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La Russie annonce une alliance BRICS+IA

Le Fonds d’investissement direct russe (RDIF – ou Russien direct investment fund) a annoncé, mercredi 11 décembre 2024, le lancement d’une alliance au sein du groupe BRICS visant un développement conjoint de l’intelligence artificielle (IA).

Le directeur général du RDIF, Kirill Dmitriev, a fait cette annonce en marge de la conférence AI Journey à Moscou. Plus de 20 entreprises de six États membres du bloc (Russie, Chine, Inde, Brésil, Iran et Émirats arabes unis) ont déjà rejoint l’alliance BRICS+IA.

Parmi les plus de 50 entreprises qui seraient favorables à la création d’une alliance figurent des universités, sociétés médicales, développeurs pharmaceutiques, développeurs d’infrastructures financières, innovateurs en télécommunications et autres fabricants de batteries électriques et de semi-conducteurs, selon M. Dmitriev.

La nouvelle alliance se concentrera sur les technologies numériques dans les secteurs public et commercial, selon le RDIF. « Cela est particulièrement important étant donné que de nombreux pays occidentaux cherchent à limiter l’accès des BRICS aux technologies de l’IA », a déclaré M. Dmitriev, soulignant le « rôle important » de la nouvelle alliance.

L’alliance pourrait permettre au groupe BRICS de développer des technologies d’IA « plus rapidement et plus efficacement », grâce à des développements conjoints.

A noter que le RDIF est le fonds souverain russe créé par le gouvernement en 2011 pour investir dans les entreprises des secteurs à forte croissance de l’économie russe. L’idée de créer une alliance BRICS+IA a été présentée au président russe Vladimir Poutine lors du sommet BRICS de Kazan en octobre.

S’exprimant lors de la conférence sur l’IA, mercredi 11 décembre, Poutine a déclaré que le développement de cette technologie était crucial pour la souveraineté scientifique et idéologique de la Russie, tout en soulignant la volonté de son pays de s’associer à des innovateurs au niveau international.

Par ailleurs, il faut souligner que le statut de « pays partenaire » permet aux pays membres du BRICS de participer en permanence aux sessions spéciales des sommets et aux réunions des ministres des Affaires étrangères, ainsi qu’à d’autres événements de haut niveau. Les partenaires peuvent également contribuer aux documents finaux du groupe.

La liste des partenaires potentiels n’a pas été officiellement annoncée, mais les médias ont également mentionné l’Algérie, Cuba, le Kazakhstan, le Nigeria, la Turquie, l’Ouganda, l’Ouzbékistan et le Vietnam comme candidats potentiels.

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UBS : les tarifs douaniers de Trump ralentiront la croissance de la zone euro

UBS examine l’impact d’éventuels tarifs douaniers de Trump sur la zone euro avec un certain nombre d’hypothèses différentes et conclut que les tarifs seront davantage un choc pour la croissance de la zone euro qu’un choc pour l’inflation, a rapporté le magazine Capital mercredi 11 décembre 2024.

Un problème clé qu’il souligne est que l’impact dépend en grande partie du fait que les tarifs douaniers de l’UE soient appliqués isolément ou en tandem avec la hausse des tarifs en Chine et dans le reste du monde.

Par exemple, si les États-Unis imposaient des droits de douane uniquement à l’Europe et que l’Europe y répondait, l’impact inflationniste sur l’économie européenne serait fonction des droits de douane sur les importations, du degré de dépréciation de la monnaie et du ralentissement relatif de la croissance. Nous pourrions voir l’inflation de la zone euro augmenter de 26 points de base au niveau du déflateur du PIB et d’environ la moitié au niveau de l’IPC.

Cependant, si les droits de douane sont combinés à des droits de douane américains plus élevés sur la Chine et si la monnaie chinoise se déprécie par rapport à l’euro, la baisse du coût des importations chinoises pourrait largement compenser l’impact inflationniste des propres droits de douane européens, selon UBS.

En substance, les tarifs douaniers de l’UE qui seront combinés à des représailles affecteront 10 % des 300 milliards d’euros d’importations pour les États-Unis. Tandis que la dévaluation de la monnaie chinoise affecte les importations totales pour une valeur de 400 milliards d’euros de Chine, estime l’institution.

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Les prix de l’or ont chuté sur fond de prises de bénéfices

Les prix de l’or ont chuté, jeudi 12 décembre 2024. Alors que les investisseurs ont pris leurs bénéfices; après que les prix ont enregistré plus tôt dans la journée leur plus haut niveau depuis plus d’un mois. Et ce, dans un contexte d’attentes croissantes selon lesquelles la Réserve fédérale (la Banque centrale américaine) réduirait les taux d’intérêt la semaine prochaine.

L’or a chuté dans les transactions instantanées de 0,5 % à 2 704,41 dollars l’once ce matin, après avoir enregistré son plus haut niveau depuis le 6 novembre plus tôt dans la séance.

Les contrats à terme sur l’or américain ont également chuté de 0,5 % à 2 744,60 dollars, rapporte Reuters. Selon l’outil « Feed Watch » du CME, les traders s’attendent désormais, à 98,4 %, à  ce que la Réserve fédérale américaine réduise les taux d’intérêt de 25 points de base le 18 décembre; contre une probabilité d’environ 86 % avant le rapport sur l’inflation aux États-Unis.

Par ailleurs, les prix à la consommation aux États-Unis ont enregistré leur plus forte hausse en sept mois en novembre. Mais il est peu probable que cela dissuade la Réserve fédérale américaine de réduire ses taux d’intérêt pour la troisième fois la semaine prochaine, dans un contexte de ralentissement du marché du travail.

L’or est généralement considéré comme un investissement sûr en période de troubles économiques et géopolitiques et augmente dans un environnement de taux d’intérêt bas.

Quant aux autres métaux précieux, l’argent a chuté de 0,3 % à 31,84 dollars l’once, le platine a chuté de 0,2 % à 937,55 dollars et le palladium a chuté de 0,2 % à 979,91 dollars.

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Chine : le yuan sous pression en raison des anticipations de dépréciation

Le yuan a subi jeudi 12 décembre une nouvelle pression face au dollar, abandonnant une partie de ses gains initiaux. Les marchés réfléchissant à un rapport de Reuters selon lequel la Chine pourrait affaiblir sa monnaie pour résister au risque de droits de douane américains.

Le yuan était en baisse de 0,03 % à 7,2637 pour un dollar tôt dans la matinée de jeudi 12 décembre 2024. Et ce, après avoir évolué dans une fourchette de 7,2565 à 7,2677.

Reuters a rapporté mercredi 11 décembre, citant des sources, que les principaux dirigeants et décideurs politiques chinois envisageaient de laisser le yuan s’affaiblir en 2025. Alors qu’ils se préparent à des tarifs douaniers américains plus élevés lorsque Donald Trump reviendra à la Maison Blanche.

Lire aussi: La Chine pourrait dévaluer le yuan pour contrarier Trump, selon JP Morgan

Ajoutant à la pression sur la monnaie, les rendements à long terme chinois sont tombés à des niveaux historiquement bas en raison des attentes d’assouplissement monétaire. Creusant ainsi le désavantage de rendement par rapport aux États-Unis à son plus haut niveau depuis 22 ans.

Avant l’ouverture du marché, la Banque populaire de Chine a fixé le taux médian, autour duquel le yuan est autorisé à évoluer dans une bande de 2 %, à 7,1854 pour un dollar.

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L’Algérie augmente sa production pétrolière pour la première fois depuis trois mois

La production pétrolière en Algérie a augmenté en novembre 2024 de 1 000 barils par jour, après s’être stabilisée au cours des deux derniers mois. C’est ce qu’indiquent les données mensuelles publiées par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), mercredi 11 décembre 2024.

Avec sa hausse mensuelle, la production pétrolière du pays est restée au-dessus du quota prescrit selon la réduction volontaire mise en œuvre par le pays, en complément de la politique de l’alliance OPEP+.

Huit pays membres de l’alliance OPEP+, dont l’Algérie, ont décidé de prolonger les réductions volontaires de 2,2 millions de barils par jour pour une durée de trois mois, jusqu’à fin mars 2025. La quantité étant progressivement réinjectée en fonction des conditions du marché mondial.

Dans le même temps, les pays eux-mêmes ont décidé de prolonger de 1,65 million de barils par jour les réductions volontaires en vigueur depuis mai 2023 jusqu’à fin décembre 2026.

Production pétrolière en Algérie en novembre 2024

Les données mensuelles publiées par l’OPEP montrent donc que la production pétrolière en Algérie au cours du mois de novembre 2024 s’est élevée à 910 000 barils par jour; contre 909 000 barils par jour au cours du mois d’octobre précédent.

Ainsi, la production pétrolière a dépassé de 200 barils par jour le niveau estimé du pays à 908 000 barils de brut par jour, selon la politique de l’alliance OPEP+ et les réductions volontaires mises en œuvre par l’Algérie.

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En 2025, les revenus de l’aviation dépasseront les 1 000 milliards de dollars

L’Association du transport aérien international (IATA) a annoncé, mardi 10 décembre 2024, qu’elle s’attend à ce que l’industrie aéronautique mondiale réalise des revenus supérieurs à mille milliards de dollars d’ici 2025. Et ce, avec un nombre de passagers atteignant des niveaux records.

Mais, selon Willie Walsh, directeur général de l’IATA, l’industrie aéronautique est confrontée à des défis majeurs. Ils sont liés aux retards dans la livraison des nouveaux avions, qu’il a qualifié de situation « inacceptable ».

En effet, les compagnies aériennes du monde entier souffrent d’un ralentissement des livraisons d’avions. Et ce, en raison des problèmes auxquels sont confrontés Boeing, Airbus et leurs fournisseurs.

Ce retard entrave la capacité des entreprises à améliorer leur efficacité énergétique. Ce qui augmente les coûts opérationnels et affecte la capacité d’accueil d’un plus grand nombre de passagers.

Vives critiques de l’IATA

Lors d’une conférence de presse à Genève en Suisse, Willie Walsh a exprimé l’impatience des compagnies aériennes face à cette crise : « Nous leur avons laissé du temps, mais la situation actuelle est inacceptable. Les fournisseurs pratiquent des méthodes quasi monopolistiques et semblent profiter des problèmes qu’ils rencontrent ».

Ainsi, M. Walsh souligne la nécessité d’accroître la pression sur les fournisseurs clés. Et peut-être de rechercher un soutien externe pour les forcer à améliorer leurs performances.

A cet égard, relevons qu’Airbus a réduit ses objectifs de livraison d’avions en juillet dernier. Tandis que Boeing avait confirmé un ralentissement de la production. En cause : les grèves et une surveillance réglementaire accrue après une crise de sécurité.

Malgré ces défis, l’IATA estime que l’industrie aéronautique est sur la bonne voie pour atteindre une croissance significative à long terme. Tout en notant que l’amélioration de l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement sera un facteur crucial pour assurer la durabilité de cette croissance et réaliser les revenus attendus.

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Ebury s’attend à une baisse des taux de 25 points de base de la BCE

« Nous nous attendons à ce que la BCE agisse avec prudence, jeudi 12 décembre 2024, et procède à une nouvelle baisse des taux de 25 points de base ». C’est ce qu’a déclaré le prévisionniste le mieux classé par BloombergEbury’ dans son commentaire avant la réunion de la Banque centrale européenne de ce jeudi.

Comme il le souligne, « il y aura probablement un débat houleux entre les membres du Conseil qui adoptent une position plus agressive et ceux qui sont en faveur d’une approche plus modérée. Et la présidente de la BCE, Christine Lagarde, reconnaîtra qu’il y a eu des discussions sur la possibilité d’un large vote de 50 % ».

Cela devrait également mettre en lumière les risques croissants qui pèsent sur l’économie de la zone euro. Ils découlent notamment de l’instabilité politique en Allemagne et en France. Mais aussi de la perspective de droits de douane élevés sous le nouveau mandat de Trump.

Cette incertitude devrait se refléter dans les données macroéconomiques actualisées, qui, selon nous, montreront une croissance et une inflation plus faibles que prévu en 2025. Toute révision à la baisse des indices ci-dessus sera surveillée de très près par les investisseurs. Une forte révision à la baisse des prévisions d’inflation structurelle serait particulièrement négative pour l’euro, dans la mesure où les marchés réagiraient probablement en intégrant un taux d’intérêt de la BCE beaucoup plus bas pour 2025.

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La BEI décaisse 3 Mrds d’euros pour les jeunes agriculteurs et la bioéconomie

Un montage financier de 3 milliards d’euros pour l’agriculture, la sylviculture et la pêche dans toute l’Europe, combiné à des mesures visant à renforcer l’assurance agricole, a été annoncé, mardi 10 décembre 2024, par la présidente du Groupe Banque européenne d’investissement (BEI), Nadia Calviño.

Les prêts du Groupe BEI seront complétés par une participation égale d’autres institutions financières. Libérant ainsi des investissements à long terme s’élevant à 8,4 milliards d’euros environ pour le secteur de la bioéconomie.

Ce soutien constitue la plus grande initiative de financement de la BEI en faveur de l’agriculture européenne. Et il sera destiné aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux entreprises de taille moyenne. Le financement sera étalé sur les trois prochaines années et les premiers prêts devraient être signés au premier semestre 2025.

Une partie des prêts sera versée à de jeunes agriculteurs, car ils ont généralement plus de mal à obtenir un financement bancaire traditionnel. Le soutien financier se concentrera également sur les agricultrices. Et ce, afin de remédier au déséquilibre entre les sexes dans l’agriculture. Mais aussi sur les investissements verts pour soutenir les objectifs de durabilité de l’Union européenne.

« L’agriculture fait partie intégrante de la vie européenne et constitue un élément productif de notre économie et de notre sécurité. Le financement annoncé aujourd’hui par le Groupe BEI contribuera à assurer l’avenir d’une nouvelle génération d’agriculteurs, d’entreprises agroalimentaires et de la chaîne de valeur de la bioéconomie ». C’est ce qu’a déclaré pour sa part la présidente de la BEI, Nadia Calviño, lors de la conférence de la deuxième édition des Journées agroalimentaires de l’UE à Bruxelles (10-12 décembre 2024).

Le nouveau financement vise à stimuler les investissements dans une série d’activités, notamment la santé des sols, les outils numériques, la gestion de l’eau et la résilience climatique.

En outre, il vise à renforcer la formation aux pratiques agricoles durables et l’achat de terres par de jeunes agriculteurs/agricultrices. Contribuant ainsi à augmenter le pourcentage d’agriculteurs européens de moins de 40 ans (12 %) et le pourcentage de femmes (31,6 %).

Au final, le Groupe BEI travaillera en étroite collaboration avec la Commission européenne pour mettre en œuvre ce plan. Et ce, afin de maximiser les sources d’investissement public, de mobiliser les capitaux privés et de réduire les risques liés aux capitaux privés dans le secteur agricole.

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Les pays voisins de la Russie connaissent un boom économique

La Banque eurasienne de développement a annoncé une croissance record dans la région eurasienne en 2024.

Les économies de l’Union économique eurasienne (UEE) ont connu une croissance rapide, stimulées par les sanctions occidentales liées à l’Ukraine et par une demande croissante. Leur PIB collectif dépassant 4 % cette année. C’est ce qu’indique un rapport de la Banque eurasienne de développement (BED), publié mercredi 11 décembre 2024.

Dans ses dernières prévisions macroéconomiques pour 2025-2027, le PIB cumulé du bloc économique des cinq pays, comprenant la Russie, le Kazakhstan, la Biélorussie, l’Arménie et le Kirghizstan, augmentera de 4,2 % en 2024, dépassant la moyenne mondiale qui est de 3,2 %.

Malgré un environnement mondial de plus en plus complexe et difficile, les membres du bloc économique – dominée par la Russie et les pays d’Asie centrale – ont fait preuve de résilience, souligné la BED dans son rapport. L’année en cours a également marqué la meilleure performance des nations eurasiennes depuis 2012, à l’exclusion d’une période de reprise post-pandémie, a ajouté la banque.

Selon l’économiste en chef de la BED, Evgeny Vinokurov, le PIB nominal de la région devrait dépasser les 500 milliards de dollars en 2024. La population de l’Asie centrale, qui a augmenté de plus de 3 % au cours des deux dernières années pour atteindre 80 millions d’habitants, présente une « fenêtre d’opportunité démographique » qui pourrait alimenter la croissance économique pour les 15 à 20 prochaines années, a-t-il déclaré.

 « L’économie d’Asie centrale est devenue un acteur majeur. Elle est attractive pour les investissements. De même qu’elle constitue un marché de vente dynamique et revêt une importance stratégique pour le potentiel de transport et de transit », a déclaré M. Vinokurov.

Les économies russe et biélorusse continueront de croître respectivement de 2,4 % et 2,6 % en 2025, a-t-il indiqué. L’institution financière s’attend également à ce que le PIB de l’Arménie et du Kazakhstan augmente de 5,5 %, celui du Kirghizistan de 8,7 % et celui du Tadjikistan de 8,4 %, grâce à l’activité industrielle et aux investissements.

La Russie a intensifié ses efforts pour développer ses échanges commerciaux et d’autres aspects de sa coopération économique avec les pays alliés. Et ce, alors qu’elle fait face à des sanctions occidentales sans précédent. Le pays a également activement transféré ses échanges commerciaux du dollar et de l’euro vers les monnaies nationales avec les membres de l’UEE et d’autres partenaires de la région.

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Israël lance « l’une des plus grandes » attaques contre la Syrie, selon les médias

Des avions de guerre auraient frappé plus de 250 cibles militaires dans le pays. Israël a lancé une attaque de grande envergure contre des cibles en Syrie, avec des bombardements aériens sur au moins trois aéroports et d’autres infrastructures après la chute du régime de Bachar al-Assad, selon plusieurs médias. Des chars israéliens auraient quitté la zone tampon adjacente au plateau du Golan occupé, à la frontière syrienne, et se seraient dirigés vers Damas, bien que Jérusalem ait démenti, mardi 10 décembre 2024, ces allégations.

Une source de sécurité israélienne anonyme a déclaré à la radio de l’armée israélienne que « plus de 250 cibles militaires ont été attaquées en Syrie ». Tout en décrivant l’assaut comme « l’une des plus grandes opérations d’attaque de l’histoire de l’armée de l’air ».

Les cibles comprenaient « des bases de l’armée d’Assad, des dizaines d’avions de chasse, des dizaines de systèmes de missiles sol-air, des sites de production et des entrepôts… ».

Le Jerusalem Post, citant des sources de sécurité syriennes, a affirmé que les frappes aériennes visaient la base aérienne de Qamishli à la frontière turque, la base de Shinshar près de la frontière libanaise et l’aéroport d’Aqaba au sud-ouest de Damas.

D’autres attaques auraient visé un centre de recherche et un centre de guerre électronique dans la région de la capitale syrienne. Al Mayadeen a également affirmé qu’Israël avait attaqué des usines de défense dans la campagne du sud d’Alep.

A noter qu’Israël a commencé des opérations militaires actives en Syrie après que le groupe djihadiste Hayat Tahrir-al-Sham (HTS) a lancé une offensive surprise contre les forces gouvernementales qui a conduit à l’effondrement rapide du régime et à l’exil de l’ancien président en Russie.

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Google affirme avoir résolu un défi informatique quantique avec une nouvelle puce

Google a annoncé, lundi 9 décembre 2024, avoir surmonté un défi majeur de l’informatique quantique avec une nouvelle génération de puces, résolvant en cinq minutes un problème informatique qui prendrait à un ordinateur classique plus de temps que l’histoire de l’univers.

Comme d’autres géants de la technologie tels que Microsoft et International Business Machines IBM, Google, filiale d’Alphabet, se lance dans l’informatique quantique. Car celle-ci promet des vitesses de calcul bien supérieures à celles des systèmes les plus rapides d’aujourd’hui.

Bien que le problème mathématique résolu par le laboratoire quantique de Santa Barbara, en Californie, n’ait pas d’application commerciale, Google espère que les ordinateurs quantiques résoudront un jour des problèmes de médecine, de chimie des batteries et d’intelligence artificielle qui sont hors de portée des ordinateurs actuels.

Les résultats publiés lundi proviennent d’une nouvelle puce appelée Willow qui comporte 105 « qubits », qui sont les éléments de base des ordinateurs quantiques. Les qubits sont rapides mais sujets aux erreurs. Car ils peuvent être perturbés par quelque chose d’aussi petit qu’une particule subatomique provenant d’événements dans l’espace.

À mesure que de plus en plus de qubits sont intégrés à une puce, ces erreurs peuvent s’accumuler au point de la rendre aussi peu performante qu’une puce d’ordinateur classique. C’est pourquoi, depuis les années 1990, les scientifiques travaillent sur la correction d’erreurs quantiques.

Dans un article publié lundi dans la revue Nature, Google a déclaré avoir trouvé un moyen d’enchaîner les qubits de la puce Willow de manière à ce que les taux d’erreur diminuent à mesure que le nombre de qubits augmente. L’entreprise affirme également pouvoir corriger les erreurs en temps réel, une étape clé pour rendre ses machines quantiques pratiques.

« Nous avons dépassé le seuil de rentabilité », a déclaré Hartmut Neven, qui dirige l’unité Google Quantum AI, dans une interview.

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Draghi : le leadership franco-allemand s’est affaibli

L’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE) et ancien Premier ministre italien, Mario Draghi, a fait état, lundi 9 décembre 2024, d’un « vide de leadership » en Europe dû à l’affaiblissement du rôle traditionnellement joué par la France et l’Allemagne ensemble.

« Le leadership franco-allemand s’est affaibli, a jugé M. Draghi lors d’un événement public à Milan. Mais je ne vois aucun autre leadership capable de conduire l’Europe vers un avenir commun. Il y a un vide de leadership, mais nous devons être patients et attendre les résultats des élections allemandes, a-t-il ajouté.

Lire aussi : Les « dix commandements » de Mario Draghi pour l’Europe

M. Draghi fait référence à l’effondrement du gouvernement de coalition dirigé par le Parti social-démocrate en Allemagne, qui a conduit à de nouvelles élections en février 2025. Ainsi qu’au vote de censure du gouvernement du Premier ministre Michel Barnier en France. Le président français Emmanuel Macron est désormais appelé à nommer un nouveau Premier ministre. Ce qu’il a promis de faire prochainement.

A rappeler que M. Draghi – l’ancien puissant président de la BCE (2011-2019) et plus tard président du Conseil italien (2021-2022) – a publié il y a quelques semaines un rapport sur l’avenir de l’UE, au nom de la Commission européenne. Dans son discours, il a évoqué un moment « difficile » pour l’Europe, et a appelé à l’optimisme pour que les Européens puissent réussir. « Parce que si vous êtes pessimiste, vous restez chez vous », a-t-il souligné.

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L’économie japonaise a enregistré une croissance de 1,2 % au troisième trimestre

Ce chiffre de croissance de 1,2 % de l’économie du Japon maintient les attentes d’une hausse des taux d’intérêt à court terme.

Un examen du produit intérieur brut du Japon au troisième trimestre par la Banque du Japon, le 9 décembre 2024, a montré que l’économie a connu une meilleure croissance que le chiffre initial. Ce maintient les attentes d’une hausse des taux d’intérêt à court terme.

En effet, l’économie japonaise a progressé de 1,2 % au cours du troisième trimestre, dépassant les attentes des analystes et l’estimation initiale de croissance de 0,9 %.

Ces données feront partie des facteurs que la Banque du Japon surveillera lors de sa prochaine réunion de politique monétaire les 18 et 19 décembre. Car certains analystes s’attendent à une hausse des taux d’intérêt à court terme par rapport à leurs niveaux actuels de 0,25 %.

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Le Maroc a accueilli près de 16 millions de touristes en 2024

Le ministère marocain du Tourisme a indiqué, lundi 9 décembre 2024, que le nombre de touristes ayant visité le Maroc depuis le début de l’année jusqu’à fin novembre a atteint 15,9 millions. Ce qui constitue une augmentation de 2,6 millions de touristes, soit 20 % par rapport à la même période de l’année 2023.

Le ministère explique dans un communiqué que cette hausse est due à l’augmentation significative des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté de 23 %, outre une forte croissance de 17 % du nombre de Marocains résidant à l’étranger. Le ministère a qualifié ces chiffres de « moment historique pour le tourisme marocain ».

Le Maroc a accueilli environ 1,3 million de touristes au cours du seul mois de novembre, soit une augmentation de 31 % par rapport au même mois de l’année dernière.

Dans ce contexte, la ministre du Tourisme, de l’Artisanat, de l’Economie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, a affirmé que ces résultats représentent « une étape sans précédent dans l’histoire du tourisme marocain ». Tout en notant que les chiffres prouvent l’impact de la feuille de route qui a été élaborée et représentent également une étape importante vers la réalisation de cet objectif, plaçant le Maroc parmi les 15 premières destinations touristiques mondiales.

A rappeler que le ministère du Tourisme a lancé un plan s’étendant de 2023 à 2026 qui vise à construire une industrie touristique marocaine de classe mondiale, en vue d’atteindre 26 millions de touristes par an d’ici 2030. Pour ce faire, le gouvernement a alloué un budget de 6,1 milliards de dirhams (environ 598 millions de dollars) à ce plan.

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Reprise des activités bancaires en Syrie après la chute de Bachar al-Assad

La Banque centrale syrienne et les banques commerciales reprennent leurs activités mardi 10 décembre et le personnel a été invité à retourner au travail. C’est ce qu’ont déclaré, lundi 9 octobre, une source de la Banque centrale et deux banquiers commerciaux après la chute du régime de Bachar al-Assad

Les dépôts des citoyens syriens dans des banques syriennes opérationnelles sont en sécurité, a déclaré plus tôt la Banque centrale de Syrie dans un communiqué.

« La Banque centrale de Syrie poursuit son travail (…) et nous assurons à nos concitoyens traitant avec toutes les banques en activité que leurs dépôts et fonds placés auprès de celles-ci sont en sécurité », a indiqué l’institution, après des scènes de chaos devant certaines institutions publiques, dont la Banque centrale elle-même.

Dimanche 8 décembre, les rebelles, dans un communiqué « ont insisté sur la nécessité de préserver les biens publics et privés dans la capitale, Damas, et de les protéger (…) Les contrevenants s’exposent à des sanctions sévères pouvant inclure une peine d’emprisonnement ou une amende ».

Dans les bureaux de change de Damas, le krach de la monnaie syrienne (SYP) a acté la fin du régime de Bachar al-Assad et l’entrée dans l’inconnu. En trois jours depuis, le dollar a bondi de près de 50 % par rapport à la monnaie du pays. Dans la capitale, les Syriens doivent débourser 27 000 livres syriennes pour acheter 1 dollar, mais à Alep, première grande ville tombée aux mains des rebelles, le taux de change est encore bien plus défavorable, 41 000 livres par dollar.

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Trump s’est montré « réticent » à rencontrer Zelensky lors d’une visite à Paris

Le président français Emmanuel Macron a dû persuader le nouveau président américain Donald Trump de rencontrer le président ukrainien Vladimir Zelensky lors d’une visite à Paris. C’est ce qu’a rapporté, dimanche 8 décembre 2024 Axios, citant des sources.

Donald Trump est arrivé samedi à Paris pour assister à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, endommagée par un incendie en 2019. Ce voyage était la première visite à l’étranger de Donald Trump depuis sa victoire à l’élection présidentielle de novembre 2024.

La réunion trilatérale entre Donald Trump, Macron et Zelensky a eu lieu peu après la cérémonie de réouverture. Une source a déclaré à Axios que Donald Trump avait initialement été « réticent » à rencontrer Zelensky et avait pris la décision de tenir la réunion au dernier moment.

Selon les médias français, la rencontre n’aurait duré qu’environ 45 minutes. Aucun des trois hommes n’a ensuite parlé à la presse ni révélé de détails précis sur la rencontre.

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L’UE ne parvient pas à s’entendre sur de nouvelles sanctions contre la Russie

Deux États membres de l’UE ont bloqué le 15ème paquet de sanctions proposé contre la Russie retardant ainsi la dernière série de mesures anti-Moscou, rapporte Reuters citant des diplomates anonymes à Bruxelles.

Le bloc a adopté une série d’embargos contre Moscou pour montrer son soutien à Kiev après l’escalade du conflit entre la Russie et l’Ukraine en 2022. Le dernier paquet aurait visé la flotte de pétroliers transportant du pétrole russe.

L’échec de la dernière réunion du vendredi 5 décembre serait dû à un désaccord sur la prolongation du délai accordé aux entreprises de l’UE pour se désinvestir de la Russie, ont déclaré à Reuters des sources diplomatiques anonymes.

Si Reuters n’a pas identifié les deux pays qui ont émis des objections, Politico a indiqué qu’il s’agissait de la Lettonie et de la Lituanie. L’UE a l’intention de reprendre les discussions sur ce projet à une date ultérieure.

L’un des problèmes de l’UE était le différend sur les livraisons de produits pétroliers russes. Alors que l’UE a interdit la plupart des importations de pétrole en provenance de Russie en 2022, la République Tchèque, la Slovaquie et la Hongrie ont bénéficié d’exemptions car elles ne parvenaient pas à trouver d’autres fournisseurs.

En vertu d’un accord qui devait expirer jeudi, le raffineur slovaque Slovnaft, propriété du groupe hongrois MOL, a pu continuer à vendre des produits pétroliers russes aux Tchèques. Prague a déclaré qu’elle n’avait pas besoin de prolonger l’accord de plus de six mois, car elle se préparait à passer à un pipeline modernisé reliant l’Italie à l’Allemagne. Bratislava souhaitait cependant une prolongation plus longue.

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Le Maroc envisage de financer l’expansion du chemin de fer à hauteur de 8,8 milliards de dollars

Le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a déclaré, dimanche 8 décembre 2024, que l’Office national des chemins de fer du Maroc recherchait 8,8 milliards de dollars auprès des investisseurs pour financer son plan d’expansion.

Il a ajouté aux journalistes, après la conclusion du Forum d’investissement en Afrique (Africa Investment Finance – AIF) de trois jours à Rabat, que les investisseurs sont prêts à financer l’Office national des chemins de fer du Maroc avec un montant supérieur à celui requis. D’ailleurs, le montant total des offres de financement s’est élevé à plus de 13 milliards de dollars.

A cet égard, notons que la Banque africaine de développement (BAD) s’associe à d’autres banques et institutions financières pour financer certains grands projets de développement à travers le continent.

Ainsi, au cours du forum, la BAD a pu lever un financement total d’une valeur de 29,2 milliards de dollars pour des projets de développement en Afrique dans les domaines de l’approvisionnement en eau, de l’énergie, des transports, des investissements directs, du tourisme, des infrastructures et des produits pharmaceutiques.

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En Chine, l’inflation au plus bas en cinq mois

L’inflation en Chine est tombée à son plus bas niveau depuis cinq mois en novembre, en deçà des attentes des analystes, à un taux annualisé de 0,2 %. C’est ce qu’il ressort des données publiées lundi 9 décembre 2024 par le Bureau national des statistiques du pays.

Les analystes interrogés par Reuters s’attendaient à une légère hausse de l’inflation des prix de détail à 0,5 % en novembre sur un an, contre 0,3 % en octobre.

L’inflation sous-jacente, quant à elle, qui exclut la volatilité des prix des produits alimentaires et des carburants, a été enregistrée à 0,3 % en novembre contre 0,2 % en octobre.

Sur une base annuelle, les prix du porc et des légumes frais ont augmenté respectivement de 13,7 % et 10,0 %.

L’indice des prix à la production de la Chine, ou inflation de gros, a chuté pour le 26ème mois consécutif. L’inflation de gros a chuté de 2,5 % sur un an en novembre. Soit moins que la baisse estimée à 2,8 % selon une enquête Reuters.

Parmi l’indice des prix d’achat des producteurs industriels, les prix des métaux ferreux ont chuté de 7,1 %. Les combustibles et l’énergie ont connu une baisse de 6,5 %. Tandis que les matières premières chimiques ont connu une baisse de 5 %.

Même si la déflation de l’IPP en Chine s’est légèrement atténuée, elle semble encore bien ancrée, a déclaré Erica Tay, directrice de la recherche macroéconomique à Maybank.

« Les stocks intégrés d’intrants manufacturiers et de produits finis sont importants et augmentent chaque mois. Cette inadéquation entre l’offre et la demande a fait pression sur les prix », a-t-elle déclaré par courrier électronique à la chaîne américaine CNBC.

La persistance d’une faible inflation des prix de détail, proche de zéro, montre que la Chine est toujours aux prises avec une demande intérieure atone. Tandis que les prix de gros restent en territoire déflationniste. Ceci malgré les efforts déployés par Pékin pour stimuler l’économie depuis septembre. Lesquels comprennent des réductions de taux d’intérêt, un soutien aux marchés boursiers et immobiliers et des efforts pour stimuler les prêts bancaires.

« Nous pensons que la déflation va se poursuivre en Chine, notamment sur la base de l’expérience passée lors des guerres commerciales ». C’est ce qu’a déclaré Becky Liu, responsable de la stratégie macroéconomique chinoise à la Standard Chartered Bank. En faisant référence à la guerre commerciale en cours entre la Chine et les États-Unis.

« L’inflation, en particulier l’inflation de gros, tombe généralement en territoire négatif dans de telles périodes et nous ne voyons aucune exception cette fois-ci », a-t-elle déclaré. Mme Liu a noté que l’inflation de l’indice des prix à la production en Chine resterait probablement négatif tout au long de 2025.

De même, Goldman Sachs s’attend à ce que des chiffres d’inflation proches de zéro persistent en Chine l’année prochaine, ont écrit les analystes de la banque d’investissement dans une note datée du 6 décembre.

Cependant, d’autres secteurs de l’économie chinoise ont montré des signes de reprise. La deuxième économie mondiale a enregistré une forte croissance de ses ventes au détail en octobre, dépassant les attentes des analystes. L’activité manufacturière chinoise a également progressé pendant deux mois consécutifs en octobre et novembre.

Lundi 9 décembre, Fitch a révisé à la baisse ses prévisions de croissance du PIB chinois en 2025, passant de 4,5 % à 4,3 %. L’agence de notation a également ajusté sa prévision de croissance pour 2026 à 4 %, contre 4,3 % en septembre.

« Pour 2025 et 2026, nous supposons que la politique commerciale américaine à l’égard de la Chine prendra un virage brutal vers le protectionnisme », a écrit l’économiste en chef de Fitch, Brian Coulton, dans le rapport.

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