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CAN U17 – Quarts de finale – Tunisie- Mali (Ce soir à 20h00) : Avec le même allant !

Terminant deuxième de son groupe et clôturant le premier tour sur une défaite, le Mali reste un adversaire redoutable. A nos jeunes de poursuivre sur leur lancée pour que l’aventure ne s’arrête pas en si bon chemin.

Maintenant que la qualification à la Coupe du monde U17 est dans la poche, nos jeunes internationaux aborderont les quarts de finale de la CAN avec l’état d’esprit de ne rien à perdre et tout à gagner pour aller le plus loin possible dans ce tournoi rien que pour s’aguerrir et gagner en expérience. 

Pour Slim Bouasker et ses camarades, cette Coupe d’Afrique des Nations est une opportunité qui se présente à eux pour vivre l’expérience d’un tournoi de grande envergure. C’est aussi l’occasion de commencer à se faire un petit nom et monnayer leur talent dans la perspective de signer un bon contrat professionnel d’autant que dans ce genre de tournois continentaux, les recruteurs des grands clubs sont assis sur les gradins à scruter les talents en herbe. Une chance inouïe pour démarrer une carrière professionnelle. 

Franchir un nouveau palier 

Le premier tour étant disputé avec succès avec une large victoire en match d’ouverture contre la Somalie (3-0), accrochant par la suite le Sénégal tenant du titre (0-0) avant de terminer leader de son groupe à la faveur de sa victoire devant la Gambie (2-1). Pour l’équipe de Tunisie U17, la mission de l’étape initiale de la CAN est accomplie étant donné qu’elle s’est qualifiée et pour les quarts de finale du tournoi et pour la Coupe du monde au Qatar.

Pour la seconde étape de la CAN, les poulains de Mohamed Amine Neffati sont appelés à franchir un nouveau cap : poursuivre l’aventure continentale en commençant par décrocher leur billet pour les demi-finales. Leur adversaire du jour, le Mali, est certes abordable au vu de son parcours au premier tour à l’issue duquel il a terminé deuxième de son groupe D derrière la Côte d’Ivoire, mais il faut le prendre au sérieux.

Le Mali est sans aucun doute un adversaire qui force le respect. Ceci dit, l’entraîneur national, Mohamed Amine Neffati, sera privé ce soir des services du milieu défensif Ilyes Dhaoui, expulsé dans le temps additionnel contre la Gambie. Le reste du groupe est à sa disposition, le gardien de but Slim Bouasker et les acteurs de la victoire devant la Gambie, Yessine Ben Mahmoud et Anis Saidi, notamment.

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Ligue des champions – Tenue en échec, l’EST éliminée : Une défaillance tactique…

Les attaquants “sang et or” auront tout essayé. Achraf Jabri a même logé la balle dans les filets, mais il s’est vu refuser le but après recours à la VAR pour quelques centimètres. A Radès, les “Sang et or” ont payé cher le retard de la manche aller perdue à Prétoria. 

Miguel Cardoso a peut-être dénaturé le jeu de Mamelodi Sundowns, moins porté vers l’offensive et beaucoup moins spectaculaire que la saison dernière quand l’équipe était dirigée par Rhulani Mokwena. Il a réussi, en revanche,  à éliminer l’Espérance, une équipe qu’il connaît parfaitement pour l’avoir dirigée jusqu’en octobre dernier : “Contenir Belaïli, c’est bloquer 60 % de la capacité offensive de l’Espérance. Tout le jeu de l’Espérance est axé sur Youssef Belaïli. On compte sur son opportunisme et sa capacité individuelle à faire la différence. D’ailleurs, je connais parfaitement les qualités individuelles de tous les joueurs espérantistes. C’est pourquoi notre dispositif défensif a été efficace à tous les niveaux”. 

En quelques mots, le technicien portugais a exposé, après coup évidemment, sa stratégie qui lui a permis de bloquer la machine offensive espérantiste : imposer un pressing soutenu sur Youssef Belaïli, à l’aller comme au match retour. A chaque fois que l’ailier gauche algérien prend le ballon, trois joueurs de Mamelodi Sundowns lui collent à la peau. L’arrière droit, Khuliso Mudau,  en particulier, dont la mission était de ne pas le lâcher d’une semelle, même quand il était sans ballon. 

Le bloc bas, un plan classique

A Radès, Miguel Cardoso a opté pour un schéma classique pour préserver l’avantage du but obtenu à l’aller : jouer le bloc bas, créer le surnombre en phase défensive en se recroquevillant dans sa moitié du terrain et opérant par des contres quand l’occasion se présentait. D’ailleurs, les tentatives sud-africaines se comptent sur les doigts d’une seule main, trois tout au plus dont les deux les plus dangereuses ont été enregistrées en première mi-temps : un tir de Lucas Ribeiro Costa qui passe légèrement à droite (42’) et la grosse frappe de Marcelo Allende qui s’écrase sur la transversale (44’).

Les regrets de Kanzari

Maher Kanzari ne peut que regretter amèrement l’élimination en Ligue des champions au stade des quarts de finale, même s’il se dit avoir fait une bonne première mi-temps : “La période initiale était plutôt correcte. Deux occasions se sont présentées à nous, la première de Tougaï repoussée par le gardien de but, puis la grosse tentative de Rodrigues. Si l’une de ces occasions avait été concrétisée, nous serions revenus à un but partout”.

L’entraîneur “sang et or” reconnaît que ses joueurs et lui ont mal négocié la fin du match: “Nous avons bien débuté la deuxième mi-temps qui a constitué notre moment fort du match, concrétisé par le but de Jabri, refusé malheureusement après le recours à la VAR. Mes joueurs ont été affectés par le refus du but et nous n’avons pas su surmonter cela. De surcroît, nous avons mal géré la fin de la rencontre. Cela dit, hors-jeu ou pas, le gardien de but de Mamelodi Sundowns méritait un carton rouge pour avoir commis une grosse faute sur Jabri”. 

Bref, Maher Kanzari a perdu tactiquement son match contre Miguel Cardoso. En football, il ne suffit pas de mener en long et en large pour se qualifier à un stade avancé d’une compétition de grande envergure de la trempe de la Champions League. 

Enfin, l’Espérance a payé le tribut de son instabilité technique : trois entraîneurs depuis le début de la saison dont Cardoso qui la connaît parfaitement, sans compter l’intérim de Skander Kasri. C’est trop en un seul exercice.

Il y a aussi la méforme de Rodrigo Rodrigues qui, revenant de blessure, n’a pas encore retrouvé tous ses repères. Un petit rendement durant la première mi-temps qu’il a disputée avant d’être remplacé par Achraf Jabri. Lui aussi ne peut pas jouer un match entier. 

Maintenant que le mal est fait, il sera judicieux de prendre le temps de la méditation et de préparer dès maintenant la Coupe du monde des clubs en évitant de faire les erreurs commises en Champions League. 

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