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Ramadan 2024 : Mouna Noureddine fait son grand retour dans la série El Fetna

Ramadan 2024 : Mouna Noureddine fait son grand retour dans la série El Fetna

La talentueuse actrice Mouna Noureddine sera l’une des surprises de la série El Fetna, réalisée par Sawssen Jemni, qui sera diffusée pendant le mois de Ramadan sur la chaîne El Hiwar Ettounsi. Ce projet promet de captiver les téléspectateurs avec son intrigue palpitante et ses personnages complexes. Mouna Noureddine, connue pour ses performances exceptionnelles, ajoutera […]

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Bientôt, une série syrienne sur la prison de Saidnaya

Bientôt, une série syrienne sur la prison de Saidnaya

L’acteur syrien Jamal Sliman a annoncé les préparatifs d’une nouvelle série dramatique audacieuse portant sur les coulisses de la célèbre prison de Saidnaya en Syrie. Selon Soliman, le scénario, écrit par Samer Radwan et achevé il y a trois mois après plus d’une année de travail, dévoilera les secrets de cette prison tristement célèbre et […]

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Economie circulaire : impératif d’une stratégie nationale

La Stratégie nationale de gestion circulaire globale et sectorielle des déchets 2035-2050 en Tunisie a été présentée à des journalistes maghrébins (tunisiens, algériens et marocains). Et ce, lors d’un atelier régional organisé récemment à Tunis par le Réseau « Afrique 21 », en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable, le Programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT2) avec l’appui financier de l’Union européenne (UE), l’ambassade de Suisse à Tunis et l’agence allemande de coopération internationale, GIZ.

Présentée par l’éco-conseillère, juriste et membre du Forum national de l’adaptation aux changements climatiques en Tunisie (FNACC), Sondes Fnaiech, dans le cadre d’une intervention sur le « Paysage tunisien de l’économie circulaire », cette stratégie qui repose sur l’économie circulaire, comme passage indispensable pour faire face au changement climatique, comporte trois volets sectoriels : la gestion des plastiques, le compostage à partir des déchets ménagers et assimilés et le recyclage des gravats et des déchets de démolition.

Les trois objectifs 

Pour le plastique, trois objectifs principaux ont été définis. Il s’agit de limiter la consommation et la production d’objets en plastique, de permettre une économie circulaire de la production plastique en vue de protéger l’environnement et la santé humaine et d’assurer une gestion et un recyclage écologiquement rationnels des déchets en plastique.

En effet, les plastiques non biodégradables sont une grande source de pollution de l’environnement ayant des impacts à moyen et long termes sur la santé humaine, le sol et le milieu marin. En Tunisie, 4,2 milliards de sacs en plastiques sont utilisés par an.

Selon un rapport de la Banque mondiale (BM), le pays génère 2,8 millions de tonnes de déchets ménagers par an, dont 9,4 % sont des déchets plastiques.

La filière de la plasturgie en Tunisie est composée d’au moins 283 entreprises, dont 79 d’entre elles sont totalement exportatrices. La quantité annuelle des déchets plastiques mal gérée est estimée à 55,5 milles tonne par an, selon le même rapport de la BM.

Toujours d’après la BM, la pollution plastique est une menace importante pour l’économie bleue de la Tunisie. L’économie tunisienne subit une perte liée à la pollution par le plastique estimée entre 170 et 561 millions de dollars par an, selon le rapport sur « la stratégie littoral sans plastique et plan d’action opérationnel Tunisie 2035 ».

En dépit des initiatives règlementaires (décret du 16 janvier 2020) et gouvernementales, dont le projet Eco-Lef, premier système de gestion des déchets d’emballages mis en place par un pays africain visant à réduire la pollution, et malgré la présence d’entreprises qui traitent des milliers de tonnes de déchets par an, le secteur du recyclage en Tunisie souffre encore d’un manque d’organisation et de l’absence d’un cadre réglementaire clair. C’est ce qu’ont relevé les intervenants au débat dans le cadre de l’atelier régional sur « L’économie circulaire et les changements climatiques au Maghreb ».

La plupart des initiatives se heurtent à des obstacles tels que la concurrence déloyale de l’informel et le manque d’incitations pour les entreprises respectant les normes. Résultat : la majorité des déchets plastiques finissent dans des décharges ou dans le milieu naturel, aggravant la crise environnementale.

Réduire la mise en décharge et limiter l’impact environnemental

En outre, Sondes Fnaiech précise que, généralement le système public national de gestion des déchets a pour ambition de réduire la mise en décharge et limiter l’impact environnemental des déchets; sans pour autant se doter d’une stratégie de sensibilisation efficace du large public, mettant en garde contre les sérieux risques de voir les initiatives ne pas atteindre leur plein potentiel.

« L’éducation et la sensibilisation sont ainsi essentielles pour promouvoir un comportement de consommation responsable et éclairé », estime la responsable. Ainsi, elle reconnaît que les barrières réglementaires ainsi que la bureaucratie constituent un frein qui fait obstacle au vrai décollage de l’économie circulaire en Tunisie.

ODD n°12

Intervenant à distance sur le l’Objectif de développement durable n°12 et les négociations sur le plastique, Chantal Line Carpentier, chef du service Commerce, environnement, changement climatique et développement durable, Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), a rappelé que cet objectif vise à garantir des modes de consommation et de production durables. Ce qui est essentiel pour préserver les moyens de subsistance pour les générations actuelles et futures.

En effet, la CNUCED affirme que si la population mondiale atteint 9,8 milliards d’habitants en 2050, l’équivalent de près de trois planètes sera nécessaire pour fournir les ressources naturelles essentielles au maintien des modes de vie actuels.

D’où la nécessité, selon l’experte onusienne, de réduire la production à la source des produits en plastique. Une tâche ardue à entreprendre pour une industrie rémunératrice. En 2021, 369 millions de tonnes de plastiques ont été échangées pour une valeur de 1,2 trillions. Soit en hausse de 30% depuis 2020.

Elle a souligné, à cet effet, que la CNUCED plaide en faveur de l’identification d’une série d’alternatives ou de substituts biodégradables (à base de plantes, fibres, coton, algues…) au plastique (matières et produits) ou encore pour la circularité et le recyclage. Car le plastique se déplace via le commerce, mais les déchets restent par manque de capacité de recyclage.

56 milliards de tonnes de plastique dans le monde

Si la tendance actuelle de la production mondiale de plastique se poursuit, les émissions de GES dues à la production de plastique entre 2015 et 2050 s’élèveront à plus de 56 milliards de tonnes. Ce qui équivaut à 10 à 13 % des émissions mondiales.

Cependant, une transition vers un modèle d’économie circulaire du plastique considérant des approches comme l’éco-conception, la réduction, la réutilisation, le recyclage tout le long du cycle de vie du produit, peut largement contribuer à la réduction des émissions de GES dans l’environnement, à l’amélioration de la gestion des ressources et à stimuler également l’innovation et la création de nouveaux emplois directs et indirects.

Le Réseau des journalistes africains spécialisés sur le développement durable et le changement climatique est un programme de l’association « Africa 21« , lancé en 2019. Il compte aujourd’hui plus de 850 journalistes de la presse écrite, de la radio et de la télévision dans 43 pays africains.

Avec TAP

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Les derniers jours d’un géant : Fathi Haddaoui, une étoile qui s’éteint dignement face à la maladie

Les derniers jours d’un géant : Fathi Haddaoui, une étoile qui s’éteint dignement face à la maladie

Les derniers jours de Fathi Haddaoui, icône incontestée de l’art tunisien, ont été marqués par une lutte courageuse contre un cancer du poumon. Hospitalisé depuis plus d’un mois à l’hôpital militaire, il avait choisi de garder le silence sur sa maladie, préférant affronter cette épreuve avec dignité et discrétion. Malgré son état critique et sous […]

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Cloud et Cybersécurité : une formation conjointe UTM-Cnam dès janvier 2025

L’Université Tunis El Manar (UTM) organise en collaboration avec le conservatoire national des arts et des métiers de Paris (Cnam) une formation certifiante conjointe aux métiers du Cloud et de la Cybersécurité pour l’obtention d’un certificat de compétence professionnelle internationale dans ces deux spécialités.

Cette formation devra démarrer fin janvier 2025 après la finalisation des formalités d’inscription, a précisé l’UTM dans un communiqué publié mercredi, appelant les candidats à soumettre leur dossiers avant le 30 décembre 2024 sur le lien suivant : httpss://forms.gle/EWbZShVH6YK6U52K6

Les dossiers de candidature seront évalués par une commission spécialisée composée conjointement par l’UTM et le Conservatoire national des arts et métiers de Paris et les candidats retenus seront contactés par email afin de procéder aux formalités d’inscription avant le 21 janvier 2025.

Cette formation académique qui se tiendra sur une période de 10 mois, aura lieu à la faculté des sciences de Tunis, à l’institut supérieur de l’informatique et à l’école nationale des ingénieurs de Tunis.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’engagement de l’UTM à renforcer la formation continue et les opportunités de placement et d’insertion professionnelle des compétences à même de contribuer au développement des capacités des apprenants dans les nouveaux métiers et de satisfaire les besoins en main d’œuvre à l’échelle nationale et internationale, selon le même communiqué.

Lina Ben Mhenni : Un prix pour célébrer le journalisme engagé et la défense des droits en Tunisie

Quatre journalistes d’expression arabe sont les lauréats de la 5ème édition du “Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté d’expression” décerné par la Délégation de l’Union européenne en Tunisie.

Les journalistes, deux femmes et deux hommes, sont primés pour des articles parus dans divers médias locaux. Le Premier prix est revenu à Zina Bekri pour “Le piège à mines.. Comment vivent les habitants des villages adjacents aux montagnes de Kasserine”.

Le deuxième prix a été décerné à Rahma Behi pour “Des Contributions économiques et sociales se heurtent au déni et à la trahison”

Le troisième prix a été attribué, ex-aequo, à Majdi Ouerfelli pour “Le harcèlement, ‘récompense’ de la dénonciaton de la corruption en Tunisie” et Hamadi Maamri pour ” ‘Les transsexuels’ en Tunisie assiégés par la loi et rejetés par la société”.

Le Palmarès de cette édition a été dévoilé, mardi soir, au cours d’une cérémonie officielle organisée au Palais Ennejma Ezzahra, à Sidi Bou Saïd.

Le jury composé de Essia Atrous (présidente), Emna Ben Ghorbel, Hanene Zbiss et Hana Trabelsi a également décidé de décerner exceptionnellement un prix spécial « coup de cœur du jury » à deux journalistes d’expression anglaise : Achref Chibani pour son article Europe’s «Green Battery: Extraction and Dispossession of Energy Infrastructure in Tunisia’s South” et Jihen Nasri pour son article “Algeria-Tunisia gas pipeline tramples on rights of Tunisian farmers.”

La remise du prix coïncide avec la Journée internationale des droits de l’Homme، célébrée chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de l’adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948.

Ce prix annuel récompense les meilleurs articles défendant les principes et valeurs de la démocratie, des libertés et des droits partagés entre la Tunisie et l’UE.

Ce concours est ouvert aux libres penseurs, journalistes, blogueurs, influenceurs et autres activistes citoyens en mode Lina Ben Mhenni pour une information libre, indépendante et crédible.

Il a été créé, en 2020, sur initiative de l’Union Européenne, à la mémoire de la bloggeuse et activiste disparue Lina Ben Mhenni. Le but étant de consacrer les valeurs communes entre la Tunisie et l’UE et pour rendre hommage au combat de Lina ainsi que pour soutenir les combats menés par toutes les voix libres.

Giuseppe Perrone : le Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté a le plein soutien de l’UE

« La création du Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté d’expression » en 2020 visait surtout à réaffirmer les valeurs communes de la liberté d’expression dont Lina était parmi les principaux défenseurs », a déclaré Giuseppe Perrone, ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie.

S’exprimant dans une allocution, en arabe littéraire, à l’occasion d’une cérémonie officielle organisée, mardi soir, au Palais Ennejma Ezzahra, à Sidi Bou Saïd, pour annoncer les lauréats de la 5ème édition du Prix Lina Ben Mhenni, l’ambassadeur de l’UE s’est félicité du « retour du prix après une année d’interruption, indiquant un prix important pour l’UE qui soutient la liberté d’expression partout dans le monde ».

Créé en 2020 sur initiative de l’UE, le Prix Lina Ben Mhenni pour la Liberté d’expression est baptisé du nom de la blogueuse et activiste Lina Ben Mhenni, – décédée le 27 janvier 2020 à l’âge de 36 ans – dont le nom avait circulé pour le prix Nobel de la Paix après la révolution tunisienne en 2011.

La remise du prix coïncide avec la Journée internationale des droits de l’Homme، célébrée chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de l’adoption par l’Assemblée générale des Nations unies de la Déclaration universelle des droits de l’Homme en 1948.

« L’UE soutient pleinement cette compétition, partant de sa conviction en le rôle assez important du journalisme. Car être journaliste n’est pas uniquement un métier; c’est une profession de courage, un devoir civique qui implique sa responsabilité quant au principe de la vérité », a soutenu le diplomate.

Il a passé en revue l’état des lieux du « journalisme dans le monde entier qui fait face à des défis et des dangers majeurs ».

Présentant des chiffres fournis par la Fédération internationale des journalistes (FIJ), il a déploré « la mort de plus de 100 journalistes en 2024, notamment dans les zones de guerre et en particulier en Ukraine et en Palestine ».

« Des centaines de journalistes ont été également capturés au cours de cette année », a-t-il encore dit.

Le diplomate a tenu à rappeler « le massacre qui se passe dans la Bande de Gaza où beaucoup de journalistes ont trouvé la mort lors de l’exercice de leurs fonctions ».

Le diplomate a souligné que l’UE en Tunisie soutient le journalisme par divers programmes dont le Programme d’appui aux médias (PAMT) à travers lequel l’Union « soutient non seulement la liberté d’expression pour les journalistes mais également le droit des citoyens d’avoir une information transparente, précise et vraie ».

« Au-delà de renforcer les compétences des journalistes tunisiens, ce programme permet également de renforcer celles des journalistes et experts européens qui, selon lui, ont beaucoup à apprendre des journalistes opérant dans des zones assez difficiles ».

Pour la journaliste Essia Atrous, présidente du jury du « Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté d’expression 2024 », cette récompense est organisée à une époque où la liberté de pensée et d’expression fait face aux restrictions dans quasiment tous les coins du monde. Elle a évoqué le calvaire des journalistes, les femmes en particulier, à Gaza dont le nombre des disparus a franchi la barre des 180 morts.

« Lina Ben Mhenni, partie à la fleur de l’âge, nous avait légué un héritage dont il a fallu préserver et assurer la continuité », a-t-elle estimé.

Emna Ben Mhenni, membre du jury, a salué la mémoire de sa fille Lina et de son mari Sadok Mhenni, décédé en 2023, qui était comme sa fille activiste et fervent défenseur des droits de l’Homme.

La liberté d’expression est « une question pour laquelle Lina avait milité jusqu’à son dernier souffle », a affirmé, sa mère, émue. Tout en émettant son « souhait d’élargir le rayonnement de ce prix aux niveaux arabe, africain et maghrébin ».

« Je dédie ce prix à tous les journalistes en Palestine, au Liban et en Syrie qui sont aujourd’hui assassinés, exilés, attaqués, emprisonnés, enlevés et torturés. Vive la Palestine », a déclaré la lauréate du premier « Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté d’expression » 2024, Zina Bekri (journaliste freelance).

Quatre journalistes d’expression arabe sont les lauréats de la 5ème édition du « Prix Lina Ben Mhenni pour la liberté d’expression. Le jury a également décerné, exceptionnellement, un prix spécial « coup de cœur du jury » à deux journalistes d’expression anglaise.

Ouvert aux libres penseurs, journalistes, blogueurs, influenceurs et autres activistes citoyens, ce prix annuel récompense les articles défendant les principes et valeurs de la démocratie, des libertés et des droits partagés entre la Tunisie et l’UE.

Avec TAP

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Transformation Digitale : La Tunisie explore l’IA et les services cloud pour l’enseignement

Un sommet technologique ayant pour thème “Accélérer l’intelligence au service de l’éducation” a été organisé mardi à Tunis par le centre de calcul El-Khawarizmi, relevant du ministère de l’enseignement supérieur en coordination avec la société Huawei, fournisseur global de solutions dans le domaine des technologies de la communication.

Cette rencontre a permis de mettre en lumière les solutions technologiques avancées et leur rôle déterminant dans la transformation numérique.

A cette occasion, le ministre des technologies de la communication Sofiène Hemissi a indiqué que le secteur de éducatif constitue “un pilier fondamental du développement de la Tunisie et de son capital humain”, soulignant que les transformations technologiques et en particulier l’intelligence artificielle s’imposent en tant que composantes essentielles du changement économique et social.

Il a précisé que ce sommet technologique constitue une opportunité idoine pour l’échange d’expériences entre les spécialistes de plusieurs pays, dans le cadre du renforcement de la coopération internationale, relevant le rôle des technologies modernes dans la consolidation du processus éducatif et de la qualité de la recherche scientifique à travers des outils développés tels que l’intelligence artificielle, l’internet et les services Cloud.

De son côté, le vice président de Huawei pour la région de l’Afrique du Nord a souligné l’engagement de son entreprise à appuyer la numérisation de l’enseignement en Tunisie à travers les programmes de coopération avec le gouvernement et les établissements universitaires, notant que Huawei a équipé un nombre de centres éducatifs par les services cloud et s’emploie en collaboration avec 14 universités à favoriser l’accès aux technologies modernes, dans le but de renforcer l’intelligence artificielle dans le secteur de l’enseignement.

Pour sa part, la directrice du centre de calcul El-Khawarizmi Saoussen Krichène a affirmé que cette rencontre illustre la volonté de la Tunisie d’être au diapason du progrès numérique à même de hisser le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Par ailleurs, le directeur général de l’organisation arabe des réseaux de recherche et d’éducation a souligné l’importance de mettre en place des réseaux de recherches solides qui permettent de renforcer la coopération à l’échelle régionale et internationale, relevant la disposition de son organisation à soutenir la Tunisie et les autres pays arabes dans le but de promouvoir l’infrastructure éducative et de la recherche.

2024, une hécatombe pour les journalistes, notamment à Gaza

Un décompte que publie mardi 10 décembre 2024 la Fédération international des journalistes (FIJ) fait état de 104 journalistes tués dans l’exercice de leur métier en 2024. Plus de la moitié l’ont été à Gaza.

Anthony Bellanger, le secrétaire général de la FIJ, basée à Bruxelles, met en garde contre les conséquences dramatiques du métier pour 129 journalistes tués en 2023. De plus, il dénonce « le massacre qui est en train de se produire dans le monde entier ».

En effet, en 2024, la FIJ indique que 55 journalistes palestiniens ont perdu  la vie. « Depuis le début de la guerre, le 7 octobre 2023, le nombre de journalistes palestiniens tués s’élève au moins à 138 ». Ce qui fait par conséquent de ce territoire l’un des plus dangereux de l’histoire du journalisme moderne; et ce, derrière l’Irak, les Philippines et le Mexique.

Dans ce contexte, Anthony Bellanger, cité par l’AFP, affirme que « de nombre d’entre-eux sont  visés délibérément ».

Par ailleurs, les journalistes sont confrontés à un risque accru en Asie-pacifique. Dans cette zone géographique, on dénombre 20 morts, dont six au Pakistan, cinq au Bengladesh et trois en Inde… L’Europe n’est pas en reste puisque la guerre en Ukraine a elle aussi causé la mort de quatre d’entre-eux en 2024, contre 13 tués en 2022 et 2023.

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Décès du père de la journaliste Jihen Miled

Décès du père de la journaliste Jihen Miled

C’est avec une profonde tristesse que la radio Mosaïque FM a annoncé ce mardi 10 décembre 2024 le décès de M. Abderrazak Miled, père de la journaliste et animatrice Jihen Miled. En cette douloureuse circonstance, nous adressons nos sincères condoléances à Jihen Miled ainsi qu’à sa famille élargie. Nous implorons Dieu le Tout-Puissant de couvrir […]

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Suspension du tournage de “Sous la septième terre” à cause de la guerre en Syrie

Suspension du tournage de “Sous la septième terre” à cause de la guerre en Syrie

Le tournage de la série “Sous la septième terre”, réalisée par Samer Al-Barqawi et mettant en vedette Taym Hassan, Ayman Zidan, Karis Bashar, Mouna Wassef et d’autres acteurs renommés, a été interrompu. Cette décision fait suite à l’escalade du conflit en Syrie, exacerbée par la fuite du président Bachar al-Assad après l’effondrement du régime. Les […]

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Comment les séries coréennes aident à surmonter les défis psychologiques

Comment les séries coréennes aident à surmonter les défis psychologiques

Les experts soulignent les bienfaits des séries sud-coréennes sur la santé mentale, affirmant qu’elles ne se limitent pas à un simple divertissement. Selon Im Soo Kyun, psychiatre à Séoul, ces séries, riches en émotions et en expériences de vie, peuvent être intégrées dans une approche d’art-thérapie, utile pour atténuer l’anxiété et la dépression. En explorant […]

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Najla Ben Abdallah dans “El Fetna” : le nouveau projet de Sawssen Jemni qui commence son tournage ce samedi

Najla Ben Abdallah dans “El Fetna” : le nouveau projet de Sawssen Jemni qui commence son tournage ce samedi

La réalisatrice Sawssen Jemni lancera demain, samedi 7 décembre 2024, le tournage des premières scènes de son nouveau projet El Fetna, qui sera diffusé pendant le mois de Ramadan sur la chaîne El Hiwar Ettounsi. La comédienne Najla Ben Abdallah, bien connue du public tunisien, fait partie du casting et apportera sa touche particulière à […]

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