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Le lait en poudre va-t-il remplacer le lait frais dans les cafés et hôtels ?

Lors de l’examen par l’ARP et le CNRD du projet de loi de finances pour l’année 2025, la ministre des Finances, Sihem Nemsia, a affirmé que l’article 36 du PLF 2025 concernant l’allègement de la taxe sur le lait en poudre constitue une mesure incitative pour les industriels afin de favoriser sa production. Ce qui permettra de réduire la pression sur la production et la distribution de lait frais pour la consommation des ménages, en particulier pendant la période de forte lactation.

La ministre a déclaré que l’allègement ou l’annulation des taxes sur l’importation du lait en poudre demi-écrémé et écrémé permettrait d’accroître les importations de lait en poudre, principalement destiné aux cafés, aux salons de thé et aux restaurants.

Elle ajouté que l’approvisionnement en lait en poudre sera cependant soumis à une autorisation du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, et ce conformément à un programme annuel de quotas, rapporte La Presse de Tunisie.

Concernant les taxes liées à la transformation des produits agricoles, la ministre a souligné que la production agricole et la pêche en Tunisie sont exempts de TVA, tandis que le dosage et l’emballage des produits agricoles sont soumis à une TVA de 7 %…

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PLF 2025 : S.Nemsia promet une baisse de l’endettement de la Tunisie en 2025

La ministre de Finances Sihem Boughdiri Nemsia a indiqué, mardi 25 novembre lors de la plénière commune, entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD), sur le projet de loi de finances de l’année 2025, que le taux d’endettement de la Tunisie par rapport au Produit intérieur brut (PIB) poursuivra sa tendance baissière. Et  ce, pour passer de 82,23 % en 2024 à 80,46 % en 2025 et 76, 39 % en 2027.

Mme Nemsia souligne que le gouvernement œuvre, selon les orientations du projet de loi de finances de l’année 2025, à atteindre ces objectifs à travers l’amélioration du résultat primaire du budget et la maîtrise du coût de la dette publique. Ainsi que par la baisse progressive du déficit budgétaire qui devrait passer de 6,3 % du PIB en 2024, à 5,5 % en 2025. Et de poursuivre que le déficit budgétaire enregistrera une régression de 4,7 % en 2026 et de 3,6 % en 2027.

La ministre souligne donc que ceci exige la concrétisation de quelques indicateurs. Et notamment la réalisation d’un taux de croissance dans la limite de 3,2 % en 2025. Mais aussi la préservation de la stabilité de la valeur du dinar, la réduction du volume de la dette extérieure pour éviter l’impact des cours de change et le recours à l’endettement intérieur.

Elle a souligné que tous ces facteurs contribueront à réduire les besoins de financement de 17,1 % du total du PIB en 2024, à 15,4 % en 2025, 12 % en 2026, pour atteindre 10 % en 2027.

Enfin, Mme Nemsia a précisé que le projet de loi de finances 2025 traduit une vision claire du projet social de l’État, en vue d’atteindre l’équilibre entre les dimensions économique et sociale, ainsi que le développement durable. Ce projet s’inscrit dans le cadre une vision sur le long terme conforme à la réalité du pays et aux changements mondiaux et régionaux.

Avec TAP

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Voici ce qui va changer dans la LF2025, après révision

Voici les principaux articles inclus dans le projet de loi de finances modifié, au titre de l’année 2025, dont l’examen a été entamé, lundi 25 novembre par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD). L’article 12prévoit en effet la prolongation du programme spécifique du départ anticipé […]

Tunisie : les créateurs de contenus sur le web dans le collimateur des services d’impôts

Les influenceur,se.s et créateur.rice.s de contenus via les réseaux sociaux, comme Instagram, TikTok et Youtube, sont dans leur écrasante majorité des évadés fiscaux que les autorités cherchent à débusquer et à faire payer l’impôt sur le revenu comme le reste des contribuables tunisiens.

Selon la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, qui intervenait hier, mardi 12 novembre 2024, lors de la séance plénière au parlement consacrée à la discussion du budget de l’Etat pour 2025, son département a mis en place une importante base de données relative à plusieurs activités non déclarées aux services fiscaux, et créé une cellule en charge de collecter et d’exploiter les informations relatives aux personnes s’adonnant à des activités rémunératrices sur les réseaux sociaux, tels que les influenceur.se.s et les créateur.rice.s de contenus.

Le contrôle fiscal de cette catégorie de contribuables, longtemps restés loin des radars du service d’impôt, a rapporté aux caisses de l’Etat plus de 15 millions de dinars, un chiffre en constante hausse.  

Une application a d’ailleurs été mise en place qui permet d’envoyer automatiquement des avertissements aux personnes imposables qui n’ont pas remis leurs déclarations fiscales aux services d’impôt pour les rappeler à leur devoir.

Les avertissements envoyés via cette application ont atteint quelque 45 000 a indiqué la ministre, ce qui donne une idée de l’ampleur du manque à gagner du trésor public lié aux recettes que réalisent certains acteurs économiques restés jusque-là en dehors du système.

On aimerait voir les milliers de personnes qui opèrent dans la contrebande et le marché parallèle, et qui représentent, selon certaines estimations, entre 40 et 50% du PIB, payer eux aussi leur impôt. Ce qui n’est malheureusement pas encore le cas, puisque ce sont les opérateurs du marché formel qui casquent aujourd’hui pour eux, avec des taux d’imposition pouvant atteindre jusqu’à 40% de leurs revenus.

I. B.

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Vente de tabac : Sihem Boughdiri dément les rumeurs

La ministre des Finances Sihem Boughdiri Nemsia dément l’annulation des licences de vente de tabac et évoque des solutions pour le centre de Ksar Saïd

Lors de la séance plénière au Parlement, le mardi 12 novembre 2024, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, a formellement démenti l’annulation des autorisations de vente de tabac. Elle a souligné que ces informations étaient infondées et a assuré que les licences de vente de tabac restent en vigueur.

En réponse à la situation du centre de distribution de tabac de Ksar Saïd, fermé à la suite d’un incendie, la ministre a précisé que sa non-réouverture était due à des problèmes de préparation. Elle a insisté sur le fait que cette fermeture était temporaire et a indiqué avoir pris contact avec le ministre de l’Intérieur ainsi qu’avec le responsable de la Régie nationale des tabacs et des allumettes afin de résoudre rapidement ce problème.

Par ailleurs, en ce qui concerne la révision du statut de la radio et de la télévision publiques, Sihem Boughdiri Nemsia a confirmé que plusieurs parties prenantes, y compris son ministère, étaient impliquées dans cette démarche. Elle a ajouté qu’une étude technique avait été menée pour réexaminer le statut des deux institutions publiques et qu’un consensus entre les parties concernées serait bientôt atteint, permettant ainsi de soumettre un projet législatif dans ce domaine.

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Budget 2025: Poursuite de la mobilisation de ressources pour le budget de l’Etat (Ministre des finances)

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont entamé, mardi 12 novembre, au Palais du Bardo, l’examen, en plénière commune, du projet de la mission des Finances, en présence de la ministre de tutelle, Sihem Namsia.

La ministre a précisé que le budget de la mission des finances pour l’année 2025 s’élève à 1390 millions de dinars (MD) en progression de 2,4% par rapport à 2024. Ce budget représente 2,3% du budget de l’Etat 2025. La mission des finances est divisée en cinq programmes opérationnels : douane : 569,601 MD /40,9% du budget de la mission ; recouvrement (292,885 MD / 21,1%) ; comptabilité publique (405 ,677 MD/29,1%) ; services budgétaires (15,128 MD/1,1%) et dette publique (3,401 MD/ 0,3%).

Pour ce qui est des dépenses destinées aux salaires, elles se montent à 1120,8 MD ( 81% de la mission), celles de fonctionnement s’élèvent à 112,565 MD (8%). Les dépenses d’intervention sont de l’ordre de 38,209 MD ( 3%) et celles d’investissement s’établissent à 118,426 MD ( 8%).

La ministre a indiqué que son département va poursuivre la mobilisation de ressources pour le budget de l’Etat, en vue de préserver les équilibres financiers et ce notamment en développant le recouvrement des ressources non fiscales.

Elle a évoqué les objectifs pour 2025, à savoir l’encouragement de l’investissement étranger et le renforcement de la capacité de l’économie nationale à mobiliser des financements étrangers, outre l’adaptation du Code des changes aux exigences des activités liées à l’économie du savoir et à haute valeur ajoutée. Il s’agit de permettre aux jeunes à l’instar de ceux qui travaillent en freelance, d’ouvrir des comptes en devises.

En ce qui concerne le secteur de l’assurance, le cadre réglementant ce domaine va être modernisé pour l’adapter aux normes internationales et ce à travers le parachèvement de la révision du code des assurances pour booster la solidité financière des compagnies d’assurance.

La ministre a également évoqué la transition numérique qui constitue l’un des piliers de la modernisation de l’administration et de l’amélioration de la qualité des services publics pour les citoyens et les entreprises.

Elle a aussi rappelé le lancement, en 2024, de la plateforme électronique «TEJ», dédiée à l’édition des certificats de retenus à la source. La plateforme TEJ s’adresse directement aux grandes et moyennes entreprises, aux experts-comptables, commissaires aux comptes et conseillers fiscaux.

La ministre a parlé du développement des différents systèmes informatiques en matière de finance publique, de fiscalité et de douane, signalant l’achèvement du système informatique de gestion des caisses enregistreuses pour les opérations de consommation sur place.

Pour ce qui est du développement de l’application mobile TUNIMPOT, elle a précisé que cette application téléchargeable gratuitement sur les « smartphones », permet de calculer les impôts et taxes à partir des données introduites par le contribuable, tout en lui rappelant les échéances de dépôt des déclarations et de paiement.

Concernant l’intégration de l’économie parallèle et la lutte contre l’évasion fiscale, Namsia a noté que cette action figure parmi les priorités du gouvernement et que le comité de pilotage, créé à cet effet, œuvre en collaboration avec les différentes parties concernées à traiter les différents aspects de ce phénomène.

Avec TAP

 

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