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Les supporters et la délégation du CSS agressés à Dar Es Salam : Inacceptable !

C’est une fin de match tragique qu’ont connue les supporters et les membres de la délégation du CSS, agressés physiquement au stade Benjamin-Mkapa.

Après l’agression des supporters de l’USM Alger à Dakar la semaine dernière, c’était au tour de ceux du CSS, dimanche, de se faire agresser au stade Benjamin-Mkapa à Dar es Salam. Une fin de match tragique. Après le but de la défaite encaissé dans le temps additionnel, les membres du staff du CSS ont protesté auprès de l’arbitre. Il est vrai que la réaction des membres du staff sfaxien peut être considérée comme violente (cela n’a pas dépassé en tout cas l’aspect verbal), mais ce n’est pas une raison pour qu’ils se fassent agresser physiquement, ainsi que les quelques supporters sfaxiens présents sur les gradins du stade Benjamin Mkapa, au point qu’ils ont dû sauter les barrières pour rejoindre les membres de la délégation sur le terrain.

Les supporters ont dû donc sauter les barrières pour fuir un lynchage en règle sous les yeux des forces de l’ordre tanzaniennes qui ont laissé faire.

« Je n’ai jamais vu de tel en quatre ans » 

Commentant la violence qui a accompagné la fin du match, le coach sfaxien, Alexandre Santos, a déclaré : « Je n’ai jamais vu de tel en quatre ans. Le club tanzanien n’a pas respecté les joueurs et les membres du staff technique et administratif en cours de match. Ce qui s’est passé au stade est une menace directe à la vie des supporters et des joueurs. Si la CAF ne prend pas les mesures nécessaires, je n’entraînerai plus jamais en Afrique ».

Comme si l’arbitrage maison ne suffisait pas, joueurs, supporters et membres du staff du CSS se sont fait agresser à Dar es Salem. Pour rappel, l’arbitre du match, le Malgache Andofetra Rakotojoana, a fait des siennes. Il a, d’abord, freiné dans son élan Baraket El Hmidi qui a gagné un duel en dépit de la faute commise sur lui et s’est trouvé seul face au gardien. Mais au lieu de donner l’avantage du jeu, l’arbitre est revenu à la faute (59’) !

Puis, il a accordé le temps nécessaire aux Tanzaniens pour signer leur but de la victoire. Un temps additionnel dans le temps additionnel. En effet, après avoir accordé sept minutes de perte de temps, il a attendu la 9’ pour siffler la fin des débats, tout juste après le but de la victoire de Simba.

Il est temps que la CAF prenne ses responsabilités en mettant fin à la pratique de l’arbitrage maison et s’engage à assurer la sécurité des joueurs et des membres du staff sur les stades africains.

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Coupe de la CAF – Phase de groupes (3e journée) Simba SC-CSS (2-1) : cénario cauchemardesque !

Alors que l’arbitre a accordé sept minutes de temps additionnel, il a attendu la 9e minute pour siffler la fin des débats, tout juste après le but de la victoire de Simba. Avec cette troisième défaite d’affilée, les chances de qualification du CSS aux quarts de finale s’évaporent.

On croyait que les arbitres maison, c’était révolu en Afrique. Le Malgache Andofetra Rakotojoana a prouvé le contraire, hier, en accordant le temps nécessaire aux Tanzaniens pour signer leur but de la victoire. Un temps additionnel dans le temps additionnel. En effet, après avoir accordé sept minutes de perte de temps, il a attendu la 9’ pour siffler la fin des débats, tout juste après le but de la victoire de Simba. N’empêche, les Sfaxiens ont leur part de responsabilité dans cette contre-performance, car ils ont vite fléchi, alors qu’ils avaient fait une très bonne entame de match.

Il est, d’ailleurs, de plus en plus clair que le CSS n’est guère sur la bonne voie et qu’il y a un blocage à tous les niveaux, sinon comment expliquer qu’une équipe qui ouvre très tôt le score perde l’avantage en seulement cinq minutes suite à un cafouillage monstre au sein de la défense.

Face à Simba, hier, tout a bien commencé par les Sfaxiens qui ont surpris leur hôte d’entrée. On jouait à peine la 3’ quand, servi par Nasraoui, Hazem Haj Hassen se faufila sur la gauche avant d’adresser un tir dans un angle fermé, logeant la balle dans les filets de Moussa Camara.

On pensait que c’était, enfin, le grand réveil pour les Sfaxiens après les deux premières sorties en phase de groupes ponctuées d’autant de défaites. Ce ne fut qu’une grande désillusion. Tout l’effort de Haj Hassen a été perdu sur un cafouillage de la défense. Une défense incapable de suivre le mouvement sur un coup franc sur la ligne des 16 mètres, tiré par Jean-Charles Ahoua et Kibu Denis, laissé sans surveillance, de monter plus haut que tout le monde, sans qu’un défenseur sfaxien ne tente de le stopper, pour loger la balle dans les filets, signant le but d’égalisation (8’).

Après ce but, il était naturel que l’équipe de Simba prenne confiance et au fil des minutes, les défenseurs tanzaniens sont parvenus à calmer les ardeurs des attaquants sfaxiens, décidément restés sous le choc du but d’égalisation encaissé avec autant de facilité et dans la stupeur générale.

Il a fallu, d’ailleurs, attendre la 44’, pour voir Firas Sekouhi tenter sa chance d’une longue frappe des 35 mètres. Une ultime tentative sans réel danger pour la défense tanzanienne et les deux protagonistes de se quitter à la pause sur un résultat nul, un but partout.

Quand l’arbitre fait des siennes

En deuxième mi-temps, l’arbitre du match, le Malgache Andofetra Rakotojoana, a fait des siennes. Il a, d’abord, freiné dans son élan Baraket El Hmidi qui a gagné un duel en dépit de la faute commise sur lui et s’est trouvé seul face au gardien. Mais au lieu de donner l’avantage du jeu, l’arbitre est revenu à la faute (59’) !

Dans le temps additionnel, l’homme en noir, qui a accordé sept minutes de jeu, a attendu deux minutes supplémentaires, le temps que Kibu Denis, d’une reprise de la tête, double la mise (90’+9), pour donner le coup de sifflet finale. Et le match de se terminer dans la gabegie avec des scènes de violence à l’africaine. Et avec cette troisième défaite d’affilée, les choses se compliquent pour le CSS qui voit ses chances de qualification aux quarts de finale s’amoindrir considérablement.

CSS : Dahmen, Nasraoui (Kouamé 46’), Derbali, Baccar, Layouni, Conté, Pedro, Sekkouhi (Traoré 72’), Habbassi (El Hmidi 56’), Dhaoui (Becha 72’) et Haj Hassen (Haboubi 56’).

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L’EST s’impose face à Pyramids et s’empare du leadership : Youssef Belaïli au summum de son art !

Il a ouvert la voie à ses camarades, concrétisant, par là même, la suprématie de l’Espérance sur un adversaire qui a eu beau faire de la résistance au départ, avant de fléchir.

En football, il ne suffit pas de dominer son adversaire pour gagner. Il faut savoir mettre à profit les occasions créées en mettant la balle dans les filets. Inscrire des buts est soit le fruit d’une action collective, soit la résultante d’un exploit individuel.

Samedi soir et alors que l’Espérance affichait une légère domination sur son adversaire, sans trouver la faille pour autant (malgré les multiples tentatives et occasions créées) et alors qu’on s’acheminait vers un résultat nul à la pause qui n’aurait nullement reflété le potentiel et le volume de jeu développé par l’équipe, Youssef Belaïli est sorti de nulle part. Il a récupéré la balle du centre pour mener un slalom, dribblé les deux défenseurs axiaux, pris le temps d’envelopper son tir avant d’adresser un boulet de canon qui laissa pantois Ahmed El-Shenawy.

Une ouverture du score survenue au bon timing, à dix minutes de la fin de la période initiale, à un moment où les joueurs de Pyramids commençaient à prendre confiance en eux-mêmes, vu la domination jusque-là stérile des “Sang et Or”.

Une ouverture du score qui a aussi libéré les jambes de son coéquipier, Elias Mokwana, le deuxième joueur le plus dangereux, samedi soir, après Youssef Belaïli. Mokwana a enfoncé le clou en doublant la mise dans le temps additionnel de la période initiale.

Toutes les balles passaient par lui 

Ce qui est bien depuis quelque temps, c’est que Belaïli est de moins en moins égoïste et joue beaucoup plus collectif. Samedi soir, toutes les balles passaient par lui. En véritable chef d’orchestre, il organisait la sortie la balle, soit pour créer une brèche, soit pour ouvrir une déviation avant de la récupérer de nouveau pour semer la zizanie au sein de la défense de Pyramids.

Durant les 79 minutes qu’il a jouées, toutes les balles passaient par Youssef Belaïli. Un Youssef Belaïli au summum de son art dont la prestation n’a pas échappé à son entraîneur: “Mention spéciale à notre ligne d’attaque, avec Youssef Belaïli et Elias Mokwana qui ont trouvé le chemin des filets. Je pense que la prochaine fois, ce sera au tour de Rodrigo Rodrigues de marquer, vu le travail énorme qu’il abat sur le front de l’attaque.”, a déclaré le coach “sang et or”, Laurentiu Reghecampf .   

Et le technicien roumain a raison de penser que son avant-centre brésilien trouvera sans doute le chemin des filets. Il était à deux doigts de le faire en deuxième mi-temps, quand sa frappe sur la dernière ligne a été interceptée par le portier de Pyramids qui lui a fermé l’angle de tir.

Et si Rodrigues a pu se montrer dangereux, c’est grâce à la dynamique crééepar Belaïli et Mokwana, buteurs et animateurs d’une attaque espérantiste aguerrie. L’EST a réussi un très bon coup, prendre le dessus sur un adversaire direct pour la première place, et, en même temps, se rassurer et prendre une belle option pour les quarts de finales. Ça va surtout aider l’entraîneur roumain à aider ses joueurs à  monter en régime.

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Ligue des champions — Phase de groupes (3e journée): EST-Pyramids FC (2-0): La maîtrise des “Sang et Or” !

Youssef Belaïli et ses camarades ont réglé l’affaire en l’espace d’une seule mi-temps pour gérer la suite des débats avec panache et une maîtrise irréprochable.

Laurentiu Reghecampf a, certes, aligné hier soir, le même onze de départ que celui de la rencontre précédente face à Sagrada Esperança, les joueurs ont foulé la pelouse de l’Olympique de Radès avec un état d’esprit totalement différent. Il était clair que Youssef Belaïli et ses camarades voulaient en découdre dès les premières minutes de jeu.

Par ailleurs, on n’a pas attendu longtemps pour assister à la première occasion dangereuse du match. On jouait à peine la 10’ quand le tir puissant de Belaïli est dégagé en corner par le portier de Pyramids, Ahmed El-Shenawy.

Et même si les Cairotes ont opté également pour l’offensive, ils n’ont réussi à créer véritablement le danger qu’une seule fois durant toute la période initiale : servi par Fiston Mayele, Ramadan Sobhi a vu sa frappe des 25 mètres passer légèrement à côté de la cage de Memmiche (27’).

Au fil des minutes et après quelques longues passes par ici et par là, Youssef Belaïli a fini par trouver la faille : recevant le ballon depuis le milieu du terrain, l’ailier gauche algérien a fait un slalom, dribblé les défenseurs adverses avant d’adresser un tir puissant et cadré qui plaça directement la balle dans les filets d’un Ahmed El-Shenawy impuissant (36’).

Et les “Sang et Or” d’enfoncer le clou dans le temps additionnel de la première mi-temps : longue passe de la droite de Raed Bouchniba pour Rodrigo Rodrigues qui prit le temps de contrôler sa balle avant de voir sa frappe mal renvoyée par le portier cairote et Elias Mokwana d’en profiter pour loger le cuir dans les filets (45’+3).

Gérer à sa guise

En deuxième mi-temps, les “Sang et or” ont repris les débats avec la même intensité et Rodrigues a failli tripler la mise quand il se faufila sur la gauche et tira sur la dernière ligne, mais le portier de Pyramids a réussi à éloigner le danger en lui fermant l’angle de tir (64’).

Hier soir, la note aurait pu être plus salée si Mokwana avait été aussi précis que lors de la période initiale. Cela n’a pas empêché les “Sang et Or” de mener la suite des débats avec panache et une maîtrise irréprochable, ce qui leur a permis de remporter une nette victoire et, par là même, s’emparer du leadership du Groupe D.

EST : Memmiche, Bouchniba, Jelassi, Tougaï, Ben Hmida, Ahoulou (Ogbelu 29’), Tka (El Ayeb 85’), Konaté (Azouni 79’), Belaïli (Maacha 79’), Mokwana (Bouguerra 85’) et Rodrigues.

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Natation — Championnats du monde (Bassin 25m):  7e place pour Ahmed Jaouadi

Notre nageur s’est contenté de terminer septième en finale du 400m NL, réalisant un temps de 3:39.32.

Pour l’épreuve du 400m NL, notre champion du monde du 1500m nage libre, Ahmed Jaouadi, nous a laissés sur notre faim. Nous aurions aimé sans doute que notre jeune nageur de 19 ans remporte un deuxième titre mondial, sauf que la concurrence à l’épreuve du 400m NL a été beaucoup plus rude au point que ça s’est joué sur des secondes, voire des centièmes de secondes.

Ahmed Jaouadi a ainsi terminé la finale du 400m NL à la 7e place, réalisant un temps de 3:39.32. La première place est revenue à l’Australien Elie Winnington qui a remporté l’épreuve avec un temps de 3: 35.89.

Demain, Ahmed Jaouadi a encore une chance pour tenter de monter de nouveau sur le podium des Mondiaux de Budapest. Il concourra dans l’épreuve du 800m NL.

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Derby – L’EST et le CA réclament un arbitre étranger: Quel profil pour quelle utilité ?

Le CA veut un arbitre étranger et pas n’importe lequel, de grand calibre qui officie dans les grands championnats européens. L’EST réclame aussi que l’homme en noir qui dirigera le derby soit étranger. Donc les deux protagonistes du derby de la capitale s’accordent sur un point :
ils ne veulent pas d’arbitre tunisien.

Le derby n’a pas encore été joué et l’extra-sportif alimente déjà les débats. Il y a eu d’abord, il y a une dizaine de jours, le fameux épisode du huis clos présumé avant que la LNFP ne tranche en n’imposant aucune sanction contre l’EST, étant que l’arbitre de la rencontre du championnat, disputée à Radès contre la JSO pour le compte de la 10e journée, n’a rien signalé sur la feuille du match même s’il y a eu du grabuge sur les gradins.     

Avant-hier, un nouvel épisode s’est ouvert dans le feuilleton du derby: la réclamation de l’EST et du CA d’un trio arbitral étranger. Voilà un point sur lequel les deux protagonistes se sont accordés, même si les critères exigés par le Club Africain sont plus stricts. Pour les clubistes, pas n’importe quel arbitre : ni maghrébin, ni égyptien. Ce que veut le club de Bab Jedid, c’est que l’homme en noir, qui sera choisi par la FTF, soit d’un grand calibre, officiant dans les grands championnats européens, quitte à prendre en charge ses honoraires.

L’arbitrage tunisien discrédité

La réclamation de l’EST et du CA discrédite l’arbitrage tunisien avant même la désignation. Ceci dit, aux yeux des responsables clubistes et espérantistes, aucun arbitre tunisien n’inspire confiance pour officier le derby sans commettre des erreurs qui peuvent influencer le résultat. Ceci dit, quelle utilité de faire venir un arbitre étranger avec tous les frais à engager à un moment où la FTF est déficitaire ? N’y a-t-il pas de tous les arbitres tunisiens en exercice un seul qui puisse faire l’unanimité autour de lui ? Et puis, si on va ramener un arbitre étranger pour le derby, cela ouvrira la porte pour d’autres sollicitations en vue des autres matchs-chocs et même des confrontations à grand enjeu entre des clubs de la deuxième moitié du tableau qui luttent pour le maintien. A quoi sert donc d’avoir des arbitres tunisiens pour qu’aucun d’eux ne soit digne d’officier le derby de la capitale ? Ce qui est sûr, c’est que tous les arbitres tunisiens doivent se remettre en question et, surtout, se demander: pourquoi l’arbitrage tunisien n’est pas crédible aux yeux des clubs et des supporters? Enfin, si le Comité de normalisation de la FTF compte répondre favorablement à la demande de l’EST et du CA, autant amener un arbitre étranger à la réputation irréprochable. Encore un dossier délicat pour ce comité de normalisation d’autant que l’EST et le CA se retrouvent tous les deux en lutte directe pour le titre. La concurrence est cette saison plus visible. Et ceci donne plus de piment à ce derby tunisois.

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Natation – Championnats du monde (Bassin 25m) : Ahmed Jaouadi, une revanche à prendre !

Aux derniers JO de Paris, Ahmed Jaouadi s’est planté dans l’épreuve du 400 m NL, se faisant éliminer après avoir terminé deuxième de sa série. Ce matin, il a une revanche à prendre. Il s’attaque de nouveau au 400 m NL avec l’ambition de monter cette fois-ci sur le podium.

A Budapest, notre nageur Ahmed Jaouadi a entamé de la plus belle des manières les Championnats du monde (Bassin 25 m) en s’offrant la médaille d’or au 1.500 m nage libre. Une jolie performance qui traduit le sérieux et l’abnégation du jeune nageur de 19 ans dont la première participation aux Jeux olympiques à Paris l’été dernier n’était pas vraiment une réussite.

Ce qui est confortant, c’est que, depuis l’été, Ahmed Jaouadi ne s’est pas arrêté et a poursuivi le travail pour s’attaquer en cette fin d’année à une autre échéance internationale de grande envergure, les Championnats du monde (bassin 25m) qui se déroulent actuellement dans la capitale hongroise.

Après la médaille d’or obtenue aux 1.500 m NL, Ahmed Jaouadi s’apprête, ce matin, à concourir au 400 m NL en disputant les éliminatoires de cette épreuve dans la série 6. La course est programmée pour 10h57.

Faire mieux qu’à Paris

A Budapest, notre nageur est appelé à faire mieux qu’à Paris où il s’est planté dans l’épreuve de 400 m NL, se faisant éliminer après avoir terminé deuxième de sa série. Tout à l’heure, Ahmed Jaouadi a une revanche à prendre. Il s’attaque de nouveau à la course du 400 M nage libre avec l’ambition de monter, cette fois-ci ,sur le podium et pourquoi pas chercher la consécration suprême.

Pour ce faire, il faudra réussir d’abord les éliminatoires du matin et se qualifier à la finale qui se jouera ce soir à partir de 19h13. Ceci dit, Jaouadi a encore une course à disputer lors de ces Championnats du monde de Budapest, celle du 800 m NL, programmée pour après-demain. Ce nageur est une valeur sûre qui démontre qu’il est en train de vite progresser. On attend tant de lui dans ces mondiaux où il a déjà rempli son contrat.

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