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RYBSEN, la startup tunisienne anti-gaspillage de l’eau

RYBSEN. Le nom n’évoque peut-être rien pour vous. Pas pour l’instant en tout cas. Car cette jeune pousse dans la technologie a un bel avenir devant elle.

En effet, RYBSEN est startup fondée il y a une dizaine d’années par Yassine Rezgui qui s’est lancée dans la lutte contre le gaspillage de cette denrée qui se fait de plus en plus rare, surtout en Tunisie, qu’est l’eau, et ce en innovant et en créant de solutions durables en vue d’améliorer son usage.

Et si on parle d’elle de nouveau, c’est parce qu’elle vient de mettre au point une technique appelée “AquaClean », c’est-à-dire « un système de filtration et de recyclage de l’eau spécifiquement conçu pour les imprimeurs, afin de minimiser à la fois le taux de gaspillage et les coûts liés à la gestion de l’eau », rapportent plusieurs sites de la place dont Mosaïque FM.

RYBSEN voudrait donc sensibiliser le domaine de l’imprimerie aux enjeux environnementaux en Tunisie, mais envisage d’étendre ses activités au-delà des frontières tunisiennes, notamment en Algérie et en Côte d’Ivoire.

Pour ce faire, RYBSEN compte établir des partenariats avec d’autres entreprises et institutions dans l’objectif de développer des solutions encore plus innovantes et accessibles, toujours selon notre source.

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Success Story : Rybsen, une startup tunisienne spécialisée dans le recyclage de l’eau

La startup tunisienne Rybsen se présente comme pionnière dans la recherche de solutions durables pour la lutte contre le gaspillage de l’eau, en innovant pour l’optimisation de son utilisation. Il s’agit de filtrer l’eau pour le purifier et le réutiliser.

Le fondateur de Rybsen, Yassine Rezgui, est un ingénieur en informatique formé en France où il a passé 11 ans avant de rentrer en Tunisie en 2011. Après 9 ans d’expérience dans le secteur de la vente d’équipement d’imprimerie, il s’est donné pour mission, à partir de 2015, à travers Rybsen, de créer des solutions pour réduire la consommation de l’eau dans l’imprimerie en particulier et l’industrie en général.

Sa startup a récemment développé AquaClean, un système de filtration et de recyclage de l’eau spécifiquement conçu pour les imprimeurs, afin de minimiser, à la fois, le taux de gaspillage et les coûts liés à la gestion de l’eau.

Ce système dispose d’un brevet d’invention qui va lui ouvrir des perspectives à l’international. Sa devise : «L’impression verte est notre objectif, les avantages sont les vôtres».

Rybsen, qui cherche à sensibiliser le secteur de l’imprimerie aux enjeux environnementaux, a commencé à étendre ses activités au-delà des frontières tunisiennes. Avec avoir installé une dizaine d’installations en Tunisie, la startup est désormais présente en Algérie, au Maroc et en Côte d’Ivoire.

«L’eau est essentielle pour les processus d’impression, mais saviez-vous qu’elle peut aussi être une source de pollution? Chez Rybsen, nous croyons qu’il est temps de repenser notre utilisation de l’eau», explique la jeune startup sur sa page Facebook, tout en proposant ses solutions de recyclage pouvant rendre l’imprimerie plus durable et eco friendly.

La startup cherche, toutefois, à établir des partenariats avec d’autres entreprises et institutions afin de développer des solutions encore plus innovantes et accessibles, et pas seulement dans le secteur de l’imprimerie. En effet, Rybsen a développé des systèmes pour l’industrie textile, polluantes et consommatrice d’eau, et commence à s’intéresser aux huileries.

I. B.

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Programme de Mise à Niveau Industrielle : 116 MD d’investissements approuvés pour quatre entreprises

La commission consultative du programme de mise à niveau industrielle (PMN) des entreprises a approuvé, vendredi, quatre dossiers d’entreprises industrielles d’une valeur globale de 116 millions de dinars (MD) et des subventions de 13 MD.

Ces entreprises opèrent dans les secteurs du Textile et de l’Habillement, des industries pharmaceutiques, des industries agroalimentaires et des composants aéronautiques. Les investissements approuvés permettront de développer la compétitivité des entreprises en question et l’utilisation des nouvelles technologies, a fait savoir le ministère de l’industrie, des mines et de l’énergie, dans un communiqué publié, vendredi.

La réunion de la commission présidée par la Cheffe de cabinet, Afef Chachi, en présence des représentants des ministères de l’industrie, du commerce, de l’économie et de la planification, des finances, de l’environnement et de l’UTICA a permis également d’approuver 105 dossiers d’investissements technologiques prioritaires d’une valeur de 8MD millions de dinars et des subventions d’environ 3MD.

La réunion a permis également d’adopter les travaux de la commission restreinte PMN qui a approuvé de son côté 51 dossiers de mise à niveau d’un montant de 95MD et des subventions de 14 MD.

La jeune réalisatrice tunisienne Nour Ben Salem «privée» des JCC

Malgré son succès dans de nombreux festivals internationaux, le court-métrage ‘‘Palestine Islands’’ du couple tuniso-français Nour Ben Salem et Julien Menanteau n’a pas été inscrit au programme de la 35e édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) qui se tiendront du 14 au 21 décembre 2024. Allez savoir pourquoi !

Ce film est une production franco-jordanienne de 2023. Tourné dans le camp des réfugiés de Awdet, à Amman, il évoque le drame du peuple palestinien à travers une fiction poignante de force et de vérité.  

‘‘Palestine Island’’ a certes déjà été sélectionné plus de 82 fois durant la période 2023-2025, que ce soit en France ou à l’étranger (Amérique du Nord, Suède, Canada, Turquie, Belgique, Koweït, Norvège, Suisse, Italie, Mexique, Inde, Canada, Maroc, Emirats arabes unis, Grèce, Algérie, Tchéquie, Grande Bretagne, Indonésie, Albanie, Australie, Azerbaïdjan, Maroc, Allemagne, Japon, Danemark, Chine, Afrique du Sud et Bahreïn).

Le film a également récolté une vingtaine de prix et de récompenses. Mais sa jeune coréalisatrice tunisienne, Nour Ben Salem, aurait bien aimé le voir projeté dans le plus prestigieux festival de cinéma dans son propre pays. Sauf qu’elle n’appartient pas aux réseaux locaux et n’a pas de copains ou de copines au sein du comité d’organisation des JCC 2024.

Si un film réalisé par une Tunisienne, qui porte sur le drame palestinien, et dont la qualité artistique a été reconnue par plusieurs festivals dans le monde, n’a pas sa place dans le programme des JCC, on se demande sur quels critères se basent la direction de ce prestigieux festival pour établir sa sélection.

Rappelons que Kapitalis a écrit sur ce film et a dit tout le bien qu’il en pense.

I. B.

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Démantèlement d’un réseau de trafic de drogue opérant dans le Grand-Tunis (Vidéo)

La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a annoncé le démantèlement d’un réseau de trafic de drogue opérant dans le Grand-Tunis et l’arrestation de trois de ses membres à Ksar Said. (Vidéo).

Dans un communiqué publié mardi 19 novembre 2024, la DGSN a précisé que l’enquête a été ouverte sur la base d’informations et d’investigations ayant permis d’identifier trois suspects.

En coordination avec le Parquet, des descentes ont été effectuées chez les dealers présumés et la police a pu saisir 16 plaquettes de cannabis, 1 kilo de marijuana, des comprimés d’ecstasy, deux balances électroniques et une somme de 11.710 dinars tunisiens, fruit de ce trafic.

Les trois suspects ont été arrêtés et placés en détention sur ordre du ministère public qui a également émis des mandats de recherche à l’encontre d’autres membres de ce réseau.

Y. N.

*Vidéo

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Coupure de l’eau potable dans certaines avenues dans la ville de Radès (SONEDE)

Une coupure et une perturbation dans la distribution de l’eau potable seront enregistrées, mardi 19 novembre 2024, à partir de 19h00, dans la ville de Radès (gouvernorat de Ben Arous). Et ce, au niveau de l’avenue Habib Bourguiba et de la rue de Carthage, ainsi que de la Cité Mohamed Ali. C’est ce qu’indique la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE), dans un communiqué.

Cette coupure est expliquée par la programmation des travaux de réparation d’une panne, qui est survenue sur le canal principal de distribution (diamètre 500 mm) au niveau de l’avenue Mohamed Ali, de la délégation de Radès

Il est attendu que la reprise de l’approvisionnement en eau potable ait lieu, progressivement, mercredi 20 novembre 2024 à partir de 5h00, après l’accomplissement des travaux.

Avec TAP

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Ateliers à Tunis sur l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire

L’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire sont étroitement liées et leur développement contribue directement à l’augmentation des taux de croissance.

C’est ce qu’ont souligné les experts du secteur lors d’un atelier organisé le 14 novembre 2024 à Tunis à l’initiative du Bureau pour l’Afrique du Nord de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (Uneca) et du bureau d’Onu-Habitat en Tunisie.

«Le stress hydrique a un impact sur l’agriculture et par conséquent sur la sécurité alimentaire et la croissance économique», a expliqué l’économiste Samia Hamouda du bureau sous-régional Afrique du Nord de l’Uneca, soulignant que la Tunisie dépend des importations car 93% de sa consommation est constituée de blé tendre, d’orge et de blé dur.

«La Tunisie a toujours été dépendante de la consommation de céréales, mais avec la dernière crise entre la Russie et l’Ukraine et avec les problèmes de changement climatique et de stress hydrique, il devient urgent de penser de manière intégrée et d’associer l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire dans tous les processus de planification aux niveaux national et local», a-t-elle souligné ? Et d’ajouter : «Nous devons maintenant proposer des politiques et des réformes qui nous aideront à surmonter cette crise», comme il est urgent de revoir la politique agricole pour la rendre plus durable.

L’expert en développement durable Belgacem Ayed a déclaré à l’agence Tap que la sécurité alimentaire est étroitement liée à l’agriculture, qui dépend elle-même de l’eau, ajoutant que le changement climatique rend la situation de plus en plus difficile. «Utiliser de l’eau non conventionnelle signifie dépenser encore plus d’énergie, d’où l’importance d’une approche intégrée du lien entre l’eau, l’énergie et la sécurité alimentaire», a-t-il soutenu.

L’eau saumâtre et l’eau de mer devraient être dessalées et autant d’eau de ruissellement et d’eau purifiée que possible devraient être récupérées pour être utilisées dans l’agriculture et l’irrigation, a déclaré l’expert.

Concernant l’énergie, Ayed a souligné que le taux de dépendance énergétique de la Tunisie est de 53%, préconisant le recours à des solutions nationales et locales pour exploiter les ressources propres du pays (soleil, eau, biomasse, etc.).

La directrice du bureau d’Onu-Habitat en Tunisie, Aida Robbana, a indiqué que son organisation travaille actuellement sur un projet visant à promouvoir la sécurité alimentaire des personnes vulnérables au niveau local, notamment les migrants et les sans-abri, en utilisant une approche communautaire généralement dans deux municipalités. : Tunis et La Marsa. Deux jardins urbains à Tunis et à la Marsa ont déjà été créés dans le cadre du projet, a déclaré Robbana : «Les premiers produits de ces jardins ont été reversés à un restaurant solidaire».

Des experts dans les domaines de l’eau, de l’énergie, de la sécurité alimentaire et du développement, ainsi que des représentants de structures gouvernementales et d’organisations internationales, participent à l’atelier dont le but est de discuter des défis et de présenter des solutions et réformes possibles pour améliorer la sécurité énergétique en Tunisie.

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Béja : Un jeune homme décède dans un naufrage au barrage de Sidi Salem

Béja : Un jeune homme décède dans un naufrage au barrage de Sidi Salem

Une source responsable de la protection civile de Béja a fait savoir, ce dimanche, qu’un jeune homme s’est noyé dans la nuit de samedi suite au naufrage d’un bateau de pêche dans le barrage de Sidi Salem à Testour (gouvernorat de Béja) tandis qu’un autre a survécu après avoir difficilement réussi à s’en sortir. Dans […]

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203 alertes de citoyens concernant un problème lié au droit à l’eau, durant le mois d’octobre 2024 (OTE)

Le site de l’Observatoire Tunisien de l’Eau- OTE (www.watchwater.tn), a reçu, durant le mois d’octobre 2024, 203 alertes de citoyens concernant un problème lié au droit à l’eau, c’est ce qui ressort de la « Carte de la soif », publiée en novembre, par l’OTE.

Le gouvernorat de Sfax arrive en tête avec 35 alertes, suivi de Médenine (23 alertes), Gafsa (17 alertes), Sousse (16 alertes), Nabeul (16 alertes) et Ben Arous (15 alertes). Les alertes concernent, essentiellement, des signalements sur des coupures d’eau potable (148 alertes), et des fuites d’eau (33 alertes). L’Observatoire a fait état, en outre, de 14 mouvements de protestation dans certaines zones.

Il convient de noter que le taux de remplissage des barrages s’est situé au niveau de 20,8%, à la date du 12 novembre courant.

Pour rappel, l’OTE avait déjà alerté, le 27 août 2024, sur la nécessité de décréter l’état d’urgence hydrique, en raison d’un taux de remplissage des barrages qui a chuté à 23,2%.

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