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Pourquoi Getty Images et Shutterstock vont fusionner?

Getty Images et Shutterstock, deux leaders du contenu visuel sous licence, ont annoncé leur fusion pour former une entité valorisée à 3,7 milliards de dollars. Getty Images détiendra 54,7% des parts de la nouvelle structure, qui conservera son nom, tandis que Shutterstock en possédera 45,3%. Cette opération vise à renforcer leur position sur un marché compétitif et à investir dans l’innovation, bien que des préoccupations sur une concentration excessive puissent attirer l’attention des autorités de la concurrence.

Face à l’essor de l’intelligence artificielle générative, ces entreprises cherchent à capitaliser sur cette technologie tout en répondant à la concurrence d’outils comme DALL-E et Midjourney. Si l’IA permet de vendre des licences à des développeurs, elle remet aussi en question le modèle des banques d’images traditionnelles. La prolifération de smartphones et de plateformes gratuites a également affaibli la valeur du marché des images sous licence, obligeant les acteurs majeurs à s’adapter.

Cette fusion apparaît comme une réponse stratégique aux bouleversements du secteur, notamment à la concurrence accrue et aux attentes évolutives des clients. Elle permettra aux deux entreprises de renforcer leur offre, d’élargir leur couverture événementielle et de développer des outils technologiques innovants pour répondre aux défis du marché et garantir leur durabilité financière.

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Les transferts de la diaspora tunisienne ont atteint 8 milliards de dinars en 2024

En 2024, l’économie tunisienne a bénéficié de contributions importantes des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) et du secteur touristique. Les transferts de capitaux des TRE ont atteint 8128 millions de dinars au 31 décembre, soit une augmentation de 471,5 millions de dinars par rapport à 2023. Ces fonds, essentiels pour l’économie nationale, permettent de soutenir les ménages locaux, de financer des investissements privés et de répondre aux besoins de consommation. En outre, ils contribuent au renforcement des réserves en devises, un atout stratégique pour limiter le déficit courant et stabiliser l’économie.

Parallèlement, les recettes touristiques ont connu une nette amélioration, atteignant près de 7,5 milliards de dinars en 2024, avec une hausse de 574,3 millions de dinars par rapport à l’année précédente. Ce résultat illustre un regain d’attractivité de la Tunisie comme destination touristique, grâce aux efforts de promotion et à l’amélioration des infrastructures d’accueil. Ce secteur, qui joue un rôle clé dans l’économie, génère des emplois, stimule le développement régional et favorise l’entrée de devises étrangères.

Ces performances témoignent d’une dynamique positive dans deux piliers essentiels de l’économie tunisienne. Cependant, pour pérenniser cette croissance, il est impératif d’investir dans des réformes structurelles, de diversifier l’économie et de renforcer les secteurs productifs. Une stratégie à long terme permettrait non seulement de consolider ces acquis, mais également de garantir une croissance économique durable face aux défis nationaux et internationaux.

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La BAD soutient la modernisation de 188,9 km de routes en Tunisie

La Banque africaine de développement (BAD) a octroyé à la Tunisie un prêt de 80,16 millions d’euros pour financer la troisième phase du Programme de modernisation des infrastructures routières. Ce projet, approuvé par le conseil d’administration de la BAD le 9 décembre dernier, s’élève à un coût total de 86,21 millions d’euros. Il est financé à hauteur de 92,98% par la banque, tandis que la contribution du gouvernement tunisien s’élève à 6,05 millions d’euros.

Le programme vise principalement à renforcer 188,9 kilomètres de routes classées dans sept gouvernorats: Le Kef, Kasserine, Sousse, Sfax, Kairouan, Siliana et Gafsa. Ces régions, bien que riches en potentialités, souffrent de la détérioration de leurs infrastructures routières, ce qui entrave la fluidité des transports et limite leur développement économique.

L’intervention de la BAD permettra d’améliorer significativement la qualité des routes concernées et les conditions de déplacement pour les usagers. En outre, ce projet contribuera à instaurer un système de transport durable et performant, favorisant ainsi la croissance économique, la mobilité des personnes et la circulation des marchandises dans les zones ciblées.

 

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Préparation du plan de communication pour le statut d’auto-entrepreneur

Riyad Choued, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a présidé le lundi 6 janvier 2025, au siège du ministère, les travaux de la réunion périodique du Comité de direction du projet en présence des membres du ministère, de la présidence du gouvernement, de l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant (Aneti), de la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss), du Centre national du registre des entreprises (Cnre) et de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam).

La réunion a été axée sur la présentation et la discussion du plan de communication pour le système d’auto-entrepreneur. Par ailleurs, le ministre a souligné que la mise en place du système d’auto-entrepreneur est un projet national d’excellence et est le produit d’une approche participative continue avec tous les ministères et structures impliqués dans les différentes étapes de la mise en œuvre du plan d’information et de communication pour mieux faire connaître ce nouveau statut..

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Les digital nomads redessinent la géographie du luxe dans le monde

D’aprés le numéro de 2024 du magazine Barnes, l’idée des digital nomads est démocratisée. Elle est devenue une activité de milliers de personnes dans le monde entier. Les EAU s’affichent en tête des destinations préférées de cette catégorie de travailleurs grâçe aux facilités fiscales qu’offre ce pays.

Le marché du luxe affiche une résilience remarquable avec 1 500 milliards d’euros générés en 2023, malgré une croissance inégale selon les régions. L’Europe bénéficie du retour du tourisme, tandis que les Amériques accusent un recul et la Chine montre un ralentissement. À l’horizon 2030, les clients chinois devraient représenter 40% du marché, tandis que la digitalisation continue de transformer les ventes, atteignant 20% en ligne en 2025.

Dans ce contexte globalisé, les digital nomads redéfinissent les destinations privilégiées, avec Dubaï en tête, suivie de Miami, Lisbonne et Rome, grâce à des avantages fiscaux et une qualité de vie attrayante. Des villes comme Sydney et Auckland restent des refuges stables pour les expatriés, tandis que la Russie subit un exode de millionnaires en raison de la guerre en Ukraine.

Le classement Barnes 2024 met en lumière les villes les plus prisées des expatriés fortunés, alliant opportunités économiques et art de vivre. Ces destinations incarnent la réponse aux besoins d’une population mobile et mondialisée, illustrant une adaptation aux défis et aspirations de la nouvelle génération d’entrepreneurs.

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Mahdia: 700 hectares bénéficient des eaux traitées

Hichem Al-Jammali, directeur régional de l’ONAS, a annoncé que la station de traitement des eaux usées de Mahdia permettra d’irriguer un périmètre agricole couvrant 700 hectares. Une analyse de la salinité de l’eau traitée est en cours, tandis que les unités industrielles exploiteront directement l’eau issue du traitement initial.

Lors de la visite du chef de cabinet du ministre de l’Environnement ce lundi, Al-Jammali a révélé que la salinité de l’eau a été réduite à 2,5 g/l, rendant son utilisation pour l’irrigation possible. Il a également souligné que la Commission régionale de l’agriculture a investi environ 400 000 dinars pour mener une étude sur la zone irriguée. La station, qui produit déjà 20% de ses besoins en électricité, vise à porter ce chiffre à 60% avant d’atteindre une autonomie énergétique complète.

Opérationnelle depuis novembre 2024, la station génère jusqu’à 400 kilowatts d’électricité grâce à des générateurs alimentés par le biogaz produit sur place. Cet équipement de pointe, qui applique des procédés de double et triple traitement, traite 16 000 mètres cubes d’eaux usées par jour, avec une capacité augmentée à 20 000 mètres cubes durant la saison estivale.

 

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“La Nuit des Chefs”: une aurore poétique de l’Orchestre symphonique tunisien

Sous l’égide du ministère des Affaires culturelles, la grande salle du TOT, à la Cité de la Culture, a récemment accueilli un spectacle exceptionnel en présence de la ministre Amina Srarfi, ainsi que de nombreux représentants des missions diplomatiques. L’Orchestre symphonique tunisien (OST), fidèle à la tradition des grands orchestres mondiaux, a enchanté le public avec une série de performances qui ont fusionné instrumentales et lyriques.

Sous la direction de chefs d’orchestre tunisiens de renom comme Shady Garfi, Mohamed Makni, Fadi Ben Othman et Mohamed Rouetbi, ainsi que l’orchestre invité Lotfi Saidi d’Algérie, le concert a célébré la richesse musicale tunisienne à travers des œuvres comme «Nuits de Séville» de Kaddour Srarfi et «Tolérance» de Slim Larbi, magnifiquement interprétées par l’OST et le Chœur de l’Opéra de Tunis.

La magie de la musique soufie s’est aussi invitée sur scène, avec des compositions de Fadi Ben Othman, qui a également arrangé des pièces d’Anouar Brahem. Le public a eu droit à des moments poignants, comme la performance de Mohamed Ali Chebil, ou encore les chants émouvants de Mohamed Jebali et Walid Nammouchi.

Sous la baguette de Shady Garfi, l’OST a ébloui avec des compositions telles que «Funk Malouf» et «Nuits d’Andalousie», tandis que Mongia Sfaxi a rendu hommage à la regrettée Oulaya avec «Khalli ikoulou achihem». Le violoniste et chef d’orchestre algérien Lotfi Saidi a ajouté son empreinte avec des morceaux comme «Ya Bahiljamal» et «Ballade» de Sid Ahmed Belli.

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Dubaï, la ville la plus recherchée par les riches du monde

Le magazine “Barnes global property handbook” a publié le Barnes City Index 2024, un rapport ciblé pour les personnes ayant une fortune de plus de 30 MUSD ou High-net-worth individuals. Leur nombre est de 34.3 millions de personnes, qui a baissé fin 2022 pour la première fois depuis 2015 de 5.4%. Ce rapport a cité les cinq destinations les plus appropriées pour les “wealthy people”, avec Dubaï en tête de liste.

Dubaï: la ville des rêves

Dubaï séduit par sa fiscalité avantageuse (pas d’impôt sur le revenu, TVA à 5%), son marché immobilier dynamique et des incitations comme le golden visa pour les achats supérieurs à 2 millions AED. Les quartiers prisés, tels que Palm Jumeirah et Dubai Hills, attirent une clientèle internationale avec des biens prestigieux. La demande, soutenue par des prix en hausse (20-30% en 2022) et des rendements locatifs attractifs (5-8% nets), dépasse une offre limitée.

Miami: la terre des opportunités

Miami séduit par son climat, sa fiscalité attractive et son marché immobilier dynamique, avec des quartiers prisés comme Miami Beach et Brickell. La demande internationale, notamment d’Amérique latine et d’Europe, stimule la hausse des prix. La pénurie de biens de prestige, illustrée par des méga-transactions, alimente cette dynamique.

 
 

New York: un climat stable pour les investisseurs

À New York, TriBeCa et SoHo dominent Manhattan, tandis que Brooklyn gagne en popularité avec Dumbo et Carroll Gardens. Les biens recherchés incluent penthouses et maisons de ville proches des écoles. Après un creux en 2021, les acheteurs étrangers, notamment européens, reviennent, et le marché devrait rester stable malgré une légère baisse des prix de l’ancien.

 

Madrid: une ville sécurisée

Madrid séduit une clientèle internationale haut de gamme, notamment latino-américaine, attirée par des quartiers prisés comme Salamanque et Chamberí. Le marché immobilier de luxe prospère, soutenu par la demande croissante d’expatriés et d’étudiants internationaux.

 

Paris: la Ville Lumière garde toujours son charme

Paris reste une destination phare pour une clientèle aisée et internationale, avec des quartiers historiques et des zones émergentes attirant familles et expatriés. Le marché immobilier subit un ajustement des prix dans l’ouest parisien, malgré l’attrait du Grand Paris et des JO 2024.

 

 

 

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Voici les causes de la pénurie de gaz en Tunisie

Le PDG de la SNDP-AGIL, Khaled Bettine, a déclaré ce lundi 6 janvier 2025 que la Tunisie ne traverse pas une crise liée à la disponibilité des bouteilles de gaz domestique. Il a précisé, sur les ondes de la Radio nationale, que les centres de remplissage de Bizerte, Radès et Gabès fonctionnent à pleine capacité, avec des horaires de travail prolongés pour répondre à la demande.

Selon lui, la pénurie récente est principalement due au retard dans le déchargement d’une cargaison de gaz liquéfié au port de Bizerte, un problème causé par les mauvaises conditions météorologiques de ces derniers jours.

À rappeler que le phénomène des pénuries en Tunisie a commencé l’été 2022 incluant le sucre blanc, l’huile végétale, le café, le riz, le beurre et l’eau minérale en bouteille à certaines périodes.

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Les nouveaux tarifs des consultations des médecins privés

Depuis le 1er janvier 2025, les honoraires médicaux en Tunisie ont été révisés à la hausse, suscitant des discussions parmi les professionnels de santé et l’opinion publique. Les consultations en médecine générale sont passées de 35-45 dinars à 40-55 dinars, tandis que celles en médecine spécialisée ont augmenté de 50-70 dinars à 55-80 dinars, enregistrant ainsi une hausse de 5 à 10 dinars.

La révision des tarifs médicaux s’explique par trois facteurs principaux: l’inflation persistante, avec un taux dépassant 7%, entraînant une hausse des coûts de la vie et nécessitant une compensation pour préserver le pouvoir d’achat des médecins après deux ans sans ajustement des honoraires; une fiscalité alourdie, avec un impôt sur le revenu passé de 35 à 40% et une TVA de 7%, représentant près de 47% des honoraires prélevés par l’État, mettant en péril la viabilité financière des cabinets médicaux; et, enfin, la nécessité de freiner l’exode des compétences, en offrant un revenu suffisant pour retenir les médecins face à l’attractivité de meilleures conditions de travail à l’étranger.

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Découvrez ces 3 nouvelles facilités fiscales en 2025

2025 est l’année des opportunités pour les Tunisiens. L’État a consacré des facilités fiscales pour encourager les citoyens à payer leurs dettes.

Amnistie fiscale: impôts et avantages à ne pas rater

La Direction générale de la comptabilité publique et du recouvrement a annoncé l’entrée en vigueur, depuis le 2 janvier 2025, des dispositions de l’article 74 de la loi de finances relatives à l’amnistie fiscale. Cette mesure prévoit l’abandon des pénalités de contrôle, de retard de recouvrement et des frais de poursuite pour les créances fiscales dues à l’État, sous réserve d’un paiement intégral ou d’un calendrier de paiement trimestriel sur cinq ans, avec une première échéance réglée avant le 30 juin 2025. Elle inclut également une réduction de 50% des pénalités liées aux infractions fiscales administratives constatées avant le 20 juin 2025, sous les mêmes conditions de règlement. Les contribuables concernés sont invités à se rapprocher des autorités fiscales pour régulariser leur situation et profiter de ces avantages.

CNSS: annulation des pénalités de retard sur les cotisations jusqu’au 31 mars 2025

La présidence du gouvernement a annoncé le 28 décembre 2024 les modalités de l’amnistie sociale prévues par le décret n° 503 de 2024, permettant l’annulation totale ou partielle des pénalités de retard sur les cotisations des régimes de sécurité sociale et d’indemnisation des dommages liés aux accidents du travail et maladies professionnelles. Cette mesure, applicable automatiquement sous certaines conditions, est en vigueur jusqu’au 31 mars 2025. Elle concerne également les débiteurs auprès du Caisse nationale de sécurité sociale.

Taxe foncière sur les propriétés bâties: 2 ans de bonus

La loi de finances de 2025 propose une amnistie qui comprend des taxes imposées sur les propriétés bâties et les terrains non bâtis pour les années 2021 et avant, à condition que toutes les cotisations pour l’année 2024 soient payées à temps. Les cotisations pour les années 2022 et 2023 pourront également être programmées au plus tard le 31 décembre 2024. À noter que les commerces ne sont pas concernés par l’amnistie, qui concerne uniquement les usages résidentiels.

 

 

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L’or, un actif en pleine ascension en 2025

Après une année 2024 marquée par l’instabilité mondiale, 2025 suscite l’espoir d’un apaisement. Pourtant, les investisseurs semblent anticiper une continuité des bouleversements, comme en témoigne leur engouement pour l’or, considéré comme une valeur refuge. En 2024, l’or a vu son prix bondir de 1829 à 2622 $ l’once, enregistrant une hausse impressionnante de plus de 27%. À titre de comparaison, l’indice S&P500, malgré une bonne performance, n’a affiché qu’un rendement total d’environ 25%. Cette dynamique montre que les investisseurs ayant misé sur l’or ont largement surpassé les marchés boursiers.

Pour 2025, le consensus des grandes institutions financières, telles que JP Morgan, Citibank et Goldman Sachs, prévoit une hausse continue de l’or, avec des objectifs de prix atteignant 3000 $. Les principaux moteurs de cette progression incluent la baisse attendue des taux d’intérêt, l’élan spéculatif, les achats massifs par les banques centrales et les tensions géopolitiques persistantes. Parmi ces facteurs, les bouleversements internationaux et les achats des banques centrales ont joué un rôle prépondérant dans la hausse des prix en 2024. Ces banques cherchent à diversifier leurs réserves en s’éloignant du dollar américain, et l’or est devenu un choix privilégié dans ce contexte.

Alors que les marchés financiers mondiaux restent imprévisibles, l’or semble être un pari sûr pour les investisseurs cherchant à sécuriser leurs actifs. La demande soutenue, alimentée par des facteurs structurels et géopolitiques, laisse entrevoir une année prometteuse pour ce métal précieux. Si les projections se confirmaient, l’or pourrait consolider sa place en tant qu’actif clé dans un environnement économique mondial toujours marqué par l’incertitude.

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60% des fonds destinés à l’Afrique domiciliés hors du continent: un phénomène à combattre

Malgré ses vastes ressources naturelles et son potentiel économique, l’Afrique fait face à une problématique majeure: près de 60% des fonds d’investissement qui lui sont destinés échappent à ses frontières. Ce phénomène reflète une confiance insuffisante des investisseurs dans les infrastructures et les systèmes économiques locaux. Préférant des environnements perçus comme plus stables et prévisibles, les capitaux se dirigent vers des marchés étrangers, privant ainsi le continent des ressources nécessaires à son développement. Cette fuite de capitaux entrave la réalisation de projets d’infrastructure, limite l’amélioration des services publics et freine la création d’emplois, creusant les inégalités et réduisant les opportunités pour une population jeune et dynamique.

Pour contrer cette situation, des initiatives voient le jour à travers des efforts conjoints des gouvernements africains et des organisations internationales. Des politiques incitatives visent à renforcer l’attractivité des économies locales, notamment par la simplification des procédures administratives, l’amélioration de la transparence et la mise en œuvre de partenariats public-privé. Ces réformes ambitionnent de non seulement attirer davantage d’investissements, mais aussi de créer un environnement sécurisé et propice à des engagements à long terme. Ces efforts se concentrent également sur le soutien à l’entrepreneuriat africain, afin de valoriser les atouts du continent et de promouvoir une croissance endogène.

Le défi de stopper la fuite des fonds est une priorité collective pour permettre à l’Afrique de s’imposer comme un pôle d’attraction des capitaux mondiaux. Il est impératif que les acteurs concernés, des gouvernements aux investisseurs en passant par les ONG, collaborent pour renforcer la confiance dans les marchés locaux. En tirant parti de son potentiel unique et en consolidant ses bases économiques, l’Afrique a les moyens de transformer cette perte en une opportunité durable pour son développement et son avenir.

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Secteur de l’assurance: les réformes ont commencé en janvier 2025

Selon la Revue annuelle de Tunisie Valeurs, en 2023, le secteur de l’assurance a connu un ralentissement de sa reprise, avec une progression modérée de 8,2% des primes émises, atteignant 3446 Mtnd. Cette évolution reflète un environnement difficile, marqué par une faible croissance économique, une pression tarifaire accrue et une sinistralité en constante aggravation. L’inflation persistante a continué de peser sur les coûts d’indemnisation, impactant la rentabilité globale du secteur. Malgré ce contexte, les assureurs cotés ont réussi à améliorer légèrement leur capacité bénéficiaire agrégée (+3,7% en 2023), témoignant d’une résilience notable.

Sur le plan réglementaire, les projets de réforme, notamment l’adoption des normes de solvabilité basées sur les risques et l’application des normes IFRS, ont commencé le 1er janvier 2025. Par ailleurs, le secteur fait face à des défis croissants liés à l’assurabilité, accentués par l’évolution des risques et des besoins des clients. Investir dans des solutions innovantes reposant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle et l’analyse des données pourrait renforcer la capacité des assureurs à anticiper ces mutations. Une évaluation détaillée des risques des compagnies d’assurance cotées met en lumière des opportunités d’investissement intéressantes dans ce contexte complexe.

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Dynamique de croissance dans le secteur bancaire: performances de Wifak, BT et Attijari Bank

Selon la dernière édition de la Revue de recherche de Tunisie Valeurs, Wifak International Bank a enregistré une progression remarquable dans le secteur bancaire coté, avec une augmentation de 24% de ses engagements, atteignant 995,9 Mtnd à fin avril 2024, dépassant pour la première fois la BTE. Mohamed Hédi Ben Ayed, principal actionnaire détenant avec d’autres entités 40% du capital, devance désormais la SID (filiale de la Banque islamique de développement) qui en possède 30%. Bien que le CMF ait annoncé en 2023 une OPA obligatoire au prix de 7,200 Tnd par action, cette procédure reste suspendue à l’obtention de l’agrément de la BCT pour ce nouvel actionnaire de référence.

Parallèlement, la BT a poursuivi sa dynamique commerciale amorcée en 2022, avec une hausse de 10% de son encours de crédits à 5,8 milliards de dinars. Cette croissance a toutefois fait progresser son ratio de transformation réglementaire à 109,4%, un des plus faibles en Tunisie. La banque engage également une réflexion stratégique, assistée par son principal actionnaire et un cabinet externe, pour atteindre des objectifs de développement ambitieux.

De son côté, Attijari Bank a affiché une progression plus modérée, avec une hausse de 5,5% de ses crédits, dépassant 7 milliards de dinars. Grâce à une mobilisation efficace de ses ressources, le ratio de transformation globale s’est amélioré de 1,3 point, atteignant 69%. Bien que ce ratio reste parmi les plus faibles du secteur, il offre à la banque une capacité significative de croissance dès que l’économie montrera des signes de reprise.

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ARP: Abdejelil el Heni, nouveau président de la commission des finances et du budget

La commission des finances et du budget de l’ARP a tenu sa première réunion le vendredi 3 janvier 2025 pour élire son bureau, sous la supervision du président de l’Assemblée des représentants du peuple, Brahim Bouderbala, et en présence de plusieurs membres du bureau de l’Assemblée.
Les membres du bureau du comité ont été élus comme suit:
Président: Abdul Jalil Al-Hani et Mohamed Ziad Al-Maher
Vice-président : Issam Shushan et Mohammed Amin Al-Raghi
Rapporteur: Mohammed bin Hussein et Emad al-Din al-Sadiri
Après le vote et le dépouillement, les résultats ont été annoncés comme suit pour la composition du bureau des finances et du budget:
Président de la commission: Abdejelil el Heni
Vice-président de la commission: Issam Chouchen
Rapporteur: Mohammed Ben Hassine

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Secteur bancaire: résilience en 2023, défis accrus en 2024

Dans sa Revue de recherches pour 2024, Tunisie Valeurs consacre des notes de recherche aux secteurs bancaire et de l’assurance. Dans cet article, on va aborder les spécificités du marché bancaire en Tunisie.

En 2023, le secteur bancaire coté a démontré une remarquable résilience dans un environnement économique difficile, soutenue par une solide dynamique de collecte et une bonne maîtrise des coûts malgré un resserrement monétaire. La faible demande de crédit a freiné la production, mais a contribué à renforcer la liquidité et à améliorer le ratio crédits/dépôts. Cependant, la croissance du produit net bancaire (PNB) a ralenti, la productivité a souffert du contexte inflationniste, et la qualité des portefeuilles s’est dégradée avec une augmentation des créances classées. Malgré ces défis, la rentabilité nette a été maintenue grâce à un coût du risque stable et une baisse des provisions collectives, permettant au secteur de retrouver ses niveaux de bénéfices pré-pandémie.

L’année 2024 s’annonce complexe, avec une légère accélération de la collecte, mais une croissance des crédits qui reste anémique en raison d’un investissement en berne et d’un cadre réglementaire plus strict. La dégradation de la productivité se poursuit, bien que l’accalmie du coût du risque apporte un certain répit. Par ailleurs, la nouvelle loi 41-2024 sur les chèques sans provision pourrait alourdir la pression réglementaire dès 2025, tandis que les perspectives de croissance des bénéfices pour 2024 demeurent limitées.

Malgré ces défis, le secteur a connu une performance boursière positive en 2023, avec une hausse de l’indice des banques de +11,7%, portée par une valorisation attractive et des dividendes généreux. Toutefois, les risques liés à un resserrement du crédit et à une potentielle contraction des bénéfices pourraient inciter les investisseurs à adopter une approche plus prudente, favorisant une sélectivité accrue et envisageant des prises de bénéfices dans les mois à venir.

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Tunisie: une croissance économique fragile au cœur des défis multisectoriels

Tunisie Valeurs a publié le dernier numéro de sa Revue de recherches pour 2024, un ouvrage de 131 pages qui analyse la conjoncture économique, dresse le bilan de l’année et offre des perspectives pour le marché d’actions. La revue aborde des sujets d’actualité internationale, tels que la flambée de l’or, l’intelligence artificielle générative et les cryptomonnaies, tout en consacrant des notes de recherche aux secteurs bancaire et de l’assurance, avec des mises à jour sur des sociétés tunisiennes.

Elle propose également une stratégie d’investissement accompagnée d’un portefeuille recommandé. Filiale du groupe Biat, Tunisie Valeurs, créée en 1991, est un acteur clé de la gestion d’actifs, de l’intermédiation en Bourse, de l’ingénierie financière et des Valeurs du Trésor, avec un réseau de neuf agences et une équipe de 120 professionnels.

Croissance économique atone

Le PIB a enregistré une croissance modeste de 0,2% en 2023, atteignant son niveau le plus bas depuis 2011 (hors pandémie), avec une légère amélioration à 0,6% au premier semestre 2024, restant néanmoins inférieur aux niveaux de fin 2019. La reprise a été marquée par une forte croissance du secteur agricole (+2,6% au T1 et +8,3% au T2 2024) après une baisse historique en 2023, bien que fragilisée par le stress hydrique. Les services ont connu une croissance modérée (+1,4% au T2 2024), tandis que les secteurs industriels et de la construction ont subi des contractions notables (-3% et -3,5% au T2 2024). Les secteurs non manufacturiers, en particulier l’extraction de pétrole et de gaz naturel, ont continué de décliner fortement (-14,4% au T2 2024), et la production de phosphate est restée insuffisante, limitant les revenus en devises. Le secteur des transports, quant à lui, affiche une reprise timide (+1,2% au T2 2024).

Inflation et pouvoir d’achat

L’inflation globale a poursuivi une baisse progressive, atteignant 6,7% en septembre 2024 contre 7,8% en janvier 2024, malgré une hausse soutenue des prix des produits alimentaires libres (+10,2% sur un an). L’inflation sous-jacente s’est établie à 6,2% en septembre 2024, reflétant des pressions persistantes. Cette désinflation limitée s’explique par plusieurs facteurs, notamment l’augmentation des coûts salariaux, les pressions sur les capacités de production dans le secteur agricole, ainsi que des marges bénéficiaires et des coûts d’importation élevés.

Balance commerciale et commerce extérieur

Les exportations ont enregistré une croissance limitée de +2,1% au troisième trimestre 2024, principalement soutenue par les performances des secteurs agroalimentaire et énergétique. Cependant, cette progression a été entravée par le recul des exportations des secteurs textile et minier, qui peinent à retrouver leur dynamisme. Du côté des importations, une quasi-stagnation a été observée (+0,8%), marquée par une augmentation des achats de biens de consommation et de produits énergétiques. Ces évolutions ont permis une réduction du déficit commercial, qui s’est établi à -13,5 milliards de dinars, traduisant une légère amélioration de la balance commerciale globale. Toutefois, cette embellie a été ternie par une aggravation du déficit énergétique, exacerbée par une hausse des importations de produits énergétiques et une production nationale insuffisante, notamment dans le secteur des hydrocarbures.

Finances publiques et dette

Les recettes fiscales ont enregistré une augmentation notable de 13% à fin juin 2024, traduisant une meilleure mobilisation des ressources publiques. En parallèle, les dépenses ont progressé à un rythme plus modéré de +5%, bien que l’exécution du budget accuse un retard significatif. La masse salariale demeure la principale composante des dépenses publiques, absorbant près de 50% des ressources collectées. Sur le plan de l’endettement, la dette publique totale a atteint 139,9 milliards de dinars, en hausse de 13,5 milliards sur un an, reflétant une dépendance accrue au financement par emprunt. Cependant, le pays fait face à des difficultés croissantes pour accéder aux financements extérieurs, exacerbant les pressions sur les équilibres budgétaires.

La Tunisie fait face à une conjoncture économique fragile, marquée par une croissance stagnante, une inflation élevée, des déséquilibres extérieurs persistants et des finances publiques sous pression. Les perspectives à moyen terme restent incertaines, en raison des contraintes structurelles et des évolutions globales.

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Hausse des prix du pétrole: une dynamique en ce début d’année

Le pétrole, indicateur clé de l’économie mondiale, démarre l’année 2025 sur une note ascendante. Les fluctuations des prix du brut influencent une multitude de secteurs, notamment l’automobile, l’énergie, l’agriculture et les transports, faisant de chaque variation un sujet d’analyse pour les marchés financiers et les décideurs économiques.

Entre le 1er et le 2 janvier 2025, une augmentation notable a été observée. Le prix du baril de pétrole brut WTI (West Texas Intermediate) est passé de 71,72 à 73,13 $, marquant une hausse de 1,41 $. De son côté, le Brent, référence pour les marchés mondiaux, a également enregistré une progression, grimpant de 74,64 à 75,93 $, soit une augmentation de 1,29 $. Ces augmentations traduisent une demande soutenue et, potentiellement, des attentes liées aux tensions géopolitiques ou aux réductions de production par certains pays producteurs.

Concernant l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole), la dernière mise à jour du prix de son panier, effectuée au 31 décembre 2024, indique un baril à 74,59 $. Bien que les données actualisées manquent pour cette organisation, il est probable que les tendances observées sur le WTI et le Brent se répercutent également sur le panier de l’OPEP, qui regroupe les principales références pétrolières des pays membres.

Ce début d’année souligne l’importance de surveiller les dynamiques du marché pétrolier, alors que des facteurs tels que les politiques énergétiques, les tensions internationales, et la reprise économique mondiale continueront d’influencer ces fluctuations. La hausse des prix du brut pourrait avoir des impacts variés, allant d’une augmentation des coûts de transport à une pression accrue sur les économies dépendantes des importations d’énergie.

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