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L’EST a eu des moments forts et d’autres faibles : Quand le physique lâche…

Au-delà du résultat du derby, trois joueurs ont vu leur physique lâcher et ont dû quitter le terrain pour cause de blessure. Il s’agit de Rodrigues, Maacha et Tougaï. Quant à Belaïli, il est sorti à cause de la fatigue.

L’infirmerie ne risque pas de désemplir de sitôt à l’Espérance à cause d’une condition physique pas vraiment au point. Hormis Elias Mokwana qui a sauté le derby à cause d’une grippe qu’il a attrapée au cours de la semaine dernière, le physique a lâché dimanche soir pour bon nombre de joueurs qui ont dû quitter le terrain en cours de jeu. Il y a eu, d’abord, Rodrigo Rodrigues remplacé après seulement 13 minutes de jeu. Puis, c’était au tour d’un autre avant, Koussay Maâcha, de quitter le terrain pour cause de blessure, remplacé par Youssef Abdelli à la 37’.

Des changements forcés, mais bien utiles… 

Ces deux changements forcés se sont avérés bien utiles. En effet, tout au long des minutes qu’ils ont jouées, Rodrigues et Maâcha étaient bien loin de leur  niveau habituel, même si le premier s’est évertué à apporter de la plus-value. En s’efforçant de vouloir jouer à son niveau, Rodrigues s’est blessé. En somme,  il n’a pas vraiment été utile à l’équipe à cause d’un physique pas vraiment au top. C’est aussi le cas de Koussay Maâcha.

Des changements forcés, certes, mais qui ont été bien utiles au moment où l’équipe était menée au score. Le revenant Yan Sasse, qui a fait son entrée à la place de Rodrigues alors qu’il devait faire son apparition en deuxième mi-temps, a débloqué la situation à la faveur d’un exploit individuel. Servi dans le dos des défenseurs, il a accéléré avant d’adresser un tir cadré à ras de terre, pour égaliser à six minutes de la fin de la période initiale. Il faut dire aussi que Youssef Abdelli, même s’il est encore loin des prouesses pour lesquelles il a été recruté, a livré une meilleure prestation que Maâcha. A défaut de mettre la balle dans la cage, il a fait l’effort de peser par moments sur la défense clubiste. Et c’est déjà quelque chose, mais c’était insuffisant pour un attaquant qui cherche toujours une place de choix dans le dispositif de jeu de l’Espérance.

Tougaï : la rage de vaincre a ses limites

Il aurait dû quitter le terrain tout juste après Rodrigues après un contact avec Garreb, mais il a tenu bon et a doublé la mise d’une jolie reprise de la tête quand il est monté plus haut que tout le monde pour un second but.  Sauf que la rage de vaincre a ses limites et Mohamed Amine Tougaï a eu le gros mérite de tenir pendant 72 minutes avant de le payer de sa santé puisqu’il a dû quitter le terrain (sensation de vertige). Un autre joueur a lâché physiquement lors du derby. Il s’agit de Youssef Belaïli qui a quitté le terrain en même temps que Tougaï et qui a cherché un carton jaune gratuit en traînant les pieds au moment de sortir. Un troisième avertissement suspensif qui lui  coûtera  le déplacement  demain à Gafsa. Ceci dit, on critique Laurentiu Reghecampf d’avoir fait sortir Belaïli, alors qu’il sait mieux que quiconque que son joueur est fatigué et qu’il l’a exploité plus qu’il ne faut.

Le technicien roumain ne peut, d’ailleurs, qu’exprimer des regrets après le coup de sifflet final : “C’est bien dommage qu’on perde deux points sur deux corners, et en plus de cela, on perd Belaïli, Tougaï et Rodrigues.”, a déclaré le coach “sang et or” lors de la conférence de presse d’après-match. Laurentiu Reghecampf ne peut que regretter les moments faibles de son équipe en deuxième mi-temps.

Car si on peut comprendre ses choix forcés, on ne peut tolérer à ses joueurs leur baisse de régime en deuxième mi-temps qui, en subissant de plein fouet le pressing mené par les Clubistes, ont encaissé logiquement le but de l’égalisation. Et pour ne pas trop blâmer les joueurs, il faut reconnaître que leur condition physique précaire a minimisé l’intensité de leur rendement. Cela dit, le préparateur physique, Léo Djaoui, a, à coup sûr, du pain sur la planche.

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Ligue 1 – 12e journée : Et de cinq pour l’ESS !

Dans un match à sens unique, les Etoilés ont imposé leur loi à leur hôte, la JSO. Une écrasante victoire, la cinquième d’affilée.

Les Etoilés ont le vent en poupe. Ils ont poursuivi, hier, leur série rose en s’imposant largement face à leur hôte, la JSO. Une écrasante victoire sur le score sans appel (3-0). Firas Chaouat et ses camarades alignent ainsi la passe de cinq au grand bonheur de leur entraîneur, Mohamed Mkacher.

Et à vrai dire, les attaquants omranais n’ont pas entrepris grand-chose pour inquiéter Anas Khardeni et sa défense. Alors que les attaquants étoilés ont multiplié les tentatives pour déverrouiller la défense omranaise. Une défense qui a beau résister une vingtaine de minutes durant, mais a dû fléchir au terme de la 24’ de jeu quand, servi à l’approche de la zone des 16 mètres, Raki Aouani n’avait qu’à contrôler la balle, s’infiltrer en pleine surface avant d’adresser un tir puissant qui laissa sans voix le portier omranais, Oussema Hanzouli.

A partir de cet instant, le match s’est joué à sens unique. Les visiteurs couraient, certes, derrière la balle, ils n’en ont pas fait bon usage. Côté étoilé, le proverbe “l’appétit vient en mangeant” s’est appliqué à la perfection.

Au terme d’une jolie action collective, Zied Boughattas doubla la mise à la 33’, permettant à son équipe de rejoindre les vestiaires pour la pause mi-temps avec un ascendant confortable.

Un avantage au score que les Etoilés ont su accentuer en deuxième mi-temps, toujours à l’issue d’une action collective bien menée de bout en bout : servi sur un plateau par Houssem Ben Ali, Firas Chaouat s’infiltra en pleine surface de réparation adverse et, d’un tir cadré, tripla la mise au profit des siens (59’).

Il n’en fallait pas plus pour que l’ESS signe une large victoire, la cinquième d’affilée. De quoi être sur un nuage.

Victoire étriquée de l’ESM

A Métlaoui, la confrontation ESM-CSS n’a livré tous ses secrets que dans le temps additionnel. Une victoire étriquée, mais précieuse des Miniers qui ont cueilli les fruits de leur abnégation dans le temps additionnel au moment où les débats s’acheminaient vers un partage des points.

Les Métlaouis ont ouvert tôt le score par le biais de Yousri Arfaoui (7’). Un ascendant qu’ils ont préservé tout au long de la période initiale avant de se faire rattraper au score au début de la seconde mi-temps quand Firas Sekkouhi égalisa pour le CSS (47’). Et il a fallu attendre le temps additionnel pour voir Ahmed Mazhoud signer le but de la victoire (90’+2).

A Tataouine, la rencontre UST-ESZ s’est soldée par un résultat nul, un but partout (1-1). Youssef Snana a ouvert le score pour l’ESZ à la 75’ avant que Zied Ounelli n’égalise pour l’UST (90’+4).

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Handisport – 2025 pointe à l’horizon : Les défis ne manqueront pas

Nos sportifs débuteront l’année 2025 par le Grand Prix de Dubaï et la clôtureront par les Championnats du monde de para-athlétisme à New Delhi.

Après avoir participé aux Jeux paralympiques de Paris à la fin de l’été dernier avec, comme à leur habitude, une belle moisson de médailles, 11 en tout : 5 or, 3 argent et 3 bronze, nos sportifs à besoins spécifiques se projettent déjà dans le nouveau cycle paralympique en prévision des prochains jeux qui se dérouleront à Los Angeles en 2028.

En ce sens, la première année du nouveau cycle, 2025, est pleine de défis à relever. Nos sportifs débuteront l’année par le Grand Prix de Dubaï et la clôtureront par les Championnats du monde de para-athlétisme à New Delhi.

Entre-temps, ils disputeront deux autres échéances de grande envergure.

Les débuts en février

Le Grand Prix de Dubaï sera la première échéance internationale à laquelle prendront part nos champions, et ce, du 10 au 13 février 2025. Deux mois après, ils mettront le cap sur Marrakech pour participer du 24 au 26 avril à la 9e édition du Meeting International « Prince Héritier Moulay El Hassan ».

Au mois de juin, précisément du 16 au 18, ils restent au pays pour participer au 19e Meeting international d’athlétisme de Tunis, une échéance parvenue au fil des années à prendre une place de choix dans l’échiquier mondial.

Le dernier rendez-vous important de l’année se déroulera à New Delhi. Il s’agit des Championnats du monde de para-athlétisme 2025 prévus au mois de novembre au stade Jawaharlal Nehru. A noter que les dates exactes pour ces Mondiaux n’ont pas été communiquées.

Bref, c’est une nouvelle année pleine de challenges que nos sportifs paralympiques, ceux issus de la nouvelle génération notamment, s’apprêtent à attaquer avec la même ambition d’exceller, à l’instar de Wajdi Boukhili, Louay Jebabli et Amanallah Tissaoui.

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USM : Prendre son envol !

Restant sur une écrasante victoire remportée à domicile, les Monastiriens se déplaceront cet après-midi à Soliman avec l’ambition d’aligner la passe de deux, essentielle pour qu’ils prennent, enfin, leur envol.

Les Usémistes passent par une période propice. Ils restent sur une large victoire remportée la semaine dernière à domicile devant l’UST (4-1).

Une rencontre durant laquelle bon nombre de joueurs ont sorti le grand jeu à l’instar du revenant Chiheb Jebali, l’un des artisans de la victoire. Un retour gagnant de l’ailier droit avec en prime une parfaite symbiose avec Hazem Mastouri, l’avant-centre de 27 ans qui brille par sa régularité mais aussi son efficacité devant les buts adverses.

Orkuma apporte de l’assurance

Et si les attaquants se permettent de prendre autant de risque en allant toujours de l’avant, c’est qu’ils peuvent compter sur le pivot, Moses Orkuma, qui apporte de l’assurance derrière avec un premier rideau défensif sécurisant.

Ceci dit, la rencontre d’aujourd’hui devra connaître le retour du milieu défensif Moez Hadj Ali. Un retour qui ne peut que stabiliser davantage le compartiment défensif.

Bref, Mohamed Sahli se déplace à Soliman avec l’ambition d’aligner la passe de deux, essentielle pour prendre, enfin, le large. C’est qu’après s’être imposée largement face à l’OB (3-1), l’USM a été tenue en échec par l’ESZ avant de remporter de nouveau une écrasante victoire devant l’UST.

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