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Tunisie : L’ONH fixe les modalités de stockage de l’huile d’olive pour la saison 2024/2025

Le stockage de l’huile d’olive dans les entrepôts de l’Office nationale d’huile (ONH), pour la saison 2024/2025, peut durer un mois ou plus, moyennant un coût mensuel estimé à 6,400 dinars/ tonne (hors TVA), indique, mercredi, l’ONH.

Il a ajouté que la quantité minimale à stocker a été fixée à 5 tonnes, précisant que la réception des quantités d’huile d’olive se fera, dans les centres régionaux de l’office à Cité Ezzouhour (Tunis), Sousse, Kairouan, Sfax et Zarzis, du lundi au vendredi, durant les horaires administratifs (de 8h00 jusqu’au 15h00).

L’huile d’olive doit être placée dans des contenants adaptés au transport et au stockage des huiles alimentaires (inox…), appelant à ne pas nettoyer ces contenants en utilisant des détergents (Javel…), recommande l’ONH.

Le stockage de l’huile d’olive provenant de l’agriculteur ou du producteur se fera selon sa variété (extra vierge, vierge, vierge courante, vierge lampante …), qui sera identifiée tout en se référant aux résultats des analyses réalisées dans les laboratoires de l’Office.

A la fin de la période de stockage, l’ONH procédera à la remise des quantités d’huile de la même variété reçue au départ, à l’agriculteur et au producteur concernés, conformément aux critères adoptés par le Conseil Oléicole International.

Il convient de noter que l’ONH avait annoncé, le 9 novembre 2024, la mise à disposition des professionnels, de ses centres régionaux de stockage. Il avait annoncé le lancement d’un programme de financement du stockage de l’huile d’olive auprès des producteurs et la prorogation de trois mois du délai de remboursement des crédits saisonniers accordés aux agriculteurs et aux propriétaires des huileries. L’objectif est de garantir la réussite de la campagne de récolte, de transformation et de commercialisation des olives.

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Alerte sanitaire : la dermatose nodulaire bovine détectée en Tunisie

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche a annoncé, ce mercredi, la détection de cas de dermatose nodulaire contagieuse bovine en Tunisie. L’institution appelle les éleveurs à signaler immédiatement tout cas suspect aux services vétérinaires régionaux rattachés aux commissariats régionaux au développement agricole.

Cette maladie virale, qui touche exclusivement les bovins sans représenter de danger pour l’homme, se transmet par des vecteurs tels que les mouches, les moustiques, les puces ou les tiques. Les symptômes principaux incluent une fièvre et l’apparition de nodules de tailles variables sur la peau des animaux.

Pour prévenir la propagation de la maladie, le ministère recommande aux éleveurs de :

• Contacter un vétérinaire dès l’apparition des signes évocateurs de la maladie.

• Éviter tout traitement sans avis médical.

• Appliquer strictement les mesures de biosécurité, notamment le nettoyage des exploitations, le drainage des eaux stagnantes et l’élimination des amas d’engrais naturels.

Le ministère exhorte également les éleveurs à :

– Isoler les animaux malades ou suspects pour protéger les troupeaux sains.

– Ne pas acquérir d’animaux d’origine inconnue.

– Tenir les animaux éloignés des zones infectées.

– Lutter contre les insectes vecteurs en utilisant les pesticides recommandés par les services vétérinaire

Dans le cadre de son plan de lutte, le ministère a annoncé l’acquisition de vaccins contre la dermatose nodulaire contagieuse. Une campagne exceptionnelle de vaccination sera lancée prochainement, dès l’achèvement des procédures administratives nécessaires, pour renforcer la prévention et limiter la propagation de cette maladie.

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Tunisie – Mahdia : 9 tonnes de pommes de terre injectées pour réguler le marché

Les agents de contrôle économique à Mahdia ont supervisé, ce mercredi, l’injection de 9 tonnes de pommes de terre sur le marché de gros d’El Jem. Ces quantités, provenant des zones de production de Gafsa et Sidi Bouzid, visent à atténuer la pénurie actuelle, en attendant l’acheminement de volumes supplémentaires, selon les données fournies par la direction régionale du commerce de Mahdia.

Salah Charfeddine, président de l’Union régionale de l’agriculture, a affirmé, dans une déclaration à l’agence TAP, que cette pénurie ne devrait pas durer au-delà de deux semaines. “Les pommes de terre de saison issues de la production nationale seront disponibles en quantités significatives à partir de la mi-décembre”, a-t-il assuré.

Il a également précisé que ces nouvelles disponibilités permettront de stabiliser les prix tout en respectant le pouvoir d’achat des consommateurs et en garantissant une qualité optimale. Toutefois, il a mis en garde contre des importations excessives de ce produit. “Il est essentiel que les volumes importés tiennent compte des capacités de production nationale. Des importations supérieures aux besoins auraient un effet négatif sur les prix, au détriment des agriculteurs, qui restent le maillon faible de cette chaîne de valeur”, a-t-il souligné.

L’Union régionale appelle ainsi les autorités à trouver un équilibre entre importation et soutien à la production locale, pour garantir la durabilité du secteur agricole et préserver le pouvoir d’achat des consommateurs.

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Médias publics, partie prenante de l’œuvre de développement de la Tunisie : Lorsqu’on accuse ce pays de vouloir être libre !

La lutte pour la libération nationale n’est pas un simple slogan. C’est plutôt un combat de tous les jours mené sur plusieurs fronts dont l’un des plus importants est celui des médias. Les Tunisiens, qui sont restés, des décennies durant, marginalisés, ont aujourd’hui leur mot à dire, notamment à travers les nouvelles institutions prônées par la nouvelle Constitution. La Tunisie n’a pas honte de revendiquer son nouveau statut à l’échelle internationale comme étant un pays libre, démocratique et ouvert sur les autres civilisations. Car on accuse toujours ce pays de « vouloir être libre ! ».

Pour le Président Kaïs Saïed, ceux qui prédisaient, à longueur de journée, la disparition certaine de la presse écrite oublient le rôle crucial imparti aux publications concernées (La Presse et Essabah) dans le triomphe des valeurs de justice et de liberté prônées par le processus du 25 juillet 2021.

Heureusement que les lecteurs de La Presse n’ont pas la mémoire courte. Ils retiendront à jamais une date historique, celle de la visite du Chef de l’Etat aux locaux de Snipe – La Presse, un certain 11 mars 2023. Ceux du journal arabophone Essabah vont retenir également une date marquante, celle de la visite de Kaïs Saïed à Dar Essabah le 16 juin de la même année. Deux visites qui ont changé le vécu de deux grandes institutions médiatiques du pays.

C’est ainsi qu’on pourra comprendre pourquoi Snipe-La Presse et Dar Essabah, toutes catégories de personnels confondues, sont unanimes à rendre hommage au Président de la République pour sa ferme position en faveur du sauvetage des deux institutions. Une décision sage et réfléchie que sûrement l’histoire de la presse écrite retiendra, loin des slogans creux de la liberté d’expression enseignés et véhiculés par des organisations internationales hypocrites.

Il est utile de rappeler qu’il y a quelques mois, les deux grandes maisons d’édition des journaux en Tunisie étaient menacées de cession d’activité. Si les origines des difficultés de ces deux médias sont multiples, le résultat est inéluctable : mettre la clé sous la porte. La crise financière qu’ont connue les deux sociétés était insoutenable et les solutions ont tardé à venir même de la part de l’Etat, actionnaire majoritaire du capital. Tout le monde perdait espoir en le sauvetage des deux médias, quatre en fait, qui représentent une mémoire nationale encore vivante mais agonisante.

Grâce à une volonté politique, au plus haut sommet de l’Etat, il a été possible de sauver ces deux institutions à travers des décisions présidentielles aussi bien réfléchies que sages. Aujourd’hui, le processus de fusion des deux médias va bon train, l’avenir ne peut être que meilleur.

Ainsi, quand on évoquait dans l’une de nos précédentes livraisons l’approche de développement pluridisciplinaire mise en œuvre depuis l’avènement du processus du 25 juillet, laquelle approche bénéficiant, à l’échelle de sa concrétisation, d’un suivi quasi quotidien de la part du Président de la République, on savait de quoi on parlait, contrairement à ceux qui soutenaient que le Chef de l’Etat s’intéressait un peu trop aux détails relevant du champ de compétence de certains ministres, gouverneurs ou même délégués.

En effet, dans la vision de développement intégral et durable, tous les secteurs se doivent d’être traités sur un pied d’égalité et entourés de la même sollicitude et de faire aussi l’objet d’un suivi permanent et d’une veille de tous les instants.

Ainsi le Chef de l’Etat persévère-t-il dans ce style de gouvernance auquel les Tunisiens commencent à s’habituer, d’un jour à l’autre.

Et pas plus tard que lundi dernier 25 novembre, le dossier des médias publics s’est imposé sur le bureau du Président de la République, convaincu — comme il l’a souligné fermement à plusieurs reprises — qu’il n’est pas question «d’éradiquer dans le sens d’annuler ou de faire disparaître les médias nationaux ou de les marginaliser» — comme essayent de le répandre certaines voix considérant qu’à l’ère de la presse numérique et des réseaux sociaux, les Tunisiens n’ont plus besoin pour s’informer de l’apport de la presse papier (à l’instar de La Presse, d’Essabah, d’Assahafa ou du journal Le Temps). Ces mêmes voix vont jusqu’à considérer que la TV, la radio nationale et les radios régionales (c’est-à-dire les médias du service public) n’ont plus de raison d’être, au vu de la révolution numérique et de l’essaimage vertigineux des sites électroniques.

Sauf que ceux qui soutiennent ces analyses ont oublié ou feignent de le faire que le «rôle des médias nationaux dans cette phase cruciale que traverse actuellement le pays est d’une importance stratégique».

Le Chef de l’Etat a été, lors de la rencontre qu’il a eue avec les responsables des médias nationaux, on ne peut plus clair, précis et tranchant.

Il a souligné, en effet, : «La lutte pour la libération nationale n’est pas un simple slogan, mais un combat mené sur plusieurs fronts dont l’un des plus importants est celui des médias».

Donc, les choses sont maintenant tirées au clair et il n’y a plus de place pour les hypothèses ou pour les pronostics qui sont allés, dans certains cas, jusqu’à la suppression pure et simple des médias nationaux (radio, TV et journaux du secteur public) et n’hésitant pas à prêter aux plus hautes autorités de l’Etat l’intention de se contenter des réseaux sociaux en vue d’éclairer les Tunisiens sur ce qui se passe dans leur pays ou sur les programmes d’avenir que le gouvernement envisage de mettre au point en concrétisation des promesses et des engagements pris par le Chef de l’Etat aussi bien à l’occasion du lancement du processus du 25 juillet 2021 qu’à celle relative à l’élection présidentielle du 6 octobre 2024.

Une partie intégrante de l’histoire de la Tunisie

Comme à son habitude, Kaïs Saïed a rappelé le rôle hautement militant joué, pendant le combat pour l’indépendance, par la presse écrite (en premier lieu La Presse et Essabah).

Ces deux quotidiens qu’on disait, il n’y a pas longtemps, en voie de disparition «font partie intégrante, souligne le Président de la République, de l’histoire du pays». Il ajoute : «Aucune tentative ne pourra les éradiquer ou les marginaliser».

Ces publications relevant du secteur public ainsi que la radio, la TV nationale et les radios régionales poursuivront leur combat quotidien en vue de faire triompher les idéaux de justice, de liberté et de dialogue et de s’opposer aux «forces réactionnaires mues par l’injustice et la corruption».

Encore une fois, le Chef de l’Etat réaffirme, haut et fort, sa conviction que la presse nationale, en premier lieu les médias publics, a l’obligation et aussi les compétences requises pour assumer sa part dans la consécration des mutations qui traversent le monde aujourd’hui avec l’ambition de faire du soutien des justes causes un comportement de tous les jours.

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Tunisie : transformer le poste-frontière de Ras Jedir en porte d’entrée vers l’Afrique

Le projet de modernisation du poste-frontière de Ras Jedir, situé au sud-est de la Tunisie, a été lancé récemment, visant à le transformer en une porte d’entrée vers l’Afrique, conforme aux normes internationales.

Ce projet a pour objectif d’améliorer l’efficacité des services de toutes les parties prenantes afin de garantir un passage optimal pour les voyageurs, dans des conditions de confort, de sécurité et de sûreté.

Les détails de ce projet ont été abordés lors d’un atelier organisé mardi dernier à Tunis, sous l’égide de la Chambre de commerce et d’industrie de Tunis, en collaboration avec des acteurs économiques. L’atelier s’est concentré sur la révision de l’accord de reconnaissance mutuelle des certificats de conformité pour les produits exportés vers le marché libyen, un enjeu majeur pour renforcer l’intégration économique et commerciale entre la Tunisie et la Libye.

La modernisation du poste-frontière de Ras Jedir vise à en faire une plateforme logistique internationale, conformément aux standards mondiaux et aux meilleures pratiques du secteur. Ce projet entend renforcer l’intégration commerciale entre la Tunisie, la Libye, et les pays de l’Afrique subsaharienne, tout en appliquant les normes internationales pour fluidifier le commerce de biens et services.

Les autorités ont également présenté le projet à la Secrétariat de la COMESA et de la ZLECAF, avec une demande officielle d’intégrer ce projet dans les programmes de corridors commerciaux transfrontaliers africains, dans le cadre du développement et de la réhabilitation des postes-frontières des pays membres. Ce projet a obtenu un soutien initial, et les études de faisabilité sont en cours.

Pour rappel, la circulation commerciale à travers le poste-frontière de Ras Jedir a connu une baisse notable de 28,7 % des exportations en octobre 2024, en raison de la fermeture temporaire du poste en mars 2024. Toutefois, en 2023, le poste a enregistré un trafic de près de 9,000 voyageurs par jour, et la circulation des passagers a connu une nette augmentation entre 2018 et 2022, atteignant 2,9 millions de voyageurs en 2022, contre 1,8 million en 2021.

Cependant, plusieurs défis subsistent : le manque d’espaces de passage suffisants, des infrastructures insuffisantes et un manque de stations de recharge pour camions, ainsi que l’absence d’installations sanitaires pour les voyageurs. Ces problèmes doivent être résolus pour améliorer l’expérience des usagers.

Le programme de reconnaissance des certificats de conformité, signé entre la Tunisie et la Libye depuis 2005, a contribué à réduire les formalités administratives et à harmoniser les procédures commerciales entre les deux pays, facilitant ainsi l’exportation et le commerce transfrontalier. Ce programme a permis de rationaliser les processus et de renforcer le rôle des points de contact pour surmonter les obstacles techniques.

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Tunisie – Budget 2025 : 5 millions pour l’achat de génisses

Le Parlement a adopté, ce mercredi à la mi-journée, l’article 28 du projet de loi de finances 2025, après y avoir apporté des modifications.

Ce dernier prévoit désormais la répartition d’un budget de 10 millions de dinars, initialement alloué au développement du secteur bovin, en deux volets :

• 5 millions de dinars pour soutenir le financement autonome via des prêts bancaires destinés à l’acquisition de génisses gestantes, qu’elles soient d’origine locale ou importées.

• 5 millions de dinars pour une subvention exceptionnelle en faveur des petits éleveurs locaux, répartie comme suit :

• Une prime de 1.000 dinars par génisse élevée par l’agriculteur.

• Des primes additionnelles : 200 dinars lors de la naissance d’une femelle (sous réserve d’un marquage officiel), 300 dinars lors de son premier anniversaire, 200 dinars après la première insémination, et 300 dinars à la première mise bas.

Les bénéficiaires de ces subventions doivent s’engager à conserver les bêtes pendant une durée minimale de cinq ans. En cas de non-respect de cette obligation (par exemple, une vente anticipée), ils seront tenus de rembourser les montants perçus au Fonds de développement de la compétitivité dans le secteur de l’agriculture et de la pêche.

La séance plénière, à laquelle assistait la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, a également été marquée par des propositions visant à renforcer le soutien aux petits éleveurs. Ces suggestions ont été discutées en tenant compte de leur impact financier sur le budget de l’État.

En parallèle, le Parlement a validé l’article 29 du même projet de loi, relatif au soutien à la Société des viandes pour répondre aux besoins du marché. Les propositions visant à inclure la viande de volaille parmi les produits achetés par la société ont été rejetées, jugées non conformes aux dispositions de la loi organique sur le budget (article 49) et de la Constitution (article 69).

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Tunisie : Le revenu des ouvrières agricoles exonéré d’impôt pendant dix ans

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté lors d’une plénière tenue, mercredi, au Palais du Bardo, l’amendement de l’article 14 relatif à la durée de l’exonération de l’impôt sur le revenu des ouvrières agricoles.

L’article 14 amendé prévoit la promulgation de l’exonération de l’impôt sur les revenus des ouvrières agricoles qui bénéficient des interventions du Fonds de sécurité sociale qui leur est réservé, pour une période de 10 ans, à compter du 1er janvier de l’année pendant laquelle elles ont commencé de bénéficier des interventions du fonds, au lieu de 5 ans prévus auparavant .

Les députés ont souligné que l’amendement proposé vise à soutenir davantage les ouvrières agricoles, à améliorer le niveau de leur revenu et à réduire la pression fiscale sur elles. Et d’expliquer que la prolongation de l’exonération à 10 ans a été proposée vu que l’Etat n’est pas parvenu, à ce jour, à déterminer le nombre d’ouvrières dans le pays afin d’entamer l’application de la loi en question, outre les freins administratifs qui pourraient priver cette catégorie de bénéficier de cet avantage pendant toute la période déterminée.

Pour sa part, la ministre des Finances, Sihem Nemsia a exprimé l’appui de son département à cet amendement vu l’intérêt accordé par le gouvernement aux ouvrières agricoles compte tenu de leur rôle dans la société.

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Tunisie – Grippe saisonnière : les sujets à risque doivent se faire vacciner

Le ministère de la Santé a appelé mercredi les personnes atteintes de malades chroniques, les femmes enceintes, les personnes âgées et les enfants atteints de maladies chroniques à se faire vacciner contre la grippe saisonnière.

Dans un communiqué publié aujourd’hui, le ministère rappelle la nécessité de la vaccination surtout avec la prévalence du virus de la grippe saisonnière (H3N2) depuis le début du mois de novembre courant précisant que ce virus est inclus dans la composition du vaccin disponible actuellement.

Le ministère de la Santé a souligné qu’en suivant un certain nombre de mesures simples, il est possible d’éviter les infections et de passer un hiver sain et sûr, rappelant à cet égard la nécessité de se laver les mains régulièrement et d’utiliser des mouchoirs en papier en cas de toux ou d’éternuement, ainsi que d’aérer la maison tous les jours.

Le ministère de la Santé a également insisté sur la nécessité de consulter un médecin en cas d’essoufflement ou de température élevée persistante, et de protéger les nourrissons en évitant de les exposer à des infections et de les embrasser pas sur la bouche ou le nez.

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Transport : Les problèmes sont dus au manque d’investissement et de maintenance depuis 6 ans et plus

« Les problèmes du transport dans les régions résulte du manque d’investissement dans le secteur depuis 6 à 8 ans, avec une absence de la maintenance nécessaire de la flotte de bus », a affirmé le ministre du Transport, Rachid Amri, lors d’une visite effectuée, mardi, dans le gouvernorat de Gafsa.

Il a déclaré aux médias que son département oeuvre à solutionner les problèmes de la société régionale de transport « El-Kawafel », de Gafsa pour qu’elle assure le transport des élèves et des citoyens dans des bus en bon état et en respectant les horaires. L’objectif étant, aussi, de faciliter les opérations de visite technique.

S’agissant de la reprise des activités de l’aéroport Gafsa/Ksar, le ministre a rappelé que ses activités étaient liées à celles de la société Tunisair Express, qui connait actuellement des problèmes.

En attendant, des partenariats seront établis avec la Compagnie des phosphates de Gafsa et le Groupe chimique afin de garantir la rentabilité de cette ligne aérienne, a-t-il dit.

Cependant, la solution réside, selon Amri, dans le développement des lignes de chemin de fer. « Le ministère oeuvre à garantir la pérennité de ces services ».

Il a par ailleurs, encore, indiqué que son département oeuvrera à résoudre le problème relatif à la création d’une station de transport terrestre, laquelle demeure liée au changement de la vocation du terrain qui lui est destiné, notant que cette mission a été confiée à la municipalité de la région.

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Tunisie – PLF 2025 : Nemsia s’oppose à la prolongation du programme spécifique du départ anticipé la retraite avant l’âge légal

L’Assemblée des Représentants du Peuple(ARP) et le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD) ont repris, mercredi 27 novembre 2024, la séance plénière commune, consacrée à l’examen et l’adoption des articles du projet de Loi de Finances (PLF) 2025, en présence de la ministre des Finances, Sihem Nemsia.

Les députés ont entamé la séance par l’adoption de l’article 12 relatif à la prolongation du programme spécifique du départ anticipé à la retraite avant l’âge légal pour couvrir la période jusqu’à 2028 au lieu 2027.

Au cours de son intervention, la ministre des Finances a estimé que cette mesure devrait alourdir le fardeau de l’État car elle couvrira la charge des coûts d’exécution et des pensions. Cette mesure coûterait, selon elle, 240 millions de dinars par an au budget de l’État.

Elle a exhorté, à cette occasion, les députés à ne pas prolonger ce programme et à limiter son application à une durée de trois ans, soit jusqu’en 2027. L’ARP a déjà adopté, mardi après-midi, en plénière commune, au Palais du Bardo, l’intitulé du Projet de Loi de Finances 2025 ainsi que les missions et missions spéciales inscrites dans le cadre du projet de budget de l’Etat pour l’année 2025.

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Tunisie : Riadh Hentati nommé PDG de de la cité médicale les Aghlabides à Kairouan

Riadh Hentati, ingénieur général, est nommé président-directeur général de l’Etablissement de la cité médicale les Aghlabides à Kairouan par décret n° 2024-594 du 25 novembre 2024 publié aujourd’hui au Journal officiel de la République tunisienne (JORT).

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Tunisie – Sfax : l’hôpital de campagne de Bir Ali Ben Khalifa entrera en service jeudi prochain

L’hôpital de campagne de Bir Ali Ben Khalifa, dans le gouvernorat de Sfax, entrera en service jeudi prochain et assurera des consultations médicales spécialisées et des interventions chirurgicales, a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Selon la même source, le directeur général de la santé et des chefs de services médicaux et chirurgicaux des hôpitaux universitaires de la région ont effectué hier mardi une visite d’inspection sur les lieux pour s’assurer de la disponibilité des équipements médicaux et des conditions d’accueil et d’hospitalisation.

Par ailleurs, la délégation sanitaire a visité l’hôpital militaire universitaire de Thyna pour prendre connaissance de l’état des services transférés de l’hôpital Hédi Chaker, notamment les services des maladies infectieuses, de médecine interne, des maladies endocriniennes et du diabète.

Le déplacement de ces services à l’hôpital de Thyna s’inscrit dans le cadre des préparatifs pour la rénovation de l’hôpital Hédi Chaker et le développement du système de santé dans le gouvernorat de Sfax et ce, en application aux instructions de la Présidence de la République.

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, avait effectué une visite dans le gouvernorat de Sfax le 12 novembre 2024 et il s’était engagé à installer un hôpital de campagne chirurgical multidisciplinaire, à rouvrir les services fermés de l’hôpital de la délégation de Bir Ali Ben Khalifa et à lancer les procédures juridiques à l’encontre de tout responsable derrière le retard dans la réalisation du projet de l’hôpital de Bir Ali Ben Khalifa.

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Tunisie : l’importateur de pommes de terre placé en détention provisoire

Le porte-parole du tribunal de première instance de Sousse, Wissem Cherif, a annoncé que le ministère public a ordonné la mise en détention provisoire de l’importateur d’une cargaison de pommes de terre débarquée récemment au port commercial de Sousse. Cette mesure intervient dans le cadre des investigations visant à élucider les circonstances de cette importation.

Une enquête avait été ouverte plus tôt par le ministère public, qui a confié l’affaire à la brigade de police judiciaire de Sousse Ville. L’objectif est de déterminer les détails liés à l’importation de cette cargaison, en provenance de Turquie, ainsi que d’éventuelles irrégularités.

Selon une source officielle au port, un navire a accosté mercredi dernier avec à son bord 2.758 tonnes de pommes de terre importées de Turquie pour le compte d’une entreprise privée tunisienne. Ces quantités étaient destinées à être réparties dans plusieurs marchés de gros de fruits et légumes, notamment à Sousse, Kairouan, Mahdia, Jem et Tunis.

Cette affaire suscite de nombreuses interrogations sur les procédures de contrôle appliquées aux importations et sur l’impact potentiel sur les marchés locaux.

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Tunisie – Météo : un temps partiellement nuageux et des températures en hausse

Le mercredi 27 novembre 2024, le ciel sera partiellement nuageux sur l’ensemble du territoire. Les vents souffleront du secteur ouest, faibles à modérés, offrant un temps relativement calme. La mer sera quant à elle peu agitée, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM).

Les températures enregistreront une hausse relative. L’après-midi, elles varieront entre 20 et 22 degrés dans les régions du nord et atteindront jusqu’à 23 degrés dans l’extrême sud-ouest.

Le matin, les températures seront plus fraîches, oscillant entre 13 et 17 degrés dans le nord et le centre, tandis qu’elles atteindront environ 16 degrés à l’extrême sud-ouest.

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Rencontre avec Ibrahima Sarr et Balla Diop: «Ancrée dans son environnement local avec une dimension universelle»

«Médecin après la mort», une création théâtrale du Sénégal sur un monde qui va mal, elle concourt avec 11 autres pièces, issues du monde arabe et d’Afrique, pour le grand prix du festival, le Tanit d’Or.v


Le Sénégal est dans la course aux Tanits des 25es Journées théâtrales de Carthage (JTC) avec la pièce « Médecin après la mort», mise en scène par Ibrahima Sarr et écrite par Balla Diop.

Dans une interview avec l’agence TAP, à l’issue de la deuxième séance de leur spectacle, dimanche soir, au théâtre du Rio, Ibrahima Sarr et Balla Diop se sont confiés sur leur inspiration et les étapes ayant abouti à cette création, à vocation universelle, sur un monde qui va mal.    

Présentée exclusivement aux JTC, la pièce est produite par la compagnie «Rescap’Art» qui est de retour aux JTC pour la quatrième fois. «Médecin après la mort» concourt avec 11 autres pièces, issues du monde arabe et d’Afrique, pour le grand prix du festival, le Tanit d’Or.


Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 27 novembre 2024

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Pénurie persistante de pommes de terre: Que se trame-t-il dans les souks ?

Cers derniers jours, l’on a bien constaté de visu la rareté extrême de la pomme de terre sur les étals de nos marchés. L’approvisionnement de ce produit nécessaire à la préparation de plusieurs repas fait encore défaut, en raison des pratiques spéculatives sans scrupules et des commerçants agissant hors-la-loi.


La pomme de terre défraye la chronique en Tunisie, ces dernières semaines. Pas un jour ne passe sans qu’on apprenne une nouvelle, l’une plus invraisemblable que l’autre. Il y a de quoi s’inquiéter !

Et pour cause. Saisie de 2.780 tonnes de pommes de terre avariées au port de Sousse, cherté du prix au kilogramme constant à plus de 3 D, malgré les promesses des responsables et décideurs que le prix allait redescendre, étant donné que le marché serait réapprovisionné et donc de nouveau ajusté et équilibré et plus encore. Que nenni ! Rien de tout cela, bien au contraire.


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Sécurité alimentaire: Quand on veut, on peut !

Le projet d’appui d’urgence à la sécurité alimentaire aura une série d’objectifs qui aideront à combattre le problème de l’insécurité alimentaire, tout en renforçant l’économie et l’autosuffisance de la Tunisie.


En mars 2024, le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé deux prêts d’une valeur de 520 millions de dollars pour renforcer l’économie tunisienne. Ces prêts devraient être utilisés pour le financement de deux projets visant à lutter contre l’insécurité alimentaire et à réduire les inégalités régionales en Tunisie. Un taux de chômage élevé, une sécheresse de cinq ans et la dépendance du pays à l’égard des importations agricoles ont amplifié les taux d’inflation (6,7% en octobre dernier) et entraîné de nombreuses pénuries alimentaires dans le pays. Le projet d’appui d’urgence à la sécurité alimentaire (Pausat) aura une série d’objectifs qui aideront à combattre le problème de l’insécurité alimentaire, tout en renforçant l’économie et l’autosuffisance de la Tunisie. Le second prêt se concentrera sur le projet de corridor de développement économique de la Tunisie. Il portera sur l’infrastructure urbaine le long du corridor Kasserine-Sidi Bouzid-Sfax.


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Patrimoine de Djerba: Le gouvernement tunisien accélère la mise en œuvre des recommandations de l’UNESCO

Le Chef du gouvernement, Kamel Madouri, a présidé, ce mardi 26 novembre 2024, au Palais du gouvernement à la Kasbah, un conseil ministériel restreint consacré au suivi de la mise en œuvre des recommandations du Comité du patrimoine mondial concernant le bien culturel « Djerba : témoin d’un mode d’aménagement dans un espace insulaire », inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis le 18 septembre 2023.

Dans son discours d’ouverture, le Chef du gouvernement a rappelé l’importance stratégique de préserver le patrimoine culturel, qu’il soit matériel ou immatériel, en tant que richesse nationale et levier de souveraineté. Il a insisté sur la nécessité de garantir la conservation de ce patrimoine pour les générations présentes et futures, conformément à la vision du Président de la République.

Le Chef du gouvernement a également mis en avant l’urgence de renforcer le cadre juridique de protection et de gouvernance pour le bien inscrit, tout en mobilisant les ressources nécessaires pour respecter les engagements pris envers l’UNESCO.

Mobilisation générale pour un enjeu national et mondial

Kamel Madouri a appelé à une mobilisation totale des parties prenantes afin d’assurer une gestion optimale du patrimoine de Djerba. Ce dernier est considéré non seulement comme un symbole essentiel de l’identité culturelle locale et nationale, mais également comme un bien universel, nécessitant une valorisation, une gouvernance durable et des mécanismes de financement à long terme.
Lors de la réunion, la ministre des Affaires culturelles a présenté un rapport détaillé sur les composantes du bien culturel, l’état d’avancement des travaux et les actions à venir pour répondre aux recommandations du Comité du patrimoine mondial.

Le conseil ministériel a adopté une série de mesures concrètes pour accélérer la mise en œuvre des recommandations:
1. Établir un calendrier précis pour les prochaines interventions, respectant les délais fixés par la Tunisie dans ses engagements envers l’UNESCO.
2. Renforcer la protection juridique de tous les éléments du bien, tout en améliorant son système de gouvernance et en identifiant des sources de financement durable.
3. Soumettre des rapports techniques réguliers au Centre du patrimoine mondial pour démontrer l’état d’avancement des projets.
4. Coordonner les efforts des ministères concernés afin d’assurer une mise en œuvre rapide et efficace des recommandations du Comité du patrimoine mondial.
5. Instaurer une gouvernance centralisée au sein du ministère de la Culture pour piloter le projet, en tenant compte des responsabilités et missions des différentes parties prenantes.

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Mohamed Ali Nafti: La Tunisie refuse d’être une plateforme pour les migrants irréguliers

Le Ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a souligné la disposition de la Tunisie à participer à tous les efforts internationaux visant à traiter la migration irrégulière.

A l’occasion de la participation de la Tunisie à la 115e session du Conseil de l’Organisation Internationale pour la Migration (OIM) tenue à Genève le 26 novembre 2024, Nafti a exprimé le soutien de la Tunisie aux voies de la migration régulière conformément à ses priorités et aux moyens de « limiter l’hémorragie des talents qui constituent une richesse nationale dont nous avons absolument besoin pour faire face aux défis du développement durable et des transformations numériques et environnementales », lit-on dans un communiqué du département.

Nafti a réitéré la position ferme de la Tunisie à l’égard du phénomène croissant de la migration illégale et rejeté toutes les tentatives visant à faire du pays une plateforme de transit ou de résidence temporaire ou permanente pour les migrants irréguliers.

Le Ministre a passé en revue les principaux piliers de l’approche nationale visant à traiter les causes profondes de ce phénomène conformément à la vision exposée par le Président de la République, appelant toutes les parties intervenantes à s’engager activement et sérieusement dans les efforts de coopération fondés sur le principe de la responsabilité partagée et le respect de la souveraineté nationale, lit-on de même source.

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