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Un médecin retrouvé sans vie pendant sa garde à l’hôpital de Nefta

Le Dr Jaâfar Abdelhfidh, médecin à l’hôpital régional de Nefta, a été retrouvé sans vie le lundi 6 janvier, pendant sa garde à l’hôpital de Nefta.

Ses collègues lui ont rendu un vibrant hommage sur les ondes de Mosaïque FM le mercredi 8 janvier. En effet, il a dédié sa vie à la médecine et au service des hôpitaux de sa région.

Bien que la carrière du Dr Jaâfar Abdelhfidh se soit principalement déroulée dans le secteur privé, il a choisi de mettre ses compétences au service des hôpitaux publics de la région. Le directeur des affaires communes de la direction régionale de la santé de Tozeur a déclaré que le médecin avait été sollicité par l’hôpital dès le début de la pandémie de Covid-19. Ce dernier assurait des interventions régulières à l’hôpital de Nefta ainsi que dans les services d’urgence de Tozeur et Tamaghza.

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Drame à l’hôpital de Nefta : un jeune médecin décède lors de sa garde

Drame à l’hôpital de Nefta : un jeune médecin décède lors de sa garde

Un drame a secoué l’hôpital de Nefta avec le décès tragique du jeune médecin Dr. Jaâfar Abdelhafidh, retrouvé sans vie dans une salle de garde après une longue journée de travail. Ce médecin dévoué, symbole de la jeunesse tunisienne engagée, a quitté ce monde prématurément, laissant derrière lui des rêves inachevés et une carrière prometteuse […]

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Hôpital de Nefta: un jeune médecin retrouvé sans vie pendant sa garde

Un autre jeune médecin, cette semaine, vient de quitter trop tôt la vie laissant ses espoirs et ses rêves en suspens . Il s’agit du Docteur Jaâfar Abdelhfidh qui est décédé le lundi dernier à l’hôpital de Nefta. Il était de garde ce jour là. Le personnel a retrouvé le corps du médecin sans vie dans une des salles de garde de l’hôpital. Probablement fatigué, après une enième journée de travail, il a quitté à la fleur de l’âge et sur la point des pieds, le métier noble auquel il s’est dévoué corps et âme: la médecine.  » Mort en accomplissant son devoir…Que ceux qui portent un regard négatif sur notre jeunesse et en particulier nos jeunes médecins qui donnent d’eux même pour offrir les meilleurs prestations médicales à nos citoyens là ou ils sont, se recueillent au moins un instant….Nous payons le prix fort pour garantir des soins de qualité.

Je suis plus que triste à chaque fois qu’une belle âme disparaît…je suis encore plus triste de voir nos concitoyens salir notre noble métier et nous réduire à des prestataires de services », dixit Dr. Moez Cherif qui a rendu hommage au jeune homme. Allah yarhmou w inaamou.

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Honoraires médicaux 2025 : Nouvelle grille tarifaire dans le secteur privé en Tunisie

Une nouvelle fourchette des honoraires médicaux dans le secteur privé est entrée en application à compter du 1er janvier en cours.

Publiée sur le site officiel du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), cette nouvelle fourchette prévoit une augmentation des honoraires selon les actes médicaux.

– Médecin généraliste, les honoraires varieront entre 40 et 55 dinars.

– Médecin spécialiste coûtera entre 55 et 80 dinars

– Médecin neurologue ou un psychiatre entre 60 et 85 dinars 

– Les consultations nocturnes ou pendant les jours fériés coûteront le double.

– Les services d’hémodialyse (KH) coûteront désormais entre 35 et 50 dinars.

– L’accouchement simple variera entre 550 et 850 dinars et l’accouchement gémellaire entre 650 et 950 dinars.

– Le forfait de lithotripsie extra corporelle y compris l’acte de repérage quel que soit le nombre de séances coûtera entre 600 et 800 dinars.

Le CNOM souligne que tout abus dans la fixation des honoraires établis constitue une faute professionnelle grave.

A noter que les honoraires médicaux n’ont pas été modifiés depuis 2019 alors qu’ils doivent être révisés tous les trois ans, selon le secrétaire général du CNOM, Nizar Adhari.

Les nouveaux tarifs des consultations des médecins privés

Depuis le 1er janvier 2025, les honoraires médicaux en Tunisie ont été révisés à la hausse, suscitant des discussions parmi les professionnels de santé et l’opinion publique. Les consultations en médecine générale sont passées de 35-45 dinars à 40-55 dinars, tandis que celles en médecine spécialisée ont augmenté de 50-70 dinars à 55-80 dinars, enregistrant ainsi une hausse de 5 à 10 dinars.

La révision des tarifs médicaux s’explique par trois facteurs principaux: l’inflation persistante, avec un taux dépassant 7%, entraînant une hausse des coûts de la vie et nécessitant une compensation pour préserver le pouvoir d’achat des médecins après deux ans sans ajustement des honoraires; une fiscalité alourdie, avec un impôt sur le revenu passé de 35 à 40% et une TVA de 7%, représentant près de 47% des honoraires prélevés par l’État, mettant en péril la viabilité financière des cabinets médicaux; et, enfin, la nécessité de freiner l’exode des compétences, en offrant un revenu suffisant pour retenir les médecins face à l’attractivité de meilleures conditions de travail à l’étranger.

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Au cœur du chaos : un chirurgien tunisien raconte la vie à Gaza

Paru sur le site UltraSawt, cet entretien mené par notre consœur Asma Baccouche met en lumière le récit du Dr Sofiane Bennani, chirurgien tunisien, premier médecin de son pays à se rendre dans la bande de Gaza depuis le début de l’agression israélienne

Le Dr Sofiane Bennani, spécialiste en chirurgie digestive à Kasserine, est parvenu à rejoindre Gaza pour une mission humanitaire après plusieurs tentatives infructueuses. Il raconte son périple éprouvant, les entraves administratives, ainsi que les réalités accablantes et édifiantes qu’il a observées dans ce territoire en guerre.

Un parcours semé d’embûches pour entrer à Gaza

Après avoir tenté d’organiser une mission officielle via les autorités tunisiennes, Sofiane Bennani s’est tourné vers des ONG internationales. Grâce à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il a intégré un groupe de 22 médecins de diverses nationalités. Mais seuls neuf d’entre eux ont été autorisés à passer, après une attente interminable et des contrôles rigoureux au poste-frontière de Kerem Shalom.

« Nous avons été contraints de laisser 80 % de notre matériel médical. Même ma simple paire de stéthoscopes, essentielle au travail de tout médecin, a été interdite, tout comme les médicaments que nous avions apportés », explique-t-il. Tout en soulignant l’arbitraire des restrictions imposées.

Des hôpitaux pris pour cibles

Arrivé à Gaza, le médecin a travaillé principalement dans des structures réhabilitées dans le sud, telles que l’hôpital européen ou le centre médical jordanien. Il décrit une situation tragique : « Dans tous les conflits, même durant les guerres mondiales, les hôpitaux n’ont jamais été délibérément visés. Mais à Gaza, c’est une cible assumée par l’occupant. »

Malgré ces destructions massives, il a salué le professionnalisme et la résilience des équipes médicales palestiniennes. « Ils accomplissent un travail remarquable, parfois sous des tentes, avec des moyens dérisoires, mais une organisation exemplaire. »

Un appel à la solidarité des médecins tunisiens

Le Dr Bennani a exprimé son regret de constater que les médecins tunisiens sont peu nombreux à tenter de se rendre à Gaza. « Cela m’a profondément touché de voir des professionnels de santé d’autres nationalités revenir pour la quinzième fois, alors que j’étais le premier médecin tunisien depuis le début de l’agression », confie-t-il.

Cependant, il témoigne de l’accueil chaleureux des Palestiniens, émus par le soutien du peuple tunisien. « Leur joie et leur amour pour la Tunisie sont indescriptibles. »

Une réalité plus sombre que ce que les images montrent

Le chirurgien ne peut cacher son choc face à l’ampleur des destructions et des pertes humaines. « À la télévision, on ne perçoit qu’une fraction de l’horreur. En réalité, c’est bien pire. Des quartiers entiers sont rasés, avec des corps encore ensevelis sous des décombres de six étages. On voit parfois inscrit sur les murs : ‘Ici vivait la famille X.’ »

Il a également été marqué par le courage des journalistes sur place. « Ils sont les véritables héros de cette guerre, exposant leur vie pour que le monde connaisse la vérité. »

Une leçon d’humanité et de résilience

En dépit des souffrances, le Dr Bennani a découvert un peuple qui refuse de se soumettre. « Les Gazaouis sont incroyablement résilients. Ils aspirent à vivre, à travailler, à se reconstruire, même sous les bombardements. »

Ce séjour a bouleversé ses priorités. « J’ai appris à relativiser. Les Gazaouis m’ont montré que la dignité et la générosité sont possibles, même dans l’adversité la plus extrême. Leur courage est une leçon de vie que je n’oublierai jamais. »

Un appel à la communauté internationale

Enfin, il conclut avec un plaidoyer : « Le monde ne peut rester spectateur face à cette tragédie. Il est urgent de sauver ce qu’il reste de cette population civile, qui ne demande qu’à vivre sur sa terre, en paix. »

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