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Accélération de l’aménagement du poste frontalier de Melloula

Le ministre des Transports, Rachid Amri a appelé à accélérer la réalisation du projet d’aménagement du poste frontalier terrestre de Melloula, dont le taux d’avancement des travaux est estimé à 68%, au moment ou plusieurs projets de transport ont été concrétisés dans les gouvernorats de Jendouba et de Béja.

M. Amri a souligné, lors d’une visite effectuée aux gouvernorats de Béja et de Jendouba, que son département œuvre à renforcer la connectivité entre les différentes régions du pays, à travers la modernisation du système de transport, afin d’améliorer les indicateurs de développement sociaux-économique.

Il a recommandé de lancer un appel d’offres relatif au projet de construction d’un centre de contrôle technique des véhicules à Jendouba dans un délai ne dépassant pas le 15 janvier 2025, et la mise en service d’un atelier de maintenance des bus relevant de la Société régionale de transport de Béja en juin 2025.

Il a également souligné l’impératif de l’entrée en service du projet de la station de transport terrestre à Béja le 25 juillet 2025, ainsi que l’accomplissement des travaux d’aménagement de la gare ferroviaire de Béja pour le 20 mars 2025.

Il a aussi exhorté la Société régionale de transport de Jendouba à lancer, le 25 janvier 2025, l’exploitation du système d’aide à l’exploitation et à l’information voyageurs( SAEIV), ainsi que le système de contrôle par GPS, en plus de l’installation du système de management de l’énergie (SME) et les systèmes de planification des ressources des entreprises.

Le ministre a appelé à renforcer le contrôle dans les deux directions régionales de l’Agence Technique des Transports Terrestres (ATTT) à Jendouba et à Béja, et à la lutte contre les dépassements en matière des examens d’obtention des permis de conduire, en plus d’orienter les clients pour réaliser certaines opérations techniques en dehors des centres de contrôle technique.

Avec TAP

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Bourse de Tunis :Le Tunindex enchaîne une huitième séance dans le vert(+0,19%)

Le marché boursier a enchaîné une huitième séance dans le vert. L’indice de référence a progressé, mercredi, de 0,19 % à 9900,21 points portant sa performance depuis le début de l’année à 13,1%, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le volume demeure faible totalisant 2,6 MD sur la séance boursière.

Le titre ESSOUKNA s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans générer de flux, l’action du prometteur immobilier s’est appréciée de 4 % à 1,550 D.

Le titre BNA a retrouvé des couleurs sur la séance. L’action de la banque publique a signé une progression de 3,7 % à 8,190 D.

Figurant parmi les valeurs les plus dynamiques de la séance, BNA a drainé des échanges de 427 mille dinars.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action a reculé de 4,4 % à 0,650 D notant que la valeur a été transigée à hauteur de 11 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre SOTUMAG a, également, terminé la séance sur une note morose. L’action a baissé de 4,4 % à 6,300 D, sachant que la valeur a mobilisé un volume réduit de 14 mille dinars sur la séance.

Avec TAP

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PLF 2025 : Adoption des articles 67 jusqu’à 83

Les députés du Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont adopté, mercredi, lors d’une plénière consacrée à l’examen du projet de loi de finances (PLF) 2025, les articles 67 jusqu’à 83.

Les députés ont adopté l’article 67 dans sa version initiale, en retirant la proposition d’amendement. Ils ont, par ailleurs, adopté les articles 68 jusqu’à 79, sans réclamer d’amendement, outre les articles 81 et 82 dans leurs versions amendées.

La révision proposée pour l’article 81 relatif au forage sans autorisation des puits profonds stipule l’application d’un taux de 10 % de la valeur de forage de puits profonds, réalisés sans l’obtention d’une autorisation, et ce quelque soit son mode de fonctionnement (à partir de l’énergie électrique ou solaire), pour les petits agriculteurs.

La ministre des Finances Sihem Boughdiri Nemsia a souligné que le problème des puits anarchiques qui menacent la durabilité des ressources en eau profondes dans le pays, font l’objet de suivi de l’Etat, à travers la prise de mesures urgentes en la matière pour garantir la sécurité de l’eau et l’équilibre environnemental.

Elle a souligné que cette révision engendrera des dépenses supplémentaires sur le budget de l’Etat.

Avec TAP

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Toyota RAV4 : les 30 ans d’un pionnier

.  Le Toyota RAV4 fête son trentième anniversaire : trois décennies d’un concept inédit, d’un modèle emblématique de la marque,

·  Parmi les premiers SUV compacts, il définit une formule à succès, qui représente désormais une vente sur deux en Europe (source : ACEA),

·  5 générations de RAV4, émaillées d’innovations pour accompagner tous les instants de la vie de plus de 14 millions d’automobilistes dans le monde, dont plus de 2,5 millions en Europe et 120 000 roulant aujourd’hui en France.

Salon de Genève 1994 : sur le stand Toyota trône un modèle d’un nouveau genre, dont on ne soupçonne pas encore l’extraordinaire potentiel qui ne cessera de se développer jusqu’à aujourd’hui. Le RAV4 (Recreational Active Vehicle with 4WD : véhicule de loisirs avec quatre roues motrices) est révélé au monde, en pleine époque de hype pour les petits modèles japonais créatifs et design, particulièrement appréciés en Europe. Mais celui-ci n’entre dans aucune des catégories connues jusqu’alors. Il y avait sur le marché de nombreux 4×4, mais ils étaient lourds et rustiques, conçus pour le tout-terrain uniquement avec leur châssis séparé et leur pont arrière rigide. On trouvait aussi de petits modèles routiers dotés d’une transmission intégrale, comme la Toyota Corolla break AWD, mais ils conservaient un style classique.

Le RAV4, lui, ouvrait une nouvelle porte : avec son design ludique et original, son gabarit ultra compact, sa position de conduite en hauteur et sa conception technique de berline routière avec sa structure monocoque et ses roues indépendantes, il constituait un nouveau compromis encore jamais vu.

« Toyota inventait alors la catégorie des petits SUV avec son Recreational Active Vehicle 4 roues motrices. Une véritable révolution: à l’aise aussi bien dans la ville qu’en dehors, offrant des sensations de véhicule fun à conduire, compacte et agile », décrit Frank Marotte, PDG de Toyota France.

Le design particulièrement expressif du premier RAV4, très explicite sur les capacités de l’auto, a grandement contribué à son succès. Tatsuya Sonoda est certainement un des meilleurs experts pour en parler. Après différentes expériences au design chez Toyota Motor Corporation depuis 1998, dont un passage au centre de design TEDD (Toyota Europe Design Development) à Sofia-Antipolis près de Nice pour travailler sur des projets en avances de phase, il a été nommé designer en chef de la cinquième génération du RAV4. Aujourd’hui, il est le General Manager de la Division Design, où il supervise le design extérieur et intérieur de plus de 35 modèles.

« Une première génération qui connut un succès immédiat, avec 53 000 exemplaires écoulés dans le monde dès la première année, un chiffre amené à doubler, puis à tripler dans les deux années à suivre ».

« Le RAV4 a été conçu comme un SUV pouvant être utilisé non seulement en tout-terrain, mais aussi en ville, » explique-t-il. « L’accent a été mis sur le confort et la facilité d’utilisation, à l’instar d’une voiture particulière, plutôt que sur des performances tout-terrain extrêmes. Il s’agissait d’une nouvelle approche de la conception d’un véhicule de loisirs, inédite jusqu’à présent. Le design est axé sur le plaisir des yeux, avec des courbes audacieuses et des lignes uniques. Il s’adapte aussi bien aux paysages naturels qu’aux environnements urbains, avec un dessin qui suggère l’action avec un avant arrondi, des côtés avec de grandes moulures de protection et un arrière nettement surélevé ».

Une première génération qui connut un succès immédiat, avec 53 000 exemplaires écoulés dans le monde dès la première année, un chiffre amené à doubler, puis à tripler dans les deux années à suivre. Cette première version fête en 2024 son trentième anniversaire, l’âge de la maturité pour entrer en catégorie véhicule de collection – entrer dans l’histoire, en d’autres mots. Un anniversaire qui s’aligne aussi sur celui de Toyota France (TFR), créé la même année, ouvrant trois décennies de succès.

 

Un show-car pour tester le public

Bien en amont de la version de série, le petit RAV Four Concept présenté au Salon de Tokyo 1989 fut un premier test public, pensé pour estimer le potentiel d’un tel véhicule. Avec ses phares ronds, ses vastes protections de plastique brut striées, sa calandre asymétrique cachant un treuil sous une pièce marquée “à utiliser en cas d’urgence uniquement”, sa partie arrière ouverte, ses marchepieds, bavettes, protections métalliques de châssis et ses pneus crantés, il se positionne de manière plus off-road que le RAV4 qu’il inspirera.

D’ailleurs, une petite moto-cross Yamaha est installée au chausse-pied dans l’habitacle tout en rouge et noir en harmonie avec sa carrosserie (une version argentée sera aussi montrée par la suite) sur une des photos de presse de l’époque. On note une montre analogique façon chrono intégrée sur la planche de bord, une radio avec lecteur de DAT (système de mini-cassettes numériques haute définition), un filet de retenue pour les objets, un volant trois branches et un compte-tours qui trône au milieu de l’instrumentation : sport, baroudeur et high-tech sont au programme.

Une étude de style qui rencontre un beau succès d’estime auprès du public comme des médias. Cela pousse la marque à continuer d’étudier cette piste pas encore clairement marquée, qui peine à faire l’unanimité en interne à propos de la rentabilité de la mise en production d’un tel projet. Ce sont surtout les retours enthousiastes des marchés japonais et européens qui finissent par convaincre les décideurs de la marque de valider le lancement du projet définitif en 1991, sous la direction de l’ingénieur en chef Masakatsu Nonaka. Le résultat est présenté en avant-première au Salon de Tokyo 1993, où le RAV4 est présenté sous la forme d’un concept – en réalité en version presque définitive – donnant un aperçu très précis du modèle de production quelques mois avant son lancement. Son dessin très fun est le fruit d’une collaboration entre les studios de design japonais et américains de Toyota.

« Ce sont surtout les retours enthousiastes des marchés japonais et européens qui finissent par convaincre les décideurs de la marque de valider le lancement du projet définitif en 1991, sous la direction de l’ingénieur en chef Masakatsu Nonaka ».

 

Une fiche technique de citadine sportive

Une construction monocoque et quatre roues indépendantes sont incongrues dans un 4×4 de l’époque, tandis qu’une garde au sol exacerbée, une transmission intégrale permanente avec un autobloquant Torsen à l’arrière (optionnel), un blocage de différentiel central (en version manuelle) et une roue de secours extérieure sont loin du monde des routières.

Le RAV4 réunit tout cela en une seule voiture. Dans un gabarit ultra-compact de 3,69 m, il se gare comme une citadine, tandis que sa largeur de 1,69 m lui permet de se faufiler dans le trafic, bien en sécurité avec ses solides protections courant sur ses flancs.

Enfin, sa hauteur de 1,65 m lui donne une nouvelle perspective très agréable pour surplomber son environnement, et sa garde au sol élevée, en plus de rassurer en vue d’une éventuelle escapade hors bitume, assure une hauteur d’assise confortable pour monter à bord et descendre. Le train avant McPherson et la suspension arrière à double triangulation et bras tiré assurent un comportement routier vif et efficace inconnu avec les 4×4 de l’époque, en conjugaison avec une monte pneumatique 16 pouces à flancs hauts contribuant au confort général.

« Le RAV4 réunit tout cela en une seule voiture. Dans un gabarit ultra-compact de 3,69 m, il se gare comme une citadine, tandis que sa largeur de 1,69 m lui permet de se faufiler dans le trafic, bien en sécurité avec ses solides protections courant sur ses flancs ».

Sous le capot, le 2.0 essence double arbre 16 soupapes et injection d’une puissance de 129 ch assure de belles performances (170 km/h et 10,1 s de 0 à 100 km/h) à ce poids plume de 1 150 kg, qui justifie pleinement son premier nom de Fun Cruiser (abandonné finalement au lancement). Il bénéficie d’un équipement complet pour l’époque, avec la direction assistée, les vitres et rétroviseurs électriques, une radio et, selon les versions, le freinage ABS, un airbag et des jantes alliage. 4 couleurs sont proposées au départ.

À son bord, on profite d’un habitacle très lumineux, solidement construit et avec des tissus fantaisie qui changent des classiques garnitures sombres de l’époque. Les astucieux sièges sont modulables et peuvent se transformer en lits : le RAV4 est bien un véritable véhicule de loisirs et d’évasion. Ses deux toits amovibles légers en aluminium (avec emplacement de rangement dans la porte de coffre) permettent de profiter de la vie en plein air, un plaisir poussé encore plus loin par la version découvrable à toit souple qui apparaîtra quelques années plus tard. Parmi les évolutions de carrosseries de cette première génération, notons aussi l’apparition dès 1995 d’une version longue à 5 portes (4,10 m, soit + 41 cm) à l’empattement étiré, plus logeable et familiale (5 places, coffre de 409 l VDA).

« Les astucieux sièges sont modulables et peuvent se transformer en lits : le RAV4 est bien un véritable véhicule de loisirs et d’évasion. Ses deux toits amovibles légers en aluminium… permettent de profiter de la vie en plein air, un plaisir poussé encore plus loin par la version découvrable à toit souple qui apparaîtra quelques années plus tard ».

Un restylage viendra rafraîchir le design du RAV4 en 1998, notamment avec des projecteurs cristal pour donner un coup de jeune à la face avant, avec un équipement enrichi à l’occasion. Une version deux roues motrices sera également proposée, elle aussi précurseur pour s’adapter aux usages très souvent purement routiers de ce type de véhicules. Enfin, la fiabilité du RAV4 explique le nombre important de modèles encore en circulation, trente ans plus tard.

 

5 générations pour un SUV de référence

Au fil des générations, le RAV4 a mûri, s’est enrichi en technologies embarquées et équipements de sécurité, il a raffiné son confort et son équipement et a adopté des motorisations de plus en plus efficientes, avec une approche multi-énergies.

« Depuis 30 ans, le RAV4 a été en permanence renouvelé et il reste aujourd’hui la référence dans son segment. Il se classe régulièrement comme le SUV le plus vendu au monde, mais aussi comme l’une des voitures les plus vendues sur la planète, toutes catégories confondues. Plus de 14 millions d’unités ont ainsi été vendues dans le monde depuis 1994 et le RAV4 reste l’un des modèles les plus produits de la marque, derrière Corolla et Camry », décrit Frank Marotte.

Pour sa deuxième génération apparue en 2000, de grands moyens sont mis en place et le RAV4 emploie désormais plus de 70 % de pièces dédiées. Il faut dire que la concurrence a réagi au succès du premier RAV4 et de nombreux modèles rejoignent ce nouveau marché ouvert par le petit SUV signé Toyota. Le RAV4, deuxième du nom, est construit sur une nouvelle plateforme offrant plus d’espace intérieur, gagnant jusqu’à 5,5 cm de longueur pour mieux s’ouvrir à un usage familial, favorisé aussi par la banquette arrière modulable.

Ses deux moteurs essence 1.8 (123 ch) et 2.0 (150 ch) gagnent en puissance, tandis que la transmission intégrale permanente adopte un visco-coupleur central et, en option, un différentiel arrière Torsen pour gagner en capacités tout-terrain. La gamme de motorisations est rejointe en 2001 par un Diesel D-4D 2.0 de 116 ch à injection directe, reconnaissable à sa prise d’air sur le capot pour alimenter son échangeur.

La troisième génération (2006) inaugure à nouveau une plateforme inédite bien plus rigide, uniquement en carrosserie 5 portes, gagnant encore en longueur pour offrir des prestations familiales toujours renforcées. Une version à empattement allongé est même proposée sur certains marchés, notamment aux USA, où le RAV4 connaît un immense succès. Ses aspects pratiques améliorés sont soulignés par la disparition de la roue de secours sur la porte arrière, ce qui permet d’adopter un hayon, autrement plus facile à manier au quotidien.

En parallèle, il continue à raffiner les capacités de sa transmission intégrale désormais non permanente, avec un nouveau système de couplage à commande électronique qui fonctionne automatiquement selon la vitesse du véhicule, la position de l’accélérateur, l’angle de braquage du volant et l’accélération calculée en G. Le RAV4 reçoit en outre une assistance de contrôle de vitesse en descente (Downhill Assist Control) et une assistance au démarrage en côte (Hill-start Assist Control) et sa garde au sol est portée à 200 mm. Sous son capot, il propose un vaste choix de motorisation avec, selon les marchés, des moteurs essence de 2.0, 2.4, 2.5 et un 3.5 V6, ainsi qu’un nouveau 2.2 Diesel, et sa direction reçoit désormais une assistance électrique.

La quatrième génération (2013) est celle de l’entrée dans l’ère moderne et celle de l’électro-mobilité. Plus longue de 23,5 cm, elle offre 47 % d’espace en plus pour les bagages avec un vaste volume de 547 l. Sa technologie de traction intégrale se raffine encore avec le nouveau système intelligent de contrôle dynamique du couple (Dynamic Torque Control AWD System) qui ajoute deux nouvelles fonctions visant à une meilleure efficacité en virages et une conduite plus fun avec le mode Sport. Mais surtout, elle ajoute à sa gamme de motorisations classiques essence 2.0 et 2.5 et Diesel 2.0 et 2.2 une inédite version hybride auto-rechargeable, dès 2016. Avec une puissance totale généreuse de 197 ch avec son 2.5 à cycle Atkinson et ses deux moteurs électriques en version AWD, elle permet de belles performances avec une accélération de 0 à 100 km/h en juste 8,3 s, tout en offrant des valeurs de consommation inédites dans son segment, avec 4,9 l/100 km et 115 g/km d’émissions de CO2 (version 2 roues motrices).

La cinquième génération (2018), toujours sur le marché aujourd’hui, est celle de la consécration. Présenté au Salon de New York 2018, le RAV4 actuel devient le SUV le plus vendu au monde en 2018 et 2019 (où il atteint la quatrième place des ventes mondiales de véhicules de tourisme – tous modèles et marques confondus). L’Amérique du Nord est son plus gros marché, avec plus de 500 000 unités annuelles. Le RAV4 dépasse en 2020 la barre des 10 millions d’exemplaires produits depuis le lancement de son tout premier modèle.

Le RAV4, cinquième du nom, est basé sur la nouvelle plateforme TNGA (Toyota New Global Architecture), avec sur le marché européen une motorisation Toyota Hybrid Dynamic Force de quatrième génération basée sur un nouveau moteur essence 2.5, avec une puissance, une réactivité et une efficience en hausse, permettant d’offrir les meilleures valeurs de consommation et d’émissions de la catégorie. Il reçoit en 2020 une version hybride rechargeable Plug-In Hybrid, cumulant une forte puissance de 306 ch (6,2 s de 0 à 100 km/h), de remarquables valeurs d’émissions de CO2 (moins de 30 g/km) et de consommation et permettant des évolutions en mode tout électrique sur plus de 65 km, une distance exceptionnelle au moment de son lancement.

Côté design, le RAV4 a connu au fil des générations une évolution forte, mais il est toujours resté fidèle à ses principes, explique le designer en chef de la cinquième génération, Tatsuya Sonoda : « Au cours des 25 dernières années, bien que la taille et certains aspects aient été modifiés, les valeurs du RAV4 n’ont pas beaucoup changé au cours de son histoire. Que ce soit en ville ou dans la nature, il est agréable à regarder et à conduire. Il sait vous procurer l’excitation et le frisson qui vous donnent une envie d’évasion et c’est cette valeur unique qui fait le charme du RAV4 ».

Enfin, depuis 2023, une nouvelle version est venue rejoindre la gamme du RAV4 : le RAV4 GR SPORT. Son style et ses équipements expriment la sportivité et la sophistication inspirées par TOYOTA GAZOO Racing et sa mission de créer des voitures toujours meilleures grâce au sport automobile. Il se reconnaît facilement grâce à son look plus sportif avec ses jantes en alliage 19’’ et ses éléments de design exclusifs. Mais il ne se contente pas de soigner son apparence, sa sportivité se perçoit aussi dans son comportement grâce à une suspension spécifique, avec de nouveaux ressorts et des réglages d’amortisseurs plus rigides.

« Au cours des 25 dernières années, bien que la taille et certains aspects aient été modifiés, les valeurs du RAV4 n’ont pas beaucoup changé au cours de son histoire. Que ce soit en ville ou dans la nature, il est agréable à regarder et à conduire. Il sait vous procurer l’excitation et le frisson qui vous donnent une envie d’évasion et c’est cette valeur unique qui fait le charme du RAV4 »

 

Une finition spéciale 30 YEARS pour célébrer l’anniversaire du RAV4

Pour les 30 ans du RAV4, sa gamme se voit complétée d’une nouvelle finition 30 YEARS. Positionnée entre les finitions RAV4 Dynamic et RAV4 Lounge, elle est dotée de nombreux équipements et bénéficie d’un avantage client de 1 000 €. Il s’agit d’un véritable cœur de gamme richement doté. Le RAV4 30 YEARS est proposé à partir de 47 000 €. Par rapport à la finition Dynamic, le RAV4 30 YEARS ajoute toute une liste d’équipements à forte valeur ajoutée :

– Personnalisation intérieure et extérieure 30 YEARS

– Jantes alliage 18’’ Tanami

– Avertisseur d’angles morts et de circulation arrière

– Chargeur à induction

– Toyota Smart Connect Plus®

– Sellerie Premium noir (composée de matière synthétique)

– Siège conducteur à réglages électriques avec support lombaire électrique

– Sièges avant chauffants (2 niveaux)

 

Un RAV4 100 % électrique pour la Californie

Sur le stand Toyota du Salon de Tokyo 1993, un étrange concept nommé EV-50 reprend la forme générale et certains des éléments de style du RAV4 présenté à ses côtés, mais avec un nom différent : EV-50. Nous sommes en plein boum des concepts électriques au Japon et, avec une aérodynamique plus poussée, celui-ci propose sa propre vision d’un modèle urbain 100 % électrique (115 km/h maxi, 110 km d’autonomie). Son moteur à induction est alimenté par des batteries au plomb et il intègre de nombreuses technologies avancées pour l’époque, dont un système de freinage régénératif, une pompe à chaleur et un système de ventilation alimenté par des panneaux solaires pour abaisser la température à bord lorsque le véhicule est parqué, tandis que le chargeur embarqué permet de se brancher sur une prise domestique.

Ce concept préfigurait d’une certaine manière le futur RAV4 électrique américain qui a rapidement rejoint l’offre thermique lancée Outre-Atlantique en 1996. Destiné au leasing sur le marché californien, ce RAV4 EV est équipé d’une batterie NiMH lui offrant une autonomie de 120 miles (190 km) pour une recharge en 5 heures. Sa vitesse de pointe est limitée à 130 km/h, ce qui lui suffit pour se fondre dans le trafic des highways. Un modèle qui a conquis un peu plus de 1 000 clients américains, dont un certain Tom Hanks, tandis que quelques centaines d’exemplaires ont été écoulés au Japon.

Une seconde version 100 % électrique conçue avec Tesla sur la base de la troisième génération du RAV4 a été dévoilée sous forme de concept au Salon de Los Angeles 2010, puis en version finale en 2012. Elle recevait une batterie lithium-ion de 41,8 kWh, proposant 160 km d’autonomie. Près de 2 500 exemplaires destinés intégralement au marché californien ont été produits essentiellement entre 2012 et 2014.

Le RAV4 en chiffres

– Génération 1

Production totale : 870 000 (1994-2000)

Dimensions (L x l x h) : 3,69 x 1,69 x 1,65 m (3 p.), 4,10 m (5 p.)

Motorisation, performances :

4 cylindres essence 129 ch, 170 km/h, 10,1 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 150 kg (3 p.)

– Génération 2 :

Production totale : 1 150 000 (2000-2006)

Dimensions (L x l x h) : 3,75 x 1,73 x 1,68 m (3 p.), 4,15 m (5 p.)

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 150 ch, 185 km/h, 10,6 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 116 ch, 170 km/h, 12,1 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 330 kg (3 p.)

– Génération 3 :

Production totale : 1 680 000 (2006-2012)

Dimensions (L x l x h) : 4,40 x 1,82 x 1,69 m

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 152 ch, 185 km/h, 10,6 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 177 ch, 200 km/h, 9,3 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 465 kg

– Génération 4

Production totale : 3 420 000 (2013-2018)

Dimensions (L x l x h) : 4,60 x 1,85 x 1,68 m

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 151 ch, 185 km/h, 9,9 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 143 ch, 195 km/h, 9,6 s de 0 à 100 km/h

Hybride AWD 197 ch, 180 km/h, 8,3 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 520 kg

– Génération 5

Production totale : 5 890 000 (2018 – aujourd’hui)

Dimensions (L x l x h) : 4,60 x 1,85 x 1,68 m

Motorisations, performances :

Hybride 218 ch, 180 km/h, 8,4 s de 0 à 100 km/h

Hybride AWD 222 ch, 180 km/h, 8,1 s de 0 à 100 km/h

Hybride Rechargeable 306 ch, 180 km/h, 6 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 590 kg.

Dingo, un photographe culte pour une voiture culte

Les photographes dont on reconnaît les clichés d’un coup d’œil sont rares. C’est sans nul doute le cas du Français Dingo, qui cultive un style inimitable depuis de nombreuses décennies et ses débuts au magazine Auto Verte, puis Option Auto, suivis d’un nombre incalculable de collaborations avec des médias (960 couvertures à son actif !) et des marques.

Une véritable personnalité qui déborde d’idées qui peuvent parfois sembler irréalisables. Mais impossible n’est pas Dingo… Des montages analogiques des débuts au travail numérique d’aujourd’hui, une séance photo signée Dingo implique une véritable réflexion de mise en scène, de déco et d’accessoirisation, avec des modèles dédiés et des situations parfois complexes. Un style et une méthode uniques, dont les coulisses ont été dévoilées de manière exceptionnelle lors de l’exposition consacrée au photographe au Mondial de l’Auto 2018.

Son travail sur les cinq générations de RAV4 au travers de cinq photos iconiques a été pensé avec un principe récurrent de miroir entre chaque génération historique et le RAV4 actuel. Les modèles qui habitent les images sont habillés exactement selon les modes de chaque époque du modèle de référence, tandis que les accessoires sont typiques des tendances fortes contemporaines de ces décennies. Les paysages sont pensés pour être symptomatiques des usages des différentes générations de RAV4.

« La dernière itération du RAV4 y est entourée de personnages modernes, avec une solo-wheel, une prise de photo au smartphone et look décontracté-chic d’aujourd’hui ».

Par exemple, la première génération joue le chic urbain, avec un appareil photo argentique, des costumes d’époque et un skate-board. En regard, la dernière itération du RAV4 y est entourée de personnages modernes, avec une solo-wheel, une prise de photo au smartphone et look décontracté-chic d’aujourd’hui. Il en est de même à chaque fois, avec un fil rouge de cliché en cliché et, toujours, un immense soin du détail. Résultat, une série hommage au succès du RAV4 qui résume en un coup d’œil 30 ans d’histoire automobile.

Avec communiqué

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Marokko – UNESCO ehrt traditionelle Henna-Rituale in arabischen Ländern

HennaUNESCO nimmt Henna in Liste des Immateriellen Kulturerbes auf. Paris – Henna und die mit ihm verbundenen Rituale in den arabischen Ländern, einschließlich Marokko, wurden von der UNESCO in die Liste des immateriellen Kulturerbes aufgenommen, wie die Organisation der Vereinten Nationen für Erziehung, Wissenschaft und Kultur bekannt gab. Henna, eine Pflanze, deren Blätter getrocknet, gemahlen […]

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Marokko – 22. Sitzung der Gemeinsamen Militärkommission Marokko-Frankreich

MilitärfahrzeugStärkung der bilateralen Kooperation – Ausbau der militärischen Zusammenarbeit in Nordafrika zwischen Paris und Rabat. Rabat – Auf Anweisung von König Mohammed VI., der in Marokko auch Oberbefehlshaber und Generalstabschef der Königlichen Streitkräfte ist, habe Generalleutnant Mohammed Berrid, Generalinspekteur der FAR und Befehlshaber der Zone Süd, am Montag in Rabat gemeinsam mit General Thierry Burkhard, […]

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Le SNJT dénonce l’emprisonnement des journalistes Bessaies et Zeghidi

Le premier juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis a décidé d’émettre deux mandats de dépôt à l’encontre des chroniqueurs et présentateurs de télévision Mourad Zeghidi et Borhen Bessaies pour « des soupçons de blanchiment d’argent », a indiqué, mercredi, le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT).

Le syndicat dénonce, dans une déclaration, la « poursuite de l’emprisonnement des journalistes » et les atteintes à « la présomption d’innocence ».

Le syndicat se dit « surpris par cette décision », qui intervient à quelques jours de la fin de peine de Mourad Zeghidi. Ce dernier a été condamné au sens de l’article 24 du décret n°54 portant sur les rumeurs et les fausses nouvelles.

Le SNJT réaffirme son « soutien total aux journalistes emprisonnés ou poursuivis en justice pour avoir exercé leur métier ».

Le syndicat appelle à la libération de Mourad Zeghidi, Borhen Bessaies, Chadha Hadj Mbarek, Sonia Dahmani et Mohamed Boughalleb. Le syndicat continuera de « mener toutes les actions légitimes pour défendre les journalistes emprisonnés jusqu’à leur remise en liberté ».

Avec TAP

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Appel aux ouvriers des chantiers : accès à la plateforme avant le 22 décembre

La présidence du gouvernement a annoncé mercredi, dans un communiqué, que la liste des postes vacants dans les structures publiques définies par les ministère sera publiée sur la plateforme numérique dédiée à la régularisation de la situation des travailleurs des chantiers (moins de 45 ans) sur le site hadhaer.gov.tn.

La Présidence du gouvernement a invité les ouvriers de chantiers de moins de 45 ans de la troisième tranche à accéder à la plateforme numérique du 3 au 22 décembre pour sélectionner les postes de travail de leur choix parmi les postes proposés qui correspondent à leur niveau d’études. (le nombre maximum d’options est de 10).

La même source a précisé que ces listes seront affichées dans les sièges des gouvernorats.

La Présidence du gouvernement a également expliqué le processus d’accès à la plateforme et les modalités de répertorier, classer, mettre à jour, supprimer et modifier leurs choix en cas de besoin. La date limite d’accès à la plateforme est fixée au 22 décembre.

Avec TAP

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Marokko – Regierung will Investitionsbereitschaft bei MREs erhöhen.

TransferzahlungenRegierung ergreife Maßnahmen zur Steigerung der Investitionsquote von Marokkanern im Ausland (MRE). Vertrauen ist der Schlüsselbegriff. Rabat – In einem scheinbar entschlossenen Schritt zur Förderung von Investitionen der im Ausland lebenden Marokkaner (MRE) hat der Staatssekretär für Investitionen, Konvergenz und Politikevaluierung, Karim Zidane, am vergangenen Montag (2. Dezember 2024) in Rabat eine Reihe von Initiativen […]

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Pluies attendues, mercredi, sur les différentes régions du pays (INM)

Des pluies temporairement orageuses et localement abondantes sont attendues, mercredi, sur les régions côtières nord, a annoncé l’Institut national de la météorologie (INM), dans un bulletin de suivi.

Les précipitations concerneront, l’après-midi, le reste des régions du nord et le centre, et la nuit, les zones du sud-est. Les quantités maximales varieront entre 30 et 50 mm, pour atteindre, localement, 70 mm à l’extrême nord, avec chute de grêle par endroits. La chute de pluies se poursuivra, jeudi, sur la plupart des régions, notamment à l’extrême nord-ouest. Le vent soufflera fort puisque sa vitesse sera comprise entre 60 et 80 km/h, avec des phénomènes de sable au sud. La vitesse du vent peut atteindre 100 km/h dans les régions côtières et sur les hauteurs. L’INM a indiqué, en outre, que les températures enregistreront une baisse considérable, surtout sur les hauteurs.

Avec TAP

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Baisse inquiétante du niveau des barrages tunisiens

Le taux de remplissage de l’ensemble des barrages tunisiens a baissé à 19,6 %, de janvier au 3 décembre 2024; et ce, en comparaison avec la même période de 2023. C’est ce qu’indique, mercredi 4 décembre, l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).

Les réserves en eau dans ces barrages n’ont pas dépassé 460,343 millions de m³, contre 516,163 millions de m³, une année auparavant. Ce qui représente une baisse de 10,8 %.

En comparaison avec la moyenne enregistrée au cours des trois dernières années, la baisse est d’autant plus alarmante qu’elle s’élève à 25,8 %.

L’ONAGRI a fait état d’une disparité au niveau du taux de remplissage d’une région à une autre. Ainsi, les barrages du nord affichent un taux de remplissage de 22,1 %, soit 88 % des réserves en eau disponibles dans tous les barrages du pays. Alors que le niveau de remplissage des barrages du centre et du Cap-Bon s’est limité respectivement à 10,7 % et 10,2 %.

En fait, l’ensemble des barrages du Cap-Bon est presque vide, à l’exception du barrage de Masri.

L’Observatoire a précisé, en outre, que les apports en eau dans les barrages, enregistrés le 3 décembre 2024, se sont élevés à 0,490 million de m³. Le total de l’utilisation de ces eaux, au cours de la même journée, s’élève à 1,247 million de m³.

Enfin, il importe de préciser que les apports en eau, durant toute la saison actuelle, sont de l’ordre de 102,3 millions de m³. Alors que la moyenne de la période est estimée à 320,1 millions de m³. Ce qui représente un déficit de 68 %.

Avec TAP

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Météo: pluies attendues sur plusieurs régions de la Tunisie

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM), le temps sera marqué, mercredi 4 décembre, par des nuages abondants sur les régions côtières du nord, où des pluies sporadiques et temporairement orageuses à localement fortes sont attendues. Ces pluies s’étendront progressivement l’après-midi au reste du nord, au centre et localement au sud en cours de nuit, avec des chutes de grêle dans certains endroits.

Attention au vent qui se renforcera notamment au cours de la nuit sur la plupart des régions et dépassera temporairement 80 km/h sous forme de rafales accompagnées d’orages.

La mer qui sera agitée dans le Golfe de Gabès et sur le reste des côtes.

Quant aux températures maximales, elles varieront entre 14 et 18 degrés sur les régions côtières nord et les hauteurs ouest, et entre 19 et 24 degrés sur le reste des régions.

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PLF 2025 : le CNRD adopte l’article 32 relatif à l’appui aux petits éleveurs de bovins

Le Conseil national des régions et des districts (CNRD) a adopté, mardi 3 décembre, à l’unanimité, au cours d’une plénière consacrée à l’examen du projet de loi de finances 2025 (PLF), l’article 32 relatif à l’appui des petits éleveurs de bovins après son amendement. Et ce, pour revenir à la version originale proposée par le ministère des Finances lors de l’élaboration du PLF.

L’article 32 prévoit de consacrer une enveloppe de 10 millions de dinars provenant des ressources du Fonds de développement de la compétitivité dans les secteurs de l’agriculture et de la pêche, pour appuyer et renforcer les fonds propres des petits éleveurs de bovins.

Cette enveloppe qui sera dépensée sous forme de prime exceptionnelle, permettra d’accorder aux éleveurs, du 1er janvier au 31 décembre 2025, des crédits, à partir des fonds propres des banques, pour financer l’achat de vaches. Et ce, dans le cadre de la reconstitution du cheptel national. L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a déjà voté un amendement relatif à la répartition des 10 millions de dinars alloués au secteur des bovins.

L’amendement prévoit de répartir cette somme en deux parties, à savoir 5 millions de dinars pour le financement de l’achat de génisses et 5 millions de dinars pour couvrir les coûts de leur élevage.

Certains députés du CNRD qui avaient proposé de revenir à la formulation initiale, ont exprimé leur mécontentement face à cet amendement.

Ils ont estimé que cette modification repose sur une équation relative et injuste pour les éleveurs, car la somme allouée sera distribuée sur plusieurs tranches sur une période de près de 30 mois. Ce qui pourrait créer des inégalités entre les éleveurs.

Ils ont également souligné que la mobilisation d’un budget de 10 000 dinars pour l’achat de nouvelles vaches en 2025, contribuerait certes à augmenter le nombre de têtes de bétail, qui avoisine actuellement 350 000 têtes, mais que cela reste insuffisant.

Ils ont insisté sur la nécessité de trouver d’autres mécanismes de soutien, notamment pour l’alimentation du bétail, qui représente un autre défi majeur pour les éleveurs.

Ils ont par ailleurs refusé l’adoption de l’article 23 relatif à l’application d’une taxe sur la consommation appliquée sur les véhicules adaptés aux personnes handicapées, ainsi que d’accorder aux Tunisiens résidant sur le territoire national le privilège de bénéficier d’un avantage fiscal, une fois chaque 5 ans, lors de l’importation d’un véhicule de commerce ou de tourisme.

Depuis le démarrage de la plénière, les députés du CNRD ont adopté les articles 13, 22 et 24 jusqu’à 31, ainsi que l’article 33 jusqu’à 39, selon la version révisée adoptée par l’ARP.

Avec TAP

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Le projet de loi sur l’abolition de la sous-traitance revient à Carthage

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mardi 3 décembre au palais de Carthage, les ministres des Affaires sociales, Issam Lahmar, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, ainsi que la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Emploi chargée des Entreprises communautaires, Hasna Jiballah.

La rencontre a porté sur le projet de loi relatif à l’abolition de la sous-traitance et des contrats à durée déterminée, la simplification des procédures permettant aux jeunes, en particulier, de créer des entreprises communautaires et la célébration par la Tunisie du centenaire de la création de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).

En ce qui concerne le projet de loi relatif à l’abolition de la sous-traitance et des contrats à durée déterminée, le chef de l’Etat a insisté sur l’élaboration de textes juridiques, selon une nouvelle approche qui garantit le droit à un travail équitablement rémunéré et protège les droits des employés dont les contrats ont été résiliés.

Par ailleurs, M. Saïed a mis l’accent sur la nécessité de simplifier les procédures permettant aux jeunes de créer des entreprises communautaires et de les accompagner dans ce processus, surtout que certaines parties tentent de faire obstacle à ce nouveau modèle d’entreprises qui devraient profiter non seulement à ses fondateurs mais également à tout le pays, indique un communiqué de la présidence de la République.

Au début de cette réunion, le chef de l’Etat a rappelé que la Tunisie célèbre, aujourd’hui, le centenaire de la création de l’Union générale tunisienne du travail, fondée le 3 décembre 1924 à l’initiative du leader syndicaliste Mohamed Ali El-Hammi, pionnier du mouvement syndical dans le monde arabe et africain.

Il a, dans ce contexte, évoqué le parcours de Mohamed Ali El-Hammi qui, malgré les nombreuses difficultés rencontrées, est devenu spécialiste en économie politique grâce à une volonté inébranlable, après avoir obtenu un diplôme dans ce domaine.

Le président de la République a rappelé que El-Hammi avait créé la première association de coopération économique, principalement dans le domaine du commerce, pour lutter contre la hausse des prix et améliorer le pouvoir d’achat des ouvriers, ajoutant que « les cartels et agents du colonialisme de l’époque avaient œuvré pour faire avorter ce noble projet ».

Avec TAP

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Le Prix Ibn Khaldoun-Senghor 2024 décerné à Souad Labbize

L’autrice et traductrice littéraire d’expression française, Souad Labbize, a remporté le Prix Ibn Khaldoun-Senghor 2024 pour sa « magistrale traduction » en français du roman « Le Désastre de la maison des notables » de l’écrivaine tunisienne Amira Ghenim, indique l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) sur sa page officielle.

Cette distinction a été annoncée dans la soirée du mardi 3 décembre 2024, lors de la cérémonie de remise du prix organisée à l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris.

« Le Désastre de la maison des notables » est la traduction française du roman en arabe « Nazilat Dar El Akaber » d’Amira Ghenim, publié en 2020 par les éditions Masciliana et primé la même année du Comar d’Or du roman arabe.

Traduite par Souad Labbize (Algérie-France-Tunisie), l’édition française de 494 pages a été publiée en août 2024 aux éditions Philippe Rey (France) en coédition avec Barzakh – Collection Khamsa (Algérie). Ce roman retrace plus de cinquante ans d’histoire tunisienne, de la lutte pour l’indépendance jusqu’à la révolution de 2011. Il met en scène les destins croisés de deux familles bourgeoises : les Naifer, conservateurs et rigides, et les Rassaa, progressistes et libéraux, dans un contexte de bouleversements politiques.

Souad Labbize, également poétesse, romancière et anthologiste, figurait parmi quatre finalistes de ce prestigieux prix, à savoir Ilyass Amharar (Maroc/France) pour « Langage et théologie Abū Bakr Ibn al-ʿArabī (543/1148) », Sarah Rolfo (Belgique) pour « Du pain sur la table de l’oncle Milad » de Mohammed Alnaas (Libye) et Marie Tawk (Liban) pour sa traduction en arabe de « La Guerre insaisissable » de Jean-Marc Moura (France).

Le jury, présidé par Bassam Baraké, secrétaire général de l’Union des traducteurs arabes (Liban), est composé de Abdesslam Benabdelali (Maroc), professeur de philosophie, traducteur, essayiste et critique littéraire, Zahida Darwiche-Jabbour (Liban), professeure de littérature française et traductrice, Fayza El Qasem (France), professeure émérite à l’Ecole supérieure de traducteurs et interprètes, Mohamed Mahjoub (Tunisie), philosophe, traducteur et écrivain, et Hana Subhi (France et Irak), traductrice et professeure de littérature française à l’Université Paris-Sorbonne d’Abou Dhabi.

Née en Algérie en 1965, Souad Labbize a vécu en Allemagne et en Tunisie avant de s’établir à Toulouse. Après son premier roman « J’aurais voulu être un escargot », elle a écrit des recueils de poèmes tels que « Une échelle de poche pour atteindre le ciel » et « Brouillons amoureux », ainsi qu’un récit, « Enjamber la flaque où se reflète l’enfer ». Très engagée dans la défense de l’égalité entre hommes et femmes, elle écrit au nom des femmes qui prennent la route de l’exil pour affirmer leur indépendance. Son recueil « Je franchis les barbelés », a remporté le Prix Méditerranée de la poésie en 2020.

Le Prix de la traduction Ibn Khaldoun-Senghor en sciences humaines, créé en 2008 par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO), récompense chaque année une traduction du français vers l’arabe ou de l’arabe vers le français, encourageant ainsi les échanges culturels et littéraires entre le monde arabe et l’espace francophone.

Avec TAP

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PLF 2025 : Une priorité pour les éleveurs de bovins et l’agriculture

Le Conseil national des régions et des districts (CNRD) a adopté, lors d’une plénière dédiée, l’article 32 du Projet de Loi de Finances 2025 (PLF 2025 ). Cet article vise à soutenir les petits éleveurs de bovins grâce à une enveloppe exceptionnelle de 10 millions de dinars, destinée à renforcer leurs fonds propres.

L’article 32 du PLF 2025 , dans sa version originale proposée par le ministère des Finances, alloue ces ressources au Fonds de développement de la compétitivité dans les secteurs de l’agriculture et de la pêche. Ces fonds seront utilisés pour :

  • Financer l’achat de vaches dans le cadre de la reconstitution du cheptel national.
  • Renforcer la compétitivité des éleveurs grâce à une prime exceptionnelle disponible entre le 1er janvier et le 31 décembre 2025.

PLF 2025 : Un débat sur la répartition des fonds

Malgré l’amendement initial approuvé par l’Assemblée des Représentants du peuple (ARP), qui divisait les 10 millions de dinars entre l’achat de génisses (5 millions) et les coûts d’élevage (5 millions), le CNRD a finalement opté pour la version originale de l’article. Certains députés ont exprimé leur mécontentement face à l’amendement, estimant qu’il pouvait provoquer des inégalités entre éleveurs et manquer de souplesse.

Des défis persistants pour le secteur de l’élevage

Les députés ont également souligné la nécessité de :

  • Trouver des mécanismes complémentaires pour soutenir l’alimentation du bétail.
  • Prévoir un financement adéquat pour augmenter le cheptel national, actuellement estimé à 350 000 têtes, et répondre à la demande croissante.

Propositions rejetées

Outre l’article 32, le CNRD a refusé :

  • L’application d’une taxe sur les véhicules adaptés aux personnes handicapées.
  • L’instauration d’un avantage fiscal pour les Tunisiens résidant sur le territoire national lors de l’importation de véhicules.Avec TAP

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Formation paramédicale : Assurez-vous de l’accréditation avant

Le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle demande aux candidats aux formations paramédicales de vérifier que les établissements privés disposent de l’accréditation nécessaire pour ces spécialités.

En effet, le ministère encourage les demandeurs à s’assurer que les centres privés ont obtenu l’accréditation requise pour la spécialité choisie. Ils doivent également vérifier la durée de validité de cette accréditation et les conditions d’accès à la formation. Cette démarche vise à protéger les candidats contre les risques de fraude liés à ces formations.

L’Objectif : prévenir la fraude et garantir la conformité

Le ministère met en œuvre cette mesure pour protéger les demandeurs de formation contre toute forme de fraude. La formation professionnelle dans les spécialités paramédicales doit respecter des conditions spécifiques, dont l’obtention d’une accréditation.

Formations non accréditées : Les risques à connaître

Le ministère rappelle que toute formation dans les spécialités paramédicales hors cadre légal expose les établissements de formation à des sanctions administratives et pénales. Cela inclut les formations dans des domaines comme la médecine alternative, l’acupuncture, le massage thérapeutique, et d’autres spécialités paramédicales non accréditées.

Consultez la liste des formations accréditées

Les candidats peuvent consulter la liste des formations paramédicales accréditées directement sur le site officiel du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle à l’adresse suivante : www.emploi.gov.tn. Ainsi, les candidats doivent prendre les précautions nécessaires. Et ce pour s’assurer que la formation qu’ils choisissent respecte les normes et réglementations en vigueur.

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Salon ISSOT 2024 : Le tourisme saharien à l’honneur à Tozeur

La ville de Tozeur, située dans le sud tunisien, a récemment accueilli près de 500 visiteurs pour le lancement du Salon International du Tourisme Oasien et Saharien (ISSOT 2024). L’événement, qui se déroule du 3 au 5 décembre, a attiré des journalistes, des influenceurs et des représentants de tour-opérateurs venus de 14 pays.

Le Salon ISSOT 2024 a pour objectif principal de promouvoir la région du sud de la Tunisie. Et ce en particulier le gouvernorat de Tozeur, en la revalorisant comme une destination touristique de choix. Cet événement vise également à renforcer la position de Tozeur en tant que porte d’entrée pour le tourisme saharien.

Un programme diversifié : Conférences, expositions et animations

L’inauguration du salon a présenté un programme varié incluant des conférences, des expositions et des animations culturelles. Abdelfattah Mlik, président du comité d’organisation du salon, a détaillé les thématiques abordées lors des conférences, telles que :

  • Le patrimoine traditionnel et touristique de la région
  • Le tourisme durable et l’importance de sa préservation
  • La diversité des paysages naturels : désert, oasis, montagnes et villages amazighs
  • L’impact de la numérisation dans la promotion touristique
  • Les opportunités d’investissement dans le secteur du tourisme
  • Les modèles de réussite dans le tourisme alternatif et l’écotourisme

Expositions et artisans locaux : Valoriser le patrimoine de Tozeur

L’événement a également proposé plusieurs expositions mettant en avant la richesse du patrimoine artisanal de la région. Les organisateurs ont accordé une attention particulière aux productions artisanales des femmes des oasis, soulignant l’importance du rôle féminin dans le développement local. Un Salon professionnel a permis aux agences de voyages, hôtels, maisons d’hôtes et restaurants touristiques de se réunir, offrant une plateforme pour les acteurs du secteur.

L’Art local à l’honneur : Peintres et calligraphes en exposition

Parallèlement, des artistes locaux, tels que des peintres et des calligraphes, ont exposé leurs œuvres dans la zone touristique de Tozeur. Ces créations ont été accompagnées de spectacles folkloriques, créant une atmosphère festive et immersive pour les visiteurs.

L’ISSOT 2024 : Un pas vers un tourisme durable

Les visiteurs ont exprimé leur admiration pour les produits exposés, en particulier ceux réalisés par des diplômés universitaires, qui ont contribué à mettre en valeur l’innovation et le savoir-faire local. Selon les organisateurs, ces initiatives visent à faire évoluer le tourisme saharien d’un tourisme de passage à un tourisme de séjour, renforçant ainsi l’attractivité de la région.

Avec TAP

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Femmes / Science » : La Tunisienne Samar Hadrouk récompensée

La chercheuse tunisienne au Centre de recherches et des technologies des eaux (CERTE) à Borj Cédria (gouvernorat de Ben Arous), Samar Hadrouk, a remporté le prix international « Pour les femmes et la science ». L’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) a décerné ce prix.

Ce prix, destiné aux jeunes talents d’Afrique du Nord, honore la lauréate pour ses travaux de recherche scientifique qu’elle a réalisés au sein du laboratoire des eaux usées et de l’environnement.

À cette occasion, Samar Hadrouk a déclaré à l’Agence TAP que cette consécration valorise tous les chercheurs du CERTE et reconnaît la valeur scientifique des travaux que les structures tunisiennes de recherche accomplissent, ainsi que la contribution des femmes à la production académique et scientifique. Le jury scientifique de l’UNESCO a examiné une quarantaine de projets de recherche dans divers domaines avant d’annoncer les résultats.

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