Ooredoo Tunisie annonce avec fierté l’obtention du prestigieux Label de Qualité “Kafaet” pour la Formation Professionnelle, marquant ainsi un jalon significatif dans l’engagement continu de l’entreprise pour le développement des ressources humaines et l’amélioration des compétences internes. Chez Ooredoo Tunisie, le capital humain est considéré comme l’actif principal de l’entreprise et un moteur essentiel de […]
“L’Instance nationale de la sécurité sanitaire des produits alimentaires (INSSPA) a saisi 7 tonnes de produits alimentaires, dont 6,5 tonnes de pâtisseries et de matières premières, en plus d’une demi- tonne de viande blanche, à la suite de 2 500 visites dans un certain nombre de locaux à travers plusieurs gouvernorats, effectuées au début du […]
“Il est naturel que l’organisation syndicale connaisse une nouvelle dynamique et ceux qui prétendent son implosion de l’intérieur se trompent profondément” a souligné, hier mercredi à Hammamet, le secrétaire général de l’Union Générale Tunisienne du travail (UGTT) Noureddine Taboubi, dans une déclaration à la TAP, en marge de l’ouverture des travaux de la fédération syndicale […]
Une stratégie client gagnante basée sur l’engagement et la rigueur COMAR Assurances est fière d’annoncer qu’elle a remporté, pour la deuxième année consécutive, le prestigieux label « Elu Service Client de l’Année 2025 » dans la catégorie « Assurance ». Ce prix international, attribué chaque année, récompense l’excellence des services clients dans divers secteurs. Il […]
Le bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a examiné, jeudi, lors d’une réunion au Palais du Bardo, un ensemble de questions dont la séance plénière consacrée aux élections des commissions permanentes qui continueront cet après-midi pour finaliser la composition des commissions. Le bureau de l’ARP a aussi examiné le rapport conjoint de la […]
Agil Energy, acteur de premier plan dans le domaine de distribution des hydrocarbures et leurs dérivés, a été honorée par le Trophée Quality Choice Prize 2024, dans la catégorie Diamant, une distinction prestigieuse décernée par la European Society for Quality Research (ESQR). La cérémonie de remise des prix s’est tenue le 9 décembre 2024 à […]
Le Syndicat national des journalistes tunisiens(SNJT) a “fermement” condamné, dans une déclaration publiée jeudi, l’assassinat de l’équipe journalistique de la chaîne palestinienne Al-Qods Al-Youm, dont la voiture de retransmission télévisée a été “ciblée directement et délibérément par les raids aériens de l’aviation militaire sioniste”. « Le syndicat est profondément choqué par l’assassinat de l’équipe journalistique, […]
Dans la mise à jour récente de la Chatbot Arena, classement objectif des modèles de langage disponibles sur le marché, Google marque un tournant. Ce mois, l’entreprise hisse deux de ses modèles d’IA au top , reléguant OpenAI à la troisième place.
Voici la liste des 10 modèles d’intelligence artificielle les plus performants, classés selon leur score Elo:
Stanford Seed s’associe à l’African Management Institute pour lancer un programme de croissance d’entreprise de six mois destiné aux entrepreneurs et cadres dirigeants africains.
Le programme Aspire Business Growth offre des outils pratiques et des stratégies pour structurer les entreprises, accélérer leur croissance, créer des emplois, attirer des talents et diversifier les revenus.
Ciblant les PDG, fondateurs et directeurs d’entreprises africaines réalisant un chiffre d’affaires annuel entre 30 000 et 400 000 de dollars américains ou plus, ce programme inclut des cours dispensés par des professeurs de la Stanford Graduate School of Business, des ateliers adaptés aux spécificités africaines, un réseau panafricain de pairs et un mentorat pro bono pour les meilleurs participants.
La prochaine cohorte du programme débutera en janvier 2025.
Liverpool reçoit Leicester ce jeudi 26 décembre 2024, pour le Boxing Day, dans un match crucial pour les deux équipes. Leicester est en quête impérative d’une victoire pour s’éloigner de la zone de relégation.
Les Reds, leaders de la Premier League avec 39 points, dominent le classement devant Chelsea et Arsenal. Avec douze victoires, trois matchs nuls, 37 buts marqués et seulement 16 encaissés, les hommes d’Arne Slot réalisent une saison impressionnante.
De son côté, Leicester, dirigé par Ruud van Nistelrooy, traverse une période difficile. Les Foxes restent sur trois matchs sans victoire : un nul contre Brighton (2-2) et deux lourdes défaites face à Newcastle (4-0) et Wolverhampton (3-0). Une réaction est attendue pour éviter de glisser davantage vers la zone rouge.
Le choc Liverpool – Leicester promet d’être intense. Pour suivre cette rencontre en direct, rendez-vous ce jeudi 26 décembre sur la chaîne CANAL+.
Les réfrigérateurs Bespoke sont dotés d’un nouveau système AI Home de 9 pouces , offrant des fonctionnalités complètes aux utilisateurs qui préfèrent les écrans compacts L’AI Home1 de 7 pouces s’étend à l’ensemble lave-linge et sèche-linge Bespoke AI™, ainsi qu’au Wall Oven Samsung Electronics Co. a annoncé aujourd’hui qu’elle mettait sa technologie d’écran avancée à […]
Hier, l’équipe régionale de la police municipale de Tunis et l’équipe de contrôle sanitaire de la municipalité de Tunis ont découvert un entrepôt clandestin non autorisé dédié à la préparation de pâtisseries, suite à une inspection régulière des commerces. Le ministère de l’Intérieur a annoncé, ce jeudi 26 décembre 2024, que 1,5 tonne de pâtisseries […]
Farhat Laâriadh, sous-directeur des ferries de Djerba, a annoncé à Mosaïque FM la reprise de l’activité des bacs ce jeudi 26 décembre 2024, à partir de neuf heures du matin, suite à une amélioration des conditions météorologiques. Le trafic entre l’île de Djerba et El Jorf avait été suspendu depuis l’aube du mardi 24 décembre […]
L’Allemagne accentue son partenariat avec l’Égypte en injectant 48 millions d’euros dans la deuxième phase d’une initiative dédiée à l’enseignement technique. Cet investissement porte à 121,5 millions d’euros le total des fonds alloués par Berlin à ce secteur depuis le début de leur coopération bilatérale.
Répartis sur la période 2024-2028, ces fonds visent à moderniser les programmes de formation professionnelle et à développer les infrastructures éducatives. Une première tranche de 16,31 millions d’euros sera consacrée à l’amélioration des contenus pédagogiques, tandis que 32 millions d’euros serviront à construire et réhabiliter des centres de formation.
Inspirée du modèle allemand de formation duale, cette approche combine apprentissage théorique et pratique en entreprise. Déjà mise en œuvre dans des centres spécialisés en énergies renouvelables et technologie appliquée, elle sera élargie à d’autres secteurs stratégiques.
En parallèle, l’initiative prévoit la création de trois centres d’excellence dotés d’équipements modernes, destinés à former des techniciens hautement qualifiés. Ce projet marque une avancée majeure pour l’Égypte, qui cherche à aligner son système éducatif sur les besoins croissants du marché du travail et les défis de l’industrialisation.
Le Japon, où IQOS a été lancé pour la première fois en 2014, a connu une baisse de 46 % du tabagisme à l’échelle nationale. Philip Morris International (PMI) célèbre le 10ème anniversaire de l’introduction de son dispositif de tabac chauffé, IQOS. Le lancement de cette innovation sans fumée a marqué un moment décisif vers […]
Une circulaire de la plus haute importance sur laquelle les médias ne se sont pas trop attardés alors que son impact devrait être assez conséquent sur la redynamisation de l’économie nationale. Une circulaire qui œuvre à la relance des projets publics budgétisés bloqués depuis des années et dont les montants s’élèvent à des dizaines de milliards de dinars.
Il s’agit de la circulaire 27 édictée au mois de novembre dernier dont les principales mesures visent l’activation des projets publics dont la réalisation tarde à venir mais pas seulement, ceux privés aussi. Le grand titre de la circulaire est : Efficience, célérité, évaluation et redevabilité.
L’une des mesures les plus importantes prises dans le cadre de la circulaire se rapporte à la révision exceptionnelle des contrats Etats-prestataires, après la guerre en Ukraine s’agissant principalement du secteur du BTP.
Lorsque les prix du PVC, du bois, du cuivre et surtout du bitume et de l’acier ont flambé, ils ont entrainé une crise profonde mettant en souffrance les entreprises de construction s’agissant de l’enrobé noir désigné sous le vocable de “béton bitumineux noir”.
Les petites et moyennes entreprises, non soutenues par les banques, ont été dans l’incapacité de finaliser leurs projets et d’honorer leurs engagements bancaires et ont fait faillite. Les grandes entreprises ont pu relativement sauver les meubles : « Dans leur cas, tout dépendait des garanties données aux banques, celles dont les garanties ne sont pas suffisantes n’ont pas non plus résisté », explique un opérateur dans le secteur du BTP.
“La circulaire 27 : un signal fort de l’État pour une administration plus réactive et au service de l’investissement.”
Alors que dans d’autres pays, en 6 mois, des mesures ont été prises pour soutenir les entreprises, en Tunisie, on a attendu la promulgation d’une loi et la préparation d’un manuel de procédures très complexe.
Kamel Madouri, Chef du Gouvernement a eu le courage de prendre des décisions que ses prédécesseurs ont omises. Il a été réactif. Il a renforcé l’équipe en charge du pilotage des projets publics et leur a donné un pouvoir décisionnel. La circulaire 27 autorise la révision des prix et l’abandon des pénalités de retard y compris pour l’année 2025 pour donner du souffle à des entreprises en crise depuis la pandémie covid 19.
Un changement considérable dans la façon de voir les choses prouvant la détermination de l’Etat à relancer les investissements. Par pareilles mesures, Kamel Madouri œuvre à transformer le mindset de l’Administration publique l’incitant à prendre en compte des difficultés des entreprises et l’associant à leur sauvetage.
Dans la circulaire, il a abordé la problématique de la caution bancaire qu’il a divisé par deux. Il a laissé la caution définitive au même niveau, faisant passer la garantie de 10 à 5%, ce qui allège le poids des engagements financiers des entreprises et aussi ceux des banques.
Le Chef du Gouvernement est allé plus loin, il a touché au détail s’agissant de la libération des cautions accordant à l’opérateur 2 mois pour régulariser sa situation dans le cas où il n’a pas respecté les délais et c’est nouveau.
Remettre sur pied les projets résiliés !
Autre nouveauté, celle relative aux marchés résiliés. 90% des marchés résiliés ne trouvent plus preneurs. Un marché aux arrêts part en fumée même si on y perd des montants substantiels parce qu’on ne veut pas assumer sa responsabilité, parce que les prix sont devenus plus élevés ou à cause de tensions sociales. Les exemples des chantiers des piscines publics lancés après 2011, presque tous à l’arrêt, « irrécupérables à ce jour » ou encore le centre culturel de Jendouba dont la construction n’a pas été achevée, sont plus qu’édifiants.
Grâce à la circulaire 27, on peut désormais opérer une sorte de repêchage des projets en suspens, invitant de nouveau les entrepreneurs, en charge initialement des travaux, à reprendre les chantiers sans leurs imposer des pénalités tout en révisant les clauses contractuelles à l’origine des blocages.
“Des milliards de dinars bloqués enfin débloqués grâce à la vision audacieuse de la circulaire 27.”
L’objectif final étant d’achever la réalisation des projets d’intérêt public en usant d’un pouvoir discrétionnaire utile pour leur redémarrage avec la couverture du chef du gouvernement, sans pénaliser financièrement les prestataires et allant jusqu’à les indemniser, dans quelques cas, quand ils ne sont pas à l’origine des retards ou des blocages.
Soit une nouvelle manière de traiter les problématiques n’acculant pas systématiquement les prestataires mais faisant en sorte que l’Administration publique, qui n’était jamais sujette aux questionnements, assume sa part de responsabilité quand elle est défaillante. Le contrat sous Kamel Madouri ne revêt plus une dimension sacrée intouchable mais doit plus que tout répondre à des impératifs d’intérêt public.
La résiliation à tort laquelle menaçait l’existence même d’un prestataire donnant un coup fatal à son image et le mettant sur la liste des infréquentable des banques n’est plus d’actualité.
“La circulaire 27 : une rupture avec les dogmes administratifs pour une économie tunisienne plus dynamique.”
L’utilité fait donc loi loin des dogmes administratifs, lesquels peuvent être une entrave au développement d’un pays surtout lorsqu’entre 40 et 60% des appels d’offres dans les régions sont déclarés infructueux pour manque ou absence de soumissionnaires. La raison en est bien entendu la destruction du tissu entrepreneurial victime d’un contexte économique défavorable depuis 2011 et d’un climat d’affaires défavorable. La solution la plus évidente est de reconstruire ce tissu, ce à quoi s’attellent Kamel Madouri et son gouvernement.
Autre aspect abordé dans la circulaire, les mesures concernant l’aspect foncier, et la facilitation de l’obtention des terrains. Aujourd’hui quand il s’agit de projet publics, l’accord doit pouvoir se faire de manière automatique sans passer par la procédure complexe d’expropriation soit le passage par plusieurs administrations ou ministères. Ceci concernant les terrains appartenant directement ou indirectement à l’État dans l’attente de la révision des lois lorsqu’il s’agit de terrains privés ou communautaires.
la logique de performance et de l’efficience doit prévaloir
La circulaire 27 est presqu’à elle seule un code d’investissement et pour la bonne raison. En Tunisie si on estime le montant des lignes de financements non débloquées à 35 ou 40 milliards de dinars, nous réglons chaque année entre 1 et 1,5 Milliard de dinars en tant que commission d’engagement alors que nous n’injectons pas plus de 2 milliards de dinars dans les projets budgétisés et financés.
Hallucinant ! Cela explique l’empressement du Chef du gouvernement à promulguer la circulaire 27 qui permet de dépoussiérer tous les projets publics en instance et aussi de redéployer les fonds au profit de projets réalisables, en accord avec les bailleurs si ceux initiaux ne peuvent pas démarrer pour une raison ou une autre.
D’autres mesures ont été prises pour accélérer les autorisations dépendant de nombre d’administrations et leur activation, dont l’engagement de la responsabilité du ministère de l’Economie et de la planification dans la conduite et l’exécution de tous les projets publics en coordination avec toutes les institutions concernées, tous secteurs confondus ainsi qu’avec les bailleurs de fonds.
“Plus qu’une circulaire, un code d’investissement : la circulaire 27 redéfinit les règles du jeu en Tunisie.”
Il s’agit en prime de fixer les délais de réalisation des projets, négocier à la hausse les participations des bailleurs de fonds dans les financements pour alléger leur poids sur le budget de l’Etat et programmer une avance d’au moins 30% du coût total des projets financés dans le cadre de la coopération internationale pour fournir des liquidités aux banques et aux entreprises.
Mais plus que tout et cela arrive pour la première fois depuis bien longtemps, dans la circulaire, nous voyons de nouveau ce que nous avons perdu depuis quelques années, une exigence d’efficacité qui plus que l’optimisation des ressources devrait opérer un changement considérable sur la façon de voir et d’agir de l’Administration.
Une administration encouragée et poussée aujourd’hui à solutionner les problèmes en rapport avec l’investissement public et privé et non à être elle-même le problème. La circulaire 27 stipule à ce propos, qu’en cas de blocage dans l’une des phases de réalisation d’un projet, il revient à la commission supérieure des projets publics sise à la présidence du Gouvernement de statuer.
“Avec la circulaire 27, le contrat n’est plus sacré, c’est l’intérêt public qui prime.”
Désormais la capacité des décideurs publics de dénouer les fils complexes des réglementations qui freinent la réalisation des projets représente un facteur important dans l’évaluation de leur exercice et peut les soumettre au questionnement en cas de défaillance.
D’autres mesures assez importantes pour rehuiler la machine des investissements et des projets publics ont été prises dans le cadre de la circulaire 27, reste que pour mettre en œuvre toutes les mesures, reconnaissons-le, plus que le courage décisionnel du Chef du Gouvernement, il va falloir des politiques publiques pour conduire les actions et les harmoniser et unir les efforts de tous les intervenants pour atteindre les objectifs escomptés.
Un nouveau chantier sur lequel doit plancher Kamel Madouri qui a encore du pain sur la planche pour achever le processus de l’appropriation de la logique de performance et de l’efficience par l’Administration avec un grand A.
Un rapport publié par le Comité panafricain du commerce et de l’investissement du secteur privé (PAFTRAC) révèle que 91,2% des chefs d’entreprise africains ne bénéficient d’aucun soutien pour tirer parti des opportunités offertes par la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf). Ce constat provient d’une enquête menée auprès de 1388 dirigeants d’entreprise dans 49 pays du continent, dont la majorité sont des PME.
Selon les répondants, les institutions financières (68,86%), le secrétariat de la Zlecaf (62,88%) et les gouvernements (50,18%) devraient être les principaux acteurs mobilisés pour offrir ce soutien. Les priorités incluent la diffusion d’informations sur les opportunités commerciales (66,18%), les bénéfices de l’accord (60,20%), l’accès au financement à long terme (56,17%) et le renforcement des capacités (49,08%).
Le rapport met également en lumière un faible niveau de connaissance de la Zlecaf: 60% des chefs d’entreprise interrogés déclarent en savoir peu ou rien sur cet accord, tandis que près de la moitié n’ont jamais entendu parler du système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS) ou de l’initiative de commerce guidé.
Malgré ces lacunes, 70,8% des sondés estiment que la ZLECAf pourrait avoir un impact positif sur leur entreprise, grâce à un marché élargi (70,87%), de nouvelles opportunités d’investissement (67,06%) et une réduction des coûts opérationnels (50,65%). Cependant, ils redoutent une intensification de la concurrence et des pertes financières liées à la saturation du marché et à la fiscalité.
Les chefs d’entreprise africains pointent aussi l’inflation (67,61%), l’endettement (63,03%) et la hausse des taux d’intérêt (54,12%) comme leurs plus grandes inquiétudes. Malgré ces défis, 67% des dirigeants se disent confiants quant à l’avenir économique du continent.
Le PAFTRAC, à l’origine de ce rapport, s’efforce de mobiliser le secteur privé pour renforcer le commerce intra-africain et maximiser les opportunités offertes par la ZLECAf.
A partir du 1er janvier 2025, les agriculteurs bénéficieront de 11 nouvelles mesures inscrites dans le cadre de la loi de finances 2025. Il s’agit, notamment , de la mise en place d’une ligne de financement de 7 millions de dinars pour l’octroi de prêts à moyen et long termes aux petites et moyennes entreprises, y compris les startups et celles actives dans le secteur de l’agriculture et de la pêche, afin de financer leurs investissements à des conditions favorables.
Selon les données publiées, mercredi, par la présidence du gouvernement sur son site électronique, l’exécutif accordera un financement dans le cadre d’une ligne de financement de 10 millions de dinars aux petites et moyennes entreprises, y compris les Startups et les entreprises actives dans le secteur de l’agriculture et de la pêche, pour financer leurs besoins de gestion et d’exploitation à des conditions favorables.
Le gouvernement accordera, également, une subvention de 1000 dinars répartis en tranches aux éleveurs de vaches à la naissance d’une génisse. Dans le même contexte, des efforts seront focalisés sur la facilitation de l’accès des petites et moyennes entreprises et des micro-entreprises du secteur agricole aux sources de financement. Les efforts seront en outre axés l’annulation des taxes appliquées sur l’importation par les petits éleveurs des vaches, veaux et des génisses jusqu’à la fin 2028.
Les mesures prévues dans la loi de finances de l’année prochaine comprennent des changements dans la gestion du fonds d’indemnisation pour les dommages agricoles causés par les catastrophes naturelles et l’allocation de 10 millions de dinars, dont 50 % seront accordés sous forme de subvention exceptionnelle pour soutenir l’autofinancement de l’acquisition des vaches reproductrices dans le cadre du soutien aux petits agriculteurs.
Et pour encourager les petits éleveurs, la loi de finances a institué une mesure leur permettant de combiner l’aide exceptionnelle avec les avantages financiers qui sont attribuées conformément à la législation en vigueur et réduisent le taux d’impôts sur la valeur ajoutée utilisée pour les produits agricoles orientés vers la transformation