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40 000 ingénieurs ont quitté la Tunisie durant ces cinq dernières années

Le député Fakhreddine Fadhloun est intervenu sur les ondes de Diwan FM pour commenter un sujet d’actualité brûlant : l’initiative parlementaire visant à lutter contre la fuite des cerveaux, une migration des compétences.

Selon Fakhreddine Fadhloun, cette initiative repose sur plusieurs raisons, notamment le coût élevé pour l’État de la formation des médecins, des ingénieurs et des professeurs universitaires. Le président de la commission parlementaire de l’éducation, de la formation, de la recherche scientifique, de la jeunesse et du sport a précisé que 100 000 dinars sont dépensés chaque année pour la formation universitaire des professionnels dans ces domaines. Peut-on passer outre cette fuite des cerveaux avance Fadhloun.

Fakhreddine Fadhloun a souligné qu’il comprend que les enseignants universitaires, les médecins et les ingénieurs cherchent à améliorer leurs conditions de vie. Cependant, il estime que l’État ne peut pas continuer à financer la formation de compétences qui finissent par migrer.

Le député a profité de cette intervention pour mentionner que 4 000 médecins ont quitté la Tunisie au cours des trois dernières années, contre 40 000 ingénieurs en cinq ans. Selon lui, cette vague migratoire aurait débuté en 2011.

La Tunisie a signé un accord pour la venue de médecins chinois l’année dernière. Ce qui, selon lui, ne semble pas logique, étant donné que 900 médecins sont diplômés chaque année en Tunisie.

Fakhreddine Fadhloun a ajouté que les ingénieurs et médecins tunisiens n’auront pas à rembourser l’État avant de partir. En revanche, les pays vers lesquels migrent ces compétences devront collaborer avec la Tunisie pour gérer cette situation.

Toujours selon la même source, la fuite des cerveaux concernent principalement ces pays européens : la France, l’Italie et l’Allemagne; ainsi que  certains du Golfe : l’Arabie saoudite et le Qatar.

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Lutte contre la violence : installation de caméras de surveillance autour des écoles

 

Le colonel Imed Memacha, porte-parole de la police nationale, a annoncé des mesures concrètes pour renforcer la lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants. C’était lors d’une conférence de presse.

Pour ce faire, le ministère de l’Intérieur a investi dans de nouveaux équipements et véhicules afin de mener à bien cette mission, affirme M. Memacha.

Il a toutefois souligné l’importance d’une coordination interministérielle pour garantir l’efficacité des efforts déployés.

Il a également précisé que le ministère concentre ses actions sur la détection précoce de comportements violents ou suspects, avec une intervention rapide en cas de besoin.

Une des mesures annoncées consiste en l’installation de caméras de surveillance près des établissements scolaires, notamment aux principaux carrefours.

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Ouverture des 25èmes Journées Théâtrales de Carthage avec pour slogan « le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie »

La 25ème édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC) a été ouverte, samedi 23 novembre, au cours d’une cérémonie officielle organisée, au Théâtre municipal de Tunis, précédée par une prestation au piano, devant le théâtre, sur l’avenue Bourguiba au cœur de la Capitale.

A l’issue de la cérémonie officielle, la Cité de la culture a abrité le spectacle d’ouverture, « Star Returning » de Lemi Ponifasio, présenté à la grande salle du Théâtre de l’opéra de Tunis.

La soirée inaugurale a été marquée par la présence de la ministre des Affaires Culturelles Amina Srarfi et d’un certain nombre de diplomates et d’invités dont des artistes arabes, africains et d’ailleurs.

Organisé sous l’égide du ministère des Affaires culturelles, le festival des JTC est un rendez-vous annuel d’envergure arabe et africaine, ouvert sur le théâtre dans le reste du monde.

L’actrice Saoussen Maalej était la maîtresse de la cérémonie d’ouverture démarrée par l’interprétation de l’hymne national tunisien.

Le metteur en scène Ghazi Zoghbani est le concepteur de la scénographie du spectacle inaugural, riche en couleurs et porteuse d’un message d’espoir et de paix dans le monde.

Le directeur des JTC, l’homme de théâtre Mohamed Mounir Argui, a déclaré ouverte cette édition 2024 tout en soulignant la ferme position du festival en faveur des causes justes. Il a notamment évoqué une édition spéciale pour ce rendez-vous théâtral arabe et africain ouvert sur le théâtre dans le monde entier.

Il a également exprimé sa solidarité avec les délégations étrangères qui n’ont pas pu participer au festival en raison de difficultés en lien avec le visa tout en rappelant la vocation des JTC qui offrent une occasion unique pour célébrer l’art et la culture.

Les questions humanitaires sont au cœur de cette édition ayant pour slogan « Le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie ». La guerre dans les Territoires palestiniens occupés et notamment dans la Bande gaza ainsi qu’au Liban sud sont au cœur de la programmation. Dans ce contexte, la soirée a été marquée par une prestation de l’artiste guitariste et compositeur palestinien Shadi Zaqtan.

Une chorégraphie a été interprétée par des enfants appartenant au cirque Paparouni en hommage aux « enfants du monde » notamment ceux vivant dans des conditions de guerre.

Certaines figures du théâtre et de la télévision en Tunisie étaient à l’honneur dont Amel Baccouche, Wajiha Jendoubi, Mokdad Salhi, Yahya Al Faydi, Fatma Bahri, et Mounir Ben Youssef.

Un hommage posthume a été également rendu à Abdelmajid Jemâa, Mourad Karrout, Saadi Zidani, Abdelhak Khamir, Abdel Aziz BelGaied Hassine, Mahjouba Ben Saad et Mohamed Mourali ainsi que l’artiste engagé Yasser Al-Jaradi, récemment décédé, pour lequel a chanté l’artiste Raoudha Abdallah.

La soirée s’est poursuivie avec le spectacle d’ouverture, « Star Returning » du metteur en scène Lemi Ponifasio. Cette œuvre profonde et visionnaire de l’artiste de théâtre polynésien Lemi Ponifasio, a été créée en collaboration avec le peuple Yi de la région de Daliangshan en Chine.

De longues files d’attentes étaient visibles depuis le hall central de la Cité de la culture jusqu’à l’entrée principale du Théâtre de l’Opéra de Tunis. Prévu à 20h, le spectacle a finalement commencé vers 21h devant un public assez nombreux. Après son avant-première chinoise le 8 novembre courant, dans la ville de Xichang (Province de Sichuan), ce spectacle a fait sa première mondiale aux JTC.

Organisé du 23 au 30 novembre 2024, à Tunis, le festival des JTC présente une sélection de 125 spectacles issus de 32 pays arabes, africains et d’ailleurs. 12 spectacles sont dans la compétition officielle, exclusivement destinée aux structures théâtrales professionnelles, arabes et africaines.

Le théâtre tunisien est dans la course aux Tanits à travers « Danse Céleste » de Taher Aissa Ben Arbi et « Toxic paradise » de Sadok Trabelsi.

Le jury de la compétition officielle, présidé par l’auteur, poète et critique tunisien Mohamed El Ouni, réunit le griot, dramaturge et comédien burkinabé Hassan Kassi Kouyaté, le dramaturge et académicien irakien Khazaal Al Mejidi, la comédienne et autrice palestinienne Raeda Taha, la comédienne syrienne Hala Omrane et un universitaire tunisien, Yacine Ouni, en tant que rapporteur.

Le festival présente des spectacles hors compétition avec notamment des expressions théâtrales de la diaspora et des spectacles issus de divers pays dans la section Théâtre du monde. La Tunisie présente divers spectacles pour adultes et pour enfants et autres dédiés au théâtre d’intégration sociale et au théâtre de la liberté.

Le théâtre syrien, la cause palestinienne et la guerre contre la Bande de Gaza et le Liban sont au cœur de la programmation des JTC 2024 pour une semaine riche en spectacles et autres rendez-vous autour du théâtre arabe et africain.

Avec TAP

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Lutte contre la fuite des cerveaux tunisiens : Faouzi Abderrahmane critique l’initiative parlementaire

Faouzi Abderrahmane a publié un post dans lequel il commente l’initiative parlementaire visant à lutter contre la migration des compétences tunisiennes.

L’ancien ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle se dit opposé à cette initiative qui ne pourrait pas résoudre le problème de la fuite des cerveaux tunisiens.

Pour Faouzi Abderrahmane, il serait plus judicieux d’essayer de décortiquer les opportunités offertes par l’État aux jeunes et leur adaptabilité à leurs attentes et lire les innombrables études qui ont traité ce sujet.

Les chiffres liés à ce phénomène sont effrayants. Selon une étude faite par l’OCDE, rappelle-t-il, la Tunisie était classée en 2020 au deuxième rang des pays arabes en matière de fuite des cerveaux. Les plus concernés sont les médecins et les ingénieurs.

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Gestion des chèques : Ce que change la circulaire de la BCT

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a récemment publié une circulaire imposant des obligations strictes aux banques concernant la gestion des transactions par chèque, notamment pour limiter l’usage abusif des chèques sans provision. Voici les principales mesures instaurées :

Selon la BCT, les banques doivent désormais effectuer des vérifications rigoureuses avant d’attribuer un carnet de chèques. Cela inclut :

  • L’analyse des antécédents bancaires du demandeur.
  • L’évaluation approfondie de la situation financière et des informations bancaires du client.

Nouvelles garanties imposées aux banques

Certaines catégories de chèques devront être honorées même en cas d’absence de provision :

  • Les chèques d’un montant inférieur ou égal à 20 dinars (hors comptes en devises ou en dinars convertibles).
  • Les chèques émis sur des formules bancaires, jusqu’à 5 000 dinars.
  • Pour les banques non connectées à la plateforme électronique des transactions par chèque, l’obligation de régler les chèques sans provision de 5 000 dinars maximum.

Caractéristiques des chèques modifiées

La circulaire introduit des changements importants sur les caractéristiques des chèques :

  • À partir de six mois après l’entrée en vigueur de la loi n°2024-41, seuls des chèques barrés pourront être délivrés (sauf exceptions justifiées).
  • Le montant maximal autorisé pour un chèque est désormais plafonné à 30 000 dinars.
  • Une validité minimale de six mois doit être clairement mentionnée, avec une date d’expiration explicite.

Sanctions pour usage abusif des chèques sans provision

Les clients émettant des chèques sans provision seront soumis à des restrictions sévères :

  • Interdiction de délivrer ou d’utiliser des chèques, sauf pour des retraits directs ou à provision certifiée.
  • Obligation de restituer tous les carnets de chèques à la banque.
  • Inscription dans une base de données centralisée gérée par la BCT, pour le suivi des interdictions légales et judiciaires d’utilisation de chèques.

Restrictions pour les comptes débiteurs inactifs

Les titulaires de comptes débiteurs inactifs ne pourront plus utiliser leurs formules de chèques, sauf sur demande explicite de leur banque.

Un objectif clair de la BCT : une meilleure gestion et plus de transparence

Avec cette circulaire, la BCT vise à renforcer la discipline financière, limiter les abus liés aux chèques sans provision et protéger les acteurs économiques. Les nouvelles règles imposent aux banques une vigilance accrue et promeuvent une utilisation responsable des chèques comme moyen de paiement.

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Friperie en Tunisie : pourquoi le secteur a-t-il besoin d’une réforme législative urgente?

Le président de la Chambre nationale syndicale des commerçants grossistes de friperie, Sahbi Maâlaoui, est récemment intervenu sur les ondes de la Radio nationale pour discuter de la situation actuelle du secteur de la friperie en Tunisie, en particulier du niveau éducatif des employés du secteur.

Sahbi Maâlaoui a indiqué que le secteur de la friperie emploie actuellement 200 000 personnes, dont seulement 8 000 diplômés de l’enseignement supérieur. Il a souligné la nécessité de réformer les textes de loi existants, qu’il juge archaïques. Et ce, afin de permettre aux vendeurs de travailler dans le gouvernorat de leur choix et d’améliorer les conditions de travail dans ce secteur vital pour l’économie tunisienne.

Révisions législatives urgentes pour soutenir le secteur de la friperie

Selon M. Maâlaoui, les autorités doivent prendre des mesures urgentes pour réviser les lois sur la friperie, afin d’encourager une meilleure organisation et une plus grande flexibilité dans le secteur. Cette réforme législative serait cruciale pour garantir des conditions de travail plus adaptées et promouvoir le commerce de friperie en Tunisie.

Friperie en Tunisie : un secteur en difficulté, mais avec une forte demande

Actuellement, seulement 34 entreprises de friperie sont opérationnelles en Tunisie. Tandis que 20 autres ont été contraintes d’arrêter leurs activités en raison de sanctions financières sévères ou des destructions causées par des incendies. Cependant, malgré ces difficultés, le secteur reste crucial pour la population tunisienne.

94 % des Tunisiens se vêtissent de friperie, mais les prix augmentent

Selon Anadolu Agency, une étude révèle que 94 % de la population tunisienne se vêtit de friperie. Toutefois, le coût des vêtements dans les friperies ne cesse d’augmenter, rendant l’accès à ces vêtements plus difficile pour les personnes les plus démunies. Cette hausse des prix met en péril l’objectif du secteur de rendre les vêtements abordables pour tous.

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Des docteurs chercheurs au chômage chez Brahim Bouderbela

Le 20 novembre 2024, un groupe de docteurs chercheurs au chômage a organisé un rassemblement devant le siège de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Par la suite, des représentants des manifestants ont été reçus par le président de l’ARP, Brahim Bouderbala, dans le cadre de l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur pour l’année 2025.

Lors de cette rencontre, les manifestants ont exprimé leurs préoccupations et leurs attentes, qui portaient principalement sur la création d’un cadre législatif pour régulariser leur situation et faciliter leur intégration sur le marché du travail, notamment pour ceux de plus de 45 ans.

Ils ont, aussi, souligné la nécessité d’être intégrés à la fonction publique avec « une période d’essai et de formation ».

Les manifestants ont également appelé à une amélioration de la situation professionnelle des enseignants-chercheurs, pour renforcer leurs droits et de reconnaître leurs contributions scientifiques.

Brahim Bouderbala a exprimé sa compréhension des revendications des manifestants et s’est engagé à œuvrer pour la mise en place d’un cadre législatif qui valorisera l’apport scientifique de cette élite et répondra à leurs attentes professionnelles.

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Le rêve bisé de Céline Haidar, footballeuse libanaise de 19 ans, par Israël

Céline Haidar était sur le point de réaliser son rêve de représenter le Liban en équipe nationale de football lorsqu’elle a été grièvement blessée lors d’une frappe israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth.

Âgée de 19 ans, la jeune footballeuse se trouve toujours en soins intensifs, plongée dans le coma.

Selon l’AFP, la famille de la footballeuse s’était réfugiée il y a quelques semaines à Baakline, une localité pittoresque nichée dans la montagne, lorsque les bombardements israéliens ont gagné en intensité dans la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah. Cependant, Céline Haidar a été obligée de descendre à Beyrouth pour ses études et son entraînement.

Son père raconte : « Quand il y avait des appels à évacuer et des bombardements, elle quittait la maison, puis y retournait le soir pour dormir ».

Samedi, il l’avait appelée pour la prévenir d’un nouvel appel à évacuer émis par l’armée israélienne, signalant généralement des frappes à venir. Elle avait quitté la maison comme à son habitude. « Puis ma femme m’a appelé pour m’informer que Céline était à l’hôpital », dit-il, ébranlé. Elle avait été gravement blessée à la tête lors d’une frappe.

Une vidéo partagée sur les réseaux sociaux a profondément touché les internautes. On y voit la footballeuse à terre, le visage ensanglanté, tandis qu’un jeune homme, agenouillé à ses côtés, hurle de douleur.

La jeune femme se préparait à prendre les rênes de son équipe, la Beirut Football Academy (BFA), en tant que capitaine. Elle devait également rejoindre l’équipe nationale pour les prochaines compétitions, dont un match contre l’Iran, qui a été annulé en octobre en raison de la guerre. En 2022, elle a remporté la coupe féminine de football de l’Asie de l’Ouest avec la sélection nationale des moins de 18 ans.

« Ils ont tué son rêve (…). Désormais, tout le monde parle d’elle parce qu’elle est blessée, dans une guerre où elle n’a rien à voir », a commenté la mère de la jeune femme.

 

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Le CNOPT commémore le 40e jour du décès du père de l’industrie pharmaceutique tunisienne

Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens de Tunisie (CNOPT) a honoré la mémoire du pharmacien Dr Mohamed El Fekih lors d’une cérémonie de commémoration dédiée à sa vie et à son œuvre. Cet hommage s’est tenu le vendredi 15 novembre 2024, à la Maison du Pharmacien.

Ce moment de recueillement a réuni tous ceux qui ont eu le privilège de le connaître et de travailler à ses côtés. Ensemble, ils ont témoigné de leur reconnaissance envers un homme qui a grandement contribué au développement de l’industrie pharmaceutique tunisienne. Le Dr Mustapha Laaroussi, président du CNOPT, et le Dr Mehdi Dridi, président-directeur général de la Pharmacie centrale de Tunisie (PCT), ont présidé cette cérémonie lors de laquelle plusieurs témoignages de ses pairs ont mis en valeur toute la carrière du défunt Dr Mohamed El Fekih.

Né le 1er juin 1930 et décédé le 27 septembre 2024 à l’âge de 94 ans, le Dr Mohamed El Fekih a été nommé par le président Habib Bourguiba à la tête de la Pharmacie centrale de Tunisie en 1963. Il a fondé la Siphat en 1972, marquant ainsi une étape clé dans l’essor de l’industrie pharmaceutique nationale. Considéré comme le « père de l’industrie pharmaceutique tunisienne », il laisse derrière lui un grand héritage dans le domaine pharmaceutique sur le plan régional et international.

En hommage à son œuvre, un prix destiné à récompenser la recherche pharmaceutique portera désormais son nom, perpétuant ainsi la mémoire de l’un des bâtisseurs de la profession pharmaceutique.

Un grand homme disparaît ! Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Son infinie Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis. 

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Plusieurs trafiquants de drogues arrêtés à Kasserine

Les forces de sécurité de Kasserine ont récemment réussi, grâce à des renseignements, à interpeller plusieurs trafiquants de drogue notoires dans la région.

A Feriena, un dealer a été arrêté en possession de 230 comprimés psychotropes et d’une somme d’argent provenant de son activité illégale.

A Sbeïtla, la police a appréhendé un individu recherché par 16 mandats d’arrêt, principalement pour trafic de drogue et pour sa participation à des émeutes à la Cité Essourour.

Enfin, un trafiquant de cannabis a été appréhendé dans la délégation frontalière de Foussana.

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La CCI de Sfax organise des formations à partir de décembre

La Chambre de commerce et d’industrie de Sfax (CCIS) organise des formations à partir de décembre 2024.

La CCIS organise des formations durant la période allant de décembre 2024 à février 2025 qui porteront sur différents domaines :

  • Opérations de change et de commerce extérieur;
  •  Comment gérer une commande export : les aspects administratifs, logistiques et paiement;
  • Marketing digital;
  • Les incoterms et la logistique du transport international des marchandises;
  • Manager du commerce international MCI.

Pour développer ses compétences, évoluer et gagner des connaissances, il faut remplir ce formulaire d’inscription : https://tinyurl.com/yufw2z9f

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Algérie – Turquie : Murat Ozcelik chez Mohamed Arkab

Le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a reçu, jeudi 14 novembre, Murat Ozcelik, président de la société minière turque « Has Ozcelik ».

Ils ont discuté xploré ensemble les possibilités de partenariat entre l’entreprise turque et les acteurs algériens du secteur minier. Cette nouvelle a été annoncée dans un communiqué posté le ministère algérien de l’l’Énergie et des Mines.

Selon la même source, « les deux parties ont abordé les possibilités de coopération et d’investissement entre les entreprises du secteur minier. Telles que celles entre le Groupe Sonarim et la société turque Has Ozcelik, dans les domaines de l’exploitation et de la transformation des matières premières minières et minérales en Algérie », en présence de ses cadres.

D’après le communiqué mentionné ci-dessus, le ministre Mohamed Arkab a souligné à cette occasion les « importantes » possibilités d’investissement et de partenariat en Algérie. Et ce, dans la recherche, l’exploration, l’exploitation, ainsi que la transformation des ressources minières ferreuses et non ferreuses. A la faveur du climat d’investissement propice offert par la nouvelle loi sur l’investissement et les bonnes relations existant entre les entreprises du secteur et les entreprises turques dans le domaine de l’énergie et des mines ».

Murat Ozcelik a, quant à lui, mis en avant « le grand intérêt que sa société porte à l’investissement en Algérie, notamment dans l’exploitation et la transformation des ressources minières telles que le phosphate, l’or, le feldspath et l’aluminium. Outre la réalisation d’infrastructures et la fabrication locale d’équipements à travers des projets de partenariat mutuellement bénéfiques ».

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Trump nomme son ex-rival Marco Rubio secrétaire d’État

Donald Trump, réélu président des États-Unis pour un second mandat, a annoncé, le mercredi 13 novembre, avoir nommé Marco Rubio secrétaire d’État. Le sénateur, connu pour ses positions fermes contre la Chine, sera « un défenseur passionné de notre nation, un véritable allié pour nos partenaires et un combattant déterminé qui ne cédera jamais face à nos ennemis », a déclaré Trump dans un communiqué.

Âgé de 53 ans et fils d’immigrés cubains, Marco Rubio sera le premier diplomate américain à maîtriser l’espagnol. Il prône une ligne dure envers Pékin tout en appelant à un pragmatisme dans le traitement de la guerre en Ukraine.

Par ailleurs, Rubio est connu pour son soutien indéfectible à Israël et sa fermeté face à l’Iran, notamment concernant la montée en puissance de son programme nucléaire.

L’influent sénateur, régulièrement invité sur les plateaux de télévision, a longtemps été perçu comme l’étoile montante d’un Parti républicain modéré. Sa popularité reposait en grande partie sur son image de centriste, cherchant à élargir la base électorale du parti en attirant des groupes traditionnellement moins proches de ses idées. Cependant, cette stratégie de rapprochement avec des électeurs issus de milieux divers a parfois créé des tensions internes, notamment avec les courants plus conservateurs du parti.

Il convient de rappeler que Marco Rubio s’était présenté contre Trump lors des primaires républicaines en 2016.

Reste maintenant à savoir s’il sera validé par le Congrès.

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Mohamed Ali Nafti reçu par Kais Saied

Le mercredi 13 novembre, le président de la République a accueilli le ministre des Affaires étrangères Mohamed Ali Nafti au palais de Carthage. Ce dernier a présenté un compte rendu au président des résultats des récentes conférences régionales et internationales auxquelles il a participé.

Au cours de cet entretien, le président a rappelé les principes fondamentaux de la politique étrangère tunisienne, soulignant le rôle essentiel de la diplomatie tunisienne dans la défense des causes justes dans le monde, en particulier celle du peuple palestinien.

Kais Saïed a insisté auprès de Mohamed Ali Nafti sur l’importance de développer des partenariats bénéfiques pour les intérêts de la Tunisie, dans un esprit de respect mutuel et sur la base d’un traitement égalitaire. Il a également ajouté qu’il était crucial de soutenir les Tunisiens Résidents à l’Étranger (TRE).

 

 

 

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Saïed et Maddouri discutent du renforcement du rôle social de l’État

Le mercredi 13 novembre, le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, au palais de Carthage.

Lors de cette rencontre, Kaïs SaIed a réaffirmé l’importance de renforcer le rôle social de l’État. Tout en soulignant la nécessité d’adopter de nouvelles approches et de proposer des solutions radicales, en rupture avec les anciennes politiques. Et ce, afin de répondre aux aspirations du peuple tunisien.

Le président de la République a également évoqué la question de l’amélioration des transports publics dans le cadre de son engagement à renforcer les infrastructures publiques. Il a notamment insisté sur l’urgence d’importer des bus et des rames de métro pour alléger les difficultés quotidiennes des citoyens.

Des efforts doivent aussi être fournis pour améliorer les secteurs de l’éducation et de la santé, a ajouté le chef de l’Etat

En outre, il a abordé la question de la corruption, qu’il considère comme un fléau en train de détruire l’État tunisien petit à petit. Soulignant aussi que la phase de construction du pays ne pourra se concrétiser que si l’État parvient à lutter efficacement contre ce phénomène.

Enfin, il estime nécessaire d’accélérer le lancement de plusieurs grands projets et de surmonter les obstacles administratifs artificiels. Il a également dénoncé la bureaucratie, qui ralentit les jeunes dans le lancement de leurs projets.

Avec TAP

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Convocation de Khaoula Boukrim et Asrar Ben Jouira par la brigade criminelle de Ben Arous

La directrice du site tumedia.net, Khaoula Boukrim, a annoncé sur sa page officielle Facebook qu’elle avait (encore) été convoquée par la brigade criminelle de Ben Arous. De même, l’activiste Asrar Ben Jouira a également été convoquée pour la énième fois par la même brigade.

Khaoula Boukrim a dénoncé un harcèlement et des accusations de diffamation à son égard. Cette convocation fait suite à sa couverture d’une manifestation organisée devant le ministère de l’Intérieur. Selon le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Khaoula Boukrim est également accusée d’avoir agressé un agent de sécurité, ce qui a conduit à sa convocation.

Pour rappel, le 11 novembre 2024, Khaoula Boukrim et Asrar Ben Jouira, présidente de l’association Intersection pour les droits et les libertés, ont comparu devant la brigade criminelle de Ben Arous. Elles ont été libérées le jour même.

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COP29 : L’Afrique, une seule voix pour le climat

À la COP29 qui se déroule à Bakou en Azerbaïdjan, l’Afrique se présente en bloc avec une position commune portée par les chefs d’État des 54 pays du continent. Avec des priorités claires : obtenir un financement renforcé pour faire face aux conséquences du changement climatique et revendiquer des compensations pour les pertes subies, alors que l’Afrique est l’un des continents les moins responsables des émissions de gaz à effet de serre.

Selon Le Monde, ce « segment de haut niveau », durant lequel une centaine de dirigeants prendra la parole, vise à donner un élan politique aux négociations. Celles-ci, qui aborderont des sujets particulièrement sensibles, notamment la future aide financière du Nord aux pays en développement, s’annoncent difficiles, à cause de l’élection de Donald Trump et du retrait probable des États-Unis de l’Accord de Paris.

La Papouasie-Nouvelle-Guinée a choisi de boycotter ces processus onusiens, les jugeant inefficaces. Néanmoins, les dirigeants africains se sont déplacés en grand nombre pour cette COP29.

Le président du Congo, Denis Sassou-Nguesso, a abordé la question cruciale de la préservation des forêts tropicales, comme nous l’avons écouté sur les ondes de la radio française RFI dans l’émission « Afrique Midi ».

D’autres figures influentes, comme le président kényan William Ruto, seront présentes. Ce dernier, qui a organisé le premier sommet africain sur le climat à Nairobi en septembre 2023, a appelé à une croissance verte et à dépasser les divisions entre le Nord et le Sud. Cet appel a particulièrement résonné auprès des pays industrialisés, dont la responsabilité historique dans le dérèglement climatique est bien établie.

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Cours particuliers: Mohamed Safi appelle à se pencher sur leurs causes

Le ministère de l’Éducation a publié un communiqué interdisant aux enseignants de dispenser des cours particuliers en dehors des écoles, collèges et lycées.

Selon le ministère, les cours particuliers ne peuvent être donnés que dans les établissements éducatifs. Les personnes qui ne respecteront pas cette nouvelle mesure s’exposent à des sanctions, pouvant aller jusqu’au licenciement, sans oublier les poursuites judiciaires.

Mohamed Safi, secrétaire général de la Fédération générale de l’enseignement secondaire, est intervenu sur les ondes d’Express FM pour commenter ce communiqué. Il a estimé que ces mesures ne parviendront pas à résoudre les dysfonctionnements du secteur éducatif.

Il a rappelé qu’à ce jour, certains élèves n’ont toujours pas d’enseignants. Il appelle donc à une réflexion sur les causes de la propagation de ce phénomène, estimant que plusieurs élèves se tournent vers les cours particuliers, soit parce que les enseignants ne parviennent pas à terminer un programme trop chargé, soit à cause des conditions difficiles dans les écoles.

Mohamed Safi a également souligné que la situation financière des enseignants les oblige souvent à donner des cours particuliers en dehors des établissements scolaires.

Un député était présent sur le plateau. Il a déclaré être d’accord avec ce qu’a dit le syndicaliste concernant les conditions difficiles dans les écoles. Il a ajouté qu’il était d’accord avec le ministre de l’Éducation et les méthodes que compte utiliser le ministère pour mettre fin au phénomène des cours particuliers. Il a aussi ajouté que les méthodes éducatives étaient déplorables et qu’il fallait impérativement travailler sur la méthode d’enseignement.

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Donald Trump confie à Elon Musk les rênes du ministère de l’efficacité gouvernementale

Donald Trump a annoncé son projet de nommer Elon Musk à la tête d’un ministère inédit de l’« efficacité gouvernementale », aux côtés de Vivek Ramaswamy. L’homme le plus riche de la planète et l’homme d’affaires républicain auront pour mission de réduire les lourdeurs administratives, simplifier la régulation et réformer les agences fédérales pour un gouvernement plus agile et efficace.

Le mode de fonctionnement de l’organisation reste flou. Il est possible qu’elle soit régie par la loi américaine sur les comités consultatifs fédéraux (Federal Advisory Committee Act, FACA), qui encadre les groupes externes conseillant le gouvernement.

Alors que les fonctionnaires fédéraux sont généralement tenus de divulguer leurs actifs ainsi que leurs liens afin d’éviter tout conflit d’intérêts potentiel et de se défaire de toute participation importante en lien avec leur fonction, les deux hommes d’affaires ne seront pas soumis à ces exigences ni à ces limites éthiques, car ils ne sont pas des fonctionnaires fédéraux.

Le DOGE (dimunitif de Departement of Government Efficiciencycy) est un clin d’œil à à la crypto-monnaie préférée de Musk, le dogecoin.

Donald Trump a annoncé dans un communiqué que le PDG de Tesla et SpaceX, ainsi que Vivek Ramaswamy, entrepreneur et auteur, travailleront en dehors du gouvernement pour fournir des « conseils et des orientations » à la Maison Blanche.

Le travail des deux hommes doit impérativement prendre fin d’ici le 4 juillet 2026.

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