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Le magazine ‘‘Notre regard’’ s’interroge : «Faut-il se méfier des coproductions?»

Le numéro 2 de ‘‘Notre regard’’, la nouvelle revue de critique cinématographique, lancée en mai dernier par un groupe de cinéastes et de critiques de cinéma tunisiens, vient de paraître à quelques jours de l’ouverture des 35e Journées cinématographiques de Carthage (14-21 décembre 2024).

Cette revue, spécialisée dans la critique et la promotion des cinémas arabe et africain, est publiée par le webmagazine ‘‘Cinématunisien. com’’. Son second numéro propose un dossier dont le titre, sous forme interrogative, est «Faut-il se méfier des coproductions ?».  

Nés dans des conditions difficiles, caractérisées surtout par la censure et un manque de moyens, les films produits dans le monde arabe et en Afrique rencontrent souvent d’énormes difficultés à être diffusés aussi bien dans leurs propres pays qu’à l’étranger. «La récente multiplication des coproductions dans des pays comme la Tunisie, peut-elle résoudre cet épineux problème de diffusion sur le plan international ?», s’interroge la revue dans ce dossier qui se propose d’y répondre.   

Le lecteur découvrira dans ce numéro trois interviews : la première avec la réalisatrice égyptienne Nadia Fares, la distributrice et critique de cinéma franco-burkinabé Claire Diao le chef décorateur et artiste tunisien à multiple facettes Taoufik Behi.

Autres articles proposés dans ce numéro : «À la recherche de l’identité et de l’état d’esprit du cinéma tunisien» (Fathi Kharrat), «Habib Masrouki : un cinéaste visionnaire, un oncle oublié» (Ghada Selten);  «Le chef décorateur au cinéma, un artiste polyvalent» (Mouldi Fehri) «’’Soufisme’’, un documentaire de Younes Ben Hajria, Quand le matériel et l’immatériel se touchent» (Kamel Ben Ouanès); «L’expression de l’onirisme dans les films tunisiens, une mise en abyme de la violence» (Neïla Gharbi); «‘‘Emna’’ ou- Comment briser les barrières qui nous séparent» (Abou Cyrine) ou encore «À la quête du genre, réflexions sur le cinéma» (Mansour Khedimallah).

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Amnesty International : «Le génocide des Palestiniens à Gaza doit cesser immédiatement»

Après des mois d’enquêtes, de collecte de preuves et d’analyses juridiques, les équipes d’Amnesty International ont publié un rapport, dont les conclusions démontrent que les autorités israéliennes commettent un crime de génocide contre la population palestinienne de Gaza. Fidèle à leur sionisme de principe, les Etats- Unis bottent en touche. (Photo : Gaza détruite est en train d’être vidée de sa population).

Le rapport de près de 300 pages intitulé «’On a l’impression d’être des sous-humains’ – Le génocide des Palestiniens et Palestiniennes commis par Israël à Gaza», révèle que «l’État d’Israël fait subir un déchaînement de violence et de destruction permanent aux Palestinien·nes de Gaza à la suite des attaques meurtrières du Hamas dans le sud de son territoire le 7 octobre 2023, et ce en toute impunité».

«Les autorités israéliennes ont commis et commettent toujours des actes interdits par la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, dans l’intention spécifique de détruire physiquement la population palestinienne de Gaza», ajoute Amnesty.

Selon l’ONG international, Israël  s’est notamment rendu «coupable de meurtres, d’atteintes graves à l’intégrité physique ou mentale des personnes, et de soumission délibérée des Palestiniens et Palestiniennes de Gaza à des conditions de vie destinées à entraîner leur destruction physique.»

«Depuis plus d’un an, la population palestinienne de Gaza a été déshumanisée et traitée comme un groupe de sous-humains ne méritant pas le respect de ses droits fondamentaux, ni de sa dignité», ajoute Amnesty dont les conclusions sont accablantes et doivent sonner comme un signal d’alarme pour la communauté internationale : il s’agit d’un génocide, qui doit cesser immédiatement.

Agnès Callamard, secrétaire générale d’AI a déclaré : «Nos équipes de chercheur·ses et d’expert·es ont examiné et analysé rigoureusement et méthodiquement un ensemble de faits survenus entre octobre 2023 et juillet 2024, qui par leur récurrence, leur simultanéité, leurs effets immédiats ou leurs conséquences cumulées s’avèrent constituer des actes relevant de la Convention sur le génocide.» 

«Nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions d’un tel rapport. Nous avons dit précédemment et continuons de penser que les allégations de génocide sont infondées», a ainsi estimé, dans une déclaration à la presse, Vedant Patel, porte-parole adjoint du département d’Etat, dont l’effronterie n’a d’égal que l’hypocrisie et le cynisme lorsqu’il fait part de son «inquiétude constante sur l’impact que ce conflit a sur les civils et les morts civils, lit-on de même source.»

I. B.

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La Bundesliga explose tous les records : 4,5 milliards d’euros de droits TV !

TVLa Ligue allemande de football, responsable de l’attribution des droits de diffusion des compétitions des deux premières divisions, a annoncé qu’elle allouerait environ 4,5 milliards d’euros (4,76 milliards de dollars) aux 36 clubs professionnels sur les quatre prochaines années.

Hans-Joachim Watzke, porte-parole du comité exécutif de la Ligue, a déclaré que l’appel d’offres pour les droits de diffusion pour la période 2025-2026 à 2028-2029 avait généré 84 millions d’euros de plus que la période précédente de quatre ans.

Cela représente une augmentation de 2%, un résultat notable à un moment où la valeur des droits de diffusion connaît une baisse au niveau international.

Watzke a affirmé : «Nous avons prouvé que notre championnat est extrêmement attractif.»

Les droits de diffusion télévisée payants seront partagés entre Sky Deutschland et la plateforme DAZN, tandis que la chaîne publique ARD conservera les droits pour les diffusions gratuites.

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