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ZOOM – Trois Scénarios géopolitiques pour 2025 et implications pour le Maghreb

À l’aube de 2025, le monde pourrait s’engager dans trois trajectoires géopolitiques majeures, chacune influencée par des événements et des décisions stratégiques d’envergure mondiale.

Ces scénarios s’articulent autour du second mandat de Donald Trump, des ajustements économiques de la Chine et de l’escalade des tensions au Moyen-Orient.

Leurs implications, bien que globales, auront des effets tangibles sur le Maghreb, une région à la croisée des dynamiques économiques et sécuritaires internationales.

 

Scénario 1  – Trump réduit les impôts et augmente les droits de douane : un double effet, une stimulation nationale et une guerre commerciale mondiale

Les analystes prévoient que le second mandat de Donald Trump sera marqué par une importante réforme fiscale. Le Congrès devrait adopter, d’ici fin 2025, des réductions d’impôts représentant une impulsion de 0,9 % du PIB en 2026.

Toutefois, cette stimulation économique s’accompagnera d’une guerre commerciale exacerbée par une hausse des droits de douane, principalement ciblant les partenaires clés des États-Unis, dont la Chine.

Conséquences économiques :

  • Impact sur les ménages américains : bien que la réduction d’impôts puisse temporairement accroître le pouvoir d’achat des ménages, cette dynamique pourrait être annulée par la hausse des taxes douanières. Les revenus des ménages américains pourraient diminuer de 2,9 % à 6,3 %, annulant ainsi les gains fiscaux.
  • Effet sur les investissements : l’incertitude provoquée par cette guerre commerciale pourrait réduire les investissements, en particulier dans les secteurs dépendant des chaînes d’approvisionnement mondiales. Cela risquerait d’affecter le secteur technologique, les biens manufacturés et les marchés financiers.
  • Déficit budgétaire accru : les droits de douane ne suffiront pas à compenser les pertes fiscales liées à la réforme. Les analystes anticipent une hausse des déficits publics, ajoutant une pression économique interne.

Implications pour le Maghreb 

Le Maghreb, fortement dépendant des échanges commerciaux internationaux et des transferts de capitaux, pourrait ressentir indirectement les effets de cette guerre commerciale :

  • Une contraction de la demande globale en Chine et aux États-Unis réduirait les exportations maghrébines, notamment dans les secteurs de l’énergie (pétrole et gaz) et des matières premières.
  • Une volatilité accrue sur les marchés financiers mondiaux pourrait limiter les flux d’investissements directs étrangers (IDE) vers la région.
  • Enfin, la pression sur les balances commerciales et les devises locales pourrait exacerber les tensions économiques et sociales déjà présentes.

 

Scénario 2 – La Chine intensifie ses dépenses : une stratégie de résilience face aux tensions commerciales

La Chine, en réponse aux pressions commerciales et géopolitiques, pourrait adopter des mesures visant à limiter sa dépendance vis-à-vis des États-Unis tout en renforçant son économie interne. Les analystes anticipent des politiques budgétaires ciblées, mais Pékin évitera probablement un recours massif à des mesures de relance, préférant réserver ses marges de manœuvre pour une éventuelle récession mondiale.

Mesures envisagées :

  • Diversification commerciale : Pékin pourrait renforcer ses partenariats avec des pays non américains, notamment en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Cette stratégie inclurait une intensification des échanges avec le Maghreb, favorisant des projets d’infrastructure et d’industrialisation.
  • Focus sur l’industrie nationale : la Chine cherchera à réduire sa dépendance à l’importation de technologies et à consolider son autonomie dans des secteurs stratégiques, tels que l’intelligence artificielle et la transition énergétique.
  • Expansion militaire et stratégique : les tensions en Asie de l’Est, notamment autour de Taïwan, pourraient augmenter, entraînant une redistribution des alliances internationales.

Implications pour le Maghreb

Le Maghreb pourrait tirer profit de cette diversification :

Renforcement des échanges commerciaux : La stratégie chinoise de réduction de la dépendance aux États-Unis pourrait ouvrir des opportunités pour les pays maghrébins dans le cadre de l’Initiative « Belt and Road ».

Investissements en infrastructures : Pékin pourrait intensifier son soutien financier aux projets régionaux dans les domaines des transports, de l’énergie et de la connectivité numérique.

Dépendances stratégiques : Cependant, un engagement renforcé avec la Chine pourrait également exposer les pays maghrébins à des pressions politiques ou à des déséquilibres économiques, notamment en matière de dettes contractées auprès de Pékin.

 

Scénario 3 – Le risque géopolitique se déplace de la Russie à l’Iran : le Moyen-Orient, nouveau foyer de tensions

Avec l’apaisement attendu de la guerre en Ukraine et un probable cessez-le-feu en 2025, les tensions géopolitiques pourraient se concentrer sur le Moyen-Orient. Les analystes estiment à 75 % la probabilité d’une escalade militaire entre Israël et l’Iran, alimentée par les ambitions nucléaires de Téhéran et les sanctions américaines.

Facteurs clés :

  • Réseaux de mandataires iraniens : Téhéran pourrait intensifier son recours à des groupes alliés dans la région, augmentant l’instabilité en Irak, en Syrie et au Liban.
  • Riposte israélienne : Israël pourrait profiter d’une fenêtre stratégique pour tenter de démanteler les infrastructures nucléaires iraniennes.
  • Retour de Donald Trump : la politique de « pression maximale » de son administration pourrait exacerber les tensions régionales, aggravant les risques pour les partenaires commerciaux et énergétiques.

Implications pour le Maghreb 

Les répercussions d’une telle escalade se feraient sentir directement sur la région maghrébine :

Volatilité des prix de l’énergie : Une intensification des tensions au Moyen-Orient pourrait entraîner une hausse brutale des prix du pétrole, impactant les balances commerciales des pays importateurs comme la Tunisie et le Maroc.

Défis sécuritaires : Une instabilité accrue dans la région pourrait alimenter des flux migratoires ou des activités illicites à destination des côtes maghrébines.

Partenariats stratégiques : Les pays maghrébins, historiquement neutres dans ce type de conflit, pourraient être contraints de revoir leurs alliances en fonction des pressions internationales.

 

Le Maghreb face à des défis et des opportunités croisés

Les scénarios géopolitiques envisagés pour 2025 reflètent un monde en mutation rapide, où les rivalités croissantes et les ajustements stratégiques redessinent les rapports de force internationaux.

Dans ce contexte, le Maghreb se trouve à un carrefour critique, confronté à des défis immédiats mais aussi à des opportunités stratégiques à saisir.

  • Renforcement de la résilience économique face à la volatilité des marchés mondiaux.

La région maghrébine doit impérativement renforcer sa capacité à absorber les chocs externes, notamment ceux liés à la volatilité des prix des matières premières et des devises.

Les réformes structurelles, telles que la diversification des économies locales, l’amélioration de la gouvernance économique et le développement des secteurs stratégiques comme l’agriculture, l’énergie renouvelable et les technologies numériques, deviennent cruciales. Ces mesures permettront de réduire la dépendance excessive aux marchés internationaux et de renforcer l’autosuffisance économique.

  • Diversification des partenariats stratégiques

Les tensions croissantes entre les grandes puissances, notamment entre les États-Unis et la Chine, offrent une opportunité unique au Maghreb de diversifier ses alliances économiques et politiques.

L’intégration plus profonde dans des initiatives comme l’Initiative « Belt and Road » de la Chine ou le rapprochement avec les BRICS pourrait permettre à la région de bénéficier d’investissements massifs dans les infrastructures et la technologie.

Parallèlement, le maintien de relations équilibrées avec l’Europe, principal partenaire économique de la région, demeure une priorité pour garantir la stabilité des échanges commerciaux.

Anticipation des impacts sécuritaires et énergétiques.

L’instabilité croissante au Moyen-Orient, notamment en cas d’escalade des tensions entre Israël et l’Iran, pourrait avoir des répercussions directes sur le Maghreb.

Les pays importateurs d’énergie, comme la Tunisie et le Maroc, seraient particulièrement exposés à une flambée des prix du pétrole et du gaz, tandis que les producteurs, comme l’Algérie et la Libye, pourraient temporairement en tirer profit.

Cependant, ces avantages pourraient être contrebalancés par des risques sécuritaires accrus, notamment liés à l’augmentation des flux migratoires et aux activités transfrontalières illicites.

Les gouvernements doivent donc anticiper ces évolutions par une coordination régionale renforcée et une meilleure gestion des risques.

  • Une vision stratégique pour transformer les défis en opportunités.

Face à ces transformations globales, les pays maghrébins doivent développer une vision stratégique commune à long terme. Cela passe par :

  • La mise en place de politiques économiques axées sur la compétitivité, l’innovation et l’intégration régionale.
  • La création d’un environnement propice aux investissements étrangers tout en favorisant le développement des entreprises locales.
  • Une meilleure intégration régionale, notamment à travers l’Union du Maghreb Arabe, afin de créer un marché commun capable de rivaliser sur la scène internationale. 

En définitive, la région maghrébine dispose d’un potentiel unique pour transformer ces défis globaux en opportunités de développement.

En adoptant une approche proactive, les pays du Maghreb peuvent s’affirmer comme des acteurs stratégiques dans l’économie mondiale et construire un avenir durable pour leurs populations.

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

 

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UEFA LdC (J6) : Juventus vs Man City

Juventus de Turin vs Manchester City, c’est l’une des grosses affiches de la soirée de Ligue des champions d’Europe, mercredi 11 décembre, entre le 22ème et le 20ème, mais qui peinent également dans leur championnat.

Le match est à suivre sur BeIN Sports, RMC, Canal+ et sur le lien streaming Live Koora à partir de 21 heures.

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Kébili a déjà exporté 700 tonnes de dattes biologiques

Depuis le démarrage de la saison d’exportation des dattes en octobre et jusqu’au mois de décembre, environ 700 tonnes de dattes biologiques ont été exportées dans le gouvernorat de Kébili par deux entreprises installées dans la région, selon le chef du service de l’agriculture biologique au Commissariat régional au développement agricole, Mohamed Karrous.

D’après lui, la production de dattes biologiques dans le gouvernorat de Kébili a atteint 13 000 tonnes cette saison sur une superficie de 1 575 hectares exploitée par 700 agriculteurs, quantité cependant en baisse par rapport à la saison dernière qui avait enregistré une récole de 16 000e tonnes.

Cette baisse de la production est expliquée par deux raisons principales: la crainte des agriculteurs/producteurs de dattes biologiques de la propagation des insectes qui attaquent les palmiers, mais aussi la régression de la récolte des dattes dans la région d’environ 10%.

Avec TAP

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Ligue champions UEFA (J6) : où regarder Atalanta – Real Madrid

La Maison blanche est en danger à Atalanta pour la 6ème journée de la Ligue des champions d’Europe.

En effet, avec seulement quatre points au compteur et pointant à la 24ème position, les Merengue sont condamnés à gagner ce mardi contre les vainqueurs de la Ligue Europa 2023-2024.

Le match est suivre sur les chaînes de BeIN Sports, RMC et sur le lien streaming Live Koora, mardi 10 décembre, à partir de 21 heures.

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Ligue des Champions UEFA (J6) : Paris SG en danger!

Luis Enrique et ses poulains se déplacent sur le terrain de RB Salzburg, ce mardi 10 décembre. Et ce, pour un match comptant pour la 6ème journée de la Ligue des champions 2024-2025. Défaite interdite. A la limite même, un match nul n’arrangerait pas les affaires des Parisiens.

La rencontre RB Salzburg vs Paris Saint-Germain est à suivre sur BeIN Sports, RMC et sur le lien streaming Live Koora, à partir de 21 heures mardi 10 décembre 2024.

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Ligue champions UEFA (J6) : qui diffusera Girona vs Liverpool?

Avec cinq victoires en autant de matchs, et surtout en étant leader de la Premier League anglaise, Liverpool se déplace sur le terrain de Girona (9ème du championnat d’Espagne).

La rencontre sera diffusée par BeIN Sports, TMC, Canal+ et sur le lien streaming Live – Koora à partir de 18h45.

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Les champions africains émetteurs de crédits carbone, selon la CNUCED

« Un crédit carbone équivaut à la réduction d’une tonne de CO2 et peut être vendu sur les marchés obligataires ou volontaires », relève la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED).

Pourtant, en dépit de leur potentiel, regrette l’organisme onusien, peu de pays parmi les pays moins avancés (PMA) parviennent à tirer leur épingle du jeu sur les marchés du carbone volontaire et officiel.

D’abord une définition de PMA (pays moins avancés) s’impose. Selon Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la CNUCED, dans l’avant-propos du rapport intitulé Rapport 2024 sur les pays les moins avancés : « Mettre les marchés du carbone au service du développement », « les PMA sont les pays les plus vulnérables aux chocs économiques et environnementaux, caractérisés par des niveaux de développement humain et économique extrêmement faibles ».

Comment classe-t-on les PMA. L’Organisation des Nations unies effectue un classement tous les trois ans les PMA en tenant compte d’un certain nombre de critères comme le revenu national brut par habitant, l’indice de capital humain et la vulnérabilité économique. C’est ainsi qu’en 2024, les Nations unies ont classé 45 PMA, dont la plupart sont africains (33 exactement), huit en Asie, un dans les Caraïbes et trois dans le Pacifique, rapporte afrique.le360.ma.

La CNUCED explique que « le marché volontaire du carbone est un mécanisme d’échange de crédits-carbone non lié à une règlementation internationale. Les crédits carbone sont vendus sur deux marchés : le marché du carbone obligataire et le marché du carbone volontaire. Un crédit carbone équivaut à la réduction d’une tonne de CO2 ».

Ainsi, le rapport de la CNUCED inclut quatre PMA africains – la RD du Congo (14 %), l’Ouganda (11 %), le Malawi (8 %) et la Zambie (7 %) – parmi les six principaux émetteurs de crédits-carbone sur les marchés volontaires, totalisant 40 % de tous les crédits émis par les PMA. Cambodge et le Bangladesh (en Asie) complètent ce groupe restreint le portant à six.

En outre, et « dans le cadre du Mécanisme de Développement Propre (MDP), un mécanisme officiel des Nations unies permettant aux pays développés de financer des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement, ces six PMA représentent 80 % des crédits émis ».

« Le MDP permet aux pays développés de financer des projets de réduction des émissions dans les pays en développement et de recevoir en retour des crédits carbone qu’ils peuvent utiliser pour atteindre leurs propres objectifs de réduction des émissions », ajoute le rapport de la CNUCED.

Et 39 autres PMA – notamment africains – n’émettent qu’une part infime de crédits carbone. C’est le cas du Rwanda, du Sénégal, de l’Éthiopie, du Mozambique ou encore de Madagascar.

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Clap de fin pour le téléphone portable?

Mark Zuckerberg, le patron de Facebook n’a pas la science infuse, mais il ne dit pas n’importe quoi. Voici ce qu’il vient de prédire : la fin du smartphone approche.

Il n’est ans doute pas le premier et le seul à penser que dans quelques années le smartphone aura disparu, mais lui, Mark Zuckerberg, il a la connaissance approfondie des choses.

En tout cas, « les géants de la Tech, tels que Meta et Apple, misent de plus en plus sur les lunettes intelligentes. Ces dernières pourraient bien devenir notre prochain outil de communication et d’information quotidien, reléguant ainsi le smartphone au rang de simple d’accessoire », écrit le site spécialisé jeuxvideo.com.

Et de poursuivre en interrogeant : « Le téléphone portable, omniprésent dans nos vies depuis près de trois décennies, serait-il voué à disparaître? C’est en tout cas la vision que partagent de nombreux acteurs de la Tech. À commencer par Mark Zuckerberg, le PDG de Meta, qui a récemment annoncé, lors d’une vidéo sur la chaîne de Cleo Abram, que les lunettes intelligentes représenteraient la prochaine grande plateforme informatique ».

Comme nous l’avons souligné plus haut, la prédiction du patron de Meta s’appuie sur « l’observation que les utilisateurs privilégient de plus en plus la discrétion et la praticité. Les lunettes, qui se portent directement sur le visage, offrent une expérience plus immersive et moins intrusive que le smartphone – entre nous, je ne suis pas complètement convaincu ».

Alors qu’est-ce qui remplacera nos smartphones?

Ne pensez surtout pas que c’est de la science fiction qu’une paire de lunettes vienne prochainement prendre la place d’un téléphone portable. Ne dit-on pas qu’on n’arrête pas le progrès? Il suffit de voir comment, en l’espace de 30-40 ans le téléphone mobile est venu envahir notre quotidien. Qui l’aurait pensé cela dans les années 60-70, sauf un génie?

Tout ceci pour dire que la science et « les avancées technologiques récentes rendent cette perspective de plus en plus plausible ». Et que « les gros noms de la Tech investissent massivement dans ce secteur, chacun proposant sa propre vision des lunettes intelligentes. Apple, avec le Vision Pro, et Meta sont les acteurs les plus en vue, mais de nombreuses autres entreprises travaillent également sur des projets similaires », écrit notre source.

Mark Zuckerberg est même convaincu qu’avec son projet « Orion », ses lunettes intelligentes remplaceront complètement les smartphones d’ici une dizaine d’années.

Voici ce qu’il affirme : « Il viendra un moment où votre smartphone sera plus souvent dans votre poche qu’en dehors, et je pense que cela se produira dans les années 2030 et, bien que vous puissiez effectuer la tâche de manière plus complète ou plus efficace avec votre téléphone, les utilisateurs opteront pour la commodité des lunettes pour le faire ».

Rendez-vous dans six ans, donc!

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Lutte à Bruxelles et à la BCE sur le déficit budgétaire en France

Les yeux rivés sur Paris et le marché obligataire européen, Bruxelles et Francfort surveillent les nouvelles données. Et ce, dans un contexte politique français incertain qui affecte la deuxième économie européenne et constitue actuellement un centre d’inquiétude pour l’Europe. C’est ce que rapporte une analyse du magazine Capital, dimanche 8 décembre 2024.

Dans la situation géopolitique turbulente d’aujourd’hui, où l’Europe subit de plein fouet les effets de la guerre en Ukraine, qui se reflètent au plus haut point dans le paysage récessif de l’économie allemande, le problème politique français pourrait devenir un déclencheur de bouleversements plus importants dans les pays de l’édifice européen. C’est ce qu’affirment des acteurs connaissant les données économiques et le climat qui règnent au sein des services de Bruxelles et de la BCE.

Pour le moment, les perspectives du marché sont considérées comme très positives. Car les marchés boursiers européens continuent de progresser et les rendements obligataires restent stables. Malgré les développements politiques houleux en France, avec la chute du gouvernement Barnier et le rejet du budget français pour 2025 par le Parlement. Néanmoins, note Capital, les marchés obligataires ont déjà intégré les signaux négatifs qu’ils reçoivent de l’impasse dans laquelle se trouve la scène politique française et des obstacles érigés pour faire face au gonflement de la dette française.

Ainsi, le rendement de l’obligation française à 10 ans a grimpé à 2,9 %, dépassant le rendement de l’obligation grecque. Et la France est désormais le pays avec le deuxième coût d’emprunt le plus élevé d’Europe après l’Italie (3,2 %).

En outre, la dette publique française s’élève actuellement à 3 230 milliards Euros. Elle devrait augmenter en 2025 pour atteindre 115,3 % du PIB; contre 112,7 % du PIB estimé cette année. C’est pour cette raison qu’elle est entièrement entre des mains privées et que son service est affecté par les fluctuations du marché.

Selon le média, il est révélateur que pour refinancer sa dette en 2025, la France soit contrainte d’emprunter sur les marchés environ 310 milliards d’euros. La raison de la dette publique française élevée est le déficit budgétaire annuel, qui oscille autour de 6 % et qui répercute chaque année son inflation à des taux élevés. C’est la raison pour laquelle la Commission a engagé des procédures de déficit excessif à l’égard de la France.

Mais, le rejet du plan budgétaire 2025 limite les espoirs d’une réponse immédiate au problème budgétaire et d’une réduction du déficit à 5 %, comme annoncé initialement, avec la perspective d’une chute à 3 % du PIB dans les années à venir. Dans le même temps, le taux de croissance projeté de l’économie française est inférieur à 1 % et devrait atteindre 0,8 % en 2025.

Quoi qu’il en soit, Bruxelles et la BCE, comme le rapportent des sources compétentes au média, sont en veille, surveillant les développements et les nouvelles données.

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Nour Ghalia Abassi, fondatrice de DigiHealth, dans Forbes 30 Under 30 Suisse 2024

Elle a 29 ans. Elle est la fondatrice de DigiHealth. Elle est diplômée de l’EPFL. Il s’agit de  Nour Ghalia Abassi qui vient d’être intégrée dans le précieux Forbes 30 Under 30 Suisse.

La plateforme DigiHealth est dédiée à l’optimisation de la prise en charge des patients malades grâce à des technologies modernes. En clair, ses outils permettent aux patients et aux professionnels de santé de bénéficier de solutions personnalisées, efficaces et précises, notamment dans le domaine de la gastro-entérologie.

Nour Ghalia Abassi, avec un parcours académique impressionnant à l’EPFL, a su et pu conjuguer ses compétences en science des données et en entrepreneuriat technologique pour relever les défis de la santé mondiale. Ses recherches, ses collaborations avec des experts du domaine médical et son engagement à transformer les soins en gastro-entérologie font d’elle une figure incontournable de l’innovation en santé.

Et bien évidemment, cette reconnaissance par Forbes marque une étape clé dans l’ambition de Nour Ghalia Abassi de faire de DigiHealth un acteur de premier plan dans la digitalisation des services de santé.

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Météo : températures en forte baisse ce lundi

L’INM (Institut national de la météorologie) prévoit pour ce lundi 9 décembre 2024 un temps nuageux, avec des températures en forte baisse, qui seront accompagnées de pluies éparses qui seront temporairement orageuses sur les côtes nord.

Au nord-ouest, les températures ne dépasseront pas les 11 degrés, contre 18 degrés ailleurs dans le reste du pays.

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Mazarine Energy soutient deux centrales photovoltaïques de 20 MW à Kasserine

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a présidé la cérémonie de pose de la première pierre pour la construction de deux centrales photovoltaïques d’une capacité de 10 mégawatts chacune destinées à la production de l’électricité dans la délégation de Fériana, dans le gouvernorat de Kasserine.

Cette cérémonie s’est déroulée en présence de secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique Wael Chouchane, du président directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), Fayçal Trifa, du directeur général de l’électricité et de la transition énergétique, Belhassen Chaïboub, ainsi que de représentants des entreprises partenaires de ces projets et des bailleurs de fonds.

Kasserine
Kasserine

Les sociétés “Mazarine Energy” et “Qair” (producteur indépendant d’électricité français – IPP) superviseront la mise en œuvre de ces deux projets dans le cadre du système de licences, avec un financement de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), pour un coût avoisinant les 14,5 millions d’euros, soit environ 48 millions de dinars tunisiens.

A cette occasion, la ministre de l’Industrie a souligné que ces deux projets contribueront à renforcer le réseau électrique national, à garantir la qualité et la continuité de l’approvisionnement en électricité dans la région, et à répondre à la demande, notamment en période de pointe de consommation.
Elle a ajouté que la réalisation de ces projets s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale pour la transition énergétique, visant à intégrer les énergies renouvelables dans le mix énergétique national à hauteur de 35 % d’ici 2030.

Cette initiative permettra également d’encourager davantage l’investissement dans les énergies propres, ce qui pourrait réduire le déficit de la balance énergétique primaire.

Renaud Laneyrie
Renaud-Laneyrie-Country-Manager-Mazarine-Energy-Tunisia

Renaud Laneyrie (Country Manager Mazarine Energy Tunisie) a pour sa part estimé que la participation de sa compagnie dans ces projets prouve son engagement à soutenir la Tunisie afin d’atteindre ses objectifs en matière d’énergies renouvelables et de réussir sa stratégie visant à diversifier son mix énergétique.

Il précisera que la mise en œuvre de ces deux projets permettra d’atteindre une capacité combinée de production respectable de 10 MW, ajoutant au passage que Mazarine soutiendra d’autres projets en Tunisie pour appuyer l’économie nationale.

La directrice administrative et chargée de la communication au sein de Mazarine Energy Tunisie, Iman Ben Slimane Nahlaoui, soulignera dans ce cadre que même si « l’activité principale de notre compagnie est la production du gaz et du pétrole, mais l’appui de ce genre de projet s’inscrit dans une dynamique positive pour le soutien à la construction d’une infrastructure énergétique durable en Tunisie et pour le développement de l’investissement. Cela rentre dans le cadre de notre responsabilité sociétale ».

Elle a également indiqué que ces projets contribueront à réduire les émissions de gaz à effet de serre d’environ 17 000 tonnes par an et que leur mise en service est prévue avant l’été 2025.

Il est à rappeler que ces deux projets, qui visent à renforcer la transition énergétique en Tunisie, permettront de produire de l’électricité équivalente à la consommation de 30 000 foyers, tout en économisant environ 8 000 tonnes de gaz naturel par an, pour une valeur estimée à 4 millions de dollars.

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Une maladie mystérieuse frappe la RD Congo

Après le SIDA, l’Ebola et la Mpox, la République démocratique du Congo (RDC) fait face actuellement à une maladie non déterminée (MND), qualifiée de mystérieuse. Ce qui a obligé l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à dépêcher sur place une équipe d’experts.

Selon plusieurs sources citées par Reuters, cette maladie mystérieuse aurait déjà fait 143 victimes dans la province du sud-ouest de la RDC; un chiffre qui semble exagéré aux yeux du gouvernement de Kinshasa qui avance 79 morts, précisant que les victimes sont majoritairement des enfants âgés de plus de 15 ans.

A ce jour, quelque 376 personnes sont affectées par cette maladie non identifiée, mais qui a été signalée depuis le dimanche 10 novembre coïncidant avec les premiers décès rapportés dans la zone de santé de Panzi, en territoire de Kasongo-Lunda.

Quant aux symptômes, ils se manifestent pour les personnes infectées comme ceux de la grippe, à savoir « … une forte fièvre et de violents maux de tête », ont déclaré lundi Remy Saki, gouverneur adjoint de la province de Kwango, et Apollinaire Yumba, ministre provincial de la santé cités par la BBC.

Les symptômes rapportés sont :

  • La fièvre
  • Les maux de tête
  • L’écoulement nasal
  • La toux
  • Les difficultés respiratoires
  • L’anémie.

Alors va-t-on vers un problème de santé publique générale en Afrique?

Wait and see.

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La Tunisie adhère à l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté

La Tunisie a officiellement adhéré à l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté (AMCFP), lancée le 18 novembre 2024, lors des travaux du Sommet du G20 à Rio de Janeiro, à l’initiative du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva.

L’annonce a été fait par le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, lequel explique que « cette adhésion vient en concrétisation de la vision du président de la République, Kaïs Saïed, appelant à instaurer la justice, la solidarité, la coopération et l’égalité entre les Nations et les peuples ».

En outre, cette adhésion reflète la détermination constante de la Tunisie à lutter contre toutes les formes de pauvreté et d’inégalité, et réaffirme son soutien indéfectible à toutes les initiatives, en harmonie avec ses principes en faveur des causes justes des peuples du monde.

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La Tunisie dans le top 10 des pays africains les plus endettés vis-à-vis de l’extérieur en 2023

Si l’on se réfère aux données de la Banque mondiale, « le stock de la dette extérieure (publique et privée) des pays africains s’établissait, à fin 2023, à plus de 1 154 milliards de dollars ». Malheureusement, 70% de ce fardeau, qui pèse lourd sur leurs économies, est supporté par seulement dix pays. « La Banque mondiale, la BAD, le FMI, la Chine… figurent parmi les principaux créanciers publics », rapporte afrique.le360.com.

Il faut dire que, durant les dernières années, la conjoncture économique mondiale n’a été que difficile, soumise qu’elle est au Covid-19, à la guerre Russie-Ukraine, entre autres, situation qui a entraîné une « flambée des cours des matières premières et des hydrocarbures ayant ébranlé les finances publiques de presque tous les pays, particulièrement ceux du continent africain », rappelle la même source.

En effet, « les déficits publics abyssaux ont contraint ces pays à s’endetter davantage alors que les conditions d’emprunt étaient devenues beaucoup moins favorables à cause de la remontée des taux d’intérêt suite aux hausses des taux directeurs initiées par la Réserve fédérale américaine (Fed) ».

Conséquence : « la dette extérieure – c’est-à-dire la somme des dettes publiques et privées long terme, garanties et non garanties, selon la définition de la Banque mondiale – et la dette à court terme (délai maximum d’un an) des pays africains n’ont cessé de croître, malgré des sorties sous forme de remboursement du service de la dette (principal et intérêts) beaucoup plus importantes que les montants empruntés en 2023 », explique afrique.le360.com.

« Globalement, le stock de la dette extérieure du continent s’est établi autour de 1 154 milliards de dollars en 2023, en hausse de 7,84% par rapport à son niveau de 2022 ».

À noter que la Chine a une dette extérieure de 2 420,21 milliards de dollars, celle du Mexique à 595,92 milliards de dollars… Le stock total de la dette extérieure mondiale (hors pays de l’OCDE) s’est établi à 8 837 milliards de dollars, selon le rapport sur le dette extérieure. Autrement dit, la dette extérieure du continent africain représente 13,06% de la dette extérieure mondiale.

La dette extérieure de l’Afrique subsaharienne s’établit à 864 milliards de dollars à fin 2023 : 59% de dette publique et 41% de dette privée. La proportion de la dette publique au niveau des pays d’Afrique du Nord est beaucoup plus importante et tournerait autour de 65% pour un stock de la dette extérieure de 290 milliards de dollars. Cette dette (de l’Afrique subsaharienne) représente 170% des exportations en valeur et 44% du Revenu global brut de la région (RGN: PIB + revenus nets reçus de l’étranger pour la rémunération des salariés, la propriété et les impôts et subventions nettes sur la production).

Parmi les principaux créanciers publics des pays africains, il y a la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, la Banque africaine de développement (BAD), la Chine… Pour sa part, la dette extérieure privée est très largement dominée par les emprunts sur le marché obligataire international.

Par exemple, la dette privée de l’Afrique du Sud représente 86% de la dette extérieure, alors que pour le Mozambique, 89% de la dette extérieure est publique…

Quid de la Tunisie et du Sénégal?

Cependant, la dette extérieure du continent africain est fortement concentrée sur un petit nombre de pays. Ainsi, les dix pays africains les plus endettés vis-à-vis de l’extérieur affichent un stock de 797 milliards de dollars, ce qui constitue 70% de la dette extérieure du continent. « Il s’agit, à quelques exceptions près, des grandes économies du continent. C’est le cas de l’Algérie, 4e puissance économique du continent, qui n’affiche que 7,31 milliards de dollars de dette extérieure, entièrement sous forme publique dont 83% auprès de la Banque africaine de développement ». Cela étant, la situation n’est plus la même aujourd’hui pour la Tunisie, pays qui emprunte moins et qui fait son possible pour rembourser ses anciens emprunts.

Idem pour l’Éthiopie, 5e puissance économique africaine, avec un endettement extérieur de 33,30 milliards de dollars. « À l’opposé, la Tunisie et le Sénégal, loin de figurer parmi les grandes puissances économiques du continent, font partie du top 10 africain avec respectivement 41,28 et 39,95 milliards de dollars ».

La dette extérieure égyptienne est pharaonique

En ce qui concerne les pays africains les plus endettés vis-à-vis de l’extérieur, on trouve l’Égypte qui occupe la première place avec 168 milliards de dollars, représentant 239% des exportations du pays et 44% du RGN. En raison de la crise que traverse le pays, liée à certains investissements de prestige, notamment la construction de la nouvelle capitale administrative, du Covid-19 et de la guerre Russie-Ukraine, l’Égypte a été obligée de recourir au soutien du FMI. Cette dette est dominée par les emprunts publics (dette multilatérale et bilatérale) qui représentent 62% du total du stock. Les principaux créanciers du pays sont le FMI (12%), la Banque mondiale (9%), l’Arabie saoudite (5%), le Koweït (5%), les Émirats arabes unis (4%)…

L’Afrique du Sud se classe au deuxième rang derrière l’Égypte avec un stock de la dette extérieure de 165,78 milliards de dollars à fin 2023, représentant 122% des exportations du pays et 44% du RGN. Contrairement au Caire, la dette extérieure sud-africaine est à 86% d’origine privée, contractée auprès du marché international de la dette (obligations) et des banques commerciales étrangères.

Suivent le Nigeria (102,48 milliards de dollars), le Maroc (69,27 milliards), le Mozambique (66,85), l’Angola (57,03), le Ghana (43,74), le Kenya (42,91), la Tunisie (41,28) et le Sénégal (39,95).

Les 10 pays les plus endettés vis-à-vis de l’extérieur

Pays africains les plus endettés

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Traité UE-Mercosur : c’est signé !

Présente à Montevideo, en Uruguay, depuis jeudi 5 décembre pour participer au sommet Mercosur-UE, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, vient d’annoncer que les négociations de traité commercial entre les deux blocs ont abouti. C’est ce que rapportent plusieurs médias, notamment français.

« … Depuis Montevideo, en Uruguay, Ursula von der Leyen a annoncé que les négociations entre la Commission européenne et les cinq pays du Mercosur sur un accord de libre-échange très contesté avaient abouti, vendredi 6 décembre », écrit franceinfo.fr. Et d’ajouter :  « C’est une victoire pour l’Europe…« .

Toutefois, la même source rappelle que « … les États membres de l’Union européenne doivent encore se prononcer sur cet accord de libre-échange, qui n’est pas encore entré en vigueur. Emmanuel Macron et le gouvernement de Michel Barnier s’étaient publiquement opposés à l’adoption du texte en l’état ».

D’autres messages publiés sur X par des ministres français (où l’opposition à cet accord est la plus forte) vont dans le même sens. C’est le cas d’Annie Genevard, ministre de l’Agriculture (démissionnaire), qui souligne que « rien n’est terminé », ou de Sophie Primas (Commerce extérieur), pour qui « l’annonce d’Ursula von der Leyen n’engage pas les États membres« . À souligner que ces messages ont cependant été supprimés quelques minutes après leur publication sur le réseau social.

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Mondial des clubs : les 32 qualifiés répartis en huit poules

Au tirage au sort du Mondial des clubs, jeudi 5 décembre 2024, prévu en juin 2025 à Miami, l’Espérance Sportive de Tunis (EST) est placée dans le groupe D. Et ce, en compagnie de Chelsea FC, CR Flamengo et Club Leon (Mexique). Le club tunisien ouvrira le bal face à Flamengo.

Le premier mondial des clubs à 32 clubs aura lieu aux États-Unis du 15 juin au 13 juillet prochain. Pour ce faire, les équipes qualifiées ont été réparties en huit groupes. Et les deux premiers de chaque groupe se qualifieront pour les huitièmes de finale.

A noter au passage que l’un des enjeux de cette compétition de la FIFA est l’argent. En effet, tout porte à croire que la FIFA a mis la main dans ses caisses pour gâter les clubs participants.

Liste des 32 clubs qualifiés par fédération continentale

– Afrique (CAF) :
Wydad (Maroc);
Al Ahly (Égypte);
Espérance sportive de Tunis (Tunisie);
Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud).

 – Asie (AFC) :
Al Hilal (Arabie saoudite);
Urawa Red Diamonds (Japon);
Ulsan HD FC (République de Corée);

 – Europe (UEFA) :
Chelsea (Angleterre);
Real Madrid (Espagne);
Manchester City (Angleterre);
Bayern Munich (Allemagne);
Paris Saint-Germain (France);
Inter Milan (Italie);
Porto (Portugal);
Benfica (Portugal);
Borussia Dortmund (Allemagne);
Juventus (Italie);
Atlético Madrid (Espagne);
FC Salzbourg (Autriche).

 – Amérique du Nord, centrale et Caraïbes (Concacaf) :
Monterrey (Mexique);
Seattle Sounders (États-Unis);
Club León (Mexique).

 – Océanie (OFC)
Auckland City (Nouvelle-Zélande).

Amérique du Sud (CONMEBOL)
Palmeiras (Brésil);
Flamengo (Brésil);
Fluminense (Brésil).

Composition des huit groupes issus du sort

  • Groupe A

Palmeiras (BRA)
Porto (POR)
Al Ahly (EGY)
Inter Miami (USA)

 

  • Groupe B

Paris Saint-Germain (FRA)
Atlético Madrid (ESP)
Botafogo (BRA)
Seattle Sounders (USA)

 

  • Groupe C

Bayern Munich (GER)
Auckland City FC (NZL)
Boca Juniors (ARG)
Benfica (POR)

 

  • Groupe D

Flamengo (BRA)
Espérance (TUN)
Chelsea (ENG)
Club Leon (MEX)

 

  • Groupe E

River Plate (ARG)
Urawa Red Diamonds (JPN)
Monterrey (MEX)
Inter Milan (ITA)

 

  • Groupe F

Fluminense (BRA)
Borussia Dortmund (GER)
Ulsan HD FC (KOR)
Mamelodi Sundowns (AFS)

 

  • Groupe G

Manchester City (ENG)
Wydad (MAR)
Al Ain (UAE)
Juventus (ITA)

 

  • Groupe H

Real Madrid (ESP)
Al Hilal (KSA)
Pachuca (MEX)
RB Salzbourg (AUT).

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