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Transferts de fonds: voici le trio africain en 2024

Avec 685 milliards de dollars, un nouveau record des transferts de fonds mondiaux devrait être atteint en 2024, selon les dernières prévisions de la Banque mondiale sur les envois de capitaux vers l’Afrique.

En 2024, les transferts de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire, dont trois pays africains, devraient atteindre le montant record de 685 milliards de dollars, estime la Banque mondiale (BM) dans son dernier rapport.

Ainsi, ce montant dépasse pour la première fois les investissements directs étrangers (IDE) et l’aide publique au développement (APD) combinés.

Le rapport met en lumière l’importance impérieuse des envois d’argent des diasporas pour les économies de leurs pays d’origine.

« Portés par l’exode rural, les dérèglements climatiques, les écarts de niveaux de vie criants avec les pays riches et l’essor des communautés diasporiques, ces flux financiers devraient poursuivre leur progression à moyen terme, selon les prévisions », écrit afrique.le360.ma

Dans ce cadre, trois pays africains se distinguent en intégrant le top 20 mondial en matière d’envois de fonds, en l’occurrence l’Égypte, le Nigeria et le Maroc, qui constituent les principales destinations des transferts de fonds de leurs diasporas en 2024, selon les chiffres de la Banque mondiale.

Le trio africain

Avec 22,7 milliards de dollars reçus en provenance de sa diaspora, l’Égypte occupe la première position en Afrique et la 7e à l’échelle mondiale en termes de volume parmi les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.

Elle est suivie de loin du Nigeria qui a réussi à capter 19,8 milliards (2e en Afrique et 9e mondial).

En troisième position, on retrouve le Royaume du Maroc, à la 14e place parmi les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire avec 12 milliards de dollars en provenance de sa diaspora établie principalement en Europe.

Le trio mondial

À noter au passage que les champions incontestés en la matière demeurent l’Inde (129,1 milliards de dollars de transferts prévus en 2024), le Mexique (68,2 milliards) et la Chine (48 milliards). Les Philippines (40,2 milliards), le Pakistan (33,2 milliards) et le Bangladesh (26,6 milliards) complètent le tableau des pays où les transferts sont les plus conséquents.

« Cette prédominance de quelques nations reflète le poids démographique et économique de ces pays, mais aussi l’importance historique de leurs flux migratoires vers les pays riches ». En effet, explique la BM, « l’Égypte et le Maroc bénéficient de diasporas anciennes et nombreuses en Europe, dont les membres maintiennent des liens étroits avec leur pays d’origine. Pour le Nigeria, la communauté nigériane très présente aux États-Unis, au Royaume-Uni ou encore au Canada explique ces volumes substantiels ».

Très peu, mais vital!

Par zone géographique, 56 milliards de dollars devraient atterrir dans les pays d’Afrique subsaharienne en 2024, ce qui constitue une hausse modeste de 1 milliard par rapport à 2023.

La Banque mondiale indique que même si c’est une infime partie des 685 milliards de dollars de transferts estimés vers les pays à faible revenu et revenu intermédiaire en 2024 qui sera captée par les Africains, ces flux n’en demeurent pas moins « vitaux pour des millions de foyers ».

C’est le cas par exemple des pays les plus pauvres ou en proie aux conflits, à l’instar de la Somalie, de l’Érythrée ou du Soudan, où «… ces transferts permettent tout simplement d’assurer la survie des populations. Un rôle d’autant plus essentiel que l’aide publique ou les investissements peinent à se concrétiser dans ces zones à hauts risques », explique le rapport de la BM.

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Noël : 20 euros de cadeau… cauchemardesque

Comme c’est souvent le cas, le Noël 2024 ne s’est pas passé comme prévu pour cette famille. À cause d’un (maigre) cadeau de “20 euros pour une bougie“ que le mari d’une femme a offert à son pote.

Se sentant coupable, la bonne femme, de 28 ans, a posté cette question sur le réseau social Reddit pour demander conseil : « Suis-je une connasse ? », et ce, après avoir annulé à la dernière minute le repas de Noël de sa belle-famille qu’elle organise tous les ans“, rapporte lindependant.fr.

En effet, « le jour de Noël, cette femme, qui n’a pas dévoilé son prénom, a ainsi remarqué que l’homme avec lequel elle est mariée depuis 3 ans avait dépensé 150 euros pour offrir un beau cadeau à son ami, partenaire de jeux vidéo. Une somme qu’elle a jugée exorbitante au regard de celle dépensée par son mari pour son cadeau : une bougie à 20 euros ».

En réponse à son message/question, elle reçut de nombreuses réponses d’internautes «… lui expliquant qu’elle avait agi par égoïsme ».

Et Mme X de regretter son geste, mais le mal est déjà fait. « J’écris depuis notre chambre où je me cache avec une bouteille de vin, tandis que mon mari joue à des jeux vidéo dans le salon, racontant probablement à ses amis en ligne comment j’ai ruiné Noël ».

Toujours selon lindependant.fr, la déception est à la hauteur de l’abnégation et du cœur que la jeune femme dit avoir mis pour préparer le Noël de cette année. « J’ai décoré la maison, planifié un menu incroyable et même fabriqué à la main certaines décorations de table ».

Bref, lorsqu’elle a demandé à son mari comment pouvait-il se permettre d’offrir un cadeau de 150 euros à son ami, mais de seulement 20 euros à elle, il n’aurait «… présenté aucune excuse, aucune explication, juste des remarques sur la façon dont je réagissais de manière excessive et que je ruinais l’esprit des fêtes », affirme-t-elle.

C’est alors qu’elle décide : « Je ne vais pas servir le dîner à un homme qui pense que son ami en ligne mérite plus d’efforts que sa femme ». Elle annula par conséquent le repas de Noël et s’attira au passage « les foudres de sa belle-famille ».

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Santé : la grippe qui fait trembler le monde !

« Il suffirait d’une mutation pour que le virus de la grippe A nous frappe de plein fouet ». C’est l’entame d’un article du site slate.fr publié jeudi 26 décembre 2024. Et il ne s’agit pas d’une hypothèse de travail, mais le reflet d’une inquiétude de la communauté scientifique sanitaire.

D’abord, la journaliste stagiaire– svp- chez nos confrères de slate.fr, Héloïse Robert, avant d’évoquer la grippe A, rappelle la pandémie de Covid-19 qui est apparue à Wuhan en Chine, il y a cinq ans, avec son lot de désagréments (confinement, morts, vaccins…). « Aujourd’hui, les scientifiques sont constamment à l’affût des maladies qui pourraient entraîner une nouvelle pandémie ».

Certes, cela peut provenir de plusieurs pathogènes (virus, bactérie ou parasite), écrit notre journaliste, mais « certains sont plus susceptibles que d’autres de provoquer des épidémies rapides, notamment les virus de la grippe ».

Pour étayer ses propos, Héloïse Robert cite un article de The Conversation, selon lequel « un virus grippal suscite de vives inquiétudes en ce moment. Il serait sur le point de devenir un vrai problème à l’approche de 2025 ». Comme ce qu’il s’est passé en 2019 avec la Covid-19.

Le sous-type H5N1 fait peur!

En effet, « le sous-type H5N1 du virus de la grippe A, aussi connue sous le nom de “grippe aviaire“, est un virus largement répandu chez les oiseaux sauvages et domestiques, tels que les volailles. Récemment, il a aussi infecté des vaches laitières dans plusieurs États américains et a été découvert chez des chevaux en Mongolie ».

Autrement dit, la multiplication des cas de grippe chez les animaux fait craindre une infection des humains, “tôt ou tard“. « Le problème se pose pour la grippe aviaire, qui a déjà infecté soixante-et-une personnes aux États-Unis en 2024, principalement à la suite d’un contact entre les agriculteurs et leur bétail ou par la consommation de lait. En comparaison, au cours des deux années précédentes, seuls deux cas humains avaient été recensés ».

Toujours selon le journal, cette augmentation constitue une source de préoccupation, en ce sens que « le taux de mortalité de la grippe aviaire H5N1 est de 30% pour les infections humaines ». Et ce, même si « elle ne semble pour le moment pas se transmettre d’une personne à l’autre. Ce qui réduit considérablement la probabilité qu’elle provoque une pandémie. Mais pour combien de temps encore? », s’interroge Slate.

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Afrique: dans quels pays les prix de l’essence sont les plus bas?

La Libye est le leader africain – et 2ème au monde – en termes de prix d’essence les plus bas, à 0,031 dollar le litre, la Tunisie pointe à la 8ème position.

Selon nos confrères d’Africa News, par ce prix, la Libye confirme son statut de pays où l’énergie est particulièrement abordable, alors que la Tunisie pointe à la 8ème place. Sachant qu’aucun autre pays producteur de pétrole en Afrique n’a proposé un prix égal ou supérieur au tarif moyen mondial, qui s’élève à 1,24 dollar le litre. « Cette différence notable dans les prix de l’essence est le reflet des dynamiques économiques et politiques propres à chaque État ».

Les écarts de prix s’expliquent principalement par la structure fiscale appliquée dans chaque pays. « En effet, les taxes sur les produits pétroliers varient considérablement d’une nation à l’autre. En général, les pays les plus riches affichent des prix plus élevés, tandis que les nations plus pauvres ou les grands exportateurs de pétrole, comme la Libye, ont tendance à pratiquer des tarifs plus bas », souligne Africa News.

Les 10 pays africains ayant les prix d’essence les plus bas en décembre 2024 :

1 Libye (0,031 dollar le litre)

2e – Angola (0,33 dollar)

3e Égypte (0,34 dollar)

4e Algérie (0,343 dollar)

5e Soudan (0,70 dollar)

6e Éthiopie (0,72 dollar)

7e Nigeria (0,77 dollar)

8e Tunisie (0,80 dollar)

9e Gabon (0,92 dollar)

10e Ghana (1,04 dollar).

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La Tunisie n’est pas dans le top 10 des pays africains les plus endettés auprès du FMI

En dépit de leurs efforts, dix pays africains, sans la Tunisie, continuent d’être les plus endettés auprès du Fonds monétaire international (FMI). Et ce, avec des niveaux d’endettement très élevés au quatrième trimestre 2024.

Ainsi, le site Africa News souligne que ces dettes montrent « une dépendance importante au financement extérieur pour stabiliser les économies en période de crise ».

Certes, le financement du FMI offre un allègement budgétaire, mais il est souvent assorti de conditions strictes qui influencent les politiques nationales.

Il faut noter que les programmes d’ajustement structurel mis en place dans le cadre des accords avec l’institution de Bretton Woods « limitent les dépenses dans des secteurs critiques comme la santé, l’éducation et les infrastructures. Ce qui suscite des inquiétudes quant à la viabilité de la dette et à la résilience économique ».

Dans ce méli mollo “aide-prêt“, une liste de 10 pays africains considérés comme les plus endettés auprès du FMI a été établie le 2 décembre 2024.

A préciser cependant qu’à l’exception de l’Egypte, la valeur des dettes au profit du FMI des autres pays du continent n’est pas très élevée.

1. Égypte

L’Égypte arrive en tête de liste avec un encours de crédit auprès du FMI de 9,45 milliards de dollars. La dépendance du pays au financement du FMI met en évidence les défis auxquels il est confronté pour assurer sa stabilité budgétaire et économique.

2. Kenya

La dette du Kenya s’élève à 3,02 milliards de dollars. Le pays continue de lutter contre les réformes économiques visant à stimuler la croissance tout en gérant ses obligations en matière de dette.

3. Angola

L’Angola occupe la troisième position, avec une dette de 2,99 milliards de dollars. Le pays compte sur le soutien du FMI pour faire face aux effets des fluctuations des prix du pétrole et diversifier son économie.

4. Ghana

Avec une dette de 2,25 milliards de dollars, le Ghana se concentre sur le respect de ses obligations financières. Tout en mettant en œuvre des politiques visant à stabiliser sa monnaie et à améliorer la résilience économique.

5. Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire a une dette envers le FMI de 2,19 milliards de dollars. La stratégie financière du pays comprend la mobilisation de fonds internationaux pour soutenir ses projets d’infrastructure et de développement.

6. République démocratique du Congo (RDC)

La dette de la RDC s’élève à 1,6 milliard de dollars. Ces fonds sont essentiels pour relever les défis économiques de l’un des pays les plus grands et les plus riches en ressources d’Afrique.

7. Éthiopie

L’Éthiopie doit 1,31 milliard de dollars au FMI. Le pays mène des réformes économiques et des efforts de relance. Tout en s’attaquant aux conflits internes qui ont eu un impact sur sa trajectoire économique.

8. Afrique du Sud

La dette de l’Afrique du Sud envers le FMI s’élève à 1,14 milliard de dollars. Cela fait partie des efforts plus vastes visant à se remettre des perturbations économiques et à parvenir à une croissance durable.

9. Cameroun

La dette en cours du Cameroun, d’un montant de 1,13 milliard de dollars, reflète son engagement continu auprès du FMI pour renforcer sa position budgétaire et soutenir les secteurs clés.

10. Sénégal

Enfin, le Sénégal complète la liste avec 1,11 milliard de dollars dus au FMI. L’objectif du pays est de tirer parti de ces fonds pour des initiatives de développement et la stabilité économique.

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En 2023, le compte financier de la Tunisie a dégagé un besoin de financement de 1,3 milliard de dinars (BCT)

Le compte financier* de la Tunisie a dégagé un besoin de financement de 1,3 milliard de dinars en 2023, contre un besoin de 9,1 milliards de dinars en 2022. C’est ce qui ressort du rapport publié mercredi 25 décembre par la Banque centrale de Tunisie (BCT) sur la « Balance des paiements et position extérieure globale de la Tunisie ».

En effet, la balance courante s’est soldée, en 2023, par un déficit en net repli pour revenir à 2,3 % du PIB (contre -8,8 % une année auparavant).

Ceci est expliqué essentiellement par le fort déclin du solde débiteur « des investissements de portefeuille et autres investissements » (-2 368 MDT contre -6 758 MDT une année auparavant).

Les avoirs nets en devises se sont aussi consolidés (26,408 MDT, soit l’équivalent de 120 jours d’importation, au terme de l’année 2023, contre 22,949 MDT et 100 jours d’importation, respectivement, à la fin de l’année 2022).

Le rapport a fait ressortir une évolution du secteur extérieur, au cours de l’année 2023, dans un environnement économique international difficile, marqué par l’accentuation des tensions géopolitiques, les risques dus au changement climatique et la persistance des répercussions des crises successives.

Parallèlement, la croissance économique a été accablée dans la plupart des pays par la persistance des pressions inflationnistes et ce, en dépit de la détente de la majorité des cours internationaux des produits de base.

Pour sa part, la conjoncture économique nationale s’est fortement ressentie de l’atonie de l’activité mondiale, notamment, celle des principaux pays de la zone euro, impactant notablement la demande de produits manufacturiers qui représentent le potentiel d’exportation le plus important.

Aussi, la poursuite de l’amenuisement des ressources énergétiques a rehaussé le déficit commercial de ce secteur à un niveau toujours excessif, malgré une légère contraction par rapport à 2022.

Cependant, la balance alimentaire s’est notablement redressée, dégageant un déficit infime par rapport à ceux enregistrés auparavant, tirant profit, principalement, de l’expansion de la valeur des expéditions d’huile d’olive tirée par la flambée des prix.

Parallèlement au fort allègement du déficit commercial, la reprise confirmée des flux en devises générés par l’activité touristique et le maintien des transferts des Tunisiens résidents à l’étranger à un niveau appréciable ont permis d’abaisser le déficit courant rapporté au PIB, à un niveau soutenable jamais réalisé depuis 2007.

Avec TAP

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* Le compte financier représente la somme des flux financiers entre un pays et le reste du monde : investissements directs, investissements de portefeuille (actions, obligations, etc.), ainsi que d’autres types d’investissements (produits financiers dérivés, avoirs de réserve, etc.).

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Tunis-Carthage dans le classement mondial des aéroports

AirHelp a publié son classement 2024 des « meilleurs » et « pires » aéroports du monde. Pour élaborer son rapport, le site n’a retenu que 239 aéroports de 69 pays sur 4 000, sur la base de 3 critères extrêmement exigeants, à savoir la ponctualité des vols, les avis des clients, plus l’expérience en matière de restauration et shopping.

Autant dire que le site spécialisé a « filtré sans ménagement pour ne garder que les plus fréquentés et qui ont la cote auprès des passagers ». Et là, contrairement à ce qu’on pense, le continent africain est parvenu à y placer 6 de ses aéroports dans quatre pays, dont celui de Tunis-Carthage, même si certains d’entre eux sont trop loin dans le classement, mais c’est mieux que de ne pays y figurer.

Tunis-Carthage
Tunis-Carthage

L’Aéroport international de Cape Town (l’une des capitales du pays de Nelson Mandela) occupe la première place ; il est crédité d’une note exceptionnelle de 8,50, se hissant par ricochet au 2e rang mondial. En termes de ponctualité, il affiche une note de 8,6, et comme l’on peut deviner avec des avis clients nettement élogieux, 8,4. Les équipements de l’aéroport, par ailleurs up to date, permettent de fournir des services sans faille, ce qui en fait une référence en Afrique et dans le monde, souligne le rapport d’AirHelp.

En 2ème position on retrouve également un autre aéroport sud-africain, en l’occurrence l’Aéroport international de Johannesburg, qui se classe au 6ème rang mondial.

L’aéroport de Johannesburg conforte le leadership sud-africain avec sa 6e position mondiale, grâce à un score très haut de 8,29. Son fonctionnement très fluide et le niveau de satisfaction de la clientèle, 8,3, l’ont propulsé vers le sommet.

Toujours au niveau africain, le Maroc parvient à placer deux aéroports, à savoir de Marrakech Menara (3ème en Afrique et 168ème mondial) et celui de Mohammed V de Casablanca (5ème en Afrique, 214ème mondial).

La 4ème position est occupée par l’Aéroport international du Caire, Égypte (201ème mondial). Il est suivi au 6ème rang (africain) par l’Aéroport international de Tunis-Carthage, Tunisie (239ème mondial), avec un score de 5,35 ; mais peut mieux en termes de ponctualité (4,8) et avis clients (6,2).

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Coopération: la 29ème mission médicale chinoise est déjà en Tunisie

La 29e mission médicale chinoise est arrivée, mardi 24 décembre 2024, en Tunisie, dans le cadre du programme de coopération bilatérale dans le domaine de la santé entre la Tunisie et la Chine. C’est ce qu’informe un communiqué publié sur la page officielle de l’ambassade de Chine en Tunisie.

Cette mission médicale fournira des services médicaux à titre gratuit dans le cadre d’un projet de coopération de longue durée entre la Tunisie et la Chine, qui a débuté en 1973, à l’instar de la mission précédente qui a dit adieu à la Tunisie le 23 courant.

On rappelle que la précédente mission médicale chinoise avait fourni des services de consultation et des services de soins à plus de 45 000 patients, réalisé 1 700 interventions chirurgicales et contribué à la naissance de 440 nouveau-nés, notamment à l’hôpital Mongi Slim à La Marsa et dans un certain nombre de régions intérieures telles que Jendouba, Sidi Bouzid et Gafsa.

Dans la foulée du départ de cette mission, la 28ème, l’ambassade de Chine en Tunisie a annoncé l’arrivée de la nouvelle équipe médicale. C’était lors d’une cérémonie organisée à Tunisie laquelle a été honorée lundi par le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani.

Pour ce faire, Ferjani a remis aux membres de l’équipe des certificats d’honneur en reconnaissance de leur dévouement et de leurs contributions au soutien du système de santé en Tunisie.

A cette occasion, il ministre de la Santé a appelé à consolider le partenariat avec la Chine, notamment dans les domaines de la phytothérapie, de la fabrication des médicaments à base de plantes et du traitement des maladies cancéreuses, outre la poursuite du soutien des missions médicales chinoises dans les régions intérieures avec des médecins spécialisés.

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Noël : un arrêté communal !  

On aura tout vu et/ou entendu. Le site lyonpremiere.fr rapporte que la maire de la commune de Saint-Genis-Laval a pris un arrêté permettant au Père Noël de survoler librement la commune la nuit du 24 décembre.

« Le Père Noël est autorisé à survoler librement l’espace aérien sur l’ensemble du territoire de la commune de Saint-Genis-Laval, dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25 décembre 2024, afin de procéder à la distribution des cadeaux de Noël, une fois que les enfants s’endormiront. Le Père Noël est également autorisé à effectuer des loopings dans le ciel et à utiliser les bornes de recharge de la ville pour alimenter son traîneau », lit-on dans l’arrêté municipal, d’après la chaîne.

Cependant, il y a une contrepartie : « Les enfants devront prévoir une collation, quelques biscuits et un verre de lait suffiront pour les lutins et des carottes bio pour les rennes ou, à défaut, un joli dessin pour le Père Noël ».

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Bassem Ennaifer analyse la situation financière et économique de la Tunisie, à fin 2024

Sur le micro d’Expresso du mardi 24 décembre, Bassem Ennaifer, analyste financier, a décortiqué les indicateurs ayant marqué la situation financière de la Tunisie à fin 2024.

Toute d’abord, il explique que la baisse du refinancement bancaire (le refinancement de la Banque centrale de Tunisie n’a pas dépassé les 12 milliards de dinars) est synonyme d’une diminution de la liquidité. Cette baisse est due à la réduction du recours des banques au refinancement de la BCT, en raison de la diminution des Bons de trésor émis par l’État, notamment les Bons du trésor à court terme, affirme-t-il.

Selon l’analyste, « l’État a su compenser cette baisse à travers l’augmentation de ses emprunts, notamment via l’emprunt national qui a pu mobiliser plus de 5 milliards de dinars en 2024 ».

Ensuite, il a mis en exergue « la hausse de l’endettement de l’État sur le marché intérieur… ».

En troisième lieu, Bassem Ennaifer souligne la hausse des dépôts par rapport au financement des entreprises par le secteur bancaire, « l’expliquant par celle de l’inflation et du bon rendement du secteur bancaire ». Et d’ajouter: « même si le refinancement de la Banque centrale de Tunisie (12 milliards de dinars) est inférieur à celui de 2023, il dépasse celui des dernières années (entre 7 et 8 milliards de dinars). Tant que les taux d’intérêt demeurent élevés, le recours au refinancement continuera de diminuer ».

Stagnation de la situation économique

Selon Bassem Ennaifer, les indicateurs présentés par la BCT montrent une situation économique qui stagne ces dernières années. En effet, « … le secteur bancaire est focalisé sur le financement de l’État et la hausse de l’inflation a entraîné une réduction de la demande, engendrant (avec les problèmes de production dans plusieurs secteurs) une baisse de l’investissement et des difficultés de remboursement pour nombre d’entreprises ».

Pour autant, un grain d’optimisme de la part de l’analyste qui estime que « l’économie tunisienne est plutôt stable actuellement », même si elle ne parvient pas à réaliser une croissance significative. De ce fait, il souligne que « la croissance devrait se situer entre 1 et 1,2 %, avec une possible augmentation de 0,3 % à 0,4 % en cas de bonne saison agricole ».

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France : Thomas Lombard, ministre durant quelques minutes !

Durant quelques minutes, Thomas Lombard, directeur général du Stade français, s’est vu confier les clés de Bercy, en tant que ministre de l’Économie. Sauf que c’était par erreur qu’une chaîne de télévision lui a attribué ce portefeuille.

En effet, dans la soirée du lundi 23 décembre 2024, à la présentation du nouveau gouvernement français, « … par erreur, le directeur général du Stade français a été annoncé ministre de l’Économie par une chaîne de télévision », comme le rapporte un site sportif, en l’occurrence rugbyrama.fr, sans citer la chaîne en question.

Eric Lombard
Eric Lombard

Il y a bien un Lombard comme ministre de l’Économie et des Finances –chargé également de la Souveraineté industrielle et du Numérique–, mais il s’agit d’Éric. De ce fait, les supporters du Stade français doivent se rassurer, « Thomas Lombard ne va pas quitter son poste de directeur général du club parisien. En tout cas, pas pour l’instant », écrit rugbyrama.fr.

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L’Algérie construit le pont ferroviaire le plus haut du monde

Il serait l’un des plus hauts ponts ferroviaires au monde. La pose des rails sur le pont de l’Ouest Isser, à l’est de la wilaya de Tlemcen, a récemment été effectuée avec succès, comme le dévoile l’Agence nationale des études et du suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF).

« Cette infrastructure colossale se distingue par sa hauteur, qui en fait l’un des ponts ferroviaires les plus hauts au monde », rapporte algerie360.com. « Avec une portée totale de 1 890 mètres et une hauteur culminant à 130 mètres, ce pont d’acier est la plus grande réalisation technique du projet LGV reliant Oran (5 km), Sidi Bel Abbès (72 km) et Tlemcen (44 km) sur une distance de 132 kilomètres ».

Pour soutenir cette masse d’acier, des piles en béton armé d’une profondeur de 26 mètres et d’un diamètre de 30 mètres ont été implantées dans le sol. Leur conception a été étudiée pour résister aux contraintes sismiques et aux vents forts.

Le pont de l’Oued Yesser est décrit comme « un géant d’acier au cœur du projet LGV algérien, équipé d’un système de maintenance automatisé ainsi que de capteurs capables de mesurer la force des vents et les secousses sismiques. Ces données permettent d’ajuster en temps réel la vitesse des trains en fonction des conditions météorologiques et géologiques », explique l’entreprise.

Le projet LGV Oran-Tlemcen en chiffres :

Estimé à près de 2 milliards d’euros, ce projet constitue une véritable prouesse technique, comprenant :

– une centaine d’ouvrages d’art majeurs : dont deux ponts de 130 mètres de haut, un tunnel de 642 mètres de long, et le plus grand viaduc ferroviaire d’Afrique, s’étendant sur 1890 mètres ;

– une vitesse de croisière de 220 km/h : qui réduira considérablement les temps de trajet entre les différentes villes.

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