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6,5% de croissance pour l’économie indienne en 2025

L’économie indienne devrait croître d’environ 6,5% au cours de l’exercice 2024/25, plus proche de la limite inférieure de sa projection de 6,5 à 7%, alors que les incertitudes mondiales constituent une menace d’atténuation, a déclaré jeudi 26 décembre 2024 le gouvernement.

6,5% environ, ce sera la progression de la croissance indienne pour l’exercice 2025, malgré un environnement difficile. Les perspectives de croissance pour la période d’octobre à décembre semblent prometteuses, la demande rurale restant résiliente et celle urbaine reprenant au cours des deux premiers mois du trimestre, selon le rapport économique mensuel du ministère des Finances pour novembre.

La croissance a ralenti plus que prévu de juillet à septembre, entravée par une expansion plus faible de l’industrie manufacturière et de la consommation.

Les perspectives devraient être meilleures pour la période d’octobre à mars que pour les six premiers mois de l’exercice, a-t-il indiqué.

« La combinaison de la politique monétaire et des mesures macroprudentielles de la Banque centrale pourrait avoir contribué au ralentissement de la demande », indique le rapport.

La Banque centrale indienne a maintenu ses taux d’intérêt inchangés pendant 11 réunions politiques consécutives, malgré les appels à des baisses de taux pour soutenir la croissance dans un contexte d’inflation élevée.

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, a menacé de nombreux pays, dont l’Inde, d’augmenter les droits de douane sur les importations, augmentant les risques d’une guerre commerciale mondiale après son entrée en fonction le 20 janvier. La victoire électorale de Trump a également alimenté une hausse du dollar et des rendements américains.

Toutefois, les perspectives de croissance de l’Inde en 2025/26 et dans les années à venir sont prometteuses en termes de fondamentaux économiques nationaux, selon le rapport du ministère des Finances.

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Au Maroc, le salaire minimum dans le privé augmentera de 5% dès janvier

Le gouvernement marocain vient d’approuver une augmentation du salaire minimum dans le secteur privé de 5% à partir de janvier 2025.

Le porte-parole du gouvernement, Mustafa Paytas, a déclaré, lors d’une conférence de presse à l’issue de la réunion hebdomadaire du gouvernement, que l’augmentation du salaire minimum inclut les travailleurs des activités (secteurs) agricoles et non agricoles.

« À partir de janvier prochain, le salaire minimum dans le secteur non agricole passera de 2 638 dirhams (262 dollars) en 2021 à 3 045 dirhams (302 dollars) début 2025 », a-t-il précisé. « Dans le secteur agricole, les salaires augmenteront également de 5% en avril 2025, pour atteindre 2 855 dirhams (283 dollars) ».

Paytas a expliqué que les augmentations du salaire minimum dans le secteur privé sont un engagement du gouvernement et la réalisation de ce qui a été obtenu dans le dialogue social.

À la veille de la « Journée internationale des travailleurs », le 1er mai 2022, le gouvernement avait annoncé la signature d’un accord social et d’une charte nationale de dialogue social avec les syndicats, qui incluent l’amélioration des conditions de travail et l’augmentation des salaires.

L’accord comprend un ensemble d’engagements mutuels, notamment une augmentation du salaire minimum dans les secteurs de l’industrie, du commerce et des services de 10% sur deux ans.

En juillet dernier, le gouvernement marocain a annoncé une augmentation des salaires de 1 127 000 fonctionnaires, avec un budget de 4,5 milliards de dollars.

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Goldman Sachs : 2025 s’annonce pleine de défis

Goldman Sachs fait ses adieux à 2024 avec un message aux investisseurs pour l’année prochaine : gardez un œil attentif sur la politique de Trump et n’ignorez pas le paysage géopolitique « brûlant ». Dans ce contexte, il énumère ses prévisions pour l’économie mondiale et explique pourquoi les États-Unis seront à nouveau en tête à un moment où l’Europe, déjà faible, est confrontée à une montagne de défis. 

Pour Goldman Sachs, 2025 sera pleine de défis. Plus en détail, 2024 a été une nouvelle année de croissance atone dans la zone euro, a noté Goldman Sachs. L’activité a d’abord surpris positivement alors que la croissance des revenus réels s’est accélérée, que les conditions économiques se sont assouplies et que l’optimisme quant à une reprise est revenu.

Toutefois, la croissance a surtout été décevante depuis le milieu de l’année, en raison de l’attitude prudente des consommateurs, des prix élevés de l’énergie et de la concurrence croissante de la Chine. En conséquence, la croissance dans la zone euro a, encore une fois, sous-performé celle des États-Unis cette année.

En conséquence, la BCE a réduit ses taux directeurs de 100 points de base cette année, d’abord sur une base trimestrielle, puis de réunion en réunion, le Conseil des gouverneurs ayant gagné en confiance dans les perspectives d’inflation.

Goldman Sachs estime que les baisses de taux se poursuivront, successivement, de 25 points de base en 2025 et jusqu’à 1,75% en juillet prochain, avec la possibilité de réductions plus rapides et plus profondes si l’économie s’affaiblit plus que prévu.

À l’échelle internationale, Goldman s’attend à une forte croissance du PIB réel de 2,7% annualisé en 2025, reflétant la croissance du revenu disponible réel des ménages et l’assouplissement des conditions économiques dans un contexte de baisse continue des taux d’intérêt.

L’inflation globale devrait converger vers l’objectif des Banques centrales d’ici à fin 2025 grâce à une inflation sous-jacente modérée, à une nouvelle baisse de l’inflation immobilière et à une déflation régulière des salaires.

Croissance américaine plus forte : que fera la Fed ?

Aux États-Unis, Goldman s’attend à ce que le PIB réel croisse en 2025 au-dessus du consensus de 2,4%, reflétant une forte croissance des revenus réels et un assouplissement des conditions financières.

Il s’attend à ce que l’inflation globale ralentisse à 2,4% d’ici à décembre 2025, reflétant une nouvelle baisse de l’inflation immobilière et un relâchement des pressions salariales. Le taux de chômage diminuera progressivement jusqu’à 4,0% d’ici à fin 2025.

Il s’attend à ce que la Réserve fédérale américaine procède à sa prochaine baisse de taux de 25 points de base en mars prochain, suivie de deux autres réductions de même ampleur en juin et septembre, avec une fourchette finale de 3,5 à 3,75%.

En ce qui concerne la politique de bilan, on s’attend à ce que la Fed ralentisse encore le rythme de réduction de son bilan en janvier 2025 et mette fin à sa réduction au deuxième trimestre 2025.

Quid de la Chine ?

En Chine, la croissance du PIB réel ralentira à 4,5% sur un an en 2025, le récent renforcement significatif des mesures d’assouplissement budgétaire ne compensant que partiellement la faiblesse de la consommation intérieure, le ralentissement actuel du marché immobilier et la hausse des tarifs douaniers aux États-Unis…

La Maison Blanche et les développements géopolitiques au centre de l’attention

Goldman Sachs conseille donc aux investisseurs de prêter attention à la nouvelle politique américaine et aux évolutions géopolitiques. Le second mandat de Trump apportera probablement des changements politiques majeurs, note-t-il, notamment des droits de douane plus élevés sur la Chine et sur l’automobile, une baisse de l’immigration, de nouvelles réductions d’impôts et un assouplissement de la réglementation.

Aux États-Unis, il s’attend à ce que l’impact de la baisse des impôts sur la croissance soit compensé par celui de la hausse des droits de douane, mais il s’attend à un impact plus important sur la croissance des droits de douane en Europe et en Chine, en particulier dans le cas de droits de douane généraux.

Les développements géopolitiques restent également importants, car la situation au Moyen-Orient reste très incertaine, la guerre entre la Russie et l’Ukraine se prolonge et les relations entre les États-Unis et la Chine restent tendues.

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Tesla va rappeler 700 000 véhicules

Cette décision a été motivée par une faille dans le système d’avertissement de pression des pneus.

Le constructeur de véhicules électriques Tesla va rappeler 700 000 véhicules aux États-Unis en raison d’un dysfonctionnement du système de surveillance de la pression des pneus, augmentant le risque d’accidents, a rapporté le 26 décembre 2024 l’Associated Press, citant un organisme de surveillance de la sécurité.

Le rappel concerne plusieurs modèles, notamment les véhicules Cybertruck 2024, Model 3 2017-2025 et Model Y 2020-2025, selon un communiqué de la National Highway Traffic Safety Administration publié jeudi.

L’organisme de surveillance de la sécurité a averti que le système de surveillance de la pression des pneus des véhicules pourrait ne pas afficher systématiquement un voyant d’avertissement de basse pression entre les cycles de conduite, augmentant ainsi le risque d’accident.

Tesla a déclaré qu’il résoudrait le problème via une mise à jour logicielle gratuite, les lettres de notification aux propriétaires devant être envoyées d’ici le 15 février 2025, rapporte AP.

Ce rappel est le septième concernant le Cybertruck cette année. En novembre, Tesla avait rappelé environ 2 400 pick-up en raison d’une pièce défectueuse pouvant entraîner une perte de puissance. En juin, près de 12 000 camions avaient été rappelés en raison d’un dysfonctionnement des essuie-glaces qui réduisait la visibilité.

Tesla a fait face à de nombreux rappels au fil des ans. En février, le constructeur automobile a dû faire face à son plus grand rappel à ce jour, impliquant près de 2,2 millions de véhicules, presque tous vendus aux États-Unis à l’époque. Le problème est né de plaintes concernant des voyants d’avertissement d’affichage numérique apparaissant à la mauvaise taille.

Un autre rappel majeur en décembre 2023 concernait le système de pilotage automatique de Tesla. Les régulateurs fédéraux ont constaté que le système ne détectait pas correctement l’attention du conducteur, ce qui entraînait un risque potentiel pour la sécurité.

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Zone euro : la demande de logements d’Airbnb reste à un niveau élevé

La demande de logements Airbnb en zone euro a atteint le « rouge » à l’automne, la Pologne étant parmi les pays où la demande est la plus forte. 

Selon le dernier rapport paneuropéen d’AirDNA, basé sur les données des plateformes Airbnb et VRBO, la période de voyage « hors pointe », c’est-à-dire entre les périodes de forte et de faible demande, a joué un rôle clé dans la croissance à deux chiffres de la demande sur les 20 plus grands marchés de location à court terme (STR) d’Europe cet automne.

Plus précisément, les pays suivants ont enregistré une augmentation de la demande de plus de 20% sur un an pour les mois de septembre, octobre et novembre :

– Grèce (+20,1%)

– République tchèque (+22,9%)

– Allemagne (+23,1%)

– Hongrie (+23,9%)

– Norvège (+27,4%)

– Pologne (+29,9%).

Selon le rapport, même si une demande accrue peut générer des revenus plus élevés pour les hôtes, une offre accrue – c’est-à-dire l’ajout de nouvelles inscriptions – peut compenser les effets positifs.

Cet automne, les pays affichant les meilleures performances en termes de RevPAR (revenu par nuit disponible) sont ceux où la croissance de la demande a dépassé celle de l’offre. Sur ces marchés, la concurrence limitée a permis aux hôtes de bénéficier à la fois d’un taux d’occupation plus élevé et d’un pouvoir de négociation accru sur les tarifs, leur offrant ainsi des revenus plus élevés par nuit disponible.

Cet automne, les hôtes des pays à forte croissance du RevPAR ont connu une augmentation de plus de 15% d’une année sur l’autre, grâce à une croissance significative du taux d’occupation et à une croissance à deux chiffres de l’ADR (tarif journalier moyen) :

– Portugal (+15,2%)

– Hongrie (+17%)

– Finlande (+20,4%)

– Espagne (+21,1%)

– Danemark (+25,6%).

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La Chine renforce son emprise sur une mine de lithium au Mali

L’entreprise chinoise Ganfeng Lithium a démarré ses opérations dans la mine de lithium de Goulamina, au Mali, rapporte, jeudi 26 décembre 2024, le South China Morning Post. Ce minerai est essentiel pour les batteries des véhicules électriques et l’électronique.

L’exploitation de la mine de Goulamina, située dans la région de Bougouni, a démarré ce mois-ci et devrait produire 506 000 tonnes de lithium par an au cours de sa première phase, avec des plans visant à en doubler la capacité dans les phases suivantes.

La mine de Goulamina est l’un des plus grands gisements de lithium au monde et devrait produire 15,6 millions de tonnes de concentré de spodumène sur une durée de vie de 23 ans.

Le président de transition du Mali, Assimi Goita, présent à l’inauguration, a souligné l’importance du partenariat sino-malien, le qualifiant de « stratégique et sincère ». Il a fait état du rôle de la mine dans l’avancement de l’exploitation des ressources naturelles du Mali.

L’ambassadeur de Chine au Mali, Chen Zhihong, a qualifié le projet de « nouvel exemple de coopération gagnant-gagnant ».

Cette évolution intervient malgré les difficultés, notamment les problèmes de sécurité et la mise en œuvre d’un nouveau code minier par le gouvernement malien, lequel code, révisé récemment, accroît la participation de l’État dans les projets miniers, qui passe de 20  à 35% dans la mine de Goulamina. Ganfeng Lithium a accepté les conditions, s’alignant ainsi sur les efforts du gouvernement pour accroître les revenus miniers.

Le démarrage de la production à Goulamina devrait générer des revenus importants pour le Mali, estimés à 191 millions de dollars par an. Cela correspond à l’objectif du gouvernement de capitaliser sur la demande croissante de lithium, stimulée par la transition mondiale vers les énergies renouvelables et les véhicules électriques.

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L’UE draine le gaz de ses stocks à un rythme record depuis 2022

Selon certaines informations, la demande accrue due au temps plus froid et à la baisse des importations de GNL serait à l’origine de la dépendance accrue du bloc aux stockages.

L’UE a augmenté ses retraits de ses installations de stockage de gaz naturel liquéfié (GNL), rapporte le Financial Times (FT), citant des données de Gas Infrastructure Europe. Selon le rapport, le volume de gaz stocké a chuté d’environ 19 % entre fin septembre et mi-décembre. Soit le rythme le plus rapide depuis la crise énergétique de 2021.

Les deux années précédentes, les stocks de gaz n’ont diminué que de quelques pour cent sur la même période. Les niveaux de stockage de l’UE sont désormais de 75 %, contre près de 90 % à la même période l’année dernière. Les analystes attribuent ce taux d’épuisement accru au temps plus froid, qui a entraîné une hausse de la demande, ainsi qu’à une baisse des importations de gaz.

« L’Europe a dû s’appuyer beaucoup plus sur ses réserves souterraines cet hiver que ces deux dernières années pour compenser la baisse des importations de gaz naturel liquéfié et pour répondre à une demande plus forte », a déclaré Natasha Fielding de l’agence de tarification Argus Media citée par FT.

Attention à la hausse des prix

Les experts ont prévenu que l’exploitation des réserves pendant l’hiver pourrait rendre leur remplissage plus difficile l’année prochaine. D’autant plus que les prix du gaz pour livraison l’été prochain sont déjà plus élevés que pour l’hiver suivant. La plupart associent la tendance à la hausse des prix aux inquiétudes concernant les futures livraisons de gaz de deux des principaux fournisseurs de GNL de l’UE, les États-Unis et le Qatar.

Le président élu américain Donald Trump avait auparavant averti Bruxelles que Washington pourrait imposer des droits de douane sur les fournitures à l’Union à moins que l’UE n’achète des quantités « à grande échelle » de pétrole et de gaz américains.

Lundi, le Qatar a prévenu qu’il pourrait arrêter complètement les livraisons de GNL à l’Union européenne si les États membres appliquaient une nouvelle législation sur les émissions de carbone qui impose de lourdes amendes aux entreprises qui ne s’y conformeraient pas.

Sachant que l’UE est de plus en plus dépendante des importations de GNL, plus coûteuses, depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022. Lorsque Bruxelles a donné la priorité à l’élimination de sa dépendance à l’égard de l’énergie russe, moins chère…

Pourtant, le gaz russe continue d’affluer vers l’UE via le gazoduc Turk Stream qui traverse la Turquie et une ligne de transit via l’Ukraine. Cependant, les livraisons via cette dernière pourraient cesser après le nouvel An, car Kiev a prévenu qu’elle n’avait pas l’intention de prolonger un accord de transit avec Moscou, qui expire le 31 décembre.

De son côté, la Russie a déclaré qu’elle était prête à poursuivre les livraisons au-delà de 2024. Le PDG de Gazprom, Alexeï Miller, a même averti plus tôt que l’UE commettrait un « suicide énergétique » en évitant le gaz russe. Des inquiétudes similaires ont été exprimées par la Hongrie et la Slovaquie, les deux pays de l’UE les plus dépendants du gaz russe.

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L’Algérie achète 630 mille tonnes de blé 

L’Algérie a acheté environ 630 000 tonnes de blé meunier dans le cadre d’un appel d’offres international clôturé. C’est  ce qu’ont indiqué jeudi 26 décembre 2024 des négociants européens.

Les concessionnaires ont récemment annoncé que l’achat avait été finalisé, mais ils n’ont pas donné d’estimation de la quantité en tonnes. Certaines estimations de revendeurs ont indiqué que les quantités achetées dépassent les 630 000 tonnes de blé.

En outre, les négociants ont déclaré que les prix variaient entre 257 et 258 dollars la tonne, coût et fret compris. Ce qui correspond à la même fourchette de prix mentionnée dans les estimations de mardi.

Les revendeurs pensent qu’une certaine quantité de blé provenait de la région de la mer Noire, notamment de Roumanie, de Bulgarie et d’Ukraine. Et que techniquement ces origines sont facultatives.

De plus, les rapports des commerçants indiquent que les vendeurs étaient environ huit sociétés, dont une société française.

Par ailleurs, l’agence a souligné que l’Algérie, qui est l’un des marchés les plus importants pour les exportations de blé de l’Union européenne, achète la plupart de ses importations de blé de la France depuis de nombreuses années, mais que les exportateurs russes et d’autres pays de la région de la mer Noire ont élargi leurs exportations, le marché et la tendance pour ces fournisseurs ont augmenté, en raison de ce qui semble être une marginalisation des approvisionnements français dans les appels d’offres céréaliers algériens depuis début octobre dans un contexte de tensions diplomatiques entre Alger et Paris.

Au final, le Bureau, qui ne divulgue pas les détails des appels d’offres, a déclaré qu’il traitait tous les fournisseurs de manière égale.

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L’Italie étend sa capacité d’importation de gaz liquéfié avec de nouveaux terminaux

L’infrastructure GNL italienne prévoit la construction de nouveaux terminaux dotés d’importantes capacités d’importation. Lesquels aideront le pays à se passer des importations russes. La capacité totale d’importation devrait atteindre environ 28 milliards de mètres cubes par an d’ici 2025.

Elio Ruggeri, directeur du département gaz liquéfié du gestionnaire du système de transport national italien SNAM, a déclaré : « La construction de l’infrastructure italienne de gaz liquéfié a joué un rôle important dans la réduction de sa dépendance au gaz russe via les gazoducs ». C’est ce que rapporte, mercredi 25 décembre 2024, la plateforme spécialisée dans l’énergie (basée à Washington).

En outre, M. Ruggeri s’attend à ce que le dernier projet d’infrastructure de GNL – le terminal flottant de stockage et de regazéification de Ravenne – commence ses opérations au premier trimestre 2025.  L’installation flottante d’importation étant installée fin février.

« Avant 2022, nous importions chaque année environ 30 milliards de mètres cubes de gaz russe via des gazoducs », a-t-il ajouté.

Il a expliqué qu’en plus des capacités existantes de stockage de gaz et d’importation par gazoduc, le portefeuille croissant d’infrastructures de GNL de l’Italie « permettra au système italien de répondre en toute sécurité aux futurs chocs d’approvisionnement ».

Le navire désigné pour le projet, le BW Singapore, devrait arriver au port de Ravenne d’ici la fin de cette année.

Enfin, les pipelines qui permettent le raccordement à la jetée sont terminés et la jetée elle-même atteindra la phase d’exploitation mécanique dans les prochaines semaines, conclut Elio Ruggeri.

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Investissement en R&D : l’UE plus forte que les USA et la Chine

L’industrie européenne a augmenté ses investissements dans la recherche et le développement (R&D) de 9,8 % en 2023. Dépassant ainsi l’augmentation correspondante des investissements aux États-Unis (+5,9 %) et en Chine (+9,6 %) pour la première fois depuis 2013. C’est ce qu’il ressort du rapport « Nouvelle édition du tableau de bord des investissements industriels de l’UE dans la recherche et le développement », publié le 24 décembre 2024 par la Commission européenne.

En 2023, l’UE se classe au deuxième rang mondial en matière d’investissement privé en R&D (18,7 %), très loin derrière les États-Unis (42,3 %); mais devant la Chine (17,1 %), le Japon (8,3 %) et les pays du reste du monde (13,6 %), indique le rapport.

Malgré le ralentissement de la croissance mondiale de la R&D (+7,8 % contre +12,6 % en 2022), les 2 000 plus grandes entreprises ont investi un montant record de 1 257,7 milliards d’euros de R&D en 2023. Les 50 premières entreprises, dont 11 entreprises européennes, ont contribué à 40,1 % des investissements, selon les données de l’UE.

Au cours de la dernière décennie, quatre secteurs – les logiciels, les équipements TIC, la santé et l’automobile – ont représenté plus des trois quarts des investissements mondiaux en R&D. Le secteur des logiciels dans les technologies de l’information et de la communication a connu la croissance la plus rapide au monde, avec un taux de croissance annuel sur dix ans de 13,3 %. Il est suivi par la santé (7 %), les équipements TIC (6,9 %) et l’automobile (6,3 %).

Les investissements en R&D dans les TIC et la santé ont désormais ralenti, après avoir bondi suite à la pandémie de COVID-19.

Dans le secteur automobile, les entreprises basées dans l’UE représentaient 45,4 % des investissements mondiaux en R&D en 2023 et ont investi plus de deux fois plus que les États-Unis et le Japon, et plus de trois fois plus que leurs concurrents en Chine.

D’un autre côté, les investissements en R&D des éditeurs de logiciels TIC de l’UE sont restés marginaux à l’échelle mondiale. Alors que les entreprises basées aux États-Unis représentent 70 % à l’échelle mondiale. Et que la Chine a également créé d’importantes entreprises investissant dans la R&D.

Les entreprises américaines représentent également 43,3 % de la R&D en matière d’équipements TIC.

Le secteur de la santé compte le plus grand nombre d’entreprises parmi les 2 000 premières, avec un total de 437 entreprises, y compris de plus petites entreprises de biotechnologie. Parmi elles, 238 entreprises basées aux États-Unis sont à la tête de la R&D (52 % du total mondial). Tandis que le nombre d’entreprises chinoises de soins de santé est passé de 13 à 63 en 10 ans, se rapprochant ainsi de celui de l’UE (64 entreprises en 2023).

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Le salaire minimum augmentera de 30 % en Turquie en 2025

Alors que les attentes étaient d’aligner le salaire minimum au niveau de l’inflation qui est d’environ 49 %, la ministre turc du Travail et de la Sécurité sociale, Widad Işekhan, a surpris la rue le 24 décembre 2024 en augmentant le salaire minimum de 30 % à compter du 1er janvier 2025. Sa valeur nette a été fixée à 22 104 livres turques (630 dollars).

Les revendications de la Fédération des syndicats turcs portaient sur une augmentation pouvant atteindre 29 583 livres turques, ce qui constituerait une augmentation sans précédent…

Cela a soulevé des questions sur la capacité de l’économie turque à supporter une telle hausse au vu des conditions économiques actuelles. L’inspecteur des assurances sociales Isa Karakaş a répondu que le chiffre proposé par la Fédération turque des syndicats pourrait être en contradiction avec la réalité des coûts économiques subis par le secteur privé, y compris les petites entreprises, de sorte que l’augmentation consensuelle parmi les représentants du comité s’élève aujourd’hui à 22 104 livres turques.

Commentant cette augmentation, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a déclaré dans un message sur ses comptes de réseaux sociaux : « Le salaire minimum sera mis en œuvre pour l’année 2025 avec une augmentation de 30 %, ce qui portera le salaire net à 22 104 livres turques, j’espère que cette décision sera bonne pour notre pays et notre peuple ».

Même si l’augmentation n’a pas été conforme aux attentes et au coût de la vie, les Turcs continuent de souffrir de la hausse des prix, l’inflation ayant atteint 48,58 % en octobre dernier. Le gouvernement turc a refusé d’augmenter le salaire minimum, encore cette année, et l’a maintenu à 17,02 livres turques, malgré l’augmentation des taux de faim et de pauvreté dans le pays, à 20 432 livres turques, selon un rapport de la Fédération turque des syndicats.

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En 2024, la production pétrolière libyenne a dépassé 1,4 million de b/j

La Société nationale pétrolière de Libye (NOC) a annoncé, le 25 décembre 2024, que la production quotidienne moyenne de pétrole a dépassé le taux cible pour cette année 2024. Lequel s’élève à 1 405 609 barils et 52 633 barils de condensats.

La NOC a souligné qu’elle s’efforcera d’atteindre le double de sa production pétrolière de 2024 pour les prochaines années. « Ce qui ouvrira grand les portes de la Libye aux investissements des grandes entreprises internationales. Et permettra d’obtienir ainsi une augmentation des revenus, avec la participation du secteur privé local. Tout en offrant des opportunités d’emploi aux jeunes et en faisant tourner la roue de la croissance économique et du développement durable ».

En effet, le secteur pétrolier de la Libye est la principale source de revenus du pays. Mais il a été affecté par des protestations politiques locales et plus larges; ainsi que par des troubles sécuritaires depuis le renversement de Mouammar Kadhafi en 2011.

D’ailleurs, les derniers troubles dans le secteur pétrolier libyen se sont produits il y a quelques jours lorsqu’un incendie s’est déclaré dans plusieurs réservoirs de la raffinerie de Zawiya.

Au final, tous les incendies qui ont éclaté dans plusieurs réservoirs de la raffinerie à la suite de blessures par balle résultant des affrontements qui ont eu lieu à proximité de la raffinerie entre des groupes armés pour des raisons inconnues, ont été maîtrisés, selon un communiqué de la National Oil Corporation.

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L’Égypte est le pays africain le plus endetté envers le FMI

L’Egypte arrive en tête du classement publié le 25 décembre 2024 par Business Insider Africa des 10 principaux pays africains empruntant auprès du Fonds monétaire international jusqu’à fin 2024, avec une différence significative par rapport au reste des pays de la liste.

Bien que le Fonds monétaire international fournisse une aide financière aux pays souffrant de troubles économiques, les énormes dettes que de nombreux pays africains, particulièrement l’Egypte, doivent à l’institution sont devenues une source d’inquiétude.

Même si ces prêts visent à stabiliser l’économie, ils entraînent généralement plusieurs problèmes susceptibles d’entraver le développement et d’affaiblir l’économie. De plus, les niveaux élevés d’endettement du FMI créent souvent un cercle vicieux d’emprunt et de remboursement.

Rappelons que l’Egypte a convenu avec le Fonds monétaire international, au début de l’année, d’augmenter le volume de financement dans le cadre d’un programme qui se poursuivra jusqu’à l’automne 2026, de 3 milliards de dollars à 8 milliards de dollars.

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Japon: Augmentation de l’inflation des services aux entreprises

L’indicateur avancé de l’inflation du secteur des services au Japon a augmenté à 3,0% en novembre, accélérant pour un deuxième mois consécutif, d’après les données publiées mercredi 25 décembre 2024. Ce qui confirme l’opinion de la Banque centrale (BOJ) selon laquelle la hausse des salaires incite davantage d’entreprises à répercuter la hausse des coûts.

L’inflation du secteur des services est surveillée de près par la Banque du Japon, qui a compilé les données de mercredi, pour savoir si les hausses de prix induites par la demande se généralisent suffisamment pour justifier une nouvelle hausse des taux d’intérêt.

La hausse annuelle de l’indice des prix à la production des services, qui mesure le prix que les entreprises se facturent mutuellement pour leurs services, en novembre, s’est accélérée par rapport à une hausse de 2,9% en octobre.

L’indice, à 109,1, marque le niveau le plus élevé depuis mars 1995.

Cette augmentation est due à la hausse des prix d’une variété de services, allant de l’hébergement à la réparation de machines en passant par la construction.

La BOJ a mis fin aux taux d’intérêt négatifs en mars et a relevé son taux directeur à court terme à 0,25% en juillet, estimant que le Japon progressait régulièrement vers la réalisation durable de son objectif d’inflation de 2%.

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La Chine approuve la loi sur la TVA

La Chine a approuvé, mardi 24 décembre 2024, la loi sur la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) dans le but d’unifier les réglementations antérieures liées à cette taxe en un document complet prévoyant des exonérations pour certains articles.

La taxe sur la valeur ajoutée est la catégorie fiscale la plus importante en Chine, représentant environ 38% des recettes fiscales nationales en 2023.

Bien que le rapport n’aborde pas les détails spécifiques des dispositions de la loi, le dernier projet prévoit des exemptions pour certains produits agricoles et équipements importés utilisés dans la recherche scientifique et l’éducation, en plus de certains biens destinés aux personnes handicapées et des services fournis par des institutions caritatives comme les crèches, les jardins d’enfants et les maisons de retraite.

La loi donne également au gouvernement la possibilité d’ajouter de nouveaux éléments à la liste des déductions fiscales pour soutenir des secteurs économiques ou des entreprises spécifiques.

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La Chine maintient inchangés ses taux d’intérêt

La Banque centrale chinoise s’est abstenue de baisser les taux d’intérêt et a retiré la plus grande quantité de liquidités depuis 2014, dans le but de préserver ses réserves de liquidités en prévision d’une éventuelle escalade des tensions commerciales avec les États-Unis en 2025.

La Banque populaire de Chine a maintenu, le 24 décembre 2024, le taux d’intérêt sur la facilité de prêt à moyen terme sur un an à 2 %, ce qui est conforme aux attentes.

Les autorités ont également retiré 158 milliards de dollars nets du système financier, soit le retrait le plus important depuis 2014.

Plus tôt ce mois-ci, les décideurs chinois se sont engagés à mettre en œuvre une politique monétaire modérément accommodante, le premier changement dans cette direction en 14 ans, tout en utilisant des outils financiers plus actifs pour soutenir l’économie.

Cependant, aucune mesure de relance concrète n’a encore été annoncée, reflétant l’approche prudente des autorités face aux menaces de droits de douane de la part des États-Unis, évoquées par le président élu Donald Trump.

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Le Bitcoin décline vers la fin d’une année record

Le prix de la crypto-monnaie Bitcoin a chuté après avoir atteint un niveau record au début du mois à la lumière des attentes d’un ralentissement du rythme des baisses des taux d’intérêt aux États-Unis.

Le prix du Bitcoin à New York a atteint, le 24 décembre 2024, 93 944 dollars par unité, soit une baisse d’environ 14 000 dollars par rapport à son plus haut niveau enregistré le 17 décembre.

L’agence de presse Bloomberg a indiqué que la monnaie numérique a diminué pour retrouver son mouvement moyen au cours des cinquante derniers jours, ce que certains considèrent comme une raison de prudence.

Katie Stockton, analyste technique chez Fairlead Strategies, a déclaré qu’un test de la moyenne mobile étroitement surveillée justifie un « retour à un biais neutre » à la lumière de la phase de retrait de la crypto-monnaie.

Le déclin du « Bitcoin » reflète les attentes d’un ralentissement du rythme de baisse des taux d’intérêt américains au cours de l’année prochaine, attentes qui ont atténué l’enthousiasme pour la spéculation suscité par les déclarations du président élu américain, Donald Trump, sur son intention d’assouplir les restrictions réglementaires sur les crypto-monnaies aux États-Unis, en plus du soutien des républicains à l’idée de former une réserve nationale de « Bitcoin » similaire aux réserves de pétrole brut.

Lors des derniers développements américains, le sénateur Bernie Moreno, partisan des crypto-monnaies, a été choisi pour siéger au comité sénatorial des banques.

L’industrie des actifs numériques s’attend à un boom basé sur la prépondérance des partisans de la cryptographie dans la future administration Trump.

Il est à noter que le « Bitcoin » a augmenté de 125% au cours de l’année en cours, ce qui dépasse largement les rendements des outils d’investissement traditionnels tels que les actions et l’or.

Dans le même temps, l’indice élargi – qui surveille les mouvements des monnaies numériques dans leur ensemble, y compris l’Ether – a doublé son niveau depuis le début de cette année.

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Le Koweït impose une taxe de 15 % aux multinationales

Cette décision vise à réduire l’évasion fiscale et à empêcher la fuite des recettes fiscales vers d’autres pays.

Le Conseil des ministres koweïtien a approuvé, le 24 décembre 2024, l’imposition d’une taxe de 15 % sur les entités multinationales à compter du 1er janvier 2025.

La vice-Première ministre, Sharida Al-Maousherji, a déclaré que le Conseil des ministres avait approuvé un projet de décret-loi visant à promulguer la « Loi fiscale sur le groupe d’entités multinationales », qui inclut les entités qui exercent leurs activités dans plus d’un pays ou juridiction.

Elle a ajouté que cette approbation est conforme aux règles fiscales mondiales et vise à réduire l’évasion fiscale et à empêcher la fuite des recettes fiscales vers d’autres pays.

Au début de cette année, des impôts minimums mondiaux ont commencé à être appliqués aux grandes entreprises multinationales, avec la mise en œuvre de réformes fiscales transfrontalières historiques.

Selon le Financial Times, cette mesure devrait permettre d’augmenter les recettes fiscales annuelles jusqu’à 9 %, soit l’équivalent de 220 milliards de dollars à l’échelle mondiale.

Environ 140 pays sont parvenus à un accord pour combler les importantes lacunes du système fiscal international. Aux termes de l’accord, certaines grandes économies commenceront à appliquer un taux d’imposition effectif d’au moins 15 % sur les bénéfices des sociétés.

Cela réduira les incitations offertes aux entreprises à recourir aux paradis fiscaux, ainsi que les incitations offertes par les pays à devenir des paradis fiscaux.

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L’IA conduit Apple à une valeur marchande de 4 000 milliards de dollars

Apple est sur le point d’atteindre, ce 24 décembre 2024, une valeur marchande historique de quatre mille milliards de dollars, soutenu par l’accueil favorable des investisseurs pour les améliorations apportées par l’entreprise dans le domaine de l’intelligence artificielle pour soutenir la baisse des ventes de smartphones iPhone.

L’entreprise devance Nvidia et Microsoft dans la course vers cette énorme valeur grâce à un bond d’environ 16 % du cours de son action depuis début novembre, ajoutant environ 500 milliards de dollars à sa valeur boursière, selon Reuters.

La hausse des actions d’Apple reflète « l’enthousiasme des investisseurs pour l’intelligence artificielle et l’attente qu’elle conduit à un super cycle de mises à jour de l’iPhone », selon Tom Fort, analyste chez Maxim Group, qui évalue l’action à « conserver ».

La valeur boursière d’Apple, selon le dernier cours de clôture (24 décembre), est estimée à environ 3,85 billions de dollars, ce qui représente une valeur énorme qui dépasse la valeur totale des deux principaux marchés boursiers d’Allemagne et de Suisse réunis.

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