TUNIS – UNIVERSNEWS Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) organise avec l’appui de l’Ambassade de Tunisie à Kinshasa et la Chambre de Commerce et d‘Industrie du Congo Central, des rencontres professionnelles BtoB Tuniso-Congolaises et ce, le 10 décembre 2024 à la Maison de l’Exportateur.
Cette action couvrira cinq secteurs prioritaires, à savoir le BTP et les matériaux de construction, l’agroalimentaire, les énergies renouvelables, les produits d’hygiène ainsi que le secteur de la pharmaceutique et cosmétique.
A rappeler que la République du Congo est membre de la Communauté Economique et Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC), et détient plus de 20 % des importations de la zone, avec une croissance économique d’environ 5,4 %, comparée aux 3% estimés pour la zone CEMAC.
Les échanges commerciaux entre la Tunisie et la république du Congo ne dépassent pas les 25 millions de dinars et se limitent à quelques produits exportés malgré le fort potentiel de ce pays, tels que la margarine, le papier hygiénique, le plâtre et quelques produits alimentaires.
TUNIS – UNIVERSNEWS Le conseil d’administration de la BTK a décidé d’émettre un emprunt obligataire de 25 Millions de dinars et annonce l’ouverture des inscriptions à partir du 18 décembre 2024 et clôturées au plus tard le 15 janvier 2025. Elles peuvent être clôturées, sans préavis, dès que le montant de l’émission, 25 MDT est intégralement souscrit.
Les demandes de souscription seront reçues dans la limite des titres émis, soit 250 000 obligations. En cas de non placement intégral de l’émission au 15 janvier 2025 et passé ce délai, le montant de l’émission correspondra à celui effectivement collecté par la Banque.
La BTK de par son statut de banque universelle est appelée à mobiliser des ressources stables. Cette émission obligataire permettra ainsi de contribuer au financement de son activité avec une meilleure adéquation entre les maturités et les taux des ressources avec ceux des emplois.
De même, conformément à son plan stratégique, cette émission permettra à la banque de développer son offre de produits et services ainsi que le financement de ses investissements.
Les obligations du présent emprunt seront offertes à taux variable : Taux du Marché Monétaire (TMM publié par la BCT) + 2,50% brut l’an, calculé sur la valeur nominale restant due de chaque obligation au début de chaque période au titre de laquelle les intérêts sont servis. Ce taux correspond à la moyenne arithmétique des douze derniers taux moyens mensuels du marché monétaire tunisien précédant la date de paiement des intérêts majorée de 250 points de base. Les douze mois à considérer vont du mois de janvier de l’année N-1 au mois de décembre de l’année N-1.
TUNIS – UNIVERSNEWS La Tunisie se positionne à la 8ème place en Afrique et 116ème à l’échelle mondiale avec un score de 0,469 dans l’indice de scolarisation mondiale publié par la plateforme Data Pandas.
Elle est suivie de l’Algérie qui arrive en 9ème position (0,451, 118e mondialement). Avec un indice de 0,443, l’Egypte se classe au 120ème rang mondial, alors que le Maroc est classé 140ème avec un score de 0,343.
En Afrique, les Seychelles occupent la première place avec un indice d’éducation de 0,681, se hissant au 70ème rang mondial. Suivent l’Afrique du Sud avec un indice de 0,627 (86e mondial) et l’Île Maurice à la troisième position avec un score de 0,601 (96e).
Le Zimbabwe et le Botswana occupent respectivement la quatrième et la cinquième place avec des indices de 0,535 (111e) et de 0,526 (112e). Le Gabon, avec un indice de 0,517, est classé 114e, tandis que Sao Tomé-et-Principe se situe juste derrière, au 115e rang avec 0,470.
Cet indice d’éducation fait partie de la composante « connaissances » de l’Indice de Développement Humain (IDH) établi par les Nations Unies. Il est basé sur un ensemble de critères tels que le nombre d’années de scolarisation prévues, les années effectivement réalisées, ainsi que les résultats académiques à tous les niveaux. Un score proche de 1 indique une performance éducative supérieure.
Face à l’incapacité de mobiliser des ressources extérieures en devises étrangères, l’Etat tunisien recours, encore une fois, à des solutions faciles et coûteuses
Le gouvernement a programmé 16,5 milliards DT, mais il n’a pu mobiliser que 5 milliards DT, et même l’Algérie et l’Arabie Saoudite ne nous ont pas donné un seul centime
Cet emprunt se fera au détriment de l’approvisionnement du marché intérieur en produits alimentaires et en médicaments ainsi qu’en matières premières et produits semi-finis nécessaires au processus de production
Cette tendance provoquera une récession économique comme celle qui s’est produite cette année, et nous ne pourrons pas atteindre le taux de croissance attendu de 3,2%, ce qui menace la politique de compter sur soi
TUNIS – UNIVERSNEWS Ridha Chkoundali, expert en économie et professeur en sciences économiques a critiqué, la proposition de la ministre des Finances, Siham Boughdiri Nemsia, approuvée, en plénière, et portant sur l’ajout d’un article supplémentaire autorisant à la BCT d’accorder des facilités au trésor public de l’ordre de 7 milliards de dinars, sans intérêts : « Face à l’incapacité de mobiliser des ressources extérieures en devises étrangères, l’Etat tunisien recours, encore une fois, à des solutions faciles et coûteuses », a-t-il précisé dans un statut posté sur son Facebook.
Il a par ailleurs expliqué que cette année, le gouvernement a programmé 16,5 milliards de dinars, mais il n’a pu mobiliser que 5 milliards de dinars, et même l’Algérie et l’Arabie Saoudite ne nous ont pas donné un seul centime. Et d’expliquer que le budget de l’Etat pour l’année 2025 est fixé à 78,2 milliards de dinars, provenant essentiellement des ressources propres de l’Etat, soit des ressources fiscales et non fiscales à hauteur de 50 milliards de dinars et de l’emprunt (28 milliards de dinars). La grande partie sera allouée aux salaires et aux dépenses de la subvention. Ainsi, 36 milliards de dinars seront utilisés pour financer les dépenses de consommation, 5,4 milliards de dinars pour financer le développement et 24,7 milliards de dinars pour payer les dettes intérieures et extérieures.
Il a mis en garde contre le recours à ce type d’emprunt pour financer les dépenses de consommation qui entrainera certainement des taux d’inflation beaucoup plus élevés dans la mesure où ces dépenses ne vont pas créer de la richesse : « D’où proviendront ces financements ? Cela soulève plusieurs questions sur la politique monétaire de cette institution d’émission. Si la Banque centrale maintient un taux d’intérêt élevé afin de limiter les prêts à la consommation et par conséquent limiter les liquidités sur le marché, alors pourquoi prête-t-elle à l’État une somme aussi énorme qui risque d’exacerber la liquidité du marché ? Pourquoi prête-t-elle aussi à l’État sans intérêts et prête-t-elle aux citoyens et aux investisseurs à un taux d’intérêt très élevé ? Est-ce équitable ? », s’est exclamé l’universitaire.
« Pourquoi cette pression sur les Tunisiens ! Et pourquoi appliquer un taux d’intérêt élevé pour réduire la liquidité, alors que l’Etat tunisien contribuera à son augmentation lorsqu’il prêtera directement à l’Etat ? », s’est-t-il interrogé.
L’expert en économie a tenu en outre à préciser que si l’État finance avec cet emprunt ses dettes extérieures, comme c’est le cas avec cette première partie des 7 Milliards de dinars contractée auprès de la BCT au cours de cette année, cela affaiblira les réserves en devises de la Banque centrale. De plus, cela se fera au détriment de l’approvisionnement du marché intérieur en produits alimentaires et en médicaments nécessaires ainsi qu’en matières premières et en produits semi-finis nécessaires au processus de production : « Cette tendance provoquera une récession économique comme celle qui s’est produite cette année, et nous ne pourrons pas atteindre le taux de croissance attendu de 3,2%, ce qui menace la politique de compter sur soi », a-t-il estimé.
Ridha Chkoundali a d’autre part indiqué que le mieux est d’utiliser cet emprunt direct pour financer les dépenses de développement, en raison de ses répercussions positives sur la croissance économique : « alors pourquoi emprunte-t-il 7 milliards de dinars alors que les dépenses de développement ne sont que de 5,4 milliards de dinars ? », s’est-t-il demandé.
TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – Dans le cadre de la réussite de la campagne de récolte des olives, deux séances de travail ont eu lieu, le lundi, sous la présidence du ministre de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh, et du ministre du Commerce et du Développement des exportations, M. Samir Abid, et en présence du secrétaire d’État chargé des Ressources hydrauliques, Hamadi Habib, et des représentants de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTAP) et de l’Union tunisienne pour l’agriculture et la pêche (UTAP), des représentants de la Banque nationale agricole (BNA), de la Société tunisienne des banques (STB, de la Banque tunisienne de solidarité (BTS) et de la Banque Zitouna, ainsi que des représentants de la directions générales du ministère et de l’Office National de l’Huile (ONH).
Les participants ont convenu de former une cellule de suivi composée de représentants des exportateurs, des propriétaires d’huileries, des agriculteurs, des banques, de l’administration et de l’ONH, chargée d’un suivi étroit et d’une coordination pour faire face aux développements et intervenir en temps opportun, afin que la saison oléicole soit couronnée de succès.
Les représentants des banques ont exprimé leur disponibilité et leur souci de financer la campagne d’exportation et d’assurer le déroulement de la récolte des olives de manière à préserver la récolte et à garantir les droits des agriculteurs.
Dans ce contexte, le ministère de l’Agriculture appelle tous les intervenants à donner la priorité à l’intérêt général afin de préserver cette richesse et sa qualité et à continuer d’œuvrer pour assurer le déroulement normal de la saison, y compris les collectes, l’extraction, la transformation, le stockage et la valorisation, et affronter toutes les perturbations.
TUNIS – UNIVERSNEWS (Politique) – Dans un post sur sa page Facebook, qualifié de « dangereux et grave », le député de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Abdessattar Zaraï, a présenté ses excuses au peuple tunisien pour l’incapacité des honorables membres de l’Assemblée à adopter ce que veut l’honorable citoyen.
Il a affirmé «que les lobbies sont puissants et infestent les rouages de l’État et l’administration et qu’ils ont des tentacules à l’ARP», en désignant implicitement l’adoption de lois sur les cartels, comme cela s’est produit avec le chapitre 59 et d’autres, ainsi que l’abandon de chapitres au profit du peuple, pour se demander ce passe-t-il à l’intérieur de l’Assemblée ??
Il est à noter que ceux qui se disent protecteurs du processus ont appelé au retrait de la représentativité des députés.
TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – Le Conseil national des régions et des districts (CNRD) a pris la relève dans l’examen du projet de loi de finances 2025. Il semble qu’il n’est pas du même avis, pour certains articles adoptés lors de l’examen du PLF par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Le CNRD a rejeté l’article 59 du projet de loi de finances pour l’année 2025 (sans aucune voix pour) précédemment approuvé par le Parlement et relatif à la réduction du taux de taxe sur la valeur ajoutée appliqué à certains produits agricoles destinés à la transformation.
Le chapitre supprimé prévoit l’ajout d’un paragraphe au chapitre n° 21 bis du code de la fiscalité qui précise les matières qui devaient être incluses dans la réduction du taux de la taxe sur la valeur ajoutée, y compris les olives en conserve qui ne sont pas destinées à la consommation en l’état et ne sont pas destinés à l’extraction de l’huile.
Le CNRD a également abandonné l’article 53 du projet de loi de finances pour l’année 2025 dans sa version approuvée par le Parlement.
TUNIS – UNIVERSNEWS La Bourse de Tunis a annoncé, ce mercredi 4 décembre, l’introduction sur le marché obligataire de la cote de l’emprunt Taysir Microfinance. Désormais, il est négociable en bourse à partir de demain 5 décembre 2024.
Pour rappel, les souscriptions à l’emprunt obligataire «Taysir 2024-1» émis par appel public à l’épargne pour un montant de 30 MDT ont été clôturées le 1 août 2024, pour un montant de 40 MDT.
Cette émission obligataire permettra à l’institution de consolider ses ressources à moyen et long terme, ayant pour finalité de financer son activité de microfinance.
L’agence de notation MicroRate avait attribué en juin 2024 une notation à long terme « BBB- » avec perspective stable selon l’échelle locale tunisienne à l’emprunt obligataire « Taysir 2024-1 » objet de la présente note d’opération.
TUNIS – UNIVERSNEWS Le compte courant du trésor public s’établit à 746 Millions de dinars à la date du 3 décembre 2024 contre 519 Millions de dinars à la même période de l’année dernière, soit une hausse 227,3 Millions de dinars, selon les données actualisées de la Banque Centrale de Tunisie (BCT).
Au 19 septembre 2024, le solde du compte courant du trésor s’élève à 1664,8 Millions de dinars.
S’agissant du solde du compte courant ordinaire des banques, il s’élève à 314,3 Millions de dinars au 3 décembre 2024, le contre 292,4 Millions de dinars à la même période, soit une augmentation de 21,9 Millions de dinars.
Comme signe des temps, soudain, revoilà l’ordre barbare djihadiste en Syrie poussé et armé par l’immorale Turquie qui ne pouvait agir sans le consentement de l’OTAN
Dans le cas du Moyen-Orient et de l’ensemble de l’espace non-occidental, rarement la morale et le droit ont été du bon côté des causes
Il n’y a que les masses arabes qui croient encore, bêtement et naïvement à la Oumma islamique ou à la Nation Arabe
TUNIS – UNIVERSNEWS – Comme en 1938, les puissances du moment s’apprêtent à valider, dans le cadre d’un échange de la honte, les désordres, dont certains sont nés de leurs actions ou la résultante de leurs volontés, en Ukraine et au Moyen-Orient.
Comme en 1938, les puissances du moment vont sacrifier une partie de l’Ukraine après l’avoir couverte des oripeaux d’une démocratie face à un autoritarisme. La réalpolitique va sacrifier le droit et le système des rapports hérités de 1945 et de la Charte qui en était issue. Devant nos yeux, le monde de 1945 agonise, ceux qui avaient tiré le plus grand profit de sa structure, ont décidé, car sa fin cela devait leur être désormais plus favorable, de le saborder en déchirant le droit.
Comme signe des temps, soudain, revoilà l’ordre barbare djihadiste en Syrie poussé et armé par l’immorale Turquie membre de l’OTAN, qui ne pouvait agir sans le consentement des Etats co-membres. La Turquie d’Erdogan, qui est au crépuscule de sa vie, comme Poutine en Ukraine pour 1992, veut une revanche sur les Traités de Sèvres et de Lausanne. Alep est restée dans l’imaginaire turc pourtant terre arabe historiquement et humainement. Comme en 1938, les principes, la morale n’ont pas résisté à toutes les hypocrisies. D’ailleurs, dans le cas du Moyen-Orient et de l’ensemble de l’espace non-occidental, rarement, la morale et le droit ont été du bon côté des causes. Seule différence avec 1938, le ridicule s’est rajouté au dramatique.
Comme en 2011, un groupe sorti de nulle part, un djihadisme, requalifié pour les besoins de la normalisation en cours avec la barbarie, comme « rebelles islamistes » si on en croit les affirmations d’un journaliste de France 24, qui semble tellement versé dans les méandres et les arcanes du djihadisme qu’il s’est senti le besoin de délivrer des satisfécits et des indulgences. Drôle de journalisme.
La séquence qui démarre le 7 octobre 2023 est en train de prendre une tournure syrienne, bientôt irakienne. La recomposition frontalière du Moyen-Orient de vient de commencer.
L’Iran après avoir envoyé ses supplétifs Hamas, Houthis, et Hezbollah en enfer et démoli définitivement pour les Palestiniens tout espoir d’un semblant d’Etat, le voilà abandonnant le régime de Damas. Cela confirme ce que nous avons souligné ici même. Les Perses, comme les Turcs, sont d’abord perses ou turcs avant d’être musulmans, chiites ou sunnites. Il n’y a que les masses arabes qui croient encore, bêtement et naïvement à la Oumma islamique ou à la Nation Arabe. Ce qui se déroule au Moyen-Orient et ce qui se joue aujourd’hui jusqu’au Maghreb, est la pire défaite du Monde Arabe. Une défaite comparable à 1492. L’onde de choc de ce qui est en cours va certainement balayer les plus faibles.
Il n’y a guère que le nouveau Chef du Hezbollah pour claironner le chant d’une victoire aussi fictive que pathétique, quand Gaza est déjà recolonisée entièrement, que la Cisjordanie a été déjà avalée, que le Liban n’est qu’un amas de gravats et que la Syrie bientôt découpée en au moins trois micro-Etats et que l’Irak lui-même est susceptible de connaitre le même sort. Peut-être même la Jordanie.
L’Iran comme la Turquie au moment des détestables « pseudo » printemps islamistes, a joué un jeu malsain et immoral, dont l’objectif était de faire pression sur l’Occident en faisant des pays arabes un champ de guerres par procuration. La dernière tournée au Maghreb du membre du conseil iranien de sécurité nationale en dit long sur le rôle dangereux et immoral de l’Iran en Afrique du Nord et spécialement en Tunisie. Comme pour les Turcs, les pays arabes des pseudo printemps, faibles, sans stratégies, coupés de leurs anciens alliés, ne sont que de vulgaires boules de billard s’entrechoquant au gré des coups des joueurs.
Comme signe du temps dans cet ordre immoral qui émerge sur les décombres du monde né en 1945, qui n’était pas plus moral, le président américain élu agit comme dans une féodalité, nommant un de ses gendres, émissaire au Moyen-Orient, oubliant qu’avant lui, George Bush (le fils) avait nommé un Général d’origine libanaise, Abi Zayd, pour l’Irak. L’ampleur du désastre irakien suffit amplement pour juger de ce que fera le nouvel émissaire américano-libanais.
Comme signe du temps encore plus immoral enfin, la nomination comme ambassadeur américain à Paris, le père du gendre de Monsieur Trump, un Kuchner. Le futur locataire de l’ambassade parisienne des Etats-Unis, condamné pour fraude fiscale et pour avoir tenté de piéger par une prostituée le mari de sa propre sœur. Biden le sortant, s’est quant à lui distingué en amnistiant totalement son fils Hunter avant de quitter la Maison Blanche. Certaines républiques bananières avaient été moins ridicules.
On pourrait presque les remercier de nous avoir débarrassé enfin, du mensonge de la fausse morale dont ils se sont trop souvent drapés, tant ils ont banalisé le mal et ridiculisé la vertu en si peu de temps.
TUNIS – UNIVERSNEWS (Santé) – En cas de grippe ou de rhume, on se demande bien souvent quels aliments manger. Pour cause, les symptômes désagréables et le manque d’appétit ont généralement tendance à prendre le dessus. Toute l’année, en prévention, mais aussi pendant l’épisode grippal pour diminuer la durée des symptômes, on recommande d’adopter une alimentation très riche en nutriments et vitamines contre le rhume. Les vitamines C et D, les fruits et légumes, les probiotiques et les bonnes graisses sont essentiels pour aider l’organisme à se défendre et à récupérer plus vite.
La micronutrition consiste à satisfaire les besoins en micronutriments de la personne, par une alimentation diversifiée, santé, associée, si besoin, à une complémentation personnalisée. elle est particulièrement indiquée dans le cas de troubles fonctionnels en relation avec des déficits micro-nutritionnels tels que fatigue, troubles de l’humeur, grippe , troubles digestifs, infections à répétition, douleurs ostéo-articulaires traînantes, etc. En plus, elle est particulièrement utile pour améliorer la qualité de vie, en particulier le mieux-être, la vitalité, la forme et la performance.
C’est dans ce cadre que l’Association tunisienne des sciences de la micronutrition organise le 10 décembre une conférence sur la prise en charge de la grippe saisonnière par la micronutrition, animée par Dr Amin Gasmi, nutritionniste et Président de la Société Francophone de Nutrithérapie et de Nutri-génétique Appliquée (M.S)
TUNIS – UNIVERSNEWS (Santé) – Les intoxications aiguës constituent un pourcentage élevé des hospitalisations, qu’elles soient accidentelles (domestiques ou professionnelles) ou volontaires (toxicomanie, tentative de suicide). Les intoxications par les médicaments, les plus fréquentes, représentent 80 % des intoxications motivant une hospitalisation en urgence. Elles sont en général provoquées par l’association de plusieurs médicaments (65 % des cas chez l’adulte). Les autres toxiques sont les produits industriels (solvants), les produits ménagers (détergents, eau de Javel), l’alcool et les stupéfiants, l’oxyde de carbone, les plantes, les champignons, certaines algues toxiques (par l’intermédiaire des fruits de mer), ainsi que les produits utilisés par les agriculteurs (engrais, fongicides, herbicides, insecticides, raticides).
La mortalité due aux intoxications est actuellement inférieure à 1 % chez l’adulte et à 0,5 % chez l’enfant. L’Association Tunisienne de Toxicologie et de Promotion des Centres Antipoison ne cesse de promouvoir la toxicologie sous ses multiples aspects (clinique, analytique, thérapeutique, épidémiologique, environnemental, préventif). Tous les ans, elle organise un congrès scientifique qui attire un public de médecins, pharmaciens, internes ou infirmiers de diverses spécialités telles que des toxicologues, des pharmacologues, des biologistes, des urgentistes, des réanimateurs ou encore des médecins du travail et des addictologues.
Son prochain congrès annuel est prévu les 6 et 7 décembre 2024 au Royal Thalassa Monastir. L’événement vise à sensibiliser et à informer les populations, les malades, les proches et les professionnels de la santé sur les risques liés aux toxiques et aux intoxications, ainsi qu’à promouvoir les centres antipoison. Cette édition, avec un programme scientifique riche et innovant, abordera diverses thématiques de toxicologie : Les intoxications médicamenteuses, les intoxications par les pesticides, les antidotes, l’intoxication au monoxyde d carbone, les indigestions des caustiques, les envenimations. (M.S)
TUNIS – UNIVERSNEWS (Tourisme) – Longtemps utilisé par le Bey de Tunisie pour ses randonnées dans la banlieue de la capitale, le train touristique «Le Lézard Rouge» sera remis en service sur le tronçon Metlaoui- Redeyef, au grand bonheur des touristes venus de tous bords, une fois les travaux de maintenance achevés par la Société Nationale des Chemins de Fer Tunisiens (SNCFT), a annoncé le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, à l’occasion de l’ouverture du Salon International du Tourisme Saharien et Oasien (ISSOT), à Tozeur.
L’objectif est de l’intégrer dans l’offre touristique nationale et de renforcer l’attractivité du sud tunisien en tant que destination de tourisme durable. Le train n’a pas sifflé depuis 2017. Nombreux sont ceux qui plaident en faveur de son rétablissement. Maintenant que le trafic ferroviaire est rétabli sur ce tronçon, pour le transport du phosphate et récemment les voyageurs, ce Lézard Rouge retrouvera une seconde vie. (M.S)
TUNIS – UNIVERSNEWS (Météo) – Les températures maximales varieront entre 14 et 18 degrés sur les régions côtières nord et les hauteurs ouest et entre 19 et 24 degrés sur le reste des régions.
Temps parfois très nuageux sur les régions côtières du nord, où des pluies sporadiques et temporairement orageuses à localement fortes sont attendues. Ces pluies s’étendront progressivement l’après-midi au reste du nord, au centre et localement au sud en cours de nuit avec des chutes de grêle dans certains endroits.
Vent de secteur ouest relativement fort sur le sud avec localement des vents de sable. Il sera faible à modéré sur le reste des régions, puis se renforcera en cours de nuit sur la plupart des régions et dépassera temporairement 80 km/h sous forme de rafales accompagnées d’orages.
Mer agitée dans le Golfe de Gabès et sur le reste des côtes, puis généralement très agitée la nuit.
TUNIS – UNIVERSNEWS Un accord de partenariat et de coopération a été conclu, ce mardi 3 décembre 2024, entre la Banque Tunisienne de Solidarité (BTS) et la société Ellouhoum pour la mise en œuvre d’un programme spécial destiné à financer une nouvelle série de points de vente de viandes rouges.
A cet effet, la BTS s’engage à allouer des crédits totaux d’une valeur de 10 millions de dinars pour octroyer des prêts bancaires sans garanties et à des taux d’intérêts fixes au profit de jeunes promoteurs qui seront formés dans le domaine des métiers des viandes rouges dans le but de créer des points de vente sous la marque : « Ellouhoum Market » et ce, selon des normes techniques bien précises. Il s’agit aussi de financer des petits projets de transport de viandes rouges congelées. La société Ellouhoum assurera ainsi la formation des entrepreneurs souhaitant bénéficier d’un programme de formation et d’accompagnement technique dans la réalisation de leurs projets, et approvisionnera périodiquement ces points de vente en viandes rouges. Cet accord vise à contribuer davantage à resserrer le lien entre production, distribution et vente de viandes rouges, et à créer une nouvelle génération de points de vente modernes et de haute qualité. Un concours dont la date sera annoncée prochainement pour ceux qui souhaitent ouvrir des points de vente de viandes rouges, sachant que les premiers points devraient être installés début 2025.
TUNIS – UNIVERSNEWS Face aux défis croissants liés au stress hydrique et à la pollution par les bouteilles d’eau en plastiques, l’UBCI réaffirme son engagement en faveur de solutions durables. Avec le lancement de son partenariat avec la startup Kumulus, la banque franchit une nouvelle étape dans sa stratégie environnementale en faveur de ses employés et de ses clients.
C’est vendredi 29 novembre dernier que l’UBCI avait dévoilé l’installation de machines Kumulus dans plusieurs de ses sites, une innovation technologique capable de produire de l’eau potable directement à partir de l’air. Ce projet s’inscrit dans une démarche ambitieuse de sensibilisation à l’éco-responsabilité auprès de ses collaborateurs et de ses clients pour la réduction de l’utilisation des bouteilles en plastique.
Le fonctionnement de la machine repose sur un procédé ingénieux : l’air ambiant est refroidi pour générer des gouttelettes d’eau, qui sont ensuite filtrées, minéralisées, et stockées dans un réservoir garantissant leur pureté et fraîcheur. Chaque machine peut produire entre 20 et 30 litres d’eau potable par jour, offrant ainsi une alternative pratique et écologique à l’eau conditionnée.
L’UBCI ambitionne de déployer ces machines dans plusieurs sites à travers le pays, consolidant ainsi son rôle de pionnier en matière de développement durable et son soutien aux startups tunisiennes. À travers ce partenariat, la banque espère inspirer un changement durable dans les pratiques environnementales, tout en contribuant à la préservation des ressources naturelles.
L’UBCI dispose aujourd’hui d’un réseau de 102 Agences et 117 GABs opérant au cœur même des principaux centres économiques de la Tunisie.
La Banque offre une large gamme de produits et de services à l’attention de sa clientèle de particuliers et de professionnels couvrant leurs différents univers de besoins en matière de banque au quotidien, de financement de projets, de bancassurance et de gestion patrimoniale.
L’UBCI est aussi la première banque en Tunisie ayant obtenu en 2022 le label engagé RSE décerné par AFNOR Certification grâce à sa démarche RSE ancrée depuis 2012.
Kumulus est une startup pionnière dans la création d’eau potable à partir de l’air, grâce à une technologie brevetée développée en collaboration avec les universités de Limoges et Gustave Eiffel (Paris Est). Contrairement aux systèmes de filtration classiques, les machines Kumulus ne nécessitent pas de source d’eau initiale, mais seulement une alimentation électrique.
TUNIS – UNIVERSNEWSLe marché de la Bourse a clôturé la séance, de ce mardi 3 décembre 2024, sur une note quasi-stable. L’indice de référence a signé une progression de 0,06 % à 9881,01 points, dans un modeste volume de 2,3 MDt, selon Tunisie Valeurs.
Sans drainer de capitaux, le titre OFFICEPLAST s’est offert la palme d’or. L’action du fabricant d’articles scolaires et bureautiques s’est appréciée de 2,8 % à 1,100 Dt.
Le titre SOMOCER a terminé la séance en territoire positif. L’action du spécialiste en céramique a signé une avancée de 2,5 % à 0,410 Dt. La valeur a été transigée à hauteur de 24 mille dinars.
Le titre MONOPRIX s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. Sans faire l’objet de transaction, l’action du spécialiste de la grande distribution s’est pliée de 4,3 % à 3,350 Dt.
Le titre CELLCOM s’est retrouvé parmi les plus fortes baisses de la séance. Dans de maigres échanges de 5 mille dinars, l’action de la société s’est délestée de 2,1 % à 2,300 Dt.
Le titre CITY CARS a chapeauté le palmarès des échanges avec un flux de 355 mille dinars. Le cours de l’action du distributeur officiel de la marque KIA sur le marché Tunisien a affiché une hausse de 0,5 % à 12,850 Dt.
TUNIS – UNIVERSNEWS – Selon les données provisoires de la Banque Centrale de Tunisie (BCT), les avoirs en devises de la Tunisie montent à 113 jours d’importations à la date de ce mardi 3 décembre 2024, représentant ainsi 113 jours d’importations, soit au même niveau que celui de la même période de l’année dernière, soit 25161,4 MDT, représentant également 113 jours d’importations.
Par rapport à lundi 2 décembre 2024, les avoirs en devises de la Banque Centrale ont augmenté de 329,8 Millions de dinars, soit de deux jours d’importations.
Quant à lui, le volume global du refinancement a atteint 11385,4 Millions de dinars à la date du 3 décembre 2024 contre 13763 Millions de dinars à la même période de l’année dernière, soit une baisse de 2377,6 Millions de dinars.
Sur la même période, le total des transactions interbancaires s’établit à 2471,7 Millions de dinars contre 1947,2 Millions de dinars à la même période de l’année dernière, soit une hausse de 524,5 Millions de dinars.
TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – L’indice Tunindex a clôturé le mois de novembre 2024 à 9 865,77 points enregistrant une légère hausse de 0,05% après une baisse de 0,95% durant le mois d’octobre 2024. Depuis le début de l’année, ses gains cumulés ont atteint 12,74% contre une hausse de 5,76% durant la même période de 2023, selon la lettre mensuelle de la bourse de Tunis pour le mois de novembre 2024.
Le Tunindex20 a enregistré un repli de 0,38% après une baisse de 1,23% durant le mois de novembre, clôturant ainsi à 4 355,52 points. Depuis le début de l’année, le Tunindex20 a enregistré une hausse 13,85% contre une hausse de 4,53% durant la même période de l’année 2023. S’agissant du volume des échanges sur la Cote de la Bourse, il a atteint 86,7 MDT, soit une baisse de 75,7% par rapport au mois précédent. Le volume d’échange quotidien moyen s’est établi à 4,1 MDT contre 16,3 MDT durant le mois d’octobre, et à 6,5 MDT durant l’année 2024.