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Eurostat : l’inflation dans la zone euro à 2,0 % en octobre

L’inflation annuelle dans la zone euro en octobre a atteint 2,0 %, contre 1,7 % en septembre, selon les données définitives d’Eurostat publiées mardi 19 novembre 2024.

Les taux les plus bas ont été enregistrés en Slovénie (0,0%), en Lituanie et en Irlande (0,1%). Les pourcentages les plus élevés ont été enregistrés en Roumanie (5,0%), en Belgique et en Estonie (4,5% chacune).

Par rapport à septembre 2024, l’inflation annuelle a diminué en octobre dans deux États membres, est restée inchangée dans six et a augmenté dans 19 États membres.

La plus forte contribution au taux d’inflation annuel de la zone euro a été apportée par les services (+1,77 point de pourcentage – pp), suivis par l’alimentation, l’alcool et le tabac (+0,56 pp), les biens industriels non énergétiques (+0,13 pp) et l’énergie (-0,45 pp).

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Une nouvelle année de défis énormes pour la zone euro en 2025, selon Goldman Sachs

2025 sera une nouvelle année difficile pour l’économie de la zone euro, prédit, vendredi 15 novembre 2024, Goldman Sachs.

Premièrement, le projet de Donald Trump d’imposer des droits de douane pèsera probablement lourdement sur la croissance, en grande partie à cause de l’incertitude accrue concernant la politique commerciale.

Deuxièmement, les effets négatifs sur le commerce seront probablement exacerbés par les obstacles structurels persistants dans le secteur manufacturier, notamment les prix élevés de l’énergie et les pressions concurrentielles de la Chine.

Troisièmement, la poursuite de l’assainissement budgétaire est attendue dans l’ensemble de la zone euro, explique Goldman Sachs.

En ce qui concerne spécifiquement les droits de douane, le scénario de base de Goldman est que Trump impose des droits de douane ciblés à l’Europe, en se concentrant sur les exportations liées à l’automobile. Il estime que l’augmentation des tensions commerciales réduira le niveau du PIB réel dans la région de 0,5% , y compris les effets sur les revenus réels, la réaffectation des échanges et les compensations politiques.

Il s’attend à ce que la croissance soit concentrée sur une année, à partir du premier trimestre 2025, et culmine au troisième trimestre de l’année prochaine. L’impact cumulé devrait être le plus important en Allemagne (0,6%) et le plus faible en Espagne et en Italie (0,3%).

Son analyse suggère que les conséquences sur le PIB seraient deux fois plus importantes dans un scénario dans lequel Trump imposerait des droits de douane généraux de 10% à l’UE.

Cependant, comme le souligne Goldman, plusieurs raisons expliquent la poursuite de la croissance plutôt que la récession dans la zone euro. La dynamique de croissance reste légèrement positive : la consommation devrait se redresser, compte tenu de la hausse des revenus réels et de l’épargne, et les pays du Sud, comme l’Espagne, la Grèce et le Portugal, devraient faire preuve d’une résilience continue par rapport à ceux du Nord.

« La surperformance économique de l’Espagne, du Portugal et de la Grèce a été impressionnante cette année, tirée par la croissance des services aux entreprises (qui représentent une part plus importante de l’activité totale que dans le Nord), l’augmentation de l’immigration (qui soutient une forte croissance de l’emploi) et le soutien à l’investissement du Fonds de relance. Même si la croissance dans le Sud sera plus faible l’année prochaine, nous constatons une plus grande résilience aux tensions commerciales et pressions concurrentielles de la part de la Chine que celles du Nord », souligne Goldman.

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S&P Global prévoit une baisse des ventes de voitures électriques en 2025

De nouvelles données de S&P Global publiées le 13 novembre 2024 révèlent une détérioration des perspectives pour le marché européen des véhicules électriques à batterie (BEV) en raison de l’évolution des conditions économiques. Entre le premier et le second semestre 2024, les attentes du marché ont été révisées, entraînant une réévaluation des tendances dans l’UE, rapporte l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).

Les chiffres de S&P Global révèlent une révision substantielle à la baisse des prévisions de part de marché des BEV pour 2025, de 27 % au premier semestre à 21 %. Ce recalibrage marque un recul important dans le respect des objectifs d’émissions de CO2 de l’UE pour 2025, directement lié à la pénétration réduite du marché des BEV, suscitant des inquiétudes dans toutes les capitales de l’UE, souligne le communiqué officiel.

Martin Kupka, ministre tchèque des Transports : « Sans un plan d’action industriel ciblé pour l’industrie automobile, nous risquons de prendre du retard sur les États-Unis et la Chine. L’audit montre que l’UE doit disposer d’un système plus flexible pour permettre aux constructeurs automobiles d’atteindre leurs objectifs ambitieux de réduction des émissions de CO2. Nous devons garantir que l’industrie utilise les bénéfices pour investir dans de nouvelles solutions au lieu de payer des amendes ».

Un marché stagnant augmente considérablement les coûts de conformité pour les fabricants, comme le confirment les données de S&P Global. Par exemple, pour atteindre les objectifs d’émissions, ils pourraient avoir besoin de mettre en commun des crédits avec des fabricants chinois et américains, en dirigeant les paiements vers des fabricants non européens au détriment de l’industrie européenne.

L’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) a exhorté les décideurs politiques de l’UE à s’attaquer aux coûts élevés de conformité associés aux objectifs de 2025, qui sont en grande partie causés par des facteurs indépendants du contrôle des constructeurs, tels que le manque d’infrastructures de recharge généralisées et d’incitations au marché des véhicules électriques.

À la lumière des récents défis économiques et géopolitiques, l’ACEA appelle à une réduction urgente des coûts en 2025 et à une révision rapide des normes de CO2 pour les véhicules légers et lourds afin de garantir la compétitivité de l’industrie européenne.

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L’euro touche son plus bas niveau face au dollar depuis fin juin

L’euro est tombé lundi 11 novembre 2024 à son plus bas niveau depuis quatre mois et demi face au dollar. Et ce, sur fond d’inquiétudes des investisseurs concernant d’éventuels droits de douane américains qui pourraient nuire à l’économie de la zone euro.

Le dollar s’est rapproché des niveaux qu’il avait enregistrés immédiatement après les élections présidentielles américaines par rapport aux autres principales devises. Tandis que les marchés se concentraient sur les données et les déclarations de la Réserve fédérale (FED) et recherchaient des indicateurs sur la politique américaine à l’avenir.

La monnaie unique européenne a chuté de 0,3 % à 1,0685 $. Après avoir enregistré 1,0679 $, son plus bas niveau depuis fin juin, selon Reuters. L’indice du dollar a augmenté de 0,3 % à 105,32.

La semaine dernière, l’indice a bondi de plus de 1,5 % à 105,44, son plus haut niveau depuis début juillet, après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine.

Le dollar quant à lui a augmenté de 0,8 % face au yen à 153,82; après avoir reculé par rapport à un pic enregistré la semaine dernière à 154,70. Le 6 novembre, il a atteint 154,68, son plus haut niveau depuis juillet.

Enfin, le dollar face au yuan dans les échanges extérieurs a atteint également son plus haut niveau depuis début août à 7,2131. En hausse de 0,25 %, après avoir bondi de 0,70 % vendredi 8 novembre.

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