, de se retirer d’eux-mêmes du déroulement de la cérémonie. Cette décision ne procédait ni d’un différend personnel ni d’une volonté d’escalade, mais d’un souci de cohérence institutionnelle et de respect du rôle indépendant confié aux jurys.

Monsieur le Président de la République,

Ces faits, bien que circonstanciels, ont suscité une vive incompréhension au sein des milieux cinématographiques, tant en Tunisie qu’à l’étranger. Les Journées Cinématographiques de Carthage font l’objet d’une attention soutenue de la part d’artistes, de professionnels et d’institutions culturelles internationales, pour lesquels la clarté des règles, l’indépendance des jurys et la stabilité du cadre institutionnel constituent des critères essentiels de crédibilité.

Lorsque le cadre organisationnel d’un festival de cette envergure apparaît fragilisé, ou lorsque les instances artistiques se trouvent marginalisées au moment même où elles devraient être au cœur de la scène, l’image de la Tunisie en tant que pays respectueux de la culture, du droit et de la liberté de création peut s’en trouver affectée.

La présente démarche ne vise nullement à mettre en cause des personnes en particulier, mais à souligner, avec tout le respect requis, la nécessité de préserver une séparation claire entre la décision artistique et l’autorité administrative, condition indispensable à la pérennité de ce festival historique et à la sauvegarde de sa réputation internationale.

La protection des Journées Cinématographiques de Carthage, le respect de leur règlement intérieur et la préservation de leurs équilibres institutionnels ne relèvent pas d’un enjeu sectoriel. Ils participent pleinement de la préservation de l’image de la Tunisie et de sa place culturelle dans le monde.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération.

Signature :
Ibrahim Letaief
Réalisateur

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Pour la création d’un ministère dédié à l’Intelligence Artificielle

Face à l’accélération mondiale du développement de l’intelligence artificielle et à ses implications croissantes sur l’économie, la gouvernance et les services publics, plusieurs voix s’élèvent en Tunisie pour appeler à une vision plus structurée et ambitieuse. Dans ce contexte, l’ingénieur Mustapha Stambouli adresse une lettre ouverte au Président de la République afin de plaider pour la création d’un ministère spécifiquement dédié à l’Intelligence Artificielle. Cette proposition vise à positionner la Tunisie dans la compétition technologique internationale tout en assurant un encadrement éthique, stratégique et efficace des usages de l’IA. Voici la lettre dans son intégralité :

Tribune | Par Mustapha STAMBOULI, ingénieur ENIT/EPFL à la retraite et ancien expert auprès des agences des Nations Unies

Lettre ouverte au Président de la République

Monsieur le Président,

Face à l’essor rapide de l’intelligence artificielle (IA) et à son impact considérable sur les différents secteurs de la société, il est impératif de prendre des mesures concrètes pour orienter son développement en Tunisie. Nous proposons ainsi la création d’un ministère exclusivement dédié à l’Intelligence Artificielle, tout en maintenant le ministère des Technologies, chargé de la transformation numérique et de la supervision des entreprises publiques opérant dans le secteur technologique.

Pourquoi cette proposition est-elle nécessaire ?

  • Coordination stratégique et cohérence des politiques publiques : La création d’un ministère dédié permettrait de centraliser les politiques publiques liées à l’IA et de garantir une articulation fluide des axes d’innovation, d’éducation, de santé, de sécurité et de protection sociale, en évitant les duplications et les frictions entre différents ministères.
  • Leadership national sur l’innovation : Placer l’IA au cœur des politiques publiques soutiendrait la compétitivité économique du pays, stimulerait l’investissement privé, favoriserait la formation de talents locaux et encouragerait une adoption responsable des technologies émergentes.
  • Régulation éthique et responsabilité sociale : Un cadre réglementaire clair et stable est indispensable pour protéger les droits fondamentaux des citoyens, tels que la vie privée, la transparence et la sécurité, tout en régulant les usages potentiellement néfastes de l’IA (biais algorithmiques, surveillance excessive, automatisation destructrice).

Exemples et leçons tirées de l’expérience internationale

  • Royaume-Uni – Centre national de l’IA et cadre éthique : Le Royaume-Uni a mis en place des initiatives publiques coordonnées par des organismes dédiés qui intègrent recherche, réglementation, données et compétences numériques, avec une attention particulière portée sur l’éthique et la transparence. Cette expérience montre l’efficacité d’une structure ministérielle dédiée pour coordonner les actions publiques et faciliter la coopération entre secteurs public et privé.
  • Canada – Stratégie nationale et conseil fédéral sur l’IA : Le Canada a adopté une approche holistique combinant recherche, éducation et cadre réglementaire, tout en protégeant les données personnelles et en garantissant l’équité dans l’accès à l’innovation. Cette approche fédérale nécessitant une coordination précise illustre l’importance d’un ministère central pour éviter les zones grises.
  • Chine – Plan d’intégration et supervision sectorielle : L’État chinois a déployé un cadre global pour l’IA, couvrant la production, le déploiement industriel et la sécurité nationale. Cette expérience met en évidence la nécessité d’un cadre fort pour encadrer les applications de l’IA tout en veillant à la souveraineté numérique et à la sécurité.
  • États-Unis – Coordination interagences et initiatives public-privé : Bien que les États-Unis ne disposent pas d’un ministère unique pour l’IA, les initiatives fédérales et les partenariats public-privé témoignent de l’efficacité d’une coordination centrale, notamment sur les enjeux de l’éthique, de la sécurité et de la protection des données.
  • Union européenne – Réglementation et gouvernance : L’UE s’attelle à établir des cadres harmonisés sur l’IA et les données, avec des exigences de transparence et de traçabilité des modèles. Une coordination renforcée entre l’échelle nationale et européenne permettra d’optimiser les bénéfices de l’IA tout en protégeant les droits des citoyens.

Qu’apporterait concrètement un ministère dédié à l’IA et à la numérisation ?

  • Stratégie nationale et feuille de route des investissements : La définition d’objectifs clairs et mesurables en matière de formation, de recherche, d’infrastructures et d’adoption numérique permettrait de guider efficacement les investissements publics et privés tout en maximisant leur impact.
  • Cadre réglementaire clair et évolutif : Le ministère proposerait des règles précises concernant la protection des données, la transparence des algorithmes et la responsabilité des prestataires, tout en intégrant des mécanismes d’évaluation d’impact social et environnemental.
  • Excellence en recherche et formation : Le financement de laboratoires pluridisciplinaires et des programmes de formation continue pour les travailleurs permettront d’accompagner l’émergence d’une innovation utile et éthique. Des partenariats solides entre les universités, l’industrie et les pouvoirs publics seraient essentiels pour accélérer cette dynamique.
  • Gouvernance et éthique opérationnalisée : L’instauration de comités d’éthique dédiés à l’IA, d’audits d’algorithmes et de mécanismes de reddition de comptes garantirait une supervision rigoureuse des technologies utilisées dans les services publics et dans les secteurs sensibles.

Inclusion numérique et équité sociale : Des programmes ciblés pour réduire la fracture numérique et améliorer l’accès à l’IA, notamment pour les petites et moyennes entreprises et les régions moins connectées, permettraient de garantir une inclusion numérique plus large.

  • Sécurité, résilience et souveraineté : Le ministère mettrait en place une stratégie de cybersécurité et de gestion de la chaîne d’approvisionnement en données et en composants critiques, assurant la résilience du pays face aux risques technologiques.

L’IA au service de l’Administration fiscale

Par ailleurs, l’Intelligence Artificielle pourrait jouer un rôle clé dans l’optimisation des services fiscaux. Grâce à des algorithmes avancés, l’IA permettrait d’améliorer l’efficacité de la collecte des impôts, en identifiant plus rapidement les fraudes et en simplifiant les démarches administratives.

En automatisant certaines tâches, l’IA pourrait alléger les charges des citoyens tout en garantissant une plus grande équité dans la répartition des ressources. Cela contribuerait à une collecte de fonds plus juste et transparente, soutenant ainsi les efforts de l’État pour financer des politiques publiques au service du bien-être de tous.

Axes d’action prioritaires

  • Développement de compétences et reconversion professionnelle : Des cursus adaptés dès le secondaire et des programmes de reconversion pour les métiers impactés par l’automatisation permettront de préparer la main-d’œuvre aux défis futurs.
  • Gouvernance des données et infrastructure : La mise en place de cadres d’accès et de normes sur l’interopérabilité et la qualité des données facilitera la recherche et l’innovation.
  • Transitions industrielles responsables : Des aides à l’adoption de l’IA dans les PME et les secteurs stratégiques (santé, énergie, agriculture) permettront d’assurer une transformation numérique durable et inclusive.
  • Santé et bien-être : L’IA pourrait être utilisée pour améliorer le diagnostic médical, la gestion des soins et l’efficacité des systèmes de santé, tout en garantissant la protection des données sensibles.
  • Services publics améliorés : L’IA permettrait de moderniser les administrations publiques, de simplifier les démarches administratives et de rendre les services plus accessibles et plus efficaces.

Monsieur le Président, la création d’un ministère dédié à l’Intelligence Artificielle serait un levier stratégique pour positionner la Tunisie à la pointe de l’innovation tout en assurant une gestion responsable des enjeux technologiques. Cette initiative permettrait de renforcer la cohérence des politiques publiques, de préparer notre pays aux mutations économiques et sociales à venir et de garantir un avenir numérique inclusif et équitable

Il est temps de prendre les devants pour bâtir un avenir numérique prospère, sécurisé et durable.

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Ooredoo Tunisie s’associe à Dora Chamli pour promouvoir le padel et le talent tunisien sur la scène mondiale

Ooredoo Tunisie annonce avec fierté un nouveau partenariat avec Dora Chamli, la numéro un du padel féminin en Tunisie, devenue la première Tunisienne à atteindre le tableau principal d’un tournoi Premier Padel.

Cette collaboration illustre l’engagement continu de Ooredoo à soutenir la jeunesse tunisienne, à encourager les sports émergents et à célébrer les athlètes qui font rayonner la Tunisie à l’international.

Née en 1996, Dora Chamli a découvert le padel lors de ses études à Barcelone, où elle est rapidement tombée amoureuse de ce sport. À son retour en Tunisie, elle est devenue l’une des pionnières du padel féminin, souvent contrainte de s’entraîner avec des hommes en raison du manque de joueuses à l’époque.

Sa détermination et sa passion l’ont menée des courts locaux aux tournois internationaux, où elle évolue désormais parmi les 140 meilleures joueuses mondiales, selon le classement de la Fédération Internationale de Padel (FIP).

En octobre 2025, lors du tournoi Premier Padel New Giza P2 organisé en Égypte, Dora Chamli a écrit une page historique du sport africain en devenant la première joueuse du continent à remporter un match dans le tableau principal d’un tournoi Premier Padel.

Elle et sa partenaire ont triomphé face au duo Marcella Koek / Victoria Kurz (6-7 (5), 6-3, 6-1) – un exploit symbolisant l’ouverture croissante du padel vers de nouveaux horizons.

Grâce à cette performance et à ses résultats constants sur le circuit FIP, Dora Chamli a progressé au classement mondial, passant de la 149ᵉ à la 139ᵉ place.

À travers ce partenariat, Ooredoo Tunisie souhaite accompagner Dora dans son ascension et inspirer les jeunes athlètes, en particulier les femmes, à poursuivre leurs rêves et à repousser les limites du possible.

Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « Chez Ooredoo, nous croyons au pouvoir de la jeunesse, de la passion et de la persévérance pour transformer la société. Dora Chamli incarne l’esprit de la Tunisie : ambitieuse, déterminée et prête à briller sur la scène mondiale. En soutenant son parcours, nous réaffirmons notre mission : connecter les gens non seulement par la technologie, mais aussi par les rêves et les réussites partagés. »

Dora Chamli a ajouté : « C’est un immense honneur de représenter Ooredoo et mon pays à ce moment clé de ma carrière. Gagner un match dans le tableau principal d’un tournoi Premier Padel est un rêve devenu réalité. Le soutien de Ooredoo me donne la force d’aller encore plus loin. Je veux montrer que les femmes tunisiennes peuvent réussir à l’échelle mondiale et inspirer d’autres à découvrir ce sport extraordinaire. »

Le padel, sport de raquette en pleine expansion combinant des éléments du tennis et du squash, connaît un essor spectaculaire en Tunisie.

Le partenariat entre Ooredoo Tunisie et Dora Chamli s’inscrit dans une vision stratégique visant à encourager les talents tunisiens, à renforcer la présence du pays sur la scène internationale, et à promouvoir une culture d’inclusion et d’excellence.

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Ooredoo Tunisie obtient la certification ISO 22301:2019

Premier opérateur en Tunisie à recevoir cette reconnaissance internationale en continuité d’activité

Ooredoo Tunisie est fière d’annoncer l’obtention de la certification ISO 22301:2019, la norme internationale de référence en matière de système de management de la continuité d’activité (SMCA).

Avec cette distinction, Ooredoo devient le premier opérateur télécom en Tunisie à obtenir cette reconnaissance internationale, confirmant son engagement envers la résilience opérationnelle, la gestion proactive des risques et la garantie d’un service de qualité ininterrompu pour ses clients.

La norme ISO 22301:2019 établit les exigences permettant aux organisations de planifier, mettre en œuvre, surveiller et améliorer un SMCA. Elle aide à anticiper et gérer efficacement les perturbations majeures tout en assurant la continuité des activités critiques.

Cette certification s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue et vient consolider les engagements de Ooredoo en matière de gouvernance, sécurité et fiabilité. Elle illustre la capacité de l’entreprise à protéger ses infrastructures essentielles et à maintenir la disponibilité de ses services même en période de crise.

À cette occasion, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « L’obtention de la certification ISO 22301:2019 est une étape majeure qui reflète notre détermination à rester à la pointe de l’excellence opérationnelle et de la gestion des risques. Elle confirme notre rôle de leader technologique et réaffirme notre responsabilité envers nos clients, nos partenaires et l’ensemble de l’écosystème numérique tunisien. Chez Ooredoo, nous nous engageons à garantir une connectivité fiable et sécurisée, quelles que soient les circonstances. »

Cette reconnaissance internationale vient renforcer les nombreuses initiatives stratégiques de Ooredoo visant à consolider sa position de leader sur le marché tunisien et régional, tout en adoptant les meilleures pratiques mondiales en matière de sécurité, qualité et résilience.

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Nouvelair célèbre son 36ème anniversaire et remercie ses passagers avec une offre exceptionnelle 

Depuis 36 ans, Nouvelair ne se contente pas de relier des destinations : elle crée des ponts, rapproche les cœurs et accompagne les plus belles histoires de voyage. À l’occasion de cet anniversaire, la compagnie tient à remercier ses passagers pour leur fidélité en leur offrant une promotion exclusive.

Du 9 au 13 octobre 2025, les voyageurs pourront bénéficier de 36 % de réduction sur tous les billets, pour des départs prévus entre le 9 octobre 2025 et le 31 mars 2026, y compris pendant les vacances scolaires.

Avec cette offre, Nouvelair réaffirme son engagement à rendre le voyage plus accessible et à continuer d’inspirer de nouvelles aventures.

Détails de la promotion

  • Réduction : 36%* sur le prix affiché HT.
  • Période de vente : du 09 /10/2025 au 13/10/2025.
  • Période de voyage : du 09/10/2025 au 31/03/2026 (les vacances scolaires sont comprises).
  • Destinations : France, Allemagne, Royaume-Uni, Suisse, Belgique, Italie, Turquie, Algérie, Maroc et l’Arabie Saoudite, au départ et à destination de la Tunisie
  • Modification/annulation : conditions tarifaires en vigueur selon la destination et l’offre choisie.

Réservez vos billets :

Sur le site web : www.nouvelair.com
Via l »application mobile :
· App Store : https://www.apple.com/fr/app-store/

· Play Store : https://play.google.com/store/apps?hl=fr&pli=1

À l’agence Centre Urbain Nord et dans nos points de vente situés à l’aéroport Tunis Carthage, Monastir et Djerba.

En contactant le service client : 36 020 920

Avec cette offre anniversaire, nouvelair réaffirme la promesse qui l’anime depuis 1989 : rendre le voyage plus accessible.

A propos de nouvelair

Fondée en 1989, nouvelair est la première compagnie aérienne privée en Tunisie. Elle opère à partir de 3 aéroports internationaux en Tunisie : Tunis, Monastir et Djerba et dessert plus de 40 destinations régulières sur 3 continents.

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Exposition Terre spirituelle de Sami Ben Ameur : Révéler l’âme du monde

Tribune | Par Dr. Chaima Zaafouri, Maître-assistante à l’Institut Supérieur des Arts et Métiers de Sidi Bouzid. Membre associée au LLTA, axe ADNT, Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Sfax.


Par toute sa chair, les toiles de l’artiste Sami Ben Ameur vibrent d’une énergie viscérale ; les fonds, emplis d’air et de lumière, insufflent aux formes picturales une vigueur nourrie par le désir d’une humanité saine. Sur sa toile, Ben Ameur modèle la matière avec la densité d’un sculpteur, conférant à chaque relief trapu une couleur sourde, fossilisée, témoignage d’une mémoire ancienne et enfouie.

En fermant les yeux, on devine des masses légères, portées par une gravité subtile. La pensée du peintre se déploie librement dans cette matière, sans jamais contraindre le tableau à une signification unique. Sa réflexion, enracinée dans le terreau de la guerre et de la paix, s’émerveille néanmoins de la beauté du monde : il peint le bisou, l’arbre, la torture, un couple d’oiseaux, mais surtout les strates de la terre en résonance avec l’humain dans sa nature la plus intime et troublante. Sa main prompte cisèle rimes et intuitions, traduisant par le geste les spectacles de guerre, les ténèbres saturées de lumière et d’ombre, les champs de bataille et les cauchemars, avec une intensité qui rend palpable l’étrange relief des crânes linaires et décharnés.

L’artiste crée et cultive ainsi des terres d’esprit et de vérité, aspirant à une vie libre et sensuelle. C’est au sein de cette dimension traversée d’ambivalence que l’œuvre de Ben Ameur s’impose comme une archéologie du sensible, une peinture fiévreuse où la chair, la matière et la couleur s’affrontent dans un mouvement continu, viscéral, presque théologique.

Peindre, pour lui, c’est traduire les métamorphoses incessantes du monde, ses décadences et renaissances, dans un langage pictural où l’invisible devient objet spirituel d’étude et de création. À l’instar des artistes matérialistes, il érige la matière en témoin de la condition humaine.

Son univers s’étend à la lisière du charnel et de l’immatériel, un espace où s’incarnent les pulsations d’une société dont l’artiste déplore la perte de valeur. La ligne s’assouplit, la couleur frémit, et la surface palpite d’un éréthisme pictural, ce trop-plein de sensibilité qui métamorphose la peinture en expérience sensorielle totale.

La tension intérieure affleure au tréfonds de la matière, se déploie dans les gestes et se consume dans les couleurs : un frisson du monde qui s’infiltre dans la trame du tableau. Les éléments ne se trouvent plus hiérarchisés selon un ordre central, mais se déploient en réseau, en interconnexion mouvante, à l’image du monde vivant que Ben Ameur traduit.

Le paysage se construit et se déconstruit le long d’une diagonale rationnelle, sans que cette structure n’entrave la fluidité des flux ni la circulation des affects et des intensités. Guidé par un tempérament fiévreux et excessif, le peintre laisse affleurer dans la matière et la couleur une émotion dense, bâtie de chagrin, d’amertume et parfois de désespérance, qui traverse les couches picturales comme un courant tellurique.

C’est précisément cette expérience intime et viscérale de la matière, sa chair, sa mémoire, ses strates enfouies, qui confère à l’œuvre sa puissance rhizomique. A l’instar de la réflexion proposée par Deleuze et Guattari, l’œuvre ne se laisse réduire ni à un point de départ unique ni à une hiérarchie imposée : elle se déploie comme un rhizome, un réseau complexe de lignes de force où chaque élément, qu’il s’agisse de strates, de crânes, de racines ou de chairs décharnées, conserve simultanément son autonomie et son insertion dans l’ensemble.

Cette configuration traduit, à travers l’expérience singulière de l’artiste, un monde en perpétuelle circulation, en constante transformation, où la matière et la mémoire dialoguent pour révéler les flux intérieurs et collectifs de l’existence.

L’œuvre devient une totalité indécomposable, traversée de contradictions quasi intenables, à l’image des fractures contemporaines ; corps, âmes et territoires. Le peintre travaille sur le seuil de la synesthésie colorée, où le regard du spectateur perçoit la vibration du ton comme émotion, où éréthisme du geste traduit la nervosité du contact et la palpitation de la chair. L’art devient une zone d’interférences entre le sensible et le conceptuel, le spirituel et le corporel.

Ben Ameur revendique une sensibilité particulière, une esthétique de mémoire explorant la perte et la fragilité de l’époque. Les fêlures de l’âme et les fissures du monde se transforment en traces visibles et en vibrations chromatiques. Les crânes suspendus, les racines enlacées et les cœurs blancs, autant de fossiles de la mémoire collective, témoignent de la tension entre vie et disparition, sensualité et douleur.

La peinture ne se limite pas à l’esthétique, elle devient résistance, exploration et méditation sur l’humain et l’univers, rappelant que nous sommes faits de terre et de feu, et que nos corps et nos émotions restent malléables et capables de crier dans l’abîme de l’existence.

Ainsi, le sentiment esthétique dans son œuvre devient un champ de résistance : la vitalité du geste dialogue avec la densité et la transparence de sa terre-chair spirituelle. Son œuvre, excessive et fiévreuse, témoigne d’un monde en perpétuelle transformation, un monde dont il restitue blessures et beautés avec une intensité incandescente.

Comme le rappelait Zola au Salon de 1866 : « Une œuvre d’art est un coin de la création vu à travers un tempérament.» Celui de Ben Ameur est incandescent, porté par une gravité flottante, un frisson des corps affamés, une gaieté violente, une humanité pleine de cris et de désirs.

La virtuosité de sa technique repose sur l’accumulation et la superposition des couches. La peinture se déploie en masses viscérales, parfois trapues, parfois aériennes, où gravité et légèreté coexistent. Chaque relief, chaque texture est travaillé avec une intuition rapide, un éréthisme du geste, qui rend visibles les pulsations de la pensée et de la chair.

Les couleurs, tantôt sourdes, tantôt flamboyantes, vibrent dans une synesthésie colorée, traduisant l’intensité émotionnelle et la complexité psychique du monde contemporain. L’éréthisme pictural et des matières transforme la toile en un espace vivant, où l’œil ressent la densité et la palpabilité des textures. Ces dernières sont travaillées avec une liberté radicale : des strates épaisses se chevauchent, des fissures et craquelures créent des fêlures de l’âme, tandis que des reliefs étranges ; crânes, racines, cœurs blancs deviennent des fossiles de mémoire.

Ces éléments, dans leur totalité indécomposable, instaurent une tension constante entre le visible et l’invisible, le sensuel et le critique, le charnel et le théologique. L’artiste ne cherche pas la clarté mais l’intensité, et cette prééminence de la matière rend chaque tableau à la fois spectaculaire et interrogatif. Ses œuvres traduisent les fractures contemporaines ; corps, territoires, âmes, ils offrent un espace où la peinture devient résistance face aux abstractions désincarnées.

Dans ses toiles vibrent des liens indéfectibles entre mémoire individuelle et mémoire collective, éréthisme des couleurs, des matières et du geste exprime les vicissitudes du monde et les transformations incessantes de la société. Le mouvement et le geste de Ben Ameur sont essentiels à sa facture. Il peint comme il pense : par impulsions, par éclats, par gestes rapides et précis qui sculptent la matière picturale. Chaque coup de pinceau, chaque superposition s’immerge d’énergie, de gravité et d’un geste fédérateur de sens.

La couleur devient vibration, palpitation, traduction du monde intérieur, tandis que la matière, dense et tactile, impose au spectateur une immersion sensorielle totale. Cette synesthésie colorée et matérielle fait ressentir l’œuvre au-delà de la vision, dans une expérience presque corporelle, où chair, couleur et geste s’entrelacent.

La composition de ses toiles, organisée selon des diagonales, des masses et des lignes de force, reste guidée par l’intuition et la sensibilité. Les éléments s’entrechoquent, se complètent et se répondent selon une logique interne, générant des vibrations et un éréthisme qui font de chaque tableau un espace pictural propice à la réflexion critique. Le spectateur est invité à pénétrer cette totalité indécomposable, à ressentir la densité de la chair-terre, la tension de la plasticité et les pulsations du monde contemporain.

Ainsi, l’œuvre de Ben Ameur dévoile, avec une intensité singulière et rare, les forces et les fissures de notre temps. Chair, mémoire et sensibilité critique s’y mêlent, s’y enlacent, tissant un langage pictural capable de murmurer à l’oreille de l’âme, de la frôler, de la bouleverser, et d’y insuffler une lueur nouvelle.

Plongé dans ses toiles, on se laisse engloutir, traverser par une lumière intérieure qui brûle et console à la fois, offrant une communion intime avec le monde : avec les autres, avec soi-même, et éveillant la conscience de la fragilité et de la beauté de l’existence que nous avons oubliée.

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Tunisie Telecom : Un acteur de confiance au service de la cybersécurité et de la souveraineté numérique

Dans un monde où la transformation digitale s’accélère et où les cybermenaces se multiplient, la protection des données et la souveraineté numérique sont devenues des priorités pour les entreprises, les institutions et les citoyens. Consciente de ces enjeux, Tunisie Telecom réaffirme son rôle de partenaire stratégique en bâtissant un écosystème numérique sûr, fiable et aligné sur les standards internationaux.

Des certifications internationales gages de confiance

Ces derniers mois, l’opérateur a obtenu plusieurs distinctions de référence qui attestent de la solidité de ses infrastructures et de la qualité de ses services :

  • Le Data Center Carthage a été certifié ISO 27001, ISO 27701 et ISO 9001, garantissant sécurité des données, protection de la vie privée et excellence opérationnelle.
  • La Direction de la Relation Clients (DRC) a décroché la certification ISO/IEC 27001:2022 pour son Système de Management de la Sécurité de l’Information, confirmant la protection rigoureuse des données sensibles.
  • Le Customer Network Operation Center (CNOC) a mis en place un Système de Management de la Qualité conforme à la norme ISO 9001:2015, assurant une surveillance proactive et continue des services.

Au-delà des labels, une stratégie nationale

Ces certifications vont bien au-delà d’une reconnaissance formelle. Elles renforcent la confiance des clients et soulignent la volonté de Tunisie Telecom de contribuer à la souveraineté numérique du pays grâce à des infrastructures locales certifiées et sécurisées.

Innovation, sécurité et transformation digitale

En multipliant ces initiatives, Tunisie Telecom consolide sa position d’opérateur de confiance et de partenaire clé de la transformation digitale. L’entreprise se distingue non seulement par la qualité de ses services, mais aussi par son engagement à accompagner l’innovation et à répondre aux besoins croissants d’une société connectée.

Fidèle à sa mission d’entreprise citoyenne, Tunisie Telecom place ainsi la cybersécurité et la qualité au cœur de sa stratégie, au service d’une Tunisie numérique, compétitive et souveraine.

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Tunisie Telecom acteur de référence en sécurité de l’information

Tunisie Telecom vient d’obtenir la certification internationale ISO/IEC 27001:2022 relative au Système de Management de la Sécurité de l’Information (SMSI), attribuée à sa Direction de la Relation Clients (DRC).

Cette distinction a été décernée à l’issue d’un audit de surveillance mené par TÜV Rheinland, organisme internationalement reconnu pour la certification des produits et des systèmes de management.

La certification couvre l’ensemble des processus liés à la gestion et à la prise en charge des clients, en garantissant la sécurité de l’information et la protection des données personnelles.

Elle vient couronner une démarche qualité engagée de longue date par Tunisie Telecom, qui a mis en place des pratiques rigoureuses et alignées sur les standards internationaux les plus exigeants en matière de cybersécurité et de gestion des données.

Par cette réussite, Tunisie Telecom réaffirme son engagement constant à renforcer la confiance de ses clients, à améliorer leur satisfaction et à consolider sa position d’acteur de référence en matière de sécurité de l’information et d’innovation technologique.

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Ooredoo apporte espoir et sourires à 400 enfants de Kafel Elyatim pour la rentrée scolaire Tunis

Ooredoo Tunisie a réaffirmé son engagement fort envers les enfants de l’Association Kafel Elyatim à travers une initiative solidaire marquant la rentrée scolaire, reflétant sa volonté d’accompagner les jeunes générations vers un avenir meilleur.

Depuis deux ans, ce partenariat s’est construit autour de moments clés, tels que le Ramadan, l’Aïd, les activités estivales et la rentrée scolaire, offrant un accompagnement durable aux enfants de l’association. Cette année, Ooredoo a pris en charge la rentrée scolaire de 400 enfants, en leur offrant des cartables complets avec fournitures et manuels, afin de leur permettre d’entamer l’année académique dans les meilleures conditions.

Une cérémonie chaleureuse a eu lieu au siège d’Ooredoo, au cours de laquelle les enfants ont eu l’opportunité de rencontrer le Directeur Général, M. Mansoor Rashid Al-Khater, qui leur a adressé un message inspirant : « Chez Ooredoo, nous croyons que chaque enfant mérite de rêver et de réussir. L’éducation est la clé d’un avenir meilleur et c’est un honneur pour nous d’accompagner les enfants de Kafel Elyatim dans leur parcours de réussite. » La cérémonie a également été l’occasion de célébrer les élèves de l’association ayant obtenu leur baccalauréat.

Ooredoo les a honorés afin de les encourager à poursuivre leur parcours universitaire avec ambition et confiance. M. Aymen Toukabri, responsable de terrain de l’Association Kafel Elyatim, a souligné : « Notre partenariat avec Ooredoo est une véritable source d’espoir pour nos enfants. Au-delà du soutien matériel, c’est l’encouragement et la reconnaissance qui leur donnent confiance et les poussent à avancer. »

À l’aube de cette nouvelle année scolaire, Ooredoo adresse ses meilleurs vœux de réussite et d’épanouissement à tous les enfants de Tunisie, et particulièrement à ceux de l’Association Kafel Elyatim.

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